Périple en camping car 4 : Rencontres au Cap ferret
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Périple en camping car 4 : Rencontres au Cap ferret
En vélo, - Rocky m’accompagne en trottinant à mes côtés -, je me rends dans un sympathique établissement au bord de l’eau, côté bassin. Sur la terrasse extérieure, je déguste des huîtres, différentes de celle d’Arguin, mais tout aussi délicieuses. Un verre de vin blanc les accompagne. Je suis en train de boire mon café, lorsque je remarque un jeune homme assis à quelques tables. Il me fixe du regard. Avec son café, il a un verre d’eau du type « tube ». Tout en me fixant avec un sourire aguichant, il monte et descend ses doigts sur le tube.
Je dois rougir, mais le garçon me fait de l’effet. Il a flairé que je n’étais peut-être pas hostile à une relation avec un homme.
Son geste est discret pour les autres clients, mais suffisamment explicite. Dans un premier temps, je baisse les yeux ou je fais semblant d’admirer le paysage, mais mon regard revient vers lui malgré moi. Je suis sous le charme et la domination de cet homme qui doit avoir vingt cinq ou trente ans. Je n’en reviens pas qu’il s’intéresse à un homme mûr comme moi.
Inconsciemment - ou volontairement - je ne sais pas, au lieu de saisir ma tasse par l’anse, je la prends directement entre deux doigts et je mime sa caresse. Je ne sais si c’est le geste qu’il attendait, mais son sourire s’élargit. Il me fixe intensément et lentement, il se lève.
Il se dirige vers la sortie, mais avant de tourner derrière le bâtiment, il se retourne vers moi, toujours le sourire aux lèvres.
Quand il disparaît de ma vue, j’ai un temps d’hésitation, puis lentement, je me lève et je me dirige vers là où il a tourné. Arrivé à l’angle, il est là, à quelques mètres. Il m’attend et me regarde, puis se tourne et continue lentement son chemin.
Arrivé à un embranchement vers la forêt, il se retourne à nouveau vers moi et s’enfonce au milieu des arbres.
J’hésite encore. Si je le suis, cela voudra dire que j’accepte son invitation. J’ai honte, mais le désir est le plus fort. Je ne me contrôle déjà plus. Je le suis, Rocky sur mes talons.
Il est là, à quelques mètres, appuyé contre un arbre et me regarde arriver. Je m’arrête et il me fixe toujours. Il a une main posée sur sa braguette et se caresse négligemment. Je franchis les derniers pas et j’arrive devant lui. Ses yeux me transpercent et toujours son sourire aux lèvres. Il est sûr de lui. Je suis face à lui, à quelques centimètres maintenant. Je ne sais quelle attitude prendre.
- « Je savais que tu viendrais ! J’ai tout de suite vu que tu étais une salope ! Viens me sucer ! »
Voilà. Tout est dit. Il a défini les rôles. Je serai sa femelle. Sans plus attendre, je m’agenouille. Rocky s’est couché à quelques pas, indifférent à ce qu’il se passe.
Je défais son pantalon, je l’ouvre et je le descend sur ses cuisses. Sous son caleçon, une belle bosse se dessine déjà. Je n’attends pas. Je baisse son dernier vêtement et sa bite jaillit. Un bel engin, bien gros, bien raide, surmonté par un gland en forme de champignon. Tout lisse. Rien que la vue me fait frémir de désir.
Je saisis le membre d’une main. Je respire son odeur qui finit de m’affoler et sans attendre, je lèche le bel orgasme. « Avale ! » L’ordre arrive et je ne peux qu’obéir. Je prends le gland entre mes lèvres et de la langue je titille le méat. Je suce le gros champignon comme un bonbon.
L’homme en veut plus. Il prend ma tête entre ses mains et me baise la bouche sans se préoccuper de moi. J’ai du mal au début et je suis à la limite de vomir, mais je parviens enfin à déglutir et avaler complètement le chibre jusqu’à la gorge.
La splendide queue durcit encore. Je masse les couilles rasées et sans prévenir, l’homme gicle dans ma bouche un quantité impressionnante de foutre que je suis bien obligé d’avaler.
- « Nettoie bien salope ! »
Je n’ai pas l’intention de me soustraire à cet ordre et soigneusement je récupère tout le jus sur la queue et le gland.
Une fois satisfait, l’homme se réajuste. Ma bite me fait mal dans le pantalon à force de bander. Quand l’homme a grogné en éjaculant. Rocky a relevé la tête et observé la scène, puis rassuré, il s’est rendormi.
Je me relève. L’homme a toujours son sourire ironique. Content d’avoir jouit.
- « T’es une bonne salope toi ! J’ai envie de te baiser ! On peut trouver un endroit plus calme, confortable et discret ? Ici ça craint !
- Si tu veux, j’ai un camping-car plus loin.
- T’as vraiment envie de te faire baiser toi !
- Oui ! J’ai envie de ta grosse queue dans mon cul !
- Je crois que je suis tombé sur une bonne pute. Tu vas voir ce que tu vas prendre ! Où il est ton camping-car ?
- Un peu plus loin sur le parking. Il faut que je récupère mon vélo à la cabane. tu n’auras qu’à me suivre. »
Je repars au restaurant, je récupère mon vélo et je reviens par le même chemin. L’homme attend. Je reprends le chemin et à un coude, j’oblique par la forêt pour rejoindre mon camion. Arrivé sur le parking, l’homme déclare :
- « Bel engin ! Il doit être confortable !
- Tu vas voir, il y a un grand lit. »
Rocky se couche sous l’habitacle. Je lui ouvre la soute, mais il fait meilleur à l’extérieur. Je lui donnerai à manger plus tard. J’ouvre la porte et je rentre. L’homme me suit en me mettant la main aux fesses. Il s’extasie devant l’aménagement. « Super ! »
Sans plus attendre, je me déshabille. Si d’habitude je vis nu dans mon « camion », ce jour là, je suis encore plus motivé pour l’être.
- « Dis-donc ! Tu es pressé de te faire mettre ! Je sens que je vais m’amuser !
- Tant que tu veux ! » dis-je en ouvrant la porte de la chambre.
- « Oh putain ! C’est top ! »
L’homme se déshabille à son tour. Je découvre enfin son corps d’apollon. Musclé, bronzé intégralement. Poilu sur le torse, les jambes, le ventre et les bras comme j’aime, mais rasé au niveau du sexe. Sa bite semble encore plus belle et impressionnante. Ses poils blonds et soyeux sont un régal au toucher. Je me colle contre lui pour sucer ses tétons. Je suis en transe. J’attrape la bite qui se redresse à nouveau. Je veux la sentir encore dans ma bouche.
L’homme se laisse faire un moment et se régale de ma gorge profonde. Déjà, il rebande fort.
- « Monte sur le lit ! Je vais te baiser salope ! »
Je ne pense même pas à lui donner une capote. A genoux au bord de la couche je lui présente mon cul. Je suis tellement trempé que son gros gland n’a aucune difficulté à m’empaler. Je le sens quand même bien passer. Il écarte mes chairs sur son passage, mais c’est un plaisir.
Bien planté en moi, il m’embroche d’un coup jusqu’aux couilles. Je ne suis plus qu’une poupée entre ses mains. La sodomie dure longtemps. Il est vrai qu’il s’est déjà vidé une fois. J’en profite pleinement. J’ai rarement été enculé aussi bien. Ce n’est pas douloureux et les sensations sont intenses.
J’attrape ma bite et je me branle en même temps. L’homme s’en rend compte et m’intime l’ordre de ne pas me toucher. J’obéis. Je sens monter en moi un orgasme anal fabuleux. Sans rien faire, je râle, je crie et mon gland laisse échapper mon sperme en coulant. Cela dure longtemps, plus qu’un orgasme habituel
Derrière moi, l’homme martèle mes fesses de son pubis à un rythme soutenu, m’apportant encore plus de plaisir. Enfin, il se raidit et je sens sa giclée en moi. Malgré la jouissance précédente, il m’en met encore une bonne dose qui remplit mon anus.
Je m’effondre sur le lit, terrassé par un orgasme gigantesque. Ravagé. L’homme qui n’est pas au mieux, se couche sur moi, m’écrasant de tout son poids. Son corps est brûlant. Je suis bien.
Il nous faut un moment pour nous remettre. Je sombre d’ailleurs dans le sommeil, mon homme repu à mes côtés.
Quand je me réveille, il est étendu sur le dos, toujours endormi. Sa bite demi-molle est posée sur son ventre et . Je ne résiste pas au plaisir de la sucer. Elle sent mon cul et j’aime ça. Sous ma langue, elle se réveille lentement et grossit encore.
- « Tu n’as en jamais assez toi ! Salope ! Tu vas me vider les couilles à ce rythme ! Mais dis-donc, tu es là pour un moment ?
- Je n’ai pas de programme défini. Je parcours toute la côte et je m’arrête parfois plus longtemps.
- Tu vas être ma femme pour la fin de la semaine, après je retourne à Paris.
- Pas de problème, je suis à toi tant que tu veux !
- Eh bien dis-donc toi, tu es une vraie salope !
- Je ne le suis pas tout le temps. J’aime aussi les femmes, mais j’ai envie d’être ta pute.
- T’inquiète ! Maintenant que je t’ai trouvé, je ne te lâche pas. Je n’ai pas souvent vu de pute comme toi. Tu vas m’héberger et je vais te baiser comme la salope que tu es ! C’est quoi ton nom ?
- Jacques.
- OK salope. Mois c’est Hervé, mais appelle moi monsieur.
- Je pourrais dire maître ?
- Si ça te fait plaisir, mais pas par mon prénom.
- Bien maître ! Bien Monsieur !
- J’ai faim ! Tu as quelque chose à manger ?
- Je vais voir.
- Tu restes à poil ici.
- Aucun problème ! C’est comme ça que je suis toujours à l’intérieur. »
Pendant qu’il mange, mon maître exige que je sois sous la table et que je le suce. Cela peut durer longtemps et la position est fatigante, surtout pour mon cou et mes reins.
Dans l'après-midi, après m’avoir baisé encore une fois, Hervé me laisse.
- «Je serai de retour pour sept-heures ! » M’a dit mon maître. « Je vais chercher mes affaires et faire un tour à la plage ! » Je ne suis pas convié à y aller avec lui.
J’en profite pour aller faire courir Rocky. J’ai un peu mal au cul sur la selle et j’ai l’impression que du sperme coule dans mon cycliste, pourtant, j’ai pris une douche et me suis bien nettoyé. Après deux heures de course et de temps de repos, Rocky a pu s’ébrouer dans l’océan et a adoré ce moment, nous rentrons. Il reste une bonne demi-heure avant le retour de mon maître. Je donne à boire et à manger à mon chien en pensant bien que plus tard, je serai occupé…
J’attends, mais il ne revient pas. Il est presque vingt-heures quand Hervé fait son retour. Il n’a pas d’explication à donner et je n’ai pas à savoir pourquoi. Je prépare le repas de mon homme. Comme il se doit, je suis ensuite sous la table pendant qu’il mange.
A la fin du repas, il me penche dessus et me baise. Il a repris des forces et refait ses réserves. Sans se préoccuper de mon plaisir, il me sodomise sans tendresse, mais peu m’importe. Je suis là pour son plaisir et tant pis si le mien n’arrive pas.
Même si je ne jouis pas, je prends beaucoup de plaisir à être son vide couilles. Je sens même monter en moi, le début de ma jouissance, mais mon homme n’en a cure et il jouit à nouveau dans mon cul.
Je pars me vider sur les toilettes et me nettoyer, non sans avoir nettoyé la bite de mon maître de la bouche. Il faudra d’ailleurs que je fasse un lavement, car j’ai dû aussi avaler quelques résidus de mon rectum, moins agréables.
Après cela, Hervé déclare qu’il sort en boîte avec des amis.
- « Tu n’y vois pas d’inconvénient ? On va sur la plage et après on va en soirée. Ce soir, je ne t’emmène pas, mais qui sait, une autre fois, je leur montrerai ma vieille pute et peut-être que tu devras éponger d’autres bites.
- Si tu le désires…
- Tu es vraiment une pute à jus ! Je ne sais pas si j’ai envie de montrer que je me tape une vieille salope, mais pourquoi pas ? Je ne sais pas à quelle heure je rentre, tu laisses ouvert.
- Il y a une fermeture centralisée, tu n’auras qu’à taper. »
Je dors profondément quand j’entends frapper « Ouvre salope ! » Je me dépêche d’ouvrir et mon homme entre.
- « Ah putain ! Il y a un mec qui m’a chauffé toute la soirée et m’a laissé en plan ! Tu vas prendre cher ma salope ! » A peine nu, il monte sur le lit et veut me prendre. Je lui demande de me baiser sur le dos. « Ah vieille pute ! Tu es vraiment une femelle ! Allez ! Lève tes jambes ! »
A peine en position, mes jambes soutenues par mes bras, il pointe son dard sur ma corolle et sans préliminaire, il s’enfonce. Mon anus s’est refermé et n’est pas lubrifié, je n’ai même pas eu le temps de mettre du gel. J’ai mal, mais il n’en a cure. Il force mes sphincters et je crie. « Ah putain ! Tu es bien serrée salope ! C’est bon ! Je vais t’éclater le cul comme il faut.
Ça y est, il est en moi et s’enfonce complètement. Sa bite écarte mes chairs et il bute au fond. Il reste un peu sans bouger. Ce répit me permet de me reprendre. Il commence alors à me sodomiser lentement, puis accélère. La douleur fait place à une chaleur qui monte en moi. Je passe mes jambes sur ses épaules et il me défonce encore plus, sans se préoccuper de moi. Ma queue est toute ratatinée par la douleur, mais j’ai l’impression que je vais jouir. Ma bite me fait mal comme si elle était tendue avant l’orgasme. C’est à la fois douloureux et terriblement bon.
Mon homme est bien dur et son gros champignon laboure mon rectum, écartant tout sur son passage. Il souffle, il transpire mais ne jouit pas. Il ressort de mon cul pour mieux y replonger, déclenchant en moi une montée de plaisir. Je gueule et il me ferme la bouche d’une main.
- « Tu vas ameuter tout le monde salope ! Attend ! Tu vas venir sur moi. Je suis crevé ! »
Il décule, se couche sur le dos et je l’enjambe pour m’empaler à nouveau sur son sexe bandé. Je le guide dans mon cul et l’enfile jusqu’au fond. Mes cuisses sur les siennes. Appuyé en arrière sur ses jambes je monte et descend sur ce monstre qui me remplit. Je souffle sous l’effort, je suis en nage mais je ne m'arrêterais pour rien au monde.
Je n’en peux plus, je sens monter ma jouissance. Mon sperme gicle du méat et asperge son ventre et son torse. Mon anus palpite, s’ouvre et se ferme sur sa turgescence en provoquant sa jouissance.
- « Ah salope ! Tu jouis ! Tiens ! Prend ça ! »
Il se cambre et je le sens gicler en moi. Je suis vidé et à la fois rempli de sa semence. Je m’effondre sur lui cherchant sa bouche pour l’embrasser. Nos corps ruisselants ont ravagé les draps. Il fait chaud dans l’habitacle et une odeur de foutre règne. Se reprenant alors, mon maître me repousse sur le côté.
- « Salope ! Tu as giclé sur moi ! Nettoie ton foutre avec ta langue. Qu’il ne reste rien ! »
Je m’acquitte de ma tâche en récupérant tout mon jus, de la base de sa hampe où il est mélangé au sien, jusqu’à la poitrine en léchant ses tétons. Je termine par sa queue engluée de sperme. Je sens aussi qu’il en coule de mon cul et tâche les draps.
Épuisés autant l’un que l’autre par cette chevauchée, nous sombrons dans le sommeil au milieu des draps poisseux.
Un peu plus tard dans la nuit, je suis réveillé par mon homme qui tente de me prendre à nouveau. Je suis couché en chien de fusil de dos contre lui. Il relève ma jambe et se guide en moi. Mon cul encore rempli de son jus, l’accueille sans problème. Les muscles n’ont pas eu le temps de reprendre leur forme serrée.
Il passe un bras autour de moi et me pince un téton. Mélange de douleur et de plaisir qui me fait aussitôt bander.
Pour une fois, mon maître touche ma queue pendant qu’il m’encule.
- « Mais dis-donc ma salope, tu bandes ! Ça te plaît de te faire enculer au réveil !
- Oh oui ! C’est bon ! J’aime ta bite. Elle me remplit bien le cul. Branle-moi bien je vais juter !
- Ah vieille pute ! Tu es bien dur pour un vieux pédé.
- Je ne suis pas pédé ! J’aime aussi les femmes !
- Qu’est-ce qu’il te faut salope ? Ça fait deux jours que tu te fais enculer et tu en redemandes !
- Oui ! C’est vrai ! En ce moment, je me sens femelle dans tes bras. J’aime ta peau et ton odeur de mâle, mais il y a quelques jours ici même, je baisais une femme et j’y retournerai ensuite quand tu seras parti.
- En attendant, t’es un pédé.
- Si tu le veux, oui. Je suis ta vieille pédale, ta fiote, ta lope, comme tu veux. J’aime que tu m’encules et j’aime sucer ta belle queue. Elle est bonne ta bite ! Défonce-moi le cul ! Ah oui c’est bon !»
Hervé est bien excité par mes mots et il redouble de vigueur entre mes fesses. Il abandonne ma bite, agrippe ma hanche et se consacre à son propre plaisir. Il grogne et enfin se fige quand il éjacule dans mon cul.
Il reste en moi le temps que son sexe se rétracte. Je reste éveillé alors qu’il s’endort, heureux de sentir encore sa bite en moi et de sentir son sperme dans mon cul.
Le matin, je me réveille baignant dans du jus plus ou moins séché. Je ne sais pas si mes draps seront récupérables. En tout cas, pendant un moment peut-être, je les garderai en souvenir.
Mon homme dort encore. Je sors pour soigner le chien. Il fait déjà bon dehors. Je déploie l’auvent et j’installe la table pour le petit déjeuner.
Je suis à la cuisine à préparer croissants au four, jus d’orange et toasts, lorsque Hervé sort de la chambre. Il n’est pas douché et son odeur de mâle m’excite déjà.
- « Mais dis-donc salope, je croyais t’avoir dit d’être à poil ?
- Je suis sorti et je nous ai préparé la table pour le petit déjeuner, j’ai oublié…
- Bon je te pardonne pour cette fois. Tu veux vraiment qu’on te voit avec moi dehors ?
- Les gens pourront penser que tu es mon fils.
- C’est ça oui ! Tu as envie de montrer aux autres qu’un beau mâle te tire.
- Peut-être aussi ». Je ne lui dis pas que pendant qu’il dormait, j’ai fait des photos de lui, nu sur le lit, sa belle bite à moitié bandée et déjà imposante me donnait des frissons.
- L’inconvénient, c’est que tu ne pourras pas passer sous la table pour me sucer pendant que je mange.
- Je te sucerai à fond après. Je te rassure, j’en ai autant envie que toi.
- Qu’est-ce que tu vas faire aujourd’hui ? Moi j’ai à faire, je rentrerai tard cette nuit, si je rentre
- Je vais en profiter alors pour aller me balader avec le chien, il faut le faire courir. On va faire une cinquantaine de kilomètres. On ira aussi sur la plage côté océan pour se baigner, il adore jouer dans les vagues après avoir couru.
- A ce soir alors, mais avant, tu sais ce qu’il te reste à faire ?
- Oui mon maître ! Venez que je vous suce la bite. Je débarrasserai après. »
Hervé s’installe dans le fauteuil de conduite qu’il fait pivoter vers l’arrière. Il s’y étale. C’est alors qu’il relève ses jambes.
- « Tu vas me bouffer le cul salope ! » Il ne me l'avait pas encore demandé, mais je suis tout heureux de le faire. Entre ses fesses, ça sent fort. Un mélange d’odeur corporelle, de sperme et de cul. J’adore !
Ma langue fouille son anus au milieu de quelques poils blonds que je suce. Mon maître joue de ses muscles pour ouvrir et fermer son cul. Je tente d’y entrer ma langue au maximum et ses soupirs de contentement prouve qu’il apprécie ma caresse.
Pendant ce temps, il se branle. Je suce aussi ses couilles et en prends en bouche.
- « Allez, viens, maintenant, tu vas prendre la crème pour ton petit déjeuner ! »
J’attrape ses boules dans une main pour les rouler doucement, et j’avale aussitôt son membre bien rigide. Je me régale d’avoir la pine de ce beau jeune homme en bouche. Il n’a même pas la moitié de mon âge et jusque là il me dominait, mais en ce moment, c’est moi qui suis le maître de son plaisir. Je fais durer ma pipe matinale. J’alterne les gorges profondes avec le léchage de la hampe et la succion du gros gland ; C’est maintenant lui qui est demandeur. Il me presse de le finir, mais tant que je peux, je le maintiens à la limite de l’éjaculation.
Il finit par attraper ma tête, me fourre toute sa bite dedans et me « baise la gueule » Je ne suis plus qu’un instrument. Il m’utilise pour son plaisir et j’aime aussi ça. Je l’absorbe maintenant au fond de ma gorge, sans problème. Je suis un pro de la pipe.
D’un coup, il se lâche et gicle en moi.. Une partie part directement dans mon gosier. Ses grosses giclées me remplissent la bouche, mais je ne laisse rien échapper, j’avale tout et en suivant je nettoie sa bite jusqu’à qu’il ne reste rien.
- « C’est bien ma salope ! Tu en as bien profité aussi !
- Oh oui ! J’ai adoré te lécher le cul et boire ton sperme. Il est délicieux !
- Bien. Maintenant je me douche et je m’en vais ! »
Après son départ, je reste un moment nu. Son odeur sur moi est aphrodisiaque. Je me branle en regardant ses photos que j’ai chargées sur mon ordinateur. Je fais durer ma masturbation et quand j’éjacule sur moi, ma jouissance est énorme.
Je passe à la douche, je m’habille, ce qui me paraît alors incongru, je fais le ménage, je change les draps du lit et je les fourre dans le lave-linge. Dehors, je range la table et les chaises, je referme l’auvent puis je prépare mon vélo.
Rocky a bien senti que nous allions nous promener. Il est excité. Je lui passe le harnais, je ferme le camion et nous partons pour une longue balade.
Au début, je reste dans la forêt car je sais que mon chien, vite après le départ, a besoin de se soulager. Cela m’évite de ramasser sa crotte. Ensuite, c’est parti pour une bonne heure. J’alterne grande course et petit trot pour le soulager. Parfois aussi, j’enclenche l’assistance électrique du VTT dans les parties sablonneuses en dehors des sentiers.
Nous remontons jusqu’à la plage du Truc vert. Je détache Rocky et nous filons dans l’eau pour une baignade apaisante. Après une heure, nous repartons vers le Petit Piquey où je déguste bien sûr des huîtres, avec une sole. Rocky bois une bonne quantité d’eau. Je le limite malgré tout, car au retour, nous avons une longue course. Il n’y aura pas d’arrêt avant d’arriver au camion.
Tout au long des vingt kilomètres du parcours, on se régale, autant Rocky que moi. Je filme un moment la course et je prends des photos.
Après avoir dételé Rocky, je me change et je décide d’aller me baigner et de baigner Rocky devant le bar restaurant voisin. Je pars à pied, en mode promenade et Rocky me suit tranquillement, sans être attaché. Une laisse n’est pas utile avec lui. Je ne la lui mets que par obligation en ville… et encore.
Sur la terrasse où j’ai rencontré Hervé, il n’y pas grand monde. Je prends une bière et demande une écuelle d’eau pour mon chien. Nous allons nous baigner. Rocky se régale dans cette eau du bassin sans vagues. Je profite de ce moment pour faire des apnées. Au fond de l’eau vers cinq ou six mètres je découvre des cadavres de bouteilles et de canettes.
Au retour sur la terrasse, le patron qui profite d’un moment de calme pour fumer une cigarette, est intéressé par Rocky. Il le trouve très beau.
- « Il n’est pas méchant ?
- Pas du tout.. enfin, si on ne me touche pas !
- Il vous obéit ?
- Oui. Et quand je le fais courir, je n’ai qu’à le commander.
- Vous l’avez dressé ?
- Oui, je l’ai eu tout jeune. Il a été élevé tout petit avec une poule, un chat et un mouton à ses côtés, ce qu’il fait qu’il ne les attaque pas. Ensuite, quand il a été sevré, je l’ai pris avec moi et je lui ai appris les commandements et les règles de conduite. Il n’y fait jamais défaut.
- C’est un chien de garde ?
- Pas vraiment, même s’il surveille et signale des intrus. C’est aussi une compagnie, mais il a besoin de courir. Ce n’est pas un chien d’appartement.
- Il mange beaucoup ?
- 300 grammes de croquettes par jour, jamais de viande, sauf des os et rarement du pain rassis.
- J’aimerai avoir un chien comme lui.
- C’est un Husky sibérian. Il est LOF
- C'est-à-dire.
- Il a un pedigree et des papiers. Je connais son père et sa mère.
- Ah bon ?
- C’est mon fils qui m’en a fait cadeau, il est éleveur.
- Et… Ça vaut combien un chien comme ça ?
- 800 euros pour un mâle et 900 à 1000 pour une femelle.
- Ah oui ! Et.. votre fils, il en vend ?
- Oui, bien sûr ! Il choisit tout de même à qui il les vend. Il faut quelqu’un de sérieux, qui ne vive pas en appartement et qui s’engage à le soigner. D’ailleurs, il suit et contacte régulièrement les nouveaux propriétaires, surtout au début.
- Il en a en ce moment ?
- Je pense qu’il fera une portée à l’automne. Après il faut attendre 3 ou 4 mois pour l’avoir quand il sera sevré, mais il vaut mieux réserver pour le choisir vite. Il y a de la demande.
- Vous allez me donner ses coordonnées. Ça m’intéresse. C’est une race qui me plaît. Ils sont très beaux.
- Et très affectueux, y compris avec les enfants.
- Vous ne l’attachez jamais ?
- Sauf quand je suis obligé de le tenir en laisse et quand je l’attelle à mon vélo pour courir, mais il aime ça. Voyez, aujourd’hui, nous avons fait presque cinquante kilomètres, dont au moins la moitié d’une traite. Il a adoré.
- Je peux le caresser ?
- Bien sûr ! Vous ne craignez rien, surtout avec moi à côté. Dites, au fait, j’ai fais un peu de plongée devant chez vous. Au fond de l’eau, il y a plein de bouteilles et de canettes vides. Ce pourrait être dangereux et ça fait sale.
- Ce sont les jeunes qui viennent la nuit sur la plage pour faire la fête ! On a beau mettre des poubelles, ils s’amusent à les lancer dans l’eau. C’est dégueulasse. Je ne sais comment faire pour nettoyer.
- Je pourrais vous aider.
- Comment ça ?
- Je fais de la plongée. Je suis équipé. Il suffirait d’une petite barque pour me signaler et que j’y dépose mes « trouvailles ».
- Vous avez des bouteilles pour plonger ?
- Non, je fais de l' apnée. J’adore ça. Ici, il n’y a pas beaucoup de poisson, ni de flore, c’est ce qui m’a frappé. C’est pour ça que j’ai été voir au fond. Je ne pourrais pas en sortir des tonnes, mais ce sera déjà ça. Je pourrais le faire en journée, comme cela les gens verront ce que je sors.
- Vous me prendriez combien pour faire ça ?
- Je ne veux pas d’argent.
- Alors, vous aurez ici table ouverte tant que vous voulez rester.
- Je ne dis pas non. Jusqu’à dimanche je suis occupé, mais ensuite, pourquoi pas.
- Vous logez où ?
- J’ai mon camping-car sur le parking derrière à 150 mètres.
- Ah oui! Je l’ai vu ! Bel engin dites-moi.
- Oui pas mal
- Vous n’avez pas été embêté ?
- Non, pas du tout.
- Parfois la police municipale passe en vélo. Ils n’aiment pas que ces véhicules stationnent trop longtemps en dehors des campings. Si vous voulez, vous pourrez le mettre derrière la cabane.
- D’accord. Je viendrai dimanche soir ou lundi.
- C’est la fin de la saison. Il n’y aura aucun problème. Même le dimanche soir, ne vous gênez pas. Une autre bière ?
- Non merci. Je vais rentrer on…va m’attendre
- Ah pardon ! Votre femme ?
- Je.. non.. Je fais des visios avec ma famille et des amis tous les soirs (pieux mensonge), Je raconte mon voyage.
- Bon d’accord, je n’insiste pas. Bonne soirée ! »
Je retourne au camion et je me prépare à manger. Rocky a englouti sa gamelle et je remplis à nouveau celle de l’eau. Il est couché sous le camion comme d’habitude.
Après avoir publié les photos et les commentaires de la sortie vélo sur mon blog, je m’installe sur le fauteuil conducteur et je regarde la télévision en attendant Hervé. Je suis « accro » et je ne pense à rien d’autre. D’ailleurs, je me suis mis nu, comme il me l’a demandé, ce qui me plaît aussi.
Il est presque minuit lorsque Rocky me signale l’approche de quelqu’un. J’ai installé un dispositif sous le camion par lequel il tire une ficelle et une petite cloche sonne à côté du lit. Pratique et discret !
Hervé entre et surprise, il est suivi par un autre garçon d’à peu près son âge.
- « Je te présente Kevin. Je lui ai parlé de toi.
- Ah ! C’est ta pute ? Pas mal pour un vieux ! Et il est déjà à poil !
- C’est la règle ! Il doit être prêt ! Allez salope ! Viens souhaiter la bienvenue comme il se doit à mon copain ! »
Inutile de le faire répéter. Je m’avance vers Kevin, je m’agenouille et je descend son short bermuda. Sa bite est encore molle, mais je la prends aussitôt en bouche. Mes « talents » de suceuse, comme dit Hervé, ont tôt fait de lui donner une belle rigidité.
Pendant ce temps, mon « maître » s’est déshabillé et me présente lui-aussi, son membre dressé. Je me retrouve avec deux bites que je suce et branle alternativement.
Kevin est assez maigre, disons sec et musclé. Sa queue est plus courte que celle d’Hervé, mais aussi épaisse, ce qui sur son corps donne une impression superbe.. Je me régale en cajolant ces deux jeunes éphèbes pleins de vigueur.
- « On peut le baiser ?
- Bien sûr ! On est là pour ça ! Par contre, tu mets une capote. Tu en as salope ?
- Oui, bien sûr !
- C’est vrai que je n’ai jamais pensé à te baiser avec. J’espère que tu es clean !
- Bien sûr ! Si cela n'avait pas été le cas, je te l’aurais dit.
- C’est bien ma pute.Va dans la chambre, on te suit. »
Kevin s’extasie devant le décor et l’espace, surtout de la dimension du lit. Hervé s’allonge dessus, la tête relevée sur les oreillers. Je me mets à genoux entre ses jambes et j’avale son gros engin avec délice.
J’ai sorti les préservatifs d’un tiroir et pendant que l’autre en enfile un, je mets du gel dans mon cul en enfonçant deux doigts. Le passage est fait, mais autant que l’intromission se fasse avec plaisir pour moi.
Je sens que Kevin se positionne et son gland vient frapper à ma porte étroite. Je me cambre pour lui faciliter le « travail » et il s’enfonce en moi sans problème. Je suis « pris » par les deux bouts. La bite de mon maître me remplit bien la bouche. En me retirant, je suce son gros gland comme un bonbon, ou le lèche sa hampe bien raide, sans oublier de rouler ses bourses dans la main.
Derrière moi, l’autre ne fait pas dans la dentelle et il me pilonne avec force. Je sens qu’il ne va pas tenir longtemps. Il ahane bruyamment avec des commentaires salaces. » Oh la bonne pute ! Ce cul qu’il a ! Il aime ça en plus ce vieux pédé ! Je vais te remplir le cul tu vas voir !
Effectivement, dans un dernier effort, il se contracte et lâche son jus dans la capote. En grognant. Le camion, vu de dehors doit être bien agité ! Heureusement que j'ai descendu les vérins.
Il se retire, enlève sa capote et y fait un nœud. Un bon point pour lui. Voyant qu’il a terminé, mon homme a envie de prendre la suite.
- « Viens te mettre sur moi ! Tourne-toi vers lui qu’il voit comment je t’encule ! Tu vas voir comme il aime se prendre de la queue ! »
Je me retourne, j’enjambe Hervé et je m’accroupis au-dessus de son membre. Il le tient dressé et le positionne sur ma pastille. Je n’ai plus qu’à me laisser descendre dessus.
Alors, dressé sur mes bras à l’arrière et sur mes pieds, je monte et descends sur le sexe bandé. Mon sexe ballotte entre mes jambes face à Kevin et regarde le spectacle.
- « Dis-donc ! Mais il bande ce vieux salaud ! Il aime se faire enculer. Pas trop mal sa bite tout de même ! »
Je fatigue un peu malgré tout et Hervé prend le relais en me défonçant à son tour. Quand je reprends ma « chevauchée », il soutient mes fesses avec ses mains, rendant mon effort plus facile.
- « Fais-toi nettoyer la bite ! Lance-t-il à Kevin. Sa bouche va te redonner de la force.
- Oh putain ! C’est trop top de le voir cavaler sur toi. C’est la première fois que je vois un mec de faire prendre comme ça ! Oh putain ! Il jouit le con ! »
En effet, sous l’effet de la bite en moi, mon sperme jaillit par saccades, vrillant mes reins. Je suis en nage, autant par ma « gymnastique », que par la jouissance qui m’a pris. Je ne peux plus bouger, assis lourdement sur le bassin d’Hervé, sa queue enfoncée au fond de mon cul.
Sans sortir de moi, il me bascule à plat sur le lit et me défonce sauvagement. Je suis comme une chiffe molle. Bien serré dans mon boyau, mon maître se déchaîne. Il veut sans doute aussi prouver à l’autre que je suis sa chose.
Il martèle mes fesses de son bassin, mais cela ne lui suffit plus. Il agrippe mes hanches et relève mon cul pour me prendre en levrette. Un fois positionné, il s’acharne et je reçois bientôt sa semence dans mon cul, dans une sorte de brouillard.
Les deux garçons m’abandonnent sur le lit où je récupère et vont vider une bière au salon en se racontant des blagues salaces sur mon compte et en se vantant du fait de baiser cette vieille lope.
- « Je peux encore ? Demande Kevin
- Bien sûr, fais-toi plaisir mon pote !
- Après je dois partir, mais j’ai envie d’en profiter encore un peu. »
Je relève la tête et je vois arriver Kevin, nu comme un ver, la bite tendue devant lui paraît encore plus imposante. Il est beau gosse, même si j’aime les mecs plus musclés. Pour le provoquer et parce que j’aime cette position, je bascule sur le dos, je relève mes jambes en les écartant.
- « Regarde cette salope ! Elle a envie que je la baise comme une femme !
- Oui ! Elle aime comme ça ! Une vraie pute à jus. Vas-y ! Démonte-la ! »
Je lui tends un préservatif. Une fois enfilé, il vient taper avec sa queue sur la mienne et sur mes couilles, aidé de sa main. Il descend et vient taper sur mon trou qui attend.
- « Oh la salope ! Il coule de ton foutre qui sort de son cul ! Tu l’as bien graissé mon salaud !
- C’est un plaisir de remplir sa chatte. Au moins, tu n’as pas besoin de gel.
- Il est bien ouvert et ça rentre tout seul ! Je vais bien te baiser, j’ai bien l’intention d’en profiter ! »
Bien planté en moi, Kevin me ramone en cadence, comme un métronome. Sa bite tape bien sur ma prostate. J’ai l’impression d’être prêt à jouir en permanence, pourtant rien de vient. C’est atroce et délicieux à la fois.
Quand Kevin se penche pour changer de position, je tente de l’embrasser.
- « Ça va pas non ? J’suis pas pédé moi pour embrasser un homme !
- Ah non ? T’es pas pédé ? On appelle comment un homme qui en baise un autre ?
- Toi t’es peut-être pédé, mais pas moi ! Je me fais pas enculer moi et je suce pas des bites !
- Comme tu veux ! Alors baise-moi et fais le bien ! Fais-moi jouir !
- Je m’en fous que tu jouisses ou pas ! Je suis là pour mon plaisir, pas pour le tien !
- Heureusement que ton copain pense aussi de temps en temps à moi. Tu as vu tout à l’heure comment il m’a fait gicler ?
- Tais-toi salope ! Hervé, viens ici et fourre-lui ta bite dans la gueule que je ne l’entende pas cette pute! »
Mon « maître » ne se fait pas prier, il monte sur le lit, m’enjambe et pose ses fesses sur mon torse. Il me tend sa bite à sucer. Pour narguer l’autre, je lance « Elle sent mon cul et le sperme ! J’adore ! » C’est tout ce que je peux dire. Hervé enfonce sa bite dans ma bouche.
Comme il a déjà juté tout à l’heure, Kevin est endurant et mon cul commence à me chauffer. Je n’ai rien à dire et de toute façon, je ne peux rien dire avec la queue d’Hervé qui remplit ma bouche.
Le coït dure longtemps, trop longtemps pour moi. Hervé ne veut pas jouir dans ma bouche, aussi il se relève et se couche à mes côtés. Lui m’embrasse au grand dam de son copain. Ça a au moins un avantage, c’est que celui-ci accélère ses coups de queue et finit par jouir. Il s’écroule sur le côté, vidé pour le compte.
Peu après, il nous laisse après avoir éclusé une autre bière. Il rote, sort et va pisser contre le mur des toilettes. Ça me rappelle la chanson « Amsterdam » de Jacques Brel.
Je ferme à clé derrière lui, j'éteins la lumière au salon et je retourne au lit, où Hervé s’est endormi. Lui aussi sent la bière et va vite ronfler.
Plus tard dans la nuit, à son habitude, il me réveille pour « tirer un coup » et se rendort.
En partant dans la matinée, il m’annonce que le soir on ira faire la fête sur la plage avec des mecs. « On va passer une bonne soirée ! C’est la dernière avant mon départ ! »
J’aurais préféré passer cette dernière nuit seul avec lui, mais je n’ai rien à dire contre sa volonté. Après tout, je ne suis que « sa salope, juste bonne à baiser et à remplir de foutre ! » dixit mon « maître »
Je pars faire une balade avec Rocky. Moins longue que la veille, mais suffisante pour qu’il prenne plaisir. Baignade et repas sur la plage de la pointe tout au bout de la presqu’île et retour au camion. Je nourris Rocky qui s’installe pour la nuit et je file à la douche. Toilette soignée et intime, rasage complet, je tiens à être impeccable pour ma dernière nuit avec mon amant.
Après vingt heures, Hervé arrive. Tenue décontractée, j’ai l’air un peu con avec ma chemise et mon pantalon plutôt chic. Je vois le sourire de mon amant, mais il ne dit rien.
- « On y va ?
- Je te suis ! Où va-t-on ?
- On va manger au « Moules and Beef » et après on finit sur la plage du mirador. On y va à pied.
- OK.»
Le « Moules and Beef » n’est pas le genre de resto que je fréquente à priori. C’est néanmoins plaisant avec une ambiance jeune.
A notre arrivée, trois garçons et une fille sont là. Parmi eux Kevin, qui fait semblant de ne pas me connaître. Apparemment on attend d’autres convives, car la table où ils sont installés est plutôt grande. Alors qu’on attaque la première tournée de bières, cinq autres jeunes arrivent. Trois garçons à nouveau et deux filles.
Le repas est joyeux et la bière coule à flot, trop à mon goût et j’évite deux ou trois tournées, sous prétexte de l’âge.
Il est un peu plus de vingt trois heures lorsqu’on quitte l’établissement. Chacun a payé son écot et j’ai insisté pour que ma part soit égale aux autres, même si j’ai moins bu qu’eux.
La troupe est un peu ivre et cela ne risque pas de s’arranger quand je vois deux garçons sortir deux packs de bière chacun du coffre de leur voiture ! Un autre prend sa guitare.
Tout le monde se retrouve sur la plage la plus au Sud du « Ferret ». Elle est déserte à cette heure et ça sent le bain de minuit, ce qui n’est pas pour me déplaire.
L’heure « officielle » n’est pas encore atteinte, que tout le monde est déjà à poil. Les filles sont plutôt jolies, même la « petite grosse » de service, qui une fois nue, me plaît bien.
Après le bain, retour sur le sable et personne ne pense à se rhabiller. Les filles sont entreprises par un ou deux mecs chacune, sauf la petite grosse, dont j’ai appris qu’elle s’appelle Sophie.
Voyant qu’elle est seule, je me rapproche d’elle. Nous commençons à parler. Nous sommes même très proches.
- « Tu ne te mélanges pas aux autres ?
- Ce sont plutôt eux qui m’ignorent. J’ai l’habitude. Je n’aime pas boire non plus. Et puis, depuis toute petite, je suis le « vilain petit canard »
- Je ne te trouve pas vilaine du tout.
- Tu es gentil, mais je sais comme je suis.
- Eh bien moi, je te trouve plutôt jolie.
- Ne te moques pas !
- Pas du tout et ..pardon mais… comme ça, tu es plutôt… attrayante ! Excuse-moi ! Je ne veux pas te paraître comme un vieil obsédé…
- Tu n’es pas vieux !
- Là c’est toi qui es gentille.
- C’est vrai ? Tu ne me trouves pas laide ?
- Sûrement pas ! Tu as de beaux yeux, une jolie frimousse et … tes formes sont…
- Je suis grosse !
- Il se trouve que j’aime aussi les femmes rondes et tu as des… arguments !
- Tu me gênes !
- Pardon ! Je ne voulais pas…
- Ce n’est pas ça mais je ne suis pas habituée à ce qu’on me dise ces choses. Mais… j’ai l’impression que je te fais de l’effet ! C’est pour moi ça ? » Elle baisse son regard sur mon ventre où ma bite s’est redressée
- « Je crois que oui.
- Pas mal pour un soi-disant vieux ! C’est vrai qu’il y a de jolies filles autour.
- Je ne les regarde pas, c’est toi que je vois.
- Je... »
Nous sommes interrompus par la remarque acerbe de Kevin.
- « Regardez ! Le vieux pédé qui drague Sophie ! Il aimes les thons ! » Tous rigolent.
- Je… Tu es un con !
- Tu ne disais pas ça hier quand tu me suçais et que je t’enculais !
- Quoi ? Dit une fille. Tu t’ai fais un mec ?
- Oh tu sais, la bouche ou le cul d’un mec, c’est comme une fille ! C’est lui le pédé. Une vraie pute ! Pas vrai Hervé ?
- Oui, une sacré salope ! D’ailleurs les mecs, je vous propose de nous le faire. »
Les garçons sont rapidement autour de moi et me présentent leurs bites, pas toutes raides. A genoux sur le sable, je passe de l’une à l’autre. Hervé se couche et réclame :
- « Viens ici me sucer salope ! Vous autres, occupez-vous de son cul ! »
Il vont tous se succéder en moi, se faire sucer, proférant des insultes. Même les filles vont s’y mettre et enfiler leurs doigts dans ma rondelle. Elles sont aussi excitées et saoules que les garçons. L’alcool les désinhibe.
Hervé m’a laissé et s’occupe de sa compagne du soir . A un moment, une tête passe sous mon ventre et une bouche s’empare de ma queue. Sous l’effet de la langue et des lèvres et aussi de la bite qui me défonce. Je jouis. L’orgasme me vrille les reins. La bouche ne se retire pas et avale ma semence, puis nettoie ma bite.
Pendant une bonne heure, je suis leur jouet. A la fin, les garçons debout, se branlent au-dessus de moi et me couvrent de sperme. Je me précipite dans l’eau pour me laver, sous les rires gras.
La soirée se termine. Je m’aperçois que Sophie n’est plus là. Tout le monde se rhabille. C’est alors que Hervé me dit. :
- « Tu me donnes la clé de ton camion, que j’aille m’amuser avec Hélène ?
- Non. Tu ne l’auras pas ! Mon camion n’est pas un lupanar et il n’est pas question que tu t’en serves pour baiser avec ta copine.
- Ne fais pas le malin ! Donne-moi la clé !
- Même si tu me la prends, tu ne rentreras pas !
- Tu comptes m’en empêcher ?
- Pas moi non. Mais Rocky sûrement !
- Tu crois qu’il me fait peur ton bâtard ?
- D’abord, ce n’est pas un bâtard, il est de pure race et ensuite, si je lui ordonne, il te montrera ce qu’il en coûte de forcer ma porte.
- Bon.. Ça va ! Garde-le ton camion !
- Oui. Et quand tu viendras, tu récupéreras tes affaires. Je ne sais pas si vous le savez les autres, mais ce macho a passé plusieurs jours avec moi pour me baiser dans mon camion. Maintenant il fait le beau avec les filles , mais il est aussi gay.
- Je ne te permets pas…
- Pourquoi ? Se faire sucer et baiser un mec dans tous les coins d’un camping-car et dans toutes les positions, y compris au réveil en cuillère, ce n’est pas être homo ? Au moins n’ai pas honte d’être bi. Moi, je ne m’en cache pas. Puisque tu dois partir aujourd’hui...
- Tu pars ? Demande Hélène, surprise. Tu m’as dis que tu restais !
- Tu vois, pour te baiser, il dirait n’importe quoi. Bon, arrangez-vous entre vous. Je ne suis pas sûr que vous soyez fiers de votre soirée, tous autant que vous êtes, mais moi, je vous abandonne. Merci tout de même pour la partie de baise. »
Je retourne au camion. Rocky me fait la fête en sortant de dessous. Je vérifie qu’il a suffisamment d’eau et je me couche.
Dans la matinée, Hervé arrive assez penaud. Je le reçois sur la porte, sans le laisser rentrer.
- « Excuse-moi pour cette nuit ! Je peux rentrer pour me doucher et me changer ?
- Tiens ! » J’attrape son sac que j’avais préparé derrière moi et je le jette à ses pieds.
- S’il te plaît !
- Je t’ai assez vu. La récréation est terminée. Maintenant tu fous le camp !
- Je.. » Il semble vouloir approcher
- « Rocky ! Maki ! »
Rocky s’approche. Se couche à un mètre de Hervé, la tête haute et il grogne en montrant ses dents.
- « Tu ne vas pas ?…
- Moi, non. Prend ton sac et casse-toi !
- Salope !
- Oui ! C’est ça ! Dégage ! »
Il ramasse son sac et s’en va. A une dizaine de mètres, il se retourne et me fait un doigt d’honneur en ricanant et enfin disparaît.
J’ai fais le fanfaron, mais je suis un peu triste que cette histoire se termine ainsi. Grâce à lui, j’ai passé de très bons moments et il m’a bien baisé. J’adorais son odeur de mâle, son corps musclé et sa queue magnifique, mais il a tout gâché.
Tout à l’heure, je déménagerai le camping-car à la cabane. Ma « mission » me fera oublier les dernières heures. Je ne garderai que les bons moments de mon aventure avec ce jeune et beau garçon.
Après déjeuner, je profite de ma liberté retrouvée pour faire du rangement et du nettoyage dans mon camion, que j’ai un peu délaissé pendant la présence de Hervé.
La chambre d’abord, avec changement des draps. La cabine de douche, le coin toilette-WC et enfin le salon-cuisine.
Je suis en train de terminer quand on frappe à l’entrée. Rocky grogne un peu sous le camion. Je sors et me retrouve face à deux policiers à vélo.
- « Bonjour Monsieur ! Police municipale. Brigade à vélo. On nous a signalé votre mobil-home.
- Camping-car, plus précisément.
- Camping-car. OK. On nous a donc signalé qu’il stationnait sur cet emplacement depuis plusieurs jours.
- C’est exact.
- Il ne doit pas y rester plus de quelques heures. Il devrait être, soit dans un camping, soit sur une propriété privée.
- Absolument !
- Et alors ? Vous êtes en infraction.
- Pas tout à fait. Il n’y a pas de panneau indiquant que le stationnement des camping-car est interdit et de plus, cela ne fait pas huit jours que je suis ici.
- Peut-être mais…
- Ceci étant, je voudrais vous informer que justement, je pars d’ici dans quelques minutes.
- Comme par hasard.
- Pas tout à fait. Je vous explique. » A partir de là, je bluffe un peu, car les policiers ont raison et pourraient me verbaliser.
- « Je suis venu ici pour une mission à la Cabane Barthotte, à la demande du directeur. Malheureusement, je suis arrivé un peu trop tôt et son parking était occupé. Ce soir, il est libéré et je vais m’y rendre pour quelques jours, le temps de finir ma mission.
- Ah et c’est quoi votre… mission ?
- Je dois nettoyer le fond de l’eau devant la plage de la Cabane et enlever bouteilles et canettes qui y ont été jetées pas des imbéciles. Comme la municipalité ne peut le faire, sachant que je suis plongeur, il m’a demandé si je pouvais le faire.
- Ah ! D’accord ! Dans ce cas, aucun problème ! Je.. Roger est un copain.
- Je vais aller voir d’un coup de vélo si je peux installer mon camion et si c’est OK, je déménagerai ensuite. Vous voulez venir avec moi ?
- Je .. Pourquoi pas ! »
J’ouvre la soute et je sors mon VTT électrique. Les deux policiers sont très intéressés. Je sors la batterie qui est en charge sur son support de la soute et je l’installe.
- «Vous n’avez pas d’assistance électrique sur vos vélos ?
- Non. Ce n’est pas dans le budget…
- C’est drôlement pratique sur les chemins de sable et en côte. Avec les gros pneus basse pression, je passe partout Vous devriez en demander pour vos patrouilles. Vous pourriez agrandir votre zone de surveillance.
- C’est vrai, mais bon…
- Ça viendra ! »
- Je mets mon casque et mes gants – Si les policiers n’étaient pas là, pour faire deux cent mètres, je ne les aurais pas pris -. Je ferme la porte à clé avec la télécommande, ce qui a l’air de les impressionner et je démarre avec eux.
- « Rocky ! » Aussitôt, mon chien vient trottiner à mes côtés.
- « Il faut le tenir en laisse.
- Je sais, je l’attache pour les longues courses et les « runs » en vélo, mais ma voix est la meilleure laisse et elle ne risque pas de se prendre dans les roues ou les arbres. Regardez !
« Avant » Rocky par en courant devant nous
« hoo » Il ralentit et se met au pas
« Baa ! » Il part à gauche vers le chemin
« Tri » Il passe vers la droite
« Au pied » Rocky revient à côté de mon vélo, l’air heureux, la langue pendante sur le côté.
- Vous voyez ? Il m’obéit en tout. Bon, je dois dire que quand je vais à pied, au milieu des gens, je prends une petite laisse, surtout pour les rassurer.
- S’il est surpris par un bruit ou s’il voit un autre chien ou un chat ?
- Dans un premier temps, il se fige, sans bruit et il attend l’ordre. Si c’est un chien, il fait un petit grognement, si l’autre a l’air hargneux. Je lui dit alors « Assis, couché », « Pas bouger ». S’il faut, j’attrape son collier, car s’il est attaqué, il va répondre, surtout s’il croit que c’est moi qui le suis.
- Faites attention tout de même !
- Pas de souci ! Vous savez que si vous aviez un chien comme ça en patrouille, ce serait génial ! Je sais ! Problème de budget, mais comme vecteur de communication, c’est extraordinaire. Tout le monde aime ces chiens-là. Demande à le caresser. Les enfants en sont fous et souvent on me demande de faire des selfies avec lui. En fait, c’est lui la vedette.
- C’est sûr ! »
Nous arrivons à la cabane. Je m’arrange pour passer devant et arriver le premier face au patron. Je lui fais un clin d’œil.
- « J’ai dis à ces messieurs, que j’allais mettre mon camion chez vous pour faire une mission, mais que j’étais arrivé trop tôt.
- Mais bien sûr ! Salut les gars ! Vous allez bien ?
- Oui, merci. Bon.. c’était juste pour êtres sûrs… Tu sais, on doit faire notre boulot.
- Bien sûr ! Vous voulez boire quelque chose ? Un verre d’eau ? Un sirop de quelque chose ? » Le patron sait aussi qu’il faut « soigner » les bonnes relations avec les forces de l’ordre, et il a compris le message.
- Tu veux bien nous remplir les bidons ?
- OK et Monsieur…
- Appelez-moi Jacques.
- Jacques, une bière, comme d’habitude ? » Il marque là que je suis un habitué. Je ne peux refuser.
- OK !
- Bon, les gars, donnez-moi vos bidons pour que je les remplisse. C’est sûr ? Rien que de l’eau ?
- Bon ben, si tu as un peu de menthe pour moi, dit l’un.
- OK ! Installez-vous, je reviens»
Rocky, qui s’est couché près de moi, relève ta tête et la pose sur ma jambe « Vas-y » dis-je. Il s’en va.
- Que voulez-t-il ? Demande l’un des policiers.
- Il a besoin de pisser… ou plus.
- Il ne doit pas divaguer et faire ses besoins n’importe où !
- Oh mais, il ne divague pas. Il suffira que je l’appelle et il va revenir. Ses besoins, il va les faire contre un arbre pour le pipi et pour sa crotte dans des taillis. Il va un peu creuser, faire son besoin et recouvrir ensuite. Si vous voulez en partant, je vous y amènerai. Dans la nature, c’est de l’engrais et personne ne peut y marcher dedans, vous verrez.
- Mais comment vous allez trouver ?
- Ah Ah ! Vous verrez !» Le patron revient et on parle un peu de ma « mission » que je commencerai demain.
- L’idéal dis-je, serait d’avoir une petite barque ou un grand bac qui flotte pour y déposer ce que je remonte. En plus, cela signalera qu’il y a un plongeur en dessous en mettant un fanion.
- J’ai des grands bacs en plastique pour stocker de la marchandise.
- Avec une longue perche plantée dans le sable, je pourrais le tenir. En une heure, je ne sais pas combien je vais en remonter. On verra. Il me faudra un panier ou un filet avec une corde pour le remonter, attaché au bac, ça peut faire aussi ancre flottante.
- Vous comptez en remonter combien ?
- Je ne sais pas, je vais commencer par les canettes, c’est le plus polluant... J’en ai vu pas mal. C’est dégueulasse ! Les bouteilles servent de refuge à des petits poissons et s’enfoncent dans le sable et la vase.
- Bon. On vous laisse. Déclarent les policiers.
- Vous voulez voir où à fait le chien ?
- Je… Allez ! D’accord. »
Je siffle avec le sifflet à ultrasons toujours pendu à mon cou. Une minute passe et on voit arriver Rocky qui trottine. « J’ai sifflé pour qu’il vienne tranquille. Inutile de le presser. Allez, mon chien. Montre où tu as été. »
Rocky devant nous, avance dans le bois et se retourne souvent pour voir si nous suivons. On s’enfonce d'une bonne centaine de mètres. Rocky s’arrête et me regarde. « Montre caca ! »
Il fixe un point sur le sol et tourne autour. On ne voit rien. Quelques traces de pattes prouvent un passage et un grattage. Je prends une branche et le soulève quelques feuilles, des aiguilles de pin et du sable et on aperçoit alors la « commission » laissée par Rocky. Je recouvre.
- Vous pouvez passer dessus sans rien voir, ni vous salir. Dans quelques jours, plus aucune trace, les fourmis et autres coléoptères auront fait leur œuvre. Jamais Rocky ne fera ses besoins sur le bitume ou un trottoir. Même quand on court sur la route ou des chemins, il s’arrête, vas dans le fossé, fait son besoin et couvre. Ensuite, nous repartons.
- S’ils étaient tous comme ça !
- Question de dressage.
- Merci monsieur, à bientôt !
- Bonne soirée ! »
Je reprends mon vélo et, accompagné de mon chien, je retourne au camion. Je range le vélo dans la soute, je relève les vérins . Quand Rocky entend le moteur, il sait que nous allons partir. Il monte dans l’habitacle, ce qu’il ne fait pratiquement que pour voyager et s’installe dans le siège avant, que j’ai modifié pour qu’il s’y couche et soit calé en roulant.
Le voyage est court jusqu’au parking de la cabane. Deux petits kilomètres pour faire le tour par la route. Roger me guide et je m’installe au fond, à côté de sa voiture, contre la clôture.
- Vous pouvez vous brancher à une prise électrique si vous voulez. Il y a aussi un robinet d’eau derrière la cuisine. Je vous laisse vous installer, je dois aller préparer le service. Nous mangeons à dix huit heures trente avec le personnel, mais si vous voulez vous pourrez manger plus tard.
-Non, non, je mangerai avec vous.
- OK à tout à l’heure ! »
Je cale le camion et je branche l’électricité. J’ai du temps avant le repas, aussi je vais faire un tour à la plage pour me baigner. Rocky a marqué son territoire, étonné de la brièveté du voyage.
L’eau est bonne en cette fin de journée. C’est marée basse, aussi je plonge un peu juste avec le masque et le tuba. J’ai emporté un sac, que j’attache à un poignet. Par trois ou quatre mètres de fond, je le remplis en cinq ou six apnées. Des canettes essentiellement et une bouteille, plus deux barquettes en plastique, servant à porter des frites.
Je dépose la poche sur le bord et je profite de l’eau calme du bassin pour nager un peu au loin et plonger. Après une bonne centaine de mètres, l’eau est déjà plus claire et le fond n’est plus couvert d’immondices. Il doit y avoir sept ou huit mètres de fond, ce qui donne neuf ou dix à marée haute.
Au retour vers le bord, je fais un point pour repérer la limite de la zone de mon futur « travail » En fait, elle se concentre sur la droite de la plage, vers là où le courant entraîne tout.
Rocky, qui a fini sa baignade, m’attend sagement au bord de l’eau en me regardant.
Nous retournons au camion. Douche pour moi, pour Rocky à l’extérieur, pour enlever le sel, puis je m’habille. En quittant le camion, je remplis les gamelles d’eau et de croquettes et je demande à Rocky de rester là. Je ne veux pas déranger au restaurant
La table du personnel est dressée. Cinq assiettes avec la mienne. Roger arrive.
- « Tu veux de la bière en mangeant ? Oh pardon ! Je vous ai tutoyé !
- Il n’y a pas de mal ! J’aime autant.
- Alors tu me tutoies aussi. Ici c’est la règle.
- D’accord.
- A table ! Lance-t-il» Une femme arrive. « Voilà ma femme Viviane. Viviane, je te présente Jacques. C’est lui qui va nettoyer un peu le fond de l’eau. Il paraît qu’il y a des bouteilles et des canettes.
- Tenez ! Regardez ce que j’ai ramené en peu de temps tout à l’heure.
- Incroyable !
- Et encore, j’ai mis un quart d’heure avec juste cette poche. Je suis sûr qu’avec une aide et un bateau, en une heure, je ramène dix ou vingt fois ça, au moins.
- Enchanté, Jacques. Merci de votre aide ! Mais…
- Je me suis arrangé avec lui, dit son mari. Il mange ici et il ne veut rien d’autre.
- Je ne vous dérangerai pas longtemps, je vais continuer mon périple. D’ici deux ou trois jours, je reprendrai la route. » C’est à ce moment qu’entrent les deux employés. Un garçon et une fille.
- “ Tiens ! Bonjour Sophie ! dis-je.
- Bon… Bonjour Jacques. » dit-elle en se troublant.
- Vous vous connaissez ?
- On s’est rencontrés hier à la plage. Elle était avec des amis. J’étais avec une connaissance… Elle est sérieuse en tout cas, elle est rentrée tôt.
- Lui s’est Rachid. Il fait la plonge. Ah ah ! Comme toi :
- T’es con ! Lui dit sa femme.
- Je rigole !
- Justement, j’ai une idée ! Réplique Viviane. Si tu demandais à Joël de te prêter sa plate. Rachid serait dessus et récupérerait ce que lui remonte Jacques. Ça serait plus facile.
- C’est pas con ! En attendant, mangeons. »
Le repas est excellent. J’ai en plus droit à quelques huîtres et du vin blanc. Sophie reste sur sa réserve pendant tout le temps, ce qui ne l’empêche pas de me jeter quelques regards. Rachid est un rigolo. Lui regarde plutôt sa patronne. Il faut dire qu’elle est canon ! Sous son tablier de cuisinière, on soupçonne de jolies formes. Elle non plus ne me lâche pas des yeux.
Après le repas, j’aide à débarrasser et quand les clients arrivent, voyant que Roger a du travail, je lui propose de tenir le bar.
Je galère un peu au début pour trouver les bouteilles, mais j’arrive vite à assurer. J’aime bien faire ça.
Vingt deux heures, les derniers clients s’en vont. En ce dimanche soir, aucun ne traîne. Dans la cuisine, Viviane et ses commis s’affairent et avec Roger, nous rangeons la salle, ce qui est vite fait. Sophie et Rachid nettoieront. Le patron m’offre un cognac que nous dégustons sur la terrasse avec un cigarillo.
- « C’est le seul que je m’octroie de la journée. Dis-moi. Tu n’as pas amené ton chien avec toi ?
- Je ne veux pas qu’il dérange… avec les clients.
- Je suis sûr qu'ils aimeraient.
- Tu veux que je l’appelle ?
- Comment d’ici ?
- Sans problème ! » Un sifflement doux avec le sifflet à ultrasons et Rocky est là en quelques secondes. Il vient nous faire la fête. Je sens que Roger voudrait le caresser. Sa femme arrive et découvre mon chien.
- Oh qu’il est beau ! Comment il s’appelle ?
- Rocky
- Je peux le caresser ?
- Bien sûr ! Bisous à la dame ! »
Rocky est tout heureux et s’entend aussitôt avec elle. Il se laisse cajoler et lui lèche les mains. Son mari est un peu jaloux.
- J’ai demandé à Jacques s’il ne connaîtrait pas un chien comme lui pour ici.
- Tu crois qu’on peut ?
- Tu verrais comme les clients sont heureux de le voir. Tu serais d’accord ?
- Oh oui ! Mais comment ?
- Le fils de Jacques a un élevage. Ce sont des purs.
- Oui mais ça vaut cher non ?
- Un mâle comme Rocky sept ou huit cent euros, mais je pourrais vous l’avoir pour cinq cent, sans doute.
- C’est vrai ?
- Attendez ! »
J’appelle mon fils. Il prend de mes nouvelles, se demande pourquoi je l’appelle à cette heure, en s’inquiétant. « Non, pas de souci. Je voudrais savoir. Dans ta prochaine portée, tu pourrais me garder un mâle ?
- Pourquoi ? Tu n’as pas assez avec Rocky ?
- Si si, mais ce serait pour un… ami… enfin... un couple d’amis » Je fais un clin d’œil à mes hôtes
- Tu es sûr que ce n’est pas une lubie ?
- Non, non ! Je t’assure qu’il sera bien soigné, qu’il ne sera ni attaché, ni enfermé.
- Bon, d’accord. Mais ce ne sera que dans quatre ou cinq mois.
- OK OK ! » j’avais mis le haut parleur et mes voisins suivaient la conversation. Ils m’ont fait signe.
- Et pour le prix, tu leur a dit ?
- Oui, mais… tu pourrais leur faire à cinq cent ?
- Ben… C’est pas le prix ! « Viviane me fait signe Six de la main. Je lui fait signe d’attendre.
- Ce sont des amis. Ils me rendent service. C’est des restaurateurs sur le bassin. Très bonne table d’ailleurs ! » Je fais un clin d’œil « Je suis sûr que ça te ferait de la pub !
- J’en ai pas besoin tu sais.
- D’accord, mais tu peux faire ça pour ton pauvre père ?
- Ne charrie pas tout de même.
- Bon. Pour me faire plaisir alors.
- Si tu y tiens… « Roger me fait le signe de manger en indiquant le téléphone.
- Si tu viens le livrer tu seras invité à manger.
- Oui… Bon… Mais c’est pas pour ça. Dis-leur que c’est d’accord. » Viviane prend la parole
- « Merci monsieur. Je suis la patronne du restaurant. L’invitation tient toujours, quand vous voulez, je vous envoie le chèque.
- Non, non. Pas avant que vous ne l’ayez. A la naissance, je vous enverrai les photos des petits, vous choisirez celui que vous voulez. En attendant choisissez un nom qui commence par un T. Ce sera l’année. Papa vous a dit que c’était des LOF ?
- Des LOF ? » demande Viviane. Roger qui veut montrer son savoir dit.
- Des pure race !
- Ah oui ! En tous cas, s’ils sont comme Rocky, il seront très beaux !
- Merci madame. Bon je vous laisse ! A bientôt Papa !
- A bientôt mon fils et merci pour eux ! »
- C’est génial ! Dit Roger. Depuis le temps que j’en voulais un !
- Moi aussi j’en avais envie !
- Pourquoi tu ne l’a jamais dit ?
- Je pensais que tu me traiterais de folle ! » J’interviens alors
- « Maintenant, le plus dur est à venir.
- Comment ça ?
- Eh bien, il va falloir patienter et je vous jure que quand vous aurez vu les petits, il vous tardera d’avoir le vôtre. Ensuite il faudra le dresser pour vous. Mon fils va commencer, mais ce sera à vous de vous l’approprier et qu’il devienne comme Rocky. C’est du travail et là aussi de la patience !
- Dans quatre mois, c’est la basse saison, nous sommes fermés. Nous aurons le temps.
- Dans tous les cas, si vous avez un problème, vous pourrez toujours appeler mon fils. Il suit tous les propriétaires, même certains pendant des années.
- C’est génial ! »
Pendant la conversation, Rachid et Sophie sont venus faire le nettoyage. Comme il est de coutume, toute l’équipe boit un coup et débriefe la journée. C’était la dernière de la haute saison et Viviane a sorti le champagne.
La bouteille finie, je plaisante.
- Interdit de la jeter à l’eau celle-là !
- Ah ah ah ! Au fait, demain, Rachid, tu pourras rester avec Jacques entre neuf et dix heures ? Tu l’aideras à récupérer les cadavres dans l’eau ?
- Les cadavres ?
- Rassure-toi ! On parle des bouteilles et des canettes que les gens et les jeunes comme les copains de Sophie, lancent à l’eau quand ils font la fête la nuit sur la plage.
- Pas avec moi ! » Lance apeurée la jeune fille
- J’ai pas dit ça, mais j’en connais qui viennent ici. J’en ai vu au petit matin en rentrant du parc à huîtres.
- Impeccable pour moi, dit Rachid. Que devrais-je faire ?
- Tu seras sur le bateau. Tu récupéreras le panier que j’aurais rempli et tu le videras dans le bateau. On ira le jeter dans les poubelles ensuite.
- Vous ferez ça pendant une heure, après tu viendras en cuisine, comme d’habitude.
- OK
- Impeccable pour moi, dis-je. Une heure d’apnée ça suffit aussi.
- C’est vrai ! Ça ira ? Ce sera marée haute et Joël n’aura pas besoin de son bateau. L’après midi, je vais parfois avec lui ramasser des huîtres, tu pourras venir si tu veux, pour la balade hein ? Pas pour bosser !
- D’accord. Je verrai si je suis en forme, j’essaierai de plonger là bas si on peut.
- Je sais pas, mais peut-être. »
Nous rentrons et fermons l’établissement. Nous passons par la cuisine. Je salue tout le monde. Viviane et Roger logent sur place, à l’étage d’une petite maison derrière le restaurant. Rachid part en vélo et Sophie à pied. Elle traîne un peu. Je sens qu’elle a envie de parler et marche avec moi.
- « Tu veux venir dans mon camping-car ? En tout bien tout honneur bien sûr !
- Je veux bien. Je ne suis pas fatiguée. Toi non plus ?
- J’ai eu le temps de récupérer de la soirée.
- Justement je….
- Chut ! Pas ici. On en parle à l’intérieur. »
On fait les quelques pas qui nous séparent du camion dans le noir, Rocky devant nous, tranquille. Une fois arrivé, je lui ouvre la soute, mais comme d’habitude il se glisse sous le camion.
Je déclenche l’ouverture de la porte. Le marchepied sort tout seul et nous entrons. J’allume la lumière après avoir refermé derrière nous et avoir baissé les rideaux. Sophie ouvre de grands yeux.
- « Oh c’est beau !
- C’est pas mal. Tu veux visiter ?
- Oui ! Je ne croyais pas, vu de dehors, que c’était aussi grand.
- C’est un modèle un peu spécial que j’ai fait aménager à mon goût. »
Le poste de conduite, avec les deux beaux sièges, dont celui aménagé pour Rocky, mais qui peut redevenir normal pour un passager. Le salon avec la table et la banquette, la cuisine toute équipée. « C’est petit et concentré, mais il y a tout ! ».
J’ouvre la porte pour montrer les toilettes, la cabine de douche et la chambre.
- « C’est magnifique ! Il doit coûter cher !
- Un peu plus de cent trente mille !
- Ah oui ! Quand même !
- De base il vaut moins de quatre vingt dix mille mais j’ai fait ajouter des options. Allez, viens au salon. Ici on sera tranquilles. Tu veux boire quelque chose ?
- Après le champagne…
- J’en ai une demi bouteille au frigo. Il est peut-être moins bon que celui de Roger, mais ça ne fera pas de mélange. J’ai pas de flûte non plus pour le boire.
- Je ne veux pas… déranger...
- Tt tt tt. Ça me fait plaisir ! »
J’ouvre la bouteille et je nous sers.
- “ Une cigarette ?
- Je veux bien. Je ne fume pas beaucoup mais…
- Santé !
- Merci ! A toi aussi ! Ça me paraît drôle de te tutoyer.
- Roger a dit que c’était la règle et franchement ça ne me dérange pas, au contraire ! Ça me rajeunit !
- Je… Je voudrais te dire… Pour... hier soir…
- Oui. J’ai vu que tu étais partie vite.
- Je n’aimais pas ce qu’il se passait.
- Tu as eu honte de moi ?
- Non ! Pas de toi ! Des autres oui ! De voir comment ils te traitaient !
- Parce que je suis pédé,
- Non ! Je m’en fous ! C’est pas ça ! Mais ils t’insultaient ! Te rabaissaient, alors que tu as été gentil avec moi.
- Et de me voir comme ça, pris entre deux hommes, à genoux, les fesses à l’air, ça ne te dégoûtait pas ?
- Je n’avais jamais… vu. Au début j’étais.. gênée… surprise aussi.. mais après, j’ai trouvé ça.. beau.. enfin…
- Ça t’a excitée ?
- O.. Oui ! Mon dieu !
- C’est pas grave ! C’est normal !
- A un moment j’ai…
- Dis-moi !
- Tu ne m’en voudras pas ?
- Ne t’inquiète pas, j’en ai vu d’autres et j’ai pas mal d’expériences à mon âge.
- Je… Je me suis approchée de vous.
- Je ne l'ai pas vu.. J’étais... assez occupé ! » dis-je en riant pour détendre l’atmosphère. Je finis la bouteille dans nos verres.
- Oui. Justement. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris. Personne ne faisait attention à moi, alors… j’ai approché ma main et j’ai … J’ai touché ton… sexe.
- Ah !
- Pardon !
- Il n’y a pas de quoi. Et alors ?
- J’ai aimé ! Tu étais… dur ! C’était beau ! Et… Pardon encore.
- Arrête avec ça !
- J’ai eu envie de…. de te sucer ! Oh !
- C’était toi ?
- Je … Oui ! Tu as senti ?
- Oui ! Je ne pouvais pas voir qui s’était. Mais dis-donc, tu as tout avalé ?
- Oui ! Oh !!!
- Tu as recraché ?
- Non !
- Et alors ?
- J’ai adoré ! C’était la première fois !
- Euh…
- Ce n’était pas la première fois que je suçais un mec. C’est d’ailleurs la première chose qu’on me demande et souvent la seule, dans le noir, pour ne pas être vu avec moi.
- Pauvre de toi ! Pourtant tu es jolie.
- C’est ce que tu m’as dit, mais tu es bien le seul.
- Et je suis vieux.
- Tu n’es pas jeune non, mais… tu me plais !
- Eh bien !
- Pardon.
- Arrête de t’excuser comme ça. Moi aussi tu me plais, mais je suis conscient de notre différence d’âge et je ne veux pas passer pour un vieux vicieux.
- Moi, j’aimerais que tu sois un vieux vicieux avec moi, qui n’a pas peur d’une jeune fille. Ou alors, dis-moi clairement que tu ne veux pas, et que les femmes ne t’intéressent pas !
- Oh mais j’aime aussi beaucoup les femmes ! Avec Hervé, c’était une passade… Approche ! »
Sophie vient se blottir dans mes bras et on s’embrasse. Mes mains partent à la découverte de son corps. Je me rappelle de la veille quand j’ai trouvé que cette fille petite et grosse était superbe quand elle est nue. J’ai envie de la revoir nue.
- Tu veux venir dans la chambre ? Je veux te voir nue.
- Oh oui ! Je veux que tu me fasse l’amour.
- Ne t’inquiète pas, j’ai très envie moi aussi. Je serai doux et je veux que tu jouisses quand je vais te baiser.
- Oui ! Baise-moi ! »
Nous filons dans la chambre. J’ouvre les draps et je sors les préservatifs du tiroir pour les avoir à portée. Chacun de notre côté, nous nous déshabillons tout en nous regardant. Très vite nous montons sur la couche et nous étreignons.
Sophie sent bon. Sa peau est douce et ses rondeurs un enchantement. Je parcours son corps avec ma bouche, suçant ici et là les tétons, les épaules, les bras, le ventre. Je descends encore. Sophie ne reste pas passive. Elle aussi agit de même et on se retrouve en soixante neuf, la bouche sur le sexe de l’autre.
On ne se lasse pas des caresses, mais chacun a envie de plus. Je me relève. A genoux face à elle. Mon sexe dressé. Je déchire la pochette et j’enfile la capote. Sophie me regarde intensément. Elle s’étale sur le lit, bras et jambes ouverts, le sourire aux lèvres, elle m’attend.
Je viens sur elle, lentement, je guide ma queue vers sa chatte épilée. D’elle-même elle en écarte les lèvres, pressée de me recevoir.
Lentement, je dirais presque « religieusement », je la pénètre. Sophie gémit de plaisir déjà avant que je ne bouge en elle. Sophie m’entoure de ses bras et cherche mes lèvres. Lentement et doucement, ou vite et fort, tant que je peux, j’alterne les mouvements. Il fait chaud mais peu nous importe. Sophie jouit une première fois en poussant des petits cris et crie « Encore ! » Alors je continue, malgré les courbatures.
A un moment, je flanche et je me couche sur le côté. Sophie se tourne de dos à moi et m’offre son cul. Que dis-je son cul ? C’est une mappemonde ! Une double hémisphère vertigineuse ! Entre les fesses tendues vers moi, je vois le joli abricot tout lisse qui me nargue. Je me replante en elle et je repars pour une sarabande - j’aime ce mot – beaucoup plus confortable pour moi. Je peux la baiser longtemps et je ne m’en prive pas en lui apportant deux orgasmes supplémentaires, avant moi-même de succomber et de me vider en elle.
Ma petite chérie n’a pas l’air fatiguée, contrairement à moi. Privilège de la jeunesse. Elle se retourne vers moi et m’embrasse sur tout le visage et retrouve mes lèvres. Elle transpire et moi aussi, nos corps glissent sous nos mains.
- « Oh que c’était bon ! Tu es un merveilleux amant !
- Merci. Tu es gentille, mais je suis un vieil amant.
- Je me fous de ton âge. Tu m’as baisée comme un fou et j’ai jouis comme une folle. C’est merveilleux !
- N’exagère pas tout de même !
- Non ! J’adore ! Je t’.. » Je pose mon doigt sur ses lèvres.
- Ne dis rien. Rien de définitif. Ne confond pas le sexe et l’amour. On ne peut définitivement pas s’aimer, au moins longtemps. On peut aimer faire l’amour, baiser, mais ne rien envisager d’autre. On gardera ça comme un beau souvenir.
- D’accord ! Si je comprends bien, tu as eu ce que tu voulais et tu veux déjà arrêter.
- Pas du tout ! Simplement, je pose les règles. Il vaut mieux s’y tenir. Tu es très jeune et je te démontrerais que tu plais et que tu plairas aux hommes.
- Tu es gentil et j’ai confiance en toi.
- Tu veux rester ?
- Je voudrais, mais il faut que je rentre chez moi. Mes parents me surveillent.
- A ton âge ?
- Eh oui ! Ça ne fait rien pour arranger les choses ! Mais je travaille aussi demain matin. Il faut que je dorme et donc, que je rentre chez moi.
- Je comprends ! On prend une douche ?
- Sûrement pas ! Je tiens à garder ton odeur sur moi jusqu’à demain matin !
- Petite cochonne va ! »
Elle m’embrasse une dernière fois et s’en va. Après son départ, je me recouche mais je ne trouve pas le sommeil. Je suis passé d’un beau jeune homme de vingt cinq ans, qui pendant quatre jours m’a baisé, m’a humilié, mais j’ai adoré sa belle bite et son corps. A maintenant une jeune fille complexée de vingt-deux ans, plutôt ronde, qui est prête à m’aimer.
Quand je ferme les yeux, je vois mélangés, leurs deux corps. Contre moi, sur moi. Je finis tout de même par dormir.
Sept heures du matin. Je me lève. Petit déjeuner et toilette, puis je prépare mes affaires de plongée et à huit heures j’arrive sur la plage. Roger qui a ouvert l’établissement depuis quelques minutes, m’interpelle :
- « Tu viens déjeuner ?
- Non merci ! C’est déjà fait.
- Tu n’aurais pas dû ! Tu sais que tu es invité ici !
- D’accord, mais j’ai mes petites habitudes.
- Un café tout de même ?
- Avec plaisir !
- Joël devrait arriver vers neuf heures moins le quart. Il laissera son bateau. Tu verras avec lui pour l’emplacement. Rachid est en cuisine, mais il viendra pour neuf heures.
- Je vais me préparer. J’ai trouvé une vieille caisse en plastique avec des trous. Je vais y attacher un poids au-dessous pour qu’elle descende bien.
Au-dessus, une ficelle aux angles, reliée au centre, ou j’attacherai la corde pour la remonter sur le bateau. »
Viviane nous rejoint. Elle a l’air réjouie, vient me faire la bise et me convainc de prendre un croissant, d’ailleurs délicieux. Elle a un air taquin ce matin.
- « Tu as l’air en forme ce matin ! Pas trop fatigué ?
- Non, non. J’ai bien dormi. Il n’y a aucun bruit et aucun passage ici, contrairement au parking, où Rocky grogne souvent.
- Oui. Ici c’est tranquille ! Je n’ai pratiquement rien entendu cette nuit. Peut-être un peu vers minuit... - C’était l’heure à laquelle est partie Sophie -
- Dans mon camion, je n’ai pas d’horloge. Je me cale sur mes sensations.
- Pourquoi tu dis ton camion? C’est un beau camping-car !
- Une habitude. C’est plus court et il est tout de même assez gros.
- Tu me feras visiter ? Je rêve d’en avoir un et que l’on parte l’hiver quand on est fermé.
- Aucun problème. Je pourrais vous donner des conseils. Bon. Je vais me préparer, le temps passe. »
J’enfile ma combinaison, prépare masque, tuba et palmes. J’emmène le panier pour le repêchage. Joël arrive alors. Finalement, il va rester avec nous. Avec Rachid, nous montons à bord. Je fais positionner la « plate » à l’endroit où j’ai repéré le plus de bouteilles, à environ une vingtaine de mètres du bord. Joël jette l’ancre. Rocky en a profité pour sauter sur le bateau et se couche au bord, comme pour me surveiller.
Je conviens avec Rachid, que toutes les minutes et demie en apnée, je remonterai, que la caisse soit pleine ou pas.
En fait, la « récolte est si abondante qu’il me faudra à peine une minute chaque fois pour remplir la caisse. Au fur et à mesure, je fais déplacer le bateau.
Vers la fin, je laisse les bouteilles et je m’occupe uniquement des canettes. Rachid et Joël ont compté, j’ai fait vingt six apnées soit presque une toutes les deux minutes. A la fin, j’avais besoin d’un peu plus de récupération.
Une fois que l’on a déposé ma « récolte » sur la plage, cela fait déjà un joli tas. Roger, aidé de Rachid, remplissent des poubelles qui s’avèrent insuffisantes pour tout prendre.
Roger sort des bières pour tout le monde.
- « Il y en a beaucoup encore ?
- Je dirais trois ou quatre fois ça à peu près.
- Ah quand même ! C’est incroyable !
- Il y en a une partie qui peut rester, contre les rochers, les coquillages en ont déjà fait leur habitat, sans parler des bouteilles qui se sont enfoncées dans la vase et le sable. » Joël intervient :
- C’est un peu un travail d’amateur - pardon Jacques - mais je pense qu’on pourrait mieux s’organiser.
- C’est sûr, mais j’ai proposé ça comme ça..
- C’est déjà formidable, mais c’est fatiguant pour toi.
- J’aime l’apnée et je suis bien en deçà de ma limite
- Tout de même ! Si tu avais des bouteilles..
- Ah c’est sûr !
- Bon, si tu veux tout savoir, pendant que tu plongeais, j’ai appelé un copain qui fait de la plongée, Il m’a proposé de te prêter des bouteilles. tu sais t’en servir ?
- Bien sûr ! Génial !
- En plus, j’ai réfléchi. Sur le port, je me rappelle avoir vu une grande caisse en fer grillagée. Elle devait servir autrefois à porter du matériel sur les parcs. J’ai appelé un collègue qui a un bateau avec une petite grue. On va amener la caisse, la descendre au fond et tu pourras la remplir directement. Il n’y aura qu'à la remonter ensuite sur le bateau. Ca fera gagner aussi du temps.»
Le lendemain, Joël qui ne pouvait se libérer, nous envoie son collègue qui a chargé la caisse et même une seconde sur son bateau. Il apporte aussi les bouteilles d’air.
Je m’équipe. Je fais descendre la caisse en lui demandant de le faire doucement au fond pour ne pas soulever la vase et que je puisse voir.
Je plonge alors. A cet endroit il y a à peine sept ou huit mètres de fond
Au bout d’une demi-heure, la caisse est pleine. Le volume est important. Deux ou trois fois fois plus que la veille et quand elle émerge, la petite grue a du mal à la hisser. Rachid et le marin y parviennent et transvasent le contenu dans des conteneurs embarqués depuis le bord de la plage.
Auparavant, ils ont descendu la seconde caisse. Je recommence et je fignole le travail. Je profite de mon équipement pour aller un peu plus loin, au-delà des rochers et je découvre un fond marin, riche en poissons.
Une fois tout ramené et hissé non sans mal, sur le sable. Il faudra trois voyages du pick-up de Roger pour tout amener à la déchetterie.
- « Il en reste encore ? » Demande celui-ci.
- Je pense que c’est à peu près propre pour l’instant. Il n’y a plus de danger pour les baigneurs. Il restera quelques bricoles que je ferai tout seul. Par la suite, il faudra surveiller. Pour moi, le travail est quasiment fini. Je vais pouvoir reprendre très vite mon chemin.
- Pas question ! Tu restes jusqu’à jeudi !
- Pourquoi ?
- Demain soir, on arrête le service. Jeudi on replie tout, et le soir on fait la fête avec les copains et toute la troupe, alors il n’est pas question que tu partes avant. De toutes façons tu avais dit trois ou quatre jours, alors tu es mon invité et c’est la moindre des choses :
- Merci mais….
- Ttt ttt ttt. Je pense même que je vais dire à la commune qu’elle devrait faire faire ça un peu partout. Je suis sûr que sur les autres plages, ce doit être pareil.
- Ah mais, je ne compte pas le faire !
- Bien sûr ! Tu es mon nettoyeur personnel ! Je comprends que tu veuilles profiter de ta retraite. En tous cas, tu reviens quand tu veux et tu es notre invité !
- C’est trop !
- Je ne veux rien entendre ! Bon. J’ai appelé Joël qui était à Bordeaux ce matin, on mange tous ensemble ce midi. Il faut bien fêter la fin des travaux ! »
Tout le monde rigole. Marcel, l’ostréiculteur venu avec son bateau repart chez lui et revient pour le déjeuner. Roger et Rachid vont préparer le repas et j’en profite pour partir faire un peu de plongée pour le plaisir. Il reste au moins la moitié de la réserve de gaz dans les bouteilles, ce qui me donne quasiment une demi-heure d’autonomie. Il faut dire qu'avec ma capacité d’apnée, je consomme moins d’air que la majorité des plongeurs.
A mon retour, douche et lavage de la combinaison à l’extérieur du camping-car pour enlever le sel et la vase. Un peu avant midi je suis de retour au restaurant. Joël et le copain Marcel sont déjà à l’apéro. Joël a amené une bourriche de ses huîtres. Je rends les bouteilles à ce dernier, pour qu’il les ramène à son copain.
- « Si tu as envie d’en profiter, je peux lui dire de te les remplir pour demain.
- Je ne dis pas non.
- Alors, c’est d’accord. »
L’apéro et le plateau de fruits de mer qui suit, mettent de l’ambiance dans le restaurant. Il n’y a que trois autres tables pleines, C’est vraiment la fin de saison. Le soir, le restaurant ne sert que sur réservation.
Après le repas, je retourne au camion pour faire la sieste en espérant peut-être la visite de Sophie à laquelle j’ai entendu Roger dire qu’elle pouvait faire une coupure jusqu’à dix huit heures.
Je m’installe sur le lit, comme d’habitude, nu. Après quelques minutes, j’entends taper à la porte. Rocky n’a rien dit, preuve que c’est quelqu’un qu’il connaît. - « Entre ! »
La porte s’ouvre et Viviane entre. Je suis stupéfait. Je tente de me couvrir.
- « Surpris ? Tu attendais peut-être Sophie ? Désolée, j’ai pris sa place ! Tu es peut-être déçu ?
- Surpris, mais pas déçu ! En fait, pas tellement surpris non plus, vu ton petit manège de ce matin.
- Je vois que le spectacle te plaît ! Tu es en forme ! » Ni une ni deux, Viviane se déshabille et monte sur le lit. C’est une belle brune, musclée. La poitrine ferme, de longues jambes et un petit ventre bien sympathique.
Elle se colle à moi et m’embrasse. Bien sûr, ma bite réagit et empoignée par sa main, elle durcit rapidement. Viviane est une goulue et elle se frotte à moi tandis que je la caresse. C’est alors que l’on frappe à nouveau à ma porte. Je fais signe à Viviane de se taire. Je me lève, ferme la porte de la chambre derrière moi et vais ouvrir.
C’est Sophie, qui a quitté son service et compte bien profiter de sa pause. Je la fais entrer et la petite se jette aussitôt à genoux pour avaler mon sceptre tendu avec un « Mmmh » de joie.
Je la relève et l’embrasse. J’en profite pour la déshabiller et elle m’aide. Pressée de se retrouver nue contre moi.
- « On sera mieux dans la chambre non ?
- Oh oui ! »
Je la fais passer devant et là, surprise ! Elle découvre sa patronne, nue sur le lit, un bras derrière la tête, en train de se caresser le sourire aux lèvres.
- « Oh ! Je…
- Ne t’inquiète pas. Viens avec nous ! »
Je la pousse vers le lit, intimidée, ne sachant que faire. Viviane lui ouvre ses bras. « On va s’occuper de cette jeune fille » dis-je.
Viviane s’occupe de sa forte poitrine, en malaxe les bouts et les embrasse. Je m’occupe de la partie basse et je plonge mon visage entre ses cuisses. J’y retrouve une belle humidité. Très vite, nos caresses conjuguées la font gémir. Sophie s’abandonne.
- « Tu vas lui bouffer la chatte pendant que je te baise ! » dis-je à Viviane. Aussitôt, la grande brune change de position, couche son employée et vient prendre ma place entre ses cuisses. « Quel beau cul tu as ! »
J’attrape une pochette, la déchire, et j’enfile le préservatif. Les fesses bien relevées de la cuisinière sont un appel au viol. Alors qu’elle gouine Sophie, je la pénètre. Elle relève la tête un instant pour lâcher un « Ouii ! Vas-y salaud ! »
De son côté, Sophie agite son bassin, en proie à la montée de son plaisir. Viviane doit être une experte en léchage de moule. A chacune de mes poussées, sa figure écrase la motte de la petite.
Ce ne sont plus que soupirs et gémissements dans l’habitacle. Les petits cris de Sophie vont crescendo et les grognements de sa patronne l’accompagnent.
La chatte de cette dernière me serre convulsivement. Je dois faire des efforts pour ne pas éjaculer, car ensuite, je compte bien baiser Sophie.
Viviane n’en peut plus et d’un coup elle se lâche en expédiant sa mouille sur les draps. Sans ménagement, je la pousse sur le côté et j’embroche Sophie qui elle aussi a déjà jouit. Aux côtés de sa patronne qui nous regarde, elle n’a plus de retenue, ni de blocage. Viviane lui relève une jambe, pour que je la pénètre encore plus. Elle s’acharne sur les gros seins de son employée qui s’envole pour un bel orgasme.
Après cet assaut, alors que nous reposons sur la couche, Viviane s’inquiète que je n’ai pas jouis.
- « J’ai deux femelles en chaleur avec moi et à mon âge, je dois me ménager ! »
- Eh bien, mon salaud, pour un vieux, tu te débrouilles pas trop mal ! Tu nous as fait jouir toutes les deux..
- Tu m’a bien aidée, ma salope !
- J’ai adoré te brouter, Sophie.
- Oh merci Viviane ! Je n’avais jamais… avec une femme.
- Tu as aimé ?
- Oh oui !
- Merci ! Tu me ferais pareil ?
- Je ne sais pas… comment faire.
- Une femme sait ça naturellement, si tu en as envie.
- Oui ! J’ai envie ! Ça fait drôle d’être comme ça avec toi.
- Oh tu sais, dès que tu t’es présentée, j’ai eu envie de de toi, mais on a une règle avec Roger : « jamais avec le personnel ». Tu es une exception aujourd’hui, à cause de ce salaud de Jacques. Il m’excitait et hier tu m’as devancée. Je te dis pas comme j’étais frustrée, surtout en vous écoutant.
- Tu nous a écoutés cette nuit ?
- Oui. Jusqu’à que tu partes ! Je te dis pas comme j’étais excitée. Enfin… c’est Roger qui en a profité ! Bon, maintenant je dois rentrer. Je vous laisse tranquilles tous les deux. Je pourrais revenir ?
- Bien sûr ! Quand tu veux ma belle.
- Et toi, Sophie, ne dis rien à personne !
- Compte sur moi. Je ne tiens pas à ce que ça se sache !
- Pourquoi ? Tu as honte ?
- Non ! Ce n’est pas ça ! Mais… Non ! Tu comprends ?
- Oui . C’est compliqué qu’on sache que tu aimes faire l’amour avec une femme.
- Non ! C’est… avec ma patronne !
- Oh ça ? Ne t’inquiète pas. Roger ne dira rien.
- Comment ça, il ne dira rien ? Tu vas lui dire… pour nous deux ?
- Pour nous trois tu veux dire.
- Je.. Oh… Comment ? Avec Roger ?
- Ah coquine ! Tu veux déjà me piquer mon mari ?
- Mais non ! Je…
- Je rigole ! Je parle de Jacques Bien sûr !
- Tu…
- Allez ! Je vous laisse. Bisous mes chéris et toi Sophie, tout à l’heure soit au travail !
- Je… Oui, bien sûr !
- Embrasse-moi petite cochonne ! Mais au boulot c’est comme avant.
- Oui, Madame Viviane !
- Ah Ah ah ! »
Après le départ de Viviane, Sophie est toute chamboulée. Cette nouvelle relation avec sa patronne et surtout une relation sexuelle. Pour elle, cela remet en cause ses certitudes, mais aussi une nouvelle vie. Nous restons tendrement enlacés un long moment. Je lui explique que on dit que nous avons fait l’amour, mais qu’en fait nous avons surtout baisé. Elle le reconnaît.
- « Tu vois, c’est ça la différence entre l’amour et le sexe. Tu aimes Viviane ?
- N..Non, mais j’ai aimé… avec elle.
- Voilà ! Moi aussi j’ai aimé baiser Viviane, comme j’aime te baiser, mais, je ne t’aime pas d’amour. D’ailleurs, entre nous, parler d'amour n'est pas sérieux.
- Je comprends. Pardonne-moi de t’avoir dit tout ça, mais c’est une première pour moi, qu’un homme soit si gentil avec moi.
- Bien. Maintenant que tout est clair, veux-tu continuer à faire l’amour avec un vieux comme moi ?
- Oh oui bien sûr !
- Et vas-tu faire l’amour avec ta patronne ? Je veux dire, lui rendre ce qu’elle t’as fait ?
- Je… Tu es incroyable ! Je… Oui, j’ai envie d’essayer.
- Je suis sûr que tu y arriveras très bien.
- Tu crois ? Je ne l'ai jamais fait.
- Si tu en as envie, tu sauras très vite comment faire. En attendant, viens ici petite salope ! »
Sophie est bien échauffée. Elle prend ma queue en main et la suce aussitôt, lui redonnant une belle vigueur.
- « Prends-moi maintenant ! Prends-moi comme tu as pris Viviane tout à l’heure !
- Petite cochonne, tu veux penser que tu as sa chatte devant toi, c’est ça ?
- O.. Oui ! Il me tarde ! »
Sophie est bien une petite cochonne et je lui prédis un bel avenir d’amante expérimentée, qui fera baver les hommes.. et les femmes.
Elle doit s’échapper avant le service du soir, sans être allée chez ses parents.
Elle revient après la fin du repas, toujours chaude.
- « D’être à côté de Viviane pendant tout ce temps, je te dis pas comme j’étais excitée. Je ne voyais que sa poitrine, alors que je ne la regardais jamais avant. Quand elle me tournait le dos, j’admirais sa silhouette. J’avais envie… mais interdit au travail.
- Tu es frustrée ma chérie !
- Oh c’est gentil de m’appeler ta chérie !
- Tu es ma petite chérie
- Petite et grosse.
- Arrête avec ça ! Tu es superbe quand tu es nue.
- Il faut que je reste tout le temps nue alors ? Ah Ah ah ! » Elle se déshabille en suivant « Voilà ! Tu es content ?
- Très ! »
Sophie monte sur le lit et vient se blottir dans mes bras. On s’enlace et on s’embrasse
La porte s’ouvre alors et Viviane entre. En nous voyant, elle se déshabille aussitôt et nous rejoint.
- « Je savais bien que tu serais là petite coquine ! Je me suis dépêchée ! » Les deux femmes s’embrassent. « Si tu savais comme tu m’as excitée pendant le service ! J’étais trempée ! J’avais envie de te toucher et je sentais son odeur. Tu ne t’es pas lavée cochonne !
- Moi aussi j’étais excitée !
- C’était dur de ne pas se toucher.
- Mais c’est la règle !
- Viens me gouiner petite salope ! J’en rêve depuis tout à l’heure !
- Oh oui ! »
Viviane s’étend et sans hésiter, Sophie met sa tête entre les cuisses de sa patronne.
- « Oh ça sent bon ! J’adore !
- C’est bien ma chérie. Tu vois comme c’est mouillé ?
- Oui ! Moi aussi je coule.
- Viens sur moi on va se faire un soixante neuf ! Et toi mon salaud, baise cette petite, je suis sûre que son gros cul te fait bander ! »
Je passe un coussin sous la tête de Viviane pour qu’elle soit à la bonne hauteur pour lécher la chatte de son employée. Quand j’approche ma bite de la grotte, Viviane s’en saisit et me suce avant de la guider dans la chatte.
J’alterne alors les pénétrations et les sorties, ce qui chaque fois me vaut une léchouille et une succion du gland. Quand je suis dans la moule trempée, Viviane titille le clito et se régale de la mouille qui coule.
- « Prend-lui le cul à cette cochonne !
- J’ai jamais fait ! lance Sophie.
- Une bonne raison pour commencer.
- Je vais avoir mal !
- Ne t’inquiète pas ! On va bien te préparer ! N’est-ce pas vieux cochon ? Lèche-lui le cul et doigte-la ! Il a une belle queue, pas trop grosse. Elle passera bien. Celle de mon mari est plus large, tu seras bien ouverte alors.
- Roger ? Tu veux que…
- Ça le rend fou de savoir que je baise avec toi. Il est impatient de te connaître.
- Oh ! »
Penché sur le cul de Sophie, je glisse ma langue dans son trou. J’adore l’odeur de son cul qui frémit. J’introduis un doigt en prenant de la mouille dans sa chatte dégoulinante. Et je pousse dans le trou.
- « Ça fait drôle… dedans !
- Tu vas aimer ! »
Je donne mon doigt qui sort du cul, à sucer à Viviane qui lance un « mmmh ! Oui, continue ! »
Un deuxième doigt rejoint le premier et le cul de Sophie s’ouvre lentement. Je fais plusieurs aller et retour en donnant mes doigts à sucer chaque fois à Viviane qui gémit elle aussi sous la langue de Sophie.
- « La petite salope me doigte aussi le cul ! Elle apprend vite ! Vas-y ! Encule-la ! »
Je lui donne ma bite à sucer, couverte de mouille. Viviane rajoute bien de la salive. J’enfile une capote, et je mets du gel sur la corolle « c’est froid ! »
Guidé par la main de Viviane, je pose mon gland sur l’œillet « Pousse un peu comme pour faire caca, ce sera plus facile. » Sophie est docile et en confiance. Je commence à forcer et le gland passe la porte étroite sans trop de difficulté.
- « Ça va ?
- O.. Oui !
- Détend-toi ! Ça va aller tout seul, tu es bien ouverte. »
Par petits à-coups, je m’enfonce dans ses lombes jusqu’à buter contre ses fesses.
- Ça y est !
- Oh c’est gros ! C’est bon !
- Sors de son cul ! Je veux goûter ! » s’exclame Viviane qui n’a pas arrêté son léchage
Je sort du cul de Sophie et lui donne la tétée. « Mhh ! J’adore l’odeur de son cul ! Vas-y, bourre-la maintenant ! Pète-lui le cul ! Démonte-la bien mon salaud !»
Bien agrippé aux grosses fesses de la petite, je la pilonne maintenant. Elle n’arrive plus à lécher sa patronne et crie son plaisir. J’ai envie de jouir, mais je me retiens. Sous l’action de la langue de Viviane et ma bite dans son cul, je veux que Sophie jouisse de sa première sodomie.
Mon bassin claque sur ses fesses et les grognements envahissent la chambre. Viviane grogne sous le ventre de Sophie.
D’un coup, celle-ci se lâche. Je sens ma bite être comprimée.
- « Je vais jouir ! » dis-je
- Dans ma bouche ! Viens dans ma bouche ! » réclame Viviane.
Alors que je vais éjaculer, je sors du cul accueillant, j’arrache la capote et donne ma queue à la bouche vorace qui me pompe. Je lui expédie quelques giclées dans la bouche qu’elle s’empresse d’avaler, puis suce ma pine pleine de sperme en m’apportant un plaisir supplémentaire.
Sophie est exténuée par son orgasme et sa première sodomie, aussi j’enfile deux doigts dans la chatte béante de Viviane et je la branle énergiquement. Ça clapote et Viviane jouit enfin en lâchant une belle quantité de jus.
Le calme revient peu à peu dans l’habitacle. Nous entourons la petite dont le corps est brûlant de plaisir.
- « Alors ? Tu as aimé. Demande Viviane.
- Au début, ça faisait drôle. J’avais un peu mal… enfin pas vraiment... et puis j’ai aimé. C’était bon ! En plus avec ta langue sur mon clito, c’est monté, monté… C’est trop bon !
- Je suis contente que tu ais jouis pour ta première sodomie. C’est important. Comme ça tu auras envie de recommencer.
- Oh oui ! Mais… Tu as dis… que… avec Roger !…
- Oui ma chérie ! Quand Jacques sera parti, tu seras un peu seule, alors, notre lit te sera ouvert.
- Tu.. .
- Ne t’inquiète pas ! Avec Roger on se dit tout et on aime avoir d’autres partenaires, alors, si tu veux, on pourra s’amuser tous les trois !
- Je… Oui, je crois… Je voudrais vous demander quelque chose.
- Dis-moi tu voyons !
- Non, à vous deux… à toi et à Jacques. Après-demain, le restaurant est fermé pour deux mois.
- Oui.
- Toi Jacques, tu m’emmènerais avec toi quelques jours ?
- Tu n’as pas peur ?
- Avec toi non.
- C’est pas ça, mais vis à vis de tes parents…
- C’est pour ça que je voudrais que Viviane m’emmène jusqu’à Lège pour soi-disant me mettre dans le car pour Bordeaux et Paris, voir une copine et toi, tu me prendras là !
- Quoi ? Directement sur le parking ? Devant tout le monde ?
- Tu es malade !
- Je plaisante. J’ai compris que tu es une petite futée. Pour moi, c’est d’accord, mais à condition que quand l’un ou l’autre en a marre, il le dise sans attendre, avant de se fâcher.
- D’accord ! Je ne t’encombrerai pas et puis, je sais faire la cuisine. Je ferai la vaisselle.
- Et je te baiserai !
- Oh oui !
- Tu es d’accord Viviane ?
- Je suis triste que tu partes déjà !
- Je vais revenir pour la saison d’hiver au plus tard. Moi aussi j’ai envie de faire encore l’amour avec toi.
- Et avec Roger !
- Oui aussi, même si je…
- Et avec d’autres !
- ???
- Nous sommes des libertins et nous allons dans des clubs, tu viendras avec nous.
- Je..
- Bon on verra tout ça. En attendant, je suis d’accord pour te couvrir, à une condition..
- Laquelle ?
- Avant de partir, demain, pendant que les hommes rangent, tu viens faire l’amour avec moi
- D’accord
- Dans mon lit.
- D...d’accord !
- Peut-être que Roger viendra voir.
- Oh !
- Mais il lui sera interdit de te toucher ! »
Le lendemain, les deux femmes vont disparaître pendant une heure dans la matinée, sous prétexte de ranger l’appartement. Le rose aux joues à leur retour et leurs yeux brillants ne trompent pas sur leur activité. Roger leur jette un œil émoustillé. Je rigole dans mon coin.
Pendant le repas, les deux femmes sont côte à côte à table en face de moi et je suis sûr, vu leurs mimiques, que sous la nappe, leurs cuisses se frottent.
L’après-midi, sieste pour tout le monde, moi seul dans mon camion pour une fois. Du coup, je décide ensuite d’aller faire un tour en vélo avec Rocky qui est tout heureux. Je ne rentre qu’après une quarantaine de kilomètres de course.
Nous allons faire un plongeon dans l’eau, puis je le douche à l’extérieur. Je le fais boire et je lui donne sa ration quotidienne de croquettes. Ensuite je me douche et me prépare pour cette dernière soirée avec mes amis.
Huîtres de Joël, Guillaume, un parisien originaire du Ferret et sa femme, qui est actrice de cinéma d’après ce que j’ai compris. Marcel et d’autres amis et voisins. C’est la tradition à la cabane, pour fêter la fin de la période estivale. Il y a aussi un couple d’amis libertins, ce que j’apprendrai par la suite par Viviane qui viendra finir la nuit avec moi. Sophie n’est pas venue. Elle devait parler à ses parents et les convaincre de la laisser partir. L’adhésion de Viviane et le fait qu’elle l’amène elle-même à l’autocar, ont emporté la décision.
Je dois rougir, mais le garçon me fait de l’effet. Il a flairé que je n’étais peut-être pas hostile à une relation avec un homme.
Son geste est discret pour les autres clients, mais suffisamment explicite. Dans un premier temps, je baisse les yeux ou je fais semblant d’admirer le paysage, mais mon regard revient vers lui malgré moi. Je suis sous le charme et la domination de cet homme qui doit avoir vingt cinq ou trente ans. Je n’en reviens pas qu’il s’intéresse à un homme mûr comme moi.
Inconsciemment - ou volontairement - je ne sais pas, au lieu de saisir ma tasse par l’anse, je la prends directement entre deux doigts et je mime sa caresse. Je ne sais si c’est le geste qu’il attendait, mais son sourire s’élargit. Il me fixe intensément et lentement, il se lève.
Il se dirige vers la sortie, mais avant de tourner derrière le bâtiment, il se retourne vers moi, toujours le sourire aux lèvres.
Quand il disparaît de ma vue, j’ai un temps d’hésitation, puis lentement, je me lève et je me dirige vers là où il a tourné. Arrivé à l’angle, il est là, à quelques mètres. Il m’attend et me regarde, puis se tourne et continue lentement son chemin.
Arrivé à un embranchement vers la forêt, il se retourne à nouveau vers moi et s’enfonce au milieu des arbres.
J’hésite encore. Si je le suis, cela voudra dire que j’accepte son invitation. J’ai honte, mais le désir est le plus fort. Je ne me contrôle déjà plus. Je le suis, Rocky sur mes talons.
Il est là, à quelques mètres, appuyé contre un arbre et me regarde arriver. Je m’arrête et il me fixe toujours. Il a une main posée sur sa braguette et se caresse négligemment. Je franchis les derniers pas et j’arrive devant lui. Ses yeux me transpercent et toujours son sourire aux lèvres. Il est sûr de lui. Je suis face à lui, à quelques centimètres maintenant. Je ne sais quelle attitude prendre.
- « Je savais que tu viendrais ! J’ai tout de suite vu que tu étais une salope ! Viens me sucer ! »
Voilà. Tout est dit. Il a défini les rôles. Je serai sa femelle. Sans plus attendre, je m’agenouille. Rocky s’est couché à quelques pas, indifférent à ce qu’il se passe.
Je défais son pantalon, je l’ouvre et je le descend sur ses cuisses. Sous son caleçon, une belle bosse se dessine déjà. Je n’attends pas. Je baisse son dernier vêtement et sa bite jaillit. Un bel engin, bien gros, bien raide, surmonté par un gland en forme de champignon. Tout lisse. Rien que la vue me fait frémir de désir.
Je saisis le membre d’une main. Je respire son odeur qui finit de m’affoler et sans attendre, je lèche le bel orgasme. « Avale ! » L’ordre arrive et je ne peux qu’obéir. Je prends le gland entre mes lèvres et de la langue je titille le méat. Je suce le gros champignon comme un bonbon.
L’homme en veut plus. Il prend ma tête entre ses mains et me baise la bouche sans se préoccuper de moi. J’ai du mal au début et je suis à la limite de vomir, mais je parviens enfin à déglutir et avaler complètement le chibre jusqu’à la gorge.
La splendide queue durcit encore. Je masse les couilles rasées et sans prévenir, l’homme gicle dans ma bouche un quantité impressionnante de foutre que je suis bien obligé d’avaler.
- « Nettoie bien salope ! »
Je n’ai pas l’intention de me soustraire à cet ordre et soigneusement je récupère tout le jus sur la queue et le gland.
Une fois satisfait, l’homme se réajuste. Ma bite me fait mal dans le pantalon à force de bander. Quand l’homme a grogné en éjaculant. Rocky a relevé la tête et observé la scène, puis rassuré, il s’est rendormi.
Je me relève. L’homme a toujours son sourire ironique. Content d’avoir jouit.
- « T’es une bonne salope toi ! J’ai envie de te baiser ! On peut trouver un endroit plus calme, confortable et discret ? Ici ça craint !
- Si tu veux, j’ai un camping-car plus loin.
- T’as vraiment envie de te faire baiser toi !
- Oui ! J’ai envie de ta grosse queue dans mon cul !
- Je crois que je suis tombé sur une bonne pute. Tu vas voir ce que tu vas prendre ! Où il est ton camping-car ?
- Un peu plus loin sur le parking. Il faut que je récupère mon vélo à la cabane. tu n’auras qu’à me suivre. »
Je repars au restaurant, je récupère mon vélo et je reviens par le même chemin. L’homme attend. Je reprends le chemin et à un coude, j’oblique par la forêt pour rejoindre mon camion. Arrivé sur le parking, l’homme déclare :
- « Bel engin ! Il doit être confortable !
- Tu vas voir, il y a un grand lit. »
Rocky se couche sous l’habitacle. Je lui ouvre la soute, mais il fait meilleur à l’extérieur. Je lui donnerai à manger plus tard. J’ouvre la porte et je rentre. L’homme me suit en me mettant la main aux fesses. Il s’extasie devant l’aménagement. « Super ! »
Sans plus attendre, je me déshabille. Si d’habitude je vis nu dans mon « camion », ce jour là, je suis encore plus motivé pour l’être.
- « Dis-donc ! Tu es pressé de te faire mettre ! Je sens que je vais m’amuser !
- Tant que tu veux ! » dis-je en ouvrant la porte de la chambre.
- « Oh putain ! C’est top ! »
L’homme se déshabille à son tour. Je découvre enfin son corps d’apollon. Musclé, bronzé intégralement. Poilu sur le torse, les jambes, le ventre et les bras comme j’aime, mais rasé au niveau du sexe. Sa bite semble encore plus belle et impressionnante. Ses poils blonds et soyeux sont un régal au toucher. Je me colle contre lui pour sucer ses tétons. Je suis en transe. J’attrape la bite qui se redresse à nouveau. Je veux la sentir encore dans ma bouche.
L’homme se laisse faire un moment et se régale de ma gorge profonde. Déjà, il rebande fort.
- « Monte sur le lit ! Je vais te baiser salope ! »
Je ne pense même pas à lui donner une capote. A genoux au bord de la couche je lui présente mon cul. Je suis tellement trempé que son gros gland n’a aucune difficulté à m’empaler. Je le sens quand même bien passer. Il écarte mes chairs sur son passage, mais c’est un plaisir.
Bien planté en moi, il m’embroche d’un coup jusqu’aux couilles. Je ne suis plus qu’une poupée entre ses mains. La sodomie dure longtemps. Il est vrai qu’il s’est déjà vidé une fois. J’en profite pleinement. J’ai rarement été enculé aussi bien. Ce n’est pas douloureux et les sensations sont intenses.
J’attrape ma bite et je me branle en même temps. L’homme s’en rend compte et m’intime l’ordre de ne pas me toucher. J’obéis. Je sens monter en moi un orgasme anal fabuleux. Sans rien faire, je râle, je crie et mon gland laisse échapper mon sperme en coulant. Cela dure longtemps, plus qu’un orgasme habituel
Derrière moi, l’homme martèle mes fesses de son pubis à un rythme soutenu, m’apportant encore plus de plaisir. Enfin, il se raidit et je sens sa giclée en moi. Malgré la jouissance précédente, il m’en met encore une bonne dose qui remplit mon anus.
Je m’effondre sur le lit, terrassé par un orgasme gigantesque. Ravagé. L’homme qui n’est pas au mieux, se couche sur moi, m’écrasant de tout son poids. Son corps est brûlant. Je suis bien.
Il nous faut un moment pour nous remettre. Je sombre d’ailleurs dans le sommeil, mon homme repu à mes côtés.
Quand je me réveille, il est étendu sur le dos, toujours endormi. Sa bite demi-molle est posée sur son ventre et . Je ne résiste pas au plaisir de la sucer. Elle sent mon cul et j’aime ça. Sous ma langue, elle se réveille lentement et grossit encore.
- « Tu n’as en jamais assez toi ! Salope ! Tu vas me vider les couilles à ce rythme ! Mais dis-donc, tu es là pour un moment ?
- Je n’ai pas de programme défini. Je parcours toute la côte et je m’arrête parfois plus longtemps.
- Tu vas être ma femme pour la fin de la semaine, après je retourne à Paris.
- Pas de problème, je suis à toi tant que tu veux !
- Eh bien dis-donc toi, tu es une vraie salope !
- Je ne le suis pas tout le temps. J’aime aussi les femmes, mais j’ai envie d’être ta pute.
- T’inquiète ! Maintenant que je t’ai trouvé, je ne te lâche pas. Je n’ai pas souvent vu de pute comme toi. Tu vas m’héberger et je vais te baiser comme la salope que tu es ! C’est quoi ton nom ?
- Jacques.
- OK salope. Mois c’est Hervé, mais appelle moi monsieur.
- Je pourrais dire maître ?
- Si ça te fait plaisir, mais pas par mon prénom.
- Bien maître ! Bien Monsieur !
- J’ai faim ! Tu as quelque chose à manger ?
- Je vais voir.
- Tu restes à poil ici.
- Aucun problème ! C’est comme ça que je suis toujours à l’intérieur. »
Pendant qu’il mange, mon maître exige que je sois sous la table et que je le suce. Cela peut durer longtemps et la position est fatigante, surtout pour mon cou et mes reins.
Dans l'après-midi, après m’avoir baisé encore une fois, Hervé me laisse.
- «Je serai de retour pour sept-heures ! » M’a dit mon maître. « Je vais chercher mes affaires et faire un tour à la plage ! » Je ne suis pas convié à y aller avec lui.
J’en profite pour aller faire courir Rocky. J’ai un peu mal au cul sur la selle et j’ai l’impression que du sperme coule dans mon cycliste, pourtant, j’ai pris une douche et me suis bien nettoyé. Après deux heures de course et de temps de repos, Rocky a pu s’ébrouer dans l’océan et a adoré ce moment, nous rentrons. Il reste une bonne demi-heure avant le retour de mon maître. Je donne à boire et à manger à mon chien en pensant bien que plus tard, je serai occupé…
J’attends, mais il ne revient pas. Il est presque vingt-heures quand Hervé fait son retour. Il n’a pas d’explication à donner et je n’ai pas à savoir pourquoi. Je prépare le repas de mon homme. Comme il se doit, je suis ensuite sous la table pendant qu’il mange.
A la fin du repas, il me penche dessus et me baise. Il a repris des forces et refait ses réserves. Sans se préoccuper de mon plaisir, il me sodomise sans tendresse, mais peu m’importe. Je suis là pour son plaisir et tant pis si le mien n’arrive pas.
Même si je ne jouis pas, je prends beaucoup de plaisir à être son vide couilles. Je sens même monter en moi, le début de ma jouissance, mais mon homme n’en a cure et il jouit à nouveau dans mon cul.
Je pars me vider sur les toilettes et me nettoyer, non sans avoir nettoyé la bite de mon maître de la bouche. Il faudra d’ailleurs que je fasse un lavement, car j’ai dû aussi avaler quelques résidus de mon rectum, moins agréables.
Après cela, Hervé déclare qu’il sort en boîte avec des amis.
- « Tu n’y vois pas d’inconvénient ? On va sur la plage et après on va en soirée. Ce soir, je ne t’emmène pas, mais qui sait, une autre fois, je leur montrerai ma vieille pute et peut-être que tu devras éponger d’autres bites.
- Si tu le désires…
- Tu es vraiment une pute à jus ! Je ne sais pas si j’ai envie de montrer que je me tape une vieille salope, mais pourquoi pas ? Je ne sais pas à quelle heure je rentre, tu laisses ouvert.
- Il y a une fermeture centralisée, tu n’auras qu’à taper. »
Je dors profondément quand j’entends frapper « Ouvre salope ! » Je me dépêche d’ouvrir et mon homme entre.
- « Ah putain ! Il y a un mec qui m’a chauffé toute la soirée et m’a laissé en plan ! Tu vas prendre cher ma salope ! » A peine nu, il monte sur le lit et veut me prendre. Je lui demande de me baiser sur le dos. « Ah vieille pute ! Tu es vraiment une femelle ! Allez ! Lève tes jambes ! »
A peine en position, mes jambes soutenues par mes bras, il pointe son dard sur ma corolle et sans préliminaire, il s’enfonce. Mon anus s’est refermé et n’est pas lubrifié, je n’ai même pas eu le temps de mettre du gel. J’ai mal, mais il n’en a cure. Il force mes sphincters et je crie. « Ah putain ! Tu es bien serrée salope ! C’est bon ! Je vais t’éclater le cul comme il faut.
Ça y est, il est en moi et s’enfonce complètement. Sa bite écarte mes chairs et il bute au fond. Il reste un peu sans bouger. Ce répit me permet de me reprendre. Il commence alors à me sodomiser lentement, puis accélère. La douleur fait place à une chaleur qui monte en moi. Je passe mes jambes sur ses épaules et il me défonce encore plus, sans se préoccuper de moi. Ma queue est toute ratatinée par la douleur, mais j’ai l’impression que je vais jouir. Ma bite me fait mal comme si elle était tendue avant l’orgasme. C’est à la fois douloureux et terriblement bon.
Mon homme est bien dur et son gros champignon laboure mon rectum, écartant tout sur son passage. Il souffle, il transpire mais ne jouit pas. Il ressort de mon cul pour mieux y replonger, déclenchant en moi une montée de plaisir. Je gueule et il me ferme la bouche d’une main.
- « Tu vas ameuter tout le monde salope ! Attend ! Tu vas venir sur moi. Je suis crevé ! »
Il décule, se couche sur le dos et je l’enjambe pour m’empaler à nouveau sur son sexe bandé. Je le guide dans mon cul et l’enfile jusqu’au fond. Mes cuisses sur les siennes. Appuyé en arrière sur ses jambes je monte et descend sur ce monstre qui me remplit. Je souffle sous l’effort, je suis en nage mais je ne m'arrêterais pour rien au monde.
Je n’en peux plus, je sens monter ma jouissance. Mon sperme gicle du méat et asperge son ventre et son torse. Mon anus palpite, s’ouvre et se ferme sur sa turgescence en provoquant sa jouissance.
- « Ah salope ! Tu jouis ! Tiens ! Prend ça ! »
Il se cambre et je le sens gicler en moi. Je suis vidé et à la fois rempli de sa semence. Je m’effondre sur lui cherchant sa bouche pour l’embrasser. Nos corps ruisselants ont ravagé les draps. Il fait chaud dans l’habitacle et une odeur de foutre règne. Se reprenant alors, mon maître me repousse sur le côté.
- « Salope ! Tu as giclé sur moi ! Nettoie ton foutre avec ta langue. Qu’il ne reste rien ! »
Je m’acquitte de ma tâche en récupérant tout mon jus, de la base de sa hampe où il est mélangé au sien, jusqu’à la poitrine en léchant ses tétons. Je termine par sa queue engluée de sperme. Je sens aussi qu’il en coule de mon cul et tâche les draps.
Épuisés autant l’un que l’autre par cette chevauchée, nous sombrons dans le sommeil au milieu des draps poisseux.
Un peu plus tard dans la nuit, je suis réveillé par mon homme qui tente de me prendre à nouveau. Je suis couché en chien de fusil de dos contre lui. Il relève ma jambe et se guide en moi. Mon cul encore rempli de son jus, l’accueille sans problème. Les muscles n’ont pas eu le temps de reprendre leur forme serrée.
Il passe un bras autour de moi et me pince un téton. Mélange de douleur et de plaisir qui me fait aussitôt bander.
Pour une fois, mon maître touche ma queue pendant qu’il m’encule.
- « Mais dis-donc ma salope, tu bandes ! Ça te plaît de te faire enculer au réveil !
- Oh oui ! C’est bon ! J’aime ta bite. Elle me remplit bien le cul. Branle-moi bien je vais juter !
- Ah vieille pute ! Tu es bien dur pour un vieux pédé.
- Je ne suis pas pédé ! J’aime aussi les femmes !
- Qu’est-ce qu’il te faut salope ? Ça fait deux jours que tu te fais enculer et tu en redemandes !
- Oui ! C’est vrai ! En ce moment, je me sens femelle dans tes bras. J’aime ta peau et ton odeur de mâle, mais il y a quelques jours ici même, je baisais une femme et j’y retournerai ensuite quand tu seras parti.
- En attendant, t’es un pédé.
- Si tu le veux, oui. Je suis ta vieille pédale, ta fiote, ta lope, comme tu veux. J’aime que tu m’encules et j’aime sucer ta belle queue. Elle est bonne ta bite ! Défonce-moi le cul ! Ah oui c’est bon !»
Hervé est bien excité par mes mots et il redouble de vigueur entre mes fesses. Il abandonne ma bite, agrippe ma hanche et se consacre à son propre plaisir. Il grogne et enfin se fige quand il éjacule dans mon cul.
Il reste en moi le temps que son sexe se rétracte. Je reste éveillé alors qu’il s’endort, heureux de sentir encore sa bite en moi et de sentir son sperme dans mon cul.
Le matin, je me réveille baignant dans du jus plus ou moins séché. Je ne sais pas si mes draps seront récupérables. En tout cas, pendant un moment peut-être, je les garderai en souvenir.
Mon homme dort encore. Je sors pour soigner le chien. Il fait déjà bon dehors. Je déploie l’auvent et j’installe la table pour le petit déjeuner.
Je suis à la cuisine à préparer croissants au four, jus d’orange et toasts, lorsque Hervé sort de la chambre. Il n’est pas douché et son odeur de mâle m’excite déjà.
- « Mais dis-donc salope, je croyais t’avoir dit d’être à poil ?
- Je suis sorti et je nous ai préparé la table pour le petit déjeuner, j’ai oublié…
- Bon je te pardonne pour cette fois. Tu veux vraiment qu’on te voit avec moi dehors ?
- Les gens pourront penser que tu es mon fils.
- C’est ça oui ! Tu as envie de montrer aux autres qu’un beau mâle te tire.
- Peut-être aussi ». Je ne lui dis pas que pendant qu’il dormait, j’ai fait des photos de lui, nu sur le lit, sa belle bite à moitié bandée et déjà imposante me donnait des frissons.
- L’inconvénient, c’est que tu ne pourras pas passer sous la table pour me sucer pendant que je mange.
- Je te sucerai à fond après. Je te rassure, j’en ai autant envie que toi.
- Qu’est-ce que tu vas faire aujourd’hui ? Moi j’ai à faire, je rentrerai tard cette nuit, si je rentre
- Je vais en profiter alors pour aller me balader avec le chien, il faut le faire courir. On va faire une cinquantaine de kilomètres. On ira aussi sur la plage côté océan pour se baigner, il adore jouer dans les vagues après avoir couru.
- A ce soir alors, mais avant, tu sais ce qu’il te reste à faire ?
- Oui mon maître ! Venez que je vous suce la bite. Je débarrasserai après. »
Hervé s’installe dans le fauteuil de conduite qu’il fait pivoter vers l’arrière. Il s’y étale. C’est alors qu’il relève ses jambes.
- « Tu vas me bouffer le cul salope ! » Il ne me l'avait pas encore demandé, mais je suis tout heureux de le faire. Entre ses fesses, ça sent fort. Un mélange d’odeur corporelle, de sperme et de cul. J’adore !
Ma langue fouille son anus au milieu de quelques poils blonds que je suce. Mon maître joue de ses muscles pour ouvrir et fermer son cul. Je tente d’y entrer ma langue au maximum et ses soupirs de contentement prouve qu’il apprécie ma caresse.
Pendant ce temps, il se branle. Je suce aussi ses couilles et en prends en bouche.
- « Allez, viens, maintenant, tu vas prendre la crème pour ton petit déjeuner ! »
J’attrape ses boules dans une main pour les rouler doucement, et j’avale aussitôt son membre bien rigide. Je me régale d’avoir la pine de ce beau jeune homme en bouche. Il n’a même pas la moitié de mon âge et jusque là il me dominait, mais en ce moment, c’est moi qui suis le maître de son plaisir. Je fais durer ma pipe matinale. J’alterne les gorges profondes avec le léchage de la hampe et la succion du gros gland ; C’est maintenant lui qui est demandeur. Il me presse de le finir, mais tant que je peux, je le maintiens à la limite de l’éjaculation.
Il finit par attraper ma tête, me fourre toute sa bite dedans et me « baise la gueule » Je ne suis plus qu’un instrument. Il m’utilise pour son plaisir et j’aime aussi ça. Je l’absorbe maintenant au fond de ma gorge, sans problème. Je suis un pro de la pipe.
D’un coup, il se lâche et gicle en moi.. Une partie part directement dans mon gosier. Ses grosses giclées me remplissent la bouche, mais je ne laisse rien échapper, j’avale tout et en suivant je nettoie sa bite jusqu’à qu’il ne reste rien.
- « C’est bien ma salope ! Tu en as bien profité aussi !
- Oh oui ! J’ai adoré te lécher le cul et boire ton sperme. Il est délicieux !
- Bien. Maintenant je me douche et je m’en vais ! »
Après son départ, je reste un moment nu. Son odeur sur moi est aphrodisiaque. Je me branle en regardant ses photos que j’ai chargées sur mon ordinateur. Je fais durer ma masturbation et quand j’éjacule sur moi, ma jouissance est énorme.
Je passe à la douche, je m’habille, ce qui me paraît alors incongru, je fais le ménage, je change les draps du lit et je les fourre dans le lave-linge. Dehors, je range la table et les chaises, je referme l’auvent puis je prépare mon vélo.
Rocky a bien senti que nous allions nous promener. Il est excité. Je lui passe le harnais, je ferme le camion et nous partons pour une longue balade.
Au début, je reste dans la forêt car je sais que mon chien, vite après le départ, a besoin de se soulager. Cela m’évite de ramasser sa crotte. Ensuite, c’est parti pour une bonne heure. J’alterne grande course et petit trot pour le soulager. Parfois aussi, j’enclenche l’assistance électrique du VTT dans les parties sablonneuses en dehors des sentiers.
Nous remontons jusqu’à la plage du Truc vert. Je détache Rocky et nous filons dans l’eau pour une baignade apaisante. Après une heure, nous repartons vers le Petit Piquey où je déguste bien sûr des huîtres, avec une sole. Rocky bois une bonne quantité d’eau. Je le limite malgré tout, car au retour, nous avons une longue course. Il n’y aura pas d’arrêt avant d’arriver au camion.
Tout au long des vingt kilomètres du parcours, on se régale, autant Rocky que moi. Je filme un moment la course et je prends des photos.
Après avoir dételé Rocky, je me change et je décide d’aller me baigner et de baigner Rocky devant le bar restaurant voisin. Je pars à pied, en mode promenade et Rocky me suit tranquillement, sans être attaché. Une laisse n’est pas utile avec lui. Je ne la lui mets que par obligation en ville… et encore.
Sur la terrasse où j’ai rencontré Hervé, il n’y pas grand monde. Je prends une bière et demande une écuelle d’eau pour mon chien. Nous allons nous baigner. Rocky se régale dans cette eau du bassin sans vagues. Je profite de ce moment pour faire des apnées. Au fond de l’eau vers cinq ou six mètres je découvre des cadavres de bouteilles et de canettes.
Au retour sur la terrasse, le patron qui profite d’un moment de calme pour fumer une cigarette, est intéressé par Rocky. Il le trouve très beau.
- « Il n’est pas méchant ?
- Pas du tout.. enfin, si on ne me touche pas !
- Il vous obéit ?
- Oui. Et quand je le fais courir, je n’ai qu’à le commander.
- Vous l’avez dressé ?
- Oui, je l’ai eu tout jeune. Il a été élevé tout petit avec une poule, un chat et un mouton à ses côtés, ce qu’il fait qu’il ne les attaque pas. Ensuite, quand il a été sevré, je l’ai pris avec moi et je lui ai appris les commandements et les règles de conduite. Il n’y fait jamais défaut.
- C’est un chien de garde ?
- Pas vraiment, même s’il surveille et signale des intrus. C’est aussi une compagnie, mais il a besoin de courir. Ce n’est pas un chien d’appartement.
- Il mange beaucoup ?
- 300 grammes de croquettes par jour, jamais de viande, sauf des os et rarement du pain rassis.
- J’aimerai avoir un chien comme lui.
- C’est un Husky sibérian. Il est LOF
- C'est-à-dire.
- Il a un pedigree et des papiers. Je connais son père et sa mère.
- Ah bon ?
- C’est mon fils qui m’en a fait cadeau, il est éleveur.
- Et… Ça vaut combien un chien comme ça ?
- 800 euros pour un mâle et 900 à 1000 pour une femelle.
- Ah oui ! Et.. votre fils, il en vend ?
- Oui, bien sûr ! Il choisit tout de même à qui il les vend. Il faut quelqu’un de sérieux, qui ne vive pas en appartement et qui s’engage à le soigner. D’ailleurs, il suit et contacte régulièrement les nouveaux propriétaires, surtout au début.
- Il en a en ce moment ?
- Je pense qu’il fera une portée à l’automne. Après il faut attendre 3 ou 4 mois pour l’avoir quand il sera sevré, mais il vaut mieux réserver pour le choisir vite. Il y a de la demande.
- Vous allez me donner ses coordonnées. Ça m’intéresse. C’est une race qui me plaît. Ils sont très beaux.
- Et très affectueux, y compris avec les enfants.
- Vous ne l’attachez jamais ?
- Sauf quand je suis obligé de le tenir en laisse et quand je l’attelle à mon vélo pour courir, mais il aime ça. Voyez, aujourd’hui, nous avons fait presque cinquante kilomètres, dont au moins la moitié d’une traite. Il a adoré.
- Je peux le caresser ?
- Bien sûr ! Vous ne craignez rien, surtout avec moi à côté. Dites, au fait, j’ai fais un peu de plongée devant chez vous. Au fond de l’eau, il y a plein de bouteilles et de canettes vides. Ce pourrait être dangereux et ça fait sale.
- Ce sont les jeunes qui viennent la nuit sur la plage pour faire la fête ! On a beau mettre des poubelles, ils s’amusent à les lancer dans l’eau. C’est dégueulasse. Je ne sais comment faire pour nettoyer.
- Je pourrais vous aider.
- Comment ça ?
- Je fais de la plongée. Je suis équipé. Il suffirait d’une petite barque pour me signaler et que j’y dépose mes « trouvailles ».
- Vous avez des bouteilles pour plonger ?
- Non, je fais de l' apnée. J’adore ça. Ici, il n’y a pas beaucoup de poisson, ni de flore, c’est ce qui m’a frappé. C’est pour ça que j’ai été voir au fond. Je ne pourrais pas en sortir des tonnes, mais ce sera déjà ça. Je pourrais le faire en journée, comme cela les gens verront ce que je sors.
- Vous me prendriez combien pour faire ça ?
- Je ne veux pas d’argent.
- Alors, vous aurez ici table ouverte tant que vous voulez rester.
- Je ne dis pas non. Jusqu’à dimanche je suis occupé, mais ensuite, pourquoi pas.
- Vous logez où ?
- J’ai mon camping-car sur le parking derrière à 150 mètres.
- Ah oui! Je l’ai vu ! Bel engin dites-moi.
- Oui pas mal
- Vous n’avez pas été embêté ?
- Non, pas du tout.
- Parfois la police municipale passe en vélo. Ils n’aiment pas que ces véhicules stationnent trop longtemps en dehors des campings. Si vous voulez, vous pourrez le mettre derrière la cabane.
- D’accord. Je viendrai dimanche soir ou lundi.
- C’est la fin de la saison. Il n’y aura aucun problème. Même le dimanche soir, ne vous gênez pas. Une autre bière ?
- Non merci. Je vais rentrer on…va m’attendre
- Ah pardon ! Votre femme ?
- Je.. non.. Je fais des visios avec ma famille et des amis tous les soirs (pieux mensonge), Je raconte mon voyage.
- Bon d’accord, je n’insiste pas. Bonne soirée ! »
Je retourne au camion et je me prépare à manger. Rocky a englouti sa gamelle et je remplis à nouveau celle de l’eau. Il est couché sous le camion comme d’habitude.
Après avoir publié les photos et les commentaires de la sortie vélo sur mon blog, je m’installe sur le fauteuil conducteur et je regarde la télévision en attendant Hervé. Je suis « accro » et je ne pense à rien d’autre. D’ailleurs, je me suis mis nu, comme il me l’a demandé, ce qui me plaît aussi.
Il est presque minuit lorsque Rocky me signale l’approche de quelqu’un. J’ai installé un dispositif sous le camion par lequel il tire une ficelle et une petite cloche sonne à côté du lit. Pratique et discret !
Hervé entre et surprise, il est suivi par un autre garçon d’à peu près son âge.
- « Je te présente Kevin. Je lui ai parlé de toi.
- Ah ! C’est ta pute ? Pas mal pour un vieux ! Et il est déjà à poil !
- C’est la règle ! Il doit être prêt ! Allez salope ! Viens souhaiter la bienvenue comme il se doit à mon copain ! »
Inutile de le faire répéter. Je m’avance vers Kevin, je m’agenouille et je descend son short bermuda. Sa bite est encore molle, mais je la prends aussitôt en bouche. Mes « talents » de suceuse, comme dit Hervé, ont tôt fait de lui donner une belle rigidité.
Pendant ce temps, mon « maître » s’est déshabillé et me présente lui-aussi, son membre dressé. Je me retrouve avec deux bites que je suce et branle alternativement.
Kevin est assez maigre, disons sec et musclé. Sa queue est plus courte que celle d’Hervé, mais aussi épaisse, ce qui sur son corps donne une impression superbe.. Je me régale en cajolant ces deux jeunes éphèbes pleins de vigueur.
- « On peut le baiser ?
- Bien sûr ! On est là pour ça ! Par contre, tu mets une capote. Tu en as salope ?
- Oui, bien sûr !
- C’est vrai que je n’ai jamais pensé à te baiser avec. J’espère que tu es clean !
- Bien sûr ! Si cela n'avait pas été le cas, je te l’aurais dit.
- C’est bien ma pute.Va dans la chambre, on te suit. »
Kevin s’extasie devant le décor et l’espace, surtout de la dimension du lit. Hervé s’allonge dessus, la tête relevée sur les oreillers. Je me mets à genoux entre ses jambes et j’avale son gros engin avec délice.
J’ai sorti les préservatifs d’un tiroir et pendant que l’autre en enfile un, je mets du gel dans mon cul en enfonçant deux doigts. Le passage est fait, mais autant que l’intromission se fasse avec plaisir pour moi.
Je sens que Kevin se positionne et son gland vient frapper à ma porte étroite. Je me cambre pour lui faciliter le « travail » et il s’enfonce en moi sans problème. Je suis « pris » par les deux bouts. La bite de mon maître me remplit bien la bouche. En me retirant, je suce son gros gland comme un bonbon, ou le lèche sa hampe bien raide, sans oublier de rouler ses bourses dans la main.
Derrière moi, l’autre ne fait pas dans la dentelle et il me pilonne avec force. Je sens qu’il ne va pas tenir longtemps. Il ahane bruyamment avec des commentaires salaces. » Oh la bonne pute ! Ce cul qu’il a ! Il aime ça en plus ce vieux pédé ! Je vais te remplir le cul tu vas voir !
Effectivement, dans un dernier effort, il se contracte et lâche son jus dans la capote. En grognant. Le camion, vu de dehors doit être bien agité ! Heureusement que j'ai descendu les vérins.
Il se retire, enlève sa capote et y fait un nœud. Un bon point pour lui. Voyant qu’il a terminé, mon homme a envie de prendre la suite.
- « Viens te mettre sur moi ! Tourne-toi vers lui qu’il voit comment je t’encule ! Tu vas voir comme il aime se prendre de la queue ! »
Je me retourne, j’enjambe Hervé et je m’accroupis au-dessus de son membre. Il le tient dressé et le positionne sur ma pastille. Je n’ai plus qu’à me laisser descendre dessus.
Alors, dressé sur mes bras à l’arrière et sur mes pieds, je monte et descends sur le sexe bandé. Mon sexe ballotte entre mes jambes face à Kevin et regarde le spectacle.
- « Dis-donc ! Mais il bande ce vieux salaud ! Il aime se faire enculer. Pas trop mal sa bite tout de même ! »
Je fatigue un peu malgré tout et Hervé prend le relais en me défonçant à son tour. Quand je reprends ma « chevauchée », il soutient mes fesses avec ses mains, rendant mon effort plus facile.
- « Fais-toi nettoyer la bite ! Lance-t-il à Kevin. Sa bouche va te redonner de la force.
- Oh putain ! C’est trop top de le voir cavaler sur toi. C’est la première fois que je vois un mec de faire prendre comme ça ! Oh putain ! Il jouit le con ! »
En effet, sous l’effet de la bite en moi, mon sperme jaillit par saccades, vrillant mes reins. Je suis en nage, autant par ma « gymnastique », que par la jouissance qui m’a pris. Je ne peux plus bouger, assis lourdement sur le bassin d’Hervé, sa queue enfoncée au fond de mon cul.
Sans sortir de moi, il me bascule à plat sur le lit et me défonce sauvagement. Je suis comme une chiffe molle. Bien serré dans mon boyau, mon maître se déchaîne. Il veut sans doute aussi prouver à l’autre que je suis sa chose.
Il martèle mes fesses de son bassin, mais cela ne lui suffit plus. Il agrippe mes hanches et relève mon cul pour me prendre en levrette. Un fois positionné, il s’acharne et je reçois bientôt sa semence dans mon cul, dans une sorte de brouillard.
Les deux garçons m’abandonnent sur le lit où je récupère et vont vider une bière au salon en se racontant des blagues salaces sur mon compte et en se vantant du fait de baiser cette vieille lope.
- « Je peux encore ? Demande Kevin
- Bien sûr, fais-toi plaisir mon pote !
- Après je dois partir, mais j’ai envie d’en profiter encore un peu. »
Je relève la tête et je vois arriver Kevin, nu comme un ver, la bite tendue devant lui paraît encore plus imposante. Il est beau gosse, même si j’aime les mecs plus musclés. Pour le provoquer et parce que j’aime cette position, je bascule sur le dos, je relève mes jambes en les écartant.
- « Regarde cette salope ! Elle a envie que je la baise comme une femme !
- Oui ! Elle aime comme ça ! Une vraie pute à jus. Vas-y ! Démonte-la ! »
Je lui tends un préservatif. Une fois enfilé, il vient taper avec sa queue sur la mienne et sur mes couilles, aidé de sa main. Il descend et vient taper sur mon trou qui attend.
- « Oh la salope ! Il coule de ton foutre qui sort de son cul ! Tu l’as bien graissé mon salaud !
- C’est un plaisir de remplir sa chatte. Au moins, tu n’as pas besoin de gel.
- Il est bien ouvert et ça rentre tout seul ! Je vais bien te baiser, j’ai bien l’intention d’en profiter ! »
Bien planté en moi, Kevin me ramone en cadence, comme un métronome. Sa bite tape bien sur ma prostate. J’ai l’impression d’être prêt à jouir en permanence, pourtant rien de vient. C’est atroce et délicieux à la fois.
Quand Kevin se penche pour changer de position, je tente de l’embrasser.
- « Ça va pas non ? J’suis pas pédé moi pour embrasser un homme !
- Ah non ? T’es pas pédé ? On appelle comment un homme qui en baise un autre ?
- Toi t’es peut-être pédé, mais pas moi ! Je me fais pas enculer moi et je suce pas des bites !
- Comme tu veux ! Alors baise-moi et fais le bien ! Fais-moi jouir !
- Je m’en fous que tu jouisses ou pas ! Je suis là pour mon plaisir, pas pour le tien !
- Heureusement que ton copain pense aussi de temps en temps à moi. Tu as vu tout à l’heure comment il m’a fait gicler ?
- Tais-toi salope ! Hervé, viens ici et fourre-lui ta bite dans la gueule que je ne l’entende pas cette pute! »
Mon « maître » ne se fait pas prier, il monte sur le lit, m’enjambe et pose ses fesses sur mon torse. Il me tend sa bite à sucer. Pour narguer l’autre, je lance « Elle sent mon cul et le sperme ! J’adore ! » C’est tout ce que je peux dire. Hervé enfonce sa bite dans ma bouche.
Comme il a déjà juté tout à l’heure, Kevin est endurant et mon cul commence à me chauffer. Je n’ai rien à dire et de toute façon, je ne peux rien dire avec la queue d’Hervé qui remplit ma bouche.
Le coït dure longtemps, trop longtemps pour moi. Hervé ne veut pas jouir dans ma bouche, aussi il se relève et se couche à mes côtés. Lui m’embrasse au grand dam de son copain. Ça a au moins un avantage, c’est que celui-ci accélère ses coups de queue et finit par jouir. Il s’écroule sur le côté, vidé pour le compte.
Peu après, il nous laisse après avoir éclusé une autre bière. Il rote, sort et va pisser contre le mur des toilettes. Ça me rappelle la chanson « Amsterdam » de Jacques Brel.
Je ferme à clé derrière lui, j'éteins la lumière au salon et je retourne au lit, où Hervé s’est endormi. Lui aussi sent la bière et va vite ronfler.
Plus tard dans la nuit, à son habitude, il me réveille pour « tirer un coup » et se rendort.
En partant dans la matinée, il m’annonce que le soir on ira faire la fête sur la plage avec des mecs. « On va passer une bonne soirée ! C’est la dernière avant mon départ ! »
J’aurais préféré passer cette dernière nuit seul avec lui, mais je n’ai rien à dire contre sa volonté. Après tout, je ne suis que « sa salope, juste bonne à baiser et à remplir de foutre ! » dixit mon « maître »
Je pars faire une balade avec Rocky. Moins longue que la veille, mais suffisante pour qu’il prenne plaisir. Baignade et repas sur la plage de la pointe tout au bout de la presqu’île et retour au camion. Je nourris Rocky qui s’installe pour la nuit et je file à la douche. Toilette soignée et intime, rasage complet, je tiens à être impeccable pour ma dernière nuit avec mon amant.
Après vingt heures, Hervé arrive. Tenue décontractée, j’ai l’air un peu con avec ma chemise et mon pantalon plutôt chic. Je vois le sourire de mon amant, mais il ne dit rien.
- « On y va ?
- Je te suis ! Où va-t-on ?
- On va manger au « Moules and Beef » et après on finit sur la plage du mirador. On y va à pied.
- OK.»
Le « Moules and Beef » n’est pas le genre de resto que je fréquente à priori. C’est néanmoins plaisant avec une ambiance jeune.
A notre arrivée, trois garçons et une fille sont là. Parmi eux Kevin, qui fait semblant de ne pas me connaître. Apparemment on attend d’autres convives, car la table où ils sont installés est plutôt grande. Alors qu’on attaque la première tournée de bières, cinq autres jeunes arrivent. Trois garçons à nouveau et deux filles.
Le repas est joyeux et la bière coule à flot, trop à mon goût et j’évite deux ou trois tournées, sous prétexte de l’âge.
Il est un peu plus de vingt trois heures lorsqu’on quitte l’établissement. Chacun a payé son écot et j’ai insisté pour que ma part soit égale aux autres, même si j’ai moins bu qu’eux.
La troupe est un peu ivre et cela ne risque pas de s’arranger quand je vois deux garçons sortir deux packs de bière chacun du coffre de leur voiture ! Un autre prend sa guitare.
Tout le monde se retrouve sur la plage la plus au Sud du « Ferret ». Elle est déserte à cette heure et ça sent le bain de minuit, ce qui n’est pas pour me déplaire.
L’heure « officielle » n’est pas encore atteinte, que tout le monde est déjà à poil. Les filles sont plutôt jolies, même la « petite grosse » de service, qui une fois nue, me plaît bien.
Après le bain, retour sur le sable et personne ne pense à se rhabiller. Les filles sont entreprises par un ou deux mecs chacune, sauf la petite grosse, dont j’ai appris qu’elle s’appelle Sophie.
Voyant qu’elle est seule, je me rapproche d’elle. Nous commençons à parler. Nous sommes même très proches.
- « Tu ne te mélanges pas aux autres ?
- Ce sont plutôt eux qui m’ignorent. J’ai l’habitude. Je n’aime pas boire non plus. Et puis, depuis toute petite, je suis le « vilain petit canard »
- Je ne te trouve pas vilaine du tout.
- Tu es gentil, mais je sais comme je suis.
- Eh bien moi, je te trouve plutôt jolie.
- Ne te moques pas !
- Pas du tout et ..pardon mais… comme ça, tu es plutôt… attrayante ! Excuse-moi ! Je ne veux pas te paraître comme un vieil obsédé…
- Tu n’es pas vieux !
- Là c’est toi qui es gentille.
- C’est vrai ? Tu ne me trouves pas laide ?
- Sûrement pas ! Tu as de beaux yeux, une jolie frimousse et … tes formes sont…
- Je suis grosse !
- Il se trouve que j’aime aussi les femmes rondes et tu as des… arguments !
- Tu me gênes !
- Pardon ! Je ne voulais pas…
- Ce n’est pas ça mais je ne suis pas habituée à ce qu’on me dise ces choses. Mais… j’ai l’impression que je te fais de l’effet ! C’est pour moi ça ? » Elle baisse son regard sur mon ventre où ma bite s’est redressée
- « Je crois que oui.
- Pas mal pour un soi-disant vieux ! C’est vrai qu’il y a de jolies filles autour.
- Je ne les regarde pas, c’est toi que je vois.
- Je... »
Nous sommes interrompus par la remarque acerbe de Kevin.
- « Regardez ! Le vieux pédé qui drague Sophie ! Il aimes les thons ! » Tous rigolent.
- Je… Tu es un con !
- Tu ne disais pas ça hier quand tu me suçais et que je t’enculais !
- Quoi ? Dit une fille. Tu t’ai fais un mec ?
- Oh tu sais, la bouche ou le cul d’un mec, c’est comme une fille ! C’est lui le pédé. Une vraie pute ! Pas vrai Hervé ?
- Oui, une sacré salope ! D’ailleurs les mecs, je vous propose de nous le faire. »
Les garçons sont rapidement autour de moi et me présentent leurs bites, pas toutes raides. A genoux sur le sable, je passe de l’une à l’autre. Hervé se couche et réclame :
- « Viens ici me sucer salope ! Vous autres, occupez-vous de son cul ! »
Il vont tous se succéder en moi, se faire sucer, proférant des insultes. Même les filles vont s’y mettre et enfiler leurs doigts dans ma rondelle. Elles sont aussi excitées et saoules que les garçons. L’alcool les désinhibe.
Hervé m’a laissé et s’occupe de sa compagne du soir . A un moment, une tête passe sous mon ventre et une bouche s’empare de ma queue. Sous l’effet de la langue et des lèvres et aussi de la bite qui me défonce. Je jouis. L’orgasme me vrille les reins. La bouche ne se retire pas et avale ma semence, puis nettoie ma bite.
Pendant une bonne heure, je suis leur jouet. A la fin, les garçons debout, se branlent au-dessus de moi et me couvrent de sperme. Je me précipite dans l’eau pour me laver, sous les rires gras.
La soirée se termine. Je m’aperçois que Sophie n’est plus là. Tout le monde se rhabille. C’est alors que Hervé me dit. :
- « Tu me donnes la clé de ton camion, que j’aille m’amuser avec Hélène ?
- Non. Tu ne l’auras pas ! Mon camion n’est pas un lupanar et il n’est pas question que tu t’en serves pour baiser avec ta copine.
- Ne fais pas le malin ! Donne-moi la clé !
- Même si tu me la prends, tu ne rentreras pas !
- Tu comptes m’en empêcher ?
- Pas moi non. Mais Rocky sûrement !
- Tu crois qu’il me fait peur ton bâtard ?
- D’abord, ce n’est pas un bâtard, il est de pure race et ensuite, si je lui ordonne, il te montrera ce qu’il en coûte de forcer ma porte.
- Bon.. Ça va ! Garde-le ton camion !
- Oui. Et quand tu viendras, tu récupéreras tes affaires. Je ne sais pas si vous le savez les autres, mais ce macho a passé plusieurs jours avec moi pour me baiser dans mon camion. Maintenant il fait le beau avec les filles , mais il est aussi gay.
- Je ne te permets pas…
- Pourquoi ? Se faire sucer et baiser un mec dans tous les coins d’un camping-car et dans toutes les positions, y compris au réveil en cuillère, ce n’est pas être homo ? Au moins n’ai pas honte d’être bi. Moi, je ne m’en cache pas. Puisque tu dois partir aujourd’hui...
- Tu pars ? Demande Hélène, surprise. Tu m’as dis que tu restais !
- Tu vois, pour te baiser, il dirait n’importe quoi. Bon, arrangez-vous entre vous. Je ne suis pas sûr que vous soyez fiers de votre soirée, tous autant que vous êtes, mais moi, je vous abandonne. Merci tout de même pour la partie de baise. »
Je retourne au camion. Rocky me fait la fête en sortant de dessous. Je vérifie qu’il a suffisamment d’eau et je me couche.
Dans la matinée, Hervé arrive assez penaud. Je le reçois sur la porte, sans le laisser rentrer.
- « Excuse-moi pour cette nuit ! Je peux rentrer pour me doucher et me changer ?
- Tiens ! » J’attrape son sac que j’avais préparé derrière moi et je le jette à ses pieds.
- S’il te plaît !
- Je t’ai assez vu. La récréation est terminée. Maintenant tu fous le camp !
- Je.. » Il semble vouloir approcher
- « Rocky ! Maki ! »
Rocky s’approche. Se couche à un mètre de Hervé, la tête haute et il grogne en montrant ses dents.
- « Tu ne vas pas ?…
- Moi, non. Prend ton sac et casse-toi !
- Salope !
- Oui ! C’est ça ! Dégage ! »
Il ramasse son sac et s’en va. A une dizaine de mètres, il se retourne et me fait un doigt d’honneur en ricanant et enfin disparaît.
J’ai fais le fanfaron, mais je suis un peu triste que cette histoire se termine ainsi. Grâce à lui, j’ai passé de très bons moments et il m’a bien baisé. J’adorais son odeur de mâle, son corps musclé et sa queue magnifique, mais il a tout gâché.
Tout à l’heure, je déménagerai le camping-car à la cabane. Ma « mission » me fera oublier les dernières heures. Je ne garderai que les bons moments de mon aventure avec ce jeune et beau garçon.
Après déjeuner, je profite de ma liberté retrouvée pour faire du rangement et du nettoyage dans mon camion, que j’ai un peu délaissé pendant la présence de Hervé.
La chambre d’abord, avec changement des draps. La cabine de douche, le coin toilette-WC et enfin le salon-cuisine.
Je suis en train de terminer quand on frappe à l’entrée. Rocky grogne un peu sous le camion. Je sors et me retrouve face à deux policiers à vélo.
- « Bonjour Monsieur ! Police municipale. Brigade à vélo. On nous a signalé votre mobil-home.
- Camping-car, plus précisément.
- Camping-car. OK. On nous a donc signalé qu’il stationnait sur cet emplacement depuis plusieurs jours.
- C’est exact.
- Il ne doit pas y rester plus de quelques heures. Il devrait être, soit dans un camping, soit sur une propriété privée.
- Absolument !
- Et alors ? Vous êtes en infraction.
- Pas tout à fait. Il n’y a pas de panneau indiquant que le stationnement des camping-car est interdit et de plus, cela ne fait pas huit jours que je suis ici.
- Peut-être mais…
- Ceci étant, je voudrais vous informer que justement, je pars d’ici dans quelques minutes.
- Comme par hasard.
- Pas tout à fait. Je vous explique. » A partir de là, je bluffe un peu, car les policiers ont raison et pourraient me verbaliser.
- « Je suis venu ici pour une mission à la Cabane Barthotte, à la demande du directeur. Malheureusement, je suis arrivé un peu trop tôt et son parking était occupé. Ce soir, il est libéré et je vais m’y rendre pour quelques jours, le temps de finir ma mission.
- Ah et c’est quoi votre… mission ?
- Je dois nettoyer le fond de l’eau devant la plage de la Cabane et enlever bouteilles et canettes qui y ont été jetées pas des imbéciles. Comme la municipalité ne peut le faire, sachant que je suis plongeur, il m’a demandé si je pouvais le faire.
- Ah ! D’accord ! Dans ce cas, aucun problème ! Je.. Roger est un copain.
- Je vais aller voir d’un coup de vélo si je peux installer mon camion et si c’est OK, je déménagerai ensuite. Vous voulez venir avec moi ?
- Je .. Pourquoi pas ! »
J’ouvre la soute et je sors mon VTT électrique. Les deux policiers sont très intéressés. Je sors la batterie qui est en charge sur son support de la soute et je l’installe.
- «Vous n’avez pas d’assistance électrique sur vos vélos ?
- Non. Ce n’est pas dans le budget…
- C’est drôlement pratique sur les chemins de sable et en côte. Avec les gros pneus basse pression, je passe partout Vous devriez en demander pour vos patrouilles. Vous pourriez agrandir votre zone de surveillance.
- C’est vrai, mais bon…
- Ça viendra ! »
- Je mets mon casque et mes gants – Si les policiers n’étaient pas là, pour faire deux cent mètres, je ne les aurais pas pris -. Je ferme la porte à clé avec la télécommande, ce qui a l’air de les impressionner et je démarre avec eux.
- « Rocky ! » Aussitôt, mon chien vient trottiner à mes côtés.
- « Il faut le tenir en laisse.
- Je sais, je l’attache pour les longues courses et les « runs » en vélo, mais ma voix est la meilleure laisse et elle ne risque pas de se prendre dans les roues ou les arbres. Regardez !
« Avant » Rocky par en courant devant nous
« hoo » Il ralentit et se met au pas
« Baa ! » Il part à gauche vers le chemin
« Tri » Il passe vers la droite
« Au pied » Rocky revient à côté de mon vélo, l’air heureux, la langue pendante sur le côté.
- Vous voyez ? Il m’obéit en tout. Bon, je dois dire que quand je vais à pied, au milieu des gens, je prends une petite laisse, surtout pour les rassurer.
- S’il est surpris par un bruit ou s’il voit un autre chien ou un chat ?
- Dans un premier temps, il se fige, sans bruit et il attend l’ordre. Si c’est un chien, il fait un petit grognement, si l’autre a l’air hargneux. Je lui dit alors « Assis, couché », « Pas bouger ». S’il faut, j’attrape son collier, car s’il est attaqué, il va répondre, surtout s’il croit que c’est moi qui le suis.
- Faites attention tout de même !
- Pas de souci ! Vous savez que si vous aviez un chien comme ça en patrouille, ce serait génial ! Je sais ! Problème de budget, mais comme vecteur de communication, c’est extraordinaire. Tout le monde aime ces chiens-là. Demande à le caresser. Les enfants en sont fous et souvent on me demande de faire des selfies avec lui. En fait, c’est lui la vedette.
- C’est sûr ! »
Nous arrivons à la cabane. Je m’arrange pour passer devant et arriver le premier face au patron. Je lui fais un clin d’œil.
- « J’ai dis à ces messieurs, que j’allais mettre mon camion chez vous pour faire une mission, mais que j’étais arrivé trop tôt.
- Mais bien sûr ! Salut les gars ! Vous allez bien ?
- Oui, merci. Bon.. c’était juste pour êtres sûrs… Tu sais, on doit faire notre boulot.
- Bien sûr ! Vous voulez boire quelque chose ? Un verre d’eau ? Un sirop de quelque chose ? » Le patron sait aussi qu’il faut « soigner » les bonnes relations avec les forces de l’ordre, et il a compris le message.
- Tu veux bien nous remplir les bidons ?
- OK et Monsieur…
- Appelez-moi Jacques.
- Jacques, une bière, comme d’habitude ? » Il marque là que je suis un habitué. Je ne peux refuser.
- OK !
- Bon, les gars, donnez-moi vos bidons pour que je les remplisse. C’est sûr ? Rien que de l’eau ?
- Bon ben, si tu as un peu de menthe pour moi, dit l’un.
- OK ! Installez-vous, je reviens»
Rocky, qui s’est couché près de moi, relève ta tête et la pose sur ma jambe « Vas-y » dis-je. Il s’en va.
- Que voulez-t-il ? Demande l’un des policiers.
- Il a besoin de pisser… ou plus.
- Il ne doit pas divaguer et faire ses besoins n’importe où !
- Oh mais, il ne divague pas. Il suffira que je l’appelle et il va revenir. Ses besoins, il va les faire contre un arbre pour le pipi et pour sa crotte dans des taillis. Il va un peu creuser, faire son besoin et recouvrir ensuite. Si vous voulez en partant, je vous y amènerai. Dans la nature, c’est de l’engrais et personne ne peut y marcher dedans, vous verrez.
- Mais comment vous allez trouver ?
- Ah Ah ! Vous verrez !» Le patron revient et on parle un peu de ma « mission » que je commencerai demain.
- L’idéal dis-je, serait d’avoir une petite barque ou un grand bac qui flotte pour y déposer ce que je remonte. En plus, cela signalera qu’il y a un plongeur en dessous en mettant un fanion.
- J’ai des grands bacs en plastique pour stocker de la marchandise.
- Avec une longue perche plantée dans le sable, je pourrais le tenir. En une heure, je ne sais pas combien je vais en remonter. On verra. Il me faudra un panier ou un filet avec une corde pour le remonter, attaché au bac, ça peut faire aussi ancre flottante.
- Vous comptez en remonter combien ?
- Je ne sais pas, je vais commencer par les canettes, c’est le plus polluant... J’en ai vu pas mal. C’est dégueulasse ! Les bouteilles servent de refuge à des petits poissons et s’enfoncent dans le sable et la vase.
- Bon. On vous laisse. Déclarent les policiers.
- Vous voulez voir où à fait le chien ?
- Je… Allez ! D’accord. »
Je siffle avec le sifflet à ultrasons toujours pendu à mon cou. Une minute passe et on voit arriver Rocky qui trottine. « J’ai sifflé pour qu’il vienne tranquille. Inutile de le presser. Allez, mon chien. Montre où tu as été. »
Rocky devant nous, avance dans le bois et se retourne souvent pour voir si nous suivons. On s’enfonce d'une bonne centaine de mètres. Rocky s’arrête et me regarde. « Montre caca ! »
Il fixe un point sur le sol et tourne autour. On ne voit rien. Quelques traces de pattes prouvent un passage et un grattage. Je prends une branche et le soulève quelques feuilles, des aiguilles de pin et du sable et on aperçoit alors la « commission » laissée par Rocky. Je recouvre.
- Vous pouvez passer dessus sans rien voir, ni vous salir. Dans quelques jours, plus aucune trace, les fourmis et autres coléoptères auront fait leur œuvre. Jamais Rocky ne fera ses besoins sur le bitume ou un trottoir. Même quand on court sur la route ou des chemins, il s’arrête, vas dans le fossé, fait son besoin et couvre. Ensuite, nous repartons.
- S’ils étaient tous comme ça !
- Question de dressage.
- Merci monsieur, à bientôt !
- Bonne soirée ! »
Je reprends mon vélo et, accompagné de mon chien, je retourne au camion. Je range le vélo dans la soute, je relève les vérins . Quand Rocky entend le moteur, il sait que nous allons partir. Il monte dans l’habitacle, ce qu’il ne fait pratiquement que pour voyager et s’installe dans le siège avant, que j’ai modifié pour qu’il s’y couche et soit calé en roulant.
Le voyage est court jusqu’au parking de la cabane. Deux petits kilomètres pour faire le tour par la route. Roger me guide et je m’installe au fond, à côté de sa voiture, contre la clôture.
- Vous pouvez vous brancher à une prise électrique si vous voulez. Il y a aussi un robinet d’eau derrière la cuisine. Je vous laisse vous installer, je dois aller préparer le service. Nous mangeons à dix huit heures trente avec le personnel, mais si vous voulez vous pourrez manger plus tard.
-Non, non, je mangerai avec vous.
- OK à tout à l’heure ! »
Je cale le camion et je branche l’électricité. J’ai du temps avant le repas, aussi je vais faire un tour à la plage pour me baigner. Rocky a marqué son territoire, étonné de la brièveté du voyage.
L’eau est bonne en cette fin de journée. C’est marée basse, aussi je plonge un peu juste avec le masque et le tuba. J’ai emporté un sac, que j’attache à un poignet. Par trois ou quatre mètres de fond, je le remplis en cinq ou six apnées. Des canettes essentiellement et une bouteille, plus deux barquettes en plastique, servant à porter des frites.
Je dépose la poche sur le bord et je profite de l’eau calme du bassin pour nager un peu au loin et plonger. Après une bonne centaine de mètres, l’eau est déjà plus claire et le fond n’est plus couvert d’immondices. Il doit y avoir sept ou huit mètres de fond, ce qui donne neuf ou dix à marée haute.
Au retour vers le bord, je fais un point pour repérer la limite de la zone de mon futur « travail » En fait, elle se concentre sur la droite de la plage, vers là où le courant entraîne tout.
Rocky, qui a fini sa baignade, m’attend sagement au bord de l’eau en me regardant.
Nous retournons au camion. Douche pour moi, pour Rocky à l’extérieur, pour enlever le sel, puis je m’habille. En quittant le camion, je remplis les gamelles d’eau et de croquettes et je demande à Rocky de rester là. Je ne veux pas déranger au restaurant
La table du personnel est dressée. Cinq assiettes avec la mienne. Roger arrive.
- « Tu veux de la bière en mangeant ? Oh pardon ! Je vous ai tutoyé !
- Il n’y a pas de mal ! J’aime autant.
- Alors tu me tutoies aussi. Ici c’est la règle.
- D’accord.
- A table ! Lance-t-il» Une femme arrive. « Voilà ma femme Viviane. Viviane, je te présente Jacques. C’est lui qui va nettoyer un peu le fond de l’eau. Il paraît qu’il y a des bouteilles et des canettes.
- Tenez ! Regardez ce que j’ai ramené en peu de temps tout à l’heure.
- Incroyable !
- Et encore, j’ai mis un quart d’heure avec juste cette poche. Je suis sûr qu’avec une aide et un bateau, en une heure, je ramène dix ou vingt fois ça, au moins.
- Enchanté, Jacques. Merci de votre aide ! Mais…
- Je me suis arrangé avec lui, dit son mari. Il mange ici et il ne veut rien d’autre.
- Je ne vous dérangerai pas longtemps, je vais continuer mon périple. D’ici deux ou trois jours, je reprendrai la route. » C’est à ce moment qu’entrent les deux employés. Un garçon et une fille.
- “ Tiens ! Bonjour Sophie ! dis-je.
- Bon… Bonjour Jacques. » dit-elle en se troublant.
- Vous vous connaissez ?
- On s’est rencontrés hier à la plage. Elle était avec des amis. J’étais avec une connaissance… Elle est sérieuse en tout cas, elle est rentrée tôt.
- Lui s’est Rachid. Il fait la plonge. Ah ah ! Comme toi :
- T’es con ! Lui dit sa femme.
- Je rigole !
- Justement, j’ai une idée ! Réplique Viviane. Si tu demandais à Joël de te prêter sa plate. Rachid serait dessus et récupérerait ce que lui remonte Jacques. Ça serait plus facile.
- C’est pas con ! En attendant, mangeons. »
Le repas est excellent. J’ai en plus droit à quelques huîtres et du vin blanc. Sophie reste sur sa réserve pendant tout le temps, ce qui ne l’empêche pas de me jeter quelques regards. Rachid est un rigolo. Lui regarde plutôt sa patronne. Il faut dire qu’elle est canon ! Sous son tablier de cuisinière, on soupçonne de jolies formes. Elle non plus ne me lâche pas des yeux.
Après le repas, j’aide à débarrasser et quand les clients arrivent, voyant que Roger a du travail, je lui propose de tenir le bar.
Je galère un peu au début pour trouver les bouteilles, mais j’arrive vite à assurer. J’aime bien faire ça.
Vingt deux heures, les derniers clients s’en vont. En ce dimanche soir, aucun ne traîne. Dans la cuisine, Viviane et ses commis s’affairent et avec Roger, nous rangeons la salle, ce qui est vite fait. Sophie et Rachid nettoieront. Le patron m’offre un cognac que nous dégustons sur la terrasse avec un cigarillo.
- « C’est le seul que je m’octroie de la journée. Dis-moi. Tu n’as pas amené ton chien avec toi ?
- Je ne veux pas qu’il dérange… avec les clients.
- Je suis sûr qu'ils aimeraient.
- Tu veux que je l’appelle ?
- Comment d’ici ?
- Sans problème ! » Un sifflement doux avec le sifflet à ultrasons et Rocky est là en quelques secondes. Il vient nous faire la fête. Je sens que Roger voudrait le caresser. Sa femme arrive et découvre mon chien.
- Oh qu’il est beau ! Comment il s’appelle ?
- Rocky
- Je peux le caresser ?
- Bien sûr ! Bisous à la dame ! »
Rocky est tout heureux et s’entend aussitôt avec elle. Il se laisse cajoler et lui lèche les mains. Son mari est un peu jaloux.
- J’ai demandé à Jacques s’il ne connaîtrait pas un chien comme lui pour ici.
- Tu crois qu’on peut ?
- Tu verrais comme les clients sont heureux de le voir. Tu serais d’accord ?
- Oh oui ! Mais comment ?
- Le fils de Jacques a un élevage. Ce sont des purs.
- Oui mais ça vaut cher non ?
- Un mâle comme Rocky sept ou huit cent euros, mais je pourrais vous l’avoir pour cinq cent, sans doute.
- C’est vrai ?
- Attendez ! »
J’appelle mon fils. Il prend de mes nouvelles, se demande pourquoi je l’appelle à cette heure, en s’inquiétant. « Non, pas de souci. Je voudrais savoir. Dans ta prochaine portée, tu pourrais me garder un mâle ?
- Pourquoi ? Tu n’as pas assez avec Rocky ?
- Si si, mais ce serait pour un… ami… enfin... un couple d’amis » Je fais un clin d’œil à mes hôtes
- Tu es sûr que ce n’est pas une lubie ?
- Non, non ! Je t’assure qu’il sera bien soigné, qu’il ne sera ni attaché, ni enfermé.
- Bon, d’accord. Mais ce ne sera que dans quatre ou cinq mois.
- OK OK ! » j’avais mis le haut parleur et mes voisins suivaient la conversation. Ils m’ont fait signe.
- Et pour le prix, tu leur a dit ?
- Oui, mais… tu pourrais leur faire à cinq cent ?
- Ben… C’est pas le prix ! « Viviane me fait signe Six de la main. Je lui fait signe d’attendre.
- Ce sont des amis. Ils me rendent service. C’est des restaurateurs sur le bassin. Très bonne table d’ailleurs ! » Je fais un clin d’œil « Je suis sûr que ça te ferait de la pub !
- J’en ai pas besoin tu sais.
- D’accord, mais tu peux faire ça pour ton pauvre père ?
- Ne charrie pas tout de même.
- Bon. Pour me faire plaisir alors.
- Si tu y tiens… « Roger me fait le signe de manger en indiquant le téléphone.
- Si tu viens le livrer tu seras invité à manger.
- Oui… Bon… Mais c’est pas pour ça. Dis-leur que c’est d’accord. » Viviane prend la parole
- « Merci monsieur. Je suis la patronne du restaurant. L’invitation tient toujours, quand vous voulez, je vous envoie le chèque.
- Non, non. Pas avant que vous ne l’ayez. A la naissance, je vous enverrai les photos des petits, vous choisirez celui que vous voulez. En attendant choisissez un nom qui commence par un T. Ce sera l’année. Papa vous a dit que c’était des LOF ?
- Des LOF ? » demande Viviane. Roger qui veut montrer son savoir dit.
- Des pure race !
- Ah oui ! En tous cas, s’ils sont comme Rocky, il seront très beaux !
- Merci madame. Bon je vous laisse ! A bientôt Papa !
- A bientôt mon fils et merci pour eux ! »
- C’est génial ! Dit Roger. Depuis le temps que j’en voulais un !
- Moi aussi j’en avais envie !
- Pourquoi tu ne l’a jamais dit ?
- Je pensais que tu me traiterais de folle ! » J’interviens alors
- « Maintenant, le plus dur est à venir.
- Comment ça ?
- Eh bien, il va falloir patienter et je vous jure que quand vous aurez vu les petits, il vous tardera d’avoir le vôtre. Ensuite il faudra le dresser pour vous. Mon fils va commencer, mais ce sera à vous de vous l’approprier et qu’il devienne comme Rocky. C’est du travail et là aussi de la patience !
- Dans quatre mois, c’est la basse saison, nous sommes fermés. Nous aurons le temps.
- Dans tous les cas, si vous avez un problème, vous pourrez toujours appeler mon fils. Il suit tous les propriétaires, même certains pendant des années.
- C’est génial ! »
Pendant la conversation, Rachid et Sophie sont venus faire le nettoyage. Comme il est de coutume, toute l’équipe boit un coup et débriefe la journée. C’était la dernière de la haute saison et Viviane a sorti le champagne.
La bouteille finie, je plaisante.
- Interdit de la jeter à l’eau celle-là !
- Ah ah ah ! Au fait, demain, Rachid, tu pourras rester avec Jacques entre neuf et dix heures ? Tu l’aideras à récupérer les cadavres dans l’eau ?
- Les cadavres ?
- Rassure-toi ! On parle des bouteilles et des canettes que les gens et les jeunes comme les copains de Sophie, lancent à l’eau quand ils font la fête la nuit sur la plage.
- Pas avec moi ! » Lance apeurée la jeune fille
- J’ai pas dit ça, mais j’en connais qui viennent ici. J’en ai vu au petit matin en rentrant du parc à huîtres.
- Impeccable pour moi, dit Rachid. Que devrais-je faire ?
- Tu seras sur le bateau. Tu récupéreras le panier que j’aurais rempli et tu le videras dans le bateau. On ira le jeter dans les poubelles ensuite.
- Vous ferez ça pendant une heure, après tu viendras en cuisine, comme d’habitude.
- OK
- Impeccable pour moi, dis-je. Une heure d’apnée ça suffit aussi.
- C’est vrai ! Ça ira ? Ce sera marée haute et Joël n’aura pas besoin de son bateau. L’après midi, je vais parfois avec lui ramasser des huîtres, tu pourras venir si tu veux, pour la balade hein ? Pas pour bosser !
- D’accord. Je verrai si je suis en forme, j’essaierai de plonger là bas si on peut.
- Je sais pas, mais peut-être. »
Nous rentrons et fermons l’établissement. Nous passons par la cuisine. Je salue tout le monde. Viviane et Roger logent sur place, à l’étage d’une petite maison derrière le restaurant. Rachid part en vélo et Sophie à pied. Elle traîne un peu. Je sens qu’elle a envie de parler et marche avec moi.
- « Tu veux venir dans mon camping-car ? En tout bien tout honneur bien sûr !
- Je veux bien. Je ne suis pas fatiguée. Toi non plus ?
- J’ai eu le temps de récupérer de la soirée.
- Justement je….
- Chut ! Pas ici. On en parle à l’intérieur. »
On fait les quelques pas qui nous séparent du camion dans le noir, Rocky devant nous, tranquille. Une fois arrivé, je lui ouvre la soute, mais comme d’habitude il se glisse sous le camion.
Je déclenche l’ouverture de la porte. Le marchepied sort tout seul et nous entrons. J’allume la lumière après avoir refermé derrière nous et avoir baissé les rideaux. Sophie ouvre de grands yeux.
- « Oh c’est beau !
- C’est pas mal. Tu veux visiter ?
- Oui ! Je ne croyais pas, vu de dehors, que c’était aussi grand.
- C’est un modèle un peu spécial que j’ai fait aménager à mon goût. »
Le poste de conduite, avec les deux beaux sièges, dont celui aménagé pour Rocky, mais qui peut redevenir normal pour un passager. Le salon avec la table et la banquette, la cuisine toute équipée. « C’est petit et concentré, mais il y a tout ! ».
J’ouvre la porte pour montrer les toilettes, la cabine de douche et la chambre.
- « C’est magnifique ! Il doit coûter cher !
- Un peu plus de cent trente mille !
- Ah oui ! Quand même !
- De base il vaut moins de quatre vingt dix mille mais j’ai fait ajouter des options. Allez, viens au salon. Ici on sera tranquilles. Tu veux boire quelque chose ?
- Après le champagne…
- J’en ai une demi bouteille au frigo. Il est peut-être moins bon que celui de Roger, mais ça ne fera pas de mélange. J’ai pas de flûte non plus pour le boire.
- Je ne veux pas… déranger...
- Tt tt tt. Ça me fait plaisir ! »
J’ouvre la bouteille et je nous sers.
- “ Une cigarette ?
- Je veux bien. Je ne fume pas beaucoup mais…
- Santé !
- Merci ! A toi aussi ! Ça me paraît drôle de te tutoyer.
- Roger a dit que c’était la règle et franchement ça ne me dérange pas, au contraire ! Ça me rajeunit !
- Je… Je voudrais te dire… Pour... hier soir…
- Oui. J’ai vu que tu étais partie vite.
- Je n’aimais pas ce qu’il se passait.
- Tu as eu honte de moi ?
- Non ! Pas de toi ! Des autres oui ! De voir comment ils te traitaient !
- Parce que je suis pédé,
- Non ! Je m’en fous ! C’est pas ça ! Mais ils t’insultaient ! Te rabaissaient, alors que tu as été gentil avec moi.
- Et de me voir comme ça, pris entre deux hommes, à genoux, les fesses à l’air, ça ne te dégoûtait pas ?
- Je n’avais jamais… vu. Au début j’étais.. gênée… surprise aussi.. mais après, j’ai trouvé ça.. beau.. enfin…
- Ça t’a excitée ?
- O.. Oui ! Mon dieu !
- C’est pas grave ! C’est normal !
- A un moment j’ai…
- Dis-moi !
- Tu ne m’en voudras pas ?
- Ne t’inquiète pas, j’en ai vu d’autres et j’ai pas mal d’expériences à mon âge.
- Je… Je me suis approchée de vous.
- Je ne l'ai pas vu.. J’étais... assez occupé ! » dis-je en riant pour détendre l’atmosphère. Je finis la bouteille dans nos verres.
- Oui. Justement. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris. Personne ne faisait attention à moi, alors… j’ai approché ma main et j’ai … J’ai touché ton… sexe.
- Ah !
- Pardon !
- Il n’y a pas de quoi. Et alors ?
- J’ai aimé ! Tu étais… dur ! C’était beau ! Et… Pardon encore.
- Arrête avec ça !
- J’ai eu envie de…. de te sucer ! Oh !
- C’était toi ?
- Je … Oui ! Tu as senti ?
- Oui ! Je ne pouvais pas voir qui s’était. Mais dis-donc, tu as tout avalé ?
- Oui ! Oh !!!
- Tu as recraché ?
- Non !
- Et alors ?
- J’ai adoré ! C’était la première fois !
- Euh…
- Ce n’était pas la première fois que je suçais un mec. C’est d’ailleurs la première chose qu’on me demande et souvent la seule, dans le noir, pour ne pas être vu avec moi.
- Pauvre de toi ! Pourtant tu es jolie.
- C’est ce que tu m’as dit, mais tu es bien le seul.
- Et je suis vieux.
- Tu n’es pas jeune non, mais… tu me plais !
- Eh bien !
- Pardon.
- Arrête de t’excuser comme ça. Moi aussi tu me plais, mais je suis conscient de notre différence d’âge et je ne veux pas passer pour un vieux vicieux.
- Moi, j’aimerais que tu sois un vieux vicieux avec moi, qui n’a pas peur d’une jeune fille. Ou alors, dis-moi clairement que tu ne veux pas, et que les femmes ne t’intéressent pas !
- Oh mais j’aime aussi beaucoup les femmes ! Avec Hervé, c’était une passade… Approche ! »
Sophie vient se blottir dans mes bras et on s’embrasse. Mes mains partent à la découverte de son corps. Je me rappelle de la veille quand j’ai trouvé que cette fille petite et grosse était superbe quand elle est nue. J’ai envie de la revoir nue.
- Tu veux venir dans la chambre ? Je veux te voir nue.
- Oh oui ! Je veux que tu me fasse l’amour.
- Ne t’inquiète pas, j’ai très envie moi aussi. Je serai doux et je veux que tu jouisses quand je vais te baiser.
- Oui ! Baise-moi ! »
Nous filons dans la chambre. J’ouvre les draps et je sors les préservatifs du tiroir pour les avoir à portée. Chacun de notre côté, nous nous déshabillons tout en nous regardant. Très vite nous montons sur la couche et nous étreignons.
Sophie sent bon. Sa peau est douce et ses rondeurs un enchantement. Je parcours son corps avec ma bouche, suçant ici et là les tétons, les épaules, les bras, le ventre. Je descends encore. Sophie ne reste pas passive. Elle aussi agit de même et on se retrouve en soixante neuf, la bouche sur le sexe de l’autre.
On ne se lasse pas des caresses, mais chacun a envie de plus. Je me relève. A genoux face à elle. Mon sexe dressé. Je déchire la pochette et j’enfile la capote. Sophie me regarde intensément. Elle s’étale sur le lit, bras et jambes ouverts, le sourire aux lèvres, elle m’attend.
Je viens sur elle, lentement, je guide ma queue vers sa chatte épilée. D’elle-même elle en écarte les lèvres, pressée de me recevoir.
Lentement, je dirais presque « religieusement », je la pénètre. Sophie gémit de plaisir déjà avant que je ne bouge en elle. Sophie m’entoure de ses bras et cherche mes lèvres. Lentement et doucement, ou vite et fort, tant que je peux, j’alterne les mouvements. Il fait chaud mais peu nous importe. Sophie jouit une première fois en poussant des petits cris et crie « Encore ! » Alors je continue, malgré les courbatures.
A un moment, je flanche et je me couche sur le côté. Sophie se tourne de dos à moi et m’offre son cul. Que dis-je son cul ? C’est une mappemonde ! Une double hémisphère vertigineuse ! Entre les fesses tendues vers moi, je vois le joli abricot tout lisse qui me nargue. Je me replante en elle et je repars pour une sarabande - j’aime ce mot – beaucoup plus confortable pour moi. Je peux la baiser longtemps et je ne m’en prive pas en lui apportant deux orgasmes supplémentaires, avant moi-même de succomber et de me vider en elle.
Ma petite chérie n’a pas l’air fatiguée, contrairement à moi. Privilège de la jeunesse. Elle se retourne vers moi et m’embrasse sur tout le visage et retrouve mes lèvres. Elle transpire et moi aussi, nos corps glissent sous nos mains.
- « Oh que c’était bon ! Tu es un merveilleux amant !
- Merci. Tu es gentille, mais je suis un vieil amant.
- Je me fous de ton âge. Tu m’as baisée comme un fou et j’ai jouis comme une folle. C’est merveilleux !
- N’exagère pas tout de même !
- Non ! J’adore ! Je t’.. » Je pose mon doigt sur ses lèvres.
- Ne dis rien. Rien de définitif. Ne confond pas le sexe et l’amour. On ne peut définitivement pas s’aimer, au moins longtemps. On peut aimer faire l’amour, baiser, mais ne rien envisager d’autre. On gardera ça comme un beau souvenir.
- D’accord ! Si je comprends bien, tu as eu ce que tu voulais et tu veux déjà arrêter.
- Pas du tout ! Simplement, je pose les règles. Il vaut mieux s’y tenir. Tu es très jeune et je te démontrerais que tu plais et que tu plairas aux hommes.
- Tu es gentil et j’ai confiance en toi.
- Tu veux rester ?
- Je voudrais, mais il faut que je rentre chez moi. Mes parents me surveillent.
- A ton âge ?
- Eh oui ! Ça ne fait rien pour arranger les choses ! Mais je travaille aussi demain matin. Il faut que je dorme et donc, que je rentre chez moi.
- Je comprends ! On prend une douche ?
- Sûrement pas ! Je tiens à garder ton odeur sur moi jusqu’à demain matin !
- Petite cochonne va ! »
Elle m’embrasse une dernière fois et s’en va. Après son départ, je me recouche mais je ne trouve pas le sommeil. Je suis passé d’un beau jeune homme de vingt cinq ans, qui pendant quatre jours m’a baisé, m’a humilié, mais j’ai adoré sa belle bite et son corps. A maintenant une jeune fille complexée de vingt-deux ans, plutôt ronde, qui est prête à m’aimer.
Quand je ferme les yeux, je vois mélangés, leurs deux corps. Contre moi, sur moi. Je finis tout de même par dormir.
Sept heures du matin. Je me lève. Petit déjeuner et toilette, puis je prépare mes affaires de plongée et à huit heures j’arrive sur la plage. Roger qui a ouvert l’établissement depuis quelques minutes, m’interpelle :
- « Tu viens déjeuner ?
- Non merci ! C’est déjà fait.
- Tu n’aurais pas dû ! Tu sais que tu es invité ici !
- D’accord, mais j’ai mes petites habitudes.
- Un café tout de même ?
- Avec plaisir !
- Joël devrait arriver vers neuf heures moins le quart. Il laissera son bateau. Tu verras avec lui pour l’emplacement. Rachid est en cuisine, mais il viendra pour neuf heures.
- Je vais me préparer. J’ai trouvé une vieille caisse en plastique avec des trous. Je vais y attacher un poids au-dessous pour qu’elle descende bien.
Au-dessus, une ficelle aux angles, reliée au centre, ou j’attacherai la corde pour la remonter sur le bateau. »
Viviane nous rejoint. Elle a l’air réjouie, vient me faire la bise et me convainc de prendre un croissant, d’ailleurs délicieux. Elle a un air taquin ce matin.
- « Tu as l’air en forme ce matin ! Pas trop fatigué ?
- Non, non. J’ai bien dormi. Il n’y a aucun bruit et aucun passage ici, contrairement au parking, où Rocky grogne souvent.
- Oui. Ici c’est tranquille ! Je n’ai pratiquement rien entendu cette nuit. Peut-être un peu vers minuit... - C’était l’heure à laquelle est partie Sophie -
- Dans mon camion, je n’ai pas d’horloge. Je me cale sur mes sensations.
- Pourquoi tu dis ton camion? C’est un beau camping-car !
- Une habitude. C’est plus court et il est tout de même assez gros.
- Tu me feras visiter ? Je rêve d’en avoir un et que l’on parte l’hiver quand on est fermé.
- Aucun problème. Je pourrais vous donner des conseils. Bon. Je vais me préparer, le temps passe. »
J’enfile ma combinaison, prépare masque, tuba et palmes. J’emmène le panier pour le repêchage. Joël arrive alors. Finalement, il va rester avec nous. Avec Rachid, nous montons à bord. Je fais positionner la « plate » à l’endroit où j’ai repéré le plus de bouteilles, à environ une vingtaine de mètres du bord. Joël jette l’ancre. Rocky en a profité pour sauter sur le bateau et se couche au bord, comme pour me surveiller.
Je conviens avec Rachid, que toutes les minutes et demie en apnée, je remonterai, que la caisse soit pleine ou pas.
En fait, la « récolte est si abondante qu’il me faudra à peine une minute chaque fois pour remplir la caisse. Au fur et à mesure, je fais déplacer le bateau.
Vers la fin, je laisse les bouteilles et je m’occupe uniquement des canettes. Rachid et Joël ont compté, j’ai fait vingt six apnées soit presque une toutes les deux minutes. A la fin, j’avais besoin d’un peu plus de récupération.
Une fois que l’on a déposé ma « récolte » sur la plage, cela fait déjà un joli tas. Roger, aidé de Rachid, remplissent des poubelles qui s’avèrent insuffisantes pour tout prendre.
Roger sort des bières pour tout le monde.
- « Il y en a beaucoup encore ?
- Je dirais trois ou quatre fois ça à peu près.
- Ah quand même ! C’est incroyable !
- Il y en a une partie qui peut rester, contre les rochers, les coquillages en ont déjà fait leur habitat, sans parler des bouteilles qui se sont enfoncées dans la vase et le sable. » Joël intervient :
- C’est un peu un travail d’amateur - pardon Jacques - mais je pense qu’on pourrait mieux s’organiser.
- C’est sûr, mais j’ai proposé ça comme ça..
- C’est déjà formidable, mais c’est fatiguant pour toi.
- J’aime l’apnée et je suis bien en deçà de ma limite
- Tout de même ! Si tu avais des bouteilles..
- Ah c’est sûr !
- Bon, si tu veux tout savoir, pendant que tu plongeais, j’ai appelé un copain qui fait de la plongée, Il m’a proposé de te prêter des bouteilles. tu sais t’en servir ?
- Bien sûr ! Génial !
- En plus, j’ai réfléchi. Sur le port, je me rappelle avoir vu une grande caisse en fer grillagée. Elle devait servir autrefois à porter du matériel sur les parcs. J’ai appelé un collègue qui a un bateau avec une petite grue. On va amener la caisse, la descendre au fond et tu pourras la remplir directement. Il n’y aura qu'à la remonter ensuite sur le bateau. Ca fera gagner aussi du temps.»
Le lendemain, Joël qui ne pouvait se libérer, nous envoie son collègue qui a chargé la caisse et même une seconde sur son bateau. Il apporte aussi les bouteilles d’air.
Je m’équipe. Je fais descendre la caisse en lui demandant de le faire doucement au fond pour ne pas soulever la vase et que je puisse voir.
Je plonge alors. A cet endroit il y a à peine sept ou huit mètres de fond
Au bout d’une demi-heure, la caisse est pleine. Le volume est important. Deux ou trois fois fois plus que la veille et quand elle émerge, la petite grue a du mal à la hisser. Rachid et le marin y parviennent et transvasent le contenu dans des conteneurs embarqués depuis le bord de la plage.
Auparavant, ils ont descendu la seconde caisse. Je recommence et je fignole le travail. Je profite de mon équipement pour aller un peu plus loin, au-delà des rochers et je découvre un fond marin, riche en poissons.
Une fois tout ramené et hissé non sans mal, sur le sable. Il faudra trois voyages du pick-up de Roger pour tout amener à la déchetterie.
- « Il en reste encore ? » Demande celui-ci.
- Je pense que c’est à peu près propre pour l’instant. Il n’y a plus de danger pour les baigneurs. Il restera quelques bricoles que je ferai tout seul. Par la suite, il faudra surveiller. Pour moi, le travail est quasiment fini. Je vais pouvoir reprendre très vite mon chemin.
- Pas question ! Tu restes jusqu’à jeudi !
- Pourquoi ?
- Demain soir, on arrête le service. Jeudi on replie tout, et le soir on fait la fête avec les copains et toute la troupe, alors il n’est pas question que tu partes avant. De toutes façons tu avais dit trois ou quatre jours, alors tu es mon invité et c’est la moindre des choses :
- Merci mais….
- Ttt ttt ttt. Je pense même que je vais dire à la commune qu’elle devrait faire faire ça un peu partout. Je suis sûr que sur les autres plages, ce doit être pareil.
- Ah mais, je ne compte pas le faire !
- Bien sûr ! Tu es mon nettoyeur personnel ! Je comprends que tu veuilles profiter de ta retraite. En tous cas, tu reviens quand tu veux et tu es notre invité !
- C’est trop !
- Je ne veux rien entendre ! Bon. J’ai appelé Joël qui était à Bordeaux ce matin, on mange tous ensemble ce midi. Il faut bien fêter la fin des travaux ! »
Tout le monde rigole. Marcel, l’ostréiculteur venu avec son bateau repart chez lui et revient pour le déjeuner. Roger et Rachid vont préparer le repas et j’en profite pour partir faire un peu de plongée pour le plaisir. Il reste au moins la moitié de la réserve de gaz dans les bouteilles, ce qui me donne quasiment une demi-heure d’autonomie. Il faut dire qu'avec ma capacité d’apnée, je consomme moins d’air que la majorité des plongeurs.
A mon retour, douche et lavage de la combinaison à l’extérieur du camping-car pour enlever le sel et la vase. Un peu avant midi je suis de retour au restaurant. Joël et le copain Marcel sont déjà à l’apéro. Joël a amené une bourriche de ses huîtres. Je rends les bouteilles à ce dernier, pour qu’il les ramène à son copain.
- « Si tu as envie d’en profiter, je peux lui dire de te les remplir pour demain.
- Je ne dis pas non.
- Alors, c’est d’accord. »
L’apéro et le plateau de fruits de mer qui suit, mettent de l’ambiance dans le restaurant. Il n’y a que trois autres tables pleines, C’est vraiment la fin de saison. Le soir, le restaurant ne sert que sur réservation.
Après le repas, je retourne au camion pour faire la sieste en espérant peut-être la visite de Sophie à laquelle j’ai entendu Roger dire qu’elle pouvait faire une coupure jusqu’à dix huit heures.
Je m’installe sur le lit, comme d’habitude, nu. Après quelques minutes, j’entends taper à la porte. Rocky n’a rien dit, preuve que c’est quelqu’un qu’il connaît. - « Entre ! »
La porte s’ouvre et Viviane entre. Je suis stupéfait. Je tente de me couvrir.
- « Surpris ? Tu attendais peut-être Sophie ? Désolée, j’ai pris sa place ! Tu es peut-être déçu ?
- Surpris, mais pas déçu ! En fait, pas tellement surpris non plus, vu ton petit manège de ce matin.
- Je vois que le spectacle te plaît ! Tu es en forme ! » Ni une ni deux, Viviane se déshabille et monte sur le lit. C’est une belle brune, musclée. La poitrine ferme, de longues jambes et un petit ventre bien sympathique.
Elle se colle à moi et m’embrasse. Bien sûr, ma bite réagit et empoignée par sa main, elle durcit rapidement. Viviane est une goulue et elle se frotte à moi tandis que je la caresse. C’est alors que l’on frappe à nouveau à ma porte. Je fais signe à Viviane de se taire. Je me lève, ferme la porte de la chambre derrière moi et vais ouvrir.
C’est Sophie, qui a quitté son service et compte bien profiter de sa pause. Je la fais entrer et la petite se jette aussitôt à genoux pour avaler mon sceptre tendu avec un « Mmmh » de joie.
Je la relève et l’embrasse. J’en profite pour la déshabiller et elle m’aide. Pressée de se retrouver nue contre moi.
- « On sera mieux dans la chambre non ?
- Oh oui ! »
Je la fais passer devant et là, surprise ! Elle découvre sa patronne, nue sur le lit, un bras derrière la tête, en train de se caresser le sourire aux lèvres.
- « Oh ! Je…
- Ne t’inquiète pas. Viens avec nous ! »
Je la pousse vers le lit, intimidée, ne sachant que faire. Viviane lui ouvre ses bras. « On va s’occuper de cette jeune fille » dis-je.
Viviane s’occupe de sa forte poitrine, en malaxe les bouts et les embrasse. Je m’occupe de la partie basse et je plonge mon visage entre ses cuisses. J’y retrouve une belle humidité. Très vite, nos caresses conjuguées la font gémir. Sophie s’abandonne.
- « Tu vas lui bouffer la chatte pendant que je te baise ! » dis-je à Viviane. Aussitôt, la grande brune change de position, couche son employée et vient prendre ma place entre ses cuisses. « Quel beau cul tu as ! »
J’attrape une pochette, la déchire, et j’enfile le préservatif. Les fesses bien relevées de la cuisinière sont un appel au viol. Alors qu’elle gouine Sophie, je la pénètre. Elle relève la tête un instant pour lâcher un « Ouii ! Vas-y salaud ! »
De son côté, Sophie agite son bassin, en proie à la montée de son plaisir. Viviane doit être une experte en léchage de moule. A chacune de mes poussées, sa figure écrase la motte de la petite.
Ce ne sont plus que soupirs et gémissements dans l’habitacle. Les petits cris de Sophie vont crescendo et les grognements de sa patronne l’accompagnent.
La chatte de cette dernière me serre convulsivement. Je dois faire des efforts pour ne pas éjaculer, car ensuite, je compte bien baiser Sophie.
Viviane n’en peut plus et d’un coup elle se lâche en expédiant sa mouille sur les draps. Sans ménagement, je la pousse sur le côté et j’embroche Sophie qui elle aussi a déjà jouit. Aux côtés de sa patronne qui nous regarde, elle n’a plus de retenue, ni de blocage. Viviane lui relève une jambe, pour que je la pénètre encore plus. Elle s’acharne sur les gros seins de son employée qui s’envole pour un bel orgasme.
Après cet assaut, alors que nous reposons sur la couche, Viviane s’inquiète que je n’ai pas jouis.
- « J’ai deux femelles en chaleur avec moi et à mon âge, je dois me ménager ! »
- Eh bien, mon salaud, pour un vieux, tu te débrouilles pas trop mal ! Tu nous as fait jouir toutes les deux..
- Tu m’a bien aidée, ma salope !
- J’ai adoré te brouter, Sophie.
- Oh merci Viviane ! Je n’avais jamais… avec une femme.
- Tu as aimé ?
- Oh oui !
- Merci ! Tu me ferais pareil ?
- Je ne sais pas… comment faire.
- Une femme sait ça naturellement, si tu en as envie.
- Oui ! J’ai envie ! Ça fait drôle d’être comme ça avec toi.
- Oh tu sais, dès que tu t’es présentée, j’ai eu envie de de toi, mais on a une règle avec Roger : « jamais avec le personnel ». Tu es une exception aujourd’hui, à cause de ce salaud de Jacques. Il m’excitait et hier tu m’as devancée. Je te dis pas comme j’étais frustrée, surtout en vous écoutant.
- Tu nous a écoutés cette nuit ?
- Oui. Jusqu’à que tu partes ! Je te dis pas comme j’étais excitée. Enfin… c’est Roger qui en a profité ! Bon, maintenant je dois rentrer. Je vous laisse tranquilles tous les deux. Je pourrais revenir ?
- Bien sûr ! Quand tu veux ma belle.
- Et toi, Sophie, ne dis rien à personne !
- Compte sur moi. Je ne tiens pas à ce que ça se sache !
- Pourquoi ? Tu as honte ?
- Non ! Ce n’est pas ça ! Mais… Non ! Tu comprends ?
- Oui . C’est compliqué qu’on sache que tu aimes faire l’amour avec une femme.
- Non ! C’est… avec ma patronne !
- Oh ça ? Ne t’inquiète pas. Roger ne dira rien.
- Comment ça, il ne dira rien ? Tu vas lui dire… pour nous deux ?
- Pour nous trois tu veux dire.
- Je.. Oh… Comment ? Avec Roger ?
- Ah coquine ! Tu veux déjà me piquer mon mari ?
- Mais non ! Je…
- Je rigole ! Je parle de Jacques Bien sûr !
- Tu…
- Allez ! Je vous laisse. Bisous mes chéris et toi Sophie, tout à l’heure soit au travail !
- Je… Oui, bien sûr !
- Embrasse-moi petite cochonne ! Mais au boulot c’est comme avant.
- Oui, Madame Viviane !
- Ah Ah ah ! »
Après le départ de Viviane, Sophie est toute chamboulée. Cette nouvelle relation avec sa patronne et surtout une relation sexuelle. Pour elle, cela remet en cause ses certitudes, mais aussi une nouvelle vie. Nous restons tendrement enlacés un long moment. Je lui explique que on dit que nous avons fait l’amour, mais qu’en fait nous avons surtout baisé. Elle le reconnaît.
- « Tu vois, c’est ça la différence entre l’amour et le sexe. Tu aimes Viviane ?
- N..Non, mais j’ai aimé… avec elle.
- Voilà ! Moi aussi j’ai aimé baiser Viviane, comme j’aime te baiser, mais, je ne t’aime pas d’amour. D’ailleurs, entre nous, parler d'amour n'est pas sérieux.
- Je comprends. Pardonne-moi de t’avoir dit tout ça, mais c’est une première pour moi, qu’un homme soit si gentil avec moi.
- Bien. Maintenant que tout est clair, veux-tu continuer à faire l’amour avec un vieux comme moi ?
- Oh oui bien sûr !
- Et vas-tu faire l’amour avec ta patronne ? Je veux dire, lui rendre ce qu’elle t’as fait ?
- Je… Tu es incroyable ! Je… Oui, j’ai envie d’essayer.
- Je suis sûr que tu y arriveras très bien.
- Tu crois ? Je ne l'ai jamais fait.
- Si tu en as envie, tu sauras très vite comment faire. En attendant, viens ici petite salope ! »
Sophie est bien échauffée. Elle prend ma queue en main et la suce aussitôt, lui redonnant une belle vigueur.
- « Prends-moi maintenant ! Prends-moi comme tu as pris Viviane tout à l’heure !
- Petite cochonne, tu veux penser que tu as sa chatte devant toi, c’est ça ?
- O.. Oui ! Il me tarde ! »
Sophie est bien une petite cochonne et je lui prédis un bel avenir d’amante expérimentée, qui fera baver les hommes.. et les femmes.
Elle doit s’échapper avant le service du soir, sans être allée chez ses parents.
Elle revient après la fin du repas, toujours chaude.
- « D’être à côté de Viviane pendant tout ce temps, je te dis pas comme j’étais excitée. Je ne voyais que sa poitrine, alors que je ne la regardais jamais avant. Quand elle me tournait le dos, j’admirais sa silhouette. J’avais envie… mais interdit au travail.
- Tu es frustrée ma chérie !
- Oh c’est gentil de m’appeler ta chérie !
- Tu es ma petite chérie
- Petite et grosse.
- Arrête avec ça ! Tu es superbe quand tu es nue.
- Il faut que je reste tout le temps nue alors ? Ah Ah ah ! » Elle se déshabille en suivant « Voilà ! Tu es content ?
- Très ! »
Sophie monte sur le lit et vient se blottir dans mes bras. On s’enlace et on s’embrasse
La porte s’ouvre alors et Viviane entre. En nous voyant, elle se déshabille aussitôt et nous rejoint.
- « Je savais bien que tu serais là petite coquine ! Je me suis dépêchée ! » Les deux femmes s’embrassent. « Si tu savais comme tu m’as excitée pendant le service ! J’étais trempée ! J’avais envie de te toucher et je sentais son odeur. Tu ne t’es pas lavée cochonne !
- Moi aussi j’étais excitée !
- C’était dur de ne pas se toucher.
- Mais c’est la règle !
- Viens me gouiner petite salope ! J’en rêve depuis tout à l’heure !
- Oh oui ! »
Viviane s’étend et sans hésiter, Sophie met sa tête entre les cuisses de sa patronne.
- « Oh ça sent bon ! J’adore !
- C’est bien ma chérie. Tu vois comme c’est mouillé ?
- Oui ! Moi aussi je coule.
- Viens sur moi on va se faire un soixante neuf ! Et toi mon salaud, baise cette petite, je suis sûre que son gros cul te fait bander ! »
Je passe un coussin sous la tête de Viviane pour qu’elle soit à la bonne hauteur pour lécher la chatte de son employée. Quand j’approche ma bite de la grotte, Viviane s’en saisit et me suce avant de la guider dans la chatte.
J’alterne alors les pénétrations et les sorties, ce qui chaque fois me vaut une léchouille et une succion du gland. Quand je suis dans la moule trempée, Viviane titille le clito et se régale de la mouille qui coule.
- « Prend-lui le cul à cette cochonne !
- J’ai jamais fait ! lance Sophie.
- Une bonne raison pour commencer.
- Je vais avoir mal !
- Ne t’inquiète pas ! On va bien te préparer ! N’est-ce pas vieux cochon ? Lèche-lui le cul et doigte-la ! Il a une belle queue, pas trop grosse. Elle passera bien. Celle de mon mari est plus large, tu seras bien ouverte alors.
- Roger ? Tu veux que…
- Ça le rend fou de savoir que je baise avec toi. Il est impatient de te connaître.
- Oh ! »
Penché sur le cul de Sophie, je glisse ma langue dans son trou. J’adore l’odeur de son cul qui frémit. J’introduis un doigt en prenant de la mouille dans sa chatte dégoulinante. Et je pousse dans le trou.
- « Ça fait drôle… dedans !
- Tu vas aimer ! »
Je donne mon doigt qui sort du cul, à sucer à Viviane qui lance un « mmmh ! Oui, continue ! »
Un deuxième doigt rejoint le premier et le cul de Sophie s’ouvre lentement. Je fais plusieurs aller et retour en donnant mes doigts à sucer chaque fois à Viviane qui gémit elle aussi sous la langue de Sophie.
- « La petite salope me doigte aussi le cul ! Elle apprend vite ! Vas-y ! Encule-la ! »
Je lui donne ma bite à sucer, couverte de mouille. Viviane rajoute bien de la salive. J’enfile une capote, et je mets du gel sur la corolle « c’est froid ! »
Guidé par la main de Viviane, je pose mon gland sur l’œillet « Pousse un peu comme pour faire caca, ce sera plus facile. » Sophie est docile et en confiance. Je commence à forcer et le gland passe la porte étroite sans trop de difficulté.
- « Ça va ?
- O.. Oui !
- Détend-toi ! Ça va aller tout seul, tu es bien ouverte. »
Par petits à-coups, je m’enfonce dans ses lombes jusqu’à buter contre ses fesses.
- Ça y est !
- Oh c’est gros ! C’est bon !
- Sors de son cul ! Je veux goûter ! » s’exclame Viviane qui n’a pas arrêté son léchage
Je sort du cul de Sophie et lui donne la tétée. « Mhh ! J’adore l’odeur de son cul ! Vas-y, bourre-la maintenant ! Pète-lui le cul ! Démonte-la bien mon salaud !»
Bien agrippé aux grosses fesses de la petite, je la pilonne maintenant. Elle n’arrive plus à lécher sa patronne et crie son plaisir. J’ai envie de jouir, mais je me retiens. Sous l’action de la langue de Viviane et ma bite dans son cul, je veux que Sophie jouisse de sa première sodomie.
Mon bassin claque sur ses fesses et les grognements envahissent la chambre. Viviane grogne sous le ventre de Sophie.
D’un coup, celle-ci se lâche. Je sens ma bite être comprimée.
- « Je vais jouir ! » dis-je
- Dans ma bouche ! Viens dans ma bouche ! » réclame Viviane.
Alors que je vais éjaculer, je sors du cul accueillant, j’arrache la capote et donne ma queue à la bouche vorace qui me pompe. Je lui expédie quelques giclées dans la bouche qu’elle s’empresse d’avaler, puis suce ma pine pleine de sperme en m’apportant un plaisir supplémentaire.
Sophie est exténuée par son orgasme et sa première sodomie, aussi j’enfile deux doigts dans la chatte béante de Viviane et je la branle énergiquement. Ça clapote et Viviane jouit enfin en lâchant une belle quantité de jus.
Le calme revient peu à peu dans l’habitacle. Nous entourons la petite dont le corps est brûlant de plaisir.
- « Alors ? Tu as aimé. Demande Viviane.
- Au début, ça faisait drôle. J’avais un peu mal… enfin pas vraiment... et puis j’ai aimé. C’était bon ! En plus avec ta langue sur mon clito, c’est monté, monté… C’est trop bon !
- Je suis contente que tu ais jouis pour ta première sodomie. C’est important. Comme ça tu auras envie de recommencer.
- Oh oui ! Mais… Tu as dis… que… avec Roger !…
- Oui ma chérie ! Quand Jacques sera parti, tu seras un peu seule, alors, notre lit te sera ouvert.
- Tu.. .
- Ne t’inquiète pas ! Avec Roger on se dit tout et on aime avoir d’autres partenaires, alors, si tu veux, on pourra s’amuser tous les trois !
- Je… Oui, je crois… Je voudrais vous demander quelque chose.
- Dis-moi tu voyons !
- Non, à vous deux… à toi et à Jacques. Après-demain, le restaurant est fermé pour deux mois.
- Oui.
- Toi Jacques, tu m’emmènerais avec toi quelques jours ?
- Tu n’as pas peur ?
- Avec toi non.
- C’est pas ça, mais vis à vis de tes parents…
- C’est pour ça que je voudrais que Viviane m’emmène jusqu’à Lège pour soi-disant me mettre dans le car pour Bordeaux et Paris, voir une copine et toi, tu me prendras là !
- Quoi ? Directement sur le parking ? Devant tout le monde ?
- Tu es malade !
- Je plaisante. J’ai compris que tu es une petite futée. Pour moi, c’est d’accord, mais à condition que quand l’un ou l’autre en a marre, il le dise sans attendre, avant de se fâcher.
- D’accord ! Je ne t’encombrerai pas et puis, je sais faire la cuisine. Je ferai la vaisselle.
- Et je te baiserai !
- Oh oui !
- Tu es d’accord Viviane ?
- Je suis triste que tu partes déjà !
- Je vais revenir pour la saison d’hiver au plus tard. Moi aussi j’ai envie de faire encore l’amour avec toi.
- Et avec Roger !
- Oui aussi, même si je…
- Et avec d’autres !
- ???
- Nous sommes des libertins et nous allons dans des clubs, tu viendras avec nous.
- Je..
- Bon on verra tout ça. En attendant, je suis d’accord pour te couvrir, à une condition..
- Laquelle ?
- Avant de partir, demain, pendant que les hommes rangent, tu viens faire l’amour avec moi
- D’accord
- Dans mon lit.
- D...d’accord !
- Peut-être que Roger viendra voir.
- Oh !
- Mais il lui sera interdit de te toucher ! »
Le lendemain, les deux femmes vont disparaître pendant une heure dans la matinée, sous prétexte de ranger l’appartement. Le rose aux joues à leur retour et leurs yeux brillants ne trompent pas sur leur activité. Roger leur jette un œil émoustillé. Je rigole dans mon coin.
Pendant le repas, les deux femmes sont côte à côte à table en face de moi et je suis sûr, vu leurs mimiques, que sous la nappe, leurs cuisses se frottent.
L’après-midi, sieste pour tout le monde, moi seul dans mon camion pour une fois. Du coup, je décide ensuite d’aller faire un tour en vélo avec Rocky qui est tout heureux. Je ne rentre qu’après une quarantaine de kilomètres de course.
Nous allons faire un plongeon dans l’eau, puis je le douche à l’extérieur. Je le fais boire et je lui donne sa ration quotidienne de croquettes. Ensuite je me douche et me prépare pour cette dernière soirée avec mes amis.
Huîtres de Joël, Guillaume, un parisien originaire du Ferret et sa femme, qui est actrice de cinéma d’après ce que j’ai compris. Marcel et d’autres amis et voisins. C’est la tradition à la cabane, pour fêter la fin de la période estivale. Il y a aussi un couple d’amis libertins, ce que j’apprendrai par la suite par Viviane qui viendra finir la nuit avec moi. Sophie n’est pas venue. Elle devait parler à ses parents et les convaincre de la laisser partir. L’adhésion de Viviane et le fait qu’elle l’amène elle-même à l’autocar, ont emporté la décision.
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