Perdre ma virginité
Récit érotique écrit par Prince Fleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Perdre ma virginité
À toi qui me lis…
Voilà longtemps que je recherche l’homme qui me permettra d’assouvir mon fantasme : être possédé par un homme qui me prend avec respect mais comme sa chose.
Je suis a priori hétéro, mais j’ai toujours particulièrement apprécié les femmes assez audacieuses pour flatter mon petit trou avec leur majeur. Quel plaisir que d’être rempli en les remplissant. D’être fouillé en les fouillant. Sentir la contraction de mon anus sur leur doigt lors de l’éjaculation. Puis ce soulagement lorsque le doigt ressort lentement.
Mais la modestie d’un majeur m’a conduit à solliciter mon anus avec d’autres moyens du plus simple au plus satisfaisant. J’ai bien sûr profité des godes de ces dames. Les ustensiles de ménage type manche à balais occupent également une place de choix pour leur longueur. Mais j’apprécie particulièrement le manche pioche. Il me permet de bien me dilater la rondelle et de me fouiller profondément. Bien sûr, il est réservé aux périodes d’excitation intense pour faciliter une intrusion sans douleur.
Mais je reste finalement frustré car il me faut être actif pour atteindre le plaisir. Il me faut remuer l’ustensile ou bien remuer mes petites fesses. C’est fatigant, et plaisir rime plus avec paresse qu’avec effort. Et puis, c’est artificiel faute d’une relation avec l’autre. D’où mon appel à l’aide.
Mon fantasme profond est de rencontrer un homme. Je pourrais ainsi rester totalement passif alors qu’il s’occupe entièrement de moi. Qu’il me prenne les hanches entre ses mains. Qu’il me pénètre avec douceur. Puis un peu plus de fermeté. Qu’il aille et vienne entre mes reins. Que je sente ses bourses cogner contre mes fesses et son sexe dans mon antre. Et enfin sentir son plaisir comme aboutissement de ses efforts. Son plaisir qui sera aussi ma récompense, mon aboutissement à moi, mon signe de soumission.
Je m’imagine me lier sur Internet. Peut-être avec toi qui me lis ! De premiers échanges sur qui nous sommes vraiment. Sur ce que nous recherchons. Sur ton expérience dans le domaine. Une description de tes aventures qui me mettrait l’eau à la bouche. Petit à petit, tu saurais me rapprocher de toi. Rompre mes dernières résistances afin de franchir ce premier pas qui est de reconnaître au fond de moi le désir d’être possédé.
Finalement, tu finis par me convaincre qu’il est temps et opportun de passer à l’acte. Tu m’invites chez toi et vient le grand jour où je me présente à ton domicile. Avant de sonner, mon cœur bat la chamade devant ta porte. Malgré tous nos échanges, comment es-tu ? Es-tu grand ou petit ? Beau ou quelconque ? Jeune ou d’âge mûr ? Mais finalement, peu importe. Ce qui compte c’est ton expérience, ton indulgence pour un novice et puis par-dessus tout, la vigueur de ton membre. J’espère alors que sur ce point je n’ai pas été abusé.
Je rentre un peu flageolant car j’avance dans un monde incertain. Tu m’offres un verre. Je l’avale rapidement et cela m’apporte un peu de sérénité. Nous discutons de choses et d’autres. De ton appartement, de sa décoration qui reflète ta personnalité. Mais est-ce vraiment nécessaire ? Cette discussion est finalement inutile. Nous nous connaissons déjà, et nous partageons le même objectif bien établi : que tu me possèdes et que tu plonges au plus profond de mon corps.
Maladroitement, je me hasarde. Je pose ma main sur ton entrejambe. Enfin, je sens ton sexe. Il commence à vivre dans ma main. Je le sens battre et gonfler. Je te caresse la cuisse d’une main et j’insiste sur ton sexe de l’autre. Les choses sont parties. Devenant plus entreprenant, je déboutonne lentement ton pantalon et je te l’enlève. Sûr de toi, tu n’as rien mis en dessous. J’apprécie cette attention et cela m’excite.
Je prends ton membre raidi dans ma main. C’est la première fois que je tiens un autre sexe que le mien. J’apprécie. Je le caresse délicatement avec mes doigts. J’opère quelques mouvements de va-et-vient. Je sais comment flatter le mien et ton regard satisfait montre que j’opère à ta satisfaction avec le tien.
Plus hardi, je frotte mes lèvres sur ton membre. C’est une réelle première. Je pose quelques baisers. Je flatte avec ma langue ce bâton de plaisir qui va bientôt me pénétrer. J’apprécie son contact et sa chaleur sur mes lèvres. Je m’attarde pour mon plaisir et pour le tien.
Par prudence pour cette première fois, j’habille délicatement ton membre d’un petit fourreau de latex. Alors je me permets de l’enfourner tout entier entre mes lèvres. Avec mon inexpérience, je procède comme je pense devoir faire. Je serre fermement ton membre dans ma bouche et je réalise d’amples mouvements de haut en bas. Tu as l’air d’apprécier. Est-ce sincère ou bien de l’indulgence ?
Ma bouche rassasiée de ton sexe, je me lève. Je retire mon pantalon, ma chemise… et me voilà complètement nu devant toi. C’est la première fois que je m’expose ainsi au regard d’un autre homme. Incertain de mes atours, je te demande si mon petit cul te plaît. Ton regard concupiscent vaut réponse. Tu me demandes de tourner, de me déplacer, comme pour mieux profiter de la marchandise. Enfin, tu me prends par la main et tu m’entraînes sur ton lit pour me caresser un peu. Enfin, tu t’occupes de moi.
Je te demande si tu veux me prendre par-devant ou par derrière. C’est la deuxième option que tu choisis. Vraiment, mon petit cul te fait de l’effet. Je m’allonge sur le ventre. Je glisse ton oreiller sous moi pour mieux faire ressortir mes fesses. J’écarte largement, et sans aucune pudeur, mes cuisses. Toute résistance a disparu depuis longtemps. Je saisis mes deux lobes à pleines paumes pour mieux te présenter ma petite fleur que je t’offre avec le sacrifice de ma virginité.
Je sens le lubrifiant que tu y répands avec application, comme une fleur que l’on arrose avec amour. Puis, tu me couvres de tout ton long. Je sens ton souffle de désir sur ma nuque. Après des secondes qui me paraissent infinies, enfin, tu saisis ton membre excité et tu le pointes sur ma petite fleur vierge. Tes premières poussées me sont difficiles à supporter, mais tu finis par t’enfoncer dans mes entrailles.
Voilà c’est fait : je suis possédé par un homme qui s’occupe activement de moi. Je sens tes mains puissantes qui me tiennent les hanches. Je sens ton va-et-vient entre mes reins. Je sens tes bourses cogner contre mes fesses et ton membre fouiller violemment mon antre. Je suis à toi tout abandonné et peu importe si je jouis au bout du compte car mon fantasme est accompli.
J’ai enfin trouvé l’homme qui me permet d’assouvir mon fantasme : être possédé par un homme qui me prend avec respect mais comme sa chose.
Ne serait-ce pas toi qui me lis qui saurait jouer ce rôle et me libérer ?
Voilà longtemps que je recherche l’homme qui me permettra d’assouvir mon fantasme : être possédé par un homme qui me prend avec respect mais comme sa chose.
Je suis a priori hétéro, mais j’ai toujours particulièrement apprécié les femmes assez audacieuses pour flatter mon petit trou avec leur majeur. Quel plaisir que d’être rempli en les remplissant. D’être fouillé en les fouillant. Sentir la contraction de mon anus sur leur doigt lors de l’éjaculation. Puis ce soulagement lorsque le doigt ressort lentement.
Mais la modestie d’un majeur m’a conduit à solliciter mon anus avec d’autres moyens du plus simple au plus satisfaisant. J’ai bien sûr profité des godes de ces dames. Les ustensiles de ménage type manche à balais occupent également une place de choix pour leur longueur. Mais j’apprécie particulièrement le manche pioche. Il me permet de bien me dilater la rondelle et de me fouiller profondément. Bien sûr, il est réservé aux périodes d’excitation intense pour faciliter une intrusion sans douleur.
Mais je reste finalement frustré car il me faut être actif pour atteindre le plaisir. Il me faut remuer l’ustensile ou bien remuer mes petites fesses. C’est fatigant, et plaisir rime plus avec paresse qu’avec effort. Et puis, c’est artificiel faute d’une relation avec l’autre. D’où mon appel à l’aide.
Mon fantasme profond est de rencontrer un homme. Je pourrais ainsi rester totalement passif alors qu’il s’occupe entièrement de moi. Qu’il me prenne les hanches entre ses mains. Qu’il me pénètre avec douceur. Puis un peu plus de fermeté. Qu’il aille et vienne entre mes reins. Que je sente ses bourses cogner contre mes fesses et son sexe dans mon antre. Et enfin sentir son plaisir comme aboutissement de ses efforts. Son plaisir qui sera aussi ma récompense, mon aboutissement à moi, mon signe de soumission.
Je m’imagine me lier sur Internet. Peut-être avec toi qui me lis ! De premiers échanges sur qui nous sommes vraiment. Sur ce que nous recherchons. Sur ton expérience dans le domaine. Une description de tes aventures qui me mettrait l’eau à la bouche. Petit à petit, tu saurais me rapprocher de toi. Rompre mes dernières résistances afin de franchir ce premier pas qui est de reconnaître au fond de moi le désir d’être possédé.
Finalement, tu finis par me convaincre qu’il est temps et opportun de passer à l’acte. Tu m’invites chez toi et vient le grand jour où je me présente à ton domicile. Avant de sonner, mon cœur bat la chamade devant ta porte. Malgré tous nos échanges, comment es-tu ? Es-tu grand ou petit ? Beau ou quelconque ? Jeune ou d’âge mûr ? Mais finalement, peu importe. Ce qui compte c’est ton expérience, ton indulgence pour un novice et puis par-dessus tout, la vigueur de ton membre. J’espère alors que sur ce point je n’ai pas été abusé.
Je rentre un peu flageolant car j’avance dans un monde incertain. Tu m’offres un verre. Je l’avale rapidement et cela m’apporte un peu de sérénité. Nous discutons de choses et d’autres. De ton appartement, de sa décoration qui reflète ta personnalité. Mais est-ce vraiment nécessaire ? Cette discussion est finalement inutile. Nous nous connaissons déjà, et nous partageons le même objectif bien établi : que tu me possèdes et que tu plonges au plus profond de mon corps.
Maladroitement, je me hasarde. Je pose ma main sur ton entrejambe. Enfin, je sens ton sexe. Il commence à vivre dans ma main. Je le sens battre et gonfler. Je te caresse la cuisse d’une main et j’insiste sur ton sexe de l’autre. Les choses sont parties. Devenant plus entreprenant, je déboutonne lentement ton pantalon et je te l’enlève. Sûr de toi, tu n’as rien mis en dessous. J’apprécie cette attention et cela m’excite.
Je prends ton membre raidi dans ma main. C’est la première fois que je tiens un autre sexe que le mien. J’apprécie. Je le caresse délicatement avec mes doigts. J’opère quelques mouvements de va-et-vient. Je sais comment flatter le mien et ton regard satisfait montre que j’opère à ta satisfaction avec le tien.
Plus hardi, je frotte mes lèvres sur ton membre. C’est une réelle première. Je pose quelques baisers. Je flatte avec ma langue ce bâton de plaisir qui va bientôt me pénétrer. J’apprécie son contact et sa chaleur sur mes lèvres. Je m’attarde pour mon plaisir et pour le tien.
Par prudence pour cette première fois, j’habille délicatement ton membre d’un petit fourreau de latex. Alors je me permets de l’enfourner tout entier entre mes lèvres. Avec mon inexpérience, je procède comme je pense devoir faire. Je serre fermement ton membre dans ma bouche et je réalise d’amples mouvements de haut en bas. Tu as l’air d’apprécier. Est-ce sincère ou bien de l’indulgence ?
Ma bouche rassasiée de ton sexe, je me lève. Je retire mon pantalon, ma chemise… et me voilà complètement nu devant toi. C’est la première fois que je m’expose ainsi au regard d’un autre homme. Incertain de mes atours, je te demande si mon petit cul te plaît. Ton regard concupiscent vaut réponse. Tu me demandes de tourner, de me déplacer, comme pour mieux profiter de la marchandise. Enfin, tu me prends par la main et tu m’entraînes sur ton lit pour me caresser un peu. Enfin, tu t’occupes de moi.
Je te demande si tu veux me prendre par-devant ou par derrière. C’est la deuxième option que tu choisis. Vraiment, mon petit cul te fait de l’effet. Je m’allonge sur le ventre. Je glisse ton oreiller sous moi pour mieux faire ressortir mes fesses. J’écarte largement, et sans aucune pudeur, mes cuisses. Toute résistance a disparu depuis longtemps. Je saisis mes deux lobes à pleines paumes pour mieux te présenter ma petite fleur que je t’offre avec le sacrifice de ma virginité.
Je sens le lubrifiant que tu y répands avec application, comme une fleur que l’on arrose avec amour. Puis, tu me couvres de tout ton long. Je sens ton souffle de désir sur ma nuque. Après des secondes qui me paraissent infinies, enfin, tu saisis ton membre excité et tu le pointes sur ma petite fleur vierge. Tes premières poussées me sont difficiles à supporter, mais tu finis par t’enfoncer dans mes entrailles.
Voilà c’est fait : je suis possédé par un homme qui s’occupe activement de moi. Je sens tes mains puissantes qui me tiennent les hanches. Je sens ton va-et-vient entre mes reins. Je sens tes bourses cogner contre mes fesses et ton membre fouiller violemment mon antre. Je suis à toi tout abandonné et peu importe si je jouis au bout du compte car mon fantasme est accompli.
J’ai enfin trouvé l’homme qui me permet d’assouvir mon fantasme : être possédé par un homme qui me prend avec respect mais comme sa chose.
Ne serait-ce pas toi qui me lis qui saurait jouer ce rôle et me libérer ?
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