Passage à l'acte - histoire érotique

Ça y est, nous avons franchi le pas et réalisé notre premier trio. Avec un autre homme.

Cela faisait des années que ce fantasme pimentait nos ébats. Depuis quelques mois nous discutions entre nous de passer à l’acte ou pas. Cécile en avait très envie mais restait réticente car elle avait peur des conséquences pour notre couple et de la réaction de François pendant et après. François était partant mais sous certaines conditions : il devait contrôler complètement la situation et Cécile devait accepter son choix du partenaire et se soumettre à toutes ses directives pendant le trio. D’accord sur ces principes nous avons décidé d’organiser la séance l'été dernier à l’occasion de nos vacances en France. Nous devions passer quelques jours, rien que nous deux, dans une maison sur la côte d’azur qui appartient aux parents de François.

La suite du récit raconte cette expérience en prenant le parti de vous la faire partager en ayant en même temps la version de Monsieur et la version de Madame, en alternant les paragraphes.

François : Il m’incombait de choisir le partenaire. Cela fait maintenant 2 ans que nous sommes inscrits sur un site internet où les hommes, femmes ou couples peuvent s’exhiber en publiant des photos ou des vidéos. Les photos de Cécile et nos petits films ont beaucoup de succès. Cécile apprécie toujours autant les commentaires flatteurs et se plaît à chatter avec plusieurs de ses «amis». Nous avons toujours refusé de faire de la webcam mais par contre Cécile évoque facilement son fantasme de faire l’amour à plusieurs hommes en même temps et elle ne manque pas de volontaires pour se proposer à former notre trio. Cécile apprécie beaucoup les hommes au physique sportif mais elle attache encore plus d’importance à la personnalité. De mon côté je ne me serais pas senti à l’aise avec un homme pour lequel Cécile pourrait ressentir plus qu’une attirance physique et j’ai donc exclu de mon choix tous ses «fans» avec qui elle chatte régulièrement et qui sont devenus des amis même si uniquement virtuels.
Mon choix s’est porté sur un homme de 38 ans, que je vais surnommer «Patrick», marié mais son épouse prend du plaisir à le laisser de temps en temps faire l’amour à d’autres femmes s’il raconte ensuite ses ébats. Il a pu ainsi faire quelques trios. Il est très amoureux de sa femme et ne recherche que des aventures d’une fois. Patrick dirige un club de fitness et a un physique qui, je sais, plaît énormément à Cécile. De plus il est toujours extrêmement courtois dans ses propos. J’ai discrètement pris contact avec lui et nous nous sommes facilement mis d’accord sur le principe de notre séance à 3.
Nous avons ensuite convenu de la date et heure ainsi que du lieu. Cela ne lui posait pas de problème car il serait lui aussi en vacances sur la côte avec sa femme.

Cécile : François m'a annoncé ce matin qu'il avait invité un de mes «amis » pour une session un peu particulière demain. Depuis je n'arrête pas d'y penser avec un mélange d'inquiétude et d'excitation. François ne veut pas me dire son nom. Il y a deux hommes en particulier sur lesquels mon choix se serait porté car j'adore mes échanges virtuels avec eux, mais je n'y crois pas beaucoup. De toute façon nous faisons cela pour renforcer mon couple et il vaut mieux le faire avec une personne qui rende François à l'aise. L'idée de m'offrir complètement devant mon homme m'excite énormément. Je me suis surprise à penser "pourvu qu'il soit bien monté!". Non pas que François ne le soit pas mais quitte à franchir le pas, autant en profiter. Je n'ai connu que François comme homme dans ma vie. J'avoue que je ne m'inquiète pas trop de ma réaction mais j'espère surtout que cela ne va pas déstabiliser François.

François : Ca y est, Patrick va arriver d'une minute à l'autre.
Cécile est prête. Elle attend dans le salon dans la tenue que je lui ai demandé de porter : escarpins rouges, jupe courte noire, chemisier blanc et rouge, et bas résille noirs. Pas de culotte ni soutien-gorge.
La sonnette retentit.

Cécile : Lorsque j'entends sonner à la porte, cela faisait plusieurs minutes que j'attendais sagement sur le sofa, habillée par François de manière assez provocante. J'étais à la fois troublée et excitée n'ayant jamais reçu à la maison un autre homme (ni d'ailleurs une autre femme!) dans une tenue aussi sexy. Mes tétons sont déjà tout durcis et pointent à travers le chemisier dont j'ai dû laisser ouverts les boutons jusqu'à montrer un décolleté vertigineux. Je n'arrive pas à croire que dans quelques minutes je vais laisser un total inconnu me toucher et me prendre. J'essaie de ne pas y penser car je sens que je commence à mouiller mais c'est plus fort que moi. L'excitation prend le dessus sur l'appréhension. J'ai trop hâte de sentir deux queues en moi !

François se lève et se dirige vers la porte du vestibule. J'entends la porte s'ouvrir, quelques échanges indistincts puis le bruit des pas qui se dirigent vers le salon. Je me lève, réajuste ma jupe, et je vais à leur rencontre. L'inconnu est légèrement plus grand que mon mari, les épaules larges et une allure sportive, proche de 40 ans je pense. Il a un visage agréable, la mâchoire carrée, cheveux châtain coupés très courts, les yeux marron clair. Il s'avance vers moi, arborant un large sourire, et a l'air très à l'aise, bien plus que moi qui n'arrive pas à soutenir son regard et je baisse les yeux, troublée.
Il m'embrasse sur les joues et se présente: "Patrick".
Je n'ai aucune idée de qui il s'agit et il doit se rendre compte de ma gêne car il part d'un éclat de rire et me donne alors son pseudo du site internet.
Je me souviens bien de lui : patron d'une salle de sport ; sur ses photos il cache son visage et son sexe mais montre ses pectoraux et ses plaquettes de chocolat. Nous avions chatté quelques fois mais pas souvent et je me rappelle que c'est sa femme qui l'encourage à avoir des relations avec d'autres femmes ou couples.

François : Patrick est très décontracté mais Cécile semble tendue et un peu désemparée. Lorsque Patrick lui a dit son pseudo cela a détendu l'atmosphère car Cécile parait maintenant rassurée par mon choix. Je les invite à s'asseoir, Cécile sur le canapé et Patrick sur le fauteuil juste en face. Je m'éclipse vers la cuisine pour leur laisser faire plus ample connaissance. J'ouvre la bouteille de Champagne et verse 3 flûtes. Dans le verre de Cécile je rajoute un fond de vodka ce qui d'habitude a un effet aphrodisiaque chez elle.

Cécile : C'est surtout Patrick qui fait la conversation. Il me raconte ses vacances, me pose des questions sur notre vie en Asie, sur les enfants. Il reste extrêmement courtois et plaisante facilement mais ne fait aucune allusion à la suite des événements. Entre temps François nous a rejoints et s’est assis à côté de moi. Avec l'alcool aidant je commence à me sentir de plus en plus détendue. Je me surprends à regarder son corps, ses muscles qui sculptent sa chemise, ses biceps, son jean moulant.

François : Nous continuons à faire connaissance avec Patrick, tranquillement, sans précipiter les choses. Patrick, comme convenu ensemble, n’aborde aucun sujet intime. Il attend que je démarre les choses. J’observe Cécile et je me rends compte que la vodka fait son effet. Ses jambes commencent à se desserrer, ses yeux pétillent et de plus en plus souvent elle lance des regards au début furtifs et maintenant de plus en plus appuyés sur la braguette de notre invité. Elle a les pointes de ses seins dressées, parfaitement visibles au travers de son chemisier.
Je sens qu’elle est prête, voire un peu impatiente. Je pose alors mon verre sur la table basse du salon. Je m’approche de Cécile et commence à lui déboutonner le chemisier jusqu’au nombril en lui faisant remarquer qu’il commence à faire chaud et qu’elle sera plus à l’aise ainsi. Elle est comme pétrifiée, son verre à la main, et se laisse faire sans bouger, sans dire un mot. Sa poitrine est superbe, ses seins hauts et fiers, la pointe durcie. Je la débarrasse de son verre et je me penche sur elle pour prendre son sein droit dans ma bouche et dans le même temps je caresse son sein gauche.

Cécile : Brusquement François interrompt la conversation pour commencer à déboutonner mon chemisier. Je n’ai déjà plus aucun souvenir du sujet de notre discussion et je le regarde m’exhibant ainsi à la vue de cet homme que je ne connaissais pas il y a encore une heure. Cela m’excite énormément mais je me sens comme paralysée. François me prends mon verre et se penche sur moi. Il commence à me sucer un sein et à pétrir l’autre. J’aperçois Patrick qui nous regarde en buvant son Champagne et cela m’excite encore plus. Je rejette mes bras en arrière et m’abandonne aux caresses de mon homme. Je ressens une chaleur de plus en plus intense entre les cuisses et j’écarte les jambes. Je sais que Patrick peut entrevoir ma chatte car je n’ai pas de culotte.
Je commence à gémir faiblement et François en profite pour poser une main sur ma cuisse gauche, juste au-dessus du bas, à l’orée de mon jardin secret qui maintenant n’a plus grand-chose de secret pour Patrick. Cela déclenche en moi comme une décharge électrique et je pousse un petit cri. Il avance sa main vers ma fente et y introduit un doigt. J’écarte totalement les cuisses, j’ai la jupe complètement relevée et François se retourne alors vers Patrick pour lui dire «Elle est déjà bien trempée et je vois que tu ne restes pas insensible !!! Viens, approches, Cécile va te soulager».
Je regarde Patrick se lever et venir vers nous, lentement. Je vois la bosse qui commence à se former dans son pantalon et à ce moment je n’ai qu’une envie c’est de le prendre dans ma bouche. Lorsque Patrick arrive devant moi, François retire ses mains et me positionne bien assise devant lui. J’ai la figure à hauteur de son bas-ventre. «Vas-y tu peux lui enlever la chemise».

François : Cécile est là, à moitié nue, les cuisses écartées, trempée d’excitation, devant cet inconnu et elle commence à lui déboutonner la chemise. Arrivée à la ceinture elle écarte la chemise sur les bras pour exposer son torse légèrement poilu et elle commence à caresser ses pectoraux, lentement. Je vois sur son visage qu’elle prend plaisir à sentir ses muscles. Elle descend vers ses abdos et continue à le caresser comme si elle voulait les compter. Patrick est très athlétique. Elle passe alors une main sous la ceinture et je pense qu’elle parvient à effleurer le bout de la queue de Patrick, maintenant bien dressée sous son jean.

Cécile : C’était trop bon de passer mes mains sur ses muscles, de les sentir se tendre sous mon toucher. Ses abdos sont si fermes, on pourrait les compter. Mais maintenant j’ai vraiment envie de voir et toucher son membre que je vois bien dur sous son jean.
Pendant un moment j’ai presque oublié que François était là à me regarder. Je jette un regard vers lui et je vois qu’il m’observe intensément et que lui aussi est très excité sous son pantalon ! De le voir excité ainsi me rassure et me libère complètement et je me rends compte que son excitation ne fait qu’augmenter la mienne. Je passe alors une main dans le pantalon de Patrick sous son slip et je sens au bout de mes doigts la pointe de sa verge. Je retire ma main et lui défais sa ceinture puis, lentement, je défais les boutons de sa braguette. Pourquoi lentement je ne sais pas car je suis vraiment excitée et impatiente mais peut-être inconsciemment je repousse ce moment de non-retour où je vais découvrir pour la première fois le sexe d’un autre homme.
Le dernier bouton ôté, je baisse son jean jusqu'à ses chevilles et Patrick s’en débarrasse rapidement le poussant derrière lui. Il est maintenant face à moi, avec juste devant mon visage son slip rouge tendu par une superbe érection. Je reste ainsi un moment, indécise, et je me tourne vers François pour voir sa réaction.

François: «Vas-y ma chérie, tu peux lui baisser son slip!». Cécile pose ses mains sur les hanches de Patrick et commence à lui baisser le slip. Au bout de quelques centimètres, le sexe en pleine érection de Patrick jaillit et se dresse, le gland tout proche de la bouche de Cécile. Très vite elle lui baisse complètement le slip. Elle s’apprête à empoigner cette queue lorsque je l’interromps : «Pas encore, je veux que tu te déshabilles, tu gardes tes bas et tes chaussures uniquement, et tu te mets à genoux sur la banquette face à nous. Après tu pourras nous sucer les deux en même temps». Cécile a l’air un peu dépitée de ne pouvoir toucher immédiatement cette queue dressée pour elle mais elle s’empresse de s’exécuter et vite elle se retrouve à genoux sur la banquette, nue. Entre temps je me suis aussi déshabillé complètement et nous sommes nus tous les deux face à Cécile.
Je suis étrangement excité par cette situation mais cela me fait bizarre de me retrouver nu à côté d’un inconnu devant ma femme, mais je ne ressens pas de jalousie, uniquement une excitation montante car j’anticipe dans ma tête tout ce que nous allons faire subir à ma chérie. Patrick a légèrement débandé. J’avais bien sûr pu observer que sa queue était quelques centimètres plus longue que la mienne mais surtout plus épaisse.
Pour l’instant je n’ai qu’un début d’érection et j’ai hâte que Cécile s’occupe de ma queue. J’ai hâte de la voir à l’œuvre avec 2 queues. Dans nos jeux érotiques, nous introduisons souvent des toys et Cécile aime particulièrement sentir ma queue et son toy préféré (un gros gode black très réaliste) en même temps dans sa bouche, sa chatte, et récemment dans son petit trou.
Nous commençons à nous branler et en une ou deux minutes nous bandons tous les deux. Cécile s’est délectée du spectacle (elle adore voir un homme se branler), et en a profité pour se caresser. Je vois qu’elle n’en peut plus d’attendre. «Vas-y Chérie !» lui dis-je, «montres nous ce que tu sais faire».

Cécile : Lorsque François m’a interrompue alors que je m’apprêtais à mettre la queue de Patrick dans ma bouche je me suis sentie frustrée. Je trouvais la queue de Patrick superbe, longue mais pas excessivement, et surtout bien épaisse et bien droite avec un gland turgescent qui ne demandait qu’à être englouti. J’avais la chatte en feu et j’avais trop envie d’avoir cette queue en moi, dans tous mes trous. Néanmoins je savais que je devais jouer le jeu de la soumission et obéir à François. C’était la condition impérative pour que cela se passe bien. Je ne voulais surtout pas que François ait l’impression de perdre le contrôle de la situation et décide de mettre court à cette expérience. Je voulais aussi que François prenne du plaisir, beaucoup de plaisir.
Je me suis vite exécutée et maintenant je me retrouve à genoux face à ces 2 queues devant moi. Patrick a un peu perdu de son érection et François commence à peine à bander. François se met à se branler et Patrick à son tour lui aussi. Je les regarde faire et je commence à me toucher mon petit bouton. J’adore voir les hommes se branler. Certains de mes «amis» sur internet m’envoient des vidéos d’eux en train de se branler en regardant une photo ou une vidéo de moi et cela m’excite énormément. J’en ai la chatte trempée et j’ai rapidement un mini orgasme.
Patrick bande à nouveau et François lui aussi est déjà en pleine érection. Il me dit «Je vais arrêter de te faire languir ! Et si tu t’occupais de nous maintenant?». J’arrête immédiatement de me toucher et sans hésiter j’empoigne les deux verges en même temps, celle de Patrick dans la main gauche et celle de mon homme dans la main droite. Je ressens comme une vague de frissons au moment où je touche la queue de Patrick. C’est la première fois que je caresse une autre bite que celle de mon chéri. J’aime cette sensation. Ma main ne parvient pas à en faire le tour.
Je me mets à les branler furieusement tout en regardant François. Il a la tête en arrière et fait des efforts pour se retenir. Il est hors de question de le faire jouir si vite. J’arrête mon mouvement et le prends dans ma bouche. Je le garde ainsi assez profond dans ma gorge, sans bouger. Je continue de branler Patrick et je profite de ma main droite libre pour lui malaxer les couilles. Je retire ensuite la bite de François de ma bouche et je la lui tiens fermement, sans mouvement, pour lui maintenir son érection.
Mon regard se dirige alors vers la bite à Patrick et j’approche mes lèvres de son gland. Je tiens sa verge bien serrée dans ma main gauche pendant que je lui lèche tout le gland. Avec le bout de la langue je lui titille le prépuce. Puis, je prends tout le gland entre mes lèvres et je continue à le lécher en faisant tourner ma langue autour de son gland. Je le mordille légèrement et alors, ouvrant grande ma bouche, je le prends en entier et l’enfonce dans ma gorge, doucement, jusque sentir ses poils sur mes lèvres. Je le maintiens ainsi, bien profond, et c’est trop bon de se sentir remplie comme cela. Je lâche sans m’en rendre compte la queue de François et mets mes doigts dans ma fente. Je suis tellement mouillée et je suis sur le point de jouir. François me reprend la main et la repose sur son sexe toujours droit. Il ne faut pas que j’oublie de m’occuper de François ! Je me rends compte déjà qu’un trio c’est satisfaire deux hommes en même temps et non pas l’un après l’autre.

François : Cécile a la bite d’un autre homme enfoncée au fond de sa gorge. Elle ne cache pas son plaisir et étrangement de la voir autant excitée ne fait que renforcer mon désir. J’ai failli éjaculer et heureusement qu’elle a arrêté ses mouvements. A un moment elle me lâche la verge pour se caresser. Je lui reprends la main et la repose sur ma queue. Elle se met alors à faire des mouvements de va-et-vient avec la bite de Patrick dans la bouche, la ressortant presque complètement pour l’enfoncer à nouveau brutalement dans sa gorge. Patrick, les mains dans le dos se laisse faire et serre les dents.
Cécile retire sa bouche, nous jette un petit regard et approche nos deux queues qu’elle se met à lécher à tour de rôle en donnant des petits coups de langues furtifs. Puis elle ouvre grand la bouche et fait pénétrer nos deux glands et avec la langue nous lèche le bout.
Cela me fait bizarre de sentir une autre queue collée à la mienne mais cela ne me gêne pas plus que cela. Cécile continue de jouer avec nos deux engins et sentant que je ne pourrai pas me retenir bien longtemps, je me retire de sa bouche et je viens me placer à genoux derrière elle et lui recule le bassin pour qu’elle soit à quatre pattes.
Ainsi positionnée elle se remet à pomper la queue de Patrick toujours aussi goulûment. De mon côté j’admire son cul bien cambré et je lui caresse la fente et le petit bouton jusqu'à la faire gémir. De temps en temps je mets un doigt à l’intérieur et je constate qu’elle est vraiment trempée. J’enfonce alors plusieurs doigts que je remue dans sa chatte pour les imprégner de sa mouille. Puis, je passe mes doigts autour et à l’entrée de son petit trou pour bien lui préparer. J’enfonce doucement un doigt puis deux dans son trou du cul qui n’offre quasiment aucune résistance. Il s’ouvre facilement. Je mets un peu de salive sur le bout de ma queue que je la place sur son petit œillet.
Cécile se cabre encore plus pour mieux écarter ses fesses et faciliter la pénétration. Je rentre le gland tout entier, marque une pause, et m’enfonce d’un coup sec jusqu'à la garde.

Cécile : Quelle sensation étrange et enivrante d’avoir deux queues en même temps dans la bouche. J’avais l’impression d’avoir le pouvoir sur eux. J’aurais aimé les faire éjaculer en même temps pour sentir les jets de foutre envahir ma gorge mais François s’est retiré et s’est positionné derrière moi. Il me fait mettre à quatre pattes et j’obéis.
Je suis maintenant en levrette les 2 mains sur la banquette et je reprends dans ma bouche la bite dure et luisante de Patrick. Je la prends toute entière, l’avale, la ressort, la lèche, la suce. Je veux recevoir son jus.
François s’occupe de ma chatte et de mon petit bouton et rapidement j’ai un petit orgasme que je tente de maîtriser. Je suis trempée et je sens mon homme fourrer ses doigts dans mon intimité pour enduire ensuite mon petit trou. Je le sens me pénétrer et je ne résiste pas, au contraire, je m’écarte au maximum pour bien ouvrir mon anus. Il me pénètre doucement, s’arrête, puis il s’enfonce d’un seul coup.
Je ressens une intense douleur mais au lieu de pousser un cri de souffrance, je lâche un râle de plaisir, étouffé par la bite de Patrick dans ma gorge. Malgré la douleur je jouis et suis prise de soubresauts. François en profite pour me pilonner sans ménagement. Je suis trop bien comme cela, mon chéri en train de m’enculer profond, et la belle bite d’un étalon dans la bouche.
François prend un rythme régulier et se penche sur moi en me pétrissant les seins. C’est maintenant Patrick qui donne des coups de bassin pour me prendre la bouche. Je me laisse malmener ainsi et je sens le souffle court de François sur mon cou. Je tourne légèrement la tête vers lui et le cherche du regard. Il penche son visage vers moi. Il m’embrasse sur le coin des lèvres. Je sors la queue de Patrick de ma bouche et la tiens de la main droite, me soutenant le corps sur le sofa avec ma seule main gauche. Un de mes fantasmes est de partager avec mon chéri la bite d’un autre homme et je suis en train de le réaliser. Je pose le gland sur les lèvres de François et j’embrasse cette verge et mon homme en même temps. Mon homme joue le jeu et m’embrasse et lèche le bout du gland en même temps. J’aime trop voir François sucer une bite. François se recule un peu et me dit à l’oreille «Fais le jouir, il m’a prévenu qu’il récupérait rapidement».

François : Je vois dans ses yeux ce qu’elle aimerait me voir faire. Souvent lorsqu’elle me chevauche elle suce en même temps Black, son toy préféré, et me le met dans la bouche pour que je le suce à mon tour. Cela l’excite terriblement. Je ne suis pas du tout attiré par les hommes et je le fais uniquement pour augmenter son plaisir. Là, maintenant, c’est différent. Il s’agit du sexe d’un homme, pas d’un jouet en silicone. Mais je suis tellement excité par la situation que je commence à l’embrasser pendant qu’elle suce Patrick. Vite elle approche le sexe de Patrick de ma bouche, le lèche et pose le gland sur mes lèvres. Je lèche et suce le gland sans y prendre plaisir mais sans dégoût non plus. Cécile par contre est toute excitée et me donne des coups de bassin pendant que je continue de la sodomiser. Je lui susurre à l’oreille d’aller jusqu’au bout avec Patrick.

Cécile : A chaque coup de rein de François je viens à sa rencontre pour bien recevoir sa queue au fond de mon cul et sentir ses couilles battre contre ma peau. Patrick a repris ses va-et-vient dans ma bouche et je sens les palpitations de sa verge. Il a le visage crispé et je sais qu’il ne va plus pouvoir se retenir. Silencieux jusque-là, il lâche un râle et libère un jet puissant de foutre dans ma gorge. J’agrippe sa bite avec une main et la maintiens dans ma bouche jusqu'à ce qu’il finisse d’éjaculer. J’avale tout le sperme que je peux et je le suce jusqu'à la dernière goutte. Le foutre de François n’a pas toujours le même goût et là je ne vois pas vraiment de différence avec celui de Patrick sauf peut-être un peu plus acre. De toute façon j’adore boire mon homme et j’ai adoré prendre tout le sperme de Patrick dans ma gorge.
Je garde encore un moment la queue de Patrick en train de ramollir dans ma bouche et François a profité du moment de jouissance de Patrick pour me caresser mon clito. Bientôt je jouis à mon tour. Jouir du cul c’est trop bon, et jouir du cul quand tu as une bite et le goût du foutre dans la bouche décuple le plaisir. François s’est retiré ainsi que Patrick et tous les deux me regardent finir de jouir. Je crois que j’ai crié fort mais je ne me souviens déjà plus.

François : Lorsque Patrick a joui dans sa bouche je me suis mis à caresser le clito de Cécile. Elle est goulue et comme toujours elle a avalé tout le sperme de Patrick et ensuite a continué à lui nettoyer la bite pour ne laisser aucune trace de foutre. Soudainement elle est prise d’un violent orgasme et pousse un grand cri aigu. Je me retire et vient me placer devant elle, à la place de Patrick qui s’est reculé. Alors qu’elle finit de jouir je lui prends le menton et lui présente ma queue encore bien dure qui vient juste de sortir de son cul. Elle ouvre la bouche et enfourne ma bite avidement. Je la laisse me sucer quelques secondes puis je me retire et propose alors de faire une pause et de reprendre une coupe de champagne en attendant que Patrick récupère. Moi je n’ai pas joui mais je ne voulais pas prendre le risque de ne pas pouvoir rebander. La soirée n’est pas finie.
Je repars en cuisine servir le champagne et je ne lésine pas sur la dose de vodka pour Cécile.
Lorsque je reviens Cécile et Patrick discutent côte à côte. Cécile le branle doucement d’une main pour l’aider à retrouver la forme. Nous finissons notre verre tranquillement, l’ambiance est décontractée. Nous sommes tous les trois nus sur la banquette, Cécile au milieu, et nous nous sentons à l’aise. Cécile nous raconte ses sensations. Elle a pris énormément de plaisir mais avoue qu’elle est impatiente de vivre la suite. Nous reposons nos verres et je demande à Cécile de s’allonger sur le dos sur le sofa et de garder les bras derrière sa tête. Je me positionne alors à genoux derrière elle, lui coinçant les bras et avec ma queue qui lui pend au-dessus du visage.
Patrick s’est positionné derrière les cuisses de Cécile et il lui écarte les jambes en les relevant. Ainsi placé je peux voir tout ce que Patrick lui fait et Cécile est totalement immobilisée. Lorsque je baisse mon bassin elle prend ma verge dans sa bouche et commence à la sucer. Patrick aussi commence à lui caresser la vulve et à jouer avec son petit bouton.

Cécile : Je ne peux plus bouger comme si j’étais attachée. Mon homme me coince les bras et cet inconnu (qui ne l’est déjà plus vraiment) me tient fermement les cuisses. Je suis totalement soumise à leurs désirs et ça me plaît. J’ai les couilles et la verge de mon homme qui pendent juste au-dessus de ma bouche et qui effleurent mes lèvres. Je relève un peu la tête et prend sa verge toute entière dans ma bouche. Je sens ses boules qui appuient sur mon visage.
François ne bande pas encore et je n’ai pas trop de mal à respirer même si j’ai la bouche remplie et peu de liberté de mouvement.
Par contre je ne vois pas ce que fait Patrick mais je le sens. Oh Oui je le sens. Il a commencé à passer ses doigts lentement sur ma fente puis il a titillé un moment mon clito qui doit être tout gonflé et qui est toujours extrêmement sensible. Bientôt je sens sa langue ferme et humide remplacer ses doigts. Il prend mon petit bouton tout entier dans sa bouche. Je gémis et ma respiration devient haletante. François ne me laisse pas de répit et maintient sa bite qui commence à durcir au fond de ma bouche. C’est alors que Patrick introduit sa langue d’un coup dans ma chatte. Ce n’est pas très profond mais la sensation est exquise. Il me lèche l’intérieur de la chatte et je me cambre. Je suis comme prise de spasmes. Je suis en train d’avoir un nouvel orgasme.
François s’est retiré mais s’est avancé et a posé ses fesses en les écartant sur ma bouche. Je suis en train de jouir et je sors ma langue pour lui fourrer le plus profond que je peux dans son petit trou. Il adore quand je lui fais ça. Je m’agite et je continue à jouir en pensant que je suis en train d’avoir ma langue dans le cul de mon homme pendant qu’un autre a la sienne dans ma chatte.
J’entends vaguement François dire à Patrick quelque chose du genre «Elle est prête!». Patrick arrête alors son cuni et sans que je puisse le voir, je sais qu’il est en train de se placer devant moi. Je le sens qui se branle un petit peu car il a lâché une de mes cuisses puis il me reprend, me soulève le bassin et je sens le bout de sa queue contre les lèvres de ma chatte. J’ai toujours ma bouche contre le cul de François mais je ne bouge plus et François non plus, en anticipation. Ma première pénétration par un autre homme, avec mon chéri qui bande et me domine en profitant du spectacle.
Patrick s’enfonce en moi d’un seul coup de bassin puissant. Je pousse un cri. C’est si bon, elle est bien grosse et me remplit si bien. Patrick commence son va-et-vient régulier. François s’est retourné et est maintenant à califourchon sur ma poitrine. J’ai à nouveau les bras libérés et j’en profite pour le branler d’une main et lui caresser le torse de l’autre. Nos regards se croisent. Il voit dans mes yeux mon plaisir grandissant. Je vois dans les siens son excitation intense.

François : Lorsque Patrick l’a pénétrée puissamment j’ai ressenti un instant de jalousie. Je n’étais plus l’unique à avoir profité de son intimité. Mais ce sentiment a vite été remplacé par l’euphorie de savoir que je possédais Cécile totalement, que je pouvais faire de son corps ce que bon me semble, que je pouvais offrir ses orifices à des inconnus et qu’elle accepterait car elle m’était complètement soumise. Amoureuse et soumise au point d’accepter de devenir mon objet sexuel, pour assouvir mon plaisir. Et mon plaisir c’était justement de la voir jouir, de savoir que sa jouissance était sous mon contrôle.
Je me retourne et me place sur sa poitrine. Elle me prend la queue et me branle doucement en me caressant le torse. Elle me regarde et je vois son plaisir dans ses yeux, je vois les veines de son cou saillir, la couleur de sa peau rougir. Je la laisse ainsi profiter des assauts de Patrick.
Cécile ne cesse de gémir. Elle ferme les yeux et pousse des râles de plaisir.
Elle a eu un nouvel orgasme. Comme je suis sur elle, elle ne peut pas bouger comme elle veut mais je ressens tous les tressaillements de son corps. Je bande à nouveau, je me lève et demande à Patrick et à Cécile d’inverser les positions, lui couché sur le dos et Cécile qui le chevauche.
Patrick s’allonge sur le sofa et Cécile se met à genoux au-dessus de son bassin et lui prend fermement la queue en main. Je vois ma femme positionner la grosse bite de Patrick juste à l’entrée de sa chatte et elle se laisse tomber d’un seul coup en poussant un petit cri de satisfaction.

Cécile : « Ouhaou » c’est tellement bon de venir s’empaler sur cette magnifique queue. Je pose mes mains sur sa poitrine musclée et je bouge mon bassin de haut en bas, de bas en haut, et aussi en tournant un peu pour bien sentir cette queue partout à l’intérieur de ma chatte. Je ferme les yeux et sens mon plaisir grandir. J’en avais presque oublié François lorsque je le sens se placer derrière moi. Il me force à baisser mes épaules pour que je sois mieux cambrée et il entreprend de mouiller mon petit trou. J’arrête mes mouvements, gardant le sexe bien raide de Patrick profond en moi. Je suis très détendue après l’alcool et surtout les orgasmes à répétition. Je sais que mon petit trou est déjà bien dilaté.
Cela fait des années que je fantasme la dessus et le moment de ma première double pénétration est enfin arrivé. François enfonce doucement son sexe dans un mouvement lent et continu. Je ressens une sensation nouvelle au niveau de la paroi de ma chatte, une pression subie par ces deux verges comprimées. Je me sens si bien, totalement remplie. François commence à me pilonner. Immédiatement un plaisir intense s’empare de moi. Je remue du cul pour aller à sa rencontre mais c’est une expérience nouvelle et par deux fois mes mouvements font sortir la bite de Patrick. Je me force à rester bien plantée sur Patrick, sans trop bouger.
Patrick lui a de l’expérience et parvient à maintenir sa position à nouveau bien enfoncé dans ma chatte pendant que François se déchaîne dans mon cul. Je me tourne légèrement et je vois François les yeux fermés, la tête en arrière. Il me tient par mes poignées d’amour et les serre de toutes ses forces. Il va bientôt jouir car il accélère le rythme. Je me concentre sur mon plaisir car je veux jouir avec lui. Avoir la chatte remplie par une belle queue et se faire enculer en même temps c’est tellement bon. Double plaisir ! Je gémis et je lance des «Ohh ouiii, encules-moi à fond !!!».
François se penche vers moi et me saisit les deux tétons en les pinçant au maximum. La douleur intense se transforme en chaleur et je suis en feu, dans ma chatte, mes seins, mon cul, et je jouis comme une folle, pendant que je sens François se répandre au fond de mon cul. Mon orgasme dure longtemps.
Je suis allongée sur le corps de Patrick, toujours en moi, et François s’est retiré. Il se lève et vient se placer devant nous. Il me demande de me lever de suite et de me mettre en levrette et lance à Patrick «Tu peux finir dans son cul». Je suis encore en état d’extase et je m’exécute avec envie. J’écarte mes fesses pour que Patrick profite bien de la vue. Il me pénètre très vite et facilement, mon cul dégoulinant encore du foutre de mon homme. Sa bite est plus grosse et plus longue que celle de François et je sens mon cul bien rempli et encore plus profondément.
François s’est mis debout devant moi et me présente sa queue dégoulinante de son foutre. Je la prends dans ma bouche et je la suce avec avidité. J’aime le goût de la bite de mon homme quand il vient juste d’éjaculer dans mon cul. J’aime aussi me faire sodomiser alors là, les deux en même temps c’est vraiment trop bien.
Patrick accélère. Je me sens vraiment bien. La sensation est très agréable même si je sens que je n’aurai pas de nouvel orgasme. Je suis tellement heureuse que cela se passe aussi bien, que François ait éprouvé autant de plaisir. Cette sensation d’être tellement désirée par 2 hommes en même temps est enivrante. Le plaisir de les satisfaire est immense. La jouissance qu’ils m’ont procurée a été énorme. Toute femme devrait connaître ce plaisir une fois dans sa vie.
Patrick se répand dans mon cul avec ses derniers coups de boutoir. A son tour il vient me présenter sa queue pour que je la lui nettoie, ce que je fais avec plaisir puis je regarde mes deux étalons et leur dit avec un sourire coquin «Envie de continuer ?».

François : «Je pense que pas tout de suite ! Tu as été top ma chérie». Patrick en convient aussi, un large sourire de satisfaction éclairant son visage. Cécile en profite alors pour s’éclipser et retourner se changer dans notre chambre.
Je n’avais jamais vu Cécile prendre autant de plaisir et de jouissance. Cette expérience va alimenter nos futurs ébats. J’ai hâte que Cécile me décrive ses sensations.
Je discute un peu avec Patrick qui s’est rhabillé. Il est très content de cette séance, et me confirme que lui ne refait jamais de trio deux fois avec le même couple, à la demande de sa femme. Je respecte totalement son choix car ce genre d’expérience ne peut marcher que si dans le couple les deux respectent leur engagement et les limites imposées par l’autre. J’avoue qu’à ce moment-là, je ne pense pas à la suite et je ne sais pas si c’est une expérience que nous allons renouveler.

Cécile : Lorsque je reviens de la chambre, après une douche et m’être rhabillée, je vois que Patrick n’est plus là. François me dit qu’il a préféré partir.
Je suis un peu déçue car je me serais bien laissée faire s’ils avaient souhaité recommencer. C’était trop bon ! Mais c’est probablement mieux ainsi. Il faut maintenant digérer cette expérience et faire en sorte que cela renforce notre couple. Je ne suis pas inquiète car cela s’est vraiment bien passé aujourd’hui et François a l’air particulièrement décontracté et serein. J’avoue pourtant que je pense déjà à une prochaine fois, mais cette fois-ci je voudrais vraiment essayer avec trois hommes, pour connaître la sensation d’avoir tous mes orifices pris en même temps. Il va falloir que François trouve des volontaires!!!