Peinture à Domicile
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Peinture à Domicile
J’habite, seul, un trois pièces dans le centre de Paris, que j’ai acheté il y a déjà longtemps, à l’époque où cela était encore abordable.
Bien sûr, avec les années, il s’est quelque peu défraîchi, c’est pourquoi l’été dernier j’ai fait appel à une société dans mon quartier pour le repeindre. Je me suis mis d’accord sur le devis avec le patron de l’entreprise, qui m’a prévenu que ses ouvriers étaient parfois des ouvrières.
- Les femmes font souvent un travail plus soigné, me dit-il, c’est pour cela que je les embauche.
Pour ma part, je me moque de qui fait le job du moment que le résultat est bon.
J’ai vu défiler des ouvriers pour la préparation des fonds qui a pris une bonne semaine.
Puis, un lundi matin, j’ai vu arriver deux jeunes femmes pour attaquer la peinture.
Elles étaient plutôt mignonnes dans leurs salopettes et sous leur casquette de chantier.
Quand je passais à l’appartement dans la journée entre deux rendez-vous (je travaille en indépendant, depuis chez moi), je les voyais, perchées sur leur escabeau ou penchées sur les plinthes.
J’avoue avoir parfois maté leurs joli fessiers et tenté d’apercevoir leurs seins quand elles se penchaient, mais cela restait discret et rien n’est venu troubler une relation somme toute professionnelle. Pour les finitions, seule une des deux est restée, l’autre rejoignant un autre chantier.
Un jour, rentrant d’un rendez-vous, je pose mes affaires dans l’entrée et je me dirige vers les WC, qui sont dans ma salle de bain.
J’ai poussé la porte et je suis tombé sur la peintre, la salopette sur les pieds, en train d’uriner… debout ! Je me suis prestement excusé de mon intrusion et j’ai filé m’enfermer dans ma chambre.
J’avais eu le temps d’apercevoir un soutien-gorge gonflé d’une magnifique paire de seins, mais aussi une queue de bonne taille.
J’étais retourné. A la fois de confusion pour avoir ainsi pénétré dans ma salle de bain - qu’y pouvais-je ? - mais surtout par la vision que j’avais eue.
La peintre, d’allure si féminine, était un mec. Mais ce que je ressentais, c’était surtout que c’était une fille, mais avec une queue, voilà tout.
Bref, cette première vision d’un transsexuel me vrillait la tête.
Je me suis dit que j’allais attendre qu’elle soit partie pour ressortir de ma chambre. Il était 17h et je savais qu’à 17h30 elle arrêterait son travail.
A l’heure dite, j’ai entendu toquer à ma porte. J’étais assez nerveux, ne sachant quelle attitude adopter. J’ai été ouvrir la porte et me suis retrouvé devant la peintre, qui me regardait avec un sourire, mais son regard trahissait une certaine appréhension.
- Je peux vous parler, Monsieur ?
- Bien sûr, allons dans la cuisine.
Nous nous sommes installés autour de la table.
- Voilà, j’ai bien conscience que ce que vous avez vu tout à l’heure a pu vous surprendre, et même vous choquer. Je suis en effet une transsexuelle, mais je n’en fait pas l’étalage, et je dois vous dire que personne dans ma société n’est au courant. Je serais très ennuyée si cela se savait, je risquerais de perdre mon emploi, vous comprenez ?
- Ah, euh, oui, en effet, j’ai été surpris, mais pas choqué. Et je comprends que ce soit délicat de parler de cela à votre patron.
- Oui, c’est pourquoi je vous serais reconnaissante de n’en rien faire.
- Pourquoi le ferai-je ? Je suis très content du travail que vous avez fait, et ne vois pas en quoi votre vie privée devrait intéresser les autres.
- Merci Monsieur, je vous remercie vraiment. Tous les hommes ne réagissent pas comme vous quand ils découvrent ma singularité.
- N’en parlons plus. Je crois que vous en avez encore pour deux ou trois jours ici, et j’aurai plaisir à voir finir le travail que vous faites avec soin. Je ne changerais de peintre pour rien au monde, ai-je fini avec un grand sourire.
Je voulais la rassurer, et en même temps, je sentais bien que j’essayais aussi de lui être agréable, de lui plaire d’une certaine façon.
- A demain avec plaisir, Monsieur, m’a-t-elle dit en se levant et en me retournant un franc sourire cette fois.
Elle est partie, et je me suis mis à mon boulot.
Mais j’avais la tête ailleurs, dans cette conversation inhabituelle. Et surtout, je repensais à ces seins entraperçus, à ce membre pendant la miction.
Le soir, je me suis caressé lentement, imaginant ses mains me parcourant le corps, me pinçant les tétons, s’approchant de mon bas ventre, me faisant monter le désir, puis prenant mon sexe en bouche.
Je pensais aussi à ce que ce serait de caresser des seins tout en suçant une queue.
Bien sûr, avec ces pensées nouvelles pour moi, je me suis excité puis je me suis aspergé le nombril avant de m’endormir la tête pleine d’idées surprenantes…
Le lendemain, j’avais rendez-vous de bon matin et je n’ai pas croisé ma peintre.
Je suis rentré vers 16h30 et je l’ai trouvée à genoux en train de fignoler un contour de fenêtre.
Je l’ai saluée d’un sourire et me suis approché.
- Le travail est bientôt fini, c’est superbe.
- Merci, je me suis appliquée, parce que j’aime ça, mais aussi parce que notre conversation d’hier soir m’a donné envie de donner le meilleur de moi-même.
Je l’ai regardée, troublé par ses paroles. Elle s’en est sûrement aperçue.
Je me suis approché d’elle.
Elle s’est relevée.
Nous nous sommes regardés, droits dans les yeux.
- J’ai pensé à vous hier soir, lui ai-je dit, à ce que j’ai vu dans la salle de bain. Je vous avoue que je suis très troublé, que des images me traversent l’esprit, des images que je n’avais jamais eues auparavant.
- Je vous avoue que j’ai pensé à vous aussi, à votre compréhension, mais aussi à vos yeux, à votre visage, et à tout ce que je n’ai pas vu… pas encore ?
- J’ai envie de vous, je ne comprends pas comment ni pourquoi, mais j’ai envie de vous.
- Venez
Elle m’a pris par la main, m’a emmené dans ma chambre. Elle m’a assis sur le bord du lit.
Elle s’est assise en face de moi, sur un petit fauteuil mis là en attendant la fin des travaux.
Elle a approché le siège, nos genoux se touchaient.
Elle a posé ses mains sur mes cuisses.
- Voulez-vous que je vous caresse pour commencer, ou voulez-vous me découvrir d’abord ?
Je n’ai pas hésité. Je voulais connaître son corps, comprendre pourquoi j’étais attiré par cette femme que je savais être un homme.
Je voulais voir ce que c’était d’embrasser une femme, homme.
Je me suis approché d’elle, et j’ai posé mes mains sur ses épaules fines. J’ai enlevé les boucles de la salopette qui est retombée, découvrant un corsage tendu.
Enlevant les boutons un à un, j’ai vu qu’elle n’avait pas de soutien-gorge.
- J’ai pensé que ce serait mieux si on devait aller plus loin, m’a-t-elle dit en souriant
- Tu as des seins magnifiques, ai-je répondu en les palpant, impressionné par leur douceur et leur fermeté.
Puis je l’ai allongée sur mon lit, et me suis mis à lui sucer les seins, à remonter dans son cou, puis, enfin, je l’ai embrassée.
C’est étonnant les idées que l’on peut se faire. Embrasser un homme, c’est comme embrasser une femme, c’est aussi doux, humide, tendre et excitant.
Allongé contre lui, ma main parcourait son corps.
J’ai senti la bosse sous la salopette. J’hésitais à la toucher, encore trop « hétéro » pour m’autoriser un truc de « gay ». Elle a vu mon hésitation. Alors elle s’est relevée, et s’est déshabillée totalement, m’offrant sa nudité totale. Je bandais dans mon caleçon en la regardant.
- Déshabille-toi aussi, m’a-t-elle demandé en m’aidant à enlever mes vêtements.
Une fois nus tous les deux, nous nous sommes allongés à nouveau.
Je voyais son sexe dressé, ses seins tendus, et je trouvais cela...parfaitement normal.
Elle m’a pris le sexe en main et à commencer à me branler lentement.
Je regardais sa main, puis ses seins, puis ses yeux qui me détaillaient avec tendresse.
Elle s’est mise à quatre pattes sur le lit, a approché sa bouche de mon membre, m’a léché le méat, puis d’un coup a englouti ma tige.
Je la voyais me sucer, et je voyais ses seins sous mes yeux, qui balançaient, et sa queue, cette queue que je découvrais pendante mais raide.
Alors j’ai osé, j’ai mis la main sur son membre, et je l’ai branlée pendant qu’elle me suçait.
C’est un peu bizarre la première fois, mais sentir un sexe d’homme dans sa main est finalement très…habituel pour un garçon. Aussi, je m’appliquais à le branler comme j’aime le faire pour moi, et visiblement ses gémissements, la bouche pleine, me laissaient penser que je m’y prenais plutôt bien.
Mais j’avais envie d’aller plus loin, aussi je me suis tortillé sous lui pour me mettre en position de 69.
Et j’ai happé sa tige, la suçotant pour commencer, la léchant, puis, après une seconde de dernière hésitation, je l’ai avalée, littéralement. Et je l’ai pompé, pompé, découvrant la joie d’avoir un sexe en bouche, de sentir son frein, son gland, sa hampe me pénétrer.
Lui n’était pas inactif, et je sentais ma queue se durcir de plus en plus.
Je lui palpais les seins aussi, et de voir cette poitrine gonflée, sa bouche m’avaler, et moi le sucer, mon excitation est montée d’un coup, et je lui ai giclé dans la bouche sans prévenir.
Il faut croire qu’elle n’attendait que cela pour gicler à son tour, et j’ai reçu la première éjaculation de ma vie dans ma bouche.
Etant allongé, j’ai failli m’étrangler, mais j’ai avalé une partie de son jus, le reste bavant sur mon menton.
Soulagés, nous nous sommes allongés côte à côte.
Je l’ai pris dans mes bras, et sa tête sur mon épaule était légère.
Nous nous sommes embrassés, échangeant les restes et le goût de nos semences.
Et nous nous sommes endormis.
A suivre
Bien sûr, avec les années, il s’est quelque peu défraîchi, c’est pourquoi l’été dernier j’ai fait appel à une société dans mon quartier pour le repeindre. Je me suis mis d’accord sur le devis avec le patron de l’entreprise, qui m’a prévenu que ses ouvriers étaient parfois des ouvrières.
- Les femmes font souvent un travail plus soigné, me dit-il, c’est pour cela que je les embauche.
Pour ma part, je me moque de qui fait le job du moment que le résultat est bon.
J’ai vu défiler des ouvriers pour la préparation des fonds qui a pris une bonne semaine.
Puis, un lundi matin, j’ai vu arriver deux jeunes femmes pour attaquer la peinture.
Elles étaient plutôt mignonnes dans leurs salopettes et sous leur casquette de chantier.
Quand je passais à l’appartement dans la journée entre deux rendez-vous (je travaille en indépendant, depuis chez moi), je les voyais, perchées sur leur escabeau ou penchées sur les plinthes.
J’avoue avoir parfois maté leurs joli fessiers et tenté d’apercevoir leurs seins quand elles se penchaient, mais cela restait discret et rien n’est venu troubler une relation somme toute professionnelle. Pour les finitions, seule une des deux est restée, l’autre rejoignant un autre chantier.
Un jour, rentrant d’un rendez-vous, je pose mes affaires dans l’entrée et je me dirige vers les WC, qui sont dans ma salle de bain.
J’ai poussé la porte et je suis tombé sur la peintre, la salopette sur les pieds, en train d’uriner… debout ! Je me suis prestement excusé de mon intrusion et j’ai filé m’enfermer dans ma chambre.
J’avais eu le temps d’apercevoir un soutien-gorge gonflé d’une magnifique paire de seins, mais aussi une queue de bonne taille.
J’étais retourné. A la fois de confusion pour avoir ainsi pénétré dans ma salle de bain - qu’y pouvais-je ? - mais surtout par la vision que j’avais eue.
La peintre, d’allure si féminine, était un mec. Mais ce que je ressentais, c’était surtout que c’était une fille, mais avec une queue, voilà tout.
Bref, cette première vision d’un transsexuel me vrillait la tête.
Je me suis dit que j’allais attendre qu’elle soit partie pour ressortir de ma chambre. Il était 17h et je savais qu’à 17h30 elle arrêterait son travail.
A l’heure dite, j’ai entendu toquer à ma porte. J’étais assez nerveux, ne sachant quelle attitude adopter. J’ai été ouvrir la porte et me suis retrouvé devant la peintre, qui me regardait avec un sourire, mais son regard trahissait une certaine appréhension.
- Je peux vous parler, Monsieur ?
- Bien sûr, allons dans la cuisine.
Nous nous sommes installés autour de la table.
- Voilà, j’ai bien conscience que ce que vous avez vu tout à l’heure a pu vous surprendre, et même vous choquer. Je suis en effet une transsexuelle, mais je n’en fait pas l’étalage, et je dois vous dire que personne dans ma société n’est au courant. Je serais très ennuyée si cela se savait, je risquerais de perdre mon emploi, vous comprenez ?
- Ah, euh, oui, en effet, j’ai été surpris, mais pas choqué. Et je comprends que ce soit délicat de parler de cela à votre patron.
- Oui, c’est pourquoi je vous serais reconnaissante de n’en rien faire.
- Pourquoi le ferai-je ? Je suis très content du travail que vous avez fait, et ne vois pas en quoi votre vie privée devrait intéresser les autres.
- Merci Monsieur, je vous remercie vraiment. Tous les hommes ne réagissent pas comme vous quand ils découvrent ma singularité.
- N’en parlons plus. Je crois que vous en avez encore pour deux ou trois jours ici, et j’aurai plaisir à voir finir le travail que vous faites avec soin. Je ne changerais de peintre pour rien au monde, ai-je fini avec un grand sourire.
Je voulais la rassurer, et en même temps, je sentais bien que j’essayais aussi de lui être agréable, de lui plaire d’une certaine façon.
- A demain avec plaisir, Monsieur, m’a-t-elle dit en se levant et en me retournant un franc sourire cette fois.
Elle est partie, et je me suis mis à mon boulot.
Mais j’avais la tête ailleurs, dans cette conversation inhabituelle. Et surtout, je repensais à ces seins entraperçus, à ce membre pendant la miction.
Le soir, je me suis caressé lentement, imaginant ses mains me parcourant le corps, me pinçant les tétons, s’approchant de mon bas ventre, me faisant monter le désir, puis prenant mon sexe en bouche.
Je pensais aussi à ce que ce serait de caresser des seins tout en suçant une queue.
Bien sûr, avec ces pensées nouvelles pour moi, je me suis excité puis je me suis aspergé le nombril avant de m’endormir la tête pleine d’idées surprenantes…
Le lendemain, j’avais rendez-vous de bon matin et je n’ai pas croisé ma peintre.
Je suis rentré vers 16h30 et je l’ai trouvée à genoux en train de fignoler un contour de fenêtre.
Je l’ai saluée d’un sourire et me suis approché.
- Le travail est bientôt fini, c’est superbe.
- Merci, je me suis appliquée, parce que j’aime ça, mais aussi parce que notre conversation d’hier soir m’a donné envie de donner le meilleur de moi-même.
Je l’ai regardée, troublé par ses paroles. Elle s’en est sûrement aperçue.
Je me suis approché d’elle.
Elle s’est relevée.
Nous nous sommes regardés, droits dans les yeux.
- J’ai pensé à vous hier soir, lui ai-je dit, à ce que j’ai vu dans la salle de bain. Je vous avoue que je suis très troublé, que des images me traversent l’esprit, des images que je n’avais jamais eues auparavant.
- Je vous avoue que j’ai pensé à vous aussi, à votre compréhension, mais aussi à vos yeux, à votre visage, et à tout ce que je n’ai pas vu… pas encore ?
- J’ai envie de vous, je ne comprends pas comment ni pourquoi, mais j’ai envie de vous.
- Venez
Elle m’a pris par la main, m’a emmené dans ma chambre. Elle m’a assis sur le bord du lit.
Elle s’est assise en face de moi, sur un petit fauteuil mis là en attendant la fin des travaux.
Elle a approché le siège, nos genoux se touchaient.
Elle a posé ses mains sur mes cuisses.
- Voulez-vous que je vous caresse pour commencer, ou voulez-vous me découvrir d’abord ?
Je n’ai pas hésité. Je voulais connaître son corps, comprendre pourquoi j’étais attiré par cette femme que je savais être un homme.
Je voulais voir ce que c’était d’embrasser une femme, homme.
Je me suis approché d’elle, et j’ai posé mes mains sur ses épaules fines. J’ai enlevé les boucles de la salopette qui est retombée, découvrant un corsage tendu.
Enlevant les boutons un à un, j’ai vu qu’elle n’avait pas de soutien-gorge.
- J’ai pensé que ce serait mieux si on devait aller plus loin, m’a-t-elle dit en souriant
- Tu as des seins magnifiques, ai-je répondu en les palpant, impressionné par leur douceur et leur fermeté.
Puis je l’ai allongée sur mon lit, et me suis mis à lui sucer les seins, à remonter dans son cou, puis, enfin, je l’ai embrassée.
C’est étonnant les idées que l’on peut se faire. Embrasser un homme, c’est comme embrasser une femme, c’est aussi doux, humide, tendre et excitant.
Allongé contre lui, ma main parcourait son corps.
J’ai senti la bosse sous la salopette. J’hésitais à la toucher, encore trop « hétéro » pour m’autoriser un truc de « gay ». Elle a vu mon hésitation. Alors elle s’est relevée, et s’est déshabillée totalement, m’offrant sa nudité totale. Je bandais dans mon caleçon en la regardant.
- Déshabille-toi aussi, m’a-t-elle demandé en m’aidant à enlever mes vêtements.
Une fois nus tous les deux, nous nous sommes allongés à nouveau.
Je voyais son sexe dressé, ses seins tendus, et je trouvais cela...parfaitement normal.
Elle m’a pris le sexe en main et à commencer à me branler lentement.
Je regardais sa main, puis ses seins, puis ses yeux qui me détaillaient avec tendresse.
Elle s’est mise à quatre pattes sur le lit, a approché sa bouche de mon membre, m’a léché le méat, puis d’un coup a englouti ma tige.
Je la voyais me sucer, et je voyais ses seins sous mes yeux, qui balançaient, et sa queue, cette queue que je découvrais pendante mais raide.
Alors j’ai osé, j’ai mis la main sur son membre, et je l’ai branlée pendant qu’elle me suçait.
C’est un peu bizarre la première fois, mais sentir un sexe d’homme dans sa main est finalement très…habituel pour un garçon. Aussi, je m’appliquais à le branler comme j’aime le faire pour moi, et visiblement ses gémissements, la bouche pleine, me laissaient penser que je m’y prenais plutôt bien.
Mais j’avais envie d’aller plus loin, aussi je me suis tortillé sous lui pour me mettre en position de 69.
Et j’ai happé sa tige, la suçotant pour commencer, la léchant, puis, après une seconde de dernière hésitation, je l’ai avalée, littéralement. Et je l’ai pompé, pompé, découvrant la joie d’avoir un sexe en bouche, de sentir son frein, son gland, sa hampe me pénétrer.
Lui n’était pas inactif, et je sentais ma queue se durcir de plus en plus.
Je lui palpais les seins aussi, et de voir cette poitrine gonflée, sa bouche m’avaler, et moi le sucer, mon excitation est montée d’un coup, et je lui ai giclé dans la bouche sans prévenir.
Il faut croire qu’elle n’attendait que cela pour gicler à son tour, et j’ai reçu la première éjaculation de ma vie dans ma bouche.
Etant allongé, j’ai failli m’étrangler, mais j’ai avalé une partie de son jus, le reste bavant sur mon menton.
Soulagés, nous nous sommes allongés côte à côte.
Je l’ai pris dans mes bras, et sa tête sur mon épaule était légère.
Nous nous sommes embrassés, échangeant les restes et le goût de nos semences.
Et nous nous sommes endormis.
A suivre
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pourquoi utiliser le masculin pour parler d’une femme trans ?
belle histoire, simple mais efficace!
Superbe récit, vite la suite.....
Très bien écrit, vivement la suite