Pendant l'orage
Récit érotique écrit par ptitchou [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pendant l'orage
Réveillée par le bruit de la pluie sur la lucarne, Éloïse s’étire longuement et sens de l’humidité entre ses cuisses. Encore un rêve érotique. Depuis qu’elle dort nue, son imaginaire est prolifique. Détendue et excitée, elle passe sa main le long de son flan, puis sur le côté de son pubis et entortille ses poils négligemment. Que faire ? Il est déjà midi et elle ne sait pas où est Adrien, son copain. Ensemble ils aiment à dire qu’elle a le « démon » quand son bas-ventre fait des siennes et qu’il faut très vite l’honorer. Mais elle ne sait pas où il est et elle n’a pas envie de quitter le lit... Tout en continuant de jouer avec ses poils, elle se demande si elle se contente toute seule ou si elle attend de voir si son homme pourrait pointer le bout de sa queue.
Rien qu’en s’imaginant le sexe de son compagnon, une décharge la lance dans le bas-ventre. Elle arrive très bien à se représenter ses à coups en elle, sa chatte en a envie. Sa main descend entre ses jambes, caresse l’intérieur de ses cuisses très lentement. Puis ses doigts experts entrent en contacte avec son sexe humide. Elle frôle son bouton d’amour puis exerce de légères pressions circulaires dessus. Les cuisses grandes ouvertes, elle se met à onduler légèrement du bassin pour que la caresse des draps l’excite d’avantage. Elle contemple la lucarne tout en respirant lentement, le bassin tendu vers l’avant, témoignant de son envie de se faire prendre.
Un orage va bientôt éclater, pense-t-elle, en analysant le ciel. Elle ferme les yeux, son doigt appuie plus fort sur son clitoris, descend et s’introduit dans le vagin. Elle tend encore d’avantage le bassin. Une décharge la lance de nouveau, sa respiration est lourde. Elle trouve le petit renflement dans son entre et le titille. Un premier gémissement se fait entendre. Elle a chaud, ses joues sont roses, elle se mord les lèvres. Qu’est-ce qu’elle aimerait faire une grosse galoche baveuse à quelqu’un, là, tout de suite.
Dans l’encadrement de la porte Adrien contemple sa femme, ou devrait-il dire sa femelle, se contenter toute seule. Quelle coquine, elle n’a pas pu attendre une demi-heure qu’il rentre des courses. Les yeux fermés, elle n’a pas sentie sa présence. Il décide de modifier la scène et va entre-ouvrir le rideau et la fenêtre. Son côté exhib aime à imaginer que son voisin peut les voir et les entendre lors de leurs ébats. Le bruit de la pluie se fait plus fort, il tourne la tête vers Éloïse. Elle n’a pas perçu sa présence, apparemment trop occupée à gémir. Le drap se lève à chacune de ses ondulations.
Adrien sait qu’elle ne va pas tarder à jouir et il ne compte pas rester à ne rien faire. Il enlève ses vêtements, toujours très silencieux, prend le temps de les plier un sourire goguenard au coin des lèvres. « Elle a le démon », se murmure-t-il a lui même. S’approchant du lit, il hume l’air, ça sens le sexe. Celui de sa chatte préférée. Il défait le bas de la couette et du draps et rampe le long du lit, à la recherche de la grotte des plaisirs. Il écarte les mains de sa douce et fourre le nez dans sa chatte, toute langue dehors. Elle pousse un cris de surprise, vite remplacé par un gémissement de plaisir.
- Bonjour toi… réussis-t-elle a articuler, lui agrippant la tête pour la plaquer plus fort sur son sexe. Le fait qu’il ne puisse pas répondre la rendant plus folle encore.
Cette fois, ses hanches sont tellement écartées qu’elle sait qu’elles craqueront quand elle les refermera, mais il n’en est pas question pour l’heure. Un premier éclaire sort de la lucarne et un grondement se fait entendre. La tête fouineuse introduit une langue dans son vagin, y fait quelques allées retours, vite remplacé par un doigt, puis deux.
- Bah alors madame, on a des envies pressantes à ce que je vois ? Dit Adrien la tête entre les cuisses de sa belle. Il respire son sexe, il adore cette odeur si particulière et si forte dans ces moments là. Pour toute réponse, Éloïse gémit et fait pression sur sa tête, un téton en main. Elle se cabre, il lui attrape les fesses tout en lui aspirant le clitoris. Elle est au bord de la jouissant, le sexe en feu, le bassin ondulant frénétiquement.
- Oooh, je viens ! Je viens !! Hurle-t-elle.
Un grondement plus fort se fait entendre, la pluie s’intensifie et couvre ses plaintes d’amour. Lui la lèche en faisant de grandes lapés, allant à la rencontre de ses mouvements de bassins, ses doigts la pistonnent fort, lui provoquant de longues contractions. Il mort son bouton et lui masse le petit trou pour ce qu’il sait être le final. Elle déplie les jambes et cambre le dos dans un long râle, lui, retire précipitamment le drap pour la voir jouir. Quel inlassable spectacle. Elle toute tordue, offerte, lèvres mordus et sexe brillant sur fond d’orage électrisant. Son pénis le fait désormais franchement souffrir. Il sait qu’il n’en a pas fini avec sa belle, pas encore.
Rien qu’en s’imaginant le sexe de son compagnon, une décharge la lance dans le bas-ventre. Elle arrive très bien à se représenter ses à coups en elle, sa chatte en a envie. Sa main descend entre ses jambes, caresse l’intérieur de ses cuisses très lentement. Puis ses doigts experts entrent en contacte avec son sexe humide. Elle frôle son bouton d’amour puis exerce de légères pressions circulaires dessus. Les cuisses grandes ouvertes, elle se met à onduler légèrement du bassin pour que la caresse des draps l’excite d’avantage. Elle contemple la lucarne tout en respirant lentement, le bassin tendu vers l’avant, témoignant de son envie de se faire prendre.
Un orage va bientôt éclater, pense-t-elle, en analysant le ciel. Elle ferme les yeux, son doigt appuie plus fort sur son clitoris, descend et s’introduit dans le vagin. Elle tend encore d’avantage le bassin. Une décharge la lance de nouveau, sa respiration est lourde. Elle trouve le petit renflement dans son entre et le titille. Un premier gémissement se fait entendre. Elle a chaud, ses joues sont roses, elle se mord les lèvres. Qu’est-ce qu’elle aimerait faire une grosse galoche baveuse à quelqu’un, là, tout de suite.
Dans l’encadrement de la porte Adrien contemple sa femme, ou devrait-il dire sa femelle, se contenter toute seule. Quelle coquine, elle n’a pas pu attendre une demi-heure qu’il rentre des courses. Les yeux fermés, elle n’a pas sentie sa présence. Il décide de modifier la scène et va entre-ouvrir le rideau et la fenêtre. Son côté exhib aime à imaginer que son voisin peut les voir et les entendre lors de leurs ébats. Le bruit de la pluie se fait plus fort, il tourne la tête vers Éloïse. Elle n’a pas perçu sa présence, apparemment trop occupée à gémir. Le drap se lève à chacune de ses ondulations.
Adrien sait qu’elle ne va pas tarder à jouir et il ne compte pas rester à ne rien faire. Il enlève ses vêtements, toujours très silencieux, prend le temps de les plier un sourire goguenard au coin des lèvres. « Elle a le démon », se murmure-t-il a lui même. S’approchant du lit, il hume l’air, ça sens le sexe. Celui de sa chatte préférée. Il défait le bas de la couette et du draps et rampe le long du lit, à la recherche de la grotte des plaisirs. Il écarte les mains de sa douce et fourre le nez dans sa chatte, toute langue dehors. Elle pousse un cris de surprise, vite remplacé par un gémissement de plaisir.
- Bonjour toi… réussis-t-elle a articuler, lui agrippant la tête pour la plaquer plus fort sur son sexe. Le fait qu’il ne puisse pas répondre la rendant plus folle encore.
Cette fois, ses hanches sont tellement écartées qu’elle sait qu’elles craqueront quand elle les refermera, mais il n’en est pas question pour l’heure. Un premier éclaire sort de la lucarne et un grondement se fait entendre. La tête fouineuse introduit une langue dans son vagin, y fait quelques allées retours, vite remplacé par un doigt, puis deux.
- Bah alors madame, on a des envies pressantes à ce que je vois ? Dit Adrien la tête entre les cuisses de sa belle. Il respire son sexe, il adore cette odeur si particulière et si forte dans ces moments là. Pour toute réponse, Éloïse gémit et fait pression sur sa tête, un téton en main. Elle se cabre, il lui attrape les fesses tout en lui aspirant le clitoris. Elle est au bord de la jouissant, le sexe en feu, le bassin ondulant frénétiquement.
- Oooh, je viens ! Je viens !! Hurle-t-elle.
Un grondement plus fort se fait entendre, la pluie s’intensifie et couvre ses plaintes d’amour. Lui la lèche en faisant de grandes lapés, allant à la rencontre de ses mouvements de bassins, ses doigts la pistonnent fort, lui provoquant de longues contractions. Il mort son bouton et lui masse le petit trou pour ce qu’il sait être le final. Elle déplie les jambes et cambre le dos dans un long râle, lui, retire précipitamment le drap pour la voir jouir. Quel inlassable spectacle. Elle toute tordue, offerte, lèvres mordus et sexe brillant sur fond d’orage électrisant. Son pénis le fait désormais franchement souffrir. Il sait qu’il n’en a pas fini avec sa belle, pas encore.
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