Pendant l'orage 2
Récit érotique écrit par ptitchou [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pendant l'orage 2
La laissant reprendre ses esprits, Adrien s’allonge à ses côtés pour l’observée. La pluie les berce quelques instants. La tête rejetée en arrière, les cheveux emmêlés sur le visage et les seins, elle respire encore fort. Elle est sublime, il la veut.
- C’était bon mon amour… dit-elle, un sourire serein aux lèvres, haletante.
Elle se sent vidée, sereine.
- Je peux goûté ? Enchaîne-t-elle.
Adrien sourit, comprenant sa requette. Il embaume un seins, lui caresse le cou et lui tient le visage avant de lui rouler une énorme pelle. Elle adore ça, les french kiss, ça l’électrise d’office. Plus encore quand ils ont le goût de ses fluides. C’est un véritable combat de langues chaudes et humides qui se glissent dessus. Ils ne s’arrêtent que pour respirer et reprennent de plus belle. Éloïse sent à nouveau une tension naître dans son bas-ventre, décidément, elle se sent inarrêtable. Elle frotte ses cuisses l’une contre l’autre pour stimuler son clitoris tout gonflé du round précédent et se love contre son homme. Elle lui caresse le dos, les flans tout en l’embrassant, se faisant prédatrice.
- À ton tour, jolie cœur, dit-elle en lui suçotant le lobe de l’oreille.
Elle lui lèche le cou, descend sur son torse et lui aspire un téton. Elle lui donne un doigt à sucer, en le regardant malicieusement pendant que son autre main vient lui masser les testicules. Puis elle le décalotte et commence à faire de lents va et vient sur son manche tout en le regardant. Lui n’est pas en reste, il attrape ses seins à pleine main, le sexe durgessant et douloureux.
- Dis donc, elle est toute rouge, ça fait longtemps que tu bandes mon cochon ?
- Je vais te prendre, gronde-t-il, en regardant la fenêtre ouverte et en priant pour que le voisin les voit. Sur cette réplique il essaye de prendre l’ascendant et de la retourner mais elle le plaque sur le dos.
- J’ai pas finit, dit-elle, autoritaire.
Elle fourre sa langue dans sa bouche tout en le branlant plus énergiquement. Il va voir ce qu’il va voir celui-la, pense-t-elle. Puis elle dépose des baisés le long de son torse, lui lèche doucement les boules avant de gober son sexe et de faire des va et viens en l’aspirant. Il lâche un long gémissement et roule les yeux au ciel. Il se retient d’appuyer sur sa tête pour qu’elle enfourne le tout. Elle alterne ses va et viens avec de longs moments où elle lui lèche le gland en le regardant intensément dans les yeux. Il mourrait pour ce regard de chasseresse. Prit dans cette fellation infernale, il arrive à trouver une cuisse le long de laquelle il remonte pour caresser une chatte tellement trempée qu’il aurait envie de retourner s’y abreuver.
- Oh..Éloïse… murmure-t-il.
Il lui titille le clitoris frénétiquement, elle écarte un peu plus les jambes et se cambre tout en continuant de le sucer. Elle lui malaxe les couilles et crache sur sa hampe.
- Mon petit salaud, tu sais y faire.
- Je…
Il n’a pas le temps de finir sa phrase qu’elle gobe encore son sexe en lui pinçant très fort un téton. Cette fois il n’y tient plus, il se redresse, lui attrape le visage pour l’embrassée goulûment et la retourne. Elle gémit, et s’étend, lui montrant un jolie cul ferme et bombé. Elle se met à quatre pattes et tend les fesses en se tortillant. Il attrape ses hanches et la pénètre d’une traite. Elle a une forte contraction, sa respiration se coupe. Le premier coup et toujours le plus électrisant. Elle ferme les yeux et gémit à chaque assaut. La bite de son homme vient frotté ses parois intimes, elle aime ça. Adrien lui met une grosse fessée.
- ça t’apprendra à te toucher pendant que je fais les courses !
- Oh oui…
Il fait de puissants à coups accompagnés de clap clap équivoques. Sentir ses couilles taper contre ses cuisses excite Éloïse au plus au point. Elle les empoigne quant elles arrivent contre elle. Il la redresse et leurs langues se touchent. Il attrape un sein et lui caresse furtivement le clitoris. Elle n’en peux plus, elle a de fortes contractions. Elle se remet à quatre pattes mais très vite les à coups sont si rudes qu’elle s’allonge au fur et à mesure. Adrien aime la voir capituler de cette façon, cette position le rend fou.
- Prend moi fort, prend moi comme une chienne, hoquette-t-elle entre deux puissantes ruées.
Il prend une lourde inspiration, redresse sa croupe et la pilonne comme un dingue, il ne voit plus que ce superbe cul s’agiter d’avant en arrière. Il la tient si fort par les hanche que ça la brûle. Elle aime ça, le sentir en elle, sentir leurs corps tendus. Elle se stimule le clitoris pendant qu’il la prend comme une bête, elle va venir, elle le sent. Elle crie franchement maintenant, couvrant totalement le clapotis de la pluie. Pourvus que le voisin n’entende rien se dit-elle. Adrien lui caresse la raie et met un pouce dans son petit trou. Elle roule des yeux, se contre fou que le voisin les entende et râle tout son saoule. Ses idées s’emmêlent, elle aimerait être prise en double, sucer ou rouler une pelle en même temps, être désirée encore plus fort… Elle hurle et s’écroule, lui la pistonne encore un peu et se déverse en elle dans un long râle roque. Il s’affale sur elle à son tour, lui dépose des petits bisous dans le coup en lui caressant les cheveux.
- J’espère que je t’ai fécondé, petite dévergondée, glousse-t-il, restant encore en elle le temps de dégonfler.
- Je pourrais faire ça toute la vie, me prendre ta bite entre les cuisses, chuchote-t-elle.
- Me relance pas… dit-il en cherchant sa bouche.
Ils s’embrassent tendrement, lui glisse sur le flan et l’attire vers lui pour un câlin tendre. Ils puent le sexe, sont tout collants et épuisés. Elle lèche la sueur au niveau du coup de son homme.
- Vraiment, je pourrais faire ça toute la vie, répète-t-elle.
La pluie s’était arrêtée.
- C’était bon mon amour… dit-elle, un sourire serein aux lèvres, haletante.
Elle se sent vidée, sereine.
- Je peux goûté ? Enchaîne-t-elle.
Adrien sourit, comprenant sa requette. Il embaume un seins, lui caresse le cou et lui tient le visage avant de lui rouler une énorme pelle. Elle adore ça, les french kiss, ça l’électrise d’office. Plus encore quand ils ont le goût de ses fluides. C’est un véritable combat de langues chaudes et humides qui se glissent dessus. Ils ne s’arrêtent que pour respirer et reprennent de plus belle. Éloïse sent à nouveau une tension naître dans son bas-ventre, décidément, elle se sent inarrêtable. Elle frotte ses cuisses l’une contre l’autre pour stimuler son clitoris tout gonflé du round précédent et se love contre son homme. Elle lui caresse le dos, les flans tout en l’embrassant, se faisant prédatrice.
- À ton tour, jolie cœur, dit-elle en lui suçotant le lobe de l’oreille.
Elle lui lèche le cou, descend sur son torse et lui aspire un téton. Elle lui donne un doigt à sucer, en le regardant malicieusement pendant que son autre main vient lui masser les testicules. Puis elle le décalotte et commence à faire de lents va et vient sur son manche tout en le regardant. Lui n’est pas en reste, il attrape ses seins à pleine main, le sexe durgessant et douloureux.
- Dis donc, elle est toute rouge, ça fait longtemps que tu bandes mon cochon ?
- Je vais te prendre, gronde-t-il, en regardant la fenêtre ouverte et en priant pour que le voisin les voit. Sur cette réplique il essaye de prendre l’ascendant et de la retourner mais elle le plaque sur le dos.
- J’ai pas finit, dit-elle, autoritaire.
Elle fourre sa langue dans sa bouche tout en le branlant plus énergiquement. Il va voir ce qu’il va voir celui-la, pense-t-elle. Puis elle dépose des baisés le long de son torse, lui lèche doucement les boules avant de gober son sexe et de faire des va et viens en l’aspirant. Il lâche un long gémissement et roule les yeux au ciel. Il se retient d’appuyer sur sa tête pour qu’elle enfourne le tout. Elle alterne ses va et viens avec de longs moments où elle lui lèche le gland en le regardant intensément dans les yeux. Il mourrait pour ce regard de chasseresse. Prit dans cette fellation infernale, il arrive à trouver une cuisse le long de laquelle il remonte pour caresser une chatte tellement trempée qu’il aurait envie de retourner s’y abreuver.
- Oh..Éloïse… murmure-t-il.
Il lui titille le clitoris frénétiquement, elle écarte un peu plus les jambes et se cambre tout en continuant de le sucer. Elle lui malaxe les couilles et crache sur sa hampe.
- Mon petit salaud, tu sais y faire.
- Je…
Il n’a pas le temps de finir sa phrase qu’elle gobe encore son sexe en lui pinçant très fort un téton. Cette fois il n’y tient plus, il se redresse, lui attrape le visage pour l’embrassée goulûment et la retourne. Elle gémit, et s’étend, lui montrant un jolie cul ferme et bombé. Elle se met à quatre pattes et tend les fesses en se tortillant. Il attrape ses hanches et la pénètre d’une traite. Elle a une forte contraction, sa respiration se coupe. Le premier coup et toujours le plus électrisant. Elle ferme les yeux et gémit à chaque assaut. La bite de son homme vient frotté ses parois intimes, elle aime ça. Adrien lui met une grosse fessée.
- ça t’apprendra à te toucher pendant que je fais les courses !
- Oh oui…
Il fait de puissants à coups accompagnés de clap clap équivoques. Sentir ses couilles taper contre ses cuisses excite Éloïse au plus au point. Elle les empoigne quant elles arrivent contre elle. Il la redresse et leurs langues se touchent. Il attrape un sein et lui caresse furtivement le clitoris. Elle n’en peux plus, elle a de fortes contractions. Elle se remet à quatre pattes mais très vite les à coups sont si rudes qu’elle s’allonge au fur et à mesure. Adrien aime la voir capituler de cette façon, cette position le rend fou.
- Prend moi fort, prend moi comme une chienne, hoquette-t-elle entre deux puissantes ruées.
Il prend une lourde inspiration, redresse sa croupe et la pilonne comme un dingue, il ne voit plus que ce superbe cul s’agiter d’avant en arrière. Il la tient si fort par les hanche que ça la brûle. Elle aime ça, le sentir en elle, sentir leurs corps tendus. Elle se stimule le clitoris pendant qu’il la prend comme une bête, elle va venir, elle le sent. Elle crie franchement maintenant, couvrant totalement le clapotis de la pluie. Pourvus que le voisin n’entende rien se dit-elle. Adrien lui caresse la raie et met un pouce dans son petit trou. Elle roule des yeux, se contre fou que le voisin les entende et râle tout son saoule. Ses idées s’emmêlent, elle aimerait être prise en double, sucer ou rouler une pelle en même temps, être désirée encore plus fort… Elle hurle et s’écroule, lui la pistonne encore un peu et se déverse en elle dans un long râle roque. Il s’affale sur elle à son tour, lui dépose des petits bisous dans le coup en lui caressant les cheveux.
- J’espère que je t’ai fécondé, petite dévergondée, glousse-t-il, restant encore en elle le temps de dégonfler.
- Je pourrais faire ça toute la vie, me prendre ta bite entre les cuisses, chuchote-t-elle.
- Me relance pas… dit-il en cherchant sa bouche.
Ils s’embrassent tendrement, lui glisse sur le flan et l’attire vers lui pour un câlin tendre. Ils puent le sexe, sont tout collants et épuisés. Elle lèche la sueur au niveau du coup de son homme.
- Vraiment, je pourrais faire ça toute la vie, répète-t-elle.
La pluie s’était arrêtée.
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