Péplum, une autre histoire
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Péplum, une autre histoire
Enfin, plutôt la même histoire mais cette fois-ci Péplum n'est pas une jeune fille
Ca donne une autre ambiance à cette promenade dans l'antiquité...
.
.
Jpj, Rome, noël an II ante JC
Sois donc sage, doux Péplum, ne passe pas tout le temps tes mains sous ma toge !
Pourtant d'ordinaire il n'a aucune retenue, rien, nix
Je dirais même qu'il aime vachement ça, avoir sa tige dans ma main !
Enfin, disons, avoir sa tige dans la main d’un jeune garçon
Enfin, sa tige dans une main aimante et tactiloactive
Sa tige est longue, fine, immédiatement dressée dès que j'y touche
Dès que l'on y touche
C'est une tige érectotactile, qui jaillit dans vos doigts sur votre paume
Comme couleuvre du Rubicon
L'est ainsi, mon gladiateur
Et c'est pour ça qu'on l'aime, que, moi Péplum, je l'aime.
Sent bon le sable chaud, mon gladiateur
Vrai
Vachement bon
Ce soir on est invités, tous deux, à l'enterrement vitae puellae de Brutus
Brutus, son ami d'enfance, son frère de lait, mon honni
Taverne derrière le Sénat, terrasse ensoleillée au couchant
Avec mille lampes à huile déjà allumées et fumantes dans la lumière rouge sombre du soir
Son père adoptif, qui invitait, trônait à la grande table une coupe de vin mulsum à la main.
L'odeur forte de miel enrobait la table comme un nuage, propagée par les esclaves versant le breuvage apéritif, amphore à l'épaule, dans les coupes larges en terre cuite vernissée de chacun des convives, à couler haut en filet fin sans gicler mais dégageant le puissant arôme mielleux tout alentour.
Les garçons portent tous la toge ocre de tissu fin drapée sur leur corps musculeux, fibule, agrafe ou épingle d'or à l'épaule gauche et pin's de bronze sur le pectoral droit.
Des pin's manufacturés, tous, par Artus B., un sculpteur byzantin qui aime les signes et qui, sûr, laissera empreinte.
Moi j'aime cette vêture, la toge.
Surtout j'aime passer les mains par en dessous.
Cette étoffe, non taillée, couvre en vrac le corps des hommes et l'on y peut passer partout la paume le bras les doigts avec bonheur
Par dessous, par cotés, par ici, par là, par ailleurs, partout
Bonheur vous dis-je...
Je ne crois pas qu'un jour modernité puisse mieux faire que toge sur corps de garçon.
Enfin, faut voir... Rien n'est pire que n'avoir pas espoir en meilleur...
Faut croire au progrès, n'est-il pas, O Toi Dardpin, maître d’évolution…
M'enfin, ma main, ouverte, par en dessous, qui remonte et empaume la fesse
Dure la fesse, roc, pierre
Ma main qui appelle alors sa soeur gauche en renfort, sa copine son amie pour fraternellement prendre en main l'autre
En symétrie et tirer, attirer à soi, à moi
Et moi, moi, de chavirer
Partir en arrière, croché aux épaules par ses longs bras, ventre en avant contre le sien jambe pliée qui remonte, faisant rouler sur le dessus glabre de ma cuisse ses deux couilles couvertes de douce chaude toison.
La toge est là, vrac, entre nos deux pubis, faisant écran à sa bite dressée, faisant matelas coussin obstacle.
Ma main droite quitte la fesse, vient entre nos ventres
Ma main sait les draps écarte les volutes de nos toges
Sa tige est là, vigoureuse, agressive, déterminée
La tige saillante porte son gland doux qui pointe mon ventre, juste au dessus de mon buisson.
Sa tige, la mienne font instant combat d’arène, croisent le fer, faisant jaillir étincelles des aciers heurtés.
Il me retourne, j’attendais cela, je n’attendais que cela être retourné
Ma toge il l’a doucement levée jusqu’à ma nuque
Mes bras pliés sont appuyés sur la pierre basse et mon front posé dessus
J’ai senti ses doigts à sa bouche puis à mes fesses
J’ai senti la chaleur du glaviot dans mon cul
Puis le froissement d’air le mouvement, fléchissement de jambes, brusque impératif sursaut et le gland là à l'orée pressé écrasé sur ma rondelle.
Et moi je pousse, pousse et mon front s’enfonce encore plus dans mes bras croisés
Mon être s'est ouvert et a avalé toute la longueur en gluante aspiration.
Péplum, pense donc pas comme ça tout le temps à la toge des hommes...
Portent rien en dessous ?
Tous des cochons ... les hommes !
Normal, c'est fait pour ça, les garçons...
Savent-ils seulement, les garçons, que vingt siècles plus loin, seules les filles porteront encore des jupes sans rien dessous que leur touffe et leur fente accueillante juteuse ouverte ?
Les garçons aujourd'hui, sous leur toge, avec leur bite dressée, ne savent rien du pantalon de demain, du carcan qui les attend, ne se doutent de rien…
Savent pas les garçons l'avenir de l'humanité et ce bouleversement.
Savent pas les garçons que ce sera grand changement, très grand.
Régression dira maître Dardpin, chantre d’évolution.
Mais voyons, Péplum, cesse donc de passer tout le temps tes mains sous ma toge !
Qu'il me dit, le salaud...
Le con...
Profite donc !
Tant qu'il est encore temps.
Ca donne une autre ambiance à cette promenade dans l'antiquité...
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Jpj, Rome, noël an II ante JC
Sois donc sage, doux Péplum, ne passe pas tout le temps tes mains sous ma toge !
Pourtant d'ordinaire il n'a aucune retenue, rien, nix
Je dirais même qu'il aime vachement ça, avoir sa tige dans ma main !
Enfin, disons, avoir sa tige dans la main d’un jeune garçon
Enfin, sa tige dans une main aimante et tactiloactive
Sa tige est longue, fine, immédiatement dressée dès que j'y touche
Dès que l'on y touche
C'est une tige érectotactile, qui jaillit dans vos doigts sur votre paume
Comme couleuvre du Rubicon
L'est ainsi, mon gladiateur
Et c'est pour ça qu'on l'aime, que, moi Péplum, je l'aime.
Sent bon le sable chaud, mon gladiateur
Vrai
Vachement bon
Ce soir on est invités, tous deux, à l'enterrement vitae puellae de Brutus
Brutus, son ami d'enfance, son frère de lait, mon honni
Taverne derrière le Sénat, terrasse ensoleillée au couchant
Avec mille lampes à huile déjà allumées et fumantes dans la lumière rouge sombre du soir
Son père adoptif, qui invitait, trônait à la grande table une coupe de vin mulsum à la main.
L'odeur forte de miel enrobait la table comme un nuage, propagée par les esclaves versant le breuvage apéritif, amphore à l'épaule, dans les coupes larges en terre cuite vernissée de chacun des convives, à couler haut en filet fin sans gicler mais dégageant le puissant arôme mielleux tout alentour.
Les garçons portent tous la toge ocre de tissu fin drapée sur leur corps musculeux, fibule, agrafe ou épingle d'or à l'épaule gauche et pin's de bronze sur le pectoral droit.
Des pin's manufacturés, tous, par Artus B., un sculpteur byzantin qui aime les signes et qui, sûr, laissera empreinte.
Moi j'aime cette vêture, la toge.
Surtout j'aime passer les mains par en dessous.
Cette étoffe, non taillée, couvre en vrac le corps des hommes et l'on y peut passer partout la paume le bras les doigts avec bonheur
Par dessous, par cotés, par ici, par là, par ailleurs, partout
Bonheur vous dis-je...
Je ne crois pas qu'un jour modernité puisse mieux faire que toge sur corps de garçon.
Enfin, faut voir... Rien n'est pire que n'avoir pas espoir en meilleur...
Faut croire au progrès, n'est-il pas, O Toi Dardpin, maître d’évolution…
M'enfin, ma main, ouverte, par en dessous, qui remonte et empaume la fesse
Dure la fesse, roc, pierre
Ma main qui appelle alors sa soeur gauche en renfort, sa copine son amie pour fraternellement prendre en main l'autre
En symétrie et tirer, attirer à soi, à moi
Et moi, moi, de chavirer
Partir en arrière, croché aux épaules par ses longs bras, ventre en avant contre le sien jambe pliée qui remonte, faisant rouler sur le dessus glabre de ma cuisse ses deux couilles couvertes de douce chaude toison.
La toge est là, vrac, entre nos deux pubis, faisant écran à sa bite dressée, faisant matelas coussin obstacle.
Ma main droite quitte la fesse, vient entre nos ventres
Ma main sait les draps écarte les volutes de nos toges
Sa tige est là, vigoureuse, agressive, déterminée
La tige saillante porte son gland doux qui pointe mon ventre, juste au dessus de mon buisson.
Sa tige, la mienne font instant combat d’arène, croisent le fer, faisant jaillir étincelles des aciers heurtés.
Il me retourne, j’attendais cela, je n’attendais que cela être retourné
Ma toge il l’a doucement levée jusqu’à ma nuque
Mes bras pliés sont appuyés sur la pierre basse et mon front posé dessus
J’ai senti ses doigts à sa bouche puis à mes fesses
J’ai senti la chaleur du glaviot dans mon cul
Puis le froissement d’air le mouvement, fléchissement de jambes, brusque impératif sursaut et le gland là à l'orée pressé écrasé sur ma rondelle.
Et moi je pousse, pousse et mon front s’enfonce encore plus dans mes bras croisés
Mon être s'est ouvert et a avalé toute la longueur en gluante aspiration.
Péplum, pense donc pas comme ça tout le temps à la toge des hommes...
Portent rien en dessous ?
Tous des cochons ... les hommes !
Normal, c'est fait pour ça, les garçons...
Savent-ils seulement, les garçons, que vingt siècles plus loin, seules les filles porteront encore des jupes sans rien dessous que leur touffe et leur fente accueillante juteuse ouverte ?
Les garçons aujourd'hui, sous leur toge, avec leur bite dressée, ne savent rien du pantalon de demain, du carcan qui les attend, ne se doutent de rien…
Savent pas les garçons l'avenir de l'humanité et ce bouleversement.
Savent pas les garçons que ce sera grand changement, très grand.
Régression dira maître Dardpin, chantre d’évolution.
Mais voyons, Péplum, cesse donc de passer tout le temps tes mains sous ma toge !
Qu'il me dit, le salaud...
Le con...
Profite donc !
Tant qu'il est encore temps.
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