Performance de notes - et autres dialogues interdits

Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Performance de notes - et autres dialogues interdits
« Dialogues Interdits » : seule série littéraire d’histoires sulfureuses… uniquement constituées de dialogues. Au-delà de cette lecture, pour en savoir beaucoup plus sur mon univers, RDV sur mon site :
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Performance de notes
— Alors ton secret pour réussir toujours les exams… Tu me le donnes ?
— Si t’étais attentive t’aurais deviné.
— Pourtant je le suis.
— Tu portes toute ton attention sur le « pendant ». C’est sur « l’avant » qu’il faut te fixer ! Avant chaque exam j’ai soudain comme un malaise. Je suis tellement crédible que l’infirmière n’est plus surprise.
— Tu simules ?
— Juste pour avoir le droit d’aller dans cette petite chambre de repos, au sous-sol. Elle m’y laisse un petit quart d’heure, je dis que c’est une sorte de petite crise d’angoisse et qu’un peu d’isolement me suffira. Et là… je retire tout, je me mouille les majeurs, un devant, un derrière, je me fais jouir et c’est bon. Après ça j’arrive détendue, je suis confiante, j’ai tout en tête et je réussis haut la main.
— Personne s’est jamais rendu compte de rien alors ?
— L’infirmière est pas idiote, elle se doute de quelque chose. Elle est si cool ! Si jolie aussi. Je sais que jamais elle me balancerait. Et je parie que l’idée l’excite, voire qu’elle finira par me rejoindre. Ce jour-là j’aurai carrément des vingt sur vingt !
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Copine à la fenêtre
— C’était deux copains qui venaient souvent jouer à mon appart’. Leur passion était de regarder Karen, en face, trois étages plus bas. A chaque fois ils fonçaient voir à la fenêtre. Et revoir. C’était le rituel ! Faut dire qu’elle était très jolie, et avait commencé à avoir de belles formes très tôt. Les fois où elle passait en culotte et t-shirt je te raconte pas ! Ça allait jusqu’à perturber nos jeux, et moi ça m’agaçait.
— Car toi tu matais pas ? Ou alors t’avais tant d’occasions que t’aurais préféré juste les jeux quand ils étaient là ?
— C’est pas ça. Karen et moi on se connaissait depuis tout petits. Nos familles se rendaient au même camping, à dix bornes de là… Un camping baba cool. A moitié nudiste ! Avec une petite piscine où personne mettait de maillot.
— J’ai saisi. T’étais habitué à la voir nue depuis des années.
— Et c’était notre petit secret. Les week-ends où on se retrouvait, pas d’ambiguïté, on était juste deux copains. On jouait beaucoup ensemble, Karen avait aucune pudeur particulière. Chez elle avec les vis-à-vis c’était différent. Mais une fois… son rideau était mal tiré, et là « on » a pu tout voir. Enfin, eux deux.
— Une erreur… involontaire ?
— J’ai toujours eu un doute.
— Leur réaction ?
— Un truc de dingues. Des fauves en furie ! Les deux amis sautaient sur place, s’agrippaient par la manche, l’épaule, poussaient des cris. En état second !
— Elle faisait quoi.
— Des essayages de fringues, sans aucun sous-vêtements. Comme en représentation, d’où mon doute.
— Certaines filles n’ont pas besoin de public ! En contemplation devant elles-mêmes, et je les comprends.
— Moi je trouvais ça parfaitement ridicule. Aussi bien son jeu à elle que leur jeu à eux. Ça se sentait que j’étais pas du tout excité. La voir nue était si banal, et il fallait faire semblant de la découvrir. Au début ils s’en sont comme… inquiétés, puis ensuite ils se sont plus occupés de moi.
— Un autre que toi se serait vanté au lieu de garder le secret !
— J’aurais vu ça comme un manque de respect. Karen aussi de son côté disait rien à ses copines, je le sais.
— Comment tu peux en être sûr.
— Informer une fille c’est en informer cent. Le fait que personne semblait au courant était une preuve. Par la suite je me suis arrangé pour que ce soit moi qui aille jouer chez l’un ou l’autre. Ils se seraient jamais calmés !
— Mens pas. T’as été jaloux ! Au fond t’estimais être le seul garçon ayant le droit de la voir nue. Non ?
— Je pense que c’était un peu ça ! Et sur ce point l’expérience a été utile : en ce jour, j’ai pris conscience de la putain de chance que j’avais. Et plus d’une fois quand on se retrouvait le lundi matin dans la cour, dans ma tête je me disais : « Ah si vous saviez les gars, si vous saviez ! ».
— Encore que. T’aurais eu que des jeux innocents à leur raconter.
— Oui et non. Je t’ai dit : tout ça avait provoqué en moi un déclic. Désormais, chaque week-end était un peu plus ambigu que le précédent. Normal, on grandissait… Mais ça c’est une autre histoire.
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Vision d’avenir
— Pourquoi tu la laisses pleurer autant juste pour un achat de jouet refusé ? Tu pourrais quand même lui dire de se taire.
— Mais non. Faut qu’elle évacue ! Et qu’elle comprenne que ça sert à rien avec moi.
— Elle est vraiment comédienne.
— Justement ! Savoir bien simuler dans la vie ça aide. Elle prend le pli pour simuler ça, donc elle le prendra plus facilement pour simuler… le reste. Réussir dans la vie ça se prépare dès le plus jeune âge.
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Chaque soir
— T’es presque en mode vaudou avec ton mec… Non ?
— Hein ? Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
— Ce que tu m’as raconté. Comme quoi tu considères qu’être à genoux devant lui à le pomper jusqu’au bout n’était pas une position de soumission mais de… d’a…
— D’accaparation, oui.
— Voilà. Et qu’à chaque fois que t’avalais t’avais l’impression que ton homme était un peu plus à toi.
— Rien à voir avec le vaudou. En tout cas ma théorie a l’air de se vérifier. Ça crée un lien magique.
— Ça reste ésotérique.
— Un peu oui, peut-être, à la rigueur… J’y vois un échange de fluides énergétiques, du magnétisme…
— Moi je suis plus terre à terre. Depuis que tu lui fais ça chaque soir, son intérêt s’est décuplé… car une nana qui le fait si souvent, et en cette position, et en avalant… est un précieux trophée ! Qu’on bichonne, dont on prend soin ! Faut pas chercher plus loin tu sais…
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Accueil de cousins
— Ania, je t’ai dit cent fois de pas te changer juste devant tes cousins quand ils viennent séjourner à la maison.
— Je sais. Leur mère m’a vue, du coup maintenant elle me prend pour une exhibitionniste !
— Et elle a tort peut-être ?
— Elle a pas compris surtout.
— Pas compris quoi ?
— Le fonctionnement d’un garçon en plein développement. Quand ils regardent juste une partie de mon corps par la serrure… ou qu’ils voient que mon ombre… ou encore qu’ils me voient toute floue derrière nos briques de verre… Là ils fantasment à fond. Ils deviennent dingues ! Tandis que lorsqu’ils me voient vraiment nue quelques instants, en plein jour, ils sont ensuite beaucoup plus calmes et la journée se passe mieux.
— A ce rythme, un de ces jours tu les astiqueras chaque matin pour calmer ces messieurs et que la journée se déroule mieux ensuite.
— Mais non voyons… Ils ont juste besoin de leur petite dose quotidienne de fantasme pour aller s’astiquer eux-mêmes comme des grands.
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Performance de notes
— Alors ton secret pour réussir toujours les exams… Tu me le donnes ?
— Si t’étais attentive t’aurais deviné.
— Pourtant je le suis.
— Tu portes toute ton attention sur le « pendant ». C’est sur « l’avant » qu’il faut te fixer ! Avant chaque exam j’ai soudain comme un malaise. Je suis tellement crédible que l’infirmière n’est plus surprise.
— Tu simules ?
— Juste pour avoir le droit d’aller dans cette petite chambre de repos, au sous-sol. Elle m’y laisse un petit quart d’heure, je dis que c’est une sorte de petite crise d’angoisse et qu’un peu d’isolement me suffira. Et là… je retire tout, je me mouille les majeurs, un devant, un derrière, je me fais jouir et c’est bon. Après ça j’arrive détendue, je suis confiante, j’ai tout en tête et je réussis haut la main.
— Personne s’est jamais rendu compte de rien alors ?
— L’infirmière est pas idiote, elle se doute de quelque chose. Elle est si cool ! Si jolie aussi. Je sais que jamais elle me balancerait. Et je parie que l’idée l’excite, voire qu’elle finira par me rejoindre. Ce jour-là j’aurai carrément des vingt sur vingt !
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Copine à la fenêtre
— C’était deux copains qui venaient souvent jouer à mon appart’. Leur passion était de regarder Karen, en face, trois étages plus bas. A chaque fois ils fonçaient voir à la fenêtre. Et revoir. C’était le rituel ! Faut dire qu’elle était très jolie, et avait commencé à avoir de belles formes très tôt. Les fois où elle passait en culotte et t-shirt je te raconte pas ! Ça allait jusqu’à perturber nos jeux, et moi ça m’agaçait.
— Car toi tu matais pas ? Ou alors t’avais tant d’occasions que t’aurais préféré juste les jeux quand ils étaient là ?
— C’est pas ça. Karen et moi on se connaissait depuis tout petits. Nos familles se rendaient au même camping, à dix bornes de là… Un camping baba cool. A moitié nudiste ! Avec une petite piscine où personne mettait de maillot.
— J’ai saisi. T’étais habitué à la voir nue depuis des années.
— Et c’était notre petit secret. Les week-ends où on se retrouvait, pas d’ambiguïté, on était juste deux copains. On jouait beaucoup ensemble, Karen avait aucune pudeur particulière. Chez elle avec les vis-à-vis c’était différent. Mais une fois… son rideau était mal tiré, et là « on » a pu tout voir. Enfin, eux deux.
— Une erreur… involontaire ?
— J’ai toujours eu un doute.
— Leur réaction ?
— Un truc de dingues. Des fauves en furie ! Les deux amis sautaient sur place, s’agrippaient par la manche, l’épaule, poussaient des cris. En état second !
— Elle faisait quoi.
— Des essayages de fringues, sans aucun sous-vêtements. Comme en représentation, d’où mon doute.
— Certaines filles n’ont pas besoin de public ! En contemplation devant elles-mêmes, et je les comprends.
— Moi je trouvais ça parfaitement ridicule. Aussi bien son jeu à elle que leur jeu à eux. Ça se sentait que j’étais pas du tout excité. La voir nue était si banal, et il fallait faire semblant de la découvrir. Au début ils s’en sont comme… inquiétés, puis ensuite ils se sont plus occupés de moi.
— Un autre que toi se serait vanté au lieu de garder le secret !
— J’aurais vu ça comme un manque de respect. Karen aussi de son côté disait rien à ses copines, je le sais.
— Comment tu peux en être sûr.
— Informer une fille c’est en informer cent. Le fait que personne semblait au courant était une preuve. Par la suite je me suis arrangé pour que ce soit moi qui aille jouer chez l’un ou l’autre. Ils se seraient jamais calmés !
— Mens pas. T’as été jaloux ! Au fond t’estimais être le seul garçon ayant le droit de la voir nue. Non ?
— Je pense que c’était un peu ça ! Et sur ce point l’expérience a été utile : en ce jour, j’ai pris conscience de la putain de chance que j’avais. Et plus d’une fois quand on se retrouvait le lundi matin dans la cour, dans ma tête je me disais : « Ah si vous saviez les gars, si vous saviez ! ».
— Encore que. T’aurais eu que des jeux innocents à leur raconter.
— Oui et non. Je t’ai dit : tout ça avait provoqué en moi un déclic. Désormais, chaque week-end était un peu plus ambigu que le précédent. Normal, on grandissait… Mais ça c’est une autre histoire.
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Vision d’avenir
— Pourquoi tu la laisses pleurer autant juste pour un achat de jouet refusé ? Tu pourrais quand même lui dire de se taire.
— Mais non. Faut qu’elle évacue ! Et qu’elle comprenne que ça sert à rien avec moi.
— Elle est vraiment comédienne.
— Justement ! Savoir bien simuler dans la vie ça aide. Elle prend le pli pour simuler ça, donc elle le prendra plus facilement pour simuler… le reste. Réussir dans la vie ça se prépare dès le plus jeune âge.
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Chaque soir
— T’es presque en mode vaudou avec ton mec… Non ?
— Hein ? Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
— Ce que tu m’as raconté. Comme quoi tu considères qu’être à genoux devant lui à le pomper jusqu’au bout n’était pas une position de soumission mais de… d’a…
— D’accaparation, oui.
— Voilà. Et qu’à chaque fois que t’avalais t’avais l’impression que ton homme était un peu plus à toi.
— Rien à voir avec le vaudou. En tout cas ma théorie a l’air de se vérifier. Ça crée un lien magique.
— Ça reste ésotérique.
— Un peu oui, peut-être, à la rigueur… J’y vois un échange de fluides énergétiques, du magnétisme…
— Moi je suis plus terre à terre. Depuis que tu lui fais ça chaque soir, son intérêt s’est décuplé… car une nana qui le fait si souvent, et en cette position, et en avalant… est un précieux trophée ! Qu’on bichonne, dont on prend soin ! Faut pas chercher plus loin tu sais…
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Accueil de cousins
— Ania, je t’ai dit cent fois de pas te changer juste devant tes cousins quand ils viennent séjourner à la maison.
— Je sais. Leur mère m’a vue, du coup maintenant elle me prend pour une exhibitionniste !
— Et elle a tort peut-être ?
— Elle a pas compris surtout.
— Pas compris quoi ?
— Le fonctionnement d’un garçon en plein développement. Quand ils regardent juste une partie de mon corps par la serrure… ou qu’ils voient que mon ombre… ou encore qu’ils me voient toute floue derrière nos briques de verre… Là ils fantasment à fond. Ils deviennent dingues ! Tandis que lorsqu’ils me voient vraiment nue quelques instants, en plein jour, ils sont ensuite beaucoup plus calmes et la journée se passe mieux.
— A ce rythme, un de ces jours tu les astiqueras chaque matin pour calmer ces messieurs et que la journée se déroule mieux ensuite.
— Mais non voyons… Ils ont juste besoin de leur petite dose quotidienne de fantasme pour aller s’astiquer eux-mêmes comme des grands.
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