PERDRE SA VIRGINITÉ LE PREMIER SOIR
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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PERDRE SA VIRGINITÉ LE PREMIER SOIR
J'avais le béguin pour ce gars depuis un moment. Je venais d'avoir 18 ans et j’étais en première année à l'université.
Il terminait son parcours universitaire et allait commencer une carrière dans la vie active.
Mais je le connaissais depuis longtemps, depuis le lycée, car on venait du même patelin.
Il n'avait jamais vraiment prêté attention à moi. Au lycée, j'étais encore une gamine, quand il était déjà un jeune homme.
C’est à l'université et il m'a remarquée pour la première fois.
Et encore, il m’a remarqué uniquement parce qu’on lui a dit que nous venions tous les deux du même lycée.
Il était déjà une sorte de célébrité auprès des étudiantes, comme il l’avait été auparavant auprès des lycéennes.
Moi, à l’université, les garçons commençaient à peine à remarquer que j’existais.
Une fête avait été organisée pour célébrer un truc, je ne sais plus trop quoi, je m’en fichais d’ailleurs, je traînais un peu dans toutes les fêtes pour me faire de nouveaux amis. C’est une copine à lui qui nous a présentés, puis elle s’est enfuie.
J’ai rapidement compris pourquoi. Il y avait de la pizza à manger et des bières pour se désaltérer.
Mais il ne s’était pas contenté de la bière. Son élocution était pâteuse, et son regard glauque.
Mais cela ne me dérangeait pas. Toute opportunité d'être près de lui était une occasion dont je devais profiter.
Nous avons parlé et traîné. Nous avons dansé, un peu, mais il se cramponnait à moi sans vraiment danser.
C'était une situation assez bizarre. J’étais contente d’être avec lui, mais il commençait à m’agacer.
Je lui ai intimé l’ordre d’arrêter avec la bière et de se concentrer sur la pizza. Il a été surpris par mon ton autoritaire et il m’a obéi. J’ai été contente mais surprise qu’il m’obéisse. Et fière. Malheureusement, c’était un peu trop tard.
Je l’ai accompagné aux toilettes et je lui ai soutenu la tête pendant que … Enfin ! Je l'ai aidé dans la salle de bain.
Je lui ai bassiné le visage, il s’est rincé la bouche. Lorsqu’il a repris ses esprits, je l’ai accompagné dehors pour qu’il prenne un peu l’air. Il voulait une bière, je lui ai apporté une part de pizza et de l’eau. Il n’a pas fait de commentaire.
Quand il a finalement été assez dégrisé, j'ai remarqué qu'il devenait légèrement affectueux envers moi.
Ses mains délicates me procuraient beaucoup d’émotions, j’étais aux anges, mais je ne voulais pas me donner en spectacle, au milieu de la foule de ses amis.
Il commençait à se sentir mieux, j'ai accepté de l’accompagner jusqu'à sa voiture.
Il tenait ma petite main dans sa grande main chaude. Il m'a ouvert la porte et m'a installée sur la banquette arrière.
Il a fait le tour de l'autre côté et s’est installé à côté de moi.
Nous étions tous les deux légèrement ivres de la fête, et j’étais de très bonne humeur. Bien disposée.
Il m’a enlacée, a posé sa tête sur mon épaule, et … s’est endormi !
J'étais un peu confuse, pourquoi étions-nous là, enlacés tous les deux sur la banquette arrière, comme deux amants ?
Quand il s’est réveillé, au bout d’un long moment, j’étais déjà bien ankylosée et pas très contente.
Devant ma désapprobation, il a tenu à se faire pardonner avec un bon massage, et un chaste bisou.
Ses bonnes intentions n’ont pas duré longtemps. Son massage est devenu beaucoup plus tendre, caressant.
Il a commencé à glisser ses mains sur ma jambe, sous ma jupe, et même à tâtons sur mes fesses.
J'ai vite compris ce qu'il préparait, quand il a commencé à s'étendre sur moi, pour me palper sur tout le corps.
Comme je ne lui ai pas demandé de s'arrêter, je pense qu'il l'a pris comme une invitation à continuer.
Il a ôté sa bouche de la mienne pour me demander si j’étais sûre de vouloir continuer.
Je n’étais sûre de rien, sauf que je ne voulais pas qu’il s’arrête. Pas maintenant.
Il s’est soulevé pour ôter sa chemise, j’en ai profité pour ouvrir mon chemisier, et lui laisser libre accès à mes seins.
Il massait mes seins en mordant ma bouche, et il laissa courir ses doigts sur ma jambe, sous ma jupe, sur ma culotte et finit par poser le bout de ses doigts juste là, sur mon clitoris.
J'ai commencé à me tortiller pour enlever mon chemisier, et j'ai déboutonné et dézippé son jean.
Il a arrêté de me tripoter pour enlever complètement son jeans et son boxer.
Il a tire-bouchonné ma jupe autour de ma taille, et il a baissé ma culotte. Je me suis à demie allongée contre le dossier et la portière, et j’ai écarté mes cuisses pour laisser ma chatte complètement exposée à ses manœuvres.
Il a commencé par me lécher en imprimant un mouvement circulaire autour de mon clitoris.
J'étais trempée en un rien de temps. Encore une fois, il m’a demandé si j’étais sûre de vouloir continuer.
Je lui ai avoué que j’étais amoureuse de lui depuis très longtemps. Une chose qu’il ne faut jamais dire lors d’une première rencontre amoureuse ! Il m’a confié qu’il était triste de ne pas l'avoir réalisé plus tôt.
Il m'a allongée complètement et il s’est couché sur moi. Je me suis cramponnée à lui en lui tendant mes lèvres.
Il a pris sa bite bien raide dans sa main, il l'a pressée contre ma chatte et il a doucement commencé à s'enfoncer.
Cela ne faisait pas vraiment mal mais ce n’était pas très agréable. Au début, ça piquait un peu.
Puis, une sensation de gêne. Son poids sur moi, son souffle dans ma bouche, bonjour le romantisme !
Puis ses mouvements se sont amplifiés. Je me sentais de mieux en mieux. Un doute s’est emparé de lui :
"Es-tu vierge?" Il m'a demandé.
"J'étais ..." répondis-je.
Il avait l'air légèrement surpris :
"Je suis content d’être ton premier."
Il me baisait doucement, rentrant bien à fond, s’arrêtant un court instant, ressortant lentement presque entièrement.
Mais bientôt, son rythme a augmenté. Il me baisait maintenant comme un animal sauvage.
J'ai adoré ces sensations que je découvrais. Je ressentais un émoi, un trouble qui m’envahissait.
Mais avant que ne s’achève le processus, il s’est libéré au fond de ma vulve non protégée.
Mais je ne lui en voulais pas, parce que c'était l'un des meilleurs moments de ma jeune vie sentimentale.
Je lui ai demandé de me donner les clés de l’auto pour que je puisse nous reconduire.
J’avais besoin de faire ma toilette, et j’avais peur qu’il soit de nouveau malade.
Je l'ai ramené chez lui, et nous avons passé notre première nuit ensemble.
Nous avons dormi tous les deux dans le même lit, et au réveil il a été très tendre. Très passionné aussi …
Nous avons passé la matinée au lit … C’était chaud !
Une semaine plus tard, il m'a demandé si je voulais être sa petite amie.
Toutes mes copines ont découvert que la jeune fille prude avait écarté les cuisses dès le premier soir.
Notre premier enfant est arrivé neuf mois plus tard, et nous nous sommes mariés quelques mois plus tard.
Nous avons eu deux autres enfants, et nous avons toujours une vie sexuelle incroyable.
Mais il faut prévenir les jeunes filles de ne jamais coucher le premier soir !
Il terminait son parcours universitaire et allait commencer une carrière dans la vie active.
Mais je le connaissais depuis longtemps, depuis le lycée, car on venait du même patelin.
Il n'avait jamais vraiment prêté attention à moi. Au lycée, j'étais encore une gamine, quand il était déjà un jeune homme.
C’est à l'université et il m'a remarquée pour la première fois.
Et encore, il m’a remarqué uniquement parce qu’on lui a dit que nous venions tous les deux du même lycée.
Il était déjà une sorte de célébrité auprès des étudiantes, comme il l’avait été auparavant auprès des lycéennes.
Moi, à l’université, les garçons commençaient à peine à remarquer que j’existais.
Une fête avait été organisée pour célébrer un truc, je ne sais plus trop quoi, je m’en fichais d’ailleurs, je traînais un peu dans toutes les fêtes pour me faire de nouveaux amis. C’est une copine à lui qui nous a présentés, puis elle s’est enfuie.
J’ai rapidement compris pourquoi. Il y avait de la pizza à manger et des bières pour se désaltérer.
Mais il ne s’était pas contenté de la bière. Son élocution était pâteuse, et son regard glauque.
Mais cela ne me dérangeait pas. Toute opportunité d'être près de lui était une occasion dont je devais profiter.
Nous avons parlé et traîné. Nous avons dansé, un peu, mais il se cramponnait à moi sans vraiment danser.
C'était une situation assez bizarre. J’étais contente d’être avec lui, mais il commençait à m’agacer.
Je lui ai intimé l’ordre d’arrêter avec la bière et de se concentrer sur la pizza. Il a été surpris par mon ton autoritaire et il m’a obéi. J’ai été contente mais surprise qu’il m’obéisse. Et fière. Malheureusement, c’était un peu trop tard.
Je l’ai accompagné aux toilettes et je lui ai soutenu la tête pendant que … Enfin ! Je l'ai aidé dans la salle de bain.
Je lui ai bassiné le visage, il s’est rincé la bouche. Lorsqu’il a repris ses esprits, je l’ai accompagné dehors pour qu’il prenne un peu l’air. Il voulait une bière, je lui ai apporté une part de pizza et de l’eau. Il n’a pas fait de commentaire.
Quand il a finalement été assez dégrisé, j'ai remarqué qu'il devenait légèrement affectueux envers moi.
Ses mains délicates me procuraient beaucoup d’émotions, j’étais aux anges, mais je ne voulais pas me donner en spectacle, au milieu de la foule de ses amis.
Il commençait à se sentir mieux, j'ai accepté de l’accompagner jusqu'à sa voiture.
Il tenait ma petite main dans sa grande main chaude. Il m'a ouvert la porte et m'a installée sur la banquette arrière.
Il a fait le tour de l'autre côté et s’est installé à côté de moi.
Nous étions tous les deux légèrement ivres de la fête, et j’étais de très bonne humeur. Bien disposée.
Il m’a enlacée, a posé sa tête sur mon épaule, et … s’est endormi !
J'étais un peu confuse, pourquoi étions-nous là, enlacés tous les deux sur la banquette arrière, comme deux amants ?
Quand il s’est réveillé, au bout d’un long moment, j’étais déjà bien ankylosée et pas très contente.
Devant ma désapprobation, il a tenu à se faire pardonner avec un bon massage, et un chaste bisou.
Ses bonnes intentions n’ont pas duré longtemps. Son massage est devenu beaucoup plus tendre, caressant.
Il a commencé à glisser ses mains sur ma jambe, sous ma jupe, et même à tâtons sur mes fesses.
J'ai vite compris ce qu'il préparait, quand il a commencé à s'étendre sur moi, pour me palper sur tout le corps.
Comme je ne lui ai pas demandé de s'arrêter, je pense qu'il l'a pris comme une invitation à continuer.
Il a ôté sa bouche de la mienne pour me demander si j’étais sûre de vouloir continuer.
Je n’étais sûre de rien, sauf que je ne voulais pas qu’il s’arrête. Pas maintenant.
Il s’est soulevé pour ôter sa chemise, j’en ai profité pour ouvrir mon chemisier, et lui laisser libre accès à mes seins.
Il massait mes seins en mordant ma bouche, et il laissa courir ses doigts sur ma jambe, sous ma jupe, sur ma culotte et finit par poser le bout de ses doigts juste là, sur mon clitoris.
J'ai commencé à me tortiller pour enlever mon chemisier, et j'ai déboutonné et dézippé son jean.
Il a arrêté de me tripoter pour enlever complètement son jeans et son boxer.
Il a tire-bouchonné ma jupe autour de ma taille, et il a baissé ma culotte. Je me suis à demie allongée contre le dossier et la portière, et j’ai écarté mes cuisses pour laisser ma chatte complètement exposée à ses manœuvres.
Il a commencé par me lécher en imprimant un mouvement circulaire autour de mon clitoris.
J'étais trempée en un rien de temps. Encore une fois, il m’a demandé si j’étais sûre de vouloir continuer.
Je lui ai avoué que j’étais amoureuse de lui depuis très longtemps. Une chose qu’il ne faut jamais dire lors d’une première rencontre amoureuse ! Il m’a confié qu’il était triste de ne pas l'avoir réalisé plus tôt.
Il m'a allongée complètement et il s’est couché sur moi. Je me suis cramponnée à lui en lui tendant mes lèvres.
Il a pris sa bite bien raide dans sa main, il l'a pressée contre ma chatte et il a doucement commencé à s'enfoncer.
Cela ne faisait pas vraiment mal mais ce n’était pas très agréable. Au début, ça piquait un peu.
Puis, une sensation de gêne. Son poids sur moi, son souffle dans ma bouche, bonjour le romantisme !
Puis ses mouvements se sont amplifiés. Je me sentais de mieux en mieux. Un doute s’est emparé de lui :
"Es-tu vierge?" Il m'a demandé.
"J'étais ..." répondis-je.
Il avait l'air légèrement surpris :
"Je suis content d’être ton premier."
Il me baisait doucement, rentrant bien à fond, s’arrêtant un court instant, ressortant lentement presque entièrement.
Mais bientôt, son rythme a augmenté. Il me baisait maintenant comme un animal sauvage.
J'ai adoré ces sensations que je découvrais. Je ressentais un émoi, un trouble qui m’envahissait.
Mais avant que ne s’achève le processus, il s’est libéré au fond de ma vulve non protégée.
Mais je ne lui en voulais pas, parce que c'était l'un des meilleurs moments de ma jeune vie sentimentale.
Je lui ai demandé de me donner les clés de l’auto pour que je puisse nous reconduire.
J’avais besoin de faire ma toilette, et j’avais peur qu’il soit de nouveau malade.
Je l'ai ramené chez lui, et nous avons passé notre première nuit ensemble.
Nous avons dormi tous les deux dans le même lit, et au réveil il a été très tendre. Très passionné aussi …
Nous avons passé la matinée au lit … C’était chaud !
Une semaine plus tard, il m'a demandé si je voulais être sa petite amie.
Toutes mes copines ont découvert que la jeune fille prude avait écarté les cuisses dès le premier soir.
Notre premier enfant est arrivé neuf mois plus tard, et nous nous sommes mariés quelques mois plus tard.
Nous avons eu deux autres enfants, et nous avons toujours une vie sexuelle incroyable.
Mais il faut prévenir les jeunes filles de ne jamais coucher le premier soir !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire . Surtout la fin.