Perdue de vue...
Récit érotique écrit par Enjoyphil [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Perdue de vue...
Il y a bien quatre ans, de passage, en déplacement sur Nantes, j’ai retrouvé, par pur hasard, une amie, Émilie. Une ex avec qui j'étais sortis six mois, le temps d'épuiser tous nos fantasmes, du fait qu'elle adorait se sentir offerte et soumise dans l'intimité.
Celle que j’avais emmenée, une fois, nue dans un bois, un week end en Vendée pour profiter d'elle qui l'avait souhaité ainsi, en plein air.
La surprise.
La bise.
Quelques mots de convenances.
Puis la magie qui réapparaît dans nos yeux se remémorant ces moments passés pas si lointains dans nos têtes et nos sens. Elle était en couple maintenant avec un certain Nickos, mais rien ne semblait avoir changé pour elle car tout bascula lorsqu'elle se pencha pour me souffler à l'oreille qu'elle ne portait toujours pas de dessous…
Du coup étant libre de on emploi du temps et, j'avoue, poussé par ma soudaine libido débordante, je décidais de tout lâcher pour rester ce qui restait de la journée avec elle.
Nous sommes allés au jardin des plantes.
Une promenade en espérant trouver un espace pour coquiner et, dans un coin de ma tête, pour me faire sucer à la va vite, comme à l'époque. J'avais hâte de retrouver la douceur de sa bouche si obéissante et son regard docile si expressif.
Mais il y avait tellement de monde avec ce beau temps qu'il fut impossible d'y trouver où se cacher des promeneurs.
Nous avons pris un chocolat chaud, émoustillés tous les deux de cette situation de frustration commune.
J’avais dans l'idée de l’entrainer dans les cabinets, comme déjà fait avec elle, par le passé, il y avait bien une demie douzaine d’années.
Mais pas de bol, l’équipe de ménage est arrivée sous nos yeux en nous condamnant l’accès en cette fin d’après-midi. Inutile de vous dire que je bandais comme un cerf !
Alors, direction un restaurant situé pas loin de la gare sud de Nantes. Le 100 patates où nous avons dîné en nous contant nos aventures respectives, histoire de nous chauffer encore un peu plus. La savoir sans culotte, assise en face de moi, sans doute le minou, tout aussi trempée que le bout de mon gland, à l'évocation de nos souvenirs intimes, commençait à me, à nous, démanger sérieusement. Et il n'était pas question que je la renvoie chez son Nickos sans avoir bien profité d'elle !
En sortant pour une petite ballade dans le quartier obscure et propice à mes projets, je repère un petit parking avec deux camionnettes type Van Traffic, idéal pour se planquer entre elles.
Mais Emilie eu peur que quelqu’un dorme dedans. J'avais oublié comme c'était surprenant chez elle, cette dichotomie entre son attitude publique, chaste, limite guindée et celle privée où tous était possible, au delà même des limites habituelles.
Nous repartimes donc en voiture, direction l'Ile Beaulieu au Capra, non sans l'avoir enfin embrassé en plongeant et me poissant les doigts en elle avant de lui faire sucer sadiquement.
Et là…miracle ! Pratiquement personne.
Un temps doux, une nuit idéale pour nos turpitudes.
Un banc isolé sous un lampadaire en panne.
« Assieds-toi et ouvre la bouche ! » J'avais trop envie. C'était sans prémice. Mais comme je l'avais deviné, elle se mis à me sucer sans retenue, divinement, sensuellement comme j'en avais oublié les sensations. Je retrouve sa bouche chaude et conquérante. Son regard fixé au mien ne quemandant que mon approbation. Elle salivait beaucoup et ça lui coulait sur les cuisses, tout en ronronnant et souriant lorsqu'elle le pouvait. Nous retrouvions nos habitudes. Nous replongions dans ces souvenirs et nos pratiques perverses où elle n'était qu'à mon service, comme une bonne pute servile. <<Suce bien petite traînée !>>
Ces mots la poussait à m'engloutir plus loin encore en la faisant hoqueter tout en bavant de plus belle. Elle m'aspirait si bien que je n'en pouvais déjà plus au bout de cinq bonnes minutes… J'imaginais comment son mec allait la retrouver ce soir... Je sortais ma bite pour lui biffer les joues. Je me branlais en lui mettant la tête contre mes couilles qu'elle se mis à aspirer en les mordillant. Puis je lui baisais à nouveau le gosier, en poussant bien mon pubis contre ses lèvres tuméfiées. Il fallait que j'alterne les plaisirs...
<<Penches toi sur le banc !>>
<<Écartes les cuisses salope !>>
<<Oui Maître>> me répondit-elle. Comme une décharge à mes oreilles, je retrouvais le ton docile de sa voix, la bouche déformée par l'excitation. Agrippée à ce banc, les fesses écartées par mes deux mains, sa raie maintenant bien offerte dans cette pénombre, Emilie me chauffe à blanc. Je crache dans son sillon bien sombre. Un crachat bien gras pour lui lubrifier, si il le fallait encore sa chatte ruisselante. Ni une, ni deux, sans attendre, ni même penser à sortir un préservatif, je lui fourre ma queue ferme et tendue dans sa fente ruisselante, gonflée de désirs. Sans même prendre le temps de frotter mon gland contre ses lèvres détrempées.
Un premier soupir de plaisir, suivit d'autres au son du claquement du haut de mes cuisses contre son cul ayant pris quelques rondeurs depuis que l'on s'était perdu de vue. J'aime ses formes devenues généreuses.
Je tiens ses hanches potelées fermement pour taper bien au fond. Sa moule suinte de cyprine. C'est un delice de coulisser en elle. J'avais oublié comme sa chatte était douce et onctueuse. Nickos doit se régaler, le salaud !
Tellement excité par cet instant hors du temps et cet endroit visible de tous, je sens mon foutre gonfler mes bourses et monter le long de ma colonne.
Je la retourne alors et lui attrape, par derrière sa chevelure brune en plantant ma queue dans sa bouche sans ménagement.
Et là, j’explose littéralement dans sa pompe à sperme !
J’entends son « Huuuummmmm » de surprise autant que du plaisir de m'avoir vaincu.
Et je sens toute sa ferveur gourmande à me pomper goulûment la bite. A me traire jusqu'à la dernière goutte le jus de mes couilles. Mon trop plein de foutre lui dégouline d'entre les lèvres continuant à lui tâcher ses bas jarretières...et ça, j'adore !
Je me baisse un peu pour lui doigter la chatte. Ma p'tite pute chérie n'est pas humide mais trempée. Toute gluante et poisseuse. J'agite mes phalanges en elle, au bruit du clapotis lui sortant de sa mounette noyée de mouille. Elle gémit. Elle rale. Je la met debout et la doigte à fond en frottant ma paume contre son clito bandé. Je sors mes phalanges pour les sucer en bouche avant de les replonger en elle. Sa crème de moule fond sur ma langue. Un délice. Ses jambes se dérobent sous elle. Je lui claque le cul par simple plaisir de le faire.
Et je lui appuie à nouveau sur la tête « Nettoie ma queue salope ! »
Elle s’exécute en léchant mon chibre encore tout chaud et couvert des restes onctueux de mon jus de mâle encore en rut.
Je l’embrasse langoureusement en pause tendresse...puis je la fais se plier sous le pincement de ses tétons tout dur qu'il m'excite de serrer bien fort pour l'entendre supplier d'arrêter. Elle râle, elle gémit. Elle est offerte. Totalement. Abandonnée... et sans défense. Je la retrouve, lascive et prête à tout, comme à l'époque de notre relation. Et là, je me dis : J'en connais un qui va bien profiter de l'excitation de sa meuf lorsqu'elle va rentrer à la maison !
Celle que j’avais emmenée, une fois, nue dans un bois, un week end en Vendée pour profiter d'elle qui l'avait souhaité ainsi, en plein air.
La surprise.
La bise.
Quelques mots de convenances.
Puis la magie qui réapparaît dans nos yeux se remémorant ces moments passés pas si lointains dans nos têtes et nos sens. Elle était en couple maintenant avec un certain Nickos, mais rien ne semblait avoir changé pour elle car tout bascula lorsqu'elle se pencha pour me souffler à l'oreille qu'elle ne portait toujours pas de dessous…
Du coup étant libre de on emploi du temps et, j'avoue, poussé par ma soudaine libido débordante, je décidais de tout lâcher pour rester ce qui restait de la journée avec elle.
Nous sommes allés au jardin des plantes.
Une promenade en espérant trouver un espace pour coquiner et, dans un coin de ma tête, pour me faire sucer à la va vite, comme à l'époque. J'avais hâte de retrouver la douceur de sa bouche si obéissante et son regard docile si expressif.
Mais il y avait tellement de monde avec ce beau temps qu'il fut impossible d'y trouver où se cacher des promeneurs.
Nous avons pris un chocolat chaud, émoustillés tous les deux de cette situation de frustration commune.
J’avais dans l'idée de l’entrainer dans les cabinets, comme déjà fait avec elle, par le passé, il y avait bien une demie douzaine d’années.
Mais pas de bol, l’équipe de ménage est arrivée sous nos yeux en nous condamnant l’accès en cette fin d’après-midi. Inutile de vous dire que je bandais comme un cerf !
Alors, direction un restaurant situé pas loin de la gare sud de Nantes. Le 100 patates où nous avons dîné en nous contant nos aventures respectives, histoire de nous chauffer encore un peu plus. La savoir sans culotte, assise en face de moi, sans doute le minou, tout aussi trempée que le bout de mon gland, à l'évocation de nos souvenirs intimes, commençait à me, à nous, démanger sérieusement. Et il n'était pas question que je la renvoie chez son Nickos sans avoir bien profité d'elle !
En sortant pour une petite ballade dans le quartier obscure et propice à mes projets, je repère un petit parking avec deux camionnettes type Van Traffic, idéal pour se planquer entre elles.
Mais Emilie eu peur que quelqu’un dorme dedans. J'avais oublié comme c'était surprenant chez elle, cette dichotomie entre son attitude publique, chaste, limite guindée et celle privée où tous était possible, au delà même des limites habituelles.
Nous repartimes donc en voiture, direction l'Ile Beaulieu au Capra, non sans l'avoir enfin embrassé en plongeant et me poissant les doigts en elle avant de lui faire sucer sadiquement.
Et là…miracle ! Pratiquement personne.
Un temps doux, une nuit idéale pour nos turpitudes.
Un banc isolé sous un lampadaire en panne.
« Assieds-toi et ouvre la bouche ! » J'avais trop envie. C'était sans prémice. Mais comme je l'avais deviné, elle se mis à me sucer sans retenue, divinement, sensuellement comme j'en avais oublié les sensations. Je retrouve sa bouche chaude et conquérante. Son regard fixé au mien ne quemandant que mon approbation. Elle salivait beaucoup et ça lui coulait sur les cuisses, tout en ronronnant et souriant lorsqu'elle le pouvait. Nous retrouvions nos habitudes. Nous replongions dans ces souvenirs et nos pratiques perverses où elle n'était qu'à mon service, comme une bonne pute servile. <<Suce bien petite traînée !>>
Ces mots la poussait à m'engloutir plus loin encore en la faisant hoqueter tout en bavant de plus belle. Elle m'aspirait si bien que je n'en pouvais déjà plus au bout de cinq bonnes minutes… J'imaginais comment son mec allait la retrouver ce soir... Je sortais ma bite pour lui biffer les joues. Je me branlais en lui mettant la tête contre mes couilles qu'elle se mis à aspirer en les mordillant. Puis je lui baisais à nouveau le gosier, en poussant bien mon pubis contre ses lèvres tuméfiées. Il fallait que j'alterne les plaisirs...
<<Penches toi sur le banc !>>
<<Écartes les cuisses salope !>>
<<Oui Maître>> me répondit-elle. Comme une décharge à mes oreilles, je retrouvais le ton docile de sa voix, la bouche déformée par l'excitation. Agrippée à ce banc, les fesses écartées par mes deux mains, sa raie maintenant bien offerte dans cette pénombre, Emilie me chauffe à blanc. Je crache dans son sillon bien sombre. Un crachat bien gras pour lui lubrifier, si il le fallait encore sa chatte ruisselante. Ni une, ni deux, sans attendre, ni même penser à sortir un préservatif, je lui fourre ma queue ferme et tendue dans sa fente ruisselante, gonflée de désirs. Sans même prendre le temps de frotter mon gland contre ses lèvres détrempées.
Un premier soupir de plaisir, suivit d'autres au son du claquement du haut de mes cuisses contre son cul ayant pris quelques rondeurs depuis que l'on s'était perdu de vue. J'aime ses formes devenues généreuses.
Je tiens ses hanches potelées fermement pour taper bien au fond. Sa moule suinte de cyprine. C'est un delice de coulisser en elle. J'avais oublié comme sa chatte était douce et onctueuse. Nickos doit se régaler, le salaud !
Tellement excité par cet instant hors du temps et cet endroit visible de tous, je sens mon foutre gonfler mes bourses et monter le long de ma colonne.
Je la retourne alors et lui attrape, par derrière sa chevelure brune en plantant ma queue dans sa bouche sans ménagement.
Et là, j’explose littéralement dans sa pompe à sperme !
J’entends son « Huuuummmmm » de surprise autant que du plaisir de m'avoir vaincu.
Et je sens toute sa ferveur gourmande à me pomper goulûment la bite. A me traire jusqu'à la dernière goutte le jus de mes couilles. Mon trop plein de foutre lui dégouline d'entre les lèvres continuant à lui tâcher ses bas jarretières...et ça, j'adore !
Je me baisse un peu pour lui doigter la chatte. Ma p'tite pute chérie n'est pas humide mais trempée. Toute gluante et poisseuse. J'agite mes phalanges en elle, au bruit du clapotis lui sortant de sa mounette noyée de mouille. Elle gémit. Elle rale. Je la met debout et la doigte à fond en frottant ma paume contre son clito bandé. Je sors mes phalanges pour les sucer en bouche avant de les replonger en elle. Sa crème de moule fond sur ma langue. Un délice. Ses jambes se dérobent sous elle. Je lui claque le cul par simple plaisir de le faire.
Et je lui appuie à nouveau sur la tête « Nettoie ma queue salope ! »
Elle s’exécute en léchant mon chibre encore tout chaud et couvert des restes onctueux de mon jus de mâle encore en rut.
Je l’embrasse langoureusement en pause tendresse...puis je la fais se plier sous le pincement de ses tétons tout dur qu'il m'excite de serrer bien fort pour l'entendre supplier d'arrêter. Elle râle, elle gémit. Elle est offerte. Totalement. Abandonnée... et sans défense. Je la retrouve, lascive et prête à tout, comme à l'époque de notre relation. Et là, je me dis : J'en connais un qui va bien profiter de l'excitation de sa meuf lorsqu'elle va rentrer à la maison !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mmmhhh, ce côté sadique des retrouvailles, magnifique
Merci Phil
Cyrille
Merci Phil
Cyrille