Patrice, mon sexfriend, procure de puissants émois sexuels à Vesna
Récit érotique écrit par Sabine Edwarda [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 5 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Sabine Edwarda ont reçu un total de 13 373 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 937 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Patrice, mon sexfriend, procure de puissants émois sexuels à Vesna
RAPPEL et INTRODUCTION : Je vis seule avec Vesna, 19 ans, que j'ai eue d'un amant d'une nuit que je n'ai jamais revu, elle est apprentie-esthéticienne à mon salon. Nous sommes toutes les deux très « fusionnelles ». Ma relation avec Vesna est à la fois très belle et très émouvante. C'est une relation « totale » aussi bien affective que physique. Cette relation mère/fille doit être pour nous deux une vraie source de bonheur. J'ai Patrice, 51 ans, mari de la voisine d'en face sur le palier. Il passe le matin pour prendre un café/croissant avec nous, je lui fais une fellation (environ deux minutes) ou bien il me saute dans la cuisine debout contre l'évier. C'est en fait un « sexfriend », plutôt qu'un amant. Vesna s'occupe de la table du petit déjeuner.
La femme de Patrice a des doutes sur son mari Patrice. Elle me fait certaines réflexions du genre « ce matin, à travers la cloison de notre chambre j'ai entendu comme des gémissements, rien de grave ? », « je vous ai vu embrasser mon mari hier » en ajoutant une fois « j'ai l'impression que sa bouche a glissé vers vos lèvres » ce à quoi j'ai répondu que c'était juste une impression de loin. Elle se doute qu'il la trompe avec moi. Ce qu'elle ne sait pas c'est l'attirance que son mari Patrice a sur Vesna. Le matin, quand il arrive chez nous, elle est dans sa tenue habituelle, à savoir tablier blanc « serveuse de bar » donc en tenue minimaliste : petit tablier blanc très court ne couvrant que le haut de ses cuisses qu'elle porte uniquement avec ses talons vertigineux vernis noirs, donc sans slip, sans culotte, sans rien et « topless ». Lorsqu'elle se cambre pour lisser son tablier ou fait un tour sur elle-même, elle fait saillir sa poitrine qui devient légèrement plus volumineuse. Vesna est dans la cuisine, à table devant son bol de café au lait. Elle a la main sous la table plongée dans son tablier entre ses cuisses, parfois bien ouvertes, pour se caresser doucement, une caresse toujours à la limite de la masturbation. Ses doigts frottent son clitoris gonflé et ses lèvres humides, son tablier se plisse, il se froisse dans le creux de ses cuisses. Elle en arrive à se masturber frénétiquement faisant pénétrer un doigt puis deux dans sa chatte détrempée à travers son petit tablier blanc. Vesna a les cuisses qui s’affolent, elle les écarte bien pour sentir son sexe de ses doigts à travers le tablier, sa fente est parcourue de petits frissons de plaisir. Ses grandes lèvres entrouvertes laissent échapper sa cyprine, des gouttes de rosée humidifient déjà son tablier et donc sa chatte. Plus bas, son petit trou palpite un maximum. Sa chatte humide et son trou ridé est assez excitant. Cette vision de Vesna est tellement érotique que je passe un doigt dans mes cuisses grandes ouvertes au milieu de ma fente avant de titiller mon trou tout en pinçant un de mes tétons puis l'autre, me concentrant les yeux fermés sur Vesna. Des picotements remontent dans le creux de mes reins quand soudain un bruit, comme un hurlement étouffé, me fait sursauter. Voilà que Vesna ouvre les yeux et découvre Patrice, mon amant, mari de notre voisine de palier, qui est entré dans la cuisine. Vesna se redresse brutalement, elle vérifie que son tablier couvre bien son intimité, elle bafouille quelques excuses à peine compréhensibles. Elle est gênée de se trouver devant Patrice dans cette posture, la honte lui monte aux joues, elle a la bouche ouverte, l’air hébétée, « Pardon Vesna, excuse-moi... je ne voulais pas...euh... te déranger... dans ton moment de plaisir solitaire... », « non ! C’est moi qui... je suis confuse... pardon... je ne sais pas ce qui m’a pris, je ne devrais pas faire cela dans la cuisine... », « ne t’excuses-pas Vesna, c’est de ma faute, je n’aurais pas du entrer dans la cuisine sans prévenir... », et tout en remettant de l'ordre dans sa tenue, « j'ai honte, vous allez penser que je suis sans doute une perverse, voire une salope... ». Vesna a immédiatement pensé que Patrice allait me raconter qu'il l'a vu se masturbant à la table du petit-déjeuner en cuisine. Elle n’ose plus croiser mon regard tellement elle a honte de son comportement tout en se comportant comme si rien ne s’était passé.
Patrice vient se placer debout derrière Vesna. Il pose ses mains sur ses épaules qu'il commence à caresser. Puis ses mains descendent par devant jusque sur les bouts de ses petits seins. Il prend chacun d'eux par un pouce et l'index pour les triturer. Pendant ce temps, Vesna, en parfaite soubrette docile prépare et sert deux cafés, Patrice a lâché les bouts de Vesna pour prendre ses petits nichons à pleines mains. Il les pelote dans un geste très caressant. Patrice s’installe sur un tabouret pivotant, tout en buvant son café, « assieds-toi sur mes genoux Vesna, si tu te fais du souci pour ce que j’ai vu tout à l’heure, ne t’inquiètes-pas, Sabine ne saura rien ! », « merci Patrice, je ne sais pas ce qui ma pris, je suis désolée que vous ayez vu cela, vraiment j’ai terriblement honte », Vesna fait quelques allées et venues autour de la table de la cuisine, alors qu'elle se trouve de profil devant Patrice, il passe sa main d'un geste caressant sur ses fesses libres puisque son tablier ne les couvrent pas : « n’aie pas honte ma Vesna chérie. Il n’y avait rien de choquant et je dirais même que c'était très agréable à regarder ! ». Vesna arbore un sourire un peu niais quand il reprend : « as-tu procédé à ton épilation quotidienne ce matin ? », « veux tu le faire maintenant ? » demande Patrice tout en caressant les fesses de Vesna jusqu'à oser introduire très légèrement un doigt dans son entrefesses. « tu dois bien avoir un rasoir et du savon à barbe ». Vesna se lève pour aller chercher le matériel en question. Patrice prend les ustensiles qu'elle lui tend et la fait s'allonger sur le rebord de notre jaccuzzi, il lui écarte les cuisses et applique de la mousse qu’il étale d’une main sûre. Avec dextérité, il commence le travail, il tend la peau de Vesna pour en effacer tous les replis avec une main pendant que l’autre passe le fils du rasoir sur les bords de sa vulve. Après une vingtaine de minutes, Vesna se retrouve avec un sexe complètement glabre où quelques poils récalcitrants batifolent encore. Il pousse sa conscience professionnelle de bon ouvrier à les retirer un par un à la pince à épiler. Ensuite, il savonne l’entrejambe de Vesna puis le rince et le sèche. Vesna ne bouge pas, toujours assise sur le rebord du jaccuzi. Patrice commence par ses seins qu'il caresse en douceur avant de se consacrer à ses tétons qui durcissent sous ses doigts. Il les pince doucement, ce qui a pour effet de faire gémir Vesna. Sa main descend ensuite délicatement sur son ventre, Vesna frissonne comme jamais.
Vesna se calme, elle est en cuisine avec moi et mon amant Patrice. Celui-ci lui propose quelques rudiments de sexualité, ce qu'elle accepte avec enthousiasme. Très vite, Patrice propose à Vesna plusieurs choses : lire des histoires érotiques, regarder des films pornographiques, porter ta jupe en vinyl rouge, bien moulante, ras des fesses à boutons pressions devant.Vesna s'inquiète lorsque Patrice lui parle de « pratique », est-ce que cela signifie qu'elle doit avoir un amant ? Patrice, mon amant-sexfriend, lui répond par l'affirmative et que lui-même pourrait être cet amant. Vesna alors, se pose la question d'être la maîtresse de l'amant de sa maman. Elle est surprise, plutôt choquée par cette proposition. Patrice explique à Vesna que cette solution lui permet d'avoir un amant dès maintenant. Patrice, en devenant son amant, lui permettra d'avoir une formation aux choses du sexe de façon discrète pour notre entourage. En effet, les garçons et les mamans des garçons du quartier qui ont l'habitude de voir Patrice aller et venir ne verraient pas de changement. Patrice assure à Vesna d'être comme son professeur d’éducation sexuelle particulier, pour cela, il lui demande de lui faire entièrement confiance. Patrice propose à Vesna sa première leçon sexuelle : « tu devras faire tout ce que je te dis et si tu trouves un jour que ça va trop loin, tu me le dis et ça s’arrêtera là. Mais n’oublie-pas que je fais ça pour toi et non pour moi », « c’est d’accord, j’accepte... mais comment ça va se passer ? ». Patrice, en arborant un petit sourire rassurant tend la main de Vesna et l’entraîne vers notre salle de bains. Il fait asseoir Vesna sur la cuvette du jaccuzi tout en posant sa main gauche sur ses fesses, « Déshabille-toi ! » lui dit Patrice. Vesna commence par retirer ses talons hauts. Elle tire sur un des deux pans de la lanière qui tient son tablier, apeurée, lève les jambes et fais glisser son tablier par devant sur ses jambes avant de le retirer complètement regardant le sol puis cachant aussitôt son sexe avec sa main, « ne sois pas peureuse, lève la tête, sois fière de ton corps, regarde-moi avec un air de défi et retire ta main » lui dit Patrice. Celui-ci passe ses doigts dans ses cuisses sur son sexe : agréablement surpris, il ouvre de grands yeux en découvrant son sexe entièrement lisse, comme un savon. « Ah ! Là tu marques un très bon point ! Les hommes de nos jours ne veulent plus de poils, c'est parfait d'avoir tout retiré. Sa main se retrouve sur le sexe de Vesna qu'elle survole du bout des doigts, il pose sa main gauche sur sa cuisse, le majeur de son autre main posée sur son bas-ventre glisse alors sur ses grandes lèvres, animé d’un mouvement de bas en haut avant de l’immiscer entre elles avec une extrême douceur. Son doigt ne tarde pas à être couvert de la cyprine de Vesna, elle mouille déjà... « Tu vois ! la première chose que tu dois ressentir avec un partenaire, c’est ton propre plaisir ! et c’est à lui de faire le nécessaire pour que tu y parviennes. S’il ne cherche qu’à assouvir son propre plaisir, il gâche tout ! » Patrice plaque deux doigts contre le clitoris de Vesna et les serrent délicatement, le chatouillent. Depuis le début j'assiste à tout cela, je le regarde faire, me concentrant sur le plaisir qui monte en Vesna. Patrice s’applique en surveillant les réactions de Vesna. Celle-ci gémit, son corps répond à la caresse que Patrice lui prodigue. Son sexe est de plus en plus humide. Le tempo de ses doigts s’accélère, son rythme cardiaque aussi. Le plaisir de Vesna frôle son paroxysme. Patrice s'arrête brusquement, il regarde Vesna droit dans les yeux un long moment puis enfonce un de ses doigts en elle. Vesna est à la fois frustrée par cet orgasme que Patrice lui a refusé, mais elle est satisfaite de sentir son doigt la remplir. Vesna se remet à gémir, la pression remonte, voilà qu'elle hurle maintenant. Après quelques instants, il insère un autre doigt dans son sexe humide. Il est encore plus agile et sait comment s'y prendre, le sexe de Vesna est trempé et poisse le creux de la paume de Patrice. Voià qu'il lui offre alors un troisième doigt. Le sexe de Vesna n'a jamais été autant ouvert à ce genre de caresse, elle adore ça. Son bassin ondule comme si elle n'avait jamais connu le plaisir auparavant : « encore, encore ! va plus vite ! ». Il lui sourit... « je vois que tu aimes ça, tu veux que je continue ? « Oh Oui ! Ouuuiii ! Ne t’arrête surtout pas ! ». Vesna ne s'est même pas rendue compte qu'elle tutoie mon amant tellement elle plane. Pendant que ses doigts s’activent dans sa chatte trempée, son autre main vient caresser son petit bourgeon qui devient de plus en plus sensible. Vesna gémit doucement, recherchant un deuxième souffle. Pendant de longues minutes, elle continue sa double caresse jusqu’au moment où tout son corps se tend comme une corde de piano... une sensation inconnue germe en elle, son clitoris lui brûle, la pointe de mes seins est douloureuse, ses reins irradient dans tout son corps une vague énorme de plaisir.
De mon côté, à la vue de ce spectacle, je ne peux plus me retenir d'une puissante masturbation devant Patrice et Vesna, je crie mon plaisir sans aucune retenue. Je viens de jouir ! Vesna, quant à elle, n’a jamais connu une chose pareille ! Pour la première fois de sa vie, elle ressent ce qu’on appelle le plaisir ou plutôt l’orgasme. Elle vient de vivre le premier orgasme de sa vie, grâce à mon amant Patrice. Il se relève, le sourire aux lèvres, satisfait du résultat. Vesna retrouve doucement ses esprits, les lèvres de sa vulve et son clitoris ont pris une couleur rosée très prononcée tellement ils sont gonflés. Sa braguette est en saillie, déformée par son sexe en érection. Vesna lève les yeux pour rechercher son regard. D’un simple signe de la tête, il l’encourage à aller plus loin. Vesna pose ses mains sur sa ceinture et la déboucle puis baisse la fermeture éclair. Elle fait glisser son pantalon le long de ses cuisses découvrant un caleçon noir gonflé par une belle bosse. Elle passe une main de chaque coté de ses hanches et fait descendre son sous-vêtement, son sexe jaillit sous ses yeux. Vesna n’en revient pas de voir chez un homme qui a dépassé la soixantaine se dresser fièrement une queue plus que raisonnable. Elle est grosse, bien plus grosse que l'anormal avec une belle paire de bourses pendantes. Vesna n’en a jamais vu d’aussi grosses... et surtout d’aussi près, il faut dire qu'elle je n’en connaît pas d’autres. Patrice encourage Vesna de sa voix grave et rassurante : « tu dois découvrir l’organe masculin, le toucher, le caresser avec douceur. Elle approche sa main de son sexe. Elle n'en revient pas de la taille de son engin. Sa main en fait le tour, « bon maintenant, ouvre la bouche et si ça ne te met pas trop mal à l'aise, alors suce-moi ! ». Cet ordre laisse Vesna sans voix, mais sans bien savoir pourquoi, elle obéit, voulant lui rendre ce qu’elle lui a déjà donné. Vesna pose alors timidement sa bouche sur son sexe si imposant et le fait coulisser entre ses lèvres. Elle lui offre une fellation délicate, ne sachant pas trop comment s’y prendre. Patrice pose sa main sur la joue de Vesna et la caresse pour l’encourager. La langue de Vesna entre en contact avec le gland dont le goût n’est pas désagréable. Elle se met à aller et venir dessus, laissant à chaque passage un filet de salive sur son pénis désormais brillant. « N’oublie-pas mes bourses, prends-les dans ta main et caresse-les en même temps... Tu es si différente de ta maman, Sabine, si docile et appliquée. J'adore ça ! ». Vesna aime sa voix, son timbre et ses directives, faisant tout ce qu’il lui demande, accélérant ou ralentissant la cadence, accentuant ou diminuant la pression à exercer sur sa verge. Les gémissements de Vesna, de contentement l’encouragent et entretiennent son excitation. Elle s’applique si bien à lui rendre le plaisir reçu qu’il ne tarde pas à m’implorer « Continue, surtout ne t’arrête-pas ! Je sens que je viens ! Putain que c’est bon ! ». Vesna sent le sexe de Patrice gonfler encore dans sa bouche annonçant l’imminence de sa jouissance. Mais il a la délicatesse de se maîtriser pour la prévenir « je vais bientôt jouir, si tu ne veux pas que j’éjacule dans ta bouche, je peux comprendre. Dans ce cas fais-moi jouir sur tes seins... mais si tu veux aller jusqu’au bout, branle-moi plus vite et surtout je t’interdis de tout recracher ! ». Vesna semble apprécier la galanterie de Patrice de lui laisser le choix Vesna accélère le rythme et ses vagissements sont sa récompense : « oui ! Vas-y ! c’est bon ! Aaahhh ! Aaahhh. Tu me suces comme une reine... je vais jouir... ne t’arrête pas ! Deux gouttes de pré-sperme coulent sur la langue de Vesna, aussitôt suivi de puissants jets d’une semence abondante qui manque de l’étouffer car vu son âge, Vesna ne croyait pas assister à un tel festival. Vesna est obligée de s’y reprendre en plusieurs fois pour avaler la totalité du sperme de Patrice. C’est la première fois de sa vie que Vesna avale le sperme d’un homme et qui plus est, celui de l'amant de sa mère ! Si j'avais dit ça ce matin, lorsque Patrice est arrivé chez nous, Vesna ne m’aurait jamais cru ! Vesna et moi avons échangé sur cette expérience unique. Contrairement à ce que Vesna redoutait, le goût ne l’a pas rebuté. Vesna ne veut pas laisser ressortir son pénis avant de l’avoir complètement nettoyé de sa semence et de la bave abondante. « Tu as été parfaite Vesna... tu t’es bien débrouillée pour une novice... nous continuerons demain ».
La femme de Patrice a des doutes sur son mari Patrice. Elle me fait certaines réflexions du genre « ce matin, à travers la cloison de notre chambre j'ai entendu comme des gémissements, rien de grave ? », « je vous ai vu embrasser mon mari hier » en ajoutant une fois « j'ai l'impression que sa bouche a glissé vers vos lèvres » ce à quoi j'ai répondu que c'était juste une impression de loin. Elle se doute qu'il la trompe avec moi. Ce qu'elle ne sait pas c'est l'attirance que son mari Patrice a sur Vesna. Le matin, quand il arrive chez nous, elle est dans sa tenue habituelle, à savoir tablier blanc « serveuse de bar » donc en tenue minimaliste : petit tablier blanc très court ne couvrant que le haut de ses cuisses qu'elle porte uniquement avec ses talons vertigineux vernis noirs, donc sans slip, sans culotte, sans rien et « topless ». Lorsqu'elle se cambre pour lisser son tablier ou fait un tour sur elle-même, elle fait saillir sa poitrine qui devient légèrement plus volumineuse. Vesna est dans la cuisine, à table devant son bol de café au lait. Elle a la main sous la table plongée dans son tablier entre ses cuisses, parfois bien ouvertes, pour se caresser doucement, une caresse toujours à la limite de la masturbation. Ses doigts frottent son clitoris gonflé et ses lèvres humides, son tablier se plisse, il se froisse dans le creux de ses cuisses. Elle en arrive à se masturber frénétiquement faisant pénétrer un doigt puis deux dans sa chatte détrempée à travers son petit tablier blanc. Vesna a les cuisses qui s’affolent, elle les écarte bien pour sentir son sexe de ses doigts à travers le tablier, sa fente est parcourue de petits frissons de plaisir. Ses grandes lèvres entrouvertes laissent échapper sa cyprine, des gouttes de rosée humidifient déjà son tablier et donc sa chatte. Plus bas, son petit trou palpite un maximum. Sa chatte humide et son trou ridé est assez excitant. Cette vision de Vesna est tellement érotique que je passe un doigt dans mes cuisses grandes ouvertes au milieu de ma fente avant de titiller mon trou tout en pinçant un de mes tétons puis l'autre, me concentrant les yeux fermés sur Vesna. Des picotements remontent dans le creux de mes reins quand soudain un bruit, comme un hurlement étouffé, me fait sursauter. Voilà que Vesna ouvre les yeux et découvre Patrice, mon amant, mari de notre voisine de palier, qui est entré dans la cuisine. Vesna se redresse brutalement, elle vérifie que son tablier couvre bien son intimité, elle bafouille quelques excuses à peine compréhensibles. Elle est gênée de se trouver devant Patrice dans cette posture, la honte lui monte aux joues, elle a la bouche ouverte, l’air hébétée, « Pardon Vesna, excuse-moi... je ne voulais pas...euh... te déranger... dans ton moment de plaisir solitaire... », « non ! C’est moi qui... je suis confuse... pardon... je ne sais pas ce qui m’a pris, je ne devrais pas faire cela dans la cuisine... », « ne t’excuses-pas Vesna, c’est de ma faute, je n’aurais pas du entrer dans la cuisine sans prévenir... », et tout en remettant de l'ordre dans sa tenue, « j'ai honte, vous allez penser que je suis sans doute une perverse, voire une salope... ». Vesna a immédiatement pensé que Patrice allait me raconter qu'il l'a vu se masturbant à la table du petit-déjeuner en cuisine. Elle n’ose plus croiser mon regard tellement elle a honte de son comportement tout en se comportant comme si rien ne s’était passé.
Patrice vient se placer debout derrière Vesna. Il pose ses mains sur ses épaules qu'il commence à caresser. Puis ses mains descendent par devant jusque sur les bouts de ses petits seins. Il prend chacun d'eux par un pouce et l'index pour les triturer. Pendant ce temps, Vesna, en parfaite soubrette docile prépare et sert deux cafés, Patrice a lâché les bouts de Vesna pour prendre ses petits nichons à pleines mains. Il les pelote dans un geste très caressant. Patrice s’installe sur un tabouret pivotant, tout en buvant son café, « assieds-toi sur mes genoux Vesna, si tu te fais du souci pour ce que j’ai vu tout à l’heure, ne t’inquiètes-pas, Sabine ne saura rien ! », « merci Patrice, je ne sais pas ce qui ma pris, je suis désolée que vous ayez vu cela, vraiment j’ai terriblement honte », Vesna fait quelques allées et venues autour de la table de la cuisine, alors qu'elle se trouve de profil devant Patrice, il passe sa main d'un geste caressant sur ses fesses libres puisque son tablier ne les couvrent pas : « n’aie pas honte ma Vesna chérie. Il n’y avait rien de choquant et je dirais même que c'était très agréable à regarder ! ». Vesna arbore un sourire un peu niais quand il reprend : « as-tu procédé à ton épilation quotidienne ce matin ? », « veux tu le faire maintenant ? » demande Patrice tout en caressant les fesses de Vesna jusqu'à oser introduire très légèrement un doigt dans son entrefesses. « tu dois bien avoir un rasoir et du savon à barbe ». Vesna se lève pour aller chercher le matériel en question. Patrice prend les ustensiles qu'elle lui tend et la fait s'allonger sur le rebord de notre jaccuzzi, il lui écarte les cuisses et applique de la mousse qu’il étale d’une main sûre. Avec dextérité, il commence le travail, il tend la peau de Vesna pour en effacer tous les replis avec une main pendant que l’autre passe le fils du rasoir sur les bords de sa vulve. Après une vingtaine de minutes, Vesna se retrouve avec un sexe complètement glabre où quelques poils récalcitrants batifolent encore. Il pousse sa conscience professionnelle de bon ouvrier à les retirer un par un à la pince à épiler. Ensuite, il savonne l’entrejambe de Vesna puis le rince et le sèche. Vesna ne bouge pas, toujours assise sur le rebord du jaccuzi. Patrice commence par ses seins qu'il caresse en douceur avant de se consacrer à ses tétons qui durcissent sous ses doigts. Il les pince doucement, ce qui a pour effet de faire gémir Vesna. Sa main descend ensuite délicatement sur son ventre, Vesna frissonne comme jamais.
Vesna se calme, elle est en cuisine avec moi et mon amant Patrice. Celui-ci lui propose quelques rudiments de sexualité, ce qu'elle accepte avec enthousiasme. Très vite, Patrice propose à Vesna plusieurs choses : lire des histoires érotiques, regarder des films pornographiques, porter ta jupe en vinyl rouge, bien moulante, ras des fesses à boutons pressions devant.Vesna s'inquiète lorsque Patrice lui parle de « pratique », est-ce que cela signifie qu'elle doit avoir un amant ? Patrice, mon amant-sexfriend, lui répond par l'affirmative et que lui-même pourrait être cet amant. Vesna alors, se pose la question d'être la maîtresse de l'amant de sa maman. Elle est surprise, plutôt choquée par cette proposition. Patrice explique à Vesna que cette solution lui permet d'avoir un amant dès maintenant. Patrice, en devenant son amant, lui permettra d'avoir une formation aux choses du sexe de façon discrète pour notre entourage. En effet, les garçons et les mamans des garçons du quartier qui ont l'habitude de voir Patrice aller et venir ne verraient pas de changement. Patrice assure à Vesna d'être comme son professeur d’éducation sexuelle particulier, pour cela, il lui demande de lui faire entièrement confiance. Patrice propose à Vesna sa première leçon sexuelle : « tu devras faire tout ce que je te dis et si tu trouves un jour que ça va trop loin, tu me le dis et ça s’arrêtera là. Mais n’oublie-pas que je fais ça pour toi et non pour moi », « c’est d’accord, j’accepte... mais comment ça va se passer ? ». Patrice, en arborant un petit sourire rassurant tend la main de Vesna et l’entraîne vers notre salle de bains. Il fait asseoir Vesna sur la cuvette du jaccuzi tout en posant sa main gauche sur ses fesses, « Déshabille-toi ! » lui dit Patrice. Vesna commence par retirer ses talons hauts. Elle tire sur un des deux pans de la lanière qui tient son tablier, apeurée, lève les jambes et fais glisser son tablier par devant sur ses jambes avant de le retirer complètement regardant le sol puis cachant aussitôt son sexe avec sa main, « ne sois pas peureuse, lève la tête, sois fière de ton corps, regarde-moi avec un air de défi et retire ta main » lui dit Patrice. Celui-ci passe ses doigts dans ses cuisses sur son sexe : agréablement surpris, il ouvre de grands yeux en découvrant son sexe entièrement lisse, comme un savon. « Ah ! Là tu marques un très bon point ! Les hommes de nos jours ne veulent plus de poils, c'est parfait d'avoir tout retiré. Sa main se retrouve sur le sexe de Vesna qu'elle survole du bout des doigts, il pose sa main gauche sur sa cuisse, le majeur de son autre main posée sur son bas-ventre glisse alors sur ses grandes lèvres, animé d’un mouvement de bas en haut avant de l’immiscer entre elles avec une extrême douceur. Son doigt ne tarde pas à être couvert de la cyprine de Vesna, elle mouille déjà... « Tu vois ! la première chose que tu dois ressentir avec un partenaire, c’est ton propre plaisir ! et c’est à lui de faire le nécessaire pour que tu y parviennes. S’il ne cherche qu’à assouvir son propre plaisir, il gâche tout ! » Patrice plaque deux doigts contre le clitoris de Vesna et les serrent délicatement, le chatouillent. Depuis le début j'assiste à tout cela, je le regarde faire, me concentrant sur le plaisir qui monte en Vesna. Patrice s’applique en surveillant les réactions de Vesna. Celle-ci gémit, son corps répond à la caresse que Patrice lui prodigue. Son sexe est de plus en plus humide. Le tempo de ses doigts s’accélère, son rythme cardiaque aussi. Le plaisir de Vesna frôle son paroxysme. Patrice s'arrête brusquement, il regarde Vesna droit dans les yeux un long moment puis enfonce un de ses doigts en elle. Vesna est à la fois frustrée par cet orgasme que Patrice lui a refusé, mais elle est satisfaite de sentir son doigt la remplir. Vesna se remet à gémir, la pression remonte, voilà qu'elle hurle maintenant. Après quelques instants, il insère un autre doigt dans son sexe humide. Il est encore plus agile et sait comment s'y prendre, le sexe de Vesna est trempé et poisse le creux de la paume de Patrice. Voià qu'il lui offre alors un troisième doigt. Le sexe de Vesna n'a jamais été autant ouvert à ce genre de caresse, elle adore ça. Son bassin ondule comme si elle n'avait jamais connu le plaisir auparavant : « encore, encore ! va plus vite ! ». Il lui sourit... « je vois que tu aimes ça, tu veux que je continue ? « Oh Oui ! Ouuuiii ! Ne t’arrête surtout pas ! ». Vesna ne s'est même pas rendue compte qu'elle tutoie mon amant tellement elle plane. Pendant que ses doigts s’activent dans sa chatte trempée, son autre main vient caresser son petit bourgeon qui devient de plus en plus sensible. Vesna gémit doucement, recherchant un deuxième souffle. Pendant de longues minutes, elle continue sa double caresse jusqu’au moment où tout son corps se tend comme une corde de piano... une sensation inconnue germe en elle, son clitoris lui brûle, la pointe de mes seins est douloureuse, ses reins irradient dans tout son corps une vague énorme de plaisir.
De mon côté, à la vue de ce spectacle, je ne peux plus me retenir d'une puissante masturbation devant Patrice et Vesna, je crie mon plaisir sans aucune retenue. Je viens de jouir ! Vesna, quant à elle, n’a jamais connu une chose pareille ! Pour la première fois de sa vie, elle ressent ce qu’on appelle le plaisir ou plutôt l’orgasme. Elle vient de vivre le premier orgasme de sa vie, grâce à mon amant Patrice. Il se relève, le sourire aux lèvres, satisfait du résultat. Vesna retrouve doucement ses esprits, les lèvres de sa vulve et son clitoris ont pris une couleur rosée très prononcée tellement ils sont gonflés. Sa braguette est en saillie, déformée par son sexe en érection. Vesna lève les yeux pour rechercher son regard. D’un simple signe de la tête, il l’encourage à aller plus loin. Vesna pose ses mains sur sa ceinture et la déboucle puis baisse la fermeture éclair. Elle fait glisser son pantalon le long de ses cuisses découvrant un caleçon noir gonflé par une belle bosse. Elle passe une main de chaque coté de ses hanches et fait descendre son sous-vêtement, son sexe jaillit sous ses yeux. Vesna n’en revient pas de voir chez un homme qui a dépassé la soixantaine se dresser fièrement une queue plus que raisonnable. Elle est grosse, bien plus grosse que l'anormal avec une belle paire de bourses pendantes. Vesna n’en a jamais vu d’aussi grosses... et surtout d’aussi près, il faut dire qu'elle je n’en connaît pas d’autres. Patrice encourage Vesna de sa voix grave et rassurante : « tu dois découvrir l’organe masculin, le toucher, le caresser avec douceur. Elle approche sa main de son sexe. Elle n'en revient pas de la taille de son engin. Sa main en fait le tour, « bon maintenant, ouvre la bouche et si ça ne te met pas trop mal à l'aise, alors suce-moi ! ». Cet ordre laisse Vesna sans voix, mais sans bien savoir pourquoi, elle obéit, voulant lui rendre ce qu’elle lui a déjà donné. Vesna pose alors timidement sa bouche sur son sexe si imposant et le fait coulisser entre ses lèvres. Elle lui offre une fellation délicate, ne sachant pas trop comment s’y prendre. Patrice pose sa main sur la joue de Vesna et la caresse pour l’encourager. La langue de Vesna entre en contact avec le gland dont le goût n’est pas désagréable. Elle se met à aller et venir dessus, laissant à chaque passage un filet de salive sur son pénis désormais brillant. « N’oublie-pas mes bourses, prends-les dans ta main et caresse-les en même temps... Tu es si différente de ta maman, Sabine, si docile et appliquée. J'adore ça ! ». Vesna aime sa voix, son timbre et ses directives, faisant tout ce qu’il lui demande, accélérant ou ralentissant la cadence, accentuant ou diminuant la pression à exercer sur sa verge. Les gémissements de Vesna, de contentement l’encouragent et entretiennent son excitation. Elle s’applique si bien à lui rendre le plaisir reçu qu’il ne tarde pas à m’implorer « Continue, surtout ne t’arrête-pas ! Je sens que je viens ! Putain que c’est bon ! ». Vesna sent le sexe de Patrice gonfler encore dans sa bouche annonçant l’imminence de sa jouissance. Mais il a la délicatesse de se maîtriser pour la prévenir « je vais bientôt jouir, si tu ne veux pas que j’éjacule dans ta bouche, je peux comprendre. Dans ce cas fais-moi jouir sur tes seins... mais si tu veux aller jusqu’au bout, branle-moi plus vite et surtout je t’interdis de tout recracher ! ». Vesna semble apprécier la galanterie de Patrice de lui laisser le choix Vesna accélère le rythme et ses vagissements sont sa récompense : « oui ! Vas-y ! c’est bon ! Aaahhh ! Aaahhh. Tu me suces comme une reine... je vais jouir... ne t’arrête pas ! Deux gouttes de pré-sperme coulent sur la langue de Vesna, aussitôt suivi de puissants jets d’une semence abondante qui manque de l’étouffer car vu son âge, Vesna ne croyait pas assister à un tel festival. Vesna est obligée de s’y reprendre en plusieurs fois pour avaler la totalité du sperme de Patrice. C’est la première fois de sa vie que Vesna avale le sperme d’un homme et qui plus est, celui de l'amant de sa mère ! Si j'avais dit ça ce matin, lorsque Patrice est arrivé chez nous, Vesna ne m’aurait jamais cru ! Vesna et moi avons échangé sur cette expérience unique. Contrairement à ce que Vesna redoutait, le goût ne l’a pas rebuté. Vesna ne veut pas laisser ressortir son pénis avant de l’avoir complètement nettoyé de sa semence et de la bave abondante. « Tu as été parfaite Vesna... tu t’es bien débrouillée pour une novice... nous continuerons demain ».
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Sabine Edwarda
13 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un « p'tit déj servi nu en terrasse » est à étudier, notre habitude est le « quasi-nu » parce que la charge érotique dégagée est beaucoup plus puissante.
Comme mentionné dans mes textes ce pourrait être Vesna en tablier blanc modèle « serveuse de bar », moi en short cuir très souple légèrement ample, toutes les deux sans rien d'autre, donc topless, bras et jambes nues.
C'est vraiment très érotique.
Qu'en pensez vous ?
Comme mentionné dans mes textes ce pourrait être Vesna en tablier blanc modèle « serveuse de bar », moi en short cuir très souple légèrement ample, toutes les deux sans rien d'autre, donc topless, bras et jambes nues.
C'est vraiment très érotique.
Qu'en pensez vous ?
Bonne nouvelle pour votre nouvelle histoire, j'ai toujours eu une préférence pour tout ce qui concerne l'exhib!!!
Pour les "Extras" du petit déjeuner, laissez tomber vos tenues minimalistes : un p'tit déj servi nu en terrasse me conviendrait . Pour le reste, je vous laisserai carte blanche...
Pour les "Extras" du petit déjeuner, laissez tomber vos tenues minimalistes : un p'tit déj servi nu en terrasse me conviendrait . Pour le reste, je vous laisserai carte blanche...
Une autre histoire qui a pour titre « Sabine s'exhibe devant Richard, fils d'une voisine, qui se masturbe » a été postée, elle sera bientôt publiée. Richard c'est un ado qui habite dans l'immeuble à côté.
Pour les « "extras" du petit déjeuner », j'aimerais bien vous offrir ou vous faire quelque chose qui vous plairait sur le plan sexuel. Avez vous des idées sur ce que je pourrais vous offrir compte tenu de ce que j'écris dans mes textes ?
Pour les « "extras" du petit déjeuner », j'aimerais bien vous offrir ou vous faire quelque chose qui vous plairait sur le plan sexuel. Avez vous des idées sur ce que je pourrais vous offrir compte tenu de ce que j'écris dans mes textes ?
Vos voisins ont énormément de chance d'avoir des voisines comme vous ! Pour les "extras" du petit déjeuner, dite moi ce que vous aimeriez "m'offrir" ou me faire, vous seule ou vous deux...
Si j'ai d'autres questions ? Oui, j'en ai une: est-ce qu'une autre histoire est au programme ? J'ai hâte de vous lire...
Si j'ai d'autres questions ? Oui, j'en ai une: est-ce qu'une autre histoire est au programme ? J'ai hâte de vous lire...
Les « extras » dans nos petits-déjeuners,plusieurs choses sont possibles, qu'aimeriez vous ?
Pour le pique-nique des voisins, cela se passe dans notre véranda (voir de quoi il s'agit dans « Je raconte notre vie et quelques plaisirs interdits de notre quotidien »).Pour votre question « Comment vous habillez-vous ? », je dirais que nous sommes en tenue minimaliste (exemple chemise nylon quasi-transparente ouverte et talons vertigineux) ou bien extrêmement provocante, style « pute » (exemple short vinyl ou latex très serré qui moule parfaitement nos fesses). Autre question ?
Pour le pique-nique des voisins, cela se passe dans notre véranda (voir de quoi il s'agit dans « Je raconte notre vie et quelques plaisirs interdits de notre quotidien »).Pour votre question « Comment vous habillez-vous ? », je dirais que nous sommes en tenue minimaliste (exemple chemise nylon quasi-transparente ouverte et talons vertigineux) ou bien extrêmement provocante, style « pute » (exemple short vinyl ou latex très serré qui moule parfaitement nos fesses). Autre question ?
Et lors de la journée du pique-nique des voisins, comment que ça se passe avec vous 2? Comment vous habillez-vous ?
Très intéressant ! Et que proposez-vous au "menu" et comme extra pour le petit déj???
Disponible pour vous en dire plus ou répondre à vos questions sur ces « petits-déjeuners, table ouverte ».
Le matin, on fait aussi « petit-déjeuner, table ouverte »,
Le matin notre appartement est disponible sans rendez-vous. C'est un véritable lieu d'échange et de rencontre. La porte n'est pas fermée à clé, il suffit donc d'actionner la poignée et pousser la porte pour entrer chez nous. Nos visiteurs entrent, laissent au porte-manteau chemise et pantalon, se dirigent vers la cuisine pour prendre le petit déjeuner avec nous. Nous sommes en tenue minimaliste, Vesna en tablier blanc modèle « serveuse de bar », « femme de chambre dans un grand hôtel », moi en short cuir, agneau plongé, toutes les deux en escarpins vertigineux et topless. Nos visiteurs s'installent à notre table avec nous.
Le matin notre appartement est disponible sans rendez-vous. C'est un véritable lieu d'échange et de rencontre. La porte n'est pas fermée à clé, il suffit donc d'actionner la poignée et pousser la porte pour entrer chez nous. Nos visiteurs entrent, laissent au porte-manteau chemise et pantalon, se dirigent vers la cuisine pour prendre le petit déjeuner avec nous. Nous sommes en tenue minimaliste, Vesna en tablier blanc modèle « serveuse de bar », « femme de chambre dans un grand hôtel », moi en short cuir, agneau plongé, toutes les deux en escarpins vertigineux et topless. Nos visiteurs s'installent à notre table avec nous.
Je ne connais pas le principe ! Pouvez-vous m'expliquer ? J'ai hâte de savoir ce que c'est!
Pour « passer prendre un café chez toutes les deux », c'est quand vous voulez. Le matin, on fait aussi « petit-déjeuner, table ouverte », vous connaissez le principe ?
Bonjour Sabine!
Quand puis-je passer prendre un café chez toutes les deux ???😁
Histoire très excitante, comme d'habitude!!!
Quand puis-je passer prendre un café chez toutes les deux ???😁
Histoire très excitante, comme d'habitude!!!
J adorerais avoir l àdresse du salon pour profiter des soins