Partouze avec mon amant du Vendredi - histoire érotique

Nous avons rendez vous dans cet hôtel où tous les vendredi après midi, nous jouons ensemble au papa et la maman, à notre façon. Normalement tu devrai être là depuis une bonne heure. Je suis certaine que tu viendra: tu me l’a confirmé ce matin même par portable. En entendant je trouve le temps long, d’autant plus que te m’a promis un beau cadeau. Je n’en peux plus: je suis obligé d’enlever mes bottes, pour caresser mes jambes depuis le bout des pieds jusqu’à mon string, celui que tu aime m’enlever juste avant de le la mettre là où tu aimes que j’ai appris non seulement à supporter mais à y prendre un autre plaisir que par devant où de toute façon tu viendra pour visiter mon corps.
Mes mains passe sur mon sexe, par-dessus le string. L’effet doit être pour moi comme quand je touche ta bosse sur le pantalon, c’est excitant mais pas au point de jouir. Mes mains montent encore jusqu’à mes seins. Je les caresse longuement avant d’enlever le soutiens gorge rouge, celui que te aime enlever. Mes mains sont les bien venue pour titiller mes tétons. C’est vrai qu’ils bandent depuis un moment. Cette fois, même si je continue à me caresser la poitrine, je sens mon sexe s’humidifier. S’en est trop, j’enlève cet obstacle ultime. J’enlève lentement mon string, lentement, je le fait rouler jusqu’à mes pieds, je lève les jambes pour le faire tomber.
Je vais me coucher: c’est plus agréable de se branler couchéeSi tu arrive maintenant tu me verrai avec ma jupe, mon chemisier écru ouvert sur ma poitrine. Je suis sure que tu te jetterai sur moi pour baiser. J’écarte les jambes pour d’abord en caresser l’intérieur. J’arrive enfin sur la chatte. Je passe deux doigts que ma fente en commençant par le bas là où tu aime me la mettre. Je suis trempée, je mouille mes doigts dans la cyprine abondante, et lentement je les entre dans mon anus. Mon cul s’ouvre tout seul. Que c’est bon de sentir en soit ses propres doigts aller et venir. Que c’est bon de se masturber ainsi. Je me fait jouir très vite: mes fantasmes portaient justement sur la queue dans mon anus.
Ce n’est pas suffisant, Je passe mes doigts sur ma moule toute entière: j’entre deux doigts, toujours les même dans mon con. Je me doigte, pas trop longtemps! Mon clitoris me demande aussi sa ration méritée de caresses. Je lèche mes deux doigts qui on un goût prononcé de ma cyprine. J’aime, comme toi ce goût entre salée et musqué.
Mes doigts commencent par effleurer la surface de mon bouton pout finir par une pression bien plus forte avec une vitesse d’aller et venue qui m’étonne moi-même, alors que c’est bien moi qui fait fonctionner ma main.
Je ne me lasse pas de ce plaisir montant. J’arrête souvent pour faire durer mon imminent orgasme.
Pourquoi tu n’est pas là: je te veux à mes coté, ta bouche contre la mienne, nos langues lutant dans un délire de plaisir partagé.
Je te veux, maintenant, j’ai trop envie de ta queue, n’importe où en moi, même si ce n’est que dans ma main. Je me suis déshabillée; tu peux me faire ce que tu veux je j’attends. Dépêche toi, viens me baiser.

Enfin Tu ouvre la porte. Je ferme les yeux pour te laisser le temps de de mettre toi aussi nu. Tu viens derrière moi, m’embrasse la nuque, et te me dis- Regarde je t’ai porté un beau cadeau: tu pourra t’en mettre partout.
J’ouvre les yeux et j’ai ma surprise: il n’est pas seul: il y a trois autres hommes dans le chambre.
- Tu es fou, que veux-tu que je fasse avec ces gens ?
‘ C’est gens sont tes futurs amants. J’ai décidé de te faire connaitre la pluralité en baise.
- Mais je ne veux pas qu’ils nous voient baiser tous les deux.
- Tu ne vas pas baiser seulement avec moi, aux aussi te prendrons comme il le voudront.
- Tu vas me donner à ces gens ?
Ces gens en attendant sont nus. Je peux voir leurs bites: certaine m’irais bien mais pas en groupe.
‘ Comment ça va se passer ?
- Comme tu voudra, ma chérie. De toutes façons ils te baiseront et t’enculerons tous.
- J ai peur, mon chéri.
- N’ai pas peur, il te ferons jouir plusieurs fois, avec moi, tu te rends compte ?
Pour me tranquilliser, il me mets sur le ventre, prends de la cyprine, me la met sur l’anus et sa bite bien bandée entre dans mon cul. Il rentre facilement. Quand il est au fond de mon cul, il me caresse le clitoris et commence ses allers et venues. Comme il me la mets bien: sa bite me fait jouir plusieurs fois; j’aime sentir la grosseur de sa queue dans mes fesses quand je jouis.
Il se tourne en m’entrainant: il est sous moi: je me trouve exposée au regard de ces trois autre hommes. Ils ne sont qu’à cinquante centimètres de nous, il tiennent tous leur bite: ils se branlent en me regardant. Le plus petit vient vers moi, me sourie avant de poser sa bouche sur la mienne. Sa langue s’insinue dans ma bouche. Il embrasse plutôt bien. Je regarde sa pine grossie: sans un mot, il vient sur moi, sans m’écraser, il pose le bout de sa queue sur l’entrée de mon sexe. Il ne demande rien sinon de me baiser. Il me pénètre et je sens comme un autre plaisir très agréable: ces deux bites dans mon ventre me comblent. Mes deux amants me pénètre d’une façon que je n’imaginai pas, je pensais qu’ils s’accorderaient pour que l’un entre pendant que l’autre sortirai. Ce n’est pas leurs façons de faire: ils font comme s’ils n’avaient qu’une seule bite qui entre et sort en même temps. Ce plaisir est délicat, surtout prolongé et j’aime bien quand ils sont en moi, au même moment et me laissent libres sans rien dans mon ventre, ensemble.
Je ne peux pas dire combien de fois j’ai jouis, plusieurs fois, en tout cas de plus en plus fort, j’usqu’à crier mes orgasmes.
Ils reste encore deux hommes à satisfaire. Mise comme je suis, je peux leur prendre les queues dans une main et les branler en cadence. Je pense les faire jouir rapidement, comme je le fais avec lui. Il a du les choisir spécialement puisque sachant bien branler les hommes il résistent tous les deux: ils ont du plaisir je le vois quand ils ferment les yeux pour savourer la caresse. Enfin , je sens que mon ami jouir dans mes intestin, comme j’aime, et celui qui me baise en fait autant.
Je pense être tranquille pour un moment. Je me met en levrette comme pour accueillir les deux autres. Juste le temps pour ceux qui étaient en moi de sortir que je sens aussitôt une pine qui se glisse dans mon vagin, et l’autre qui entre dans mon anus. Je ressent à nouveau ce trouble plaisir m’envahir. Je jouis très vite avec ses deux pines. Je reçois sur ma bouche la bite de celui qui me baisait et celle de mon amant sur une main. Je le branle aussi. J’ai dans le bouche le goût de ma cyprine et je lèche totalement le long de la bite tout mon jus. Son gland et très doux sous ma langue. Il force pour que j’accepte encore d’avantage de son sexe vers le fond de ma bouche. Mon ami, maintenant veux autre chose qu’une masturbation: il pose sa queue entre mes seins qu’il avait tenu hors de cette partouze. Il se branle entre mes seins. Il avance tellement qu’il arrive à me toucher la bouche, presque contre l’autre bite que je suce. Cette fellation fini quand je reçois dans la bouche une bonne dose de sperme, plutôt agréable au goût. Je déguste cette semence et après l’avoir avalée, je reçois cette fois le sperme de mon amant.
Je sens que celui qui me baise, jouit dans mon ventre. Celui qui m’encule jouit dans mon anus. Tous se relèvent et après un rapide lavage de bite sortent pour ne plus revenir.
Mon chérie, reste très près de moi, m’embrasse longuement. Il me remercie d’avoir accepté de me fait mettre par tous les trous. Je ne peux que le remercier des orgasmes qu’il m’a fait connaitre. Par amour, je lui prend à nouveau sa queue et la caresse. Il bande encore. Il se recouche sur le dos, pour la finale de notre baise. Je l’enjambe, pose mon sexe sur sa bouche, je lui prend la queue dans la bouche: je commence à le branler juste avant de lui prendre son sexe à moitié dans le bouche. Je le lèche bien mieux que j’ai léché son ami. Je sens sa langue qui fouille toutes les parties plus ou moins cachées de mon vagin. Il me fait encore jouir deux ou trois fois. Il me faut un bout de temps pour sentir enfin son jet de sperme dans le bouche.
Réflexion faite je pense que s’il me propose un plan pareil je l’accepterai.