Passation - histoire érotique

Après une pause, je suis de retour pour vous raconter une passation de flambeau peu orthodoxe. Mon mari, dit le Doudou, petit nom intime que je lui donne, était consultant pour les entreprises. Il formait les managers aux risques liés aux managements ainsi que les élus. L'innovation de cette formation consistait à rassembler tous les acteurs, y compris les représentants du personnel et les managers, autour de la table. 
Sur une journée, il était accompagné d'un avocat spécialisé en droit du travail, souvent un jeune fraichement diplômé détaché par le cabinet avec qui il avait conclu un partenariat.
Mon homme n'ayant plus l'envie de faire des déplacements, de préparer ces modules de formation qu'il faut remettre à jour, la France étant la championne des changements et du blabla. Il a décidé de vendre son concept et son carnet d'adresse à une structure de consulting et de formation. Après de longues négociations, nous allons sceller cette vente par une signature. 
Nous aurons un programme chargé sur deux jours, mardi midi, accueille de la société qui effectue le rachat. L'après-midi, ils nous présenteront le nouveau concept revu par leurs équipes et signature, ce qui sera très importante financièrement pour nous. Mardi soir, accueil de la plupart des clients de mon mari qui ont répondu présent, ainsi que des clients de la société qui rachète. Le but étant de faire découvrir ce produit et de partager l'expérience des personnes qui en ont bénéficié.
Un diner de bienvenue sera servi, avec beaucoup de relationnel, même si nous aurons beaucoup de dirigeants ou de DRH, ils savent s'amuser. Mon homme m'a prévenu, aucune partie de jambes en l'air, bien entendu, je sais me tenir. 
Le mercredi matin, mon mari prendra la parole pour remercier ses clients pour leur confiance et présenter la nouvelle société. Ensuite, celle-ci se présentera, ainsi que ses services, et l'évolution qu'elle compte apporter au concept. Il y aura un buffet pour clôturer la matinée de travail et nous quitterons les lieux à la suite de celui-ci, la page sera tournée. Voici le programme de ces deux journées.
Revenons, si vous le voulez, à l'accueil de l'acheteur. Ils sont quatre, Eric le directeur, Antoine DRH, Vincent commercial et Bruno formateurs et responsable de ceux--ci.
Vincent attire immédiatement mon attention, un grand black d'un mètre quatre-vingts, avec un beau petit cul. Bruno est attirant, moins grand que son collègue, mais un beau sourire et des yeux vicieux qui ont tendance à s'accrocher à mon décolleté pourtant assez sage. Doudou a remarqué mon regard, ce qu'il me vaut un coup de pied et un regard noir, respire ma fille.
Nous passons à table, celle-ci est ronde, je me retrouve, entre Vincent et Bruno, promis je n'ai pas fait exprès.
Les discussions prennent vite la direction professionnelle, je demande à mon homme poliment de laisser profiter ces messieurs de leurs repas, vous aurez l'après-midi pour évoquer ce volet. Les discussions sont variées, évoquant un long moment les loisirs de chacun. Tout le monde se tutoie, je passe un très bon moment, Vincent n'est pas insensible à mes charmes, j'en rajoute un peu.
Eric siffle la fin de la récréation, demande s'il est possible de passer en salle pour ne pas prendre du retard. 
Doudou me demande de les accompagner, je ne resterai pas toute la réunion, mais je reviendrai à la fin pour immortaliser le moment de la signature en photo. Vincent prend la parole en premier, pour présenter l'évolution du concept et l'approche commercial. Mon homme souhaite connaître l'ensemble des sujets, même si cela ne va plus être son problème. Pour ma part, j'ai les yeux rivés sur le cul de Vincent qui fait sa présentation, j'ai mon bas ventre qui commence à s'agiter, j'imagine sa queue qui doit de belles dimensions. 
Je décide de quitter la salle après une demi-heure de présentation pour rejoindre le petit salon de l'hôtel. Ma démarche n'est pas innocente, j'ai entendu Vincent dire à Eric, qu'il ferait sa présentation en premier, car il avait des coups de fil à donner ensuite à des clients.
Je demandais un Perrier citron avant de m'installer dans un fauteuil très confortable. Ce midi, j'ai abusé du petit vin blanc, comme les hommes voulaient garder la tête froide pour leur réunion. J'ai bu la moitié de la bouteille et il était très bon.
Je suis bien installée en sirotant tranquillement mon verre et plongée dans une histoire érotique sur un de mes sites préférés. Une femme se fait démonter par un black surpuissant dans un ascenseur. Cette histoire n'arrange pas, ma chatte est déjà dans un état d'excitation intense. Je pense être à la place de cette femme, je sens une présence devant moi, je vois Vincent qui me fixe.
– Ma présentation devait être ennuyeuse, car tu as quitté rapidement la salle.
– Non, absolument pas. Je connais le concept et le page est tournée pour moi.
– J'ai apporté des modifications.
– En toute honnêteté, je n'ai pas suivi ce que tu présentais, j'avais les yeux rivés sur ton beau petit cul.
Oups, ça ne va pas ma fille. J'ai parlé trop vite et sans réfléchir, je dois arrêter de boire du vin blanc. Vincent a un large sourire qui éclaire son visage.
– Tu n'as pas froid aux yeux ma belle.
– Ailleurs non plus.
– Nous pourrions monter dans ma chambre.
– J'ai cru un instant que tu n'allais pas me le proposer. Nous n'avons pas toute l'après-midi, faisons vite.
Cette folle envie de sexe et mon corps sont plus forts que mon cerveau qui me dit d'arrêter les bêtises. À peine les portes de l'ascenseur fermées, il se jette sur moi, il me force mes lèvres avec sa langue que j'accueille rapidement. Nos langues s'enroulent, je descends la main vers son entrejambe. Je palpe donc le paquet, je ne me suis pas trompée, il y a tout ce qu'il faut à ce niveau. 
L'ascenseur s'arrête, nous sortons et courons jusqu'à la porte de sa chambre, nous ne voulons pas tomber nez à nez avec qui que ce soit.
À peine rentré dans la chambre, je m'agenouille devant lui, déboucle la ceinture de son pantalon, déboutonne et laisse tomber celui-ci à ses chevilles. Je fixe Vincent dans les yeux tout en descendant son boxer déformé par sa queue que je découvrirai bientôt. J'approche mon visage, une fois la bête délivrée de son tissu, elle vient me gifler la joue. Je le savais que c'était un beau morceau, vingt centimètres minimum et un diamètre à frémir toutes les pucelles. Un gland magnifique comme je les aime, que je m'empresse à prendre en bouche, je titille celui-ci avec ma langue. Vincent retire sa chemise et je découvre un torse magnifique. Je le pousse sur le lit pour venir m'installer sur ses jambes après avoir ôté ma robe et mon soutien-gorge, jetés au sol.
Je m'amuse à caresser, avec mes tétons, ses couilles, tout en lui pinçant les siens, les blacks adorent cela, croyez en mon expérience. Alors, je reprends en bouche sa bite, en gorge profonde, puis je viens m'amuser avec le frein. Vincent se tortille sous mes assauts, il ne va pas tenir longtemps. J'hésite à m'arrêter de le sucer et de me la mettre dans la chatte, ou de continuer de le dominer et de vaincre sa résistance et goûter son nectar. Je redescends lui manger les couilles tout en le branlant rapidement.
– Arrête, je vais venir.
Ces mots me motivent comme jamais, je remonte avec ma langue le long de la hampe, je gobe le gland et me déchaîne avec ma langue tout en le branlant. Je le sens se raidir, il m'appuie sur la tête et lâche la purée. Trois giclées finissent au fond de ma gorge avant que je me dégage finissant de le branler sur mes seins, ce qui m'envoie dans le monde du plaisir, le salaud avait une sacrée quantité de sperme.
– Tu es une belle coquine, mais il n'y a pas beaucoup de femmes qui m'ont mangé aussi bien.
– C'est mon péché mignon, ton foutre était sucré, un délice et une bonne quantité. Assez discuté, mange-moi la chatte.
Vincent s'installe entre mes cuisses et vient aspirer mon clitoris et le pince avec ses dents. Après mon orgasme précédent, je suis encore sensible, même si le désir est présent et qu'il sait y faire.
Je lui saisis une main et la remonte sur mes seins ou son foutre est présent, je lui enduis les doigts. 
– Fourre-moi deux doigts dans le cul, sers-toi de ton foutre pour me lubrifier la petite porte.
Vincent ne se fait pas prier, je sens un doigt puis le second rentré dans mon fondement, son sperme sert de gel, aucune douleur, que du plaisir. Il me dévore le clito, il introduit sa langue dans ma chatte, je suis aux anges. J'appuie sur sa tête, soulève mon bassin en imprimant un mouvement de va-et-vient pour profiter au maximum de sa langue, de ses lèvres et même de ses dents. Ses doigts continuent à me ramoner le cul qui doit être ouvert.
Cependant, il se relève pour venir enfoncer trois doigts dans ma chatte, appuyant avec son autre main sur mon bas ventre. En outre, il me doigte avec rapidité, je me tortille de plaisir, j'ai l'impression que mon vagin va exploser.
Je gémis comme une bête blessée tout en le suppliant de ne pas s'arrêter, je finis par exploser dans un orgasme incroyable, polluant le lit d'une importante giclée de cyprine.
– Vite, vient lécher ma chatte. 
Il ne se fait pas prier et plonge entre mes cuisses, aspirant mon liquide qui recommence à couler dès que sa langue vient au contact de mon sexe.
– Putain, c'est bon, ne t'arrête pas, je t'en supplie, cela remonte.
Je me tortille sous ses coups de langue, tout en rappuyant sur sa tête, et guidant la main vers mon cul pour qu'il en reprenne possession.
– Vas-y cela monte, je t'en supplie, ne t'arrêtes pas, c'est bonnnnnn, ouiiiiiii.
L'orgasme est diabolique, Vincent continue, mais c'est trop sensible, je lui mets des coups de pied et des coups de poing pour qu'il cesse.
J'arrive à le retourner sur le dos, je viens me blottir sur son épaule, frissonnant encore de tout mon corps. Je saisis son sexe qui a retrouvé tout son volume, et je lui lèche les lèvres et son menton, maculé du jus de mon orgasme. Je reste quelques minutes dans cette positon, le temps de reprendre mes esprits. 
Je finis par venir me placer entre ses cuisses pour aspirer son gland, pour le faire bander bien dur. Sa grosse bite en main, je la guide vers ma grotte d'amour, je m'empale et me laisse glisser, d'une traite, jusqu'à que ses couilles viennent en contact avec mes cuisses. Quel bonheur d'avoir ce gros pieu au fond de moi, je tourne mon bassin et contracte ma chatte au maximum tout en lui pinçant ses tétons, j'ai l'impression que sa bite reprend de l'ampleur. Je me cambre sur mon étalon et le chevauche, je le domine et j'adore cela.
Je viens coller mes seins contre sa poitrine tout en lui mordant l'oreille. Il comprend que c'est à lui de faire le travail, il met de grands coups de rein, qui propulse son gland bien au fond de mon vagin. 
Je gémis à chaque poussée, j'en veux encore et encore, je mords son épaule, je contracte mon sexe pour encore mieux le sentir.
Je me dégage pour me mettre en position de levrette.
– Vient et prends-moi fort et fais-moi le cul.
Vincent enfonce un doigt dans mon minou, le retire et l'enfonce dans mon cul pour me préparer. Je saisis sa queue et la guide entre mes lèvres. Je me recule d'un seul coup pour qu'il m'investisse. Il fait quelques va-et-vient avant d'en ressortir.
Je reprends sa bite en main et le guide à l'entrée de ma rosette, sans crier gare il s'enfonce d'une traite dans mon intestin. Malgré la préparation, mes yeux se remplissent de larmes sous l'effet de cette pénétration. 
Le plaisir revient au galop, je le supplie de me forer le cul.
– Vas-y bourre-moi le cul, je suis ta salope et j'aime cela. Ta queue est trop bonne, ne t'arrête pas.
Le cœur qu'il met à l'ouvrage et mes propos vont vaincre sa résistance, il se retire pour lâcher toute la purée sur mon cul. Je sens couler son nectar sur ma raie et venir finir sur ma rosette dilatée, je jouis comme une folle.
Nous nous écroulons sur le lit, mais la réalité revient vite à nos yeux, dix-sept heures, vite la douche. Mon Doudou va me chercher, j'ai oublié de le prévenir, cela va être ma fête, ce sera une autre histoire.