Périple en camping-car 11 : Trente ans après, toujours coquine

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Périple en camping-car 11 : Trente ans après, toujours coquine Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Périple en camping-car 11 : Trente ans après, toujours coquine
Je reprends la route qui va me conduire maintenant vers le Nord de la France. J’ai le souvenir de l’accueil extraordinaire des Ch’tis, dont j’ai connu la convivialité, bien avant le film de Dany Boon.
Je remonte donc la côte par Dieppe, Le Tréport, Berck, Boulogne sur mer, Calais, Dunkerque et je pousse tout au bout, jusqu’à Bray-Dunes, la commune la plus au nord de la France.
Cela fait presque une semaine que j’ai quitté les deux frangins.

Je redescend par Bergues, bien sûr, puis Bailleul où j’ai le souvenir de ma première tarte au Maroilles. Là, je fais une exception à suivre la frontière, en descendant vers Béthune.

Il y a trente ans, j’avais eu une aventure avec la secrétaire-comptable de l’entreprise dans laquelle j’étais intervenu. Chaque fois que j’y venais, nous passions, la, ou les nuits, ensemble.
J’ai retrouvé l’entreprise, mais Madame Leclercq est elle aussi aujourd’hui à la retraite. J’obtiens son adresse et je me rends chez elle.
Dans un coron, je la retrouve. La dame a vieilli, elle s’est un peu enrobée, mais son sourire est toujours avenant quand elle me reconnaît.
Nous parlons un peu de nos vies depuis tout ce temps, en buvant de la bière. Quand je vais aux toilettes, après la troisième canette, je vois un homme sur un fauteuil roulant, dans une chambre.
Au retour, quand je l’interroge, Josette m'indique que c’est son mari.
- « Une mauvaise chute, il y a cinq ans. Au chantier, il est tombé et son cou a heurté une planche. Il a perdu l’usage de ses jambes.
- Ma pauvre ! C’est toi qui t’en occupes tout le temps ?
- Il faut bien ! Il refuse d’aller en EHPAD ! J’ai quand même une aide à domicile et une infirmière, cela me laisse un peu de liberté.
- Cela doit être pesant malgré tout. Je me rappelle que tu étais assez... dynamique.
- Je vais faire un peu de gymnastique et de marche pour m’entretenir… enfin… surtout pour ne pas me laisser aller.
- Tu es très bien !
- Tu es gentil, mais il n’y a plus beaucoup d’hommes pour se retourner sur moi.
- Des goujats ! Tu es toujours une belle femme.
- Tu es gentil, mais je connais mes défauts
- Toi sûrement, mais je n’en vois pas beaucoup.
- Tu es toujours un coquin !
- Excuse-moi si je suis trop direct !
- Je te pardonne. Ça fait toujours plaisir d’entendre des compliments.
- Mérités.
- C’est vrai qu’on s’est bien amusés tous les deux.
- Tu étais une coquine.
- Je…
- Tu l’es peut-être toujours ?
- Je n’en ai plus beaucoup l’occasion.. avec mon…
- Ça te manque ?
- Assez, oui.
- Il y a bien quelques hommes qui s’intéressent à toi ?
- Malheureusement, je ne vois rien venir…
- Ça viendra bien un jour.
- Quand je serai trop vieille…
- Pas sûr !
- Comment ça ?
- Je suis là !
- Tu… C’est vrai ?
- Ça dépend de toi.
- Mais bien sûr couillon !
- Ton mari ?
- On s’en fout ! Viens ! Il nous voit et nous entend. Ça fait longtemps que j’ai envie de faire ça ! A moins que tu me trouves trop vieille ?
- Si je suis venu te voir, c’est parce que j’en avais envie.
- Malgré les années ?
- Moi aussi j’ai vieilli. Tu es aussi bandante qu’il y a trente ans !
- Alors, qu’est-ce que tu attends ? »

Je me lève et la prenant par la main, je la fais lever. Contre moi, je retrouve son corps sculptural. Elle me dépasse de vingt centimètres et si ses formes se sont épaissies, elle n’en demeure pas moins très attrayante.
Josette se colle à moi et nous échangeons un premier baiser. Nos mains partent à l’assaut de nos vêtements. C’est à celui qui est le plus rapide pour enlever ceux de l’autre. A ce jeu, c’est Josette qui gagne, surtout qu’elle s’est concentrée sur mon pantalon. J’ai néanmoins réussi à lui retirer son corsage et à dégrafer son soutien gorge. Son imposante poitrine se tient toujours bien et mes mains empaument ses seins, dont les grandes aréoles et les gros tétons attirent ma bouche.
Elle me laisse faire un peu, mais très vite, se laisse glisser à genoux pour avaler mon chibre bien raide.

Elle me gratifie d’une pipe gourmande qui achève de me dresser. Je termine de me déshabiller, le pantalon toujours sur mes chevilles. Je la relève, fini de lui ôter ses derniers vêtements et je la pousse contre la table, où elle pose ses fesses opulentes. Je plonge mon visage entre ses cuisses. L’odeur de sa chatte déjà bien humide, monte à mon nez. Sa foufoune est poilue, mais bien taillée ras, aussi je me régale de son bouton qui pointe et de ses sucs qui coulent.
Josette était et est toujours une gourmande. Elle me repousse et me demande de la prendre. Je viens alors debout contre elle. Elle saisit ma hampe et se l’introduit elle-même directement, puis entoure mon cou de ses bras pour reprendre son baiser et d’une jambe, elle entoure ma taille.
Son corps collé au mien embaume mes narines de son odeur de femme en chaleur. Je lime sa connasse qui clapote et que je sens couler sur mes couilles. Elle doit me lâcher pour se pencher en arrière, les coudes sur la table pour regarder le spectacle.
Dans un grand cri, elle se lâche une première fois. Sans attendre, je me recule et je la retourne pour la pencher sur la table.
Son cul bien large est un appel au viol. Je l’embroche à nouveau, agrippé à ses hanches. C’est alors que je vois son mari sur le pas de la porte du salon, il a avancé son fauteuil roulant et contemple sa femme qui se fait baiser. Ses yeux sont exorbités, sa bouche ouverte, mais il ne peut détacher son regard de notre couple.
Machinalement, je lâche un bras et le pouce levé, je lui manifeste mon contentement de baisser sa femme.
- « Ton mari ! » Josette tourne sa tête et s’adresse à lui :
- Oh oui ! Regarde comme il me baise bien celui-là ! Ça fait trente ans qu’on ne l’a pas fait ensemble. Il me baisait déjà bien. Tu ne le savais pas alors. Ce n’est pas le seul qui me baisait, mais lui il est revenu pour ça. Oh oui ! Vas-y ! Défonce-moi ! Prend-moi le cul salaud !
- Oui, je vais t’enculer ma belle, mais ta chatte est si bonne !
- Oh oui c’est bon ! Il y a trop longtemps que je n’en ai pas pris une comme ça ! Et toi, puisque tu ne peux plus, regarde bien ta femme qui se fait baiser comme une truie ! Ohhhh ! Je viens !!! »

Pour la deuxième fois, Josette jouit et ses fluides coulent le long de ses jambes en m’arrosant.

On se reprend un peu après cet assaut intense. Josette se redresse et viens se coller à moi pour m’embrasser à nouveau. Son corps brûlant serré contre le mien, lui communique sa chaleur.
- « Viens dans ma chambre ! Tu vas me baiser sur le lit conjugal ! Ça fait longtemps qu’il n’a pas servi à ça ! »
Toujours entravé par mon pantalon, je me déchausse et je quitte pantalon et slip pour suivre Josette. Dans la chambre, je me retourne et je constate que le mari a suivi. Il me semble apercevoir un sourire sur son visage.
- « Je crois que ton mari aime te voir nue, même avec un autre homme. A mon avis, tu devrais lui en faire bénéficier d’autres fois.
- Tu crois ? C’est vrai ? Ça te plaît ? demande-t-elle à son homme, qui approuve d’un léger hochement de tête.
- Je crois que oui.
- Eh bien, je crois que ton gendre va souvent venir à la maison dorénavant.
- Ah parce que… dis-je
- Je te choque ?
- Oh non ! Si tu savais !
- Cochon !
- Cochonne ! Ça fait longtemps avec ton gendre ?
- Non. Un an à peu près, et encore, nous ne l’avons fait que deux fois. Ce n’est pas facile… enfin, maintenant qu’il pourra venir ici, ce sera plus pratique. Il a une…
- Une queue ? Une bite ?
- Oui ! Une queue énorme ! C’est terrible !
- Je ne fais pas le poids alors ?
- Tais-toi couillon ! Grâce à toi je vais pouvoir baiser plus souvent et puisque ça plaît à mon mari, il y aura trois heureux.
- Et ta fille ?
- Ils sont séparés. Mon gendre m’a dit que je lui rappelait sa femme, en plus chaude.
- Eh bien, éclate-toi ! Tu ne voudrais pas l’inviter ? On te baiserait à deux !
- Tu es un malade toi ! Il n’est pas aussi libéré que toi. Déjà qu’il culpabilise pour mon mari.
- Maintenant il ne culpabilisera plus.
- Salaud !
- Salope !
- Allez, viens sur le lit ! Tu m’as excitée avec cette histoire. Fais-moi l’amour mon cochon. Viens me bouffer la chatte et ensuite tu m’enculeras ! »

Après ce programme alléchant, nous restons couchés à nous bécoter et nous caresser. Je suggère à Josette d’appeler son gendre.
- Tu es fou !
- Il faut battre le fer tant qu’il est chaud et tu es bien chaude ! Profites-en ! » Elle hésite encore un peu et, sur mon insistance, appelle son gendre. Je lui fais mettre le haut parleur
- « Allô Gilles ? C’est Josette.
- Bonjour. Comment vas-tu ?
- Bien… Je pensais… il y a longtemps que… l’on ne s’est pas vus.
- C’est vrai, mais c’est ta faute aussi. Je t’ai dis que si tu voulais, c’est toi qui m’appelais.
- Oui, oui,, mais…
- Mais quoi ?
- Ce n’est pas si facile tu comprends ?
- Je pense souvent à toi tu sais ?
- Tu es gentil !
- Et je bande ! Il m’arrive même de bander et de me branler
- Coquin !
- Cochonne ! Tu as envie alors ?
- Ouii
- Où veux-tu qu’on se voit ?
- Tu peux venir à la maison ?
- Chez toi ? Mais… ton mari ?
- Aucun problème. Je t’expliquerai. A partir de maintenant, on n’aura plus à se cacher… au moins à la maison.
- Tu es vraiment une salope belle-maman !
- Et j’ai envie d’en profiter tant que je peux encore.
- Dans vingt ans, je te baiserai encore.
- Je serai trop vieille pour toi et tu trouveras une plus jeune.
- Ce n’est pas une jeune que je veux.
- Quand peux-tu venir ?
- Tu es chaude dis-donc! Pas aujourd’hui, mais demain dans l’après-midi, ça va ?
- Oui. Bien sûr ! Tu… pourras rester ?
- Tu veux dire… la nuit ?
- O.. Oui
- J’essayerai ! Salope. Tu me diras ce qui t’a poussé à changer comme ça ?
- Je te promets ! Je t’embrasse !
- Moi aussi ! »
Je suis hilare. Pendant toute la conversation, je caressais la poitrine et le ventre de Josette, lui volant des baisers quand son gendre parlait. Elle est en transes. Son mari a quitté la pièce.
- « Bon, je crois que cette affaire est réglée !
- Grâce à toi ! Je n’aurais jamais osé… et puis, tu m’excitais avec tes caresses.
- J’en suis heureux.
- Comment te remercier ?
- Tu l’as déjà fait… en partie.. Il me reste une nuit pour te baiser avant de lui laisser la place.
- Tu vas partir ?
- Je vais continuer mon tour de la France et puis, j’ai un rendez-vous à Lille.
- Ah ah ! Une autre femme ?
- Oui.
- Tu n’arrêtes jamais toi !
- Quand j’ai l’occasion… il m’arrive tout de même d’être calme. »

Dans l’après-midi, nous faisons un petit tour de Béthune. Nous prenons une bière au pied du beffroi, où la première fois, il y a trente ans, nous avions commencé à nous « rapprocher ». En nous promenant, Josette me prend même la main, toute heureuse de s’afficher avec un homme.

Nous nous couchons tôt après le dîner. Josette ferme la porte de la chambre, n'autorisant son mari qu’à entendre nos ébats. Josette n’est pas une « taiseuse » quand elle fait l’amour et cette nuit, elle se donne à fond. Elle prend même des initiatives. Elle semble s’être libérée après la révélation de sa sexualité à son mari.
Nous nous quittons le matin après le petit déjeuner. Nous ne nous reverrons sûrement pas, mais notre nouvelle rencontre restera dans nos bons souvenirs de la vie.

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