Paul 5, les derniers moments.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Paul 5, les derniers moments.
Après cette soirée avec Paul, la nuit fut très calme, par la suite.
Au petit matin, avant de se lever, il m'a gratifié de nombreuses caresses et baisers.
Son érection matinale, me fait peur.
"Paul ! Pas ce matin, je vais pas pouvoir bosser, si tu m'encules encore !".
"Ne t'en fais pas ! Je te laisse tranquille, mais je dirais pas non, à une petite pipe !".
"Hummm ! Ca ! Je peux ! Avec plaisir !".
Je me délecte de son énorme queue pendant de très longues minutes délicieuses, sous ses gémissements gratifiants.
Il m'inonde la gorge de son nectar salé et chaud, que j'avale aussi longtemps qu'il se déverse.
Il me faut attendre un moment certain pour effacer le gout de son sperme dans ma bouche.
C'est un bon café qui couvrira à son tour mon palais de son parfum.
Pendant le petit déjeuner, je me plains, en quelque sorte:
"Je crois que je fais une overdose de sexe ! J'en peux plus ! Ca fait plusieurs mois que je fais face à 5 relations suivies, c'est trop, je vais devoir faire un tri !".
"Tant que ça ?".
"Ben, il y a toi qui me baise deux à trois fois par semaine. Roger et Sébastien, tous les soirs, du Lundi au Vendredi ! Momo, quand il m'attrape au vol, au moins, deux fois par jour, mais qu'une à deux fois par semaine, parce que je l'évite. Et ma copine, tous les jours ! C'est trop !".
"En effet, mais c'est ta faute ! Tu nous plais trop ! Pour ce qui est des mecs, je sais ce qu'ils aiment chez toi ! Ta copine, c'est autre chose ! Mais du coup, tu seras Ok, si je reviens dans 3 jours ? Avec ta nouvelle coiffure ?".
"Oui, mais laisses-moi l'acheter, tu me donnes assez d'argent pour ça ! Comme ça, tu auras la surprise, et je serais "prête", en Alice !".
"Super ! T'es génial ! Mon petit Pascal ! A Jeudi !".
On sort de mon appartement ensemble, puis, on se sépare à l'intérieur de l'arsenal militaire.
Je vais devoir annoncer à Mohammed que je ne peux plus entretenir de relation avec lui.
Pour le reste, je sais que Paul va devoir partir à cause de sa future mutation.
Je fais donc, ce moindre effort, par amour-amitié envers lui.
Le lendemain, je me rends en Sex-Shop pour choisir une perruque brune, très stylée et assez onéreuse, mais je considère que c'est Paul qui l'a payée !
Le jour venu, après avoir reconduit ma belle à son bus, je rentre chez moi.
Nous sommes Jeudi, mon amant va arriver dans une heure.
Je rend mon corps complètement imberbe, et m'affuble de nouveaux sous vêtements.
Je m'applique pour le maquillage, que je gère assez bien, à présent.
C'est étonnant comme on peut changer de regard, avec tous ces artifices.
Je termine par l'ajout de la perruque qui me change complètement le visage, très différent de Sabrina.
Je replace ma jupe sur mon cul et enfile le pull fin, fendu en V dans le dos.
Il est temps que cette relation prenne fin, je commence à prendre du plaisir dans cette transformation.
Je bande fermement, j'essaie de penser à autre chose.
Mais je m'imagine en train de jouir ainsi, empalée par Paul, ce qui m'excite encore davantage.
Ca y est, je pense au féminin ! Et c'est très agréable !
Le bruit de sonnette me sort de mes pensées.
J'ouvre sans répondre et vais l'attendre dans mon salon chambre, perchée sur mes talons.
"Toc Toc !".
"Entres !".
Il entre en arrivant directement dans ma cuisine, je me dirige vers lui:
"Bonjour Paul !".
"Bon... Bonjour Alice ! Tu es ... très belle !".
"Merci, tu es beau, toi aussi !".
"Je peux m'approcher ? Tu m'intimides !".
"Il faudra bien ! On ne va pas se regarder toute la soirée !".
Il vient vers moi et pose une main sur ma taille, je lui attrape la nuque pour lui offrir ma bouche, ornée de rouge à lèvres.
Dès ce moment, nos corps sont saisis de tressaillements, sous les caresses de l'autre.
Il est clair que nous prenons de plus en plus de plaisir à nous retrouver.
A la fin de notre intense et interminable baiser, il commence à me dire:
"Oh, Pascal ! Je ...".
Je lui bloque les lèvres, et lui demande:
"Chutt ! Je suis Alice ! Traites moi comme la femme que je suis devenue pour toi !".
Il sourit et répond:
"Oui, Alice, tu as raison ! Ca fait longtemps que je rêve de te rencontrer !".
"Ah bon ? J'ai de la chance alors ! Donc, je suis belle à tes yeux !".
Je sais qu'il apprécie mes efforts de féminité dans ma voix.
Je l'aide à dépasser sa peur de tout gâcher, en osant me toucher plus vicieusement.
Je lui palpe le sexe avec une main et lui annonce:
"Paul ! Il va falloir me faire l'amour, tu sais ! J'en meure d'envie ! Et je vois que toi aussi !".
"Oh, Alice ! Tu me plais trop ! C'est vrai ? Je peux ?".
"Oui, j'attends que ça, prends tout ! Je suis toute à toi !".
Il me retourne et relève ma jupe.
Il écarte le fil de mon string, d'un doigt, puis plonge sa bouche entre mes fesses imberbes.
Je me cambre pour l'aider à me dévorer longuement.
Il me couvre de mots tendres et passionnés, je lui rend sa passion.
Il se redresse et m'embrasse tout en dégageant sa bite.
Il me replace contre le mur et colle puissamment son énorme gland contre mon œillet.
"Ohhhh ! Paul ! Tu es énorme ! Tu vas m'écarteler ! Arhhhhhh !".
"Je vais faire doucement, ne t'inquiètes pas ! Alice ! Ca va aller !".
Je tire sur mes deux fesses, en même temps, avec mes mains.
Son gland en profite pour s'insérer plus profondément.
"Arhhhhhhhhhhh ! C'est bon, Paul ! Arhhhhhhhhhhh !".
Il recule et rentre, plusieurs fois, en gagnant du terrain à chaque retour en moi.
Il passe le virage serré au fond de mon cul et s'enfonce entièrement en moi.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Paul ! J'aime t'avoir en moi ! C'est bon de faire l'amour avec toi !".
"Moi aussi, j'aime être dans ta chatte Alice ! Je vais te prendre longtemps ! Je veux en profiter !".
"Oui ! Arhhhhhhhhhhh ! Encore ! Fais-moi jouir !".
Sa queue se couvre de mon jus anal, de plus en plus abondamment.
Il coulisse en moi aisément, à présent.
Nos corps se rejoignent, au rythme de nos râles et gémissements de plaisir partagé.
Il me provoque deux immenses orgasmes, puis il se retire.
Je me retourne, encore secoué par l'effet anesthésiant du plaisir qu'il m'a donné.
Je fixe sa longue bite, brillante de sécrétions anales.
Il m'entraine vers le lit, et me défait la jupe.
Je suis devant lui en porte-jarretelles et bas foncés, mon sexe au repos est caché par le triangle du string.
Mon petit pull, amplifie la redondance causée par mes faux seins de fortune, dans mon soutien gorge.
Il se libère de ses vêtements.
Il me couche sur le lit, écarte mes cuisses, et coince la ficelle du slip féminin sur ma fesse droite.
Il me transperce à nouveau, en s'écrasant sur moi, tout en m'embrassant passionnément.
Son gros membre me pilonne, plus fort et plus profondément.
Je joui dans sa bouche en mêlant ma langue à la sienne.
Je sais que nous vivons nos derniers jours, je m'abandonne complètement à lui.
"Paul, Arhhhhhhhhhhhhh ! Tu me rends folle ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Il sait que je ressens la même chose que lui, on a eu beau jouer aux amants homos, très sexe, puis au client avec sa pute travestie et maintenant au couple hétéro.
Tous ces moments d'échanges, ces confidences intimes, ces caresses tendres et ces partages de plaisirs secrets nous ont rapprochés.
On est allé trop loin ensemble, il connait mes moindres vices, et vice-versa.
Il me pénètre inlassablement, mon cul est à plus de cinquante centimètres du matelas.
Mon corps est vouté, je m'excite de la vue de son énorme bite qui me pilonne sans arrêt la chatte anale.
Inévitablement, ma queue gonfle, il s'en rend compte et me sourit.
Il est fier de sa prestation, il amplifie sa possession en se régalant de mon visage, qui lui révèle ma jouissance prochaine.
Il a gagné, j'éjacule en râlant, maculant le petit triangle de tissu qui contient ma queue.
Paul écarte le string pour permettre à mon gland de s'échapper et déverser tout mon foutre sur moi, encore et encore.
Il continue de me vider de toute substance orgasmique.
Je ne l'ai jamais connu aussi passionné, c'est surement la raison de son endurance.
Je reconnais la venue de l'effet d'écoulement, qu'il aime tant chez moi.
"Paul ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Tu vas me faire couler !".
"Oui, je sais, c'est ce que je veux ! Dis moi quand tu veux, que je te laisse te vider !".
"Oui, continues ! Encore ! Ca monte !".
Il me soulève et me couche sur le sol, puis se déchaine, augmentant davantage, l'accumulation de liquide dans ma prostate.
Un filet coule au bout de mon gland.
"Maintenant Paul !".
Il sort d'un coup, un énorme jet inonde mon corps et le sol sous moi.
Il est suivi de deux autres, aussi intenses.
Mon visage est maculé, il reprend sa destruction anale.
"J'adore ta chatte Alice ! Elle est magique !".
Il m'impose une bonne centaine d'assauts.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Paul ! Maintenant !".
"Non, pas encore ! Attends un peu !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Tu me rends folle !".
Il sort enfin après une longue série d'assauts, un énorme déversement de liquide chaud me souille à nouveau le visage et le corps.
Il plonge encore sa bite, puis ressort presque aussitôt, un jet se déverse encore sur moi.
Il s'amuse ainsi, de nombreuses fois.
Mon corps baigne dans une très large flaque.
On se fout de tout ça, ce moment nous excite trop, pour penser aux mauvais cotés de notre perversion.
Puis, il ne se retient plus et se déchaine en moi, sans retenue, très longuement.
Enfin, il me laisse tomber, un long jet m'arrose encore le porte jarretelle et le pull.
Il vient au dessus de ma bouche et m'offre son énorme gland, prêt à exploser.
Il crie en éjaculant une énorme dose de sperme chaud et délicieux dans ma gorge.
Son déversement est intense et très long.
Je voudrais qu'il ne s'arrête jamais de jouir dans ma bouche.
Il ne se contrôle plus et lache:
"Arhhhhhhh ! Pasc... Alice, Je t'aime !".
Il se couche sur le coté, je lui prodigue de longues caresses buccales amoureuses.
"Oh, c'est trop bon, tu me rend fou, Alice !".
Je me redresse et enlève mon pull, trop humide, je m'essuie un peu avec.
Il se couche avec moi sur le lit.
"Tu m'en veux pour ce que j'ai dit ?".
"Non, c'était inévitable, on va très loin tous les deux, plus on se voit, et plus, on se laisse aller ! Moi aussi, je ressens quelque chose pour toi !".
"Tu veux pas quitter ta copine ? On pourrait vivre ensemble ! Je pense qu'on serait heureux !".
"Non, Paul ! Je suis aussi hétéro, Ne l'oublies pas ! Je l'aime vraiment ! Pour tout te dire, je pense même que je laisse trop de place à mon coté homo en ce moment, ça me déséquilibre ! Habituellement, je ne rencontre des hommes que deux à trois fois par mois ! Mais depuis plus de six mois, c'est tous les jours quasiment !".
"Mais tu vas faire comment pour te passer d'Alice ou Sabrina ?".
"Justement, je commence à y prendre gout, ça devient dangereux pour moi ! Je ne fais ça, que pour toi ! Tu sais !".
"Merci ! Tu m'as ouvert les yeux ! Je sais que j'en ai besoin maintenant !".
"Tu devrais essayer de rencontrer un transsexuel ! Ce serai idéal !".
"Oui, je pense aussi ! Mais je t'aime quand même !".
"Moi aussi, mais je ne suis pas libre, désolé ! Je m'en veux beaucoup pour te faire du mal, malgré moi!".
Je suis allé me doucher, puis je lui ai demandé de m'aider à changer de tenue féminine, et j'ai enfilé un chemisier par dessus.
Nous avons joué au petit couple amoureux en dinant ensemble dans ma cuisine, puis il m'a aimé encore jusqu'à l'épuisement de nos deux corps.
Paul et Alice se sont retrouvés à cinq reprises avant la séparation, dix jours plus tard.
Je lui ai imposé d'emporter toutes les tenues féminines, c'était plus sûr pour moi.
Au bout de quelques mois, j'ai eu l'impression que ce que nous avions vécu était un rêve érotique.
Jusqu'à la fin de mes missions à l'arsenal, Roger et Sébastien m'ont encore baisé, tous les jours de semaine.
Cela m'a beaucoup aidé à me passer de Paul et notre jeu pervers amoureux.
En changeant de travail, j'ai retrouvé une vie plus table sexuellement, hormis quelques escapades homo, pendant plus d'un an.
Puis, je suis entré dans l'entreprise qui m'envoie sur les chantiers ou je suis piégé par Dimitri et ses camarades roumains, qui me baisent à la chaine.
Ce qui m'impose un nouveau rythme de baise effréné, qui augmentera encore avec Mario le portugais.
Cela me poussera à délaisser Corinne qui patientera de longs mois, puis prendra des amants.
Plusieurs années passeront jusqu'au jour ou je reverrai Paul avec des amis, dans une cafétéria.
J'étais avec Corinne, il m'a suivi aux toilettes, j'y étais allé pour ça.
On a échangé un long baiser, puis il m'a dit qu'il m'attendrait le lendemain, à son hôtel.
Je n'ai pas eu besoin de prétexter une envie d'hommes.
Corinne était au courant de mes penchants, à présent.
Elle a reconnu ce regard que Paul avait sur moi.
Elle m'a dit;:
"Dis-moi, le mec au fond, ou il te branche, ou vous avez baisé ensemble, je me trompe ?".
"Non, on a eu une relation pendant plus d'un an ! Je t'ai parlé de lui, c'est Paul ! Tu me laisses le voir demain ?".
"Bien sur, mon amour ! Profitez bien ! J'hallucine qu'il soit gay ! C'est un beau mec ! Il a l'air de beaucoup t'aimer !".
Donc, avec l'aval de Corinne, nous nous sommes aimés, en fin de matinée et encore toute l'après-midi.
Il m'a dit avec passion:
"Ta chatte est toujours aussi magique ! C'est toujours aussi bon de baiser avec toi !".
Cela faisait des années que je n'avais plus coulé comme avec lui.
Il m'a annoncé qu'il vivait avec un transsexuel en Bretagne, je ne me souviens plus de son prénom !
Cela faisait longtemps aussi que je n'avais plus connu de gêne anale aussi longue après la sodomie.
Je me sentais ouvert comme jamais auparavant, mon anus subissait de nombreux rejets de sécrétions gluantes.
Corinne a compris et m'a demandé:
"Oh, à mon avis, il doit avoir un très gros sexe ! Vu ton état !".
"Plus gros que tu l'imagines encore ! Ouhhhhhhhh !".
Elle pouffe de rire, me laissant à mes inconvénients sexuels.
Puis, excitée par son imagination grandissante, elle me sollicite pour lui faire l'amour.
"Corinne ! Il m'a tout pris, je suis épuisé !".
Elle est déçue, mais me dit, comprendre ma réaction. Elle sort, pour faire quelques achats avant 19 heures.
J'en profite pour contacter, son amant, Chris.
Il arrive après le repas et la baise à fond pendant deux heures.
Je la trouve épanouie lorsqu'il lui procure un énième énorme orgasme anal.
Elle m'envoie un regard radieux, alors qu'elle est empalée sur lui avec les cuisses écartées.
La vue de son anus comblé et son sourire de bonheur orgasmique, confirment qu'elle pense à moi en jouissant ainsi.
Après qu'il nous ai quitté, elle me remercie, malgré le fait qu'elle aurait préféré que ce soit moi, qui la baise.
"Mais, ça m'a fait du bien quand même ! Si tu veux revoir Paul, ne te gênes pas !". Me dit elle !
"Merci, mais il ne vaut mieux pas ! Il est là pour la semaine, mais c'est mieux comme ça !".
"Tu fais comme tu veux !".
J'ai choisi d'en rester là !
Au petit matin, avant de se lever, il m'a gratifié de nombreuses caresses et baisers.
Son érection matinale, me fait peur.
"Paul ! Pas ce matin, je vais pas pouvoir bosser, si tu m'encules encore !".
"Ne t'en fais pas ! Je te laisse tranquille, mais je dirais pas non, à une petite pipe !".
"Hummm ! Ca ! Je peux ! Avec plaisir !".
Je me délecte de son énorme queue pendant de très longues minutes délicieuses, sous ses gémissements gratifiants.
Il m'inonde la gorge de son nectar salé et chaud, que j'avale aussi longtemps qu'il se déverse.
Il me faut attendre un moment certain pour effacer le gout de son sperme dans ma bouche.
C'est un bon café qui couvrira à son tour mon palais de son parfum.
Pendant le petit déjeuner, je me plains, en quelque sorte:
"Je crois que je fais une overdose de sexe ! J'en peux plus ! Ca fait plusieurs mois que je fais face à 5 relations suivies, c'est trop, je vais devoir faire un tri !".
"Tant que ça ?".
"Ben, il y a toi qui me baise deux à trois fois par semaine. Roger et Sébastien, tous les soirs, du Lundi au Vendredi ! Momo, quand il m'attrape au vol, au moins, deux fois par jour, mais qu'une à deux fois par semaine, parce que je l'évite. Et ma copine, tous les jours ! C'est trop !".
"En effet, mais c'est ta faute ! Tu nous plais trop ! Pour ce qui est des mecs, je sais ce qu'ils aiment chez toi ! Ta copine, c'est autre chose ! Mais du coup, tu seras Ok, si je reviens dans 3 jours ? Avec ta nouvelle coiffure ?".
"Oui, mais laisses-moi l'acheter, tu me donnes assez d'argent pour ça ! Comme ça, tu auras la surprise, et je serais "prête", en Alice !".
"Super ! T'es génial ! Mon petit Pascal ! A Jeudi !".
On sort de mon appartement ensemble, puis, on se sépare à l'intérieur de l'arsenal militaire.
Je vais devoir annoncer à Mohammed que je ne peux plus entretenir de relation avec lui.
Pour le reste, je sais que Paul va devoir partir à cause de sa future mutation.
Je fais donc, ce moindre effort, par amour-amitié envers lui.
Le lendemain, je me rends en Sex-Shop pour choisir une perruque brune, très stylée et assez onéreuse, mais je considère que c'est Paul qui l'a payée !
Le jour venu, après avoir reconduit ma belle à son bus, je rentre chez moi.
Nous sommes Jeudi, mon amant va arriver dans une heure.
Je rend mon corps complètement imberbe, et m'affuble de nouveaux sous vêtements.
Je m'applique pour le maquillage, que je gère assez bien, à présent.
C'est étonnant comme on peut changer de regard, avec tous ces artifices.
Je termine par l'ajout de la perruque qui me change complètement le visage, très différent de Sabrina.
Je replace ma jupe sur mon cul et enfile le pull fin, fendu en V dans le dos.
Il est temps que cette relation prenne fin, je commence à prendre du plaisir dans cette transformation.
Je bande fermement, j'essaie de penser à autre chose.
Mais je m'imagine en train de jouir ainsi, empalée par Paul, ce qui m'excite encore davantage.
Ca y est, je pense au féminin ! Et c'est très agréable !
Le bruit de sonnette me sort de mes pensées.
J'ouvre sans répondre et vais l'attendre dans mon salon chambre, perchée sur mes talons.
"Toc Toc !".
"Entres !".
Il entre en arrivant directement dans ma cuisine, je me dirige vers lui:
"Bonjour Paul !".
"Bon... Bonjour Alice ! Tu es ... très belle !".
"Merci, tu es beau, toi aussi !".
"Je peux m'approcher ? Tu m'intimides !".
"Il faudra bien ! On ne va pas se regarder toute la soirée !".
Il vient vers moi et pose une main sur ma taille, je lui attrape la nuque pour lui offrir ma bouche, ornée de rouge à lèvres.
Dès ce moment, nos corps sont saisis de tressaillements, sous les caresses de l'autre.
Il est clair que nous prenons de plus en plus de plaisir à nous retrouver.
A la fin de notre intense et interminable baiser, il commence à me dire:
"Oh, Pascal ! Je ...".
Je lui bloque les lèvres, et lui demande:
"Chutt ! Je suis Alice ! Traites moi comme la femme que je suis devenue pour toi !".
Il sourit et répond:
"Oui, Alice, tu as raison ! Ca fait longtemps que je rêve de te rencontrer !".
"Ah bon ? J'ai de la chance alors ! Donc, je suis belle à tes yeux !".
Je sais qu'il apprécie mes efforts de féminité dans ma voix.
Je l'aide à dépasser sa peur de tout gâcher, en osant me toucher plus vicieusement.
Je lui palpe le sexe avec une main et lui annonce:
"Paul ! Il va falloir me faire l'amour, tu sais ! J'en meure d'envie ! Et je vois que toi aussi !".
"Oh, Alice ! Tu me plais trop ! C'est vrai ? Je peux ?".
"Oui, j'attends que ça, prends tout ! Je suis toute à toi !".
Il me retourne et relève ma jupe.
Il écarte le fil de mon string, d'un doigt, puis plonge sa bouche entre mes fesses imberbes.
Je me cambre pour l'aider à me dévorer longuement.
Il me couvre de mots tendres et passionnés, je lui rend sa passion.
Il se redresse et m'embrasse tout en dégageant sa bite.
Il me replace contre le mur et colle puissamment son énorme gland contre mon œillet.
"Ohhhh ! Paul ! Tu es énorme ! Tu vas m'écarteler ! Arhhhhhh !".
"Je vais faire doucement, ne t'inquiètes pas ! Alice ! Ca va aller !".
Je tire sur mes deux fesses, en même temps, avec mes mains.
Son gland en profite pour s'insérer plus profondément.
"Arhhhhhhhhhhh ! C'est bon, Paul ! Arhhhhhhhhhhh !".
Il recule et rentre, plusieurs fois, en gagnant du terrain à chaque retour en moi.
Il passe le virage serré au fond de mon cul et s'enfonce entièrement en moi.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Paul ! J'aime t'avoir en moi ! C'est bon de faire l'amour avec toi !".
"Moi aussi, j'aime être dans ta chatte Alice ! Je vais te prendre longtemps ! Je veux en profiter !".
"Oui ! Arhhhhhhhhhhh ! Encore ! Fais-moi jouir !".
Sa queue se couvre de mon jus anal, de plus en plus abondamment.
Il coulisse en moi aisément, à présent.
Nos corps se rejoignent, au rythme de nos râles et gémissements de plaisir partagé.
Il me provoque deux immenses orgasmes, puis il se retire.
Je me retourne, encore secoué par l'effet anesthésiant du plaisir qu'il m'a donné.
Je fixe sa longue bite, brillante de sécrétions anales.
Il m'entraine vers le lit, et me défait la jupe.
Je suis devant lui en porte-jarretelles et bas foncés, mon sexe au repos est caché par le triangle du string.
Mon petit pull, amplifie la redondance causée par mes faux seins de fortune, dans mon soutien gorge.
Il se libère de ses vêtements.
Il me couche sur le lit, écarte mes cuisses, et coince la ficelle du slip féminin sur ma fesse droite.
Il me transperce à nouveau, en s'écrasant sur moi, tout en m'embrassant passionnément.
Son gros membre me pilonne, plus fort et plus profondément.
Je joui dans sa bouche en mêlant ma langue à la sienne.
Je sais que nous vivons nos derniers jours, je m'abandonne complètement à lui.
"Paul, Arhhhhhhhhhhhhh ! Tu me rends folle ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Il sait que je ressens la même chose que lui, on a eu beau jouer aux amants homos, très sexe, puis au client avec sa pute travestie et maintenant au couple hétéro.
Tous ces moments d'échanges, ces confidences intimes, ces caresses tendres et ces partages de plaisirs secrets nous ont rapprochés.
On est allé trop loin ensemble, il connait mes moindres vices, et vice-versa.
Il me pénètre inlassablement, mon cul est à plus de cinquante centimètres du matelas.
Mon corps est vouté, je m'excite de la vue de son énorme bite qui me pilonne sans arrêt la chatte anale.
Inévitablement, ma queue gonfle, il s'en rend compte et me sourit.
Il est fier de sa prestation, il amplifie sa possession en se régalant de mon visage, qui lui révèle ma jouissance prochaine.
Il a gagné, j'éjacule en râlant, maculant le petit triangle de tissu qui contient ma queue.
Paul écarte le string pour permettre à mon gland de s'échapper et déverser tout mon foutre sur moi, encore et encore.
Il continue de me vider de toute substance orgasmique.
Je ne l'ai jamais connu aussi passionné, c'est surement la raison de son endurance.
Je reconnais la venue de l'effet d'écoulement, qu'il aime tant chez moi.
"Paul ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Tu vas me faire couler !".
"Oui, je sais, c'est ce que je veux ! Dis moi quand tu veux, que je te laisse te vider !".
"Oui, continues ! Encore ! Ca monte !".
Il me soulève et me couche sur le sol, puis se déchaine, augmentant davantage, l'accumulation de liquide dans ma prostate.
Un filet coule au bout de mon gland.
"Maintenant Paul !".
Il sort d'un coup, un énorme jet inonde mon corps et le sol sous moi.
Il est suivi de deux autres, aussi intenses.
Mon visage est maculé, il reprend sa destruction anale.
"J'adore ta chatte Alice ! Elle est magique !".
Il m'impose une bonne centaine d'assauts.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Paul ! Maintenant !".
"Non, pas encore ! Attends un peu !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Tu me rends folle !".
Il sort enfin après une longue série d'assauts, un énorme déversement de liquide chaud me souille à nouveau le visage et le corps.
Il plonge encore sa bite, puis ressort presque aussitôt, un jet se déverse encore sur moi.
Il s'amuse ainsi, de nombreuses fois.
Mon corps baigne dans une très large flaque.
On se fout de tout ça, ce moment nous excite trop, pour penser aux mauvais cotés de notre perversion.
Puis, il ne se retient plus et se déchaine en moi, sans retenue, très longuement.
Enfin, il me laisse tomber, un long jet m'arrose encore le porte jarretelle et le pull.
Il vient au dessus de ma bouche et m'offre son énorme gland, prêt à exploser.
Il crie en éjaculant une énorme dose de sperme chaud et délicieux dans ma gorge.
Son déversement est intense et très long.
Je voudrais qu'il ne s'arrête jamais de jouir dans ma bouche.
Il ne se contrôle plus et lache:
"Arhhhhhhh ! Pasc... Alice, Je t'aime !".
Il se couche sur le coté, je lui prodigue de longues caresses buccales amoureuses.
"Oh, c'est trop bon, tu me rend fou, Alice !".
Je me redresse et enlève mon pull, trop humide, je m'essuie un peu avec.
Il se couche avec moi sur le lit.
"Tu m'en veux pour ce que j'ai dit ?".
"Non, c'était inévitable, on va très loin tous les deux, plus on se voit, et plus, on se laisse aller ! Moi aussi, je ressens quelque chose pour toi !".
"Tu veux pas quitter ta copine ? On pourrait vivre ensemble ! Je pense qu'on serait heureux !".
"Non, Paul ! Je suis aussi hétéro, Ne l'oublies pas ! Je l'aime vraiment ! Pour tout te dire, je pense même que je laisse trop de place à mon coté homo en ce moment, ça me déséquilibre ! Habituellement, je ne rencontre des hommes que deux à trois fois par mois ! Mais depuis plus de six mois, c'est tous les jours quasiment !".
"Mais tu vas faire comment pour te passer d'Alice ou Sabrina ?".
"Justement, je commence à y prendre gout, ça devient dangereux pour moi ! Je ne fais ça, que pour toi ! Tu sais !".
"Merci ! Tu m'as ouvert les yeux ! Je sais que j'en ai besoin maintenant !".
"Tu devrais essayer de rencontrer un transsexuel ! Ce serai idéal !".
"Oui, je pense aussi ! Mais je t'aime quand même !".
"Moi aussi, mais je ne suis pas libre, désolé ! Je m'en veux beaucoup pour te faire du mal, malgré moi!".
Je suis allé me doucher, puis je lui ai demandé de m'aider à changer de tenue féminine, et j'ai enfilé un chemisier par dessus.
Nous avons joué au petit couple amoureux en dinant ensemble dans ma cuisine, puis il m'a aimé encore jusqu'à l'épuisement de nos deux corps.
Paul et Alice se sont retrouvés à cinq reprises avant la séparation, dix jours plus tard.
Je lui ai imposé d'emporter toutes les tenues féminines, c'était plus sûr pour moi.
Au bout de quelques mois, j'ai eu l'impression que ce que nous avions vécu était un rêve érotique.
Jusqu'à la fin de mes missions à l'arsenal, Roger et Sébastien m'ont encore baisé, tous les jours de semaine.
Cela m'a beaucoup aidé à me passer de Paul et notre jeu pervers amoureux.
En changeant de travail, j'ai retrouvé une vie plus table sexuellement, hormis quelques escapades homo, pendant plus d'un an.
Puis, je suis entré dans l'entreprise qui m'envoie sur les chantiers ou je suis piégé par Dimitri et ses camarades roumains, qui me baisent à la chaine.
Ce qui m'impose un nouveau rythme de baise effréné, qui augmentera encore avec Mario le portugais.
Cela me poussera à délaisser Corinne qui patientera de longs mois, puis prendra des amants.
Plusieurs années passeront jusqu'au jour ou je reverrai Paul avec des amis, dans une cafétéria.
J'étais avec Corinne, il m'a suivi aux toilettes, j'y étais allé pour ça.
On a échangé un long baiser, puis il m'a dit qu'il m'attendrait le lendemain, à son hôtel.
Je n'ai pas eu besoin de prétexter une envie d'hommes.
Corinne était au courant de mes penchants, à présent.
Elle a reconnu ce regard que Paul avait sur moi.
Elle m'a dit;:
"Dis-moi, le mec au fond, ou il te branche, ou vous avez baisé ensemble, je me trompe ?".
"Non, on a eu une relation pendant plus d'un an ! Je t'ai parlé de lui, c'est Paul ! Tu me laisses le voir demain ?".
"Bien sur, mon amour ! Profitez bien ! J'hallucine qu'il soit gay ! C'est un beau mec ! Il a l'air de beaucoup t'aimer !".
Donc, avec l'aval de Corinne, nous nous sommes aimés, en fin de matinée et encore toute l'après-midi.
Il m'a dit avec passion:
"Ta chatte est toujours aussi magique ! C'est toujours aussi bon de baiser avec toi !".
Cela faisait des années que je n'avais plus coulé comme avec lui.
Il m'a annoncé qu'il vivait avec un transsexuel en Bretagne, je ne me souviens plus de son prénom !
Cela faisait longtemps aussi que je n'avais plus connu de gêne anale aussi longue après la sodomie.
Je me sentais ouvert comme jamais auparavant, mon anus subissait de nombreux rejets de sécrétions gluantes.
Corinne a compris et m'a demandé:
"Oh, à mon avis, il doit avoir un très gros sexe ! Vu ton état !".
"Plus gros que tu l'imagines encore ! Ouhhhhhhhh !".
Elle pouffe de rire, me laissant à mes inconvénients sexuels.
Puis, excitée par son imagination grandissante, elle me sollicite pour lui faire l'amour.
"Corinne ! Il m'a tout pris, je suis épuisé !".
Elle est déçue, mais me dit, comprendre ma réaction. Elle sort, pour faire quelques achats avant 19 heures.
J'en profite pour contacter, son amant, Chris.
Il arrive après le repas et la baise à fond pendant deux heures.
Je la trouve épanouie lorsqu'il lui procure un énième énorme orgasme anal.
Elle m'envoie un regard radieux, alors qu'elle est empalée sur lui avec les cuisses écartées.
La vue de son anus comblé et son sourire de bonheur orgasmique, confirment qu'elle pense à moi en jouissant ainsi.
Après qu'il nous ai quitté, elle me remercie, malgré le fait qu'elle aurait préféré que ce soit moi, qui la baise.
"Mais, ça m'a fait du bien quand même ! Si tu veux revoir Paul, ne te gênes pas !". Me dit elle !
"Merci, mais il ne vaut mieux pas ! Il est là pour la semaine, mais c'est mieux comme ça !".
"Tu fais comme tu veux !".
J'ai choisi d'en rester là !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moi j'aurais accepté la proposition de Paul car je ne me sens bien que dans les bras d'un homme et aimerai rencontrer quelqu'un comme lui capable de faire de moi la fille que j'ai toujours rêvé d'être