Pauline, The Channel
Récit érotique écrit par Stan23JR [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pauline, The Channel
Pauline (The Channel)
17 avril 2019 (Quelques parts entre Londres et Lille)
Miles a encore fait des prouesses au volant ! Cal est sorti de réunion du côté de Moorgate en plein cœur de la City à vingt-heures trente-sept, soit deux minutes après l’heure limite pour se rendre à la gare de St-Pancras International, le dernier Eurostar part à vingt-et-une heures une et arrive à Paris avant minuit.
Miles lui a dit qu’il en est capable, ce type connaît de sacré raccourci pour éviter les embouteillages, même si c’est parfois assez peu académique, c'est quand même très efficace, sachant qu’il a été le chauffeur de quelques ministres britanniques cela ne le surprend pas tellement.
Calvin arrive juste à temps, il lui reste deux minutes pour monter dans la dernière rame qui par chance est la sienne.
Il s'assoit dans un carré avec une porte vitrée.
La rame semble totalement vide, il peut donc se mettre à son aise en retirant sa veste de costume, ses chaussures et se met sur son ordinateur portable pour répondre à quelques e-mails et commence à rédiger le rapport commercial de son entretien à Londres.
Justement, on a quitté la capitale anglaise que depuis quelques minutes quand la porte s’ouvre, il l’entend juste la voix qui dit :
- Tickets please dear Mister, Billets s'il vous plaît cher monsieur !
Mais il connaît cette voix, il relève sa tête précipitamment pour tomber nez à nez avec son ex belle-sœur Pauline.
Elle n’a que deux ans de moins que Manon, mais se ressemblent beaucoup : les mêmes traits vietnamiens, les fossettes au même endroit, les mêmes yeux bruns, mais là où Manon arbore plus souvent un chignon bien compliqué, Pauline préfère laisser ses cheveux noir corbeau cascader sur ses épaules.
Elle a la robe noire siglée Eurostar avec le fameux foulard jaune, noir et blanc, le tout sur une paire de collants et d’une paire d’escarpins noir.
- Pauline ? Tu travailles chez Eurostar ? Mince alors, la dernière fois qu’on s’est vu, tu étais encore sur TGV Grand Est lui répond-t-il en lui tendant son billet.
- Bonsoir cher ex beau-frère, je vois que de ne plus être désormais aux réunions de familles te font rater beaucoup de choses : j’ai rejoint Eurostar il y a cinq mois, là paie est plus intéressante, les horaires aussi, de même que la clientèle, enchaîne-t-elle tout en vérifiant son billet.
- La faute à qui ? Lui lance-t-il avec un peu plus de venin qu’il n’en aurait voulu, désolé ! Ce n'est pas contre toi.
- Ne t’excuse pas, tu en veux toujours à ma chère sœur à ce que je vois, je crois que c’est dans quelques jours les un an du divorce, c’est bien ça ?
- Oui, c’est à la fin de ce mois, j'ai pensé être passé à autre chose, mais c’est toujours un peu difficile mais on doit apprendre à faire au mieux pour Max.
- Je sais à quel point cela a été compliqué pour toi, j’avoue ne pas avoir été très fier de ma grande sœur sur ce coup, après pour sa défense, ça reste quand même ma sœur, une femme aussi à des besoins et c’est un fait que tu lui a pas accordé assez d’attention, qu’un autre a su lui donner.
- Bon ok ! Je connais mes torts dans cette affaire, c’est peut-être un peu tardif, mais pour Max, j’ai demandé à aménager mes horaires de travail et être plus souvent là pour mon petit garçon.
- Au moins, si on prend le verre à moitié plein, on ne pourra se dire qu’à défaut d’être un bon époux, tu feras un meilleur père.
Et puis même si cela s’est mal terminée vous avez été quand même heureux pendant six ans, Manon et moi avons toujours été très complices donc elle s’est beaucoup confiée à moi et sur tous les aspects.
Cette dernière remarque laisse perplexe Cal qui enchaîne :
- Ah bon, vraiment ! Elle ne t’a quand même pas décrit tous nos ébats ?
- Oh bien sur que si ! Et en commençant par le dessert, au fait bravo pour les galipettes chez nos parents, je ne pensais pas ma sœur si délurée, tu es un vrai tentateur.
- Pour ma défense, c’est une idée de ta sœur, elle a toujours rêvé de se venger de l’éducation rigide de tes parents, c’est, semblerait-il très aphrodisiaque pour elle.
- En-tout-cas, vous avez été très discret, ça n’a pas toujours été mon cas avec mes prétendants chez mes parents.
- En-tout-cas, vous avez été très discret, ça n’a pas toujours été mon cas avec mes prétendants chez mes parents.
- Eh ! C’est gratuit, ça répond-elle avec une pointe d’amusement dans la voix, non, ils ne sont pas toujours mariés ou en couple même si j’aime ce genre de défi et je dois dire qu’on en rencontre beaucoup des hommes mariés prêt à tromper leurs femmes dans un train.
- Tiens donc ! Eh bien, au moins, je ne représente plus ce genre de défi.
- Je ne dirai pas ça ! Dit-elle avec une pointe de malice, vois-tu si ma sœur aime transgresser les règles en faisant l’amour chez nos parents, moi, je préfère briser les codes et par moment certains couples, je t’avouerai sans mensonge, que l’ex de ma propre sœur, c’est un bel interdit, termine-t-elle avec un clin d’œil très suggestif.
Cal est légèrement désarçonné et puis une idée germe dans son esprit, il ne s’est jamais vengé de Manon pour ses tromperies, et pourquoi pas ?
Pauline, elle n’a pas attendu, déjà, elle ferme les doubles-rideaux du compartiment où il se trouve, ce qui les rend non visibles du reste du wagon.
- On va être tranquille t’inquiète ! Tu es la dernière personne que j'ai contrôlée et puis ce soir, c'est quasi-déserts, minaude-t-elle tout en passant la langue sur les lèvres.
Cal s’installe confortablement dans son siège alors qu’elle commence à se mouvoir dans l’espace et à danser au rythme de la stéréo du train au rythme du morceau de Drake : In my Feelings.
L'uniforme de Pauline est très seyant, quand elle soupèse ses seins devant lui, il voit presque par transparence son soutien-gorge sans parler de sa dentelle qu’elle lui montre par-dessus ses belles jambes.
Elle pose sa jambe gauche dont le talon claque sur la table devant lui. Sans se faire prier Cal commence par lui embrasser la jambe par-dessus le nylon, le crissement de sa main sur son bas le rend fou, il remonte de plus en plus haut tandis que son corps lui s’abaisse pour s’approcher toujours plus de son mont de Vénus d'où il sent poindre l'humidité.
Finalement, l’interdit est définitivement franchi quand ses doigts viennent pour la première fois frotter sa chatte sous la dentelle, il ne perd pas de temps et joint sa langue à l’exploration de la caverne intime de son ex belle-sœur.
Son nez le gêne dans son exploration, mais pour rien au monde, il ne laisserait pas sa place, sa chatte sent divinement bon (elle en prend apparemment soin.) et son liquide intime lui a un goût divin.
Il s’emploie à lui faire atteindre le nirvana à l’aide de sa langue et de ses doigts, elle est tout près de perdre l’équilibre en atteignant l’orgasme, obligeant Cal à la soutenir pour qu’elle ne tombe pas.
Elle est décidée à lui rendre la pareille, elle le pousse au fond son siège bleu nuit, se tourne puis passe ses mains dans son dos pour atteindre la tirette de sa robe qu’elle tire vers le bas.
Le haut de son dos, son soutien-gorge, sa chute de reins, son mini-string, ses fesses rebondies et ses belles jambes se révèlent à ses yeux progressivement.
Elle se tourne et lui laisse admirer sa lingerie de chez Lise Charmel, le modèle couture glamour avec le soutien-gorge corbeille noire à fleurs blanche et le mini - string montant assorti, révélant la quasi-intégralité de ses fesses à l’exception de la ficelle qui passe sur sa fente, elle choisit sa lingerie avec choix l’ex belle-sœur.
Son soutien - gorge retirée lui permet d'admirer sa belle poitrine, légèrement plus grosse que celle de sa sœur.
Elle s’avance pour lui permettre de toucher et de soupeser ses globes laiteux dont il prend les pointes entre ses lèvres pour lui faire crier de plaisir.
Mais elle veut reprendre la main, le repousse pour se mettre à genoux entre ses jambes, déboucle sa ceinture avec les dents, extrait sa bite de sa prison de toile, le masturbe un peu avant de lécher le liquide pré-séminal qui perle sur son gland.
Pauline commence par le lécher sur toute sa longueur avant de descendre prendre ces boules en bouche tout en le branlant énergiquement, joue avec lui pendant quelques minutes en ne le pompant jamais vraiment, se contentant de lui lécher le bout du gland ou de lécher sa hampe sur la longueur.
Elle s’amuse de sa frustration, mais au moment où Cal ne s’y attend pas, elle le prend par surprise sur toute sa longueur, la garce elle lui prépare une gorge profonde depuis le début, car elle atteint vite son pubis avec son nez.
La Vietnamienne se met à le pomper avec acharnement tandis que lui serre les accoudoirs à s’en faire mal aux mains, il va avoir de belles marques rouges, mais il s’en fout, il prend un pied d’enfer.
D’autant que la mademoiselle s’amuse à passer le bout de sa langue dans son méat, il est plus bien loin de juter.
Sur sa dernière plongée en gorge profonde, alors qu’elle lui masse les boules de la main droite tout en le léchant avec sa langue sur toute sa longueur, là, il craque et lâche la lave au fond de sa gorge manquant presque de l’étouffer avec sa sève.
Apparemment, elle a de la bouteille Pauline, car elle trouve le moyen de tout avaler sans s’étouffer et sans perdre une seule goutte.
Cette éjaculation n’a en rien fait redescendre son excitation et pas la sienne non plus au vu de ses yeux brillants, il la bascule sous lui, en longueur sur la banquette, met un préservatif et l’embroche quasiment à la hussarde en ne retirant pas son mini-string et avec ses jambes à hauteur de ses épaules.
Il ne fait pas preuve que de peu de douceur, la besogne et apparemment, elle n’attend que cela, car ses halètements sont longs et prolongés.
Le fourreau est particulièrement chaud et cela coulisse tellement facilement grâce à sa mouille, il va encore plus loin et peut être un peu trop loin quand il place ses jambes en suspension au-dessus de sa poitrine et qu’il accroche avec ses mains ses deux talons ensemble, pris par son élan, il se met à légèrement lui serrer la gorge.
Mais Pauline apprécie visiblement, pousse son bassin encore plus en avant, il la sent se contracter, preuve de sa jouissance tandis qu’un filet de mouille gicle de sa chatte.
Ils vont s’amuser les agents d’entretien de la SNCF à Paris avec ses taches, par contre, il commence un peu à s’épuiser à ce rythme alors il s’assoit sur le siège de gauche.
Elle se semble pas lui en tenir rigueur du léger étranglement, car elle s’empale sur son pal et y met tout de suite beaucoup d’entrain à sauter sur sa queue qui est littéralement détrempée tellement elle mouille.
Par contre, il ne résiste pas à lui tirer fortement les pointes des seins pour mieux les lécher et apparemment comme sa sœur, elle adore cela.
Pauline va toujours plus vite et ce qui devait arriver arrive donc, elle remonte trop vite, se désarçonne, la descente est tout aussi rapide sauf qu’elle mouille tellement que cela dérape et elle se retrouve avec sa bite dans son cul.
Il y a deux secondes où personne ne fait rien et se regarde dans les yeux puis tout doucement, elle se remet à monter et à descendre sur son vit sauf que cette fois-ci, il visite son fondement le plus intime.
Cal prend confiance, saisit ses fesses à pleine main pour les faire coulisser sur son pénis et il lui met même des claques sur chaque fesse.
Il a repris un bon rythme, mais commence là encore un peu à s’épuiser alors il lui allonge le dos sur la table et tout en restant assis continue à martyrisé le cul.
Au-dehors on ne voit plus le paysage britannique, preuve qu’ils sont entrés dans le Channel, ils leur restent vingt-cinq minutes de tunnel et puis la route jusqu’à Lille pour finir avant que le train ne se remplisse un peu plus.
Calvin est tellement à l’aise dans l’anus de son ex belle-sœur qu’il a du mal à en sortir, mais il veut la soumettre encore un peu plus.
Alors il la place à quatre pattes sur la banquette et se met derrière pour lui martyriser alternativement ses deux trous tout en lui tirant les cheveux et lui claquant les fesses, les rendant vraiment très rouges.
Apparemment, il a beaucoup de rancœur et de frustration à évacuer, Pauline se trouve être un bon exutoire et là clairement elle prend cher.
C’était un véritable tsunami qui monte de ses testicules tout le long de son membre, il a l’impression d’avoir les veines en feu, c'est un véritable geyser qu’il lâche au fond de son rectum.
Il n’a pas l’impression de pouvoir s’arrêter de juter d’autant qu’elle n’est pas en reste avec ces multiples jouissances qui envoient de la mouille partout.
Une fois le calme revenu, il ramène sa tête vers la sienne et échange un baiser endiablé avec Pauline.
Ils sortent tout juste du tunnel sous la Manche quand ils finissent de se rhabiller, il ne reste que quelques minutes avant l’arrivée à Lille, cela leur permettent d’échanger leurs impressions.
- Tu dois encore bien lui en vouloir à ma sœur commence Pauline, j’ai parfois eu l’impression d’être un exutoire et puis Manon ne m’a jamais dis que tu étais du genre BDSM.
- Vraiment désolé Pauline, en fait non ce n’est pas mon style, mais tu as raison, j’ai parfois eu aussi l’impression de l’exutoire pendant notre rapport, mais je pense que tu m’as aidé inconsciemment pour passer à autre chose, cela devrait simplifier nos relations avec ta sœur maintenant que moi aussi, j’ai franchi un interdit.
- Eh bien, vu sous cet angle si j’ai pu te permettre de passer un cap et de plus Manon n’a jamais menti, tu es un excellent coup, je pense que c’est peut-être ce qu’elle a toujours préféré avec toi, tu te donnes toujours à fond et vraiment, tu sais t’en servir, dit-elle tout en soupesant son paquet.
- À ton service Pauline, enchaîne-t-il avec un clin d’œil, Manon me l’a dit, mais je ne savais pas que c’est ce qu’elle regrette le plus, mais bon, on doit passer à autre chose, elle comme moi pour le bien de Max, par ailleurs, elle fréquente quelqu’un de façon plus assidue à ce qu’elle m’a dit.
- À ton service Pauline, enchaîne-t-il avec un clin d’œil, Manon me l’a dit, mais je ne savais pas que c’est ce qu’elle regrette le plus, mais bon, on doit passer à autre chose, elle comme moi pour le bien de Max, par ailleurs, elle fréquente quelqu’un de façon plus assidue à ce qu’elle m’a dit.
- Tu ne vas quand même pas… Commence-t-il ?
- Non, bien sûr que non, cela reste ma sœur, toi, c’est différent comme vous êtes divorcés, j’avais moins de scrupules et bien sûr aucun regret.
- Ok, j’espère que c’est le bon pour elle tant qu’il n’empiète pas sur mon rôle de père, cela me va.
- T’inquiètes, il est super gentil avec Max, mais cela se voit qu’il ne cherche pas trop à s’imposer, tu n’as pas de soucis à te faire, bon, on arrive à Lille, j’ai du boulot, on se voit chez mes parents dans quelques semaines pour l’anniversaire de Max, c’est bien ça, je crois ?
- Oui ! C’est ce qu’on a prévu, ce sera mieux comme ils ont un très grand jardin. Ce sera parfait pour le barbecue et la structure gonflable.
Elle lui envoie un baiser et se retourne pour sortir tout en roulant à mort du cul.
Un couple de personnes âgées montent à Lille et s’installent sur le carré à côté du sien, la femme se plaint du ménage mal fait et des taches un peu partout, son mari par contre après avoir regardé de loin, se tourne un peu vers lui et lui lance un sourire entendu, il a bien compris ce qui s’est passé et cela l’amuse beaucoup.
Ce voyage en train a été finalement très aphrodisiaque et riche en enseignement.
17 avril 2019 (Quelques parts entre Londres et Lille)
Miles a encore fait des prouesses au volant ! Cal est sorti de réunion du côté de Moorgate en plein cœur de la City à vingt-heures trente-sept, soit deux minutes après l’heure limite pour se rendre à la gare de St-Pancras International, le dernier Eurostar part à vingt-et-une heures une et arrive à Paris avant minuit.
Miles lui a dit qu’il en est capable, ce type connaît de sacré raccourci pour éviter les embouteillages, même si c’est parfois assez peu académique, c'est quand même très efficace, sachant qu’il a été le chauffeur de quelques ministres britanniques cela ne le surprend pas tellement.
Calvin arrive juste à temps, il lui reste deux minutes pour monter dans la dernière rame qui par chance est la sienne.
Il s'assoit dans un carré avec une porte vitrée.
La rame semble totalement vide, il peut donc se mettre à son aise en retirant sa veste de costume, ses chaussures et se met sur son ordinateur portable pour répondre à quelques e-mails et commence à rédiger le rapport commercial de son entretien à Londres.
Justement, on a quitté la capitale anglaise que depuis quelques minutes quand la porte s’ouvre, il l’entend juste la voix qui dit :
- Tickets please dear Mister, Billets s'il vous plaît cher monsieur !
Mais il connaît cette voix, il relève sa tête précipitamment pour tomber nez à nez avec son ex belle-sœur Pauline.
Elle n’a que deux ans de moins que Manon, mais se ressemblent beaucoup : les mêmes traits vietnamiens, les fossettes au même endroit, les mêmes yeux bruns, mais là où Manon arbore plus souvent un chignon bien compliqué, Pauline préfère laisser ses cheveux noir corbeau cascader sur ses épaules.
Elle a la robe noire siglée Eurostar avec le fameux foulard jaune, noir et blanc, le tout sur une paire de collants et d’une paire d’escarpins noir.
- Pauline ? Tu travailles chez Eurostar ? Mince alors, la dernière fois qu’on s’est vu, tu étais encore sur TGV Grand Est lui répond-t-il en lui tendant son billet.
- Bonsoir cher ex beau-frère, je vois que de ne plus être désormais aux réunions de familles te font rater beaucoup de choses : j’ai rejoint Eurostar il y a cinq mois, là paie est plus intéressante, les horaires aussi, de même que la clientèle, enchaîne-t-elle tout en vérifiant son billet.
- La faute à qui ? Lui lance-t-il avec un peu plus de venin qu’il n’en aurait voulu, désolé ! Ce n'est pas contre toi.
- Ne t’excuse pas, tu en veux toujours à ma chère sœur à ce que je vois, je crois que c’est dans quelques jours les un an du divorce, c’est bien ça ?
- Oui, c’est à la fin de ce mois, j'ai pensé être passé à autre chose, mais c’est toujours un peu difficile mais on doit apprendre à faire au mieux pour Max.
- Je sais à quel point cela a été compliqué pour toi, j’avoue ne pas avoir été très fier de ma grande sœur sur ce coup, après pour sa défense, ça reste quand même ma sœur, une femme aussi à des besoins et c’est un fait que tu lui a pas accordé assez d’attention, qu’un autre a su lui donner.
- Bon ok ! Je connais mes torts dans cette affaire, c’est peut-être un peu tardif, mais pour Max, j’ai demandé à aménager mes horaires de travail et être plus souvent là pour mon petit garçon.
- Au moins, si on prend le verre à moitié plein, on ne pourra se dire qu’à défaut d’être un bon époux, tu feras un meilleur père.
Et puis même si cela s’est mal terminée vous avez été quand même heureux pendant six ans, Manon et moi avons toujours été très complices donc elle s’est beaucoup confiée à moi et sur tous les aspects.
Cette dernière remarque laisse perplexe Cal qui enchaîne :
- Ah bon, vraiment ! Elle ne t’a quand même pas décrit tous nos ébats ?
- Oh bien sur que si ! Et en commençant par le dessert, au fait bravo pour les galipettes chez nos parents, je ne pensais pas ma sœur si délurée, tu es un vrai tentateur.
- Pour ma défense, c’est une idée de ta sœur, elle a toujours rêvé de se venger de l’éducation rigide de tes parents, c’est, semblerait-il très aphrodisiaque pour elle.
- En-tout-cas, vous avez été très discret, ça n’a pas toujours été mon cas avec mes prétendants chez mes parents.
- En-tout-cas, vous avez été très discret, ça n’a pas toujours été mon cas avec mes prétendants chez mes parents.
- Eh ! C’est gratuit, ça répond-elle avec une pointe d’amusement dans la voix, non, ils ne sont pas toujours mariés ou en couple même si j’aime ce genre de défi et je dois dire qu’on en rencontre beaucoup des hommes mariés prêt à tromper leurs femmes dans un train.
- Tiens donc ! Eh bien, au moins, je ne représente plus ce genre de défi.
- Je ne dirai pas ça ! Dit-elle avec une pointe de malice, vois-tu si ma sœur aime transgresser les règles en faisant l’amour chez nos parents, moi, je préfère briser les codes et par moment certains couples, je t’avouerai sans mensonge, que l’ex de ma propre sœur, c’est un bel interdit, termine-t-elle avec un clin d’œil très suggestif.
Cal est légèrement désarçonné et puis une idée germe dans son esprit, il ne s’est jamais vengé de Manon pour ses tromperies, et pourquoi pas ?
Pauline, elle n’a pas attendu, déjà, elle ferme les doubles-rideaux du compartiment où il se trouve, ce qui les rend non visibles du reste du wagon.
- On va être tranquille t’inquiète ! Tu es la dernière personne que j'ai contrôlée et puis ce soir, c'est quasi-déserts, minaude-t-elle tout en passant la langue sur les lèvres.
Cal s’installe confortablement dans son siège alors qu’elle commence à se mouvoir dans l’espace et à danser au rythme de la stéréo du train au rythme du morceau de Drake : In my Feelings.
L'uniforme de Pauline est très seyant, quand elle soupèse ses seins devant lui, il voit presque par transparence son soutien-gorge sans parler de sa dentelle qu’elle lui montre par-dessus ses belles jambes.
Elle pose sa jambe gauche dont le talon claque sur la table devant lui. Sans se faire prier Cal commence par lui embrasser la jambe par-dessus le nylon, le crissement de sa main sur son bas le rend fou, il remonte de plus en plus haut tandis que son corps lui s’abaisse pour s’approcher toujours plus de son mont de Vénus d'où il sent poindre l'humidité.
Finalement, l’interdit est définitivement franchi quand ses doigts viennent pour la première fois frotter sa chatte sous la dentelle, il ne perd pas de temps et joint sa langue à l’exploration de la caverne intime de son ex belle-sœur.
Son nez le gêne dans son exploration, mais pour rien au monde, il ne laisserait pas sa place, sa chatte sent divinement bon (elle en prend apparemment soin.) et son liquide intime lui a un goût divin.
Il s’emploie à lui faire atteindre le nirvana à l’aide de sa langue et de ses doigts, elle est tout près de perdre l’équilibre en atteignant l’orgasme, obligeant Cal à la soutenir pour qu’elle ne tombe pas.
Elle est décidée à lui rendre la pareille, elle le pousse au fond son siège bleu nuit, se tourne puis passe ses mains dans son dos pour atteindre la tirette de sa robe qu’elle tire vers le bas.
Le haut de son dos, son soutien-gorge, sa chute de reins, son mini-string, ses fesses rebondies et ses belles jambes se révèlent à ses yeux progressivement.
Elle se tourne et lui laisse admirer sa lingerie de chez Lise Charmel, le modèle couture glamour avec le soutien-gorge corbeille noire à fleurs blanche et le mini - string montant assorti, révélant la quasi-intégralité de ses fesses à l’exception de la ficelle qui passe sur sa fente, elle choisit sa lingerie avec choix l’ex belle-sœur.
Son soutien - gorge retirée lui permet d'admirer sa belle poitrine, légèrement plus grosse que celle de sa sœur.
Elle s’avance pour lui permettre de toucher et de soupeser ses globes laiteux dont il prend les pointes entre ses lèvres pour lui faire crier de plaisir.
Mais elle veut reprendre la main, le repousse pour se mettre à genoux entre ses jambes, déboucle sa ceinture avec les dents, extrait sa bite de sa prison de toile, le masturbe un peu avant de lécher le liquide pré-séminal qui perle sur son gland.
Pauline commence par le lécher sur toute sa longueur avant de descendre prendre ces boules en bouche tout en le branlant énergiquement, joue avec lui pendant quelques minutes en ne le pompant jamais vraiment, se contentant de lui lécher le bout du gland ou de lécher sa hampe sur la longueur.
Elle s’amuse de sa frustration, mais au moment où Cal ne s’y attend pas, elle le prend par surprise sur toute sa longueur, la garce elle lui prépare une gorge profonde depuis le début, car elle atteint vite son pubis avec son nez.
La Vietnamienne se met à le pomper avec acharnement tandis que lui serre les accoudoirs à s’en faire mal aux mains, il va avoir de belles marques rouges, mais il s’en fout, il prend un pied d’enfer.
D’autant que la mademoiselle s’amuse à passer le bout de sa langue dans son méat, il est plus bien loin de juter.
Sur sa dernière plongée en gorge profonde, alors qu’elle lui masse les boules de la main droite tout en le léchant avec sa langue sur toute sa longueur, là, il craque et lâche la lave au fond de sa gorge manquant presque de l’étouffer avec sa sève.
Apparemment, elle a de la bouteille Pauline, car elle trouve le moyen de tout avaler sans s’étouffer et sans perdre une seule goutte.
Cette éjaculation n’a en rien fait redescendre son excitation et pas la sienne non plus au vu de ses yeux brillants, il la bascule sous lui, en longueur sur la banquette, met un préservatif et l’embroche quasiment à la hussarde en ne retirant pas son mini-string et avec ses jambes à hauteur de ses épaules.
Il ne fait pas preuve que de peu de douceur, la besogne et apparemment, elle n’attend que cela, car ses halètements sont longs et prolongés.
Le fourreau est particulièrement chaud et cela coulisse tellement facilement grâce à sa mouille, il va encore plus loin et peut être un peu trop loin quand il place ses jambes en suspension au-dessus de sa poitrine et qu’il accroche avec ses mains ses deux talons ensemble, pris par son élan, il se met à légèrement lui serrer la gorge.
Mais Pauline apprécie visiblement, pousse son bassin encore plus en avant, il la sent se contracter, preuve de sa jouissance tandis qu’un filet de mouille gicle de sa chatte.
Ils vont s’amuser les agents d’entretien de la SNCF à Paris avec ses taches, par contre, il commence un peu à s’épuiser à ce rythme alors il s’assoit sur le siège de gauche.
Elle se semble pas lui en tenir rigueur du léger étranglement, car elle s’empale sur son pal et y met tout de suite beaucoup d’entrain à sauter sur sa queue qui est littéralement détrempée tellement elle mouille.
Par contre, il ne résiste pas à lui tirer fortement les pointes des seins pour mieux les lécher et apparemment comme sa sœur, elle adore cela.
Pauline va toujours plus vite et ce qui devait arriver arrive donc, elle remonte trop vite, se désarçonne, la descente est tout aussi rapide sauf qu’elle mouille tellement que cela dérape et elle se retrouve avec sa bite dans son cul.
Il y a deux secondes où personne ne fait rien et se regarde dans les yeux puis tout doucement, elle se remet à monter et à descendre sur son vit sauf que cette fois-ci, il visite son fondement le plus intime.
Cal prend confiance, saisit ses fesses à pleine main pour les faire coulisser sur son pénis et il lui met même des claques sur chaque fesse.
Il a repris un bon rythme, mais commence là encore un peu à s’épuiser alors il lui allonge le dos sur la table et tout en restant assis continue à martyrisé le cul.
Au-dehors on ne voit plus le paysage britannique, preuve qu’ils sont entrés dans le Channel, ils leur restent vingt-cinq minutes de tunnel et puis la route jusqu’à Lille pour finir avant que le train ne se remplisse un peu plus.
Calvin est tellement à l’aise dans l’anus de son ex belle-sœur qu’il a du mal à en sortir, mais il veut la soumettre encore un peu plus.
Alors il la place à quatre pattes sur la banquette et se met derrière pour lui martyriser alternativement ses deux trous tout en lui tirant les cheveux et lui claquant les fesses, les rendant vraiment très rouges.
Apparemment, il a beaucoup de rancœur et de frustration à évacuer, Pauline se trouve être un bon exutoire et là clairement elle prend cher.
C’était un véritable tsunami qui monte de ses testicules tout le long de son membre, il a l’impression d’avoir les veines en feu, c'est un véritable geyser qu’il lâche au fond de son rectum.
Il n’a pas l’impression de pouvoir s’arrêter de juter d’autant qu’elle n’est pas en reste avec ces multiples jouissances qui envoient de la mouille partout.
Une fois le calme revenu, il ramène sa tête vers la sienne et échange un baiser endiablé avec Pauline.
Ils sortent tout juste du tunnel sous la Manche quand ils finissent de se rhabiller, il ne reste que quelques minutes avant l’arrivée à Lille, cela leur permettent d’échanger leurs impressions.
- Tu dois encore bien lui en vouloir à ma sœur commence Pauline, j’ai parfois eu l’impression d’être un exutoire et puis Manon ne m’a jamais dis que tu étais du genre BDSM.
- Vraiment désolé Pauline, en fait non ce n’est pas mon style, mais tu as raison, j’ai parfois eu aussi l’impression de l’exutoire pendant notre rapport, mais je pense que tu m’as aidé inconsciemment pour passer à autre chose, cela devrait simplifier nos relations avec ta sœur maintenant que moi aussi, j’ai franchi un interdit.
- Eh bien, vu sous cet angle si j’ai pu te permettre de passer un cap et de plus Manon n’a jamais menti, tu es un excellent coup, je pense que c’est peut-être ce qu’elle a toujours préféré avec toi, tu te donnes toujours à fond et vraiment, tu sais t’en servir, dit-elle tout en soupesant son paquet.
- À ton service Pauline, enchaîne-t-il avec un clin d’œil, Manon me l’a dit, mais je ne savais pas que c’est ce qu’elle regrette le plus, mais bon, on doit passer à autre chose, elle comme moi pour le bien de Max, par ailleurs, elle fréquente quelqu’un de façon plus assidue à ce qu’elle m’a dit.
- À ton service Pauline, enchaîne-t-il avec un clin d’œil, Manon me l’a dit, mais je ne savais pas que c’est ce qu’elle regrette le plus, mais bon, on doit passer à autre chose, elle comme moi pour le bien de Max, par ailleurs, elle fréquente quelqu’un de façon plus assidue à ce qu’elle m’a dit.
- Tu ne vas quand même pas… Commence-t-il ?
- Non, bien sûr que non, cela reste ma sœur, toi, c’est différent comme vous êtes divorcés, j’avais moins de scrupules et bien sûr aucun regret.
- Ok, j’espère que c’est le bon pour elle tant qu’il n’empiète pas sur mon rôle de père, cela me va.
- T’inquiètes, il est super gentil avec Max, mais cela se voit qu’il ne cherche pas trop à s’imposer, tu n’as pas de soucis à te faire, bon, on arrive à Lille, j’ai du boulot, on se voit chez mes parents dans quelques semaines pour l’anniversaire de Max, c’est bien ça, je crois ?
- Oui ! C’est ce qu’on a prévu, ce sera mieux comme ils ont un très grand jardin. Ce sera parfait pour le barbecue et la structure gonflable.
Elle lui envoie un baiser et se retourne pour sortir tout en roulant à mort du cul.
Un couple de personnes âgées montent à Lille et s’installent sur le carré à côté du sien, la femme se plaint du ménage mal fait et des taches un peu partout, son mari par contre après avoir regardé de loin, se tourne un peu vers lui et lui lance un sourire entendu, il a bien compris ce qui s’est passé et cela l’amuse beaucoup.
Ce voyage en train a été finalement très aphrodisiaque et riche en enseignement.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci ma chère Olga, c’est une étape importante dans sa guérison post-divorce
Belle rencontre pour Cal!