Pauline au Château - (suite de l'épisode précédent N°764) - histoire érotique

Pauline au Château - (suite de l'épisode précédent N°764) -
Pendant ce temps- là, non loin dans le Château, le Maitre confortablement installé dans un salon accompagné d’un homme, partage un café et un croissant, chaleureusement au coin d’une cheminée. Leur discussion repose sur la soirée de la veille lors de l’arrivée de la petite chienne. Le Maitre explique à Son ami, comment cette petite chienne lubrique est arrivée à se prosterner à Ses pieds. Il lui raconte toute l’éducation qu’il est prêt à mettre en œuvre pour que cette petite salope en chaleur finisse par devenir une soumise MDE. Le Maitre a bien l’intention de ne rien lui laisser passer, bien qu’il soit conscient que le chemin vers la soumission parfaite et totale va être longue. Aussi, c’est pour cela qu’il a fait appel à son ami. Un grand médecin de la région, mais aussi un grand Maitre qu’il respecte parmi son cercle d’amis intimes. Il explique aussi à son ami, que cette petite salope (pourtant au fort potentiel à la soumission totale) a été désobéissante et indigne de lui appartenir lors d’un test qu’elle devait passer en présence d’un couple de Dominants : John et Elsa. Il a du rattrapé cela en envoyant Ses meilleurs soumises à ce couple pour une semaine, afin de corriger les erreurs de cette jeune salope à dresser.

- Je vois très Cher Edouard, que tu as recueilli là, une forte tête, qui se dit être soumise.
- En effet, mon cher ami. Cependant, je sais et jamais je ne me trompe que cette chienne a également un fort potentiel de soumise qu’elle s’ignore elle-même. Elle est également très déstabilisée, ses anciennes relations D/s font qu’elle se protège naturellement, et jamais elle ne lâche prise totalement, contrairement à ce qu’elle veut faire comprendre. C’est justement sur ce point que je veux la déstabiliser, et la réduire à une moins que rien. Là mettre à nue de ses dernières réticences bien inutiles, lui débarrasser de tout orgueil et en faire ce qu’elle est au plus profond d’elle-même, une chienne lubrique docile et obéissante.
- Une bien belle épreuve t’attend là, mon cher ami, je te reconnais bien, prêt à te prouver une nouvelle fois, que personne ne résiste devant ta grandeur, mais dis-moi, en quoi puis-je t’être utile. J’étais présent hier soir, lors de l’arrivée de cette chienne, je l’ai analysée comme tu me l’avais demandé, elle semble en bonne santé, un corps équilibré et munie d’un sublime corps avec une poitrine parfaite et un fessier bien rebondi, dont je me ferais une joie de tester. Tu sais, Ô combien, j’aime sodomiser une esclave, dit-il, un sourire aux lèvres.
- Tu pourras user et abuser d’elle autant que tu le souhaites, d’ici quelques minutes, lorsque mon Majordome viendra nous informer qu’elle sera prête. Je souhaiterai que tu procèdes à quelques analyses sur son corps. Elle m’a fait parvenir ses derniers examens sanguins, pour les multiples MST, mais j’aimerai ton avis d’expert, c’est pour cela que je t’ai demandé de venir avec ta mallette. Sa bonne santé étant prioritaire, un bilan complet me réconforterai, sanguin et urinaire, de plus, j’aimerai, si cela ne te dérange en rien, que tu prennes différentes mesures de son corps, dont Walter te donnera la liste. Si je t’ai demandé à toi de venir l’analyser, et non à un simple médecin de la région, c’est également parce que je veux la voir réagir à des ordres reçues d’un Dominant dont elle ne connait pas… Elle doit s’habituer à obéir à nous, les Dominants et non seulement à moi, son Maitre. Je sais qu’elle s’est opposée à Walter plus d’une fois, mais également à ce couple John et Elsa, à mon plus grand regret. Bien sûr, je lui réserve une sanction, dont j’ignore encore la nature. Avec elle, il ne s’agit pas de sanctions physiques mais psychiques dont je dois faire preuve, là est toute la complexité de soumettre cette chienne, mais c’est également ce qui m’excite le plus. Tu as carte blanche pour lui imposer ta Domination, mon cher ami.
- Une fois de plus, tu aimes repousser ta manière de Dominer, afin que chaque esclave te reconnaisse comme le plus Grand. Je t’admire pour cela, Edouard. J’ai hâte de prendre en main cette esclave. Quand puis-je la voir ?
- Walter ne devrait pas tarder…
A ces mots, quelqu’un frappe à la porte, le Maître autorise cette entrée, et Walter s’approche d’eux.

- Monsieur le Marquis, la petite chienne est à sa place, entravée comme il se doit : Bandeau, boules Quies, et boules dans la bouche. De plus, comme Vous me l’aviez demandé, j’ai mis en marche son god vibrant sur la vitesse minimale.
- Très bien, merci Walter. Dis-moi, cette salope a-t-elle désobéi ?
- Elle a marqué un mouvement de recul, lorsque j’ai pris sa bouche pour une simple vide-couilles. J’ai dû la gifler, et je lui ai ensuite imposée mon rythme. Autrement, elle est restée sage jusqu’à ce qu’elle soit installée sur le fauteuil, où elle a crié, ce qui lui a valu, un bon coup de cravache sur les fesses.
- Bien, je vais vraiment devoir lui apprendre les bonnes manières à cette chienne. As-tu la liste, Walter ?
- Oui bien sûr, la voilà.

Walter tend la liste au Dominant Médecin, qui s’en saisit et l’analyse : Poitrine, hanche, crâne, entrée de ses trois orifices, langues, doigts, pieds, chevilles, épaules, hanches, cuisses… Toutes les parties du corps de cette chienne vont être mesurées. Le Médecin sourit, et se réjouit de découvrir cette effrontée d’esclave, se lève, prend sa mallette, prêt à suivre Walter. Monsieur le Marquis pose sa tasse, puis se lève également.

- Très bien, allons-y. Je resterai en retrait, prêt à intervenir si vraiment cela est nécessaire. Je veux connaitre son comportement en mon absence, tu lui conserveras son bandeau, ainsi elle ignora ma présence. Bien entendu, elle a interdiction de jouir, règle que je sais d’avance qu’elle ne respectera pas, le god qui est placé entre ses cuisses est bien trop important pour qu’elle ne puisse résister à ces envies de chienne lubrique en chaleur. Mais, cela va de soi, elle subira une punition méritée pour son orgasme non autorisé…
D’un pas décidé, tous les trois partent en direction de la pièce, où Walter a abandonné la petite chienne, qui doit à présent être fortement excitée…
Walter ouvre la porte aux deux grands Maitres, Monsieur le Marquis s’installe confortablement dans un fauteuil situé dans le coin de la pièce, Walter s’empresse de tirer les rideaux afin de diminuer la luminosité éclatante qui avait permis d’aveugler la jeune esclave, lui cachant ainsi la disposition, ainsi que les différents appareillages de la pièce. Le Médecin Dominant, installe sa mallette, et porte rapidement son attention sur la chienne ligotée, munie d’un bloc note. Il prend le temps d’analyser sa peau blanche, intacte. Une cicatrice réside sur son genou, en bon connaisseur, il comprend vite que cette esclave a subi dans sa jeunesse une opération, les ligaments croisés sans aucun doute. Il sort un mètre ruban et mesure la taille de cette cicatrice. Il continue son inspection en tant que professionnel, ignorant le trou qui s’expose à lui, et dont il veut prendre possession. Le ventre de cette chienne devrait à ses yeux être plus ferme, des séances d’abdominaux ne lui feraient pas de mal. Il passe une main sur ce cul rebondi, certes celui-ci devrait être également plus ferme, mais malgré tout, il l’aime ainsi, car il peut attraper fermement la peau de la petite chienne et l’étirée. A cette pensée, il y joint le geste, ce qui déclenche chez la prisonnière une réaction vive. Elle tente un mouvement des pieds, comme si elle souhaitait se défaire de son assaillant. Instinctivement, le médecin se jette sur la cravache posée non loin de là, et assène quelques coups sur les cuisses de l’insolence, lui imposant l’immobilité. Lorsqu’il considère que le message est passé, il reprend son inspection. Ses doigts effleurent ses tétons, ce qui a pour effet de les faire durcir presque immédiatement, un frisson parcourt la jeune chienne.

Il sourit face à cette réaction, cela est une bonne chose pour une future soumise. De ses mains, il empoigne les mamelles de la chienne, les pince, les soupèse, ils sont ferme globalement, et d’une taille raisonnable. Il défait la boucle sur le côté de la joue de la chienne, et lui retire sa boule, s’attendant à une réaction de la part de celle-ci, il avait préparé la cravache si besoin, mais elle reste silencieuse, comprenant qu’elle devait se laisser manipuler. Plutôt satisfait, il lui ouvre la bouche, lui insérant deux doigts profondément, il mesure ainsi la capacité de cette chienne à supporter l’introduction d’objet de taille plutôt imposante. En effet, son majeur est entièrement introduit dans sa bouche, qu’elle n’émet aucun recul, aucun haut le cœur, ce qui le surprend car il s’agit là, d’une jeune chienne, qui, il pense n’a pas dû subir tant d’assauts de sexe que ça. Curieux de connaitre jusqu’à qu’elle profondeur, elle est capable de prendre, il décide d’introduire un god dans sa bouche d’une taille plutôt raisonnable, d’environ 15 cm. A sa grande surprise, l’objet s’insère en elle, sans grand difficulté. Il décide donc de passer à une taille supérieure de 20 cm, ce qui rebute rapidement la petite chienne, lui provoquant un haut le cœur, lorsque l’objet est introduit totalement au fond de sa gorge. Il sort l’écarteur de sa mallette et le place entre les lèvres de la femelle, et l’écarte autant qu’il peut afin de mesurer l’ouverture buccale : 4,5 cm soit une belle performance.

Il réutilise l’écarteur l’insérant cette fois dans son cul pour prendre note de sa performance : 4 cm, ce qui est bien faible. Divers exercices vont devoir être menés sur ce cul de chienne, pour qu’il puisse accueillir différents objets, tous plus gros les uns que les autres. Il lui retire la cage de chasteté, avec l’autorisation de Monsieur le Marquis, lui ôte le god où s’échappe un flot de cyprine, décidément cette chienne est dans un état d’excitation tel qu’il sent son propre sexe durcir dans son pantalon. Il mesure cette fois l’ouverture de son vagin, avec plus de difficulté, cette chienne est très étroite, ce qui lui donne envie de la fourrer de suite. Il sort son mètre à ruban et prend rapidement les différentes mesures que Monsieur le Marquis lui a demandé, souhaitant en finir avec l’inspection afin qu’il puisse la sodomiser. Une fois toutes les mesures bien notées dans son bloc note, il procède à la prise de sang, à sa grande surprise, la chienne se met à crier lors de la piqure, alors qu’elle était restée calme jusqu’à présent. Walter muni de la cravache, la réprimande, lui assénant des coups justes et forts sur son fessier. Elle pleurniche telle une gamine pour une simple piqure… Il finit le plus vite possible, ce qui semble être un supplice pour elle.

Puis rangeant ses affaires, il décide, de lui remettre sa boule dans sa bouche, des pinces à linge posées sur la table lui donnent une idée, et il garnit ses deux tétons vulgaires de pinces. Puis d’un coup sec et sans préparation, il fait légèrement basculer le siège afin que le cul de la petite chienne soit vraiment en face de sa verge qui a grandement durcie. C’est ainsi la queue gonflée et bien dressée qu’il la sodomise sans scrupule et sans aucun préliminaire. Son corps de salope l’a excitée, et la prendre enfin, lui imposant son rythme, sa Domination, le comble. Il veut montrer à cette petite insolente à quel monde elle se plie, et qu’importe le Dominant qui la domine, elle n’est qu’un petit jouet entre les mains des Maitres. Monsieur le Marquis observe la scène, silencieux, amusé par la situation, de voir Sa petite chienne prise ainsi par un de ses amis Maitres. Il a bien conscience que la petite salope prend du plaisir, mais la voir ainsi saillie profondément, sauvagement le réconforte, si Son ami Dominant a décidé de mener à terme l’inspection, jusqu’à la sodomiser bestialement c’est qu’il a lui aussi découvert le potentiel de cette chienne à devenir une parfaite soumise obéissante. Il savait que Son ami ne prendrait pas la peine de finir son inspection, s’il n’avait pas compris cela. Il est content de voir Son ami prendre du plaisir, et cette scène l’excitant, il décide lui aussi de venir profiter de Sa petite chienne. Il se place donc au niveau de la bouche de celle-ci, lui retire sa boule, et force le passage en glissant Son sexe déjà fort raidie. Il lui assène de grands coups, faisant claquer Ses couilles contre sa joue, et cette chienne est prise d’assaut par son cul et sa bouche. Cependant, elle ignore que parmi ses assaillants se trouvent le Maitre à qui elle appartient, ce qui fait plaisir à Monsieur le Marquis, car ainsi il découvre qu’elle ne résiste pas à se faire prendre de la sorte à l’aveugle. Oui, cela lui permet de confirmer que cette petite salope aime le sexe, aime être Dominée, et surtout qu’elle en redemande encore et encore…
(A suivre …)