Pas avant le mariage - histoire érotique

Je me demande pourquoi je suis tombé amoureux de cette fille. Son corps est parfait, elle est très intelligente. Nous ne pouvons pas baiser pour une raison très simple, elle est vierge, entend le rester jusqu'au jour du mariage. Devant son refus, il ne nous restait qu'une solution : nous branler. Comme nous avions décidé de nous marier rapidement, finalement rien ne pressait, sauf que j'avais de plus en plus envie d'elle. Je me branlais assez souvent. Je lui disais même que je le faisais. Un jour, dans un élan de solidarité, sans doute, elle avouait qu'elle aussi avec envie de moi : elle se masturbait. Pour couper court à ses manœuvres je commençais à la peloter un peu, lui masser une main sous la robe pour arriver à son sexe. Elle me laissait faire, écartait ses jambes sans problème. Je pouvais arriver à lui mettre deux doigts sur le clitoris. Je cherchais à lui mettre un doigt dans la moule : elle était vierge. J'arrivais à la faire jouir. Je pensais vaincre son obstination en l'excitant suffisamment pour fin arrivé à la baiser. Rien à faire. La seule chose qu'elle se permettait était de prendre ma queue en main et me branler. Maligne, elle avait sorti un sopalin pour que mon sperme n'aille pas n'importe où. Elle me masturbait assez bien pour une débutante : elle me disait qu'une fois, il y avait longtemps, elle avait branlé un vague cousin pour qu'il lui fiche la paix.
Petit à petit j'arrivais à la convaincre de me laisser l'enculer. Et encore, il fallait que je lui jure mes grands dieux que je n'en profiterai pas pour aller plus loin. Je la préparais à une future sodomie. Pour ça j'avais la patiente de ne pas me presser. Je commençais par la branler, jusqu'à une bonne jouissance, avant de poser un doigt sur son anus. Elle me laisser faire, surtout que je ne lui faisais pas de mal, au contraire, puisque mes caresses la faisaient jouir, alors que je n'avais mis aucun doigt en elle. Je continuais ce même jeu plusieurs jours de suite. Enfin après lui avoir encore caressé le tour de l'anus, je lui mettais un seul doigt dans son cul. Elle acceptait cette intrusion en elle. Je continuais ainsi jusqu'à lui mettre trois doigts. Je les faisais aller et venir dans son cul. Elle jouissait toujours.
Enfin le grand jour. Elle le savait et en m'embrassant prenait ma queue à pleine main, non plus pour me branler, elle me dirigeait vers ses fesses. Je mouillais son anus avec ma salive et lui mettait juste dessus ma bute en érection. Je me trouvais brusquement incapable de la lui mettre. Elle me poussait en me disant mets moi la. Enfin je la pénétrais doucement. J'ai bien du mettre un quart d'heure avant d'être totalement en elle. Au début, elle était très tendu. Enfin ce n'est qu'au moment où elle était confiante que j'arrivais à passer la barrière de son sphincter. Je pouvais la lui mettre profond. Elle ne faisait rien pour m'aider, même pas une seule parole pour me dire son déplaisir ou son plaisir. Ce n'est qu'au moment où j'allais jouir que je sentais les crispations de son cul : elle jouissait.
Nous nous sommes remis face à face, je la remerciais en l'embrassant, elle me remerciait de cette nouvelle forme de plaisir en me prenant la pine pour la mettre dans sa bouche. J'en étais très étonné : c'était sa première fellation. J'allais jouir encore et le lui disait : elle me gardait pour que je jouisse dans sa bouche.
Si je n'avais pas eu la moule, j'avais eu son cul et sa bouche.
Enfin le grand jour était là : nous nous marions : La fête se terminait quand nous nous sommes sauvés. Nous n'allions pas loin, simplement à 50 kilomètres ce qui suffisait pour nous mettre à l'abri dans une chambre d'hôtel ****. Il n'était que 18 heures. Nous nous sommes immédiatement déshabillés. Enfin seul nous pouvions donner libre cours à nos désirs. Le plus urgent était de la baiser naturellement. Elle savait que le grand moment d'être dépucelée était arrivé : elle en avait envie au moins autant que moi. Je la caressais à peu près partout. Je la sentais pressée d'être débarrassé de sa virginité. Elle se donnait à moi avec un entrain extraordinaire. Elle s'était couché sur le lit, jambes bien ouvertes et me dictait le programme: d'abord la branler, ensuite la sucer, ce que je n'avais jamais pu lui faire, ensuite la baiser et pour finir l'enculer. Elle jouissait à chaque fois. Enfin elle me tendait le bras pour que je vienne la dépuceler. Je craignais pas mal cet instant, non pas que je ne sache pas comment faire, je craignais simplement de lui faire mal. Je m'installais entre ses jambes, la pine bien droite. Elle me le prenait pour me diriger vers l'entrée de sa grotte secrète. J'étais juste sur cette entrée en faisant attention quand elle posait ses mains sur mes fesses en y appuyant fortement. En même temps d'un coup de rein elle se faisait mettre à fond. Je passais son hymen s'en même m'en apercevoir. J'y étais enfin; j'entamais les allers et venues quand je sentais qu'elle accompagnait tous mes mouvements. Je sentais surtout quand son vagin se crispait autour de ma bite quand elle jouissait enfin. J'étais tellement pris par cette première fois que je ne jouissais pas de suite. Ce n'est qu'après son deuxième orgasme que je pouvais lui donner mon sperme.
Nous sommes mariés depuis 10 ans. Nous baisons souvent : quand ce n'est pas moi qui la cherche, c'est elle qui me le demande. Nous aimons nous branler ensemble. Nous aimons nos 69. Bref nous baisons souvent et bien.