Péché...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Péché... Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Tags : Jeunes Anulingus
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Péché...
Alors que je suis en train de déjeuner dans mon bureau le téléphone se met à sonner. Mon premier réflexe est de regarder l’horloge. Vue l’heure ce ne peut pas être ma femme. Il est trop tôt. A part si il y a un problème ? alors je décroche.
-Tonton ? Fait la voix.
-Oui… peut-être, je peux savoir à qui je parle ?
-C’est Stacy tonton !
-Salut Stacy, je n’ai pas reconnu ta voix. Qu’est-ce que tu veux ?
-Je ne te dérange pas au-moins ?
-Non…non, j’étais juste en train de déjeuner.
-Je voulais avoir ton avis…
-Oui, je t’écoute.
-J’ai une nouvelle invitation pour ce que tu sais.
-Tu veux dire par les mêmes organisateurs ? Fais-je, étonné de ne pas être convié. Moi un habitué.
-Non, c’est un autre… enfin…
Je ne connaissais pas ma nièce aussi perverse pour fréquenté ce genre de soirée.
-Et alors ?
-Je voudrais savoir si tu serais d’accord pour m’accompagner.
-Et pourquoi me proposer ça à moi ?
-Parce que je ne vois pas d’autre personne à part toi, à qui je peux proposer ce genre de service. Pour cette soirée il faut être accompagné.
-Et donc tu veux que je t’accompagne !
-C’est pour cela que je te téléphone.
J’accuse le coup. Et là, je ne sais pourquoi je m’entends lâcher un :
-Tu recherches quoi en te rendant à ce genre de soirée ?
-Je peux tonton, te renvoyer la même question ?
-Ça pimente ma vie. C’est comme un besoin chez moi !
-De même.
-D’accord, mais à ce que je sache tu n’est pas marié !
-J’adore faire ça avec les hommes mûres, si c’est ce que tu veux entendre !
-Tu te trouves où là ?
-Dans ma voiture, sur le parking de ma boite !
-Bon si tu veux que je t’accompagne j’aimerais que tu fasses quelque chose pour moi.
-Je t’écoute.
-J’exige de toi que tu te caresses !
-Tonton !
-Aller, exécution !
-Là, maintenant ?
-Oui…
-Bon… si tu l’exiges.
-Oui, je l’exige !
-Je peux te demander pourquoi ?
- Juste par curiosité. Pour savoir si tu es capable !
J’attend quelques minutes et ajoute :
-Alors c’est bon ?
-Oui…
-Il y a du monde autour de toi ?
-Je suis garé sur le parking du supermarché. J’avoue que c’est excitant !
-Je veux entendre le bruit de tes doigts dans ta mouille.
-Tonton, comment peux-tu me demander ça !
-Tu veux toujours que je t’accompagne ?
Puis elle ajoute :
-Comme tu veux….Ecoute bien.
Le bruit de clapotis est à peine audible. Je suis fou d’excitation. Puis sa voix devient rauque.
-Alors ?
-Sent tes doigts !
-Je suis soumis à toi tonton.
Elle commence à se piquer au jeu de l’obéissance.
-Ils sentent la femme en chaleur !
-Tu es une bonne cochonne !
-Je suis toute chaude. Je ne peux m’empêcher de taquiner mon bouton.
-Tu es vraiment une petite vicieuse. Tu mériterais bien une bonne fessée.
-Oui je suis d’accord avec toi tonton..
J’entends un soupir excité. Elle lâche d’une voix essoufflée :
-Tu es d’accords pour me la donner ?
A entendre sa respiration hachée, je devine que le scénario ne lui déplait pas.
-Je ne dis pas non…
-Quand ? Fait elle.
-Pourquoi pas demain chez moi !
Elle sanglote de bonheur avant de lâcher un :
-OK pour demain à midi.
-Mais auparavant je veux t’entendre jouir.
-Ça vient tonton, oui tonton… oh oui…oh oui !
Je bande à m’en faire mal, tant je suis dans un état d’excitation. J’attends qu’elle reprenne vie, pour lui suggérer dans quelle tenue j’ai envie qu’elle me vienne le lendemain.
-Bien tonton, je ferais tout ce que tu m’as dit. A demain.
A peine raccroché, que le téléphone se met de nouveau à sonner.je décroche et reconnais là, la voix de ma femme.
-Enfin ! Me fait-elle, je désespérais.
-Qu’est-ce que tu veux c’est le boulot !
Comme prévus le lendemain j’ai la visite de ma nièce, dans la tenue exigée. En pute ! Sitôt la porte fermée je la débarrasse de son imperméable, et lui ordonne :
-Relève ta jupe.
Ses doigts se crispent sur l’ourlet. Sa jupe remonte comme un rideau de théâtre, sur un collant dont la transparence me permet d’apercevoir son sexe. Comme demandé elle ne porte pas de culotte. Je me saisis du martinet que je tapote sur le revers d’un de ses genoux jusqu’au obtenir un grand écart. Elle attend présentant la chair sensible. Les odeurs de sa chatte sont déjà perceptibles à travers le nylon. Ma nièce mouille. je lâche un premier coup qui la cingle. Elle a un sursaut. Elle crispe sa mâchoire. Lâche d’une voix plaintive.
-Putain je crois que j’aime ça tonton !
-Tu m’en vois ravi !
Après chaque coup sa voix se fait chaque fois plus chancelante. Je la fais glisser en avant. Tête basse, mains par terre, derrière levé. Je scrute ses fesses charnu, gainé de nylon. Qui épouse les rondeurs. Je lui pétris le derrière. Le palpe, prends possession. C’est un moment de pur plaisir. Ma nièce est chaude. Son cul se crispe. Un coup de martinet. Le claquement est atténué par le nylon.
Elle remut du cul, la coquine. J’alterne les coups de martinet. Je m’acharne sur la fesse droite. Je la veux écarlate. Plus brûlante. Je fais relever ma nièce. J’exige d’elle qu’elle tienne sa jupe relevée. Je lui annonce que la suite se fera cul nu.
Stacy est sur des chardons ardents. Sa respiration devient sifflante. Elle est excitée. Je la laisse mijoter quelques minutes. Je lui tripote les fesses. Elle frémit, soumise à mes envies. Tout en lui pelotant le cul, je lui murmure :
-Je te connaissais pas aussi cochonne, ma nièce !
Elle ne peut retenir un rire excité. Je lui faire tendre son cul, jambes écartées. Je tire le collant vers le bas. Sa respiration se fait plus oppressée. Le nylon glisse le long des jambes écartées. J’inspecte l’empiècement. C’est englué de mouille. l’odeur végétale de la mouille se mêle aux senteurs épicées de l’urine et de la transpiration.
-Petite cochonne, tu mériterais que j’en parle à ta mère !
-Oh non tonton… pas à maman !
Elle renifle. Se mordille le pouce. J’emploie des expressions qui me font bander, la font mouiller.
-A poil maintenant cochonne !
Elle retire son haut en résille. Puis sa jupe tombe en corolle autour de ses escarpins. Stacy m’offre ses fesses. Reins creusés. Je malaxe son fessier une fois encore, qui la fait suffoquer.
Je lui écarte les fesses à deux doigts en V. Son trou du cul est du même rose que la pointe de ses seins. Un orifice nerveux, aux bordure renflés qui se crispent se relâchent sous la caresse. Je mouille mon index avec de la salive. Et je le plante au centre du trou. Elle laisse échapper une plainte. D’une claque sur les fesses je lui ordonne de se redresser.
-Ta chatte, je veux voir ta chatte.
Elle m fait alors fac. Je passe l’index dans l’entaille gluante. Elle tangue, se mord les lèvres. Je déguste les chairs onctueuses de l’intérieur. C’est chaud, crémeux. Comme je les aime. Je déplisse les nymphes après lui avoir demandé de mieux ouvrir les jambes.
Une contraction des muqueuses provoque une coulée laiteuse au creux de sa fente. Elle chancelle, la coquine. Je clapote dans sa mouille en évitant de péntérer plus loin. Je dépiaute les plis, étire les nymphes. En haut de l’entaille, le clitoris est raide. Le coquin quémande mes doigts. Elle ondule du bassin pour venir à la rencontre des caresses.
-Oui continue, fait moi jouir tonton !
-Pas question je veux que ce soit toi qui te branle.
-Mais tonton ! Pourquoi ?
-Il n’y a pas de tonton qui tienne, branle-toi, cochonne !
Elle s’exécute, elle écarte pour ça l’entaille sexuelle. En haut de la fente, le bourgeon pointe. Elle le pince doucement. Le fait rouler sous son doigt. Elle s’occupe de sa vulve. Elle glisse ses doigts entre les replis de chair molle qui exsudent une mouille épaisse.
Je baisse ma braguette et exhibe ma queue à ma nièce. Je la prends dans ma main. Et commence sans aucune gêne à branler ma queue courte et grosse, très lentement. Je me masturbe, les yeux rivés sur l’entrejambe de ma nièce. Calquant mon rythme avec le sien. Mon regard va de ma verge à la chatte de ma nièce.
C’est trop tentant. Je me laisse tomber devant ses pieds. Une fois encore, je prends plaisir à contempler ce qu’on m’offre. Certaines me le reprochent, d’autres, au contraire, s’en réjouissent. Son sexe est gonflé de désir. Je lui donne ma langue. Lèche avec gourmandise la fente gorgée d‘excitation. De bas en haut, puis de haut.
-Oh tonton… que c’est bon !
J’introduis mon index dans l’orifice humide et doux. Je sens des vagues sirupeuses noyé mon doigt. Je le branle par de petits mouvements circulaires tout en continuant de la lécher. D’une bouche gourmande, j’emprisonne son bouton. La faisant rouler entre mes lèvres. Je l’aspire, le suçote, l’étire délicatement, le goûte avec goinfrerie.
Elle apprécie ma gourmandise. De petits gémissements saccadés s’échappent de ta bouche. Je prends cela comme un encouragement à continuer ma beuverie.
-La dernière fois que je me suis fait sucer de la sorte, c’était lors de la soirée… tu sais de laquelle je parle !
Oui, et comment, puisque que c’était moi qui l’avait sucer, mais ça elle ne le savait pas !
Je loge un second doigt. L’alliance des deux associer à ma bouche avide l’amènent progressivement à se manifester de plus en plus fort jusqu’à extériorisés son plaisir. Après avoir joui deux fois, son sexe devient trop sensible. Je le délaisse, pour m’occuper du trou plus odorant, son anus. Il palpite sous ma langue raide. Il avait un goût amer, moite de sueur, il se rétracte peureusement. Je le lèche à coups de langue saccadés jusqu’à ce qu’elle se tortille, affolée.
-Tonton tu es un vrai cochon !
-C’est bien pour ça que tu es là, non ?
Je ne suis pas mécontent de ce que je fais subir à ma nièce. Je prends ça comme une vengeance sur son père. Lui qui ne se prive pas de se farcir ma femme. Je lui enfonce mon index. Mais cela a l’air de la gênée.
-Tu vas me faire chier tonton !
-Te prive pas pour moi. Tu n’es pas la première et pas non plus la dernière !
Je choisis de sombrer dans la folie avec ma nièce. De vivre ce qu’il a de bon à vivre ! Elle fait une pirouette pour se dégager de mon emprise.
-Tonton… tonton je te dis que je vais….
Elle s’accroupit, fixe ma queue.
-Tu veux tonton que je m’occupe de ta queue.
Sans attendre ma réponse, je regarde sa bouche approcher de ma bite. Ses lèvres se referment sur mon gland. Je m’abandonne tout entier à cette bouche d'une infinie douceur. Je sens sa langue, jouer habilement sur le frein sensible. Ses lèvres coulissent, un va-et-vient hérétique, plus intenses. Elle gémit, parfaitement consciente du plaisir qu'elle me donne en totale impudeur. Elle me suce avec gourmandise. Comme je devine ma femme le faire avec la queue de son père. Creusant ses joues pour mieux la serrer entre ses lèvres, tout en me caressant l’intérieur des cuisses.
Peu à peu, je m’installe au-dessus d’elle, dans une position de tête-bêche. Je lui balais une fois encore, la fente de bas en haut. D’une caresse régulière, très appuyée. Elle se tord en gémissant sans discontinuer. Elle s’offre avec une sorte de rage. Je me nourris de son plaisir. Je la dévore littéralement. Ma langue explorant les replis les plus secrets de son ventre. Je me saoule de son fruit mûr. Elle cri, me suce. Sa figure est déformée par la plaisir. Elle glisse ses mains sur mon dos trempé par la sueur, alors que je m’enivre des parfums lourds qui se dégage. Elle m’explose dans la bouche en poussant un feulement rauque. J’explose dans la sienne avec un hurlement de fauve. Je bois sa jouissance dans une sorte de transe. Elle jouit longuement, le corps incroyablement arqué, se tordant sous les attaques de ma langue.
Puis elle s’immobilise, le souffle court, prostré. Je me dégage, m’essuie la bouche avec une feuille de Sopalin avant de me rajuster. J’ai dans la bouche un goût âcre. Un mélange de mouille et d’urine, mais aussi de cul. J’ai l’impression de traîner cette odeur avec moi. Les traces sous mes ongles, sont là pour me rappeler que je les ai introduits dans les deux orifices.
Alors que bien plus tard, je baise ma femme je ne peux m’empêcher de songer aux lèvres intimes de Stacy, à sa chatte, à son cul. Son jeune corps m’excite. Et bizarrement, cette excitation ne m’inspire pas, un sentiment de culpabilité.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Belle histoire... Rien ne vaut la bagatelle avec une jeune fille...



Texte coquin : Péché...
Histoire sexe : Une rose rouge
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