Patron et ma femme

- Par l'auteur HDS Omarrrr -
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Patron et ma femme Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2022 dans la catégorie Plus on est
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Patron et ma femme
David, son époux, travaillé le plus possible afin pourvoir sa ravissante jeune femme de toutes les menues choses qu'elle désirait.

Toutefois, les longues heures de travail et le travail éreintant l'épuisaient, il était exténué lorsqu'il rentrait chez lui.

Ces dernières années son habileté à satisfaire les appétits sexuels de sa somptueuse femme ne faisait aucun doute.

Mais dès qu'il perdit sa confiance en la fiabilité de ses érections, en sa capacité à déployer sa bite de taille moyenne, les échecs se multiplièrent.

Son épuisement et son impuissance grandissante l'éloignaient de sa femme habituée à voir ses appétits totalement satisfaits.

Il était environ 16 heures lorsque j'arrivais au mobile home rouillé de David et Karen. Il se trouvait au beau milieu du camp de camping et ma nouvelle Lincoln blanche contrastait violemment avec la grisaille et le délabrement environnant.

Comme je me dirigeais vers la porte, je remarquais que des ombres bougeaient derrière les fenêtres des autres "habitations", les habitants épiaient chacun de mes pas.

Dans des circonstances normales, un noir n'aurait jamais été autorisé à visiter une jeune épouse blanche, je souris en frappant à la porte du mobile home, mais bien sur les circonstances étaient loin d'être normales.

Un homme riche était respecté et j'étais l'homme qui avait le plus d'argent dans cette ville.

La jeune et jolie madame Karen Saunders ouvrit sa porte, elle était vêtue d'une brassière blanche qu'elle portait sans soutien-gorge et d'un short de jean coupé court qui mettait en valeur ses longues jambes bronzées.

Visiblement ma présence devant sa porte l'effaroucha, elle jeta un rapide coup d'œil circulaire et revint à moi me demandant tranquillement :
- Monsieur Washington, qu'est ce qui me vaut votre visite?

- Bonjour Karen... Puis-je entrer? Lui répondis-je prestement.

Je sentais bien que la somptueuse beauté qui me faisait face cherchait une excuse pour ne pas me laisser entrer.

- Il y a des problèmes l'usine et je pense qu'il vaut mieux qu'on en parle à l'intérieur... Lui exposais-je calmement, en jetant un œil circulaire sur les autres mobile homes.

Ayant regardé ses voisins, elle décida qu'il vaudrait mieux, effectivement, discuter à l'intérieur, cette maison qu'elle partageait avec son époux depuis 3 ans.

Elle avait épousé David alors qu'elle avait 15 ans et il lui avait cueilli sa précieuse fleur.

Elle s'écarta timidement comme je visitais à loisir le petit appartement propret.

Le conditionneur d'air sous dimensionné ne parvenait pas à dissiper les dernières chaleurs de cet après-midi d'été.

Je me dirigeais vers le sofa et m'y assis.

- J'ai soif, apportez-moi une limonade avec des glaçons!

Visiblement choquée par mon attitude cavalière, Karen jeta un œil timide sur son environnement et se rendit dans la kitchenette pour me préparer ma limonade.

Comme elle approchait humblement, je tapotais le siège près de moi et lui susurrais convivialement :
- Je vous en prie, joignez-vous à moi... Je dois vous dire quelque chose au sujet de l'usine...

Après une longue hésitation elle se glissa à mes cotés après m'avoir donné mon verre de limonade.

Elle gardait ses longues jambes serrées l'une sans rien dire.

- J'ai bien peur que l'usine doive se séparer d'une quinzaine de collaborateurs... Je dois augmenter la rentabilité et j'ai découvert qu'un nombre moindre d'ouvriers exécutera le même travail s'il est habilement motivé. J'ai déjà pensé aux moyens de les motiver ce qui me permet d'éliminer les profiteurs... Lui annonçais-je calmement.

Comme je regardais l'adorable blonde dans les yeux je vis une certaine appréhension s'afficher sur sa figure.

Elle finit par lever les yeux et me posa l'évidente question :
- Que va-t-il se passer pour David ? M'interrogea-t-elle d'une voix tremblante.

- Ouais... J'ai bien peur que... Commençais-je, souriant intérieurement lorsque je vis son visage afficher son horreur.

- Mais nous venons tout juste d'acheter une voiture neuve et nous avons de nombreuses dettes en souffrance... Me répondit-elle les yeux pleins de larmes, elle détourna rapidement son regard cherchant à cacher ses pleurs.

- David disait que tout se passait bien au travail et...

- Bien... Commençais-je, prenant entre mes mains les mains tremblantes, je les caressais gentiment :
- Vous savez, il n'est pas encore mis à la porte...

S'attachant à cette dernière ouverture, désespérée, elle me regarda dans les yeux et murmura :
- Il ne serait pas... Essuyant ses yeux elle me jeta un regard plein d'espoir.

- Non il ne serait pas... C'est moi qui décide qui reste et qui part... Enonçais-je sentant ma grosse bite noire se déployer dans mon pantalon.

- Vous feriez cela? Me demanda-t-elle éperdue.

Oui, je dois te dire que je suis déjà allé voir d'autres femmes d'employés... Et... Je dois te dire qu'elles ont préféré coopérer... Et leurs maris ont conservé leurs emplois ! C'est pourquoi je suis venu te voir, je me demandais si tu voulais vraiment aider ton mari à conserver son emploi !

Le brusque tutoiement la déstabilisait fortement, il l'obligeait déjà à admettre inconsciemment qu'il avait tous les atouts dans sa manche, le sort de son mari dépendait uniquement de sa bonne volonté... Et donc de sa docilité à elle !

L'air de l'implorer la ravissante blanche le regardait horrifiée.

- Bien sur que je veux aider mon mari !

Un sourire sardonique éclaira mon visage alors que je saisissais sa main pour la poser sur mon entrecuisse. Ma grosse bite noire se déploya lorsque machinalement elle referma ses doigts sur ma hampe avant de la repousser abruptement.

- Oh non, je ne peux pas tromper mon mari ! Me supplia la somptueuse Karen.

- Avant que tu ne refuses définitivement, je te suggère de penser à ton mari et à votre avenir... Comment survivrez-vous sans le boulot de ton mari? La raillais-je cruellement.

Tout en posant cette question, je posais ma main droite sur son genou et je caressais tendrement la face interne de sa cuisse.

- S'il vous plait... Ne faite pas ça... Soupira-t-elle misérablement.

- C'est bon... Ton mari peut se chercher un nouveau boulot! Oh oui, il ne lui servirait à rien d'utiliser mon nom comme référence... En fait, il va avoir beaucoup de mal à trouver un autre travail... Je vais tout faire pour l'en empêcher !

Karen se mit à sangloter, je tournais les talons prêt à sortir.

- Atte... Attendez... Murmura-t-elle d'une voix atone.

Je me retournais lui faisant face, la regardant droit dans les yeux alors qu'elle était toujours assise sur le sofa.

- Oui...

- S'il vous plait ne m'obligez pas à... Je vous en prie... Je vos en prie... Sanglotait-elle éperdue.

Je tournais les talons
- Tu me fais perdre mon temps salope... Je vais me trouver une autre pute blanche! Ricanais-je en me dirigeant vers la porte.

- Non, je vous en prie... Répliqua-t-elle hésitante puis la tête baissée elle soupira :
- C'est d'accord...

Je souris, me reculant d'un pas, faisant face à l'attrayante créature. Je posais mes mains sur mes hanches, attendant qu'elle prenne l'initiative. Elle hésitait.

- Viens ici salope! J'ai pas toute la journée! Lui hurlais-je menaçant.

Elle se glissa sur le rebord du canapé, tendit ses mains tremblantes. Elle agrippa le curseur de la fermeture éclair de mon pantalon de costume italien.

Je levais les yeux, un sourire triomphant sur mon visage alors que je jetais un coup d'œil circulaire sur cette épave de mobile home.

Je souris encore plus largement en entendant descendre la fermeture éclair de ma braguette.

Sa petite main menue plongea dans mon pantalon. Ses doigts se refermèrent sur mon épaisse mentule, je l'entendis nettement haleter. J'attendais patiemment, elle sortit finalement ma grosse bite. Je baissais les yeux et souris, en la voyant écarquiller ses yeux comme des soucoupes, sa mâchoire sembla se décrocher, sa bouche était grande ouverte, je lui demandais :
- Je parie que tu n'as jamais vu de bons gros chibres noirs auparavant ?

Elle hocha lentement la tête.

Je lui souris :
- Allez salope, referme tes lèvres bien roses sur ma bite noire !

Karen enfourna prudemment ma bite dans sa bouche chaude et humide.

Elle lécha le gland pourpre comme une sucette.

Pendant ses trois années du mariage elle n'avait guère pratiqué que la traditionnelle position du missionnaire, et encore assez rarement ces derniers mois.

Elle sentait une épaisse purée s'accumuler dans l'entrejambe de son short de jean.

Alors qu'elle se sentait plus à l'aise pour déguster son gros champignon, elle se débattit mais n'en avala pas moins 8 bons centimètres de plus de bite noire.

Comme elle se débattait en suçant ma hampe tendue, je la raillais cruellement :
- Je parie que ton précieux David ne te fourre pas souvent sa bite en bouche !

Son esprit affolé évoquait des images, elle voyait clairement la bite amollie et inutile de son époux.

La longue bite épaisse provoquait l'érection de ses tétons qui frottaient contre le tissu de sa courte brassière.

Sa petite culotte blanche était trempée de cyprine alors qu'elle se démenait pour le sucer, avide d'en tirer un certain plaisir.

Elle ne parvenait pas à concevoir qu'une bite puisse être aussi dure.

D'autant qu'elle n'avait expérimenté que la virilité de son mari et qu'à cet instant de sa vie elle se consumait de désir.

Tandis que mon chibre raidissait, je commençais à bouger mes hanches, présentant mon chibre noir à l'orée de la gorge de karen.

Comme elle commençait à étouffer, je sentis mes burnes s'emplir d'une prochaine éjaculation.

J'attrapais prestement les mains de Karen alors qu'elle se démenait ma grosse prune maintenant engagée dans sa gorge crispée.

Un dernier coup de boutoir m'amena au bord de l'explosion, je projetais ma chaude semence dans l'arrière gorge de l'adorable madame David Saunders.

Elle aspira mon précieux jus jusqu'à ce que je la laisse me lâcher, quelques gouttes tombèrent sur le tapis usé à la corde.

Comme elle reculait sa tête libérant mon gros braquemart, un filet de foutre luisant s'étira reliant mon gland turgescent et à son menton souillé de foutre.

Les yeux fermés elle cherchait à nier son incontestable soumission.

Je fis un pas en avant et me branlais pour extraire les dernières gouttes de sperme de mon méat, elles tombèrent sur ses longues jambes bronzées, elle ouvrit les yeux en grand en sentant cette dernière décharge gluante lui souiller les cuisses.

- Quel moyen contraceptif utilises-tu ma chérie ? Lui demandais-je suavement.

Hébétée elle leva les yeux vers moi et me répondit timidement :
- Nous ne pouvons utiliser que des préservatifs !

J'enfourchais le buste de la malheureuse ménagère effarouchée laissant reposer ma bite dégoulinante de foutre et de cyprine sur ses délicieux nichons toujours couverts de sa petite brassière.

Je laissais le tissu de sa brassière s'imprégner de foutre provoquant leur seconde érection de l'après-midi.

Comme elle me regardait avec appréhension, je la choquais à nouveau en commentant :
- Tes hésitations m'ont profondément déplus! Je t'appellerai en cours de semaine... Puisque tu parais affamée de bite ma petite salope, ta prochaine passe te coûtera 50 $.

Karen allait protester, mais soudain ses plaintes s'envolèrent.

Elle savait pertinemment qu'elle n'avait pas le choix, alors que la bite du patron noir de son mari l'excitait follement, elle en avait la foufoune trempée de désir.

- Si me satisfais, j'utiliserai un préservatif... Si tu préfères me désobéir à nouveau lors de notre prochain rendez-vous, tu repartiras la chatte pleine de mon foutre fertile! Ricanais-je férocement.

Me relevant, je remontais ma fermeture éclair et me dirigeais lentement vers la porte.

Lorsque je l'atteignis, je me retournais pour contempler une dernière fois la fragile beauté, respirant difficilement, couchée sur ses coudes.

Son visage, au menton dégoulinant de mon foutre, reflétait son anxiété... Et son excitation.

- Ouais... Pensais -je ravi.

- L'ensorcelante madame Saunders va constituer un délicieux jouet que j'utiliserai au gré de mes désirs !

En quittant le mobile home délabré je souris en sentant les yeux des voisins braqués sur moi, épiant chacun de mes mouvements.

En sortant du parc, je savais déjà que David se poserait bientôt de nombreuses questions pendant la chaude nuit d'été à venir.







Un patron noir - 2 - La conquête

Black Boss -- 2 The Conquest Continue

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Madame Karen Saunders était sur les nerfs les quelques jours qui suivirent ce jour où elle avait satisfait les appétits lubriques du patron de son mari en lui prodiguant une fellation.

Elle n'avait que rarement prodigué des fellations à son mari.

David passait par une période épuisante tant le travail de l'usine s'avérait éreintant.

Son patron noir avait ordonné à son contremaître noir de refiler à David les boulots les plus sales, les plus déplaisants.

Plus il était crevé et plus il était stressé ce qui avait un impact direct sur ses capacités et ses désirs sexuels, il faisait de moins en moins l'amour à sa charmante femme frustrée.

Une semaine s'était presque écoulée depuis qu'elle attendait le coup de téléphone du patron noir.

Michael savait que plus il retardait son coup de fil, plus l'adorable madame Saunders se crisperait.

Michael adorait au moins autant le temps de la conquête que les plaisirs dégradants qu'il tirait ensuite de ses conquêtes.

Lorsque la sonnerie du téléphone retentit, Karen le regarda avec appréhension.

Se saisissant délicatement du combiné elle le porta à son oreille et souffla timidement
- Oui...

Michael la laissa mariner quelques instants avant de dire ses premiers mots.

Le temps qu'il parle, la tremblante madame Saunders avait été totalement déstabilisée, elle angoissait terriblement.

- Madame Saunders...

Karen, les mains tremblantes, les lèvres pincées, répondit misérablement à la voix autoritaire à l'autre bout du fil :
- Oui, monsieur Washington...

- Je t'avais dit de ne pas permettre à ton mari de te toucher cette semaine... M'as-tu obéi? L'interrogea-t-il avec arrogance.

- Je n'ai pas fait l'amour avec David monsieur Washington... Il a essayé à plusieurs reprises, mais j'ai prétendu avoir des maux de tête! Répondit la tremblante jeune femme.

- Je veux que tu viennes me rejoindre à l'usine... Mais tout d'abord... Je vais te dire quoi porter... Je te suggère de ne pas me décevoir ma chérie! Continua-t-il d'une voix menaçante.

Il attendit encore quelques instants avant de reprendre, ce qui permit à sa jeune soumise de bien digérer ses instructions.

- Dorénavant, ma petite chérie tu ne porteras plus de jupe de moins de 22 centimètres au-dessus des genoux... Plus de soutien-gorge... De toute manière tes petits nibards n'en ont aucun besoin ! La railla-t-il cruellement.

Lorsque tu viendras, tu feras mieux d'amener les préservatifs de ton mari, lorsque tu seras là, si tu as appliqué mes instructions je te laisserai enfiler un préservatif sur ma grosse bite avant de te baiser madame Saunders... Eh, au fait madame Saunders, n'oublie de m'apporter le prix de mes faveurs! La railla-t-il
Karen, traumatisée, digérait les consignes humiliantes.

Lorsque Michael Washington eut reposé le téléphone, Karen se laissa se laissa glissa du plan de travail de la cuisine et s'assit sur le sol immaculé.

Son cœur battait la chamade une fine couche de transpiration lui couvrait tout le corps.

Ses tétons pointaient au travers du tissu de sa blouse de coton blanc.

Sa main glissa dans son collant et elle entreprit de se caresser lentement la chatoune.

Elle était déjà gorgée de sang avant même que sa main ne s'insère dans son affriolante petite culotte blanche.

Quelques instants plus tard elle reprit ses esprits, elle jeta un coup d'œil circulaire dans sa kitchenette et se rua sur le petit lit qu'elle partageait avec son mari.

Elle se dépouilla rapidement de sa blouse blanche et de son collant.

Une fois qu'il furent tombés au sol, elle ôta sa petite culotte blanche trempée de cyprine et enfila sa plus belle petite culotte de dentelle noire qu'elle sortit du tiroir de sa commode.

Elle passa son porte-jarretelles noir et s'assit sur le lit pour enfiler des bas tirés du même tiroir sur ses longues jambes bronzées.

Tenant la porte de l'armoire ouverte elle sélectionna un short bleu marine et u élégant gilet.

Elle aurait du porter un chemisier sous son gilet sans manches, mais elle décida d'oublier le chemisier.

Comme elle quittait la chambrette elle se rappela soudain qu'elle devait prendre un article primordial.

Elle ouvrit alors le tiroir de la table de nuit de son mari et s'empara de trois préservatifs.

Les protections en main, elle courut vers la porte de son logis surchauffé.

Dès qu'elle eut atteint sa voiture vieille de dix ans elle couvrit rapidement les 15 km séparant le camp de l'usine.

Lorsqu'elle franchit les murs protégeant l'usine vieille de 60 an, elle pensa alors à un détail qui lui avait totalement échappé,
- Que ferait-elle si elle tombait sur son mari? Comment lui expliquerait-elle s'être vêtue en pute?

Jetant un rapide coup d'œil autour d'elle elle courut presque pour escalader les escaliers menant aux bureaux.

Alors qu'elle débouchait dans le hall de réception, elle sentit monter en elle une bouffée d'angoisse.

Elle ferma la porte dans son dos et se dirigea directement vers le bureau de la secrétaire de Michael Washington, une grande et ravissante noire avec qui un affichait un sourire ricanant.

Karen lui confia timidement :
- J'ai rendez-vous avec monsieur Washington!

- Pouvez-vous me donner votre nom? La questionna la fille noire, toisant la jeune femme effarouchée.

- Je m'appelle Karen Saunders... Répliqua-t-elle timidement.

Lorsque sa secrétaire l'avertit que son dernier jouet l'attendait, il lui rétorqua avec arrogance de la faire attendre!

Il se rappela alors qu'il n'y avait pas de chaise dans le bureau de sa secrétaire, cela l'amusa que la charmante ménagère se stresse encore plus de ce fait, lorsqu'après 20 minutes il l'autorisa à pénétrer dans son sanctuaire.

Comme madame Saunders entrait timidement dans son luxueux bureau, elle se posta face à son bureau en chêne massif.

Se trémoussant, elle regarda son amant noir qu'elle avait sucé moins d'une semaine plus tôt jusqu'à ce qu'il se vide dans sa bouche.

- Bien, que me voulez-vous Madame Saunders ? Lui demanda ironiquement le patron noir de son époux.

Karen regardait à terre ahurie par cette question.

Dans son esprit elle était ici parce que ce sale bâtard assis dans on large fauteuil voulait fourrer sa grosse bite dans son tendre minou.

Elle était ici parce que faute de se plier à ses demandes luxurieuses son mari perdrait son emploi!

Elle était ici parce que sa chatoune secrétait un torrent de cyprine dans sa petite culotte de entelle noire et sue ses nichons pointaient comme des obus au travers du tissu de sa veste bleue.

Elle était ici parce qu'elle voulait que ce salopard fourre ses 25 centimètres de bite noire dans sa chatoune détrempée. Finalement parce que son mari blanc ne l'avait jamais excitée comme ce bâtard de noir, qui l'obligeait à le supplier de la baiser.

- Je ne sais pas ce que vous voulez que je vous dise... Murmura la petite ménagère hébétée.

Amusé Michael Washington, son suborneur noir, la regarda droit dans ses yeux effrayés lui donnant cette réponse :
- Tu es ici ma chère madame Saunders pour te faire sauter par ma grosse mentule noire!

Si on te repose cette question, tu répondras que tu es ici au service de ma queue! Est ce bien compris?

Effrayée, chancelante sur ses hauts talons noirs, frémissant d'un long tremblement alors que sa chatoune coulait à flot elle murmura doucement :
- Je suis ici pour me faire baiser par votre grosse bite noire!

- As-tu apporté mes honoraires? L'interrogea Michael Washington.

Plus qu'humiliée Karen fouilla dans son porte-monnaie et en sortit 5 billets de 10 $.

Cela représentait quasiment 20 % de la paye nette de son mari.

Comme elle sortait l'argent de son porte-monnaie, les 3 préservatifs tombèrent au sol.

Elle se baissa, ramassa les trois capotes et se tint debout les serrant dans ses petites mains.

Regardant railleusement sa dernière conquête, il demanda à la petite ménagère, se moquant visiblement d'elle :
- Aimerais-tu que je me serve des capotes de ton mari lorsque je te baiserai?

- Oh oui, je vous en prie! Je ne veux pas me retrouver enceinte... Lui rétorqua-t-elle nerveusement.

Le patron noir l'attira gracieusement à lui, et contourna le bureau regardant droit dans les yeux la timide et infortunée jeune femme.

Il prit son menton en main et l'embrassa sur les lèvres.

Il lui caressa un moment ses lèvres purpurines de sa grosse langue épaisse sondant ses dernières défenses.

Après quelques essais sa ravissante proie se soumit l'autorisant à enfouir sa langue dans sa bouche chaude et humide.

Il explora de la langue sa petite bouche elle tenta, en vain, de combattre de sa langue l'impitoyable envahisseur!

Comme sa langue recherchait la sienne, il posa sa main gauche sur le gilet bleu qui lui couvrait les miches.

Il massa lentement ses globes mammaires et finit par déboutonner les boutons du col.

Effarouchée par cette manœuvre elle voulut reculer d'un pas.

C'est alors qu'elle comprit où elle se trouvait et surtout pourquoi elle était là.

Il continuait à déboutonner son gilet bientôt sa grosse main empauma un de ses petits nichons.

Tout en lui malaxant ses tendres nibards, il frottait la bosse déformant son pantalon contre l'estomac de la jeune femme indubitablement excitée.

Elle haleta en sentant sa grosse mentule bien dure frotter contre sa chatoune embrasée.

Sous cette caresse les lèvres gonflées de sa chatoune virèrent au rouge vif témoignant de leur profond attisement, la jeune femme referma son bras sur la large épaule de son suborneur.

Il avait terminé de déboutonner son gilet et faisait maintenant glisser le léger vêtement de ses épaules la laissant ensuite choir au sol.

Ce mouvement dévoila en totalité sa petite poitrine.

Comme le noir dominateur baissait les yeux sur la magnificence de ses miches, il sentit un brusque afflux de sang engorger sa bite.

Comme il bombait le ventre lui imposant un contact étroit avec sa bite déployée, quelqu'un frappa à la porte du bureau.

Un large sourire fleurissant sur ses lèvres il ordonna :
- Entrez...

La ménagère follement excitée était abasourdie.

Hébétée, elle braquait ses yeux sur le visage ricanant du noir qui lui triturait sans vergogne ses tendres nichons.

Karen recula et tenta de couvrir ses charmes comme un collaborateur blanc de son époux entrait dans la pièce et se figeait captivé par la vue de la jeune femme blanche cherchant à dissimuler ses charmes.

Abasourdi, comme paralysé, il se tenait mâchoire pendante lorsqu'il vit l'énorme bosse qui déformait le devant du pantalon italien du patron
Regardant dans les yeux la malheureuse Karen profondément humiliée, il sentit brusquement sa queue se redresser.

Il se retourna alors vivement marmotta quelques vagues excuses et se rua vers la porte.

Le patron tendit alors la main et attira la blonde ménagère contre son torse la main fixée dans ses longs cheveux.

- Tu n'as pas besoin de ta jupe, enlève là! Lui commanda-t-il sévèrement.

Confondue par ces derniers instants, Karen dégrafa rapidement la fermeture éclair de coté de sa jupe, comme sa jupe tombait au sol le maître noir se retrouva confronté à l'image affriolante de ses longues jambes gainées de bas noirs.

Il tendit la main et tapota gentiment le ventre musclé de la ravissante jeune beauté.

Il continua à flatter son ventre jusqu'à ce qu'il rejoigne la ceinture de sa petite culotte de dentelle noire.

Tandis qu'il tapotait son estomac, il la fixait droit dans les yeux.

Elle se pourléchait les babines maquillées de rouge, un soupir lui échappa alors.

- Désires-tu que je te fourre avec ma grosse bite noire madame Saunders ?

En transe, une transe sexuelle qu'elle n'avait jamais éprouvée auparavant, la jeune femme murmura humblement :
- Oui... Oh, oui je désire votre gros pénis noir !

Le patron noir comprit alors que la suite de sa conquête passait par sa dépendance sexuelle.

Lui-même avait besoin de s'accaparer la fragile épouse d'un de ses ouvriers éreintés.

Une fois qu'elle serait tombée sous sa totale emprise sexuelle, il détruirait l'amour propre de son mari.

- Enlève-moi ma chemise, puis mon pantalon. Je veux que tu me branles avec tes délicieuses petites mains! Lui intima-t-il avec autorité.

Elle obéit docilement.

Elle lui ôta sa chemise puis son élégant pantalon dénudant ses cuisses musclées.

Bien sur, il ne portait pas de caleçon, et sa longue bite confinée dans son pantalon jaillit à l'air libre dès qu'elle le lui enleva.

Michael guida la jeune femme subjuguée jusqu'à un large canapé de cuir à l'opposé de son bureau, elle se laissa tomber sur de confortables coussins.

Incrédule elle fixait les 25 centimètres de la grosse bite noire de Michael alors qu'il se laissait tomber à genoux.

Il posa ses doigts sur la ceinture élastique de la petite culotte de dentelle et lentement, avec une effroyable indolence il baissa le dernier voile qui dissimulait la caverne détrempée de la jeune et ravissante épouse de son subordonné.

Karen le supplia de se presser, mais Michael roula lentement sa petite culotte noire le long de ses longues, longues jambes.

Fermant les yeux elle priait pour qu'il lui ôte rapidement son sous-vêtement pour engouffrer sa grosse flamberge directement dans l'estomac.

Michael regardait sa caverne chaude et engorgée de cyprine, il baissa la tête et lui lécha ses babines luisantes.

Ce mignotage très doux faillit provoquer un orgasme prématuré alors qu'elle arquait le ventre pour s'offrir plus généreusement aux caresses de sa langue fouineuse.

- Je vous en prie léchez-moi la chatte... Oh mon Dieu! Hurlait-elle folle de frustration.

Plus Karen le suppliait de lui lécher la foufoune, de lui mettre sa grosse bite dans la chatoune, plus Michael hésitait. Le temps Le fait d'asseoir totalement son emprise sexuelle était important.

Michael Washington contrôlait totalement la ménagère qui se tordait de désir le suppliant de la sauter.

- Ma jeune amie si guindée, si prude voudrait-elle ma grosse bite noire dans sa cramouille? La raillait son maître noir.

Oh mon Dieu, je vous en supplie... Je vous en prie, je ne peux plus attendre... Ayez pitié! Gémissait la malheureuse jeune femme follement excitée.

Michael referma sa main sur grosse biroute dressée et s'agenouilla à quelques pas de sa fentine qui se tenait cuisses grandes écartées, prête à l'accueillir.

Lorsque le plaisir des léchouillages cessa, Karen ouvrit les yeux et se figea apeurée à la vue de la gigantesque mentule qui s'alignait sur sa minette détrempée.

Elle avança son cul vers la massive colonne se cabrant sur les talons pour tendre son ventre vers l'envahisseur tant désiré.

Comme la tête de sa grosse mentule noire heurtait les babines lubrifiées de sa délicieuse chatte, Karen était sur le point de tourner de l'œil.

La chaleur intense émanant de son gland turgescent l'émouvait au plus haut point, elle était impatiente de sentir Michael envahir son tunnel d'amour.

Elle gémissait sourdement alors qu'il se pressait contre sa chagatte accueillante.

La jeune ménagère blanche s'effarouchait se demandant si son étroite chatoune s'adapterait aux mensurations de son énorme chibre.

Elle s'arquait pour l'inviter à la pénétrer plus vite, impatiente de se faire baiser par son massif épieu.

- Veux-tu que j'arrête pour enfiler une des capotes de ton mari ? Lui demanda-t-il sarcastiquement, un large sourire fleurissant sur son visage.

- NON... Je vous en prie ne me laissez pas comme ça! Pénétrez-moi ! Je vous en prie... Mon dieu baisez-mooooooooiiiiiiiiiii... Hurlait Karen misérablement.

De son bureau, la secrétaire de Michael avait du entendre sa supplication.

C'était un cri de désespoir qu'elle entendait quasi journellement depuis que Michael Washington avait repris l'usine.

A chaque jour sa femelle blanche !

Centimètre après centimètre il enfouissait sa grosse biroute dans son étroite cramouille.

Lorsqu'il en eut enfoncé 10 bons centimètres, il s'immobilisa et regardant avec délectation le visage tourmenté de sa proie ravagée par un plaisir incontrôlable il se moqua :
- Là t'en as aussi long que la queue de ton mari dans la chagatte! Je ne t'en donnerai pas plus aujourd'hui !

Karen donnait des coups de rein désespérés pour en absorber plus. Elle agrippa ses épaules et referma ses longues jambes dans son dos faisant de son mieux pour l'enfouir plus profondément dans sa grotte embrasée.

Toutefois, en dépit de tous ses efforts elle ne parvenait pas à avaler un centimètre de plus de sa noire monstruosité dans sa chagatte avide, prête à le recevoir.

- Serre-ta chatoune... Je veux que tu aspires mon braquemart noir avec tes muscles vaginaux... Fais-moi plaisir et j'inonderai ta chatoune de foutre! Déçois-moi et je te déchirerai les fesses à grands coups de ceinture! Lui intima-t-il avec autorité.

Karen se pliait servilement à ses ordres. Elle sollicitait son éjaculation. Ce monstre noir qui la baisait à couilles rabattues l'excitait follement, un intense orgasme la terrassa qu'elle n'avait jamais ressenti avec sa mauviette de mari.

- Tends tes petites mains ma chérie, cajole ma bite ma jolie petite pute! Poursuivit-il en lui donnant ces ordres humiliant.

Karen empoigna la dure bite et traya la grosse mentule tandis que sa chagatte se crispait et se décrispait sur sa hampe turgide.

Elle se masturbait frénétiquement avec la bite de Michael, elle était épatée de constater qu'il restait 13 centimètres de biroute hors de sa foufoune pourtant un max distendue.

Michael continuait de la railler :
- Veux-tu goûter à mon foutre petite salope !

Karen avait perdu pied, elle planait loin de la réalité.

Tout ce qu'elle comprenait c'est qu'elle avait joui alors qu'elle branlait le patron de son mari, qu'elle travaillait sa bite à l'aide de ses muscles vaginaux tout en le priant de la baiser à fond.

Il finit par succomber aux vagues de plaisir que lui prodiguait frénétiquement la petite ménagère, il explosa sous les caresses de ses muscles vaginaux qui enserraient sa bite dans un gant de fer.

L'orgasme de Michael mit le feu aux fesses de la petite ménagère folle d'excitation, il la laissa continuer à branler sa bite toujours raide.

Il reposait sur le dos tandis que Karen continuait imperturbablement son œuvre de plaisir.

Elle continua pendant 10 bonnes minutes rebondissant d'orgasme en orgasme.

Il ne la laissa jamais absorber les 13 derniers centimètres de sa hampe, il les gardait en réserve pour leur prochain rendez-vous.

Finalement, consumée d'amour elle se laissa tomber sur le canapé éreintée.

Son adorable corps couvert de sueur continuait à soubresauter alors que son cœur reprenait un rythme plus normal après ces intenses orgasmes.

Après ce qui lui sembla durer une éternité, Karen ouvrit des yeux las et jeta un œil sur son corps amolli.

Ses tétons raidis avaient repris leur taille habituelle, elle se redressa légèrement et vit sa mince parure de poils empesée de foutre, le même foutre qui dégorgeait de sa chatte béante pour s'écouler sur la moquette.

Elle braqua les yeux sur Michael alors qu'il récupérait les gouttes de sperme s'écoulant de sa cramouille entre ses doigts avant de les porter à ses lèvres, qu'il enduisit de sa semence salée, elle pointa sa langue et en savoura le goût.

Il étala alors le foutre sur son corps, elle ne résista pas.

Enfin, il se redressa et lui intima :
- Et maintenant nettoie ma bite !

Sans hésiter, elle glissa hors du canapé et entreprit de lécher sa biroute en semi-érection. Des gouttes de semence suintaient de son méat, Karen les savourait de la langue et des lèvres.

Une fois la grosse bite noire nettoyée de toute souillure, elle lui nettoya les burnes les suçant avidement jusqu'à obtention de burnes débarrassées de toute flétrissure.

Michael se releva alors et se dirigea vers son bureau où il s'assit regardant l'adorable ménagère enfilant ses habits usés et trempés.

Il ne disait pas un mot et la jeune femme revint à la réalité tout en revêtant ses humbles habits.

Elle se dirigea modestement vers la porte et descendit avec lenteur les marches menant au parking.

Elle atteignait sa voiture lorsqu'un groupe d'ouvriers sortit de l'usine.

En sortant de son atelier David eut l'énorme surprise de trouver son accorte jeune femme face au bureau du patron. Il courut la rejoindre.

Il la rejoignit au moment même où Michael Washington sortait de son bureau ils se regardèrent les uns les autres.

La présence de sa femme à l'usine rendait David perplexe.

Karen baissait la tête au sol, elle sentait le foutre du patron de son mari s'écouler le long de ses cuisses.

Michael fut le premier à parler :
- Les capotes de ton mari madame Saunders ! Ricana-t-il hilare en lui tendant les caoutchoucs lubrifiés.

L'échange de regards effarouchés entre les deux époux l'amusait énormément.

Karen tendit la main humblement et récupéra les capotes inutilisées des mains de son suborneur.

- Avant que tu partes madame Saunders... Je veux que tu me donnes ta petite culotte noire... Je veux la garder en souvenir de notre premier rendez-vous cet après-midi! Se moqua la brute noire postée face aux deux époux hébétés.

Un nombre conséquent d'ouvriers avait convergé vers le petit groupe et les encerclés l'air surpris, ils ne savaient pas ce qui se tramaient sous leurs yeux.

Ils ouvrirent des yeux comme des soucoupes en voyant madame Saunders relever sa courte jupe et baisser sa petite culotte de dentelle noire.

Les mains tremblantes, folle de honte elle tendit la main, offrant sa petite culotte au propriétaire de l'usine.

Michael n'en revenait pas de voir la pauvre jeune femme lui offrir sans hésiter sa petite culotte sous les yeux des ouvriers rassemblés autour d'eux.

Après une bonne minute il empoigna la petite culotte qu'il porta à ses narines se régalant des senteurs musquées de l'épaisse purée de foutre et cyprine mélangés qui en souillait le fond.

Tournant les talons pour réintégrer son bureau il lui délivra un dernier message :
- Je t'appellerai quand je voudrai profiter à nouveau de tes charmes ma chère madame Saunders...

Sur ces mots il ouvrit la porte de ses bureaux et disparut délaissant le couple et la troupe d'ouvriers qui s'entreregardaient.

David se sentait vidé de toute énergie alors qu'il se tenait au cœur du groupe de ses collègues qui venaient de voir sa femme offrir volontairement sa petite culotte à leur impitoyable patron.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Ça ressemble aux récits de Coulybacca celui qui est mort pas celui qui porte son pseudo sur HDS.
Bref rien de nouveau.



Texte coquin : Patron et ma femme
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