Patrice et Julien
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2012 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Patrice et Julien
Patrice m’avait dit que nous irions dans la campagne pour nous aimer sur l’herbe. Je sais qu’il aime
me baiser dans la nature, surtout quand nous pouvons être surpris par un tiers qu’il invite à me
partager. J’aime bien être en vue de tous et me faire baiser devant lui par un strict inconnu. Pour
nous ce n’est pas tromper, c’est prendre un plaisir différent comme se branler par exemple.
Changement de programme: quand j’arrive chez lui, il ne peut pas sortir: il attend un pote, un
ancien camarade. En somme je m’étais habillée pour rien; un jupe courte, un boléro ouvert devant.
Il ne veut pas que je soit déçue, il met sa main sous ma jupe, caresse mes cuisses avant d’aboutir
sur ma chatte: je mouille déjà. Il branle mon clitoris. Je le laisse faire, j’y trouve mon compte,
je jouis plutôt bien.
Je quitte la jupe: il peut me faire ce qu’il veux.
J’espère sa bite, je reçois sa langue. Il la passe sur le clitoris, encore, puis dans la cage aux
plaisirs. Il me donne un bel orgasme en remuant sa langue en rond.
Malheureusement, quelque sonne à la porte.
- Mon copain arrive, je vais lui ouvrir.
- Il faut que je me rhabille.
- Pas du tout: tu comprendras vite pourquoi.
Je ne vais pas me montrer dans un tel débraillé. Je remet ma jupe en place, déçue toujours de
n’avoir pas pu me faire mettre.
Ce qui me parait bizarre c’est de ne pas entendre trop de bruit dans le séjour. Je me lève pour
aller voir ce qui ce passe. Je suis surprise de voir mon Patrice et son copain, pris dans un baiser
sur la bouche. J’était loin de me douter des mœurs particulières de mon amant. Son ami sort la bite
de Patrice, la branle au grand plaisir de son propriétaire.
J’apparais à ce moment là. Je ne pouvait imaginer la suite.
Loin de s’excuser, mon amant me demande de rester: il me présente même celui qui le branle: c’est
mon copain, Julien. Il me branle bien tu sais, comme toi. En guise de salutation de la part de
Julien je n’ai droit qu’à un simple mouvement de tête;
Sans pudeur ils se déshabillent. Je connais par cœur le corps de Patrice, je découvre celui de
Julien: belle bite qui bande aussi, plus grosse que celle de Patrice.
Je ne sais si celle qui ont déjà vu leur amant se faire branler pas un homme sont comme moi: je me
met comme eux, toute nue, je m’assois sur le divan, j’écarte les cuisses pour me branler. Ils me
regardent, surtout le copain. Il entraine Patrice vers le divan, le fait assoir près de moi. Il
s’approche, se met à genoux, prend la bite de mon amant. Il le branle encore.
Il se masturbe également. Je commence à avoir des envies prolongées de baises. Je me ferais mettre
par les deux s’ils le veulent.
Julien abandonne la bite pour la mettre dans le bouche. Il la découvre avec ses lèvres. Je suis au
première loge pour voir la bite entrer dans une bouche d’homme, surtout c’est la première fois que
je vois Patrice se faire sucer devant moi.
Je regarde et me branle: je met plusieurs doigts dans le vagin, c’est comme si je me faisais mettre.
La bite ressort, Julien la lèche depuis les couilles jusqu’au gland. Il la fait redescendre pour
recommencer. Je vois la queue avoir des mouvement incontrôlés de bas en haut. Patrice a envie de
jouir: il n’en est pas loin. J’attends pour voir son jet, à moins que son copain le fasse jouir dans
sa bouche, ce qui est probable.
Il n’empêche que voir cette bite dans la bouche d’un autre m’excite de plus en plus.
Pourquoi je m’en a-t-il jamais parlé avant: ça ne se cache pas cette attirance, surtout à sa
maitresse: tous le gouts sont dans la nature;
Ce qui me plairait maintenant c’est qu’il s’y mettent tous les deux sur moi, qu’il me prennent en
double.
Je rêve sans doute, Julien ne doit aimer que les hommes, pas les filles, même pour enculer.
Sacré Julien, il caresses le couilles et un doigt va sur l’anus de Patrice. Il le rentre même. Et
Patrice ferme les yeux, comme quand je le suce. Il se régale, le salaud.
Le peu que je vois de sa pine est mouillé par la salive d’un autre homme qui se masturbe devant moi.
Pourquoi il ne m’a pas demande de le branler ou le sucer ou mieux, me la mettre. J’aurai accepté
tout de cet inconnu.
Je vois le corps de Patrice sursauter: il jouit tellement qu’il rempli la bouche de son copain: ça
déborde même.
Julien se relève un peu, me regarde pour venir me donner un baiser pour partager le sperme. J’ai
enfin un peu de sperme dans la bouche: je n’ai pas tout perdu.
Je me branle toujours quand la main de Julien m’arrête.
- Je vais te baiser devant ton type, ça te vas ?
- Bien sur, encule moi aussi.
- Après si je peux, lui pourra te le faire aussi.
- Je vous voudrai tous les deux ensemble.
- Dans le cul et le con ?
- Oui.
- Tu n’es pas vicieuse, toi !
- C’est vrai j’aime baiser et jouir. Vite baises moi.
Je suis bien mise pour qu’il me la mette là où il veut. Il me la met doucement, avec beaucoup de
tendresse alors que je ne suis rien pour lui, qu’une pute. Il me fait du bien dès qu’il entre dans
mon vagin. Il sait drôlement bien y faire. Je ne suis pas sa première fille. Sa langue est douce
dans ma bouche, comme sa bite dans mon con. Il va et vient il me donne des frissons au début, puis
des tremblements et enfin des orgasmes à répétition. Il ne jouit pas: tant mieux, je vois la bite de
Patrice se relever: il bande déjà bien.
Je demande ce que je voulais: les deux en même temps. Julien se couche sur le tapis, me demande de
venir sur lui pour me mettre où je veux: il vient de me baiser, il peut bien m’enculer: il m’aura
gouté partout. Je viens sur lui, entre un peu sa bite dans l’anus: je sais que le reste entrera
facilement. Il caresse mes seins, je suis encore plus excitée. Je me laisse aller complètement: je
sens ses couilles contre mes fesses. Il me fait coucher presque sur lui, la pine de Patrice arrive
sur moi. Je peux à peine la guider dans le vagin. Il me la met comme souvent avec une certaine
brutalité: j’aime quand il me prend ainsi. Il connait mes points faibles.
Je les aime tous les deux: ils me donne ce que j’attends d’eux: le plaisir immoral des les avoir
ensemble dans mon ventre.
J’aime quand ils se trouvent ensemble en se croisant dans le bas ventre. J’ai le plaisir qui monte
dans mes reins, je suis une loque maintenant entre ces deux mâles qui ne je gênent plus pour me
faire ce qu’ils veulent de moi.
Je pense avoir trop joui quand ils me libère. Patrice me met contre le divan, toujours à genoux, il
ouvre mes fesses pour venir dans mon cul. Je l’accueille avec plaisir, surtout quand je regarde par-
dessus l’épaule et que je vois qu’il se fait mettre pas son ami Julien. Il doit l’avoir à fond,
comme moi. Il n’y a plus que Patrice à bouger: il peux me la mettre facilement, et il se fait
enculer aussi facilement. Il me semble que c’est julien qui me la met encore une fois.
Je cri mes jouissance, Patrice les gémit, je ne sais pas ce que fait Julien sinon de jouir comme
nous.
Nous arrêtons surtout parce que les hommes ne bandent plus. Ils pourraient me lécher, me sucer le
cul, je ne sais pas, moi, s’occuper des mes plaisirs. Julien explique que depuis qu’il bande Patrice
se fait mettre avec plaisir dans le cul.
me baiser dans la nature, surtout quand nous pouvons être surpris par un tiers qu’il invite à me
partager. J’aime bien être en vue de tous et me faire baiser devant lui par un strict inconnu. Pour
nous ce n’est pas tromper, c’est prendre un plaisir différent comme se branler par exemple.
Changement de programme: quand j’arrive chez lui, il ne peut pas sortir: il attend un pote, un
ancien camarade. En somme je m’étais habillée pour rien; un jupe courte, un boléro ouvert devant.
Il ne veut pas que je soit déçue, il met sa main sous ma jupe, caresse mes cuisses avant d’aboutir
sur ma chatte: je mouille déjà. Il branle mon clitoris. Je le laisse faire, j’y trouve mon compte,
je jouis plutôt bien.
Je quitte la jupe: il peut me faire ce qu’il veux.
J’espère sa bite, je reçois sa langue. Il la passe sur le clitoris, encore, puis dans la cage aux
plaisirs. Il me donne un bel orgasme en remuant sa langue en rond.
Malheureusement, quelque sonne à la porte.
- Mon copain arrive, je vais lui ouvrir.
- Il faut que je me rhabille.
- Pas du tout: tu comprendras vite pourquoi.
Je ne vais pas me montrer dans un tel débraillé. Je remet ma jupe en place, déçue toujours de
n’avoir pas pu me faire mettre.
Ce qui me parait bizarre c’est de ne pas entendre trop de bruit dans le séjour. Je me lève pour
aller voir ce qui ce passe. Je suis surprise de voir mon Patrice et son copain, pris dans un baiser
sur la bouche. J’était loin de me douter des mœurs particulières de mon amant. Son ami sort la bite
de Patrice, la branle au grand plaisir de son propriétaire.
J’apparais à ce moment là. Je ne pouvait imaginer la suite.
Loin de s’excuser, mon amant me demande de rester: il me présente même celui qui le branle: c’est
mon copain, Julien. Il me branle bien tu sais, comme toi. En guise de salutation de la part de
Julien je n’ai droit qu’à un simple mouvement de tête;
Sans pudeur ils se déshabillent. Je connais par cœur le corps de Patrice, je découvre celui de
Julien: belle bite qui bande aussi, plus grosse que celle de Patrice.
Je ne sais si celle qui ont déjà vu leur amant se faire branler pas un homme sont comme moi: je me
met comme eux, toute nue, je m’assois sur le divan, j’écarte les cuisses pour me branler. Ils me
regardent, surtout le copain. Il entraine Patrice vers le divan, le fait assoir près de moi. Il
s’approche, se met à genoux, prend la bite de mon amant. Il le branle encore.
Il se masturbe également. Je commence à avoir des envies prolongées de baises. Je me ferais mettre
par les deux s’ils le veulent.
Julien abandonne la bite pour la mettre dans le bouche. Il la découvre avec ses lèvres. Je suis au
première loge pour voir la bite entrer dans une bouche d’homme, surtout c’est la première fois que
je vois Patrice se faire sucer devant moi.
Je regarde et me branle: je met plusieurs doigts dans le vagin, c’est comme si je me faisais mettre.
La bite ressort, Julien la lèche depuis les couilles jusqu’au gland. Il la fait redescendre pour
recommencer. Je vois la queue avoir des mouvement incontrôlés de bas en haut. Patrice a envie de
jouir: il n’en est pas loin. J’attends pour voir son jet, à moins que son copain le fasse jouir dans
sa bouche, ce qui est probable.
Il n’empêche que voir cette bite dans la bouche d’un autre m’excite de plus en plus.
Pourquoi je m’en a-t-il jamais parlé avant: ça ne se cache pas cette attirance, surtout à sa
maitresse: tous le gouts sont dans la nature;
Ce qui me plairait maintenant c’est qu’il s’y mettent tous les deux sur moi, qu’il me prennent en
double.
Je rêve sans doute, Julien ne doit aimer que les hommes, pas les filles, même pour enculer.
Sacré Julien, il caresses le couilles et un doigt va sur l’anus de Patrice. Il le rentre même. Et
Patrice ferme les yeux, comme quand je le suce. Il se régale, le salaud.
Le peu que je vois de sa pine est mouillé par la salive d’un autre homme qui se masturbe devant moi.
Pourquoi il ne m’a pas demande de le branler ou le sucer ou mieux, me la mettre. J’aurai accepté
tout de cet inconnu.
Je vois le corps de Patrice sursauter: il jouit tellement qu’il rempli la bouche de son copain: ça
déborde même.
Julien se relève un peu, me regarde pour venir me donner un baiser pour partager le sperme. J’ai
enfin un peu de sperme dans la bouche: je n’ai pas tout perdu.
Je me branle toujours quand la main de Julien m’arrête.
- Je vais te baiser devant ton type, ça te vas ?
- Bien sur, encule moi aussi.
- Après si je peux, lui pourra te le faire aussi.
- Je vous voudrai tous les deux ensemble.
- Dans le cul et le con ?
- Oui.
- Tu n’es pas vicieuse, toi !
- C’est vrai j’aime baiser et jouir. Vite baises moi.
Je suis bien mise pour qu’il me la mette là où il veut. Il me la met doucement, avec beaucoup de
tendresse alors que je ne suis rien pour lui, qu’une pute. Il me fait du bien dès qu’il entre dans
mon vagin. Il sait drôlement bien y faire. Je ne suis pas sa première fille. Sa langue est douce
dans ma bouche, comme sa bite dans mon con. Il va et vient il me donne des frissons au début, puis
des tremblements et enfin des orgasmes à répétition. Il ne jouit pas: tant mieux, je vois la bite de
Patrice se relever: il bande déjà bien.
Je demande ce que je voulais: les deux en même temps. Julien se couche sur le tapis, me demande de
venir sur lui pour me mettre où je veux: il vient de me baiser, il peut bien m’enculer: il m’aura
gouté partout. Je viens sur lui, entre un peu sa bite dans l’anus: je sais que le reste entrera
facilement. Il caresse mes seins, je suis encore plus excitée. Je me laisse aller complètement: je
sens ses couilles contre mes fesses. Il me fait coucher presque sur lui, la pine de Patrice arrive
sur moi. Je peux à peine la guider dans le vagin. Il me la met comme souvent avec une certaine
brutalité: j’aime quand il me prend ainsi. Il connait mes points faibles.
Je les aime tous les deux: ils me donne ce que j’attends d’eux: le plaisir immoral des les avoir
ensemble dans mon ventre.
J’aime quand ils se trouvent ensemble en se croisant dans le bas ventre. J’ai le plaisir qui monte
dans mes reins, je suis une loque maintenant entre ces deux mâles qui ne je gênent plus pour me
faire ce qu’ils veulent de moi.
Je pense avoir trop joui quand ils me libère. Patrice me met contre le divan, toujours à genoux, il
ouvre mes fesses pour venir dans mon cul. Je l’accueille avec plaisir, surtout quand je regarde par-
dessus l’épaule et que je vois qu’il se fait mettre pas son ami Julien. Il doit l’avoir à fond,
comme moi. Il n’y a plus que Patrice à bouger: il peux me la mettre facilement, et il se fait
enculer aussi facilement. Il me semble que c’est julien qui me la met encore une fois.
Je cri mes jouissance, Patrice les gémit, je ne sais pas ce que fait Julien sinon de jouir comme
nous.
Nous arrêtons surtout parce que les hommes ne bandent plus. Ils pourraient me lécher, me sucer le
cul, je ne sais pas, moi, s’occuper des mes plaisirs. Julien explique que depuis qu’il bande Patrice
se fait mettre avec plaisir dans le cul.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
En principe, je n'aime pas les males pédés, mais lorsqu'il s'agit au club d'un contact imprévu, accompagnée d'une copine, j'apprécie voir des jeunes gens, voire des messieurs de classe se sucer les bites. Par ailleurs, l'intérêt des couples présents à ces ébats est notoire. B