PAULA
Récit érotique écrit par Helene2012 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PAULA
P A U L A
Je savais qu’elle s’appelait Paule parce que je l’avais connue quand elle était une
collègue de ma mère et maintenant, elle se faisait appeler Paula. J’avais dix ans à
l’époque et je venais chercher ma mère à son travail en sortant de l’école.
Aujourd’hui, c’est plutôt l’inverse. Ce sont les mères qui viennent chercher leurs
enfants.
Mais aujourd’hui, j’ai vingt ans de plus. Paula, elle, en a presque soixante.
Cinquante-neuf et demi pour être exact. Et si elle a vieilli, elle n’a pas vraiment
changé car elle avait déjà cette forte poitrine quand je l’ai connue et j’espère pour
elle que ses seins avaient une meilleure tenue et qu’ils ne lui tombaient pas sur le
ventre.
Ça ne l’empêche pas d’être toujours aussi sexy et c’est aussi pourquoi je lui ai cédé.
Elle ne m’a jamais posé de questions sur mon passé et pas plus sur mon nom, ma famille
et j’ai vite compris que la seule chose qui l’intéresse est d’avoir un étalon sous la
main. Tout ce que je sais sur elle c’est qu’elle a été mariée si elle n’a pas eu
d’enfants et qu’elle est divorcée depuis pas mal d’années.
Malgré son peu de curiosité, je me demande encore parfois si elle sait vraiment qui je
suis, en plus d’être un amant toujours bien disposé. Si elle a fait le rapprochement
avec le petit garçon qu’elle connaissait. Il y a cinq ans, alors que je faisais barman
au Café de la Gare, je l’ai vue arriver. Elle était avec un type plutôt jeune et elle
lui parlait comme je n’aurais jamais voulu qu’on me parle. Elle lui donnait des ordres
et lui il répliquait comme à l’armée, les doigts sur les coutures du pantalon.
- Tu vas arrêter de courir après cette petite gourde, lui avait-elle dit sans
s’apercevoir que j’entendais tout ce qu’ils disaient.
- Mais je l’aime, avait osé répondre le gringalet !
- Et tu crois qu’elle t’aimera toujours quand elle saura que je t’encule avec mon
gode, lui avait rétorqué la femme !
Le type était pâle. Il a bafouillé quelques mots que je n’ai pas compris et la femme
m’a commandé deux cafés. Elle est revenue seule, une heure plus tard. Le café était
désert à cette heure.
- Vous aviez compris quoi, m’a-t-elle demandé ?
J’ai fait semblant de ne pas savoir de quoi elle parlait mais elle a insisté :
- Je sais bien que vous écoutiez, a-t-elle continué ! Je m’appelle Paula et vous me
plaisez beaucoup ! Vous baisez ?
- Vous quoi, ai-je fait ?
- Vous baisez, a insisté Paula ? Vous n’êtes pas eunuque par hasard ! Voilà, si vous
en êtes capable, vous me plaisez, on baise et si ça me plaît on continuera ! Vous
verrez aussi que je ne suis pas une ingrate ! Je sais me conduire avec un amant !
Je la regardais sans la voire. Elle était bien maquillée. Ses cheveux relevés en
chignon. Son tailleur beige et sa forte poitrine si difficilement contenue que les
boutons du chemisier semblaient en voie de lâcher prise. Paula s’est éloignée du bar
pour faire une pirouette et j’ai vu ses jambes. Des jambes magnifiques moulées dans
des bas dont la couture était parfaitement droite. Des bas qu’on ne voit plus trop de
nos jours.
- Alors, ça vous intéresse, m’a dit alors Paula quand elle s’est rapprochée du bar ?
J’habite à deux rues d’ici ! Vous pouvez bien vous absenter un moment ?
Peut-être avait-elle deviné que c’était l’heure de ma pause avant le rush de la sortie
des bureaux. J’ai averti ma patronne que je la prenais et elle s’est soulevée de sa
chaise pour me donner son accord. Elle passait toute sa journée vissée dessus, et
devant sa caisse, n’en sortant que pour aller, une ou deux fois par jour faire un
petit besoin.
- Je vais faire un petit besoin, me disait-elle à chaque fois ! Vous faites patienter
les clients ?
Je faisais patienter les clients et je ne touchais jamais à sa caisse des fois que… Je
l’avais souvent entendu raconter à ses fournisseurs qu’elle s’était faite voler, qu’il
n’y avait qu’elle pour tenir la caisse correctement… Je suis sorti du café. Paula
m’attendait au dehors et je l’ai suivie jusqu’à chez elle. J’ai compris bien plus tard
que j’avais dû avoir l’air ridicule de me conduire comme un petit chien qu’on promène.
Nous sommes montés dans l’ascenseur. Elle a ouvert sa porte et je l’ai suivie à
l’intérieur de l’appartement et quand la porte s’est refermée, Paula s’est enfin
tournée vers moi et ce fut pour me mettre la main aux couilles.
- J’ai vu que tu avais une bonne paire, a-t-elle commencé ! J’espère que le reste est
à la hauteur !
Paula a commencé à me malaxer les boules puis le bout de ses doigts a commencé à
chercher ma bite sous le tissu du pantalon. Ils remontaient de mes couilles et tout le
long de ma verge. Paula s’était accroupie et elle continuait à m’explorer quand elle a
levé son visage vers le mien.
- J’ai l’impression que je ne vais pas être déçue, m’a-t-elle dit en me faisant un
large sourire et j’ai aussi l’impression que ta mère t’a fait avec un âne, non ?
Elle a ouvert mon pantalon et elle a essayé d’extraire ma bite de mon caleçon mais je
bandais déjà et c’était plutôt difficile. Paula s’est énervée et j’ai dû sortir ma
bite moi-même et je suis resté là, devant Paula, la bite au garde-à-vous, et presque
collée sur mon ventre.
- Oh, mon dieu, a ajouté Paula, je suis tombé sur le frère jumeau de Rocco Siffreddi !
Ça doit faire combien ? Vingt-cinq, trente ? Je me suis déjà faite montée par des
noirs et ce n’était pas aussi gros, a-t-elle encore insisté !
Nous sommes restés sans bouger, face à face, moi debout, elle accroupie et elle a
commencé à toucher ma bite et à soupeser mes couilles puis elle s’est relevée et elle
m’a dit qu’il était temps que je vois mon cadeau et elle a entrepris un striptease.
Paula a retiré sa jupe et au-dessous elle avait un jupon puis elle a retiré sa veste
et son chemisier et j’ai commencé à voir sa poitrine, le profond ravin qui séparait
ses seins puis elle a retiré son jupon et j’ai vu son porte-jarretelles noir dont les
jarretelles étaient accrochées à ses bas et Paula a dégrafé son soutien-gorge dans son
dos mais elle n’est pas allée plus loin.
- Je mettrais bien des Lejaby, a ajouté Paula, mais ils ne sont pas capable d’en faire
à ma taille et puis ce n’est plus ce que c’était et je suis obligée de mettre des
Triumph !
Le suspense devenait insoutenable et j’étais là, avec ma bite en l’air…
- Tu es impatiente, lui a dit Paula en me la caressant du bout des doigts ! Tu as très
envie de te cacher, non ?
Paula m’a alors regardé dans les yeux :
- Tu as une copine ?
Je lui ai répondu que non mais elle a insisté. Maintenant, elle voulait savoir si
j’avais eu une copine.
- Tu as eu raison, m’a-t-elle répondu quand je lui ai dit qu’en avais eu une mais que
je l’avais quittée mais je ne lui ai pas dit que j’avais menti parce que c’était ma
copine qui m’avait quitté quand elle m’avait surpris en train de me branler dans la
salle de bains. Je venais de la prendre et je lui avais laissé un bon paquet de sperme
au fond du vagin mais je n’arrivais pas à débander et j’avais dû me branler pour
arriver à me calmer. Elle avait fait ses bagages et je ne l’ai jamais revue.
- Moi aussi, j’étais conne et j’étais une mauvaise amante quand j’étais jeune, a
ajouté Paula ! Je faisais l’amour mais en fait je me conduisait comme une pute avec
mon mari et maintenant je vais te faire avoir du plaisir et je vais me faire plaisir
aussi !
Paula a fait glisser les bretelles de son soutir sur ses bras et peu à peu, ses seins
se sont libérés des bonnets. Ils n’en finissaient pas mais le soutien-gorge a fini par
disparaître et les seins se sont affalés sur le ventre de la femme, avec les mamelons
cinq centimètres au-dessous du nombril. Je n’en revenais pas. Sous le poids des seins,
le haut s’était aplati et la poitrine n’était plus qu’une paire d’énormes boules sur
le ventre de Paula.
- Tu me plais, a-t-elle ajouté, et tu verras que je peux être gentille avec toi si on
s’entend bien !
Après m’avoir montré ses seins, Paula a retiré sa petite culotte. Elle était aussi
complètement épilée et elle n’avait plus aucun poil sur le ventre et si son clitoris
pointait au bout de son capuchon, ses petites lèvres pendaient comme une paire de
steaks qu’elle aurait eu entre les jambes.
- Monte-moi, m’a alors dit Paula en se penchant sur le lit. Elle a posé les mains à
plat sur le drap et elle a écarté les cuisses.
Je me suis approché par derrière et j’ai appuyé sur le bout de ma bite pour être à la
bonne hauteur mais Paula m’a demandé pourquoi je ne m’étais pas déshabillé et du coup,
je me suis déshabillé en vitesse puis je me suis enfoncé. Le vagin était chaud et
humide et ce fut facile de le pénétrer mais Paula m’a repris :
- Te trompes pas d’orifice ! Je te demanderai de m’enculer quand on se connaîtra mieux
!
J’ai donc limé et limé et limé et le vagin se serrait de plus en plus sur ma bite
jusqu’à me faire mal.
- Attends, m’a demande Paula ! Arrête-toi ! Fais une pause !
Je me suis arrêté de limer. J’avais bien senti que j’écrasais le bout de ma bite sur
son utérus et je pensais que c’était à cause de ça qu’elle me faisait arrêter, parce
que ça lui faisait mal. Je commençais à comprendre ce qui m’arrivait et j’étais aux
ordres, les mains bloquées sur les hanches de Paula et j’attendais qu’elle me dise de
continuer quand elle m’a dit de lui toucher les seins. J’ai lâché la main gauche et
j’ai posé les doigts sur son sein gauche, forcément.
- Qu’est-ce que tu attends pour attraper l’autre, m’a rugi Paula ? Tu ne sais pas que
les femmes ont deux seins ?
J’ai donc agrippé l’autre sein et j’ai commencé à les triturer, depuis les côtes
jusqu’au mamelon, ce qui devait bien faire quarante centimètres à vue de… doigts !
J’en ai même trituré les mamelons, les faisant rouler au bout de mes doigts et même en
les pinçant.
- Qu’est-ce que tu en penses, m’a alors demandé Paula ? Ils te plaisent ? Je sais bien
que pour les hommes c’est jamais aussi gros ! Ce qu’ils voudraient, c’est que les
femmes aient des pis de vache et encore ! C’est pour ça que les jeunes femmes ne
peuvent pas rivaliser !
Paula a insisté pour que je lui réponde. La première fille que j’avais eu était aussi
plate qu’un garçon, et ça ne l’avait pas empêchée de me faire l’amour assise sur mon
ventre et j’avais jugé après que ce n’était pas très excitant cette absence de seins.
Du coup, j’avais rompu avec elle pour essayer de me trouver une autre copine bien
mieux pourvue.
- Est-ce que tu te rappelles si ta mère te donnait le sein, m’a soudainement demandé
Paula ?
Je ne m’en rappelais pas vraiment parce que tout ce que dont je me souvenais était que
ma mère racontait à mes tantes qu’elle m’avait donné le sein jusqu’à deux ans parce
que je ne pouvais avaler rien d’autre que son lait et plus tard, une de mes cousines
s’était moquée de moi en me rappelant ça et je lui avais sauté dessus et je l’avais
embrassée sur la bouche et je n’avais pas été capable d’aller plus loin.
Six heures sonnaient au clocher de l’église et six heures, c’était la fin de ma pause
et j’allais être en retard pour reprendre mon service si je ne finissais pas
rapidement. Quand j’ai dit ça à Paula, elle a très bien compris mais elle a voulu que
je termine mon travail et j’ai rattrapé ses hanches et je me suis remis à limer
jusqu’à ce que j’éjacule au fond de son vagin. Je suis allé à la salle de bains pour
me laver et Paula m’y a rejoint. Elle m’a regardé faire. Je la regardais. Ses nichons
lui pendaient sur le torse.
- Tu me dois un orgasme, a-t-elle insisté, mais comme tu as une belle queue… vraiment
une belle queue, je veux que tu vienne finir ton travail ! Tu finis à quelle heure ?
- Huit heures !
Je me suis rhabillé. Paula était encore nue quand elle m’a raccompagné à sa porte et
elle m’a retenu par le bras :
- Tu veux que je me masturbe en t’attendant, m’a-t-elle encore demandé ?
J’ai appuyé sur le bouton de l’ascenseur et je me suis retourné vers Paula en
attendant que l’ascenseur arrive. Elle s’encadrait dans la porte de son appartement et
elle avait du sperme qui coulait sur ses bas. Elle a posé deux doigts sur son clitoris
et elle a commencé à se caresser. Je suis entré dans l’ascenseur. Paula avait refermé
la porte. A huit heures moins cinq, alors que j’essuyais une dernière fois le comptoir
du bar, elle s’est hissée sur un des tabourets.
- Un martini dry, a-t-elle fait !
Je l’ai servie.
- Dépêche-toi, m’a-t-elle recommandé en me glissant un billet dans la main ! J’ai
envie que tu me fasses jouir !
J’ai donné l’argent à ma patronne et je lui ai demandé si je pouvais partir. Elle a
regardé la pendule. J’ai retiré mon tablier et j’ai pris ma veste. Paula m’attendait
un peu plus loin sur le trottoir.
- Comment tu embrasses, m’a-t-elle demandé en passant son bras sous le mien ?
- Comment j’embrasse, lui ai-je répondu ?
Paula m’a poussé dans le renfoncement d’une porte cochère et elle a collé sa bouche
sur la mienne. Elle m’a fourré sa langue et quand elle m’a lâchée, elle m’a rappelé
qu’elle avait besoin de ma queue et qu’elle saurait être gentille avec moi. Elle avait
remis la jupe et la veste de son tailleur et elle était nue en dessous.
- Tu vas me baiser, insista-t-elle ! Je sais être une vraie chienne, tu verras !
J’ai vu. Une fois chez elle, elle s’est mise à quatre pattes dans l’entrée de
l’appartement et elle m’a offert ses fesses puis après quelques allers et retours dans
son vagin, elle s’est retournée pour venir me sucer la bite comme l’aurait fait une
chienne avec un chien puis elle m’a mordillé les couilles.
- Va, maintenant, m’a-t-elle dit après quelques minutes ! Tu peux me couvrir !
Je suis monté sur Paula et je lui ai fait son affaire et elle a joui plusieurs fois
cette salope avant que je n’arrive à éjaculer à nouveau.
- Voilà, tu es content, m’a demandé Paula !
Nous étions restés à quatre pattes. J’avais mal à la bite et mes bourses pendaient
vides quand Paula les a serrées dans son poing. En fait elle les serrait de façon à ce
que mes couilles soient rejetées le plus loin possible de ma bite. Elle les tenait et
je ne pouvais plus bouger tellement ça me faisait mal.
- Je suis déjà jalouse, a ajouté Paula ! Et je ne veux plus que tu regardes d’autres
femelles que moi ! Tu as quel âge ?
- Trente ! Vingt-neuf, lui ai-je répondu !
Je ne savais plus où j’en était. Quand elle m’a dit son âge, j’ai su qu’elle avait le
même âge que ma mère. Elle ne lâchait pas mes couilles et nous étions restés à quatre
pattes.
- J’adore ta queue, a insisté Paula ! Je ne me suis jamais fait mettre par une bite
aussi grosse !
Je ne répondais rien. Il y avait déjà un bon moment que nous étions immobiles dans
l’entrée quand Paula m’a dit que je bandais puis elle a ajouté qu’elle avait envie de
me branler et sans attendre ma réponse, elle s’est mise à me branler, le bras entre
mes cuisses, par derrière, comme elle aurait trait le pis d’une vache et en quelques
minutes, j’ai éjaculé. Elle avait mis son autre main par dessous et elle avait fait
comme une coupelle pour récupérer mon sperme. Elle a laissé ses mains sous mon ventre
et je n’osais plus bouger.
- Si tu restes avec moi, a ajouté Paula, tu pourras me faire tout ce que tu veux !
Tout ce que je veux moi, c’est que tu sois toujours avec moi !
- Mais, mon travail, ai-je protesté ?
- Je te paierais, m’a-t-elle répondu en éclantant de rire ! Tu penses déjà à ta
retraite ? Si tu veux, on se marie ! Tu verras que tu ne pourras rien regretter !
Elle s’est relevée et elle a marché délicatement vers la salle de bains et quand je
l’y ai rejointe, Paula contemplait mon sperme qui remplissait tout le creux de sa
main.
- J’ai lu que c’était bon pour la peau, a-t-elle dit, puis elle a renversé sa main sur
son sein gauche et elle a étalé ma semence sur son autre sein avant de s’en mettre sur
les joues et sur le coup et je l’ai regardée faire et j’avais deux maîtresses parce
que Paula se reflétait dans le miroir.
- Tu manges avec et tu passeras la nuit ici, a-t-elle ajouté ensuite et j’ai bien
compris que c’était un ordre.
Elle m’a emmené sous la douche et elle m’a savonné sur tout le corps avant de me
demander de la savonner.
- Je te plais, ne cessait-elle de me demander ?
Je ne lui répondais pas et elle ajoutait que si je venais vivre avec elle je pourrais
lui faire tout ce que je voudrais.
- Tu pourras m’enculer si tu veux, a-t-elle ajouté en éclatant de rire ! Il est temps
que je connaisse ça !
J’en ai profité pour lui demander qui était ce type avec qui elle était entrée dans le
café. Elle m’a répondu que c’était une erreur et c’est tout ce que j’ai su sur ce
type. Nous sommes sortis de la douche et j’ai commencé à l’essuyer quand elle m’a dit
que je n’avais pas à me faire de souci parce qu’elle ne pouvait plus avoir d’enfant à
son âge. Elle a ajouté qu’elle avait longtemps cru que seule les mères pouvaient avoir
du lait mais qu’elle en avait de temps en temps. Je lui ai demandé quel goût ça avait
et Paula m’a demandé pourquoi je ne m’en souvenais pas. Elle s’est ensuite reculée
pour se serrer entre mes bras et elle a ajouté qu’elle me ferait téter quand elle en
aurait, mais ce qu’elle m’a dit ensuite l’a faite pleurer.
- Je ne sais pas vraiment si j’aurais voulu avoir des enfants, mais ce que je regrette
le plus est de n’avoir jamais été enceinte ! J’aurais tant voulu avoir le gros ventre
!
- Et les vergetures, ai-je rétorqué !
- Oh, ça, ça passe, a ajouté Paula, mais j’aurais vraiment voulu avoir le gros ventre
! Oh, attend, a-t-elle encore ajouté, si tu restes avec moi, j’ai une de mes nièces
qui est lesbienne ! Elle voudrait faire un enfant avec son amie ! Je lui demanderai et
tu pourras t’accoupler avec elle !
Paula a rajouté qu’elle nous surveillerait pour que ça n’aille pas plus loin puis elle
a préparé un dîner. Ça m’allait, d’autant plus que c’était bon et que je faisais aussi
la cuisine et après avoir fait la vaisselle, nous sommes sortis et j’ai compris
qu’elle avait envie de me montrer à ses connaissances. D’ailleurs, nous sommes entrés
dans un immeuble et nous avons grimpé au denrier étage. Une femme nous a ouvert. Elle
aussi avait un amant plus jeune qu’elle puis un autre couple est arrivé et un peu plus
tard, Paula a voulu que ses amies voient comme j’étais fait car elle m’a sorti la bite
et les couilles du pantalon et elle m’a branlé jusqu’à ce que j’ai une belle érection.
Ses deux amies étaient folles et encore heureux que les deux minets soient restés dans
le salon. Paula a fini par tout remballer et nous sommes retournés chez elle.
- Demain, je travaille, m’a-t-elle annoncé ! La société que dirigeait mon mari était à
mes parents et maintenant c’est moi qui dirige !
Elle semblait si sûre d’elle. Après quelques câlins, nous nous sommes endormis. Le
lendemain je suis retourné travailler au café. Travailler, faire l’amour à Paula.
Faire l’amour à Paula et travailler. Au bout d’une semaine de ce régime je n’en
pouvais plus. Et comme j’étais comme le poisson au bout de l’hameçon, j’étais ferré
moi aussi. J’ai donné mes huit jours à ma patronne ou plutôt je lui ai dit que je ne
viendrais pas travailler la semaine suivante. Elle a semblé surprise mais il n’y avait
rien à faire.
Paula n’en demandait pas plus. Ce week-end-là, elle m’a emmené à Deauville. En fait,
elle a secoué un porte-clef sous mon nez et je l’ai suivie dans l’ascenseur et quand
j’ai vu la Jaguar dans le parking, je n’en suis pas revenu.
- Tu sauras la conduire, a-t-elle ajouté ?
J’ai pris le volant. On avait ouvert la capote et nous avons filé sur l’autoroute
jusqu’à Deauville. Elle avait un appartement près du port et juste derrière la plage
et nous avons fait les planches. Je n’avais jamais connu ça, le plaisir d’avoir de
l’argent, rencontrer des gens aussi riche de nous, mais on a déjà fait les boutiques
pour m’habiller puis nous sommes rentrés chez Paula.
J’ai alors commencé ma vie de femme d’intérieur. D’homme d’intérieur, à faire le
ménage et la cuisine, à faire l’amour à ma maîtresse et ça fait cinq ans que ça dure.
Paula a oublié sa promesse de me faire rencontrer sa nièce. Nous rencontrons des gens
dans des soirées mais elle me tient bien en laisse et elle ne me tolère aucun écart
mais je m’en moque.
Pour l’instant.
F I N
Je savais qu’elle s’appelait Paule parce que je l’avais connue quand elle était une
collègue de ma mère et maintenant, elle se faisait appeler Paula. J’avais dix ans à
l’époque et je venais chercher ma mère à son travail en sortant de l’école.
Aujourd’hui, c’est plutôt l’inverse. Ce sont les mères qui viennent chercher leurs
enfants.
Mais aujourd’hui, j’ai vingt ans de plus. Paula, elle, en a presque soixante.
Cinquante-neuf et demi pour être exact. Et si elle a vieilli, elle n’a pas vraiment
changé car elle avait déjà cette forte poitrine quand je l’ai connue et j’espère pour
elle que ses seins avaient une meilleure tenue et qu’ils ne lui tombaient pas sur le
ventre.
Ça ne l’empêche pas d’être toujours aussi sexy et c’est aussi pourquoi je lui ai cédé.
Elle ne m’a jamais posé de questions sur mon passé et pas plus sur mon nom, ma famille
et j’ai vite compris que la seule chose qui l’intéresse est d’avoir un étalon sous la
main. Tout ce que je sais sur elle c’est qu’elle a été mariée si elle n’a pas eu
d’enfants et qu’elle est divorcée depuis pas mal d’années.
Malgré son peu de curiosité, je me demande encore parfois si elle sait vraiment qui je
suis, en plus d’être un amant toujours bien disposé. Si elle a fait le rapprochement
avec le petit garçon qu’elle connaissait. Il y a cinq ans, alors que je faisais barman
au Café de la Gare, je l’ai vue arriver. Elle était avec un type plutôt jeune et elle
lui parlait comme je n’aurais jamais voulu qu’on me parle. Elle lui donnait des ordres
et lui il répliquait comme à l’armée, les doigts sur les coutures du pantalon.
- Tu vas arrêter de courir après cette petite gourde, lui avait-elle dit sans
s’apercevoir que j’entendais tout ce qu’ils disaient.
- Mais je l’aime, avait osé répondre le gringalet !
- Et tu crois qu’elle t’aimera toujours quand elle saura que je t’encule avec mon
gode, lui avait rétorqué la femme !
Le type était pâle. Il a bafouillé quelques mots que je n’ai pas compris et la femme
m’a commandé deux cafés. Elle est revenue seule, une heure plus tard. Le café était
désert à cette heure.
- Vous aviez compris quoi, m’a-t-elle demandé ?
J’ai fait semblant de ne pas savoir de quoi elle parlait mais elle a insisté :
- Je sais bien que vous écoutiez, a-t-elle continué ! Je m’appelle Paula et vous me
plaisez beaucoup ! Vous baisez ?
- Vous quoi, ai-je fait ?
- Vous baisez, a insisté Paula ? Vous n’êtes pas eunuque par hasard ! Voilà, si vous
en êtes capable, vous me plaisez, on baise et si ça me plaît on continuera ! Vous
verrez aussi que je ne suis pas une ingrate ! Je sais me conduire avec un amant !
Je la regardais sans la voire. Elle était bien maquillée. Ses cheveux relevés en
chignon. Son tailleur beige et sa forte poitrine si difficilement contenue que les
boutons du chemisier semblaient en voie de lâcher prise. Paula s’est éloignée du bar
pour faire une pirouette et j’ai vu ses jambes. Des jambes magnifiques moulées dans
des bas dont la couture était parfaitement droite. Des bas qu’on ne voit plus trop de
nos jours.
- Alors, ça vous intéresse, m’a dit alors Paula quand elle s’est rapprochée du bar ?
J’habite à deux rues d’ici ! Vous pouvez bien vous absenter un moment ?
Peut-être avait-elle deviné que c’était l’heure de ma pause avant le rush de la sortie
des bureaux. J’ai averti ma patronne que je la prenais et elle s’est soulevée de sa
chaise pour me donner son accord. Elle passait toute sa journée vissée dessus, et
devant sa caisse, n’en sortant que pour aller, une ou deux fois par jour faire un
petit besoin.
- Je vais faire un petit besoin, me disait-elle à chaque fois ! Vous faites patienter
les clients ?
Je faisais patienter les clients et je ne touchais jamais à sa caisse des fois que… Je
l’avais souvent entendu raconter à ses fournisseurs qu’elle s’était faite voler, qu’il
n’y avait qu’elle pour tenir la caisse correctement… Je suis sorti du café. Paula
m’attendait au dehors et je l’ai suivie jusqu’à chez elle. J’ai compris bien plus tard
que j’avais dû avoir l’air ridicule de me conduire comme un petit chien qu’on promène.
Nous sommes montés dans l’ascenseur. Elle a ouvert sa porte et je l’ai suivie à
l’intérieur de l’appartement et quand la porte s’est refermée, Paula s’est enfin
tournée vers moi et ce fut pour me mettre la main aux couilles.
- J’ai vu que tu avais une bonne paire, a-t-elle commencé ! J’espère que le reste est
à la hauteur !
Paula a commencé à me malaxer les boules puis le bout de ses doigts a commencé à
chercher ma bite sous le tissu du pantalon. Ils remontaient de mes couilles et tout le
long de ma verge. Paula s’était accroupie et elle continuait à m’explorer quand elle a
levé son visage vers le mien.
- J’ai l’impression que je ne vais pas être déçue, m’a-t-elle dit en me faisant un
large sourire et j’ai aussi l’impression que ta mère t’a fait avec un âne, non ?
Elle a ouvert mon pantalon et elle a essayé d’extraire ma bite de mon caleçon mais je
bandais déjà et c’était plutôt difficile. Paula s’est énervée et j’ai dû sortir ma
bite moi-même et je suis resté là, devant Paula, la bite au garde-à-vous, et presque
collée sur mon ventre.
- Oh, mon dieu, a ajouté Paula, je suis tombé sur le frère jumeau de Rocco Siffreddi !
Ça doit faire combien ? Vingt-cinq, trente ? Je me suis déjà faite montée par des
noirs et ce n’était pas aussi gros, a-t-elle encore insisté !
Nous sommes restés sans bouger, face à face, moi debout, elle accroupie et elle a
commencé à toucher ma bite et à soupeser mes couilles puis elle s’est relevée et elle
m’a dit qu’il était temps que je vois mon cadeau et elle a entrepris un striptease.
Paula a retiré sa jupe et au-dessous elle avait un jupon puis elle a retiré sa veste
et son chemisier et j’ai commencé à voir sa poitrine, le profond ravin qui séparait
ses seins puis elle a retiré son jupon et j’ai vu son porte-jarretelles noir dont les
jarretelles étaient accrochées à ses bas et Paula a dégrafé son soutien-gorge dans son
dos mais elle n’est pas allée plus loin.
- Je mettrais bien des Lejaby, a ajouté Paula, mais ils ne sont pas capable d’en faire
à ma taille et puis ce n’est plus ce que c’était et je suis obligée de mettre des
Triumph !
Le suspense devenait insoutenable et j’étais là, avec ma bite en l’air…
- Tu es impatiente, lui a dit Paula en me la caressant du bout des doigts ! Tu as très
envie de te cacher, non ?
Paula m’a alors regardé dans les yeux :
- Tu as une copine ?
Je lui ai répondu que non mais elle a insisté. Maintenant, elle voulait savoir si
j’avais eu une copine.
- Tu as eu raison, m’a-t-elle répondu quand je lui ai dit qu’en avais eu une mais que
je l’avais quittée mais je ne lui ai pas dit que j’avais menti parce que c’était ma
copine qui m’avait quitté quand elle m’avait surpris en train de me branler dans la
salle de bains. Je venais de la prendre et je lui avais laissé un bon paquet de sperme
au fond du vagin mais je n’arrivais pas à débander et j’avais dû me branler pour
arriver à me calmer. Elle avait fait ses bagages et je ne l’ai jamais revue.
- Moi aussi, j’étais conne et j’étais une mauvaise amante quand j’étais jeune, a
ajouté Paula ! Je faisais l’amour mais en fait je me conduisait comme une pute avec
mon mari et maintenant je vais te faire avoir du plaisir et je vais me faire plaisir
aussi !
Paula a fait glisser les bretelles de son soutir sur ses bras et peu à peu, ses seins
se sont libérés des bonnets. Ils n’en finissaient pas mais le soutien-gorge a fini par
disparaître et les seins se sont affalés sur le ventre de la femme, avec les mamelons
cinq centimètres au-dessous du nombril. Je n’en revenais pas. Sous le poids des seins,
le haut s’était aplati et la poitrine n’était plus qu’une paire d’énormes boules sur
le ventre de Paula.
- Tu me plais, a-t-elle ajouté, et tu verras que je peux être gentille avec toi si on
s’entend bien !
Après m’avoir montré ses seins, Paula a retiré sa petite culotte. Elle était aussi
complètement épilée et elle n’avait plus aucun poil sur le ventre et si son clitoris
pointait au bout de son capuchon, ses petites lèvres pendaient comme une paire de
steaks qu’elle aurait eu entre les jambes.
- Monte-moi, m’a alors dit Paula en se penchant sur le lit. Elle a posé les mains à
plat sur le drap et elle a écarté les cuisses.
Je me suis approché par derrière et j’ai appuyé sur le bout de ma bite pour être à la
bonne hauteur mais Paula m’a demandé pourquoi je ne m’étais pas déshabillé et du coup,
je me suis déshabillé en vitesse puis je me suis enfoncé. Le vagin était chaud et
humide et ce fut facile de le pénétrer mais Paula m’a repris :
- Te trompes pas d’orifice ! Je te demanderai de m’enculer quand on se connaîtra mieux
!
J’ai donc limé et limé et limé et le vagin se serrait de plus en plus sur ma bite
jusqu’à me faire mal.
- Attends, m’a demande Paula ! Arrête-toi ! Fais une pause !
Je me suis arrêté de limer. J’avais bien senti que j’écrasais le bout de ma bite sur
son utérus et je pensais que c’était à cause de ça qu’elle me faisait arrêter, parce
que ça lui faisait mal. Je commençais à comprendre ce qui m’arrivait et j’étais aux
ordres, les mains bloquées sur les hanches de Paula et j’attendais qu’elle me dise de
continuer quand elle m’a dit de lui toucher les seins. J’ai lâché la main gauche et
j’ai posé les doigts sur son sein gauche, forcément.
- Qu’est-ce que tu attends pour attraper l’autre, m’a rugi Paula ? Tu ne sais pas que
les femmes ont deux seins ?
J’ai donc agrippé l’autre sein et j’ai commencé à les triturer, depuis les côtes
jusqu’au mamelon, ce qui devait bien faire quarante centimètres à vue de… doigts !
J’en ai même trituré les mamelons, les faisant rouler au bout de mes doigts et même en
les pinçant.
- Qu’est-ce que tu en penses, m’a alors demandé Paula ? Ils te plaisent ? Je sais bien
que pour les hommes c’est jamais aussi gros ! Ce qu’ils voudraient, c’est que les
femmes aient des pis de vache et encore ! C’est pour ça que les jeunes femmes ne
peuvent pas rivaliser !
Paula a insisté pour que je lui réponde. La première fille que j’avais eu était aussi
plate qu’un garçon, et ça ne l’avait pas empêchée de me faire l’amour assise sur mon
ventre et j’avais jugé après que ce n’était pas très excitant cette absence de seins.
Du coup, j’avais rompu avec elle pour essayer de me trouver une autre copine bien
mieux pourvue.
- Est-ce que tu te rappelles si ta mère te donnait le sein, m’a soudainement demandé
Paula ?
Je ne m’en rappelais pas vraiment parce que tout ce que dont je me souvenais était que
ma mère racontait à mes tantes qu’elle m’avait donné le sein jusqu’à deux ans parce
que je ne pouvais avaler rien d’autre que son lait et plus tard, une de mes cousines
s’était moquée de moi en me rappelant ça et je lui avais sauté dessus et je l’avais
embrassée sur la bouche et je n’avais pas été capable d’aller plus loin.
Six heures sonnaient au clocher de l’église et six heures, c’était la fin de ma pause
et j’allais être en retard pour reprendre mon service si je ne finissais pas
rapidement. Quand j’ai dit ça à Paula, elle a très bien compris mais elle a voulu que
je termine mon travail et j’ai rattrapé ses hanches et je me suis remis à limer
jusqu’à ce que j’éjacule au fond de son vagin. Je suis allé à la salle de bains pour
me laver et Paula m’y a rejoint. Elle m’a regardé faire. Je la regardais. Ses nichons
lui pendaient sur le torse.
- Tu me dois un orgasme, a-t-elle insisté, mais comme tu as une belle queue… vraiment
une belle queue, je veux que tu vienne finir ton travail ! Tu finis à quelle heure ?
- Huit heures !
Je me suis rhabillé. Paula était encore nue quand elle m’a raccompagné à sa porte et
elle m’a retenu par le bras :
- Tu veux que je me masturbe en t’attendant, m’a-t-elle encore demandé ?
J’ai appuyé sur le bouton de l’ascenseur et je me suis retourné vers Paula en
attendant que l’ascenseur arrive. Elle s’encadrait dans la porte de son appartement et
elle avait du sperme qui coulait sur ses bas. Elle a posé deux doigts sur son clitoris
et elle a commencé à se caresser. Je suis entré dans l’ascenseur. Paula avait refermé
la porte. A huit heures moins cinq, alors que j’essuyais une dernière fois le comptoir
du bar, elle s’est hissée sur un des tabourets.
- Un martini dry, a-t-elle fait !
Je l’ai servie.
- Dépêche-toi, m’a-t-elle recommandé en me glissant un billet dans la main ! J’ai
envie que tu me fasses jouir !
J’ai donné l’argent à ma patronne et je lui ai demandé si je pouvais partir. Elle a
regardé la pendule. J’ai retiré mon tablier et j’ai pris ma veste. Paula m’attendait
un peu plus loin sur le trottoir.
- Comment tu embrasses, m’a-t-elle demandé en passant son bras sous le mien ?
- Comment j’embrasse, lui ai-je répondu ?
Paula m’a poussé dans le renfoncement d’une porte cochère et elle a collé sa bouche
sur la mienne. Elle m’a fourré sa langue et quand elle m’a lâchée, elle m’a rappelé
qu’elle avait besoin de ma queue et qu’elle saurait être gentille avec moi. Elle avait
remis la jupe et la veste de son tailleur et elle était nue en dessous.
- Tu vas me baiser, insista-t-elle ! Je sais être une vraie chienne, tu verras !
J’ai vu. Une fois chez elle, elle s’est mise à quatre pattes dans l’entrée de
l’appartement et elle m’a offert ses fesses puis après quelques allers et retours dans
son vagin, elle s’est retournée pour venir me sucer la bite comme l’aurait fait une
chienne avec un chien puis elle m’a mordillé les couilles.
- Va, maintenant, m’a-t-elle dit après quelques minutes ! Tu peux me couvrir !
Je suis monté sur Paula et je lui ai fait son affaire et elle a joui plusieurs fois
cette salope avant que je n’arrive à éjaculer à nouveau.
- Voilà, tu es content, m’a demandé Paula !
Nous étions restés à quatre pattes. J’avais mal à la bite et mes bourses pendaient
vides quand Paula les a serrées dans son poing. En fait elle les serrait de façon à ce
que mes couilles soient rejetées le plus loin possible de ma bite. Elle les tenait et
je ne pouvais plus bouger tellement ça me faisait mal.
- Je suis déjà jalouse, a ajouté Paula ! Et je ne veux plus que tu regardes d’autres
femelles que moi ! Tu as quel âge ?
- Trente ! Vingt-neuf, lui ai-je répondu !
Je ne savais plus où j’en était. Quand elle m’a dit son âge, j’ai su qu’elle avait le
même âge que ma mère. Elle ne lâchait pas mes couilles et nous étions restés à quatre
pattes.
- J’adore ta queue, a insisté Paula ! Je ne me suis jamais fait mettre par une bite
aussi grosse !
Je ne répondais rien. Il y avait déjà un bon moment que nous étions immobiles dans
l’entrée quand Paula m’a dit que je bandais puis elle a ajouté qu’elle avait envie de
me branler et sans attendre ma réponse, elle s’est mise à me branler, le bras entre
mes cuisses, par derrière, comme elle aurait trait le pis d’une vache et en quelques
minutes, j’ai éjaculé. Elle avait mis son autre main par dessous et elle avait fait
comme une coupelle pour récupérer mon sperme. Elle a laissé ses mains sous mon ventre
et je n’osais plus bouger.
- Si tu restes avec moi, a ajouté Paula, tu pourras me faire tout ce que tu veux !
Tout ce que je veux moi, c’est que tu sois toujours avec moi !
- Mais, mon travail, ai-je protesté ?
- Je te paierais, m’a-t-elle répondu en éclantant de rire ! Tu penses déjà à ta
retraite ? Si tu veux, on se marie ! Tu verras que tu ne pourras rien regretter !
Elle s’est relevée et elle a marché délicatement vers la salle de bains et quand je
l’y ai rejointe, Paula contemplait mon sperme qui remplissait tout le creux de sa
main.
- J’ai lu que c’était bon pour la peau, a-t-elle dit, puis elle a renversé sa main sur
son sein gauche et elle a étalé ma semence sur son autre sein avant de s’en mettre sur
les joues et sur le coup et je l’ai regardée faire et j’avais deux maîtresses parce
que Paula se reflétait dans le miroir.
- Tu manges avec et tu passeras la nuit ici, a-t-elle ajouté ensuite et j’ai bien
compris que c’était un ordre.
Elle m’a emmené sous la douche et elle m’a savonné sur tout le corps avant de me
demander de la savonner.
- Je te plais, ne cessait-elle de me demander ?
Je ne lui répondais pas et elle ajoutait que si je venais vivre avec elle je pourrais
lui faire tout ce que je voudrais.
- Tu pourras m’enculer si tu veux, a-t-elle ajouté en éclatant de rire ! Il est temps
que je connaisse ça !
J’en ai profité pour lui demander qui était ce type avec qui elle était entrée dans le
café. Elle m’a répondu que c’était une erreur et c’est tout ce que j’ai su sur ce
type. Nous sommes sortis de la douche et j’ai commencé à l’essuyer quand elle m’a dit
que je n’avais pas à me faire de souci parce qu’elle ne pouvait plus avoir d’enfant à
son âge. Elle a ajouté qu’elle avait longtemps cru que seule les mères pouvaient avoir
du lait mais qu’elle en avait de temps en temps. Je lui ai demandé quel goût ça avait
et Paula m’a demandé pourquoi je ne m’en souvenais pas. Elle s’est ensuite reculée
pour se serrer entre mes bras et elle a ajouté qu’elle me ferait téter quand elle en
aurait, mais ce qu’elle m’a dit ensuite l’a faite pleurer.
- Je ne sais pas vraiment si j’aurais voulu avoir des enfants, mais ce que je regrette
le plus est de n’avoir jamais été enceinte ! J’aurais tant voulu avoir le gros ventre
!
- Et les vergetures, ai-je rétorqué !
- Oh, ça, ça passe, a ajouté Paula, mais j’aurais vraiment voulu avoir le gros ventre
! Oh, attend, a-t-elle encore ajouté, si tu restes avec moi, j’ai une de mes nièces
qui est lesbienne ! Elle voudrait faire un enfant avec son amie ! Je lui demanderai et
tu pourras t’accoupler avec elle !
Paula a rajouté qu’elle nous surveillerait pour que ça n’aille pas plus loin puis elle
a préparé un dîner. Ça m’allait, d’autant plus que c’était bon et que je faisais aussi
la cuisine et après avoir fait la vaisselle, nous sommes sortis et j’ai compris
qu’elle avait envie de me montrer à ses connaissances. D’ailleurs, nous sommes entrés
dans un immeuble et nous avons grimpé au denrier étage. Une femme nous a ouvert. Elle
aussi avait un amant plus jeune qu’elle puis un autre couple est arrivé et un peu plus
tard, Paula a voulu que ses amies voient comme j’étais fait car elle m’a sorti la bite
et les couilles du pantalon et elle m’a branlé jusqu’à ce que j’ai une belle érection.
Ses deux amies étaient folles et encore heureux que les deux minets soient restés dans
le salon. Paula a fini par tout remballer et nous sommes retournés chez elle.
- Demain, je travaille, m’a-t-elle annoncé ! La société que dirigeait mon mari était à
mes parents et maintenant c’est moi qui dirige !
Elle semblait si sûre d’elle. Après quelques câlins, nous nous sommes endormis. Le
lendemain je suis retourné travailler au café. Travailler, faire l’amour à Paula.
Faire l’amour à Paula et travailler. Au bout d’une semaine de ce régime je n’en
pouvais plus. Et comme j’étais comme le poisson au bout de l’hameçon, j’étais ferré
moi aussi. J’ai donné mes huit jours à ma patronne ou plutôt je lui ai dit que je ne
viendrais pas travailler la semaine suivante. Elle a semblé surprise mais il n’y avait
rien à faire.
Paula n’en demandait pas plus. Ce week-end-là, elle m’a emmené à Deauville. En fait,
elle a secoué un porte-clef sous mon nez et je l’ai suivie dans l’ascenseur et quand
j’ai vu la Jaguar dans le parking, je n’en suis pas revenu.
- Tu sauras la conduire, a-t-elle ajouté ?
J’ai pris le volant. On avait ouvert la capote et nous avons filé sur l’autoroute
jusqu’à Deauville. Elle avait un appartement près du port et juste derrière la plage
et nous avons fait les planches. Je n’avais jamais connu ça, le plaisir d’avoir de
l’argent, rencontrer des gens aussi riche de nous, mais on a déjà fait les boutiques
pour m’habiller puis nous sommes rentrés chez Paula.
J’ai alors commencé ma vie de femme d’intérieur. D’homme d’intérieur, à faire le
ménage et la cuisine, à faire l’amour à ma maîtresse et ça fait cinq ans que ça dure.
Paula a oublié sa promesse de me faire rencontrer sa nièce. Nous rencontrons des gens
dans des soirées mais elle me tient bien en laisse et elle ne me tolère aucun écart
mais je m’en moque.
Pour l’instant.
F I N
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