Perdu en ville

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
  • • 678 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
  • • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 605 051 visites.
Récit libertin : Perdu en ville Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 429 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Perdu en ville
Perdu en ville

Perdu, j'étais perdu ! Ça devait finir par arriver, c'était inévitable. Bastien m'avait demandé si j'arriverais à m'en sortir tout seul. Il aurait pu passer me chercher à la gare mais dans ce cas, il fallait que je l'attende pendant au moins une heure là bas. J'avais choisi de ne pas attendre et comme je suis un petit malin, j'avais pris un taxi.

Bein oui, c'est logique tout ça, j'arrive dans une ville inconnue aussi pour ne pas me perdre je prends un taxi … Mais voilà il m'avait laissé là, dans une rue très populaire. Me disant que '' On est rendu mon petit monsieur ! ''. Pourtant là, j'avais l'impression de ne pas être arrivé au bon endroit.

Au moment ou je suis sorti de la gare, je me suis retrouvé dans un quartier moderne, il y avait la gare, classée monument historique, et un ensemble de tours modernes en verre et en béton, classées monuments hystériques … Ça ressemblait à quelque chose, on était dans une ville moderne. Ensuite, le taxi, jusque là tout allait bien.

Mais voilà, là ça ne ressemblait plus à rien. J'avais l'impression de me retrouver dans une banlieue décentrée d'une grande ville d'un pays du tiers monde. Ça ne vous dit rien ! … Genre banlieue parisienne ? C'est plus clair pour vous là ?

Je tournais en rond dans le quartier. Il n'y avait que des maisons basses ou des immeubles pas trop hauts, de nombreuses boutiques à l'ancienne. Les rues étaient larges, les trottoirs encore plus. Des bars, des restaurants rapides … Et pas des trucs américains comme Marc Bonnald … non des trucs bizarres, les noms des plats étaient totalement imprononçables … Enfin bref, j'étais perdu.

Je demandais à un passant, un touriste, il ne connaissait pas.

J'insistais, une autre personne, un couple cette fois-ci. Encore des touristes …
Je trouvais enfin un autochtone enfin c'était une autochtone. J'aurais du avoir un doute en la voyant mais comme vous l'avez deviné, je ne suis pas du coin. Elle avait des chaussures à talon, une jupe très courte, vraiment très courte, un haut qui ne descendait pas très bas et laissait exposé son nombril percé à la vue de tous, un maquillage excessif … Le tout couleur flashi et de mauvais goût. J'aurais du avoir un doute, comme je disais mais là, ce n'était plus un doute quand elle m'a répondu … '' Juste derrière la poubelle dans la ruelle, là. C'est cinquante balles la passe, avec capote et j'embrasse c'est le tarif normal ici chéri !''
– Non merci madame, je recherche juste …– Si ça te tente pas, trésor, tu m'empêches pas de bosser … Dégage.

Je devais avoir l'air con ! J'étais visiblement perdu et c'est sans doute pour ça qu'un homme serviable arrivait à mon secours.

– Vous n'êtes pas du coin j'ai l'impression.

Je faisais non de la tête.

– Et vous êtes perdu j'ai l'impression.

Je faisais oui de la tête et lui montrais le bout de papier ou j'avais noté mon adresse de destination. J'avais l'air con ! Il éclatait de rire,
– Vous avez de la chance de tomber sur moi, c'est pas loin. De l'autre côté de ce patté de maisons. On va traverser en passant par les ruelles … Tu me suis ?

Je lui répondais par un large sourire, j'avais toujours l'air con mais j'étais sauvé. Je le suivais.

Il connaissait bien le quartier le gars, on enfilait une petite rue, il y avait de chaque côté des escaliers extérieurs, même pour ces immeubles de deux étages, le passage était réduit, presque bouché par endroit à cause des poubelles.

Il marchait devant moi, sa voix était douche, grave mais douce, il me demandait d’où je venais, ce que je faisais … Enfin il faisait la discussion !

C'est dans un endroit un peu plus large limité par une poubelle dans un coin, une autre dans l'autre coin. Un sommier en métal d'un côté et une pile de pneus de l'autre. Il y avait aussi un peu partout tout un tas de saloperies diverses. Il se retournait alors sans prévenir, il avait ouvert son pantalon et me montrait une belle grosse bite déjà en érection, et en plus il était circoncis …
– Et ça ! Ça ne te tente pas ça ? C'est autre chose que la pute de tout à l'heure ?

Vous imaginez sans doute que en voyant cela je m'exclamais '' Mon dieu, doux Jésus venez moi en aide ! '' … ?

Et bien pas du tout !

J'ai seulement retenu mon enthousiasme, je me suis retenu de lui sauter dessus, de me la prendre goulûment dans la bouche avant de me la prendre dans le cul, et j'ai joué les indécis. Je ne voudrais pas passer pour une grosse salope … C'est vrai qu'il en avait une belle, bien longue, bien large, bien droite, bien comme il faut. Sans être dans la catégorie géant, il faisait envie.

J'admirais donc sa queue longuement, ce qui lui laissait le temps de réagir. Il posait fermement sa mains sur mon épaule et me disais juste … '' Suce ! ''. Il y a une règle qui nous dit '' Jamais le premier soir ! '', ça tombait bien on était en plein milieu de l'après midi. Je me suis mis à genoux et je l'ai sucé.

N'allez surtout pas vous imaginer que je suis une grosse salope pour autant, d'abord je ne suis pas gros !

Et ensuite, j'aurais voulu vous voir à ma place. Il était superbe, il avait le teint mat, pas plus de vingt cinq ans, un corps mince et élégant. C'était autre chose que la fille un peu plus tôt. Et en plus, lui il avait une belle grosse bite et je me régalais.

Remarquez, peut être que la fille un peu plus tôt en avait une aussi ? Une belle grosse bite je veux dire ! On est au vingt et unième siècle, on n'est plus au moyen âge. Enfin, franchement, j'avais pas envie de vérifier.

J'avais trouvé de quoi m'occuper pendant un moment. Je passais ma langue longuement sur toute la longueur de sa queue. Et je dirais dix huit, dix neuf … Pas plus mais c'est très suffisant pour un garçon comme moi, et puis il faut bien se dire que ce n'était pas prévu cette affaire. On ne va pas faire le difficile.

Surtout qu'elle était belle, elle était bien ferme et je la caressais avec ma main, je la suçais avec ma langue, je me la rentrais dans la bouche avant de la ressortir et de recommencer.

Il me caressait les cheveux, il appréciait le mec, ça j'en suis sûr il appréciait. D'abord il gémissait de plaisir et quand je relevais les yeux, je le voyais il faisait un large sourire satisfait. Il me donnait de petits coup de bassin quand je prenais sa queue dans la bouche. Sa bite entrait alors en force un peu plus profond. J'aime bien mais il faut y aller doucement, il faut y aller progressivement.

Je continuais. Voyant que ça passait, que je laissais faire il continuait. Il avait posé sa main juste derrière ma tête et il devenait un peu plus entreprenant. Il me retenait la tête quand il avançait son bassin, il appuyait sur ma tête de plus en plus fort et finalement sans prévenir il appuyait de toutes ses forces et avançait son bassin bien à fond.

Je sentais sa queue s'écraser au fond de ma gorge, pris par surprise je me contractais. Je sais j'aurais du le voir venir, j'aurais du me douter qu'il me préparait un coup de ce genre mais bon … Ce sont là des choses qui arrivent.

Il me maintenait ainsi quelques dizaines de minutes, je ne pouvais plus respirer et je paniquais un petit peu. J'ai dit minutes ? Je voulais dire secondes, mais ça m'a paru long. Remarquez je ne plein pas. Quand il m'a lâché je me suis dégagé mais je ne suis pas parti bien loin.

J'ai un peu toussé, j'ai craché par terre et j'y suis retourné. Sa queue entrait dans ma gorge sur toute sa longueur, je passais mes mains derrière ses cuisses et je le tirais vers moi, mon nez s'écrasait contre son ventre, je retirais la tête et revenais à la charge.

Si un peu plus tôt j'avais l'air un peu dépassé, à ce moment c'est lui qui était dépassé. Mais il ne manquait pas de ressources, il s'est vite ressaisi. Rapidement il m'avait agrippé la tête avec les deux mains, là c'était du sérieux, il ne se contentait pas de me guider il me retenait, il me tenait avec force. Quand il me balançait un coup de bassin il me tirait la tête ver lui. Mon nez, mon visage s'écrasaient contre son ventre.

Là, c'est moi qui à nouveau était dépassé par les événements. Mais je ne lâchais pas, je parvenait à synchroniser mas respiration et accompagnait son mouvement. Quand il me tirait la tête vers lui je le tirais vers moi. C'était violent, j'en ai pris plein la gueule. Il me limait la bouche, il m'encourageait …
– Vas y, tu aimes ça toi, petite salope …
D'abord je n'aime pas plus qu'on me traite de petite salope que de grosse salope et ça ne m'excitait pas vraiment, j'aurais bien râlé mais j'avais la bouche pleine … Je me disais alors que je râlerais plus tard …
– Oui chéri, continue moi aussi j'aime bien.

En plus il m'appelle chéri, comme si on était en couple. Il faut rester calme, on n'est pas en couple. Je veux bien qu'après ça on se tutoies mais il ne faut pas exagérer. Ne brûlons pas les étapes !

Après il continuait à parler mais avec le bruit que faisait sa queue qui s'écrasait dans ma gorge je n'entendais plus ce qu'il disait. C'était pas plus mal.

Il continuait, je commençais à fatiguer, c'est pas toujours facile cette affaire, il faut bien garder la bouche ouverte, bien ouverte. Le mec qu'on suce ne doit en aucun cas sentir les dents, quand on suce, on suce bien ! C'est une question de principe et moi, j'ai une réputation à défendre.

Il finissait par se retirer totalement. Il voulait revenir, je le bloquais …
– C'est bon, c'est bon, c'est bon. Là je peux plus ! Bafouillais-je.

Il ne se calmais pas, m'attrapait, me relevais, me retournais et baissait mon pantalon. Il commençait à s'énerver. J'ai à peine eu le temps de réagir ! Il me poussait en avant, je m'appuyais sur la pile de pneus. Je ne pouvais pas écarter les jambes, mon pantalon sur mes chevilles m'en empêchait.

Ça non plus, ça ne l'arrêtait pas. Il m'a enfoncé sa queue dans le cul, avec force. J'ai gueulé. J'ai pas dis que j'avais essayé de me dégager mais j'ai gueulé. Ça n'a pas vraiment résisté mais je l'ai senti passer. Surtout qu'il a poussé fort, en un mouvement, en une fraction de seconde son ventre s'écrasait contre mes fesses. Il se retirait et recommençait, une fois encore, et encore …
Je me cramponnais comme je pouvait à ce que j'avais sous le main. Il me remuait dans tous les sens. C'était bon, c'était terriblement bon. C'était un peu douloureux mais tellement jouissif. Il me limait le cul avec force et violence. Je râlais, je gueulais, je gémissais, j'en redemandais.

C'était le pied !

Ses coups devenaient secs et courts. Il jutais en moi, il jutais dans mon cul. Il me mordillait le cou en gémissant de plaisir. Je gémissait également. Il me tenait bien serré contre lui. C'était à nouveau, enfin, c'était finalement un moment de câlin. Je ne suis pas sûr qu'on ai eu un moment de câlin plus tôt. Enfin c'est pas grave. Quand il m'a lâché je suis tombé par terre, ça l'a fait rire.

– Bein dis donc, tu es un bon coup toi ! Tu restes longtemps dans le coin ?
– Qui ça ?

J'étais sonné je vous dis.

– Bein toi, qui y a d'autre ici ?
– Heu moi, heu, deux semaines …– Il faudra qu'on se revoit …– Au plaisir. Mais tu sais vraiment ou je vais, tu connais vraiment l'adresse ?
– Au bout de la ruelle, tu prends à droite et c'est deux ou trois maisons plus loin.

Il me regardait remonter mon pantalon qui était maintenant couvert de taches de goudron ou de je ne sais quoi. L'endroit n'était pas très propre. Je me rhabillait au mieux.

– Je ressemble à quoi moi maintenant ?
– A un mec qui vient de se faire enculer !
– Ah ! Ça se voit tant que ça ?

Il éclatait de rire, je m'essuyais le visage, me rendais présentable et continuait ma route. Pour sortir de la ruelle je le suivais, il me montrait la maison ou j'allais. Une maison à deux étages comme prévu, c'était bien là.

– Moi j'habite au vingt sept, deuxième étage porte de droite … Tu passes me voir quand tu veux !

Je le saluais de la main et on se séparait. Mon pantalon était couvert de taches et de saleté. J'arrivais à l'adresse, c'était bien là, je montais au premier comme m'avait dit mon pote et je trouvais un papier accroché à la porte.

'Comme je ne te voyais pas venir je suis parti te chercher à la gare, je ne serai pas de retour avant dix huit heures, tu n'as plus qu'à m'attendre si tu arrives avant moi. Je t'avais bien dis que tu aurais mieux fait de m'attendre à la gare, tu t'es encore perdu ! '
Dans ma tête je me disais ''Bein il est pas là … C'est ballot ! J'aurais bien changé de pantalon et pris une douche moi. ''


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Perdu en ville
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Charly Chast

Rencontre à la piscine Ep01 - Récit érotique publié le 24-11-2024
Ma petite entreprise Ep 07 De retour à l'atelier - Récit érotique publié le 06-09-2024
En couples Ep02 - Récit érotique publié le 05-09-2024
Ma petite entreprise Ep 06 Maintenant c'est dans le cul - Récit érotique publié le 04-09-2024
En couples Ep01 - Récit érotique publié le 03-09-2024
Le livreur Oups Ep02 TIM : Le retour - Récit érotique publié le 30-08-2024
Ma petite entreprise Ep 05 Une grosse bite à habiller - Récit érotique publié le 29-08-2024
Ma petite entreprise Ep 04 Un couple bien chaud - Récit érotique publié le 28-08-2024
Si on regardait un porno Ep02 - Récit érotique publié le 27-08-2024
Ma petite entreprise Ep 03 Ça démarre - Récit érotique publié le 26-08-2024