Pause pipi!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pause pipi!
-Je peux te voir dans mon bureau, maintenant ? Me fait Sandrine, ma directrice de service.
Je sais à cet instant parfaitement ce qui va s’en suivre, mais je la suis tout de même. D’ailleurs, après avoir franchi la porte d’entrée, la voilà qu’elle verrouille l’accès.
-J’ai une surprise pour toi !
-Ah oui… je suis curieux de la voire !
Et là, elle retrousse l’ourlet de la jupe qu’elle porte. Elle écarte les cuisses et j’ai devant mes yeux sa vulve poilue et bien ouverte. Ses lèvres sont gonflées. Et j’aperçois une chainette sortir de sa tirelire.
Tout de suite je comprends qu’elle porte des boules de Geisha en elle. Elle ruisselle.
-Alors, qu’est-ce que tu en dis ?
Pour toute réponse, je plaque la main sur son entrejambe. Mes doigts prennent contact avec une petite chaînette. Je commence à la masser. Elle me fixe avec gourmandise, alors je l’embrasse. Elle gémit sous ma langue habile et caresse mon crâne comme pour m’encourager de prolonger le baiser. Je la couvre de baiser. Puis elle pose un pied sur le fauteuil de son bureau. M’encourage par cette action, de m’occuper de son sexe.
J’aime être soumis de cette façon et elle le sait parfaitement. Je découvre son sexe trempé. Duquel, pend la ficelle des boules de Geisha.
Je tire doucement sur la chaînette pour la faire mourir sur ses lèvres gonflées. Puis j’embrasse son sexe. Je pose ma bouche grande ouverte sur sa chatte. Jouant avec ma langue sur son petit bouton. La glissant aux côtés de la chaînette. Elle n’en peut plus et je l’allonge sur le bureau. Elle écarte les cuisses pour me permettre de continuer ma caresse buccale. Son goût est des plus exquis. Comme à chaque fois que j’ai la chance de sucer une chatte. Un peu salé, celle-là !
Je la bois littéralement, alors qu’elle se masse la poitrine. Serrant un sein contre l’autre. J’abandonne sa chatte pour m’occuper de ses pieds. Je commence par les déchausser. Puis les masses. J’embrasse ses chevilles. Lèche ses jambes, puis je remonte ma bouche en direction de son sexe en prenant la peine de ne pas toucher les endroits sensibles. Elle devient comme folle. Elle se contorsionne. Les jambes écartées et relevées vers ses épaules, elle m’offre grâce à cette posture, son sillon trempé et son petit anneau plissé.
Il m'est alors impossible de résister plus longtemps à la tentation d’y coller mes lèvres. Je passe ma langue le long de sa fente. Cueillant sa mouille. Puis-je plaque ma langue et me mets à la lécher de bas en haut, et de haut en bas.
Je profite de ma position pour aller chahuter son anus. Soudain, elle me supplie de retirer les boules de Geisha. Que je retire à l’aide de mes dents. Dès la première sphère sortie, elle m’asperge de mouille. C’est une vraie fontaine, Sandrine. Je la nettoie de ma langue. Puis, fais sortir la seconde en tirant la chainette avec deux doigts, cette fois-ci, plaçant ma bouche sur son sexe pour ne pas perdre une goutte.
Ensuite je porte ma bouche jusqu’à la sienne et colle mes lèvres aux siennes pour l’embrasser. Partageant ainsi son nectar.
Elle me demande de prendre sa place sur le bureau. Une fois allongée, elle entreprend de me caresser avec sa poitrine, qu’elle a prit la peine de dénudée. Mais aussi avec sa langue et avec ses doigts. Pas un centimètre carré n’y échappe. Elle va jusqu’à embrasser et lécher mes pieds, c’est une sensation plus qu’incroyable, croyez-moi !
Elle m’écarte les jambes et les fesses. Du bout de la langue, elle suit mon sillon jusqu’à mes couilles. Je me mets à quatre pattes et la supplie de continuer. Elle ne se fait pas prier et me bouffe la queue, l’aspirant, la suçant, la mordillant. Je lui demande une branlette Espagnol. Elle me branle la queue entre ses seins. J’adore ça !
Je ne tarde pas à jouir et elle me lèche comme une folle. J’éclate dans un râle. Elle continue à me branler avec sa poitrine un moment.Puis elle m’embrasse à pleine bouche, me faisant à son tour goûter à ma jouissance. En m’enlaçant, elle me susurre :
-Je ne peux plus me passer de toi !
-Et alors ?
-Rien… je voulais seulement que tu le saches.
Si bien que la semaine suivante, qu’elle s’autorise à venir frapper à la porte de mon bureau pendant l’heure du repas.
Je la sens excitée. Je lui propose un verre. Quand elle se met à parler boulot pour rompre le silence, je l’arrête.
-Ôte ta robe ? Fais-je d’une voix assurée.
Je la sens plus que jamais vulnérable. Peut-être aussi qu’il se passe pas mal de choses entre ses jambes. Elle s’exécute. Puis se tient debout face à moi. Je bande ! Ses dessous mettent ses formes en valeur, sans les cacher, tant ils sont transparents. Je sors ma queue de sa cachette et lui exhibe.
-Je vois que tu es en forme… tant mieux pour moi ! Me fait-elle.
Je me branle devant elle. Elle sourit devant mon geste. Ses mains parcourent son corps. Elle caresse ses seins, son ventre rebondi. Ses fesses, ses cuisses, son sexe, aussi. Elle tire si fort sur sa culotte qu’elle la fait entré en elle. Des touffes de poils frisés dépassent sur les bords. Elle se branle de plus belle, avec application devant mes yeux.
-Tu as envie de pisser ?
-Pourquoi cette question ?Ma lâche-t-elle.
-Tu as envie oui ou non ?
-Ça peu se faire… oui !
-Alors pisse…
-Ici ?
-Ici…oui !
Alors qu’elle s’empresse de baisser sa culotte, je l'interromps.
-Garde-la. J’ai envie de te voir pisser à travers la culotte !
Une pointe de surprise barre son regard. Puis se met à rire pour enfin entrer dans le jeu. Elle ouvre la vanne. Une masse de liquide ballonne sa culotte avant de suinter, puis de déborder en cascades. Sur les côtés, des ruisseaux éclaboussent ses cuisses puis roulent le long de ses jambes jusqu’au sol.
Pour la primer, je lui alloue ma queue. Qu’elle avale. Elle me pompe avec avidité, puis ressort ma queue, la regarde, s’en barbouille avant de la reprendre. Comme très souvent, l’envie de la goûter surpasse le plaisir qu’elle m’offre.
Allongé sur le canapé, qui en a vu bien d'autres, je l’invite à s’asseoir sur moi. Sourire aux lèvres, elle approche doucement ses fesses de mon visage. J’en profite pour mater son cul. Je suis aux anges à sentir le tissu imbibé d’urine sur ma figure. Je goûte sa miction salée, enivrante, aspire ce qu’il en reste à travers les mailles. Je m’emplis de l’odeur de sa chatte ruisselante, de celle, plus forte encore, de son cul tout proche.
À sa façon de bouger, je comprends qu’elle aussi prend son plaisir. J’écarte sa culotte imbibée à tordre. J’ai les doigts dans une masse de poils imbibés, de chairs gonflées, toutes molles. Elle se laisse tomber sur moi. Enterre mon visage sous elle. Elle bouge, se frotte, s’ouvre sur ma bouche, sur mon nez, sur mon menton. Les poils de sa chatte, longs, bouclés et ceux de son anus, courts, fins comme du duvet, truffés d’odeur et de pisse m’entrent dans la bouche. J’avale tout ce que je peux d’elle en m’astiquant la queue.
A moitié étouffé, j’attends la dernière seconde pour me dégager. J’ai envie d’autre chose. Je lui ordonne pour ça de se débarrasser de sa culotte. Devinant la suite, elle prend place sur le bureau, en écartant comme il faut, les cuisses sous mon regard. Malgré que je la connaisse parfaitement, la vue de sa chatte me cause toujours un choc. Une écume blanchâtre affleure aux replis des babines. Au sommet de sa longue balafre pointe son bourgeon. Je lui ordonne de se masturber, renversée sur le dos pour bien me montrer son cul et sa chatte. Je prends place dans mon fauteuil et j’observe ses deux ouvertures contractées. Ils se dilatent sous la caresse de ses doigts.
Je profite qu’elle s’occupe de son sexe, pour m’occuper de son anus. Subtilement, j’introduis un doigt, puis deux. Son conduit les enveloppes. Cette pénétration décuple son plaisir. Elle gémit en continuant à se branler. Son vagin bée sous sa main. Son anus s’ouvre en aspirant mes doigts.
-Cela te dit que je t’encule ?
-Oui… râle-t-elle en continuant à s’astiquer la chatte.
Trois de mes doigts passent maintenant aisément dans son anus qui s’assouplit à chaque aller et retour de mes doigts. Je m’autorise à lui en glisser même un quatrième, en poussant doucement. Elle n’en peut plus.
-Tu vas arriver à me faire chier, à force !
-Je voudrais bien voir ça !
-Sale cochon !
-C’est bien pour ça que tu es là, non, je me trompe ?
-Je ne relèverai pas !
Couinant, se démenant, elle s’appuie sur ma main pour s’élargir toujours davantage. Je la pilonne franchement de ma main. Elle jouit en me criant de la défoncer plus fort, de lui faire mal.
Le spectacle qu’elle m’offre m’affole. Une couronne de courts poils entoure sa muqueuse rose toute déplissée qui bave un jus brunâtre.
Je retire ma main pour approcher doucement mon gland de son trou béant. Je l’encule bien à fond. Je la maintiens par les hanches. Mes coups de reins la secouent. Fais balloter ses seins à chaque coup de boutoirs. De son côté, elle s’active sur sa chatte. Titille son bouton, écrase les lèvres, les malaxe, se pénètre. Je la pilonne sauvagement. Ses seins vibrent. Son visage, ses yeux, semblent devenus fous.
C’est réellement bon de sentir son cul m’accueillir. De voir ses yeux se fermer à demi à chaque avancée de mon sexe en elle. Peu à peu, mes reins commencèrent à s’échauffer, mes cuisses à se contracter et ma queue cherche à expulser cette jouissance naissante. Je tente par tous les systèmes de retenir le plus longtemps possible ce bouillon qui ne demandait qu’à s’échapper de ma queue.
Soudain, Sandrine se raidit et je sens alors son cul enserrer ma queue tandis qu’elle se met à gémir. C’est mon coup de grâce. A savoir celui qui fait que, je lâche mon foutre. Suite à ça, toujours accouplés l’un à l’autre, elle me dit :
-L’heure tourne ! Pas question qu’on nous voit ensemble !
Elle s’est rapidement ajustée. Laissant au pied du divan sa petite culotte pleine de pisse.
-Je compte sur toi pour ne pas la laisser à la vue de tout le monde !
Je sais à cet instant parfaitement ce qui va s’en suivre, mais je la suis tout de même. D’ailleurs, après avoir franchi la porte d’entrée, la voilà qu’elle verrouille l’accès.
-J’ai une surprise pour toi !
-Ah oui… je suis curieux de la voire !
Et là, elle retrousse l’ourlet de la jupe qu’elle porte. Elle écarte les cuisses et j’ai devant mes yeux sa vulve poilue et bien ouverte. Ses lèvres sont gonflées. Et j’aperçois une chainette sortir de sa tirelire.
Tout de suite je comprends qu’elle porte des boules de Geisha en elle. Elle ruisselle.
-Alors, qu’est-ce que tu en dis ?
Pour toute réponse, je plaque la main sur son entrejambe. Mes doigts prennent contact avec une petite chaînette. Je commence à la masser. Elle me fixe avec gourmandise, alors je l’embrasse. Elle gémit sous ma langue habile et caresse mon crâne comme pour m’encourager de prolonger le baiser. Je la couvre de baiser. Puis elle pose un pied sur le fauteuil de son bureau. M’encourage par cette action, de m’occuper de son sexe.
J’aime être soumis de cette façon et elle le sait parfaitement. Je découvre son sexe trempé. Duquel, pend la ficelle des boules de Geisha.
Je tire doucement sur la chaînette pour la faire mourir sur ses lèvres gonflées. Puis j’embrasse son sexe. Je pose ma bouche grande ouverte sur sa chatte. Jouant avec ma langue sur son petit bouton. La glissant aux côtés de la chaînette. Elle n’en peut plus et je l’allonge sur le bureau. Elle écarte les cuisses pour me permettre de continuer ma caresse buccale. Son goût est des plus exquis. Comme à chaque fois que j’ai la chance de sucer une chatte. Un peu salé, celle-là !
Je la bois littéralement, alors qu’elle se masse la poitrine. Serrant un sein contre l’autre. J’abandonne sa chatte pour m’occuper de ses pieds. Je commence par les déchausser. Puis les masses. J’embrasse ses chevilles. Lèche ses jambes, puis je remonte ma bouche en direction de son sexe en prenant la peine de ne pas toucher les endroits sensibles. Elle devient comme folle. Elle se contorsionne. Les jambes écartées et relevées vers ses épaules, elle m’offre grâce à cette posture, son sillon trempé et son petit anneau plissé.
Il m'est alors impossible de résister plus longtemps à la tentation d’y coller mes lèvres. Je passe ma langue le long de sa fente. Cueillant sa mouille. Puis-je plaque ma langue et me mets à la lécher de bas en haut, et de haut en bas.
Je profite de ma position pour aller chahuter son anus. Soudain, elle me supplie de retirer les boules de Geisha. Que je retire à l’aide de mes dents. Dès la première sphère sortie, elle m’asperge de mouille. C’est une vraie fontaine, Sandrine. Je la nettoie de ma langue. Puis, fais sortir la seconde en tirant la chainette avec deux doigts, cette fois-ci, plaçant ma bouche sur son sexe pour ne pas perdre une goutte.
Ensuite je porte ma bouche jusqu’à la sienne et colle mes lèvres aux siennes pour l’embrasser. Partageant ainsi son nectar.
Elle me demande de prendre sa place sur le bureau. Une fois allongée, elle entreprend de me caresser avec sa poitrine, qu’elle a prit la peine de dénudée. Mais aussi avec sa langue et avec ses doigts. Pas un centimètre carré n’y échappe. Elle va jusqu’à embrasser et lécher mes pieds, c’est une sensation plus qu’incroyable, croyez-moi !
Elle m’écarte les jambes et les fesses. Du bout de la langue, elle suit mon sillon jusqu’à mes couilles. Je me mets à quatre pattes et la supplie de continuer. Elle ne se fait pas prier et me bouffe la queue, l’aspirant, la suçant, la mordillant. Je lui demande une branlette Espagnol. Elle me branle la queue entre ses seins. J’adore ça !
Je ne tarde pas à jouir et elle me lèche comme une folle. J’éclate dans un râle. Elle continue à me branler avec sa poitrine un moment.Puis elle m’embrasse à pleine bouche, me faisant à son tour goûter à ma jouissance. En m’enlaçant, elle me susurre :
-Je ne peux plus me passer de toi !
-Et alors ?
-Rien… je voulais seulement que tu le saches.
Si bien que la semaine suivante, qu’elle s’autorise à venir frapper à la porte de mon bureau pendant l’heure du repas.
Je la sens excitée. Je lui propose un verre. Quand elle se met à parler boulot pour rompre le silence, je l’arrête.
-Ôte ta robe ? Fais-je d’une voix assurée.
Je la sens plus que jamais vulnérable. Peut-être aussi qu’il se passe pas mal de choses entre ses jambes. Elle s’exécute. Puis se tient debout face à moi. Je bande ! Ses dessous mettent ses formes en valeur, sans les cacher, tant ils sont transparents. Je sors ma queue de sa cachette et lui exhibe.
-Je vois que tu es en forme… tant mieux pour moi ! Me fait-elle.
Je me branle devant elle. Elle sourit devant mon geste. Ses mains parcourent son corps. Elle caresse ses seins, son ventre rebondi. Ses fesses, ses cuisses, son sexe, aussi. Elle tire si fort sur sa culotte qu’elle la fait entré en elle. Des touffes de poils frisés dépassent sur les bords. Elle se branle de plus belle, avec application devant mes yeux.
-Tu as envie de pisser ?
-Pourquoi cette question ?Ma lâche-t-elle.
-Tu as envie oui ou non ?
-Ça peu se faire… oui !
-Alors pisse…
-Ici ?
-Ici…oui !
Alors qu’elle s’empresse de baisser sa culotte, je l'interromps.
-Garde-la. J’ai envie de te voir pisser à travers la culotte !
Une pointe de surprise barre son regard. Puis se met à rire pour enfin entrer dans le jeu. Elle ouvre la vanne. Une masse de liquide ballonne sa culotte avant de suinter, puis de déborder en cascades. Sur les côtés, des ruisseaux éclaboussent ses cuisses puis roulent le long de ses jambes jusqu’au sol.
Pour la primer, je lui alloue ma queue. Qu’elle avale. Elle me pompe avec avidité, puis ressort ma queue, la regarde, s’en barbouille avant de la reprendre. Comme très souvent, l’envie de la goûter surpasse le plaisir qu’elle m’offre.
Allongé sur le canapé, qui en a vu bien d'autres, je l’invite à s’asseoir sur moi. Sourire aux lèvres, elle approche doucement ses fesses de mon visage. J’en profite pour mater son cul. Je suis aux anges à sentir le tissu imbibé d’urine sur ma figure. Je goûte sa miction salée, enivrante, aspire ce qu’il en reste à travers les mailles. Je m’emplis de l’odeur de sa chatte ruisselante, de celle, plus forte encore, de son cul tout proche.
À sa façon de bouger, je comprends qu’elle aussi prend son plaisir. J’écarte sa culotte imbibée à tordre. J’ai les doigts dans une masse de poils imbibés, de chairs gonflées, toutes molles. Elle se laisse tomber sur moi. Enterre mon visage sous elle. Elle bouge, se frotte, s’ouvre sur ma bouche, sur mon nez, sur mon menton. Les poils de sa chatte, longs, bouclés et ceux de son anus, courts, fins comme du duvet, truffés d’odeur et de pisse m’entrent dans la bouche. J’avale tout ce que je peux d’elle en m’astiquant la queue.
A moitié étouffé, j’attends la dernière seconde pour me dégager. J’ai envie d’autre chose. Je lui ordonne pour ça de se débarrasser de sa culotte. Devinant la suite, elle prend place sur le bureau, en écartant comme il faut, les cuisses sous mon regard. Malgré que je la connaisse parfaitement, la vue de sa chatte me cause toujours un choc. Une écume blanchâtre affleure aux replis des babines. Au sommet de sa longue balafre pointe son bourgeon. Je lui ordonne de se masturber, renversée sur le dos pour bien me montrer son cul et sa chatte. Je prends place dans mon fauteuil et j’observe ses deux ouvertures contractées. Ils se dilatent sous la caresse de ses doigts.
Je profite qu’elle s’occupe de son sexe, pour m’occuper de son anus. Subtilement, j’introduis un doigt, puis deux. Son conduit les enveloppes. Cette pénétration décuple son plaisir. Elle gémit en continuant à se branler. Son vagin bée sous sa main. Son anus s’ouvre en aspirant mes doigts.
-Cela te dit que je t’encule ?
-Oui… râle-t-elle en continuant à s’astiquer la chatte.
Trois de mes doigts passent maintenant aisément dans son anus qui s’assouplit à chaque aller et retour de mes doigts. Je m’autorise à lui en glisser même un quatrième, en poussant doucement. Elle n’en peut plus.
-Tu vas arriver à me faire chier, à force !
-Je voudrais bien voir ça !
-Sale cochon !
-C’est bien pour ça que tu es là, non, je me trompe ?
-Je ne relèverai pas !
Couinant, se démenant, elle s’appuie sur ma main pour s’élargir toujours davantage. Je la pilonne franchement de ma main. Elle jouit en me criant de la défoncer plus fort, de lui faire mal.
Le spectacle qu’elle m’offre m’affole. Une couronne de courts poils entoure sa muqueuse rose toute déplissée qui bave un jus brunâtre.
Je retire ma main pour approcher doucement mon gland de son trou béant. Je l’encule bien à fond. Je la maintiens par les hanches. Mes coups de reins la secouent. Fais balloter ses seins à chaque coup de boutoirs. De son côté, elle s’active sur sa chatte. Titille son bouton, écrase les lèvres, les malaxe, se pénètre. Je la pilonne sauvagement. Ses seins vibrent. Son visage, ses yeux, semblent devenus fous.
C’est réellement bon de sentir son cul m’accueillir. De voir ses yeux se fermer à demi à chaque avancée de mon sexe en elle. Peu à peu, mes reins commencèrent à s’échauffer, mes cuisses à se contracter et ma queue cherche à expulser cette jouissance naissante. Je tente par tous les systèmes de retenir le plus longtemps possible ce bouillon qui ne demandait qu’à s’échapper de ma queue.
Soudain, Sandrine se raidit et je sens alors son cul enserrer ma queue tandis qu’elle se met à gémir. C’est mon coup de grâce. A savoir celui qui fait que, je lâche mon foutre. Suite à ça, toujours accouplés l’un à l’autre, elle me dit :
-L’heure tourne ! Pas question qu’on nous voit ensemble !
Elle s’est rapidement ajustée. Laissant au pied du divan sa petite culotte pleine de pisse.
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