Périple en camping-car 14 : Mariage à Lille
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2023 dans la catégorie Plus on est
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Périple en camping-car 14 : Mariage à Lille
Après déjeuner, j’ai quitté Mons en Baroeul pour me rendre sur le parking du club. Corinne a envie de conduire. Je lui montre un peu les commandes. Elle est surprise par les dimensions et la boîte automatique. Prudemment, elle prend la route. Il est dix-sept heures trente quand nous y arrivons. Il n’y a encore personne. La soirée débute à vingt et une heures. Nous nous garons au fond du parking, derrière les arbres.
Je laisse gambader Rocky, qui se perd dans le bosquet pour faire ses besoins. Nous avons largement le temps de nous préparer. J’en profite pour alimenter mon blog, en « oubliant » l’épisode de la veille au soir. Les femmes passent un moment dans la chambre d’où des gémissements me parviennent. Je prends mon appareil photo et je « shoote » leurs ébats. Je décharge vidéo et photos et quand elles me rejoignent, je leur fais défiler le diaporama. Cela ne fait rien pour les calmer et elles veulent me sucer à deux. Je les laisse faire, sans pour autant aller au bout, car la soirée s’annonce chaude.
Pour finir de les mettre en condition, je leur montre le site du club. Elles étaient chaudes et deviennent bouillantes. Un peu d’appréhension malgré tout de leur part. Seront-elle à la hauteur ? Je les rassure. Je propose de manger un peu. Même si un apéro dînatoire est prévu le samedi soir, il faut malgré tout, se sustenter.
Vers vingt heures, nous nous préparons. Douche individuelle pour chacun, afin d’éviter les tentations. Toilette intime et épilation soignée, maquillage pour ses dames et enfin habillage. Je choisi un pantalon et une chemise blancs, Corinne sa petite robe noire, dont le décolleté dans le dos montre l’absence de soutien gorge et Morgane, chemisier blanc soutien gorge et minijupe noire.
Bien sûr, les femmes mettent les bas autofixants achetés le matin. Ceux de Morgane arrivent à peine au niveau du bas de la jupe. Les femmes décident de mettre tout de même un string, malgré le fait qu’elles risquent de les perdre dans la soirée. Il faut dire que leurs chattes mouillent déjà pas mal.
Sur le parking, des voitures arrivent petit à petit. Nous n’avons pas vu arriver les premières qui doivent être celles des employés, mais il y en a presque une vingtaine, ce qui laisse présager une soirée animée.
A vingt et une heures, les filles voudraient y aller, mais je leur propose d’attendre un peu en buvant un apéritif. Il n’est jamais bon d’arriver les premiers. Exceptionnellement, je ferme Rocky dans la soute avec de quoi boire. Il n’est pas très heureux, mais je n’ai pas envie qu’il fasse peur à quelqu’un qui pourrait s’aventurer dans le coin, même si en principe il reste couché sous le camion, mais on ne sait jamais.
Vingt et une heure trente, nous enfilons un manteau par-dessus nos tenues légères, les femmes refont leur maquillage et nous partons pour la boite. Le parking est à moitié plein ce qui est de bon augure.
A l’entrée, je paye les soixante euros pour le couple - en fait, surtout pour l’homme -, c’est gratuit pour les femmes seules. Nous laissons les manteaux au vestiaire et enfin nous entrons.
Sur la piste, des couples dansent déjà. Certains sont au bar. Nous prenons un verre, c’est open bar pour les rafraîchissements et nous trouvons une table libre près de la piste, à proximité d’un « coin câlins »
Les filles partent vite danser et je peux remarquer déjà quelques regards lubriques dans leur direction. Morgane a surtout attiré les hommes avec sa jupe courte et son beau cul. Très vite, trois hommes sont autour d’elle et se frottent contre son corps.
Corinne s’est installée à la barre de pole-dance. Une femme s’approche et se colle derrière elle. Voyant que la danseuse se laisse faire, la femme pose ses mains sur ses seins en passant par le décolleté arrière. Elle l’embrasse dans le cou et mime un coït. La soirée s’annonce chaude. Je finis mon verre. Je me lève à mon tour et je rejoins la piste.
Je me retrouve face à une femme un peu ronde, dont les seins ballottent au rythme de ses déhanchements. Fière de ses seins et sûre de leur pouvoir, elle les agite sous mes yeux. Elle est seulement « habillée » de ses bas et son porte-jarretelles. L’invite est claire. Je me penche sur ses seins et j’en tête les bouts bien dressés.
Morgane est à genoux et se consacre aux trois bites qui se dressent devant elle. Elle alterne entre chacune, tout en branlant les deux autres. L’ambiance érotique est générale. La femme avec Corinne lui a retiré la robe et le string, qui n’est pas longtemps resté en place. Elle s’est agenouillée et lèche consciencieusement la chatte de ma copine qui s’est cambrée contre la barre.
Après plusieurs minutes, nous nous retrouvons à table. Au passage, j’ai récupéré quelques toasts. La femme que j’ai entrepris sur la piste m’a suivie et Corinne s’amuse à me voir faire. La dodue m’embrasse goulûment et frotte sa poitrine contre la mienne « J’adore tes poils » m’a-t-elle dit.
Voyant le passage libre, Corinne ouvre mon pantalon et sort ma bite. Elle plonge dessus et me suce profondément.
La femme est une adepte du baiser et ne lâche pas mes lèvres. Je suis étalé sur la banquette et Corinne monte sur moi pour s’empaler sur mon membre dressé.
- « Tu la baises sans capote ?
- C’est mon mari ! » Je regarde Corinne, scotché !
- Je te comprends. Elle est très belle et jeune ! A côté…
- A côté, tu es aussi très bandante.
- Peut être, mais c’est elle que tu baises.
- Ne t’inquiète pas, il y en aura aussi pour toi. Je sais me retenir.
- Et la fille qui est avec vous ? Elle a l’air délurée aussi
- C’est notre nièce. » renchérit Corinne»
- Je n’en reviens pas !
- « Eh ben ! Vous faites une drôle de famille !
- N’est-ce pas ! »
Malgré la prise d’une pilule énergisante, j’espère profiter longtemps de la soirée. Je sais que Corinne va jouir assez vite, d’autant que sa copine du pole-dance est arrivée et l’embrasse en lui caressant les seins.
Sous cette sollicitation, Corinne jouit une première fois et s’effondre sur moi. Les deux femmes nous quittent, allant vers d’autres aventures. On se retrouve tous les deux sur la banquette avec la femme dodue. Morgane, elle, est maintenant la proie des trois hommes qu’elle suçait. Ils la transportent vers une alcôve, ne lui laissant que ses bas et ses chaussures. Ils n’ont pas l’air de vouloir la brutaliser et elle nous fait même signe en levant son pouce avec un énorme sourire.
Après avoir baisé la femme dodue, celle-ci est partie retrouver d’autres partenaires. Je vais chercher un rafraîchissement et quelques tapas et je reviens m’asseoir auprès de Corinne, qui vient de revenir. Nous restons calmes, nous contentant de regarder le spectacle autour de nous. La soirée est bien lancée. Le DJ passe de la bonne musique et les personnes présentes paraissent toutes de bonnes personnes. Pas de « viandard » parmi les hommes seuls. Tout se passe dans un bon esprit, même si pour quelqu’un d’extérieur à ce monde, nous passons pour des dépravés.
C’est la première expérience pour Corinne et Morgane. Je suis curieux de connaître leur ressenti.
- « Alors, qu’est-ce que tu penses de l’endroit ?
- J’adore !
- Tu es complètement folle toi.
- Pourquoi tu dis ça ?
- D’abord, tu racontes que nous sommes mariés…
- Ça te dérange ?
- Non, mais… Ça fait bizarre !
- J’ai eu envie.
- D’accord mais…
- J’aimerais…
- Tu déconnes ?
- Non.
- Mais…
- Je vois que ça te dérange.
- C’est pas ça. Je trouve curieux. Enfin… tu comprends ? Tu as vingt ans de moins que moi. On est tout aussi indépendant l’un que l’autre et ce n’est pas viable
- Bien sûr ! Mais j’ai envie de croire que tu es mon mari, mon cocu et que l’on se retrouve parfois pour faire des folies. Tu sais pas ? On va s’acheter des alliances.
- Tu es folle !
- Oui. On va se promettre de se tromper, de se cocufier, de baiser ensemble ou séparément. Je dirai que j’ai épousé quelqu’un en secret.
- Comme ça tous les fantasmeurs seront écartés.
- Pas vraiment, mais mes amants se croiront plus virils de cocufier un homme.
- Tu es vraiment tordue toi !
- Tu peux parler ! Tu couches avec des gendarmes, en plus tu convertis une gouine et je ne sais pas tout ce que tu as fais d’autre depuis ton départ.
- Tu veux le savoir ?
- Oh oui, mon cochon !
- Et bien, je vais te donner l’adresse d’un site sur lequel je raconte mes frasques.
- C’est pas vrai !
- Tu verras alors si ton… « mari » est un homme infréquentable. Peut-être alors que tu demanderas le divorce ! Ah ah aha !
- Tu m’excites mon salaud ! Viens danser ! »
Nous partons sur la piste de danse. Très vite, Corinne rejoint la barre de pole-dance. La grassouillette l’y retrouve et, sans attendre, se glisse à genoux entre ses jambes pour à lécher. Je n’hésite pas et après avoir enfilé un préservatif, je l’embroche d’un coup.
- « Oh oui ! » lance-t-elle en me sentant en elle. Elle reprend aussitôt son « ouvrage » sur la chatte et le clito de Corinne. Celle-ci est magnifique ainsi exposée, les bras levés elle se tient à la barre derrière elle. Un homme s’approche et lui caresse les seins. Il lui lèche les aisselles et Corinne se pâme. Elle doit bien arroser la bouche de la femelle à ses pieds.
Quand nous revenons à table. Morgane est revenue et sirote un cocktail offert par l’un de ses partenaires.
- « Vous étiez très beaux sur l’estrade !
- Merci ! Et toi, tu t’es bien amusée non ?
- Génial ! C’est la première fois que j’ai trois hommes pour moi en même temps ! C’était… fabuleux ! »
Avec Corinne, nous sommes enlacés, à moitié couchés sur la banquette. Morgane nous regarde.
- « Vous êtes très beaux comme ça.
- On va se marier ! « déclare Corinne
- « Non ? Mais…
- Enfin, pas un vrai mariage, mais comme si… Ça restera secret. Tu seras la seule à le savoir et jure que tu ne le diras jamais.
- Je le jure !
- Même à ton chéri.
- Je le jure. J’adore !
- Mais comment vous allez faire ?
- Comment ça ?
- Pour vous marier.. ou après ?
- Pour se marier, c’est simple on se le demande mutuellement, on consent et pour la suite, on ne change rien.
- Mais alors, pourquoi ?
- Pour le fun. C’est excitant non ? Il sera mon mari secret, mon cocu et moi sa cocue. Et comme cela sera secret, il n’y a que nous qui en profiterons.
- Et moi ?
- Ne t’inquiète pas. Si ton « nounours » te laisse un peu, tu auras de la place dans notre lit conjugal… et ailleurs.
- Vous êtes géniaux ! »
Morgane se précipite à genoux devant nous. Elle commence à me sucer, puis passe à Corinne et ainsi de suite.
- « Voilà ! Ça y est ! Vous êtes cocus ! Et j'en suis témoin.
- Ah oui ! Tu pourrais être notre témoin !
- En attendant, le témoin va danser. Je vous laisse les amoureux !
- « Ah au fait !
- Oui ?
- J’ai dit à notre copine que tu es notre nièce
- Salope ! Celle qui baisait avec vous sur l’estrade ?
- Oui !
- Je vais tout de suite lui montrer que la nièce est aussi salope que la tante ! » Elle part en riant.
Nous passons toute la soirée en alternant les câlins entre nous et quelques partenaires. A un moment, je me retrouve à sucer un mec. A mon retour, Morgane me dit avoir trouvé ça « génial ». C’est vrai que pour elle, toute cette soirée a été « géniale ». Corinne qui pensait être choquée, à trouvé ça très beau.
- « Mon chéri, quand je recevrai un amant, tu pourras le sucer pour le « regonfler » Tu seras mon cocu soumis. Je suis sûr qu’il aimera ça.
- D’accord, mais pas par chez nous. Restons discrets tout de même.
- Bien sûr mon cocu chéri d’amour. »
Nous quittons l’établissement les derniers, à l’aube. Le patron nous a félicité et remis les habits à ses dames.
- « Nous faisons attention, surtout quand il y a des nouveaux, à récupérer les tenues. Dans l’ambiance, on oublie parfois où elles sont restées. J’espère que vous avez aimé et que l’on vous reverra chez nous ?
- Malheureusement, nous ne sommes que de passage, mais rassurez-vous, nous allons laisser des commentaires sur votre site, pour faire votre promotion.
- Merci !
- Nous sommes dans le camping-car stationné au fond du parking. On peut rester un peu avant de partir ? On a un peu bu
- Bien sûr ! Vous serez là ce soir ?
- Non, malheureusement. Ces dames prennent l’avion dans la nuit, et moi je pars demain matin.
- Dommage ! Vous étiez invités sinon.
- C’est gentil. Merci de votre accueil en tous cas. Bonne nuit !
- Bonne nuit à vous et bonne continuation ! »
Nous traversons le parking maintenant désert. Arrivés au camion, je libère Rocky, tout heureux de pouvoir courir.
Vite déshabillés, nous filons au lit au moment où les phares éclairant le parking s’éteignent. Quelques instants plus tard, j’entends la voiture du patron qui s’en va.
Le réveil est difficile. Il est plus de midi. Je suis entre les deux femmes et lorsque Corinne se rend compte que je suis éveillé, elle se penche sur moi pour m’embrasser.
- « Bonjour mon chéri ! Notre première nuit d’époux à été calme.
- Attend ! Nous ne sommes pas mariés encore !
- Tu ne veux plus ?… Je comprends… Pardonne-moi, je suis folle !
- Pas du tout ! Bien sûr que je veux ! Mais nous n’avons pas scellé notre union. Il nous faut des alliances et échanger nos vœux.
- On va bien trouver un centre commercial et même avec des anneaux de rideau s’il faut, on va le faire. »
On se lève pour déjeuner. Morgane nous rejoint un peu plus tard. Ensuite douche et on part, direction le ”Grand But Lomme”, centre commercial à proximité, avec une galerie marchande.
Il y a même une boutique de bijoux ouverte, dans laquelle nous trouvons nos anneaux. J’en profite pour faire quelques provisions, faire le plein et nous partons pour l’aéroport. Je stationne sur le parking P2, qui nous permettra de rejoindre l’aérogare à pied cette nuit. Il est quasiment désert en ce dimanche. Nous y attendrons l’heure du départ.
C’est dans le camping-car que nous procédons à la « cérémonie du mariage» avec Morgane comme témoin. Nous échangeons nos vœux et nos alliances.
- « Corinne, veux-tu être ma femme ?
- Oui, Jacques Je veux être ta femme. Et toi Jacques veux-tu être mon mari ?
- Oui, je veux être ton mari et ton cocu !
- Je jure de ne pas t’être fidèle et de profiter de chaque occasion pour m’éclater avec un homme ou une femme.
- Je jure de t’être infidèle avec un ou plusieurs partenaires chaque fois que cela se présentera. Je te retrouverai de temps en temps pour te prouver mon amour.
- Je te retrouverai dès que je pourrais pour te prouver mon amour !
- Je vous déclare mari et femme » déclare alors notre témoin
- « Nous déclarons, ne jamais révéler notre union sans le consentement préalable des deux autres. » déclamons-nous enfin.
Nous sommes un peu émus malgré tout, après ce moment si particulier et inédit.
- « Maintenant, je vous laisse « consommer » votre nuit de noce, dit Morgane.
- Pas question ! Tu fais partie et tu partages notre lit espèce de salope ! » Lance Corinne
- Bien sûr ! Ne compte pas y échapper ! » Dis-je
- Mais…
- Pas de mais ! Tu es aussi une salope et un témoin doit l’être jusqu’au bout ! Je te rappelle que nous nous sommes promis de ne pas être fidèle. »
Malgré notre nuit précédente, jusqu’à minuit, nous « jouons » tous les trois. Avant de se rhabiller, Corinne tient à m’offrir son cul
- « Dorénavant mon chéri, mon cul sera réservé à mon mari !
- Ça va te manquer !
- J’ai pas dis qu’un gode n’y passerait pas, mais seule ta bite y aura droit !»
Je la fait coucher sur le dos, lui relève les jambes et je fourre ma langue dans son petit trou. Morgane prend des photos. Quand elle pose l’appareil, je lui demande de venir bouffer le cul de sa copine. Pour rester en forme et me regonfler. Je la baise. Son gros cul est trop tentant !
Le spectacle des deux femmes et la chatte serrée de Morgane font monter mon plaisir. Je la repousse. Je pointe mon dard sur sa corolle et lentement, pour profiter du moment, je pénètre le cul de Corinne. Quand j’atteins le fond, que mon pubis tape le sien, Corinne dit :
- « Oh oui mon mari chéri ! Il est à toi mon cul ! Je te sens bien ! C’est bon ! Baise-moi bien ! Encule-moi fort ! Et toi salope, viens me sucer les seins !
- Oui, tu es belle ma salope de femme ! Il est bon ton cul ! Tu es belle ma chérie ! »
C’est presque religieusement que je la sodomise. Je prends mon temps. Je change de rythme. Je sors de son cul et je demande à Morgane de me sucer.
- « Alors ! Il sent bon son cul ?
- Oh oui ! J’adore !
- T’es une belle salope toi aussi ! »
Je replonge ma bite dans le cul de Corinne. Elle tient ses jambes écartées sous les genoux, les fesses bien relevées, facilitant les entrées dans son cul, maintenant bien ouvert.
Plusieurs fois je répète l’opération sortie, pipe de Morgane, ce qui me permet de tenir.
- « Viens ! Viens mon chéri ! Je veux sentir ton sperme dans mon cul ! Je viens ! Ouii ! »
Je ne me retiens plus. J’accélère et dans un dernier rush, j’éjacule dans son rectum.
Corinne lâche ses jambes, exténuée par l’intensité de sa jouissance et la longue pose inconfortable à la longue. Je ne suis pas mieux et je m’effondre sur elle pour échanger un baiser qui est plus que de remerciement.
Morgane est d’ailleurs consciente qu’il se passe quelque chose entre nous à ce moment-là et elle nous laisse tranquilles. Elle se contente de me caresser le dos ruisselant de sueur après l’effort intense.
Nous n’avons pas envie de nous quitter, mais l’heure tourne et il sera bientôt temps de rejoindre l’aérogare pour embarquer.
Je laisse les femmes prendre une douche, faire leur toilette et récupérer toutes leurs affaires éparpillées dans l’habitacle du camping-car.
Dans le hall quasi désert à cette heure, l’enregistrement est rapide. Nous nous retrouvons tous les trois à l’entrée de l’embarquement. La séparation est difficile entre Corinne et moi. Beaucoup d’émotion, même si nous tentons de la cacher. Nos yeux sont humides et nous n’arrivons pas à nous lâcher. Morgane s’est éloignée et est même passée en zone d’embarquement pour gentiment nous laisser notre intimité. Elle aussi a senti notre émotion.
Quand enfin Corinne doit passer le contrôle, ce sont des larmes qui inondent ses yeux. Les miennes ne sont pas loin.
Je retourne au camping-car et je passe la nuit sur le parking avant de reprendre mon périple. A sept heures du matin, je reçois un texto de Corinne « On est bien rentrées. Bisous » Je réponds par un laconique « Bisous »
De Lesquin, Je rejoins Saint-Amand-Les-Eaux, ville rendue célèbre par l'émission Intervilles des années soixante et qui se trouve au milieu du magnifique parc naturel régional Scarpe-Escaut. Je fais un détour par la « Trouée d'Arenberg » passage redoutée des cyclistes de Paris-Roubaix, puis étapes à Valenciennes et Maubeuge – pour voir le clair de lune Ha Ha ! - Je longe la frontière belge jusqu’à Charleville-Mézières, avec parfois des incursions plus ou moins volontaires chez les wallons.
Un ami m’avait signalé cette belle ville méconnue avec sa place Ducale et la statue de Charles de Gonzague. Il fait beau et nous en profitons pour nous balader avec Rocky.
Chaque soir depuis son départ, Corinne m’appelle. Le premier soir, après une journée un peu difficile de travail – elle n’avait pas beaucoup dormi – Elle était encore sous le coup de l’émotion.
- « Je suis folle ! J’ai pensé à toi – à nous – toute la journée ! Il me tarde déjà que l’on se retrouve.
- C’est vrai que tu es un peu folle. Il va falloir que tu remplisses vite l’une des tâches qui te sont dévolues en tant que mon épouse.
- Ah ! Euh ! Laquelle ?
- Je te rappelle que tu dois me cocufier ! Alors trouve-toi vite un mec ! Ça ira mieux après.
- Je n’ai pas envie de…
- Tu le dois ! Sinon…
- Sinon quoi ? Tu vas me mettre une fessée ? Tu es un peu loin !
- J’aimerais bien t’en mettre une. La prochaine fois, je te promets. Si tu ne me cocufie pas, c’est une clause de divorce !
- Oui mon cochon ! Je te promets ! Je…
- Moi aussi Je... »
Nous ne prononçons pas le mot de trop. Notre amour est impossible. Entre distance, situation et âge…
Depuis, donc, c’est un rituel, on s’appelle chaque soir. Très vite, c’est en visio que nous nous connectons. Nous avons besoin de nous voir. La première fois, Corinne me découvre nu. Quand elle s’étonne, je lui rappelle que je vis ainsi dans mon camion. Ensuite, quand elle le pouvait, elle aussi était nue et cherchait chaque fois à m’exciter, ce qui est facile. Nos conversations se terminaient toujours par « Je... »
Pour les fêtes de fin d’année, elle serait bien venue me retrouver en Alsace, mais elle devait aller dans sa famille et je devais rencontrer le général, qui m’avait rappelé ce rendez-vous.
Je traverse les Ardennes, qui est vraiment une région magnifique, en prenant mon temps. Je devais passer quelques jours chez une vieille amie et sa famille à côté de Metz et j’avais un peu de temps devant moi. Avant, je décide de faire un détour par le Luxembourg. Le Grand Duché est aussi très beau. Un pays riche et ça se voit.
C’est là que un soir, Corinne m’annonce :
- « Morgane est venue à la maison ce matin. » Les deux femmes étaient de repos au même moment.
- Elle va bien ?
- Oui. Toujours amoureuse de son « nounours ». On a discuté de notre week-end à Lille.
- Et alors ?
- Ben… on a parlé de toi.
- Et…
- On a baisé !
- Bravo ma chérie ! Tu as remplis ton contrat d’épouse !
- Ça compte avec une femme ?
- Bien sûr ma chérie ! Je suis heureux ! J’espère que vous avez profité !
- Oh oui ! Le contact d’un corps me manquait. Les jouets, c’est bien, mais la chaleur et la sensation de la peau, c’est tout de même mieux. Et toi ? Tu as rempli ton contrat ?
- Non, pas encore.
- Ne me dis pas que tu n’as pas envie ! Cochon comme tu es, tu n’as pas trouvé une occasion ?
- Eh bien non. Mais tu me donnes une idée.
- Ah ah ! La copine que tu dois voir ?
- Non. Pas du tout ! Nous sommes amis, y compris avec son mari et ses enfants, non, non. Je suis à Thionville. C’est pas très réjouissant, mais je vais bien trouver un sauna pour m’encanailler.
- Salaud !
- Je te rappelle que c’est dans le contrat.
- Et… c’est un sauna gay ?
- Ils ne sont tous plus ou moins. Je verrai si je tombe sur un jour mixte ou pas.
- Tu me raconteras ?
- Bien sûr ! Comme toi.
- Il faudra que tu m’y emmènes un jour.
- A ton service ! Je ferai des envieux.
- Oui ! Je te cocufierai en direct ! Mais… pas par chez nous. Si jamais…
- Ne t’inquiète pas. Même si les gens sont discrets dans ce monde et ne racontent pas qu’ils y vont, je préserverai ton statut.
- Je…
- Moi aussi je... »
Je laisse gambader Rocky, qui se perd dans le bosquet pour faire ses besoins. Nous avons largement le temps de nous préparer. J’en profite pour alimenter mon blog, en « oubliant » l’épisode de la veille au soir. Les femmes passent un moment dans la chambre d’où des gémissements me parviennent. Je prends mon appareil photo et je « shoote » leurs ébats. Je décharge vidéo et photos et quand elles me rejoignent, je leur fais défiler le diaporama. Cela ne fait rien pour les calmer et elles veulent me sucer à deux. Je les laisse faire, sans pour autant aller au bout, car la soirée s’annonce chaude.
Pour finir de les mettre en condition, je leur montre le site du club. Elles étaient chaudes et deviennent bouillantes. Un peu d’appréhension malgré tout de leur part. Seront-elle à la hauteur ? Je les rassure. Je propose de manger un peu. Même si un apéro dînatoire est prévu le samedi soir, il faut malgré tout, se sustenter.
Vers vingt heures, nous nous préparons. Douche individuelle pour chacun, afin d’éviter les tentations. Toilette intime et épilation soignée, maquillage pour ses dames et enfin habillage. Je choisi un pantalon et une chemise blancs, Corinne sa petite robe noire, dont le décolleté dans le dos montre l’absence de soutien gorge et Morgane, chemisier blanc soutien gorge et minijupe noire.
Bien sûr, les femmes mettent les bas autofixants achetés le matin. Ceux de Morgane arrivent à peine au niveau du bas de la jupe. Les femmes décident de mettre tout de même un string, malgré le fait qu’elles risquent de les perdre dans la soirée. Il faut dire que leurs chattes mouillent déjà pas mal.
Sur le parking, des voitures arrivent petit à petit. Nous n’avons pas vu arriver les premières qui doivent être celles des employés, mais il y en a presque une vingtaine, ce qui laisse présager une soirée animée.
A vingt et une heures, les filles voudraient y aller, mais je leur propose d’attendre un peu en buvant un apéritif. Il n’est jamais bon d’arriver les premiers. Exceptionnellement, je ferme Rocky dans la soute avec de quoi boire. Il n’est pas très heureux, mais je n’ai pas envie qu’il fasse peur à quelqu’un qui pourrait s’aventurer dans le coin, même si en principe il reste couché sous le camion, mais on ne sait jamais.
Vingt et une heure trente, nous enfilons un manteau par-dessus nos tenues légères, les femmes refont leur maquillage et nous partons pour la boite. Le parking est à moitié plein ce qui est de bon augure.
A l’entrée, je paye les soixante euros pour le couple - en fait, surtout pour l’homme -, c’est gratuit pour les femmes seules. Nous laissons les manteaux au vestiaire et enfin nous entrons.
Sur la piste, des couples dansent déjà. Certains sont au bar. Nous prenons un verre, c’est open bar pour les rafraîchissements et nous trouvons une table libre près de la piste, à proximité d’un « coin câlins »
Les filles partent vite danser et je peux remarquer déjà quelques regards lubriques dans leur direction. Morgane a surtout attiré les hommes avec sa jupe courte et son beau cul. Très vite, trois hommes sont autour d’elle et se frottent contre son corps.
Corinne s’est installée à la barre de pole-dance. Une femme s’approche et se colle derrière elle. Voyant que la danseuse se laisse faire, la femme pose ses mains sur ses seins en passant par le décolleté arrière. Elle l’embrasse dans le cou et mime un coït. La soirée s’annonce chaude. Je finis mon verre. Je me lève à mon tour et je rejoins la piste.
Je me retrouve face à une femme un peu ronde, dont les seins ballottent au rythme de ses déhanchements. Fière de ses seins et sûre de leur pouvoir, elle les agite sous mes yeux. Elle est seulement « habillée » de ses bas et son porte-jarretelles. L’invite est claire. Je me penche sur ses seins et j’en tête les bouts bien dressés.
Morgane est à genoux et se consacre aux trois bites qui se dressent devant elle. Elle alterne entre chacune, tout en branlant les deux autres. L’ambiance érotique est générale. La femme avec Corinne lui a retiré la robe et le string, qui n’est pas longtemps resté en place. Elle s’est agenouillée et lèche consciencieusement la chatte de ma copine qui s’est cambrée contre la barre.
Après plusieurs minutes, nous nous retrouvons à table. Au passage, j’ai récupéré quelques toasts. La femme que j’ai entrepris sur la piste m’a suivie et Corinne s’amuse à me voir faire. La dodue m’embrasse goulûment et frotte sa poitrine contre la mienne « J’adore tes poils » m’a-t-elle dit.
Voyant le passage libre, Corinne ouvre mon pantalon et sort ma bite. Elle plonge dessus et me suce profondément.
La femme est une adepte du baiser et ne lâche pas mes lèvres. Je suis étalé sur la banquette et Corinne monte sur moi pour s’empaler sur mon membre dressé.
- « Tu la baises sans capote ?
- C’est mon mari ! » Je regarde Corinne, scotché !
- Je te comprends. Elle est très belle et jeune ! A côté…
- A côté, tu es aussi très bandante.
- Peut être, mais c’est elle que tu baises.
- Ne t’inquiète pas, il y en aura aussi pour toi. Je sais me retenir.
- Et la fille qui est avec vous ? Elle a l’air délurée aussi
- C’est notre nièce. » renchérit Corinne»
- Je n’en reviens pas !
- « Eh ben ! Vous faites une drôle de famille !
- N’est-ce pas ! »
Malgré la prise d’une pilule énergisante, j’espère profiter longtemps de la soirée. Je sais que Corinne va jouir assez vite, d’autant que sa copine du pole-dance est arrivée et l’embrasse en lui caressant les seins.
Sous cette sollicitation, Corinne jouit une première fois et s’effondre sur moi. Les deux femmes nous quittent, allant vers d’autres aventures. On se retrouve tous les deux sur la banquette avec la femme dodue. Morgane, elle, est maintenant la proie des trois hommes qu’elle suçait. Ils la transportent vers une alcôve, ne lui laissant que ses bas et ses chaussures. Ils n’ont pas l’air de vouloir la brutaliser et elle nous fait même signe en levant son pouce avec un énorme sourire.
Après avoir baisé la femme dodue, celle-ci est partie retrouver d’autres partenaires. Je vais chercher un rafraîchissement et quelques tapas et je reviens m’asseoir auprès de Corinne, qui vient de revenir. Nous restons calmes, nous contentant de regarder le spectacle autour de nous. La soirée est bien lancée. Le DJ passe de la bonne musique et les personnes présentes paraissent toutes de bonnes personnes. Pas de « viandard » parmi les hommes seuls. Tout se passe dans un bon esprit, même si pour quelqu’un d’extérieur à ce monde, nous passons pour des dépravés.
C’est la première expérience pour Corinne et Morgane. Je suis curieux de connaître leur ressenti.
- « Alors, qu’est-ce que tu penses de l’endroit ?
- J’adore !
- Tu es complètement folle toi.
- Pourquoi tu dis ça ?
- D’abord, tu racontes que nous sommes mariés…
- Ça te dérange ?
- Non, mais… Ça fait bizarre !
- J’ai eu envie.
- D’accord mais…
- J’aimerais…
- Tu déconnes ?
- Non.
- Mais…
- Je vois que ça te dérange.
- C’est pas ça. Je trouve curieux. Enfin… tu comprends ? Tu as vingt ans de moins que moi. On est tout aussi indépendant l’un que l’autre et ce n’est pas viable
- Bien sûr ! Mais j’ai envie de croire que tu es mon mari, mon cocu et que l’on se retrouve parfois pour faire des folies. Tu sais pas ? On va s’acheter des alliances.
- Tu es folle !
- Oui. On va se promettre de se tromper, de se cocufier, de baiser ensemble ou séparément. Je dirai que j’ai épousé quelqu’un en secret.
- Comme ça tous les fantasmeurs seront écartés.
- Pas vraiment, mais mes amants se croiront plus virils de cocufier un homme.
- Tu es vraiment tordue toi !
- Tu peux parler ! Tu couches avec des gendarmes, en plus tu convertis une gouine et je ne sais pas tout ce que tu as fais d’autre depuis ton départ.
- Tu veux le savoir ?
- Oh oui, mon cochon !
- Et bien, je vais te donner l’adresse d’un site sur lequel je raconte mes frasques.
- C’est pas vrai !
- Tu verras alors si ton… « mari » est un homme infréquentable. Peut-être alors que tu demanderas le divorce ! Ah ah aha !
- Tu m’excites mon salaud ! Viens danser ! »
Nous partons sur la piste de danse. Très vite, Corinne rejoint la barre de pole-dance. La grassouillette l’y retrouve et, sans attendre, se glisse à genoux entre ses jambes pour à lécher. Je n’hésite pas et après avoir enfilé un préservatif, je l’embroche d’un coup.
- « Oh oui ! » lance-t-elle en me sentant en elle. Elle reprend aussitôt son « ouvrage » sur la chatte et le clito de Corinne. Celle-ci est magnifique ainsi exposée, les bras levés elle se tient à la barre derrière elle. Un homme s’approche et lui caresse les seins. Il lui lèche les aisselles et Corinne se pâme. Elle doit bien arroser la bouche de la femelle à ses pieds.
Quand nous revenons à table. Morgane est revenue et sirote un cocktail offert par l’un de ses partenaires.
- « Vous étiez très beaux sur l’estrade !
- Merci ! Et toi, tu t’es bien amusée non ?
- Génial ! C’est la première fois que j’ai trois hommes pour moi en même temps ! C’était… fabuleux ! »
Avec Corinne, nous sommes enlacés, à moitié couchés sur la banquette. Morgane nous regarde.
- « Vous êtes très beaux comme ça.
- On va se marier ! « déclare Corinne
- « Non ? Mais…
- Enfin, pas un vrai mariage, mais comme si… Ça restera secret. Tu seras la seule à le savoir et jure que tu ne le diras jamais.
- Je le jure !
- Même à ton chéri.
- Je le jure. J’adore !
- Mais comment vous allez faire ?
- Comment ça ?
- Pour vous marier.. ou après ?
- Pour se marier, c’est simple on se le demande mutuellement, on consent et pour la suite, on ne change rien.
- Mais alors, pourquoi ?
- Pour le fun. C’est excitant non ? Il sera mon mari secret, mon cocu et moi sa cocue. Et comme cela sera secret, il n’y a que nous qui en profiterons.
- Et moi ?
- Ne t’inquiète pas. Si ton « nounours » te laisse un peu, tu auras de la place dans notre lit conjugal… et ailleurs.
- Vous êtes géniaux ! »
Morgane se précipite à genoux devant nous. Elle commence à me sucer, puis passe à Corinne et ainsi de suite.
- « Voilà ! Ça y est ! Vous êtes cocus ! Et j'en suis témoin.
- Ah oui ! Tu pourrais être notre témoin !
- En attendant, le témoin va danser. Je vous laisse les amoureux !
- « Ah au fait !
- Oui ?
- J’ai dit à notre copine que tu es notre nièce
- Salope ! Celle qui baisait avec vous sur l’estrade ?
- Oui !
- Je vais tout de suite lui montrer que la nièce est aussi salope que la tante ! » Elle part en riant.
Nous passons toute la soirée en alternant les câlins entre nous et quelques partenaires. A un moment, je me retrouve à sucer un mec. A mon retour, Morgane me dit avoir trouvé ça « génial ». C’est vrai que pour elle, toute cette soirée a été « géniale ». Corinne qui pensait être choquée, à trouvé ça très beau.
- « Mon chéri, quand je recevrai un amant, tu pourras le sucer pour le « regonfler » Tu seras mon cocu soumis. Je suis sûr qu’il aimera ça.
- D’accord, mais pas par chez nous. Restons discrets tout de même.
- Bien sûr mon cocu chéri d’amour. »
Nous quittons l’établissement les derniers, à l’aube. Le patron nous a félicité et remis les habits à ses dames.
- « Nous faisons attention, surtout quand il y a des nouveaux, à récupérer les tenues. Dans l’ambiance, on oublie parfois où elles sont restées. J’espère que vous avez aimé et que l’on vous reverra chez nous ?
- Malheureusement, nous ne sommes que de passage, mais rassurez-vous, nous allons laisser des commentaires sur votre site, pour faire votre promotion.
- Merci !
- Nous sommes dans le camping-car stationné au fond du parking. On peut rester un peu avant de partir ? On a un peu bu
- Bien sûr ! Vous serez là ce soir ?
- Non, malheureusement. Ces dames prennent l’avion dans la nuit, et moi je pars demain matin.
- Dommage ! Vous étiez invités sinon.
- C’est gentil. Merci de votre accueil en tous cas. Bonne nuit !
- Bonne nuit à vous et bonne continuation ! »
Nous traversons le parking maintenant désert. Arrivés au camion, je libère Rocky, tout heureux de pouvoir courir.
Vite déshabillés, nous filons au lit au moment où les phares éclairant le parking s’éteignent. Quelques instants plus tard, j’entends la voiture du patron qui s’en va.
Le réveil est difficile. Il est plus de midi. Je suis entre les deux femmes et lorsque Corinne se rend compte que je suis éveillé, elle se penche sur moi pour m’embrasser.
- « Bonjour mon chéri ! Notre première nuit d’époux à été calme.
- Attend ! Nous ne sommes pas mariés encore !
- Tu ne veux plus ?… Je comprends… Pardonne-moi, je suis folle !
- Pas du tout ! Bien sûr que je veux ! Mais nous n’avons pas scellé notre union. Il nous faut des alliances et échanger nos vœux.
- On va bien trouver un centre commercial et même avec des anneaux de rideau s’il faut, on va le faire. »
On se lève pour déjeuner. Morgane nous rejoint un peu plus tard. Ensuite douche et on part, direction le ”Grand But Lomme”, centre commercial à proximité, avec une galerie marchande.
Il y a même une boutique de bijoux ouverte, dans laquelle nous trouvons nos anneaux. J’en profite pour faire quelques provisions, faire le plein et nous partons pour l’aéroport. Je stationne sur le parking P2, qui nous permettra de rejoindre l’aérogare à pied cette nuit. Il est quasiment désert en ce dimanche. Nous y attendrons l’heure du départ.
C’est dans le camping-car que nous procédons à la « cérémonie du mariage» avec Morgane comme témoin. Nous échangeons nos vœux et nos alliances.
- « Corinne, veux-tu être ma femme ?
- Oui, Jacques Je veux être ta femme. Et toi Jacques veux-tu être mon mari ?
- Oui, je veux être ton mari et ton cocu !
- Je jure de ne pas t’être fidèle et de profiter de chaque occasion pour m’éclater avec un homme ou une femme.
- Je jure de t’être infidèle avec un ou plusieurs partenaires chaque fois que cela se présentera. Je te retrouverai de temps en temps pour te prouver mon amour.
- Je te retrouverai dès que je pourrais pour te prouver mon amour !
- Je vous déclare mari et femme » déclare alors notre témoin
- « Nous déclarons, ne jamais révéler notre union sans le consentement préalable des deux autres. » déclamons-nous enfin.
Nous sommes un peu émus malgré tout, après ce moment si particulier et inédit.
- « Maintenant, je vous laisse « consommer » votre nuit de noce, dit Morgane.
- Pas question ! Tu fais partie et tu partages notre lit espèce de salope ! » Lance Corinne
- Bien sûr ! Ne compte pas y échapper ! » Dis-je
- Mais…
- Pas de mais ! Tu es aussi une salope et un témoin doit l’être jusqu’au bout ! Je te rappelle que nous nous sommes promis de ne pas être fidèle. »
Malgré notre nuit précédente, jusqu’à minuit, nous « jouons » tous les trois. Avant de se rhabiller, Corinne tient à m’offrir son cul
- « Dorénavant mon chéri, mon cul sera réservé à mon mari !
- Ça va te manquer !
- J’ai pas dis qu’un gode n’y passerait pas, mais seule ta bite y aura droit !»
Je la fait coucher sur le dos, lui relève les jambes et je fourre ma langue dans son petit trou. Morgane prend des photos. Quand elle pose l’appareil, je lui demande de venir bouffer le cul de sa copine. Pour rester en forme et me regonfler. Je la baise. Son gros cul est trop tentant !
Le spectacle des deux femmes et la chatte serrée de Morgane font monter mon plaisir. Je la repousse. Je pointe mon dard sur sa corolle et lentement, pour profiter du moment, je pénètre le cul de Corinne. Quand j’atteins le fond, que mon pubis tape le sien, Corinne dit :
- « Oh oui mon mari chéri ! Il est à toi mon cul ! Je te sens bien ! C’est bon ! Baise-moi bien ! Encule-moi fort ! Et toi salope, viens me sucer les seins !
- Oui, tu es belle ma salope de femme ! Il est bon ton cul ! Tu es belle ma chérie ! »
C’est presque religieusement que je la sodomise. Je prends mon temps. Je change de rythme. Je sors de son cul et je demande à Morgane de me sucer.
- « Alors ! Il sent bon son cul ?
- Oh oui ! J’adore !
- T’es une belle salope toi aussi ! »
Je replonge ma bite dans le cul de Corinne. Elle tient ses jambes écartées sous les genoux, les fesses bien relevées, facilitant les entrées dans son cul, maintenant bien ouvert.
Plusieurs fois je répète l’opération sortie, pipe de Morgane, ce qui me permet de tenir.
- « Viens ! Viens mon chéri ! Je veux sentir ton sperme dans mon cul ! Je viens ! Ouii ! »
Je ne me retiens plus. J’accélère et dans un dernier rush, j’éjacule dans son rectum.
Corinne lâche ses jambes, exténuée par l’intensité de sa jouissance et la longue pose inconfortable à la longue. Je ne suis pas mieux et je m’effondre sur elle pour échanger un baiser qui est plus que de remerciement.
Morgane est d’ailleurs consciente qu’il se passe quelque chose entre nous à ce moment-là et elle nous laisse tranquilles. Elle se contente de me caresser le dos ruisselant de sueur après l’effort intense.
Nous n’avons pas envie de nous quitter, mais l’heure tourne et il sera bientôt temps de rejoindre l’aérogare pour embarquer.
Je laisse les femmes prendre une douche, faire leur toilette et récupérer toutes leurs affaires éparpillées dans l’habitacle du camping-car.
Dans le hall quasi désert à cette heure, l’enregistrement est rapide. Nous nous retrouvons tous les trois à l’entrée de l’embarquement. La séparation est difficile entre Corinne et moi. Beaucoup d’émotion, même si nous tentons de la cacher. Nos yeux sont humides et nous n’arrivons pas à nous lâcher. Morgane s’est éloignée et est même passée en zone d’embarquement pour gentiment nous laisser notre intimité. Elle aussi a senti notre émotion.
Quand enfin Corinne doit passer le contrôle, ce sont des larmes qui inondent ses yeux. Les miennes ne sont pas loin.
Je retourne au camping-car et je passe la nuit sur le parking avant de reprendre mon périple. A sept heures du matin, je reçois un texto de Corinne « On est bien rentrées. Bisous » Je réponds par un laconique « Bisous »
De Lesquin, Je rejoins Saint-Amand-Les-Eaux, ville rendue célèbre par l'émission Intervilles des années soixante et qui se trouve au milieu du magnifique parc naturel régional Scarpe-Escaut. Je fais un détour par la « Trouée d'Arenberg » passage redoutée des cyclistes de Paris-Roubaix, puis étapes à Valenciennes et Maubeuge – pour voir le clair de lune Ha Ha ! - Je longe la frontière belge jusqu’à Charleville-Mézières, avec parfois des incursions plus ou moins volontaires chez les wallons.
Un ami m’avait signalé cette belle ville méconnue avec sa place Ducale et la statue de Charles de Gonzague. Il fait beau et nous en profitons pour nous balader avec Rocky.
Chaque soir depuis son départ, Corinne m’appelle. Le premier soir, après une journée un peu difficile de travail – elle n’avait pas beaucoup dormi – Elle était encore sous le coup de l’émotion.
- « Je suis folle ! J’ai pensé à toi – à nous – toute la journée ! Il me tarde déjà que l’on se retrouve.
- C’est vrai que tu es un peu folle. Il va falloir que tu remplisses vite l’une des tâches qui te sont dévolues en tant que mon épouse.
- Ah ! Euh ! Laquelle ?
- Je te rappelle que tu dois me cocufier ! Alors trouve-toi vite un mec ! Ça ira mieux après.
- Je n’ai pas envie de…
- Tu le dois ! Sinon…
- Sinon quoi ? Tu vas me mettre une fessée ? Tu es un peu loin !
- J’aimerais bien t’en mettre une. La prochaine fois, je te promets. Si tu ne me cocufie pas, c’est une clause de divorce !
- Oui mon cochon ! Je te promets ! Je…
- Moi aussi Je... »
Nous ne prononçons pas le mot de trop. Notre amour est impossible. Entre distance, situation et âge…
Depuis, donc, c’est un rituel, on s’appelle chaque soir. Très vite, c’est en visio que nous nous connectons. Nous avons besoin de nous voir. La première fois, Corinne me découvre nu. Quand elle s’étonne, je lui rappelle que je vis ainsi dans mon camion. Ensuite, quand elle le pouvait, elle aussi était nue et cherchait chaque fois à m’exciter, ce qui est facile. Nos conversations se terminaient toujours par « Je... »
Pour les fêtes de fin d’année, elle serait bien venue me retrouver en Alsace, mais elle devait aller dans sa famille et je devais rencontrer le général, qui m’avait rappelé ce rendez-vous.
Je traverse les Ardennes, qui est vraiment une région magnifique, en prenant mon temps. Je devais passer quelques jours chez une vieille amie et sa famille à côté de Metz et j’avais un peu de temps devant moi. Avant, je décide de faire un détour par le Luxembourg. Le Grand Duché est aussi très beau. Un pays riche et ça se voit.
C’est là que un soir, Corinne m’annonce :
- « Morgane est venue à la maison ce matin. » Les deux femmes étaient de repos au même moment.
- Elle va bien ?
- Oui. Toujours amoureuse de son « nounours ». On a discuté de notre week-end à Lille.
- Et alors ?
- Ben… on a parlé de toi.
- Et…
- On a baisé !
- Bravo ma chérie ! Tu as remplis ton contrat d’épouse !
- Ça compte avec une femme ?
- Bien sûr ma chérie ! Je suis heureux ! J’espère que vous avez profité !
- Oh oui ! Le contact d’un corps me manquait. Les jouets, c’est bien, mais la chaleur et la sensation de la peau, c’est tout de même mieux. Et toi ? Tu as rempli ton contrat ?
- Non, pas encore.
- Ne me dis pas que tu n’as pas envie ! Cochon comme tu es, tu n’as pas trouvé une occasion ?
- Eh bien non. Mais tu me donnes une idée.
- Ah ah ! La copine que tu dois voir ?
- Non. Pas du tout ! Nous sommes amis, y compris avec son mari et ses enfants, non, non. Je suis à Thionville. C’est pas très réjouissant, mais je vais bien trouver un sauna pour m’encanailler.
- Salaud !
- Je te rappelle que c’est dans le contrat.
- Et… c’est un sauna gay ?
- Ils ne sont tous plus ou moins. Je verrai si je tombe sur un jour mixte ou pas.
- Tu me raconteras ?
- Bien sûr ! Comme toi.
- Il faudra que tu m’y emmènes un jour.
- A ton service ! Je ferai des envieux.
- Oui ! Je te cocufierai en direct ! Mais… pas par chez nous. Si jamais…
- Ne t’inquiète pas. Même si les gens sont discrets dans ce monde et ne racontent pas qu’ils y vont, je préserverai ton statut.
- Je…
- Moi aussi je... »
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
2 fois le n°11
Toujours très bon et agréable à lire ! Episode 12 manquant ou petit problème de numérotation des épisodes ? Bonne continuation.