Périple en camping-car 6 : Rencontre sauvage à Cancale

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Périple en camping-car 6 : Rencontre sauvage à Cancale Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Périple en camping-car 6 : Rencontre sauvage à Cancale
Les jours et les semaines passent très agréablement, chaque jour j’en rends compte sur Internet et les visiteurs sont de plus en plus nombreux. J’atteins les 1000 en deux mois et après ça s’emballe, 2000, 5000, cela va monter à la fin à plus de 80 000… Je ne compte plus les commentaires. Je passe presque plus de temps chaque matin à y répondre qu'à rédiger mon journal de voyage en incluant bien sûr des photos..

La Bretagne est une merveille, chaque port, l’occasion d’une visite, d’une promenade, de photos, de vidéo. A cette saison, c’est très agréable. Comme on dit ici on peut avoir les quatre saisons dans la journée, mais même s’il pleut - moins qu’à Biarritz, il faut le savoir – cela ne dure pas. Avec Rocky, ce sont des balades interminables. Il faut dire que maintenant, avec l’entraînement, il est devenu très résistant. Il est même demandeur de sorties.

Fin octobre, je me trouve à Saint Brieuc, plus exactement à Langueux, dans sa banlieue. Je rends visite à une entreprise dans laquelle j’avais installé l’informatique… il y a vingt-cinq ans. Elle est toujours cliente de mon ancienne société et ils se rappellent bien de mes passages chez eux. Juste après, je m’arrête bien sûr à Yffiniac. J’essaye de rencontrer le « Blaireau » : Bernard Hinault que je connais, mais il est en déplacement. Sa femme lui fera le bonjour.

L’hiver approche, mais il fait encore bon. Les sorties, se résument souvent à une courte visite du village et à une trentaine de kilomètres de course en vélo avec Rocky attelé. Ce que des journalistes parisiens ont appelé « l’été indien » depuis Joe Dassin et que les anciens ont toujours appelé le petit été de la Saint Martin – le 11 novembre - donne de superbes couleurs à la nature et des journées agréables.

Après la traversée des Abers, je me trouve au nord de Cancale, au bout de la pointe du Grouin, d’où on a une vue magnifique sur la baie du Mont Saint Michel, à l’Est. Il fait beau et je me gare pour la nuit, face à l’océan. Je suis à table sous l’auvent, lorsqu’un camping-car vient se garer à côté du mien. Je m’étais pourtant isolé, mais bon, l’emplacement est splendide et ne m’est pas réservé.
C’est une femme qui conduit. Avant d’arrêter son moteur, elle descend et vient à ma rencontre.

- « Bonsoir monsieur. Pardonnez-moi, mais puis-je me poser à côté de vous. J’ai un peu peur quand je suis seule au milieu de nulle part ne vous dérangerais pas.
- Aucun problème. Mon chien montera la garde pour deux.
- Merci. »
Elle retourne à son véhicule et se gare. Elle cale ses roues. Quand elle a terminé, elle s’apprête à rentrer dans son camion et me souhaite bon appétit.
- « Vous de même ! Dites… Ça vous direz de partager le repas avec moi ?
- Pourquoi pas ! Ça me changera.
- Je vous attends alors. »

Je sors une deuxième chaise, j’ouvre un peu plus l’auvent et j’attrape une bouteille de rosé. En attendant la femme, je me sers à boire et je fume une cigarette, chose que je m’interdis dans le camion.
Après un bon quart d’heure, la femme réapparaît avec un plat. Elle avait aussi pris une bouteille et nous en rions. Nous dégustons chacun notre plat tout en discutant. Finalement, sa présence ne me dérange pas. Cela change un peu ma solitude, depuis que Sophie est partie.

La femme me raconte qu’elle fait une région par an, pendant ses congés. En France et dans les pays limitrophes. Cette année elle a choisi la Bretagne, elle va terminer par Rennes et rentrer ensuite chez elle à côté d’Orléans. Elle s’étonne de mon long périple, mais elle m’envie d’avoir tout mon temps libre.
- « Privilège de la retraite !
- Moi, j’en ai encore pour un moment !
- C’est sûr ! Mais c’est aussi un avantage d’être plus jeune.
- Plus très jeune quand même !
- Vous vous faites du mal !
- Vous êtes un flatteur !
- Pas du tout !
- Vous me donnez quel âge ?
- Ça ne se dit pas voyons !
- Cinquante cinq » Je pense qu’elle triche
- « J’aurais dit plutôt cinquante.
- Vous voyez que vous êtes un flatteur ! J’en ai soixante.
- Eh bien ! Sans flatterie alors, vous ne les faites vraiment pas !
- Merci. » Je remarque alors que la femme n’a pas les jambes épilées. Elle a surpris mon regard. « Oui. Ce n’est pas très sexy, mais je ne peux pas aller chez mon esthéticienne. Et en un mois, chez moi ça pousse vite ! D’ailleurs je suis pour le naturel.
- En cette période de « sans poil » c’est inhabituel, mais pas dépourvu d’attrait.
- Vous le pensez ?
- A mon âge, j’ai tout vu et rien ne me rebute à ce niveau, au contraire, j’aime la variété.
- Ne seriez-vous pas en train de me faire une proposition ?
- Je ne propose rien qui ne soit accepté ou acceptable.
- C’est vrai ? Vous aimez les poils ?
- J’ai une amie très poilue. Malheureusement pas les jambes, mais pour le reste. Je crois que les femmes brunes, comme vous, gagnent à exhiber leur pilosité. Cela les démarque de toutes ces moules glabres – qui ont leur intérêt aussi – mais quand cela devient une norme, c’est lassant.
- Ici, nous sommes tranquilles, ça vous dirait de voir ?
- Comment refuser sans être un malotru ?
- Coquin !
- Coquine ! »

La femme vide son verre d’un trait, se lève et commence un strip-tease devant moi. La jupe tout d’abord, sous laquelle elle porte une culotte rose, de laquelle déborde des poils noirs de tous les côtés, y compris au-dessus avec une pilosité incroyable qui remonte quasiment jusqu’au nombril. L’effet est incroyable ! Le sourire aux lèvres en voyant mon regard, elle poursuit son effeuillage. Elle retire le chandail, qu’elle pose avec la jupe, sur sa chaise.
Sous le corsage qui lui aussi disparaît vite, un soutien gorge noir assez bien remplit par une poitrine ronde, pas très grosse. Enfin, elle enlève sa culotte.
La femme est maintenant nue, au milieu de la nature, face à un homme qu’elle connaît à peine. Elle prend des poses et là, sa pilosité éclate. Ses aisselles sont abondamment pourvues et que dire de son ventre, avec une toison noire qui remonte haut et qui couvre toute la surface, comme le ferait une culotte. Et quelle épaisseur ! Un vrai matelas de poils !

- « Ça vous plaît ? » Je ne réponds pas et je me contente d’ouvrir mon pantalon, de le baisser avec le shorty et d’exhiber mon érection qui est au maximum. « Je crois que oui ! » dit-elle en riant.
La femme est toute en muscles. Plutôt maigre, ce qui ne m’attire pas vraiment chez une femme d’habitude, mais sa musculature de bodybuildeuse, donne un effet magnifique, rehaussé par ses longs poils noirs.
- «Alors ?
- Si j’osais…
- Osez ! Osez mon ami !
- Je viendrais à genoux, perdre mon visage dans cette forêt luxuriante qui embaume sûrement !
- Faites donc ! »

Je me débarrasse en un tournemain de mes habits que je jette derrière moi n’importe comment et je me précipite entre les jambes de la femme. Elle les a écartées et s’est cambrée, les mains derrière la tête, sûre maintenant de l’effet produit par sa pilosité.
Je me gave longuement de ses senteurs, de sa mouille mêlée à sa toison. J’ai envie de frotter mon corps à son corps poilu. C’est vrai que j’aime aussi les hommes velus et son corps musclé n’est pas sans rappeler celui d’un homme. J’ai une envie bestiale de cette femme. J’ai envie de la prendre là, par terre, sur la terre.
- « Je dois aller chercher une capote dedans…
- J’en ai dans la poche de ma jupe. Quand je t’ai vu en arrivant, j’ai eu envie de toi. Il me restait à savoir si mes poils ne t’effraieraient pas.
- Ils ne m’effraient pas, ils m’affolent ! »
La capote récupérée et enfilée, je me vautre sur la femme qui s’est couchée dans l’herbe. Ça sent le sexe, la terre, l’iode, j’ai l’impression de n’avoir jamais bandé aussi fort. J’ai une envie de rut et la femelle n’est pas en reste. On se moque l’un comme l’autre de savoir si quelqu’un peut nous surprendre. La nuit est tombée. Malgré la fraîcheur, nous n’avons pas froid. Nous roulons l’un sur l’autre. La terre colle à nos peaux. Notre coït est sauvage. Tel l’homme des cavernes et sa femelle, nous baisons comme des fous.
Mon chibre est tendu au maximum, mais je n’ai pas besoin de me retenir pour ne pas éjaculer. Comme je labourerais la terre, je laboure la femme sauvagement. Elle relève ses jambes et je frotte mon visage à ses poils.Je la retourne en levrette. Son dos est couvert de terre, mais peu importe.
Elle feule, en redemande.
- « Oui salaud ! Baise-moi comme une chienne ! Prend mon cul de salope ! Putain ce pied ! C’est énorme ! Ne t’arrête pas ! C’est trop bon !
- Oui, salope ! Tu es une pute ! Donne-moi ton cul plein de poils. Tu vas pisser ton jus de salope par terre. Tu vas ensemencer l’herbe ! »

D’un coup, la femme relève la tête et pousse un hurlement de bête dans la nuit. Alors, agrippé à ses hanches, enfoncé en elle, je crie mon plaisir et je décharge au fond de sa matrice.

Le retour sur terre est long. Nous sommes épuisés par l’intensité de notre coït. Couverts de terre et de sueur. Le froid de la nuit qui tombe sur nous, nous fait réagir. J’entraîne ma femelle dans mon camion, j’ouvre l’eau chaude bienfaisante et je parviens à entrer avec elle dans la cabine, serrés l’un contre l’autre.
Le ballon d’eau chaude va se vider, mais nous pourrons nous laver avant que l’eau ne soit froide. L’eau qui coule dans le bac est d’abord marron de la terre qui nous recouvre. Mutuellement, nous frottons les parties de l’autre qu’il ne peut atteindre tant nous sommes serrés.
Nous parvenons malgré tout à nous savonner et enfin nous rincer. Il faut que tour à tour , l’un de nous sorte de la cabine pour fignoler le travail. Le plancher en dehors de la cabine est lui aussi bien mouillé.
Je récupère une grande serviette et nous nous séchons mutuellement. C’est finalement sur le lit que nous nous retrouvons. Sur les draps blancs, le corps poilue de ma maîtresse ressort encore plus.
Je n’y tiens pas. Je fonce au salon et je reviens avec mon appareil photo pour mitrailler la femme qui sans pudeur s’expose et prend des poses.
Poilue, plutôt maigre, musclée, un visage pas forcément beau, mais de tout cela se dégage un charme, un charisme, qui fait qu’elle est sexuellement attirante et que dire quand elle se donne.
Aurélie, puisque c’est ainsi qu’elle se nomme, s’extasie ensuite sur mon intérieur. Il est vrai que mon camion est plus récent que le sien et bénéficie des nouvelles techniques. Les options supplémentaires apportées lui donnent un cachet et un confort remarquable.
- « J’aurais honte de te montrer mon camping-car. Toi tu l’appelles ton « camion » mais le camion, c’est le mien.
- Ce n’est pas non plus le même prix, ni les mêmes finitions. » Je lui propose de dormir avec moi, mais elle décline l’invitation.
- « J’ai pris l’habitude de dormir seule. Je ne supporte plus quelqu’un avec moi dans un lit… sauf pour… baiser.
- Pas de souci ! Ma porte te reste ouverte.
- Tu pars quand ?
- Je ne sais pas. Demain matin, ou peut-être plus tard.
- OK ! Bonne nuit. Tu me diras au revoir avant de partir ?
- Bien sûr ! »

J’éteins tout et je me couche. C’est finalement agréable de ne pas avoir à sortir ou à bouger. Je m’étale dans mon grand lit dont les draps ont conservé l’odeur de la femme. Je m’endors.
La porte s’ouvre alors qu’il fait nuit. C’est ma voisine.
- « Je peux rentrer ?
- Bien sûr ! » j’allume la lumière. Elle est rhabillée, mais se met nue aussitôt.
- Réchauffe-moi. Ça pèle dans mon camping-car. Le chauffage est en panne. Je crois que je n’ai plus de gaz. Chez toi il fait bon.
- C’est un Webasto. Il fonctionne avec le gasoil du réservoir, comme sur les camions.
- C’est super !
- Allez ! Viens sous la couette. Je vais te réchauffer.
- C’est ça ! Tu as envie de me sauter oui !
- C’est déjà fait, mais on peut recommencer.
- Met-toi derrière moi. Serre-moi fort et baise-moi si tu veux. »
En cuillère, après avoir mis un nouveau préservatif, je pénètre ma voisine d’un soir, poilue sèche et musclée.
- « Salaud ! Tu me la mise dans le cul !
- Pardonne-moi, ce n’est pas voulu, mais, c’est rentré tout seul.
- Ne bouge pas. J’aime ! Quand je t’ai senti là, je n’ai pas hésité. Maintenant, je vais te branler avec mon cul. Tu peux donner de petits coups de temps en temps si tu veux. Tu vas voir, ça va durer longtemps, mais je te préviens, je risque de mouiller ton lit.
- Ne t’inquiète pas, il est habitué et bien protégé.
- Ah mon salaud ! Je ne suis pas la première !
- Ni la première, ni la dernière j’espère, ni le premier.
- Ah parce que…
- Oui, j’aime aussi les hommes. Les jeunes bien montés ou les vieux nounours à petite bite.
- C’est pour ça que tu aimes mes poils.
- Peut-être aussi, même si c’est différent. Mais c’est vrai qu’avec ton corps musclé et tes poils, tu rappelles un homme.
- Eh bien profite ! Puisque tu as un homme dans les bras, encule-le bien profond mon petit pédé ! »

Notre coït va durer très longtemps, avec des périodes d’endormissement ou je reste planté et bien serré dans le cul qui me « pompe » avec ses muscles puissants. Je crois que cela reste le plus long coït de ma vie. Cela a duré ainsi plusieurs heures pendant lesquelles nous sommes restés unis ainsi.
Aurélie a jouit deux ou trois fois au moins. Quand à moi, je me suis lâché en elle sans me désunir, ma queue « prisonnière » dans son cul. Nous avons fini par nous endormir, je ne sais quand. C’est un bruit de moteur autour des véhicules qui m’a réveillé et en bougeant, j’ai réveillé ma compagne de lit.
C’était un motard qui passait par là. Le soleil est levé. Nous ne sommes plus accouplés, mais Aurélie est restée pour une fois dans un lit occupé par un autre.
Je me lève doucement et je prépare le petit déjeuner. Aurélie comme moi, reste nue. Au matin comme ça, ses poils sont encore plus érotiques. La coquine se rend vite compte de mon érection, peut-être même avant que je n’en sois conscient. Consciente elle, du pouvoir de sa pilosité, elle lève ses bras, exposant ses aisselles velues et son « tablier de sapeur » une pelouse noire qui tranche sur sa peau.
Alors comme hier, je tombe à genoux entre ses cuisses pour lécher cette forêt de poils odorants.

- « Tu vas avoir une surprise si tu continues. J’ai envie de faire pipi !
- Ne te gêne pas, j’adore !
- On va dehors alors, parce que je vais tout inonder ! »

Sans se soucier de savoir si quelqu’un peut nous voir, nous sortons sous l’auvent. Aurélie reprend la pose et à genoux dans l’herbe je m’apprête à recevoir ma « douche dorée ». Et la douche est abondante ! De la tête aux pieds, je suis couvert de son urine, j’en recueille dans ma bouche et en avale aussi. C’est énorme ! Nous sommes dans notre délire et quand je me relève pour pisser à mon tour, Aurélie s’agenouille et me demande de l’arroser en pissant.
La vraie douche est alors nécessaire, voire indispensable et le nettoyage du parquet l’est autant. C’est seulement qu’après avoir refait du café, que nous pourrons enfin prendre le petit déjeuner.

J’emmène ensuite Aurélie au village pour changer la bouteille de gaz afin qu’elle retrouve du chauffage. Nous faisons une petite balade en bord de mer pour admirer la baie du Mont Saint Michel. Rocky nous suit gaiement. Nous déjeunons ensuite d’un poulet acheté au village et préparé par Aurélie.

Une sieste nous réunit enfin avant de nous séparer. Aurélie est une gourmande et veut profiter au maximum de « son » amant de passage. Car sans que cela soit dit, nous savons tous les deux, que notre aventure va se finir rapidement. Avant de partir, elle veut que je prenne des photos d’elle nue dans la nature. Elle va prendre des poses devant et contre son camping-car, dans l’herbe. Des photos très érotiques que je vais lui donner sur une clé USB. Elle m’enverra plus tard un lien vers un site d’exhibition sur lequel elle les expose. Dans l'après-midi, je la laisse sur le parking et je reprends ma route.

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