Party, partie, partouze
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2020 dans la catégorie Plus on est
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Party, partie, partouze
Party, partie, partouze
— Depuis la semaine dernière, j’ai enfin compris pourquoi j’aimais le sexe de groupe…— Quelle importance, le « pourquoi » ? Arrête de tout intellectualiser : si tu aimes, tu aimes, point.
— Oh que non ! C’est pas si simple, et je suis super contente d’avoir enfin saisi. Car pour tout dire, les partouzes et compagnie, c’est terminé pour moi.
— Comprendre pourquoi t’a fait prendre cette décision ? Quand je dis qu’il faut pas tout intellectualiser… En tout cas comme tu dis, ça n’a pas l’air si simple.
— Ou alors peut-être que ça l’est trop ! J’ai démarré le sexe à un âge assez classique, vers seize ans, mais je fantasmais sur l’idée de faire l’amour depuis au moins mes dix ans, si pas avant. Je te raconte pas le nombre de films…— Des vrais que tu as vus ? Ou bien ceux de ton esprit ?
— Les films qu’on se fait dans la tête ! Rien de porno, enfin rien d’aussi porno… mon imaginaire avait ses limites.
— Fantasmer quand on est petite, classique.
— Je ne crois pas ! De toutes les fois où j’en ai discuté avec les copines, j’ai compris que je fantasmais bien plus que la moyenne. Au lycée, c’est devenu chaud. Mon premier coup était dans une soirée, dans la chambre du garçon dont c’était l’anniversaire, et j’ai eu mon deuxième coup avec un de ses copains quelques minutes après, et ainsi de suite.
— Et ainsi de suite, au même endroit, dans la même soirée ?
— Pas difficile à deviner.
— Pour ta première baise tu as eu tous les invités ?
— Pas tous. Tout de même quatre.
— Ça t’a fait croire que le sexe se vivait ainsi ?
— Non, car ce n’était pas ce que vivaient les autres. Ça m’a fait comprendre que c’était ce qui me convenait, et je ne captais pas pourquoi ! Et mes rêves de chevaliers et de princes charmants alors, où étaient-ils passés ?
— Je ne sais pas… disparus à tout jamais dans les souvenirs d’enfance en fuite ?
— Je le croyais. Et pourtant, mes idées romantiques sont revenues.
— Alors que tu poursuivais ta nouvelle vie de libertine.
— Oui, tu imagines ! Là c’est même plus du paradoxe, c’est quasiment de la schizophrénie.
— Faut dire, il est plus facile de trouver une bande de baiseurs compulsifs qu’un seul garçon plein de romance et de poésie.
— Je l’ai enfin trouvé ! Il y a quelques jours. Non seulement toute la poésie et toute la romance qu’il faut, mais aussi et surtout de la douceur et de l’endurance, sachant me faire l’amour en plus de cinq minutes.
— Tu veux dire…— Oui, l’explication était là ! Je n’ai jamais été une chaudasse aimant enchaîner les partenaires. Seulement, la bande de mecs qui me baise depuis des années est une meute de lapins. Tous à s’agiter en moi quelques instants et à finir en moins de deux. Forcément je suis frustrée et il me faut au moins quatre ou cinq partenaires avant d’avoir eu l’équivalence d’un seul rapport sexuel digne de ce nom.
— On dit qu’un preux chevalier vaut toute une troupe de soldats… ça n’avait jamais été aussi vrai !
Un nouvel épisode de « Dialogues Interdits » chaque samedi à 8 H.
— Depuis la semaine dernière, j’ai enfin compris pourquoi j’aimais le sexe de groupe…— Quelle importance, le « pourquoi » ? Arrête de tout intellectualiser : si tu aimes, tu aimes, point.
— Oh que non ! C’est pas si simple, et je suis super contente d’avoir enfin saisi. Car pour tout dire, les partouzes et compagnie, c’est terminé pour moi.
— Comprendre pourquoi t’a fait prendre cette décision ? Quand je dis qu’il faut pas tout intellectualiser… En tout cas comme tu dis, ça n’a pas l’air si simple.
— Ou alors peut-être que ça l’est trop ! J’ai démarré le sexe à un âge assez classique, vers seize ans, mais je fantasmais sur l’idée de faire l’amour depuis au moins mes dix ans, si pas avant. Je te raconte pas le nombre de films…— Des vrais que tu as vus ? Ou bien ceux de ton esprit ?
— Les films qu’on se fait dans la tête ! Rien de porno, enfin rien d’aussi porno… mon imaginaire avait ses limites.
— Fantasmer quand on est petite, classique.
— Je ne crois pas ! De toutes les fois où j’en ai discuté avec les copines, j’ai compris que je fantasmais bien plus que la moyenne. Au lycée, c’est devenu chaud. Mon premier coup était dans une soirée, dans la chambre du garçon dont c’était l’anniversaire, et j’ai eu mon deuxième coup avec un de ses copains quelques minutes après, et ainsi de suite.
— Et ainsi de suite, au même endroit, dans la même soirée ?
— Pas difficile à deviner.
— Pour ta première baise tu as eu tous les invités ?
— Pas tous. Tout de même quatre.
— Ça t’a fait croire que le sexe se vivait ainsi ?
— Non, car ce n’était pas ce que vivaient les autres. Ça m’a fait comprendre que c’était ce qui me convenait, et je ne captais pas pourquoi ! Et mes rêves de chevaliers et de princes charmants alors, où étaient-ils passés ?
— Je ne sais pas… disparus à tout jamais dans les souvenirs d’enfance en fuite ?
— Je le croyais. Et pourtant, mes idées romantiques sont revenues.
— Alors que tu poursuivais ta nouvelle vie de libertine.
— Oui, tu imagines ! Là c’est même plus du paradoxe, c’est quasiment de la schizophrénie.
— Faut dire, il est plus facile de trouver une bande de baiseurs compulsifs qu’un seul garçon plein de romance et de poésie.
— Je l’ai enfin trouvé ! Il y a quelques jours. Non seulement toute la poésie et toute la romance qu’il faut, mais aussi et surtout de la douceur et de l’endurance, sachant me faire l’amour en plus de cinq minutes.
— Tu veux dire…— Oui, l’explication était là ! Je n’ai jamais été une chaudasse aimant enchaîner les partenaires. Seulement, la bande de mecs qui me baise depuis des années est une meute de lapins. Tous à s’agiter en moi quelques instants et à finir en moins de deux. Forcément je suis frustrée et il me faut au moins quatre ou cinq partenaires avant d’avoir eu l’équivalence d’un seul rapport sexuel digne de ce nom.
— On dit qu’un preux chevalier vaut toute une troupe de soldats… ça n’avait jamais été aussi vrai !
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