Peggy2 m'invite chez elle, avec son mari - histoire érotique

Suite de mon récit:
Il y a des stages prévus dans un centre à côté du siège, et je m'y suis inscrit pour essayer de la revoir. Au bout de plusieurs mois j'ai enfin obtenu ma formation.
J'appelle ma petite Peggy chérie pour lui annoncer la bonne nouvelle.
Je lui indique que je ne pourrais pas la voir au siège et que l'on ne pourra donc pas faire un pèlerinage aux archives. Par contre j'ai très envie d'elle, et j'espère que l'on pourra passer au moins une soirée, et peut-être une nuit, chez elle ou à mon hôtel. Elle est désolée, aurait bien aimé, mais elle m'avoue qu'elle est mariée et ne peux découcher.
Je suis trop déçu, essaie de trouver un autre plan, et elle finit par me dire qu'il y aurait une solution, mais ne sait pas comment me l'annoncer. J'insiste pour savoir, et après m'avoir fait promettre de ne pas fâcher, elle me demande:
- Tu es bi?
- Oui, comme toi, j'aime les femmes et les hommes.
- Et avec les mecs, tu es actif ou passif?
- Les deux ma capitaine. Mais j'aime que mon partenaire soit les deux aussi, pour des plaisirs réciproques. Mais c'est quoi ton idée?
- Tu dois te douter, une partie à trois avec mon mari, mais je ne suis pas sûre que ça marche. Eventuellement tu pourrais n'être que passif?
- Avec ton mari, oui, pour toi, à condition qu'il me laisse te baiser.
- Tu es gentil, mais ce sera aussi ma condition, pas de soucis. Bon je vais te laisser, je te rappelle ce soir.

Pas de lapin, le téléphone sonne. Elle m'explique alors que son mari est jeune comme elle, très performant, très endurant. Au début elle n'y voyait que des avantages, mais maintenant qu'elle a un boulot elle tient à y arriver en forme, et met souvent fin à leurs longs ébats. Son mari la comprend, mais c'est plus fort que lui, il a des besoins énormes. Ils ont alors envisagé de faire de temps en temps l'amour à trois, mais n'ont pas encore concrétisé. Il aurait sans doute préféré une femme, mais l'idée de se farcir un mec ne lui déplait pas, il adore le cul. Il veut me parler. Il me confirme que je pourrais baiser avec sa femme, mais veut être sûr que je m'offrirais à lui à volonté. Je lui dis qu'il n'y a pas de problème, et quand je lui demande si je pourrais le baiser moi aussi, il me répond un "on verra comment ça tourne", qui me laisse des espoirs.
J'ai mon stage dans quinze jours, et on prend rendez-vous pour le vendredi soir.
Peggy m'appelle la veille pour savoir si c'est toujours d'accord. Je lui dis "bien sûr", je suis impatient de connaître son mari, mais aussi de la revoir, d'autant que je n'ai pas jouis depuis son dernier appel, et que j'ai les boule bien pleines.
Enfin le jour venu.
Je suis chez eux vers 17h. Elle me présente son mari, et me fait asseoir à côté de lui, sur le canapé du salon, puis va nous chercher à boire. Il entame la conversation, direct au sujet:
- Je n'ai jamais l'amour avec un homme? Ca me fait drôle, mais ça m'excite. Et toi, tu baises souvent avec des mecs?
- Des mecs et des femmes, à chaque fois que je peux.
- Tu aimes sucer, te faire sodomiser?
- J'aime tout, surtout quand les mecs sont bien montés, et d'après ta femme tu es super équipé.
- Elle m'a dit beaucoup de bien de toi aussi.
Puis pour me prouver qu'elle n'a pas menti, il défait son froc, et sort une longue bite qui commence à bander. Je la reluque, très intéressé, et défait mon froc. On se branle doucement, chacun la sienne, et on se félicite de nos anatomies. Je tend le bras et me saisi de son manche. Il me laisse le caresser et mâte mon sexe. Je l'invite à me caresser à son tour, et il ne refuse pas. On se branle sans un mot, et j'essaie de choper ses boules, enfouies dans son pantalon. Il se soulève un peu, et baisse tout jusqu'aux chevilles. J'en fait autant, et on reprend nos attouchements, cuisses écartées pour mieux s'offrir.
Peggy revient enfin avec les boissons, et je la soupçonne d'avoir attendu pour nous laisser faire:
- Et bien au moins, vous ne perdez pas de temps pour faire connaissance. Ouahh, elles sont belles les deux seules bites de ma vie!
Elle pose le plateau, puis commence à se déshabiller dans un striptease très chaud. Elle nous allume tous les deux, mais surtout moi. Elle est nue et me tend la main. J'enlève mes chaussures, mon froc et dessous, mon teeshirt, et la rejoint, aussi nu qu'elle. Elle se plaque contre moi, et s'empare de ma paire:
- Ohhh, ces couilles mon salaud, je ne me rappelais qu'elles étaient aussi grosses.
- C'est parce que je me suis réservé pour toi, je te l'ai dis.
-J'ai envie de toi, embrasse moi.
Elle me tend ses lèvres, et je suis hésitant face à son mari qui continue à se branler en nous regardant. Il a tout entendu de nos échanges:
- Vas-y, fais lui plaisir à cette salope, ensuite je vais m'occuper de toi.
Je ne résiste plus, et lui roule une chaude pelle, lui fouille la chatte, tandis que sa main s'active sur mon service trois pièces. Puis elle se recule, s'accroupit, et se trouve face à mon sexe. Elle me caresse délicatement et me refait le coup de l'admiration comme au premier jour de notre rencontre:
- Hummm, cette queue, et ces couilles! Je ne me rappelais pas que tu étais aussi viril. Tu dois en avoir du sperme en réserve, gros cochon.
Puis elle me prend en bouche et me suce de tout son talent. Elle a tout fait pour nous exciter, moi et son mari. Il se lève, se fout à poil, et nous rejoint. Sa femme quitte ma queue pour s'occuper de la sienne, puis virevolte de l'une à l'autre. On la regarde nous pomper, et je ne résiste à l'envie de pomper moi aussi. Je m'accroupis contre elle:
- Hummm, cette bite qu'il a ton mec, j'en ai envie, laisse la moi.
Elle se recule pour me laisser la place, et je gobe ce merveilleux manche, d'un seul coup, en gorge profonde. Je vais et viens sur sa tige, avec application et gourmandise. Peggy me regarde faire, étonnée mais pas choquée:
- C'est bon de te voir sucer, mais je n'aurais cru que tu étais pédé.
- Pédé si tu veux, mais je suis bi, j'aime aussi les petites salopes comme toi.
- Enculé, gros vicieux
- Chienne lubrique, vicieuse...................
Elle sait que j'adore échanger des insultes, et veut me faire plaisir. Je me relève et elle nous resuce tous les deux tandis que son mec me félicite pour cette première pipe. Je lui dis que je n'ai aucun mérite avec une aussi belle queue que la sienne, puis l'invite à me sucer, le persuade qu'il va aimer ça. Il accepte à condition de m'enculer ensuite. Ok, ça marche. Il s'accroupit et savoure ma queue sous les yeux agréablement étonnés de sa femme. En même temps qu'il me suce, je sens ses doigts creuser ma raie à la recherche de mon petit trou. J'écarte les jambes et ouvre mes fesses pour faciliter son exploration. Il alterne les fellations avec sa femme, mais j'ai en permanence ses doigts qui me fouillent la rondelle.
Il m'a bien ouvert, se relève et vient derrière moi. J'ai à peine le temps de réaliser, qu'il m'a déjà enfilé jusqu'aux couilles. Il me lime sans ménagement:
- Hummmm, il est bon ton cul mon salaud. Tu aimes ça, ma bite et la bouche de ma femme?
- Ouiii, c'est bon, j'adore ce sandwich.
- Pour un meilleur sandwich il te faudrait son fion. Encule la cette salope, elle ne demande que ça.
Peggy a tout entendu, et se relève et se retourne. Je la pends en levrette, fourre mon manche dans son huître détrempée, et élargis son petit trou avec mes deux pouces. Elle est vite dilatée, et je retire ma queue pour changer d'orifice. Je l'encule aussi fort que son mec m'encule. C'est trop bon, et je vais jouir. Elle se dégage et se retourne pour me pomper, excitant son mari:
- Décharge dans sa bouche, elle adore . Mais je ne sais même pas pourquoi je te dis ça, tu le sais aussi bien que moi puisque c'est toi qui l'a initiée à la queue.
La bouche chaude et savante de ma petite copine, ajoutée aux ramonées puissantes de son mari, ont raison de moi. Je jouis violemment, longtemps, à flots. Elle s'applique pour tout engloutir sans rien perdre, avale jusqu'à la dernière goutte:
- Ouuaahhhh, tu dois te sentir plus léger mon salaud. Cette saucée que tu m'as mis, elles étaient grosses tes couilles, mais ce n'était pas pour rien.
Puis elle se remet à me sucer, tandis que Guillaume (son mari) me lime tel un métronome infatigable. Il se dégage au bout d'un bon moment, pour se faire sucer par sa femme. Elle le pompe jusqu'à le faire jouir, tandis que je le félicite pour sa première sodomie d'un mec, et le persuade de me laisser l'enfiler, avec précaution.
L'ambiance est chaude, et il est prêt à tout accepter. Il s'allonge sur la table de la salle à manger, sur le dos, le cul au bord, et je relève ses jambes et les lui fais tenir en l'air. Je m'accroupis pour lui bouffer le cul, et invite Peggy à le sucer. Il a un cul magnifique, de belles fesses bien rondes et charnues, et une raie poilue à souhait. Je taquine sa rondelle avec ma langue, la glisse à l'intérieur en alternant avec mes doigts, de plus en plus loin. On est les yeux dans les yeux avec sa femmes:
- Tu es vraiment un salaud, je n'aurais jamais cru ça de toi.
- Tu n'as jamais essayé? Regarde comme il aime ça.
Je lui propose de changer les places. Elle hésite, mais son mari lui dit de m'obéir, et elle se retrouve à le préparer pour que je le prenne, tandis que je le suce en attendant. Elle a fini de bien le dilater, a bien salivé sur son petit trou, et je m'enfonce sans tarder, lentement mais surement. Elle reste accroupie pour admirer le spectacle, et se masturbe tandis que son mari se branle et gémit de plaisir. Ils m'encouragent tous les deux à le baiser plus fort. C'est sa première sodomie, et il prend un immense plaisir jusque là inconnu. Il annonce qu'il va jouir.
Je me retire, fourre mes doigts dans son tube béant pour le maintenir ouvert et continuer à lui donner du plaisir, puis me penche sur sa queue. La mienne est libre, mais pas pour longtemps. Peggy n'en fait qu'une bouchée et s'active dessus, comme je m'active sur celle de Guillaume. Il jouit sans retenue, et je bouffe tout avec bonheur. Il s'est soulagé et je reviens dans son trou très accueillant. Je le baise encore, et jouis à mon tour, dans son intimité. Je me retire, me fais nettoyer la queue par ma petite chérie, puis lui demande de nettoyer le cul de son mec. Elle s'applique et le débarrasse de tout mon foutre qu'elle déguste avec gourmandise.
Il se relève et me demande de m'allonger à mon tour, les jambes en l'air:
- Tu veux me rebaiser de suite? Tu ne pas garder tes forces pour ce soir?
- T'inquiètes, il va m'en rester assez, pour ce soir et pour cette nuit.
Il pourrait m'embrocher sans préparation, mail il veut, comme je l'ai fait, me sucer et voir sa femme me préparer. Hummm, quel régal leurs de bouches, mais c'est celle de Peggy qui m'apporte le plus de sensations. Elle me broute comme une affamée, m'ouvre bien avec ses doigts pour mieux enfouir sa langue. Je la sens super bien explorer mon anus, j'ai l'impression de bouffer un bonbon à la menthe par le cul tellement c'est rafraichissant. Elle me lèche, il me suce, et de temps en temps ils me gobent les couilles.
Il se met en place derrière moi, et m'encule sauvagement. Il me fout une ramonée d'enfer. Sa femme a repris ma queue dans sa bouche et me turlute en matant la longue et belle bite de son époux qui va et vient entre mes fesses. Il me défonce, m'arrache des cris de plaisirs. Il redouble d'effort, et je sens son sperme envahir mes reins. Il se retire, me donne sa queue à sucer, tandis que sa femme me vide le cul de sa propre initiative.
On arrive en début de soirée, et Guillaume m'offre un apéro pendant que Peggy prépare la bouffe. On dine vite fait et on arrive à la fin du repas. Mon hôte prend un yaourt et sa femme s'agenouille devant sa queue:
- C'est son dessert préféré, grâce à toi. Et toi, tu aimes?
J'ai bien saisi l'invitation et m'agenouille à côté de Peggy. Il trempe son beau gland dans le pot, et nous nourrit à tour de rôle. Je n'ai jamais un yaourt avec autant de plaisir. Il ne reste que le fonds, et il nous fait nous tourner pour nous graisser le cul:
- Salaud, c'est comme ça que tu l'a prise ma femme, je vais te faire voir ce qu'elle a ressentit.
Il m'encule profond, me lime avec de longs vas et vient, puis encule sa femme, revient dans mon trou, le sien, le mien, le sien..................
Il arrête de nous tringler et attrape un autre yaourt qu'il me tend. Puis il s'agenouille devant moi et sa femme en fait autant. C'est à mon tour de les servir puis de les sodomiser de mon mieux.
Il attrape un dernier yaourt, et on va tremper notre queue tous les deux à tour de rôle pour gaver sa pute de femelle qui ne demande que ça. Elle se régale cette chienne, d'autant plus qu'elle se doute qu'on va l'enculer, bien l'enculer.
On la sodomise chacun son tour, puis on la prend en double; la bouche et le cul, la bouche et la chatte, et enfin le cul et la chatte. On l'enfile recto verso et on la fait sauter sur nos manches hyper tendus. Elle est aux anges cette belle salope, s'enivre de nos deux belles queues. On la besogne dans tous les sens, dans toutes les positions, jusqu'a finir dans sa bouche. Elle nous vidange jusqu'à la dernière goutte.
On se repose en regardant la télé. Il est 22h et elle nous annonce qu'elle est fatiguée et va dormir, mais aussi qu'elle nous a préparé la chambre d'amis. Je comprends alors que je vais dormir avec son mec. Dormir! pas sûr!
A suive...............................