Permission d'adultere réciproque
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Permission d'adultere réciproque
Une fois dans l’intimité de notre chambre, Christelle me demande une ixième fois de lui raconter l’incroyable incartade qui m’est arrivée l’an dernier lors d’un chantier chez une cliente, à chaque fois je sais que cela comporte un message, comme je me sens fautif je me plie volontiers a sa requête
- Lorsque je suis rentré dans sa salle de bain à sa demande afin de voir des travaux a effectuer je suis resté sur le cul … tu sais qu’elle a le visage complètement défiguré suite à cet abominable accident de la route dont elle était la seule survivante
- Oui …depuis le décès de ses parents cette pauvre jeune fille d’à peine vingt ans ne sort plus de chez elle
- Hé bien cette fois Nora avait seulement un voile blanc pour se cacher le visage, entièrement nue elle me faisait face en me tendant une main comme pour m’implorer de la toucher, j’ai longuement hésité avant d’enlacer ce corps de rêve, elle s’est blottie contre moi, ses bras ont ceinturé fortement ma taille, je n’ai pu empêcher une érection de se manifester
- C’est normal comme réaction …
- Elle ne pouvait ignorer mon état, mes mains ont caressé affectueusement son dos, puis plus amoureusement le bas du dos, Nora m’a fait comprendre de la suivre dans sa chambre, alors je l’ai soulevée dans mes bras et l’ai portée telle une jeune mariée, j’ai remarqué que ses poils pubiens noir coupés court étaient parsemés de gouttelettes de rosée féminine
- Preuve de son envie …
- Je l’ai délicatement posée au milieu du lit dont les draps étaient ouverts, prêts pour accueillir notre couple illégitime, sans la quitter des yeux j’ai quitté ma combinaison de travail sous laquelle j’étais en slip
- Très déformé j’imagine ?
- Mon bout pointait a la taille … je me suis allongé entre ses jambes ouvertes, elle a replié les genoux, sa motte me fascinait, j’ai posé mes lèvres sur ses lèvres vaginales entrouvertes nacrées de cyprine
- Je t’imagine la léchant bruyamment comme tu sais si bien le faire avec moi …
- Nora se tordait de plaisir, en manque de sexe elle a rapidement jouis et a de nouveau tendu ses bras avant de se retourner à quatre pattes
- Elle voulait clairement que tu la prennes en levrette afin que tu n’aies pas à supporter son visage ingrat
- C’est ce que j’ai fait … je l’ai introduite lentement, je jouissais de voir ma bite disparaitre entre ses petites lèvres, Nora grognait de plaisir en accompagnant mes coups de reins en reculant son bassin , j’ai déchargé interminablement provoquant un orgasme puissant chez elle, sa chatte moulée sur ma bite m’a fait comprendre qu’il fallait que je continue à la bourrer de plus en plus virilement, Nora n’arrêtait plus de geindre, au bout d’un moment elle s’est affalée faisant sortir ma verge de son con englué, elle n’a pas réagis lorsqu’en essayant de la réintroduire je me suis volontairement trompé de trou
- Elle avait envie d’être baisée et sodomisée la pauvre fille, je la comprends, pour une fois qu’elle avait un bon amant sous la main !
- Lorsque j’ai jouis une ultime fois elle s’est assoupie, je me suis lavé et suis rentré à la maison
- C’est là que tu m’as tout raconté et par la suite, pour te récompenser elle t’a accordé l’important chantier de sa maison
- Et tu m’as certifié que ça ne te contrariait pas
- Non, pour moi ce n’était pas un adultère, tu avais accompli une bonne action, je ne t’en aime que plus chéri
- Encore merci de ta confiance Christelle, je t’aime plus que tout et je vais te confirmer ce que je t’ai affirmé dès ma confession
- Je sais... si j’en ai l’opportunité j’ai le droit de céder à la tentation d’un soir, je n’ai jamais dit non
- Dit-moi si je me trompe mais j’ai l’impression que quelque chose te tourmente ?
- Eh bien oui … c’est ma jambe …
- Justement je voulais te demander où en était la rééducation de ta fracture, ça va mieux ?
- Il me reste encore une séance demain
- Alors pourquoi ce sentiment de dépit ?
- Bruno, notre kiné me torture mentalement
- Raconte ?
- Ça devient insupportable, pour travailler ma jambe il me fait allonger sur le ventre en sous-vêtements
- Normal pour les élongations
- Par pudeur sans doute pour ne pas être tenté il pose une serviette sur mes fesses, si tu savais comme c’est difficile lorsque ses mains remontent le long de ma cuisse jusqu’à effleurer le renflement de mon string
- Et ?
- Ses doigts poussent sur ma fente et disparaissent avant que je n’ai pu ressentir le plaisir dût a cette caresse, et ceci un nombre incalculable de fois, dans ces moment-là il me parle de toi et de ta loyauté, c’est simple, je repars le slip en eau
- J’ai remarqué que tu étais vachement excitée quand tu revenais des séances chez Bruno
- C’est intolérable, heureusement que tu es là pour calmer mes ardeurs chéri, je t’en remercie, pourtant cet homme me subjugue avec sa carrure trapue de rugbyman, je me sens vulnérable entre ses mains, je suis certaine qu’il se doute que je suis disponible a une relation sexuelle
- Tu dis que c’est demain ta dernière séance ?
- Heureusement ce sera la fin de mon calvaire !
- Tu finiras par trouver celui qui te fera grimper aux rideaux chérie ! mais dans l’immédiat ce sera moi, ouvre moi tes cuisses …
Une fois comblée par un orgasme Christelle s’endort profondément, il me faut trouver une solution de toute urgence à son ‘problème’ …
- Allo Bruno ?
- Oui sylvain, comment vas-tu ?
- Bien et toi ?
- Ça va- ça va, ta femme va être contente demain c’est sa dernière séance de rééducation, la pauvre a souffert durant deux mois
- Elle souffre encore mais pas de sa fracture …
- Ah bon ? raconte …
- Tu ne t’es jamais aperçu qu’elle mourrait d’envie de baiser avec toi ?
- Bien sûr que si, j’ai remarqué ses appels du bassin et ses gémissements caractéristiques mais tu es un ami et la vertu de la femme d’un pote est sacrée
- Si je te demande de passe outre ?
- Pas question, je respecte mes clientes, si je commence à céder à la tentation mon métier est foutu, désolé mais c’est non...
- Excuse-moi de t’avoir dérangé, salut Bruno
- Salut …
La mort dans l’âme je vois partir Christelle à contrecœur pour son dernier rendez-vous avec Bruno, je vais devoir trouver rapidement une autre solution… une heure plus tard pas de Christelle...deux heures plus tard je vois sa voiture arriver, elle trottine jusqu'à la porte que je lui ouvre
- Ça va chérie ?
- Tu t’inquiétais ?
- Pas spécialement mais il est tard ?
- Suit moi à la salle de bain …
- Un problème ?
- Un problème qui s’étale lorsque je marche …
- Non ?? !
- SI ! ça y est, Bruno m’a baisée et bien baisée, regarde !
L’intérieur de ses cuisses est maculé de coulées douteuses, Christelle défait en hâte la fermeture de sa jupe qui tombe sur le carrelage
- Merde ma jupe s’est tachée dans la voiture quand je me suis assise !
- Comment ça s’est passé ?
- Aujourd’hui Bruno était complètement fou ! il m’a reçue en bermuda et marcel en m’ordonnant de m’allonger vite fait en petite tenue sur le ventre, cette fois pas de serviette sur le cul, la jambe a été traitée vite fait, priorité aux cuisses et principalement à mon entrejambes qu’il a ouvert d’autorité en saisissant mes mollets
- Ah bon ? qu’est-ce qui lui a pris ?
- Il m’a juste dis que mon mari était un homme super compréhensif, tu comprends quelque chose ?
- Ma foi non …
- Cette fois ses doigts se sont longuement attardés à ma fourche, j’avais honte car je sentais ma mouille s’évacuer de mon vagin et souiller mon string
- Pas grave !
- Instinctivement j’ai remonté ma croupe, il a poussé un grognement lorsqu’il a vu carrément l’arrondi de mon mont de vénus, sa paume est venue me palper, masser, caresser mes lèvres enflées de désir, ma mouille passait au travers de la dentelle, ça glissait de plus en plus facilement, il m’a dit : Prête pour le grand saut petite chienne ? - Comment ? - je vais retirer ta culotte trempée - mais ? – Chhhhuuuuttttt laisse toi faire t’en crève d’envie …
- Donc tu étais le cul à l’air et en l’air ?
- Ça te fait marrer ?
- C’est bien comme ça que tu voulais que ça finisse non ?
- Oui mais c’était tellement soudain, son doigt dans ma chatte a mis fin à mon impatience, mes mains étaient crispée au matelas, tout y est passé mon clitoris, mon vagin et même mon anus, après avoir dégrafé mon soutien-gorge il m’a ordonné de me retourner
- Mmmmmmmuuuuuummmmmm, tu me fais bander chérie !
- J’ai découvert qu’il était nu, son membre pointait devant lui arrogant, impressionnant de virilité, il s’est approché de ma tête, j’ai tout de suite compris ce qu’il voulait …
- Se faire sucer ?
- Tournée sur le cote je l’ai embouché, du moins ce que ma bouche pouvait accepter
- Il est si membré que ça ?
- Énorme ! il allait et venait comme dans une chatte jusqu’à effleurer ma luette, ma salive épaisse coulait hors de mes lèvres disjointes, des doigts ont retrouvés le chemin de ma fente
- Tu as avalé sa semence ?
- Bien sûr ! ceci fait je me suis assise sur le bord de la table pensant qu’il allait me demander de partir, il est venu entre mes cuisses la queue toujours aussi arrogante et juste a bonne hauteur pour me pénétrer, - tu la veux ? m’a-t-il dit, si vous voulez ai-je répondu … je me suis accrochée à son cou le souffle coupé durant toute l’intromission de sa verge dans mon con baveux, j’ai noué mes jambes autour de sa taille, il m’a soulevée comme un fétu de paille
- Tu étais empalée jusqu’aux burnes ? !
- Ses poils chatouillaient l’intérieur de mon vagin, le temps que nos sexes se fassent l’un a l’autre et il m’a soulevée par les fesses pour me laisser retomber durement sur ses couilles, j’ai compris qu’il me fallait doser la pénétration en serrant les jambes sinon il m’ouvrait en deux !
- Te connaissant tu as dut lui inonder le ventre ?
- Jamais je n’ai autant évacué de liquide, je pense même qu’il y avait de la pisse !
- J’en suis sûr, il arrive que tu me fasses pipi dessus pendant l’orgasme
- C’est vrai ?
- Rassure toi j’adore ça, tu te souviens la fois où nous nous somment volontairement pissé sur le corps à tour de rôle ?
- La fois près du lac où un voyeur nous épiait ?
- Tu m’avais pissé dans le vagin alors que tu commençais à débander et moi sur ton torse aussitôt après, j’ai adoré ! faudra qu’on recommence
- Finalement combien de fois as-tu joui avec le kiné ?
- Trois… quatre fois, je ne sais plus, il me manipulait à sa guise, je ne sais plus où était le sol et le plafond, je me souviens d’avoir ressenti par trois fois de puissantes giclées de foutre
- Est-ce qu’il t’aaaa ?
- M’a quoi ?
- Sodomisée ?
- Ouuuuuuiiiiii …j’ai tenté de l’en empêcher chéri mais il est plus costaud que moi, tu m’en veux ?
- C’est une pratique intime réservée aux couples qui s’aiment Christelle
- Je ne le referais plus, juré
- Parce que tu espères remettre ça avec Bruno ?
- Nora accepterait de te revoir ?
- Nous y voilà … notre couple dévie vers le libertinage ?
- Moi ça ne me plairais bien en tous cas …j’ai vachement apprécié ce dernier massage ! appelle Nora chéri….
- Lorsque je suis rentré dans sa salle de bain à sa demande afin de voir des travaux a effectuer je suis resté sur le cul … tu sais qu’elle a le visage complètement défiguré suite à cet abominable accident de la route dont elle était la seule survivante
- Oui …depuis le décès de ses parents cette pauvre jeune fille d’à peine vingt ans ne sort plus de chez elle
- Hé bien cette fois Nora avait seulement un voile blanc pour se cacher le visage, entièrement nue elle me faisait face en me tendant une main comme pour m’implorer de la toucher, j’ai longuement hésité avant d’enlacer ce corps de rêve, elle s’est blottie contre moi, ses bras ont ceinturé fortement ma taille, je n’ai pu empêcher une érection de se manifester
- C’est normal comme réaction …
- Elle ne pouvait ignorer mon état, mes mains ont caressé affectueusement son dos, puis plus amoureusement le bas du dos, Nora m’a fait comprendre de la suivre dans sa chambre, alors je l’ai soulevée dans mes bras et l’ai portée telle une jeune mariée, j’ai remarqué que ses poils pubiens noir coupés court étaient parsemés de gouttelettes de rosée féminine
- Preuve de son envie …
- Je l’ai délicatement posée au milieu du lit dont les draps étaient ouverts, prêts pour accueillir notre couple illégitime, sans la quitter des yeux j’ai quitté ma combinaison de travail sous laquelle j’étais en slip
- Très déformé j’imagine ?
- Mon bout pointait a la taille … je me suis allongé entre ses jambes ouvertes, elle a replié les genoux, sa motte me fascinait, j’ai posé mes lèvres sur ses lèvres vaginales entrouvertes nacrées de cyprine
- Je t’imagine la léchant bruyamment comme tu sais si bien le faire avec moi …
- Nora se tordait de plaisir, en manque de sexe elle a rapidement jouis et a de nouveau tendu ses bras avant de se retourner à quatre pattes
- Elle voulait clairement que tu la prennes en levrette afin que tu n’aies pas à supporter son visage ingrat
- C’est ce que j’ai fait … je l’ai introduite lentement, je jouissais de voir ma bite disparaitre entre ses petites lèvres, Nora grognait de plaisir en accompagnant mes coups de reins en reculant son bassin , j’ai déchargé interminablement provoquant un orgasme puissant chez elle, sa chatte moulée sur ma bite m’a fait comprendre qu’il fallait que je continue à la bourrer de plus en plus virilement, Nora n’arrêtait plus de geindre, au bout d’un moment elle s’est affalée faisant sortir ma verge de son con englué, elle n’a pas réagis lorsqu’en essayant de la réintroduire je me suis volontairement trompé de trou
- Elle avait envie d’être baisée et sodomisée la pauvre fille, je la comprends, pour une fois qu’elle avait un bon amant sous la main !
- Lorsque j’ai jouis une ultime fois elle s’est assoupie, je me suis lavé et suis rentré à la maison
- C’est là que tu m’as tout raconté et par la suite, pour te récompenser elle t’a accordé l’important chantier de sa maison
- Et tu m’as certifié que ça ne te contrariait pas
- Non, pour moi ce n’était pas un adultère, tu avais accompli une bonne action, je ne t’en aime que plus chéri
- Encore merci de ta confiance Christelle, je t’aime plus que tout et je vais te confirmer ce que je t’ai affirmé dès ma confession
- Je sais... si j’en ai l’opportunité j’ai le droit de céder à la tentation d’un soir, je n’ai jamais dit non
- Dit-moi si je me trompe mais j’ai l’impression que quelque chose te tourmente ?
- Eh bien oui … c’est ma jambe …
- Justement je voulais te demander où en était la rééducation de ta fracture, ça va mieux ?
- Il me reste encore une séance demain
- Alors pourquoi ce sentiment de dépit ?
- Bruno, notre kiné me torture mentalement
- Raconte ?
- Ça devient insupportable, pour travailler ma jambe il me fait allonger sur le ventre en sous-vêtements
- Normal pour les élongations
- Par pudeur sans doute pour ne pas être tenté il pose une serviette sur mes fesses, si tu savais comme c’est difficile lorsque ses mains remontent le long de ma cuisse jusqu’à effleurer le renflement de mon string
- Et ?
- Ses doigts poussent sur ma fente et disparaissent avant que je n’ai pu ressentir le plaisir dût a cette caresse, et ceci un nombre incalculable de fois, dans ces moment-là il me parle de toi et de ta loyauté, c’est simple, je repars le slip en eau
- J’ai remarqué que tu étais vachement excitée quand tu revenais des séances chez Bruno
- C’est intolérable, heureusement que tu es là pour calmer mes ardeurs chéri, je t’en remercie, pourtant cet homme me subjugue avec sa carrure trapue de rugbyman, je me sens vulnérable entre ses mains, je suis certaine qu’il se doute que je suis disponible a une relation sexuelle
- Tu dis que c’est demain ta dernière séance ?
- Heureusement ce sera la fin de mon calvaire !
- Tu finiras par trouver celui qui te fera grimper aux rideaux chérie ! mais dans l’immédiat ce sera moi, ouvre moi tes cuisses …
Une fois comblée par un orgasme Christelle s’endort profondément, il me faut trouver une solution de toute urgence à son ‘problème’ …
- Allo Bruno ?
- Oui sylvain, comment vas-tu ?
- Bien et toi ?
- Ça va- ça va, ta femme va être contente demain c’est sa dernière séance de rééducation, la pauvre a souffert durant deux mois
- Elle souffre encore mais pas de sa fracture …
- Ah bon ? raconte …
- Tu ne t’es jamais aperçu qu’elle mourrait d’envie de baiser avec toi ?
- Bien sûr que si, j’ai remarqué ses appels du bassin et ses gémissements caractéristiques mais tu es un ami et la vertu de la femme d’un pote est sacrée
- Si je te demande de passe outre ?
- Pas question, je respecte mes clientes, si je commence à céder à la tentation mon métier est foutu, désolé mais c’est non...
- Excuse-moi de t’avoir dérangé, salut Bruno
- Salut …
La mort dans l’âme je vois partir Christelle à contrecœur pour son dernier rendez-vous avec Bruno, je vais devoir trouver rapidement une autre solution… une heure plus tard pas de Christelle...deux heures plus tard je vois sa voiture arriver, elle trottine jusqu'à la porte que je lui ouvre
- Ça va chérie ?
- Tu t’inquiétais ?
- Pas spécialement mais il est tard ?
- Suit moi à la salle de bain …
- Un problème ?
- Un problème qui s’étale lorsque je marche …
- Non ?? !
- SI ! ça y est, Bruno m’a baisée et bien baisée, regarde !
L’intérieur de ses cuisses est maculé de coulées douteuses, Christelle défait en hâte la fermeture de sa jupe qui tombe sur le carrelage
- Merde ma jupe s’est tachée dans la voiture quand je me suis assise !
- Comment ça s’est passé ?
- Aujourd’hui Bruno était complètement fou ! il m’a reçue en bermuda et marcel en m’ordonnant de m’allonger vite fait en petite tenue sur le ventre, cette fois pas de serviette sur le cul, la jambe a été traitée vite fait, priorité aux cuisses et principalement à mon entrejambes qu’il a ouvert d’autorité en saisissant mes mollets
- Ah bon ? qu’est-ce qui lui a pris ?
- Il m’a juste dis que mon mari était un homme super compréhensif, tu comprends quelque chose ?
- Ma foi non …
- Cette fois ses doigts se sont longuement attardés à ma fourche, j’avais honte car je sentais ma mouille s’évacuer de mon vagin et souiller mon string
- Pas grave !
- Instinctivement j’ai remonté ma croupe, il a poussé un grognement lorsqu’il a vu carrément l’arrondi de mon mont de vénus, sa paume est venue me palper, masser, caresser mes lèvres enflées de désir, ma mouille passait au travers de la dentelle, ça glissait de plus en plus facilement, il m’a dit : Prête pour le grand saut petite chienne ? - Comment ? - je vais retirer ta culotte trempée - mais ? – Chhhhuuuuttttt laisse toi faire t’en crève d’envie …
- Donc tu étais le cul à l’air et en l’air ?
- Ça te fait marrer ?
- C’est bien comme ça que tu voulais que ça finisse non ?
- Oui mais c’était tellement soudain, son doigt dans ma chatte a mis fin à mon impatience, mes mains étaient crispée au matelas, tout y est passé mon clitoris, mon vagin et même mon anus, après avoir dégrafé mon soutien-gorge il m’a ordonné de me retourner
- Mmmmmmmuuuuuummmmmm, tu me fais bander chérie !
- J’ai découvert qu’il était nu, son membre pointait devant lui arrogant, impressionnant de virilité, il s’est approché de ma tête, j’ai tout de suite compris ce qu’il voulait …
- Se faire sucer ?
- Tournée sur le cote je l’ai embouché, du moins ce que ma bouche pouvait accepter
- Il est si membré que ça ?
- Énorme ! il allait et venait comme dans une chatte jusqu’à effleurer ma luette, ma salive épaisse coulait hors de mes lèvres disjointes, des doigts ont retrouvés le chemin de ma fente
- Tu as avalé sa semence ?
- Bien sûr ! ceci fait je me suis assise sur le bord de la table pensant qu’il allait me demander de partir, il est venu entre mes cuisses la queue toujours aussi arrogante et juste a bonne hauteur pour me pénétrer, - tu la veux ? m’a-t-il dit, si vous voulez ai-je répondu … je me suis accrochée à son cou le souffle coupé durant toute l’intromission de sa verge dans mon con baveux, j’ai noué mes jambes autour de sa taille, il m’a soulevée comme un fétu de paille
- Tu étais empalée jusqu’aux burnes ? !
- Ses poils chatouillaient l’intérieur de mon vagin, le temps que nos sexes se fassent l’un a l’autre et il m’a soulevée par les fesses pour me laisser retomber durement sur ses couilles, j’ai compris qu’il me fallait doser la pénétration en serrant les jambes sinon il m’ouvrait en deux !
- Te connaissant tu as dut lui inonder le ventre ?
- Jamais je n’ai autant évacué de liquide, je pense même qu’il y avait de la pisse !
- J’en suis sûr, il arrive que tu me fasses pipi dessus pendant l’orgasme
- C’est vrai ?
- Rassure toi j’adore ça, tu te souviens la fois où nous nous somment volontairement pissé sur le corps à tour de rôle ?
- La fois près du lac où un voyeur nous épiait ?
- Tu m’avais pissé dans le vagin alors que tu commençais à débander et moi sur ton torse aussitôt après, j’ai adoré ! faudra qu’on recommence
- Finalement combien de fois as-tu joui avec le kiné ?
- Trois… quatre fois, je ne sais plus, il me manipulait à sa guise, je ne sais plus où était le sol et le plafond, je me souviens d’avoir ressenti par trois fois de puissantes giclées de foutre
- Est-ce qu’il t’aaaa ?
- M’a quoi ?
- Sodomisée ?
- Ouuuuuuiiiiii …j’ai tenté de l’en empêcher chéri mais il est plus costaud que moi, tu m’en veux ?
- C’est une pratique intime réservée aux couples qui s’aiment Christelle
- Je ne le referais plus, juré
- Parce que tu espères remettre ça avec Bruno ?
- Nora accepterait de te revoir ?
- Nous y voilà … notre couple dévie vers le libertinage ?
- Moi ça ne me plairais bien en tous cas …j’ai vachement apprécié ce dernier massage ! appelle Nora chéri….
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
trop exitant !!! j'en mouille encore !!!