Périple en camping-car 3 La vieille d'Uza
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Périple en camping-car 3 La vieille d'Uza
Je reprends mon périple désormais tout seul, en longeant la côte landaise, au plus près de l’océan. Léon, Vielle-Saint-Girons, Lit et Mixe. C’est là que je décide de faire un petit écart à l’intérieur des terres, vers Uza, où je connais un bon restaurant au bord du petit étang.
Les anciennes forges ne sont plus que des vestiges et le village est quasiment abandonné. Il reste néanmoins un peu de vie et j’ai la chance d’arriver le jour du marché.
Je gare mon camping-car sur le parking de l’auberge et je déjeune sur la jolie terrasse au bord de l’étang. La propriétaire de l’auberge m’a autorisé à y stationner pour la nuit. Je décide alors de faire un tour en vélo et surtout de faire courir mon chien qui depuis ma rencontre avec Monique, n’a pas eu trop l’occasion de le faire. Les deux derniers jours, il n’a pas pu en profiter. Il aime surtout courir comme le bon Husky qu’il est, cadeau de mon fils et que j’ai dressé depuis deux ans.
Je l’attelle à mon vélo et nous partons pour une grande balade sur les chemins alentour pendant deux heures.
Au retour, il est bien fatigué. Je trouve un fossé plein d’eau dans lequel il peut s’ébrouer et se rafraîchir. L’étang lui est interdit à cause des poissons qui y sont élevés. Je le laisse auprès du camion qu’il garde en mon absence et je pars me balader à pied dans le village.
Béret sur la tête et bâton de marche. C’est un « Makhila » d’honneur, offert à la retraite à mon père par ses employés, et dont j’ai hérité à sa mort. Avec mon chien, c’est un « vecteur de communication » incroyable. Je ne compte pas le nombre de personnes qui m’aborderont à propos de l’un, de l’autre, ou des deux.
Dans le village tout est silencieux et les maisons sont toutes fermées. Certaines sont abandonnées. C’est plutôt triste. Alors que je passe devant une petite maison, qui devait être comme les autres celle d’un ancien ouvrier de la forge, je vois une femme qui fait son petit jardin. Elle est vêtue d'une blouse de travail sous laquelle on devine en transparence, un soutien gorge et une culotte. Je l’aborde :
- « Bonjour Madame. » Elle s’arrête et relève la tête
- Bonjour Monsieur.
- On dirait que vous êtes seule dans le village. C’est bien désert !
- En effet, je suis la dernière à habiter ici.
- Vous devez vous ennuyer non ?
- Oh heureusement, j’ai mon jardin et une amie qui vient de temps en temps. Vous êtes de passage ?
- Oui, j’ai déjeuné au bord de l’étang et je repars demain. »
La femme a l’air avenante. Elle doit avoir dans les soixante dix ans. Sa blouse de travail lui laisse les bras nus. Ce qui frappe chez elle, ce sont ses immenses yeux bleus qui lui mangent la figure. Elle n’a pas l’air sauvage.
- « Et comment vous êtes venu vous perdre ici ?
- Je connaissais la réputation du restaurant et je voulais voir le berceau de la famille Lur-Saluce qui a fait fortune ici et qui a poursuivi sa fortune dans le Sauternes.
- Oh ! Il n’en reste plus grand-chose !
- Je vois. J’ai au moins le plaisir de faire votre connaissance.
- Vous êtes trop gentil. Je suis une vieille femme.
- Je ne vous trouve pas vieille.
- Quel âge me donnez vous ?
- Cela ne se dit pas à une dame voyons.
- J’insiste.
- Soixante… Soixante-cinq..
- Flatteur ! Ajoutez-en dix et vous y serez.
- J’y crois pas !
- Cela fait huit ans que j’ai perdu mon mari.
- Et un homme ne vous manque pas ?
- Pourquoi ? Vous êtes candidat ? … Excusez-moi, je ne sais pas ce qu’il m’a pris !
- Ne vous excusez pas ! Je vous trouve très… attrayante !
- Venez à l’intérieur !
- Comment refuser une pareille offre ? Même si j’aimerais vous voir ici dehors.
- On pourrait nous voir.
- Il n’y a personne.
- Dites qu’une vieille femme de soixante quinze ans de vous intéresse pas. D’ailleurs, ça ne m’étonne pas. J’ai surtout dis cela pour voir ce que vous alliez faire. Vous savez, j’en ai vu d’autres comme vous, qui ont de la gueule, mais se dégonflent quand il s’agit de franchir le pas. C’est facile de parler.
- Je crois que vous êtes tombée sur quelqu’un qui ne se dégonfle pas. On va dedans alors, puisque ça vous plaît.
- Eh eh ! »
Nous entrons dans sa petite maison. L’intérieur contraste avec l’extérieur. C’est très propre et magnifiquement aménagé. Je vais pour enlacer la dame, mais elle me repousse.
- « Ah ah ! C’est vous qui reculez maintenant !
- Pas du tout, mais je ne sent pas très bon après avoir travaillé deux heures au jardin. J’ai besoin d’une douche !
- On la prend à deux alors ?
- Je suis tombée sur un coquin ! Viens ! »
Je la suis et là, je découvre une salle de bain qui n’a rien à envier à une maison moderne. La douche elle-même est immense. On pourrait y entrer à cinq ou six.
- « Quand j’ai fait les travaux, je n’ai pas eu envie d’une cabine ou de réduire l’espace. Alors j’ai gardé tout le pan de mur. J’ai juste monté une petite bordure pour éviter de mettre de l’eau partout.
- C’est vous qui l’avez installée ?
- Oui ! Tous les travaux dans la maison, c’est moi qui les ai faits.
- Bravo !
- Bon. On fera la visite plus tard ! Si vous êtes toujours d’accord, à la douche ! »
La femme enlève prestement sa robe, dégrafe son soutien gorge et retire sa culotte.
- « Alors, Pas trop déçu ?
- Au contraire ! » Je me déshabille rapidement, exhibant ma bite déjà dressée.
- Mmh ! Jolie ! »
Elle se tourne et entre dans la douche. Les fesses sont un peu plates, mais néanmoins agréables à regarder, sa poitrine pas très grosse, tombe sur son ventre, mais ses tétons sont dardés comme des dés à coudre. Ils sont superbes. Elle est poilue autant de la chatte que des aisselles. Des poils gris et blancs qui trahissent son âge.
On se glisse sous l’eau. Le pommeau est immense et nous arrose tous les deux. Je l’enlace enfin et nous échangeons un baiser glouton. Je la caresse dans le dos et elle fait de même.
- « Je… J’ai un petit vice quand je me douche !
- Ah bon ? Lequel ?
- Je… J’aime faire pipi ! J’ai honte !
- Oh mais, c’est super ! Attendez ! Vous allez me pisser dessus !
- Décidément vous êtes un coquin ! J’adore ! »
Je m’accroupis, à genoux sur le sol carrelé et j’approche mon visage de sa moule aux lèvres très développées.
La dame se caresse un peu et les premières gouttes arrivent, suivies d’un jet dru et abondant. J’en ai plein la figure et son urine coule sur mon corps. J’ouvre la bouche et je reçois le jet dont j’avale une partie. La femme, appuyée contre le mur, se vide sur moi en se caressant les seins.
Petit à petit, la source se tarit , aussi j’approche ma bouche et de la langue, je lèche les dernières gouttes, mêlées à la cyprine qui déjà suinte. Je me relève. L’eau de la douche nous nettoie et je l’embrasse.
- « Si ça vous tente, j’adore aussi qu’on me pisse dessus.
- Je ne sais si j’en aurai autant que vous, mais pourquoi pas ! »
A son tour, elle s’accroupit devant moi. J’ai un peu de mal à venir, car je bande fort. Je me branle un peu et à force, je commence à pisser sur elle. Elle ne rechigne pas non plus à ouvrir la bouche et à avaler quelques lampées. A la fin de ma miction, je l’aide à se relever et nous nous lavons mutuellement.
Après nous être rincés et séchés, la femme m’entraîne par la main vers sa chambre, elle aussi bien aménagée.
Elle se révèle une amante experte et prend même des initiatives. Elle me veut dans sa chatte, dans sa bouche et même dans son cul. Quand je propose de mettre un préservatif, elle me rétorque.
- « Je ne suis pas de cette génération et je n’aime pas ça. Vous ne risquez rien ! Et surtout pas de me mettre enceinte ! Ah Ah Ah ! »
Pendant plus de deux heures, nous faisons l’amour. C’est l’une de mes plus vieilles maîtresses, mais pas la moins agréable, ni la plus réservée. Lorsque enfin nous terminons, elle remet sa robe sans rien dessous pendant que je me rhabille.
On s’embrasse et elle me dit :
- « Merci ! Il faut qu’on se quitte maintenant » .
Je comprends que l’épisode est terminé. Je quitte cette femme étrange et sensuelle après un dernier baiser et je retourne à mon « camion » comme je l’appelle. Je ne connais même pas son prénom.
Rocky, mon chien, me fait la fête à mon retour. Pendant mes absences il reste dessous et autour. Il garde mon logement. Finalement, je n’ai pas le cœur à rester la nuit et au matin penser à revoir cette femme, qui m’a bien signifié mon congé et ne souhaite manifestement poursuivre. Aussi, je reprends ma route vers la côte, par Saint Julien et Contis, où je passe la nuit.
Le lendemain, plage et balade sur les chemins avec Rocky, tout heureux de courir devant mon vélo. Une bonne course d’une trentaine de kilomètres pendant laquelle, sur les parties un peu plus dures dans le sable et à la fin, j’enclenche l’assistance électrique pour le soulager.
Je poursuis ma remontée par Mimizan, Sainte Eulalie et Biscarosse, où je passe deux jours au bord du lac en admirant les hydravions et en paressant sur le sable, sans oublier les balades dans la forêt avec Rocky.
Après Sanguinet, je décide de faire le tour du bassin d’Arcachon, en commençant par la dune du Pyla, face au banc d’Arguin. J’en profite pour déguster les délicieuses huîtres iodés au « Petit Nice ».
A Arcachon, je trouve une place à côté du parc Mauresque, en haut de la ville. Grâce à l’ascenseur, je peux descendre et remonter avec le vélo au bord du bassin pour faire un tour de la jolie station.
C’est une belle ville et agréable. En passant près du port de plaisance, je repère une aire pour dépoter et refaire le plein des réservoirs. Après deux jours, je continue ma route. J’ai l’intention d’aller jusqu’au Cap Ferret. Un grand détour par Gujan Mestras, Audenge, où je me baigne dans la typique piscine à l’eau de mer qui se remplit et se vide à chaque marée. Passage à Andernos, puis la longue descente depuis Lège vers le célèbre Cap Ferret.
L’unique route est encombrée encore de véhicules de tourisme et mon camping car a du mal à se faufiler dans la circulation.
Je parviens presque au bout de la presqu’île et je me gare sur un parking avec toilettes. Même si je n’en ai pas vraiment besoin.
Tant qu’à venir jusque là, je m’octroie une pause qui va devenir une semaine plutôt « chaude » et bien remplie !
Les anciennes forges ne sont plus que des vestiges et le village est quasiment abandonné. Il reste néanmoins un peu de vie et j’ai la chance d’arriver le jour du marché.
Je gare mon camping-car sur le parking de l’auberge et je déjeune sur la jolie terrasse au bord de l’étang. La propriétaire de l’auberge m’a autorisé à y stationner pour la nuit. Je décide alors de faire un tour en vélo et surtout de faire courir mon chien qui depuis ma rencontre avec Monique, n’a pas eu trop l’occasion de le faire. Les deux derniers jours, il n’a pas pu en profiter. Il aime surtout courir comme le bon Husky qu’il est, cadeau de mon fils et que j’ai dressé depuis deux ans.
Je l’attelle à mon vélo et nous partons pour une grande balade sur les chemins alentour pendant deux heures.
Au retour, il est bien fatigué. Je trouve un fossé plein d’eau dans lequel il peut s’ébrouer et se rafraîchir. L’étang lui est interdit à cause des poissons qui y sont élevés. Je le laisse auprès du camion qu’il garde en mon absence et je pars me balader à pied dans le village.
Béret sur la tête et bâton de marche. C’est un « Makhila » d’honneur, offert à la retraite à mon père par ses employés, et dont j’ai hérité à sa mort. Avec mon chien, c’est un « vecteur de communication » incroyable. Je ne compte pas le nombre de personnes qui m’aborderont à propos de l’un, de l’autre, ou des deux.
Dans le village tout est silencieux et les maisons sont toutes fermées. Certaines sont abandonnées. C’est plutôt triste. Alors que je passe devant une petite maison, qui devait être comme les autres celle d’un ancien ouvrier de la forge, je vois une femme qui fait son petit jardin. Elle est vêtue d'une blouse de travail sous laquelle on devine en transparence, un soutien gorge et une culotte. Je l’aborde :
- « Bonjour Madame. » Elle s’arrête et relève la tête
- Bonjour Monsieur.
- On dirait que vous êtes seule dans le village. C’est bien désert !
- En effet, je suis la dernière à habiter ici.
- Vous devez vous ennuyer non ?
- Oh heureusement, j’ai mon jardin et une amie qui vient de temps en temps. Vous êtes de passage ?
- Oui, j’ai déjeuné au bord de l’étang et je repars demain. »
La femme a l’air avenante. Elle doit avoir dans les soixante dix ans. Sa blouse de travail lui laisse les bras nus. Ce qui frappe chez elle, ce sont ses immenses yeux bleus qui lui mangent la figure. Elle n’a pas l’air sauvage.
- « Et comment vous êtes venu vous perdre ici ?
- Je connaissais la réputation du restaurant et je voulais voir le berceau de la famille Lur-Saluce qui a fait fortune ici et qui a poursuivi sa fortune dans le Sauternes.
- Oh ! Il n’en reste plus grand-chose !
- Je vois. J’ai au moins le plaisir de faire votre connaissance.
- Vous êtes trop gentil. Je suis une vieille femme.
- Je ne vous trouve pas vieille.
- Quel âge me donnez vous ?
- Cela ne se dit pas à une dame voyons.
- J’insiste.
- Soixante… Soixante-cinq..
- Flatteur ! Ajoutez-en dix et vous y serez.
- J’y crois pas !
- Cela fait huit ans que j’ai perdu mon mari.
- Et un homme ne vous manque pas ?
- Pourquoi ? Vous êtes candidat ? … Excusez-moi, je ne sais pas ce qu’il m’a pris !
- Ne vous excusez pas ! Je vous trouve très… attrayante !
- Venez à l’intérieur !
- Comment refuser une pareille offre ? Même si j’aimerais vous voir ici dehors.
- On pourrait nous voir.
- Il n’y a personne.
- Dites qu’une vieille femme de soixante quinze ans de vous intéresse pas. D’ailleurs, ça ne m’étonne pas. J’ai surtout dis cela pour voir ce que vous alliez faire. Vous savez, j’en ai vu d’autres comme vous, qui ont de la gueule, mais se dégonflent quand il s’agit de franchir le pas. C’est facile de parler.
- Je crois que vous êtes tombée sur quelqu’un qui ne se dégonfle pas. On va dedans alors, puisque ça vous plaît.
- Eh eh ! »
Nous entrons dans sa petite maison. L’intérieur contraste avec l’extérieur. C’est très propre et magnifiquement aménagé. Je vais pour enlacer la dame, mais elle me repousse.
- « Ah ah ! C’est vous qui reculez maintenant !
- Pas du tout, mais je ne sent pas très bon après avoir travaillé deux heures au jardin. J’ai besoin d’une douche !
- On la prend à deux alors ?
- Je suis tombée sur un coquin ! Viens ! »
Je la suis et là, je découvre une salle de bain qui n’a rien à envier à une maison moderne. La douche elle-même est immense. On pourrait y entrer à cinq ou six.
- « Quand j’ai fait les travaux, je n’ai pas eu envie d’une cabine ou de réduire l’espace. Alors j’ai gardé tout le pan de mur. J’ai juste monté une petite bordure pour éviter de mettre de l’eau partout.
- C’est vous qui l’avez installée ?
- Oui ! Tous les travaux dans la maison, c’est moi qui les ai faits.
- Bravo !
- Bon. On fera la visite plus tard ! Si vous êtes toujours d’accord, à la douche ! »
La femme enlève prestement sa robe, dégrafe son soutien gorge et retire sa culotte.
- « Alors, Pas trop déçu ?
- Au contraire ! » Je me déshabille rapidement, exhibant ma bite déjà dressée.
- Mmh ! Jolie ! »
Elle se tourne et entre dans la douche. Les fesses sont un peu plates, mais néanmoins agréables à regarder, sa poitrine pas très grosse, tombe sur son ventre, mais ses tétons sont dardés comme des dés à coudre. Ils sont superbes. Elle est poilue autant de la chatte que des aisselles. Des poils gris et blancs qui trahissent son âge.
On se glisse sous l’eau. Le pommeau est immense et nous arrose tous les deux. Je l’enlace enfin et nous échangeons un baiser glouton. Je la caresse dans le dos et elle fait de même.
- « Je… J’ai un petit vice quand je me douche !
- Ah bon ? Lequel ?
- Je… J’aime faire pipi ! J’ai honte !
- Oh mais, c’est super ! Attendez ! Vous allez me pisser dessus !
- Décidément vous êtes un coquin ! J’adore ! »
Je m’accroupis, à genoux sur le sol carrelé et j’approche mon visage de sa moule aux lèvres très développées.
La dame se caresse un peu et les premières gouttes arrivent, suivies d’un jet dru et abondant. J’en ai plein la figure et son urine coule sur mon corps. J’ouvre la bouche et je reçois le jet dont j’avale une partie. La femme, appuyée contre le mur, se vide sur moi en se caressant les seins.
Petit à petit, la source se tarit , aussi j’approche ma bouche et de la langue, je lèche les dernières gouttes, mêlées à la cyprine qui déjà suinte. Je me relève. L’eau de la douche nous nettoie et je l’embrasse.
- « Si ça vous tente, j’adore aussi qu’on me pisse dessus.
- Je ne sais si j’en aurai autant que vous, mais pourquoi pas ! »
A son tour, elle s’accroupit devant moi. J’ai un peu de mal à venir, car je bande fort. Je me branle un peu et à force, je commence à pisser sur elle. Elle ne rechigne pas non plus à ouvrir la bouche et à avaler quelques lampées. A la fin de ma miction, je l’aide à se relever et nous nous lavons mutuellement.
Après nous être rincés et séchés, la femme m’entraîne par la main vers sa chambre, elle aussi bien aménagée.
Elle se révèle une amante experte et prend même des initiatives. Elle me veut dans sa chatte, dans sa bouche et même dans son cul. Quand je propose de mettre un préservatif, elle me rétorque.
- « Je ne suis pas de cette génération et je n’aime pas ça. Vous ne risquez rien ! Et surtout pas de me mettre enceinte ! Ah Ah Ah ! »
Pendant plus de deux heures, nous faisons l’amour. C’est l’une de mes plus vieilles maîtresses, mais pas la moins agréable, ni la plus réservée. Lorsque enfin nous terminons, elle remet sa robe sans rien dessous pendant que je me rhabille.
On s’embrasse et elle me dit :
- « Merci ! Il faut qu’on se quitte maintenant » .
Je comprends que l’épisode est terminé. Je quitte cette femme étrange et sensuelle après un dernier baiser et je retourne à mon « camion » comme je l’appelle. Je ne connais même pas son prénom.
Rocky, mon chien, me fait la fête à mon retour. Pendant mes absences il reste dessous et autour. Il garde mon logement. Finalement, je n’ai pas le cœur à rester la nuit et au matin penser à revoir cette femme, qui m’a bien signifié mon congé et ne souhaite manifestement poursuivre. Aussi, je reprends ma route vers la côte, par Saint Julien et Contis, où je passe la nuit.
Le lendemain, plage et balade sur les chemins avec Rocky, tout heureux de courir devant mon vélo. Une bonne course d’une trentaine de kilomètres pendant laquelle, sur les parties un peu plus dures dans le sable et à la fin, j’enclenche l’assistance électrique pour le soulager.
Je poursuis ma remontée par Mimizan, Sainte Eulalie et Biscarosse, où je passe deux jours au bord du lac en admirant les hydravions et en paressant sur le sable, sans oublier les balades dans la forêt avec Rocky.
Après Sanguinet, je décide de faire le tour du bassin d’Arcachon, en commençant par la dune du Pyla, face au banc d’Arguin. J’en profite pour déguster les délicieuses huîtres iodés au « Petit Nice ».
A Arcachon, je trouve une place à côté du parc Mauresque, en haut de la ville. Grâce à l’ascenseur, je peux descendre et remonter avec le vélo au bord du bassin pour faire un tour de la jolie station.
C’est une belle ville et agréable. En passant près du port de plaisance, je repère une aire pour dépoter et refaire le plein des réservoirs. Après deux jours, je continue ma route. J’ai l’intention d’aller jusqu’au Cap Ferret. Un grand détour par Gujan Mestras, Audenge, où je me baigne dans la typique piscine à l’eau de mer qui se remplit et se vide à chaque marée. Passage à Andernos, puis la longue descente depuis Lège vers le célèbre Cap Ferret.
L’unique route est encombrée encore de véhicules de tourisme et mon camping car a du mal à se faufiler dans la circulation.
Je parviens presque au bout de la presqu’île et je me gare sur un parking avec toilettes. Même si je n’en ai pas vraiment besoin.
Tant qu’à venir jusque là, je m’octroie une pause qui va devenir une semaine plutôt « chaude » et bien remplie !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Coquin
Pas mal cette rencontre d 3ieme âge, à refaire.