Person of interest 3

- Par l'auteur HDS Maximus -
Récit érotique écrit par Maximus [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Person of interest 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Person of interest 3
Person of interest 3 :

Le train qui filait à travers la campagne m’emmenait retrouver Pierre. Les 3 jours que nous avions passés ensemble le week-end dernier furent si riches et intenses qu’il fut vraiment difficile de nous quitter. Nous étions convenus que je le rejoigne afin de découvrir son environnement et fait la promesse de nous réserver notre sperme afin que nos retrouvailles soient un feu d’artifice. Et plus je me rapprochais de lui, plus mon ventre se réchauffait. 
Pour tuer le temps utilement, je jouais avec mon anus. Je le tonifiais en alternant contraction/poussée des centaines de fois durant le trajet. Il fallait qu’il soit bien souple tout en étant bien tonique pour les 2 jours à venir.
La semaine fut longue, il m’était très difficile de me concentrer au travail, mon esprit vagabondait sans cesse. Je mis néanmoins mon temps libre à profit pour faire beaucoup de sport. La chaleur printanière s’y prêtait et me rendait d’humeur joyeuse.
Un autre entraînement me tenait tout particulièrement à cœur, et j’en vois déjà sourire parmi les lecteurs. Il s’agissait de ma mâchoire, plus précisément de son ouverture. Il me fallait gagner en ouverture afin de profiter un maximum du sexe de mon amant, bien trop gros pour que je puisse le sucer au-delà du gland. Et bien entendu, faire de sorte à pouvoir ouvrir plus grand… longtemps !
J’avais trouvé quelques techniques simples que je répétais plusieurs fois par jour et qui semblait donner de bons résultats sans que cette nouvelle posture ne soit pas douloureuse ; bref, je faisais des exercices matins et soirs pour que cela devienne le plus naturel possible. Inutile de vous dire qu’il me tardait de le vérifier car au-delà de vouloir lui offrir un plaisir accru, je voyais cette limitation presque comme un échec.
Pierre m’attendait sur le quai et vint d’un pas décidé à ma rencontre. Je ne savais comment me comporter avec lui en public, d’autant qu’il était “dans son fief”. Il m’ouvrit grand les bras, me serra contre lui et m’embrassa sur la joue.
- Enfin ! Souffla-t-il. C’était long, 5 jours. Tu as fait bon voyage ?
J’en étais presque décontenancé. Il était on ne peut plus naturel et se fichait éperdument de ce que les gens pensaient. Son appartement était en périphérie de la ville. Il m’avait prévenu que tout n’était pas encore meublé et quelques cartons trônaient encore dans une chambre, ce à quoi je lui répondis que j’étais n’était pas là pour le décor mais bien pour lui.
- En revanche, si tu veux profiter de ce que je sois là pour t’aider, ce sera avec plaisir !
- Maxime, crois-tu que nous en aurons le temps ? Nous avons 5 longs jours à rattraper !
- Tu as raison. Rétorquai-je en glissant ma main sur son entrejambe.
- J’ai terriblement envie de toi !
- Hummmm… Moi aussi, et pas qu’un peu !
L’appartement que je découvris était magnifique. La première chose qui me sauta aux yeux fut le soleil de cette fin d’après-midi illuminant un vaste salon meublé d’un immense canapé en cuir. En face, une baie ouvrant sur une vaste terrasse.
En hôte attentionné, il me proposa de visiter, mais ce n’était vraiment pas ma priorité.
- Plus tard, s'il te plaît. Répondis-je en lui faisant face. Là… j’ai très envie de toi. Je suis si heureux de te retrouver.
En plein milieu du salon, nous nous prîmes dans les bras et nous caressions, respirant notre odeur, nous embrassant dans le cou, redécouvrant la magie de nos premiers émois. Il sortit ma chemise de mon Jean, j’en fis de même. Nos peaux se cherchaient, la chimie recommençait. Nos pantalons s’ouvrirent comme par magie, il empoigna mes fesses, les pétrissant, nos sexes s’entremêlèrent, nos chaussures valsèrent. Enfin nus, enfin réunis, le week-end pouvait commencer.
Il fut plus rapide que moi en s’accroupissant. Ma queue gonflante avalée, il commença un délicieux va-et-vient tout en empoignant mes bourses gonflées à bloc après ces 5 interminables jours de disette. Sa succion combinée à sa main astiquant ma hampe me fit rapidement bander comme un âne. J’appréciai, certes, mais ne voulais pas jouir si tôt, d’autant que déjà ses doigts mutins glissaient entre mes jambes pour exciter mon “mignon”.
- Pierre, s'il te plaît… je ne vais pas pouvoir tenir si tu continues !
- J’aime tellement m’occuper de toi. Ta queue m’obsède bientôt autant que ton joli p’tit cul !
En se relevant, il ajoute :
- Tu ne remarques rien ? Dit-il en reculant un peu.
Il s’était entièrement rasé le pubis et les bourses, ce qui rendait ses volumineux organes encore plus appétissants, surtout avec un bon début d’érection. Il était magnifique ; son corps était plutôt musclé, le ventre plat, naturellement imberbe, il me plaisait toujours autant.
- Wouahhhh… Magnifique !
À peine assis sur le bord du canapé jambes écartées, je pris place entre ses jambes en lui disant comment j’allais le sucer. Je m’occupai de ses belles bourses. Sa peau douce et souple était un régal ainsi lisse. Mes doigts retrouvaient son gros mandrin que je branlai lascivement.
Je l’agaçai un moment mais il me tardait de retrouver la chaleur de son sexe dans ma bouche. Ma langue avide de sa peau remonta avec une lenteur toute calculée l’interminable hampe, en lécha chaque centimètre carré pour terminer par son frein et la couronne. Tout en faisant coulisser ma main d’un lent branle hélicoïdal, je dardai de la pointe de la langue son méat perlant de présperme, embrassai et léchai son gland comme une glace longtemps désirée, en admirant son visage solaire, grimaçant de plaisir.
- Tu… accepterais que je te suce ? Demandai-je, espiègle.
- Oh oui, avale-moi. Me répondit-il. Oooooh !
- Vous m’avez tellement manqué… Elle et toi.
Tenant sa bite cramoisie fermement décalottée, je glissai son nœud entre mes lèvres en faisant d’abord de petit va-et-vient. Puis je plongeai bouche béante, tel un faucon sur sa proie, et parvins à glisser mes lèvres sur sa hampe. J’en avalai directement un bon tiers, cela me fit comme un électrochoc, mon désir de le pomper en fut décuplé. Je l’entendis râler, il m’attrapa la tête, mais je restai dans mon trip, déterminé à compenser mes précédentes pipes.
Le branlant des deux mains, je ne lui laissai aucun répit, le besoin de retrouver le goût de son foutre dépassait toute sensualité. Il se tendit, remua du bassin, appuya même à un moment sur ma tête pour m’empaler davantage, répéta je ne sais combien de fois que jamais il n’avait été sucé si fort, se demandant comment je parvenais à l’avaler de la sorte.
Je prenais un indicible plaisir à m’occuper de lui, à l’entendre suffoquer, gémir et haleter au rythme de ma langue et de ma bouche. Mon ventre gargouillait de désir, comme affamaient après des semaines de disette, mes abdos et mon anus se contractaient compulsivement comme pour réclamer leur part d’ivresse. Probablement jaloux de savoir mes lèvres si délicieusement écartelées, ils se demandaient quand viendra leur tour. J’aurais voulu que mon amant soit pourvu de deux sexes pour qu’il puisse me combler de part et d’autre… J’étais en plein dilemme : le sucer ou m’asseoir sur son mât ?
Je décidai finalement de le rejoindre ; un genou de chaque côté de son bassin, je l’implorai de m’enculer. Cambré pour que mes fesses libèrent ma raie, son fût gluant de salive trouva instantanément mon œillet palpitant d’impatience.
- J’en ai tellement besoin ! Soufflai-je à son oreille. Je vais devenir dingue à tant te désirer !
M’affaissant sur lui en poussant un maximum, son gland fit s’écarter mes chairs pour glisser en moi. Tel un junkie recevant son shoot, je retrouvai ce vertige, assis avec une boule de billard chaude comme un soleil qui irradie tout mon ventre. Me tenant à ses épaules, mes lèvres sur son front, une délicieuse danse du ventre débutait. Mon amant soutenant mes fesses me donnait de petits coups de reins, ma queue lourde frottait sur son bas-ventre et déjà un filet de sueur se frayait une trace entre mes omoplates.
Pierre s’enfonçait lentement en moi en me disant des mots tendres, qu’il aimait me prendre, qu’il ne tiendra pas longtemps après que je l’ai si bien sucer. Mon cœur battait fort et ma croupe s’emballait, guidée par un rectum vorace décidé à recevoir ce que ma bouche n’avait eu. Chaque mouvement nous arrachait un râle, de véritables décharges électriques parcouraient mes reins comme mon ventre, la tension montait rapidement, j’allais exploser, c’était inévitable. Encore quelques va-et vient et mon sort était scellé.
- Tu me fais jouiiiiiiir ! M’entendis-je hurler, le cul scellé sur sa verge gorgé à bloc.
Dans un cri rauque, il s’arc-bouta, ses doigts fermement serrés sur mes hanches, planté en moi ; une poignée de secondes plus tard, je sentis son sperme parcourir son urètre pour me remplir en puissants jets tandis que le mien se déversait entre nos ventres déjà trempés de sueur. Mon bassin rejoignait son pubis pour mieux nous entremêler, exprimant l’un comme l’autre notre jouissance en éjaculant tous les deux une quantité incroyable, assaillie par le plus rapide et le plus puissant orgasme depuis notre rencontre. De sentir son fluide de vie me remplir me grisait davantage, me propulsait dans une autre dimension.
Écroulé sur lui, je le serrai dans mes bras, anéanti par la puissance de ce que nous venions de vivre. Nos chairs collées par la sueur et le foutre, j’enfonçai sa tête dans mes pectoraux en le traitant de grand fou.
- Tu es un amant extraordinaire ! Haletai-je, le souffle entrecoupé par de petits spasmes.
- Et toi un ovni ! Je ne sais plus quoi penser de toi, c’est si fort quand on est l’un dans l’autre !
Collés, mêlés, essoufflés, ivres de plaisir, le temps du câlin prenait le pas.
- J’étais impatient… Être plein de toi… Ton sperme dans mon ventre… Et puis ta grosse queue, mon Dieu, quelle queue !
- J’adore te prendre. Dit-il, encore un peu perché. Et t’entendre crier quand tu jouis… Quel cul !
Il m’embrassa tout près des lèvres avec une infinie tendresse. Nous nous caressâmes de longues minutes, son ardeur toujours bien plantée en moi. Le plaisir continuait sa diffusion et mis à part remettre ça, rien ne pressait, nous profitions encore quelques instants.
Un flux de foutre coula le long de mes jambes lorsque je me levai.
- C’est étrange comme sentiment, mais… Plus rien n’a d’importance quand tu es en moi…
- C’est vrai, on devient légers. Je suppose que tu rêves de prendre une douche ?
Je le suivis, il attrapa mon sac au passage. L’appartement était vraiment spacieux, la chambre était en fait une suite avec une salle d’eau séparée par un couloir dressing. Le lit king size faisait face à une grande baie donnant sur la terrasse. Il était ouvert, la couette repliée aux pieds, un grand drap de bain blanc en guise de protection était déjà en place. Je le taquinai en lui disant qu’il avait tout prévu et vu les proportions de son appartement à l’échelle de son sexe !
Il m’avait réservé une place dans le dressing, j’en fus très touché, puis m’invita à installer mes affaires de toilette dans la salle d’eau. Lorsque je sortis le flacon d’huile d’amande douce, il eut un grand sourire et vint se coller dans mon dos pour me serrer dans ses bras.
- Tu te souviens de notre première fois ?
- Comment oublier un si délicieusement moment ? Répondis-je. Hummmm… Quand tu as glissé tes doigts en moi…
- Honnêtement, je ne pensais pas l’affaire possible.
- Maintenant, tu sais qu'elle peut rentrer tant qu’elle le désire ! Dis-je en flattant la grosse quéquette. Tant que tu me respecteras, je serai à toi.
Nos regards étaient complices, nul besoin d’en dire davantage. Il me serra fort conte lui, visiblement touché par mes aveux.
La douche dura un long moment et nous fit le plus grand bien, mais déjà l’excitation reprenait le dessus, la soirée ne faisait que commencer. À peine séchés, nous bandions fort j’avais tellement envie de lui !
Je lui présentai la fiole d’huile pour qu’il en mette sur ses doigts et me penchai sur le plan de vasque, ses doigts glissèrent dans mon sillon, passant plusieurs fois de bas en haut avant de s’immobiliser sur ma petite porte encore un peu ouverte. Il les enfonça avec précaution, me rappelant instantanément à quel point j’étais en manque de lui. À mon tour, je versai de l’huile dans ma main pour ensuite saisir sa belle queue gonflant à la vitesse de la lumière, décalotter son gland et huiler la machine avant de faire coulisser mes doigts sur la hampe.
- Pierre… Prends-moi !
Il se mit dans mon dos et je le guidai en moi. Il n’eut presque rien à faire tant j’étais en manque de lui. Je poussai si fort en lui tendant ma croupe que sa verge m’embrocha en m’arrachant un puissant cri d’approbation.
- J’ai tellement envie de toi… De sentir ta chaleur en moi… Te sucer… Que tu me remplisses de toi !
- J’aime l’amour avec toi.
Attrapant mon bassin, il entama sa merveilleuse danse du ventre. Il suffit d’une poignée de secondes pour me rendre ivre d’une joie profonde. Je voulais davantage de contact et me redressai pour venir me blottir dans ses bras, la longueur et la rigidité de son organe le permettait. Nous nous étreignions amoureusement, nos sentiments l’emportaient sur la performance. Sa présence en moi était suffisante.
Ses petits mouvements de bassin me faisaient frissonner, me faisant ressentir le trajet complet de son sexe dans mon fourreau hyperréceptif. Il m’embrassait dans le cou, me couvrait de caresses et me susurrait des mots tendres. Je me sentais autant désiré que je le désirais moi-même, nos êtres se réclamaient avec intensité. Pourtant impensable pour moi huit jours plus tôt, notre fusion était parfaite.
Nous restâmes un long moment ainsi emboîtés, jouissant de cette nouvelle connexion, puis nous allâmes dans la chambre. Le soleil projetait ses derniers rayons sur le grand lit. Naturellement, nous entamâmes un langoureux 69, je constatai que me sucer devenait évident pour lui. Puis je m’étalai sur le dos pour l’attirer à moi, mes jambes se refermèrent sur son dos lorsqu’il me couvrit de son corps musclé ; les yeux dans les yeux, souriants, son pubis glissant pour venir à ma rencontre remonta mes bourses beaucoup trop pleines, son énorme poutre trouva seule le chemin du plaisir en me pénétrant d’une seule poussée continue, intense, lente mais puissante. Il ne trouva aucune résistance, nous étions une fois de plus l’un dans l’autre. Le reste…
Nos bassins réciproques opéraient une légère bascule pour bénéficier d’une course très courte mais impressionnante de sensation. Son sexe, suffisamment en moi pour me distendre délicieusement, sollicitait la moindre de mes cellules sensorielles, Chaque ondulation de son ventre faisait rouler mes bourses. Nos têtes dans nos cous, nous râlions de plaisir, accompagnant de tendres baisers certaines émotions.
La chaleur montait, nos sueurs se mêlaient. Mes onomatopées devenaient de longs râles empreints d’un plaisir charnel sans équivoques. Mais doigts se crispaient compulsivement dans son dos, ses fesses, sa nuque… Invitant implicitement mon formidable amant à s’enfoncer toujours davantage, jusqu’à ce que toute sa masse testiculaire s’écrase sur ma croupe tendue.
Mes jambes refermées dans son dos tel un piège, je hurlai véritablement mon premier orgasme, mon sphincter devint un vrai cockring, je mordis l’épaule de Pierre pour en étouffer les cris. Nos bassins se frottaient avec une vive énergie ; dans mon ventre, le feu brûlait mes reins. Pendant plusieurs minutes, je jouis à en perdre haleine sans que ses va-et-vient ne cessent une seconde, il adapta seulement leur intensité à mes besoins, à mes cris de plaisir. Mon sperme chaud se répandit entre nos ventres dans un délicieux floc-floc visqueux.
Puis l’apaisement prit la relève, mes muscles se décrispèrent sensiblement. Pierre en profita pour se retirer momentanément ; j’avais beau adorer nos ébats, une pause s’imposait tant il était m’avait fait décoller.
- Je n’aurais jamais imaginé qu’une croupe masculine puisse être si merveilleuse ! Tu es impressionnant.
- Hummmm… Que dire de toi ? Tu sembles inépuisable ce soir. Tu n’arrives pas à jouir ?
- C’est parce que j’adore faire l’amour avec toi. À chaque fois, je me retiens pour te regarder jouir encore un peu.
- On s’est bien trouvé, tous les deux.
Je me redressai pour saisir sa queue si rigide ce soir, elle flottait majestueusement au-dessus de son nombril maculé de mon sperme. Son gland violacé de nouveau dans ma bouche, je m’étonnais de son endurance, de sa puissance, et paradoxalement de la douceur de cet être exceptionnel. Je suçai quelques instants avec tout mon amour cette queue vertigineuse que venait de me faire voler d’orgasme en orgasme avec tendresse et respect.
À genoux, le cul en l’air, mon ventre semblait ouvert, qu’il pouvait contenir la pièce entière. Dans cette position de repos, c’est comme si mes fesses étaient distantes de plusieurs décimètres l’une de l’autre, et cette sensation s’accompagnait d’un réel bien-être. Le sens de l’expression “se faire ouvrir” devint évident, comme les mains agrippées à mes hanches en levrette illustrent parfaitement l’expression “se faire tirer”. Et Pierre “m’ouvrait” vraiment très bien.
Sa queue massive s’imposa de nouveau en moi. Je désirais le sentir se répandre dans mon ventre. Un coussin sous le ventre, son sexe retrouva sans encombre asile, repoussant mes chairs encore ointes d’huile comme s’il ne m’avait pas pénétré depuis des jours.
- Tu es énorme… Tu n’as pas idée.
- Tu veux arrêter ?
- Si tu arrêtes… Je te mords. Prends-moi encore… Et encore.
Il s’enfonça encore et encore, jusqu’à plaquer ses couilles sur les miennes. Mon rectum devenu hyperlaxe épousait tel un gant l’énorme barre qui l’habitait. Pierre me pénétrait intégralement dans une sensuelle chevauchée qui me mettait dans un état second. À chaque rapport, nos corps s’emboîtaient toujours plus naturellement, nous procurant chaque fois de nouvelles sensations, toutes plus addictives que les précédentes.
Il accélérait graduellement le rythme, mais ne semblait pas pressé de jouir. Il me prit très longtemps, j’eus encore 2 ou 3 orgasmes purement anaux avant que nous nous retrouvions sur le côté.
En cuillère, il trouva encore l’endurance de m’enculer encore plusieurs minutes. Était-ce ses couilles buttant les miennes, son gland hypertrophié colonisant mon intestin, ses mots crus dans mon oreille, sa peau contre la mienne, nous partîmes violemment de concert. Son sperme m’emplit sans discontinuer tandis qu’il m’empalait de puissants coups de reins sur sa verge. Nous hurlâmes notre bonheur compulsif avant de nous immobiliser, épuisés et heureux, terrassés par un plaisir commun sans précédent.
Apaisés, emboîtés, momentanément repus, nous nous endormions un long moment. Lorsque nous nous réveillâmes, il était toujours en moi, ses couilles étalées sur ma cuisse. Je ne pourrais décrire le bonheur que je ressentais à cet instant. J’étais là où je voulais être, avec l’homme idéal, son souffle chaud dans mon cou, sa grosse et longue queue dormant paisiblement en moi. Je savourai l’instant, cette chaleur, cette béatitude.
- Mon Dieu, je me suis endormi !
- Moi aussi. Tu m’as fait tellement jouir ! Répondis-je en caressant sa fesse. Tu es une vraie machine de guerre ce soir.
- Faire l’amour avec toi est un voyage !
- Honnêtement, je n’avais jamais autant joui de fois aussi fort en si peu de temps…
- Même avec une femme ?
- Ni femme ni homme, je le découvre avec toi.
Conservant une tendre étreinte empreinte de douceur, nous nous libérâmes. Son sexe glissa en entraînant avec lui une vague de sperme, laissant surtout une sensation de vide. Et pourtant, nous étions encore l’un contre l’autre, profitant du contact de chaque centimètre carré de nos peaux encore quelques minutes avant de retourner ensemble sous la douche.
L’eau ruisselant sur nos corps nous revigora. Nous nous lavâmes mutuellement, avant qu’il ne rince mon rectum écumant de son foutre. Penché en avant les mains contre le mur, il y perdit ses doigts avec délectation, m’avouant aimer s’occuper de moi. Nous avions encore deux jours, c’est vrai, mais j’étais une vraie bouillotte et je puis vous affirmer que malgré les assauts que je venais de vivre, mon cul, devenu aussi sensible que mon gland, en redemandait déjà !

ooOOoo

Pierre avait prévu de quoi manger. Installés dans la cuisine, on se prépara de quoi reprendre des forces avec un verre de bon vin. Tout était si simple, si fluide, avec lui et toujours dans la bonne humeur.
- Je suis content que tu sois là. La solitude m’a tant pesée… Tu as remis des couleurs dans ma vie, Max.
- Je ne peux qu’imaginer ce que tu as traversé. Cela a dû être terrifiant, j’en suis sincèrement navré.
- C’est là que l’on répond généralement “c’est la vie”.
- C’est conventionnel. Mais si notre complicité t’apporte un peu de paix, un peu de chaleur, tu m’en vois ravi.
- Je ne saurais l’expliquer, mais j’ai besoin de ta présence. Ça me fait un bien fou.
- Je ressens la même chose, tu chamboules tous mes préjugés, toutes mes idées reçues.
- Idem, et c’est sûrement en cela que c’est bon. Viens, allons au salon. Me dit-il en m’attrapant la fesse.
La bouteille et les verres nous suivirent jusqu’au canapé. Nous étions restés nus, cela nous permettait de nous désirer, de nous frôler, de nous caresser et même de nous coller l’un à l’autre parfois. Il s’assit et je m’allongeai directement en posant la tête sur sa cuisse. Il promenait ses doigts dans mes cheveux… nous apprécions cette liberté totale. J’étais stupéfié de constater à quel point je désirais cet homme. Son lourd et volumineux sexe à quelques centimètres de mon visage distillait de subtils effluves auxquels je m’efforçais de résister. Mais cela allait déjà bien au-delà du sexe, et le plus marquant était cette réciprocité.
Comme souvent, il s’intéressait à certains aspects de ma sexualité, comme mon comportement avec les femmes. Je lui expliquais avoir des rapports très normaux et plutôt riches avec ces dernières.
- Et ça ne te manque pas ?
- Que veux-tu dire ?
- Le fait est qu’avec moi tu… ne pénètres pas ? Tu n’es pas frustré ?
- C’est bien ce qui m’attire dans la relation avec un homme. Tu ne m’as pas entendu exprimer mon plaisir ?
- Si, si, et plutôt fort, dirais-je. J’essaye simplement de comprendre.
- Il y a différence au niveau de l’appétit sexuel, c’est vrai. En général, quand on “rencontre une femme”, on flirte, puis on en vient en principe à faire l’amour et l’envie de remettre ça est assez rapide, voire immédiate.
- En effet, comme une boule au ventre, l’envie d’en découvrir davantage…
- On est d’accord. Alors qu’avec un homme, c’est généralement plus direct, du sexe pour du sexe. Étrangement, parfois les rôles se définissent en une poignée de secondes, un des deux se retrouve à genoux et si le feeling arrive, que le gars assure, il propose souvent “de la lui mettre” dans la foulée, le tout bien souvent sans la moindre démonstration de tendresse.
- On est loin de ce que je ressens avec toi !
- Exact. C’est bien ce que je constate depuis 8 jours et cela m’interpelle.
- Tu m’excites, certes, et j’ai envie de toi en permanence. Est-ce seulement… pour le sexe ?
- Grand Dieu, non ! Même s’il faut reconnaître qu’on y consacre beaucoup de temps, c’est également ta présence qui me comble, Max.
Ses caresses s’intensifiaient, flattant mes fesses, mon sexe, remontant mon dos pour se perdre dans mes cheveux… Quelle douceur, cet homme !
- Pierre, je suis catégorique : je n’ai JAMAIS été aussi intime avec un homme. Jamais je n’ai ressenti le besoin de me coller, de sentir, de caresser un homme avant toi. Rien que cette discussion, ma tête posée sur ta cuisse…
- Je m’étonne également de mon comportement, de mes sentiments à ton égard, mais tu me plais beaucoup, je l’assume complètement. Rétorqua-t-il. Mais je t’assure que lorsque j’entre en toi, c’est si bon que je ne peux m’empêcher de m’imaginer que ça puisse te manquer !
- Je comprends exactement ce que tu ressens pour l’avoir pratiqué si souvent !
- Avec des hommes ?
- Juste une fois pour essayer. Pas mon truc avec un mec, alors que c’est si bon avec une femme. Et j’en ai sodomisé quelques-unes !
- Tu as aimé ?
- Oh oui ! Mais des quelques filles que j’ai “enculé”, une s’est véritablement démarquée. Elle avait un cul à damner un saint, un écrin magique doué de sa propre intelligence ; en plus elle adorait ça.
- C’était ton sosie alors. Tu es resté longtemps avec elle ?
- 10 jours, il y a un an… J’étais en vacances.
- Monté comme tu l’es, elle a dû la sentir passer !
- Euhhh… Tu as vu ton calibre pour me dire ça ? Dis-je en saisissant sa grosse quéquette pour la secouer vigoureusement. En fait, elle a juste adoré, c’est elle qui en a pris l’initiative.
- Ah bon ? Comment ça s’est passé ?
- Elle occupait un job d’été dans le camp naturiste de sa tante où j’avais jeté mon dévolu pour quelques jours de vacances. Le jour de mon arrivée, j’allais à sa buvette, et là, mon sang a commencé à changer de priorité circulatoire en apercevant cette petite bombe, une jolie brune aux seins nus sous un « Marcel » un short en Jeans bien enfoncer dans son sublime cul. Une déesse de beauté.
- Bref, elle t’a mis le barreau ?
- Pas complet, mais bien gorgé, Popaul. Je m’installe au comptoir le temps d’un café, mais malgré tous mes efforts de concentration, ma demi-molle pendante lui tirait les yeux tout en discutant.
- Je vois le tableau… Mais même au repos, tu as ce que l’on appelle « un beau paquet ». J’ai fait beaucoup de sport, j’ai vu pas mal de mecs nus dans les vestiaires. Les gros 3 pièces, il y en a peu. Dit Pierre en flattant mon paquet. Et le tien est vraiment beau.
- Merci pour le compliment. Le lendemain matin, elle est tout sourire lorsque je viens prendre mon p’tit dèj. Je l’invite au restaurant pour le soir même, et en sortant, balade sur la plage. On flirte et soudain me dit qu’elle a envie de moi. En moins de temps qu’il en faut pour le dire, elle se met à genoux, ouvre mon short qui finit au sol et attrape mon sexe en faisant « Wouahhhh… Je vais boiter avec une si grosse ! »
- Carrément ! Tu me fais bander avec ton récit.
- Je vais m’occuper de toi. Dis-je en léchant son gros bout. Quel gland !
- Oh, continue ton récit, s’il te plaît. On se calmera après !
- On est seul sur la plage, il fait nuit, presque sans lune, et elle commence à me sucer avec délicatesse en gloussant de plaisir. Il n’en fallait pas plus pour bander comme un cerf en 3 minutes ! Je lui dis que j’ai envie d’elle, on s’éloigne de la plage et nous trouvons un banc. J’y pose mon short et lui retire sa robe d’été, son corps s’offre à mes caresses. Je l’assieds sur le banc et fais connaissance avec son sexe… Elle remonte ses jambes pour mieux s’offrir, ma langue va de son merveilleux cul à son clitoris, mais reviens souvent titiller son anus qui semble s’ouvrir à chaque coup de langue en lui arrachant un râle…
- Quel âge elle avait ?
- 20 ans tout juste. Je me redresse, et elle guide elle-même me queue dans son vagin brûlant en me disant de faire attention car elle n’a jamais connu de si gros kiki. Nous prenons tout notre temps, elle est vraiment étroite ; nous faisons l’amour, bouches liées, son corps se cabre, elle s’accoutume lentement à mon sexe et en cinq minutes, elle se met à jouir en donnant des coups de bassins pour bien m’enfoncer en elle, bien que je ne sois en elle qu’au 2/3.
- Tu as dû être frustré, j’imagine.
- Non… Je reste calme, elle me dit que c’est trop bon, que je l’impressionne par ma délicatesse…
- J’acquiesce, tu es vraiment délicat. Et ?
- Et… Elle se dégage pour me faire asseoir sur le banc pour venir sur moi. Je cherche à guider ma queue en elle lorsqu’elle l’attrape en me disant « Non, pas là. » Et pose son anus sur mon nœud gonflé à bloc. Je suis très étonné mais elle commence déjà à forcer pour que je puisse en 3 ou 4 poussées pénétrer son petit cul mignon. Je rêve, d’habitude je dois ruser, argumenter, rassurer et elle…
- Ambitieuse, elle me rappelle quelqu’un. Tu m’en fais mouiller du gland, regarde.
En effet, j’ai un mât dans la main et un filet de précum coule de son gland. Je lèche la coulée en savourant son goût, baise le nœud et reprends le cours du récit à sa demande.
- Elle crie que c’est trop bon et qu’elle se fiche d’avoir mal. En deux minutes ses fesses se posent sur mes couilles et rien ne l’arrêtera jusqu’à ce que je jouisse en elle. Elle volait d’orgasme en orgasme, incroyable.
- Belle rencontre, en effet. Vous avez dû vous en payer une tranche pendant ton séjour.
- Plusieurs fois par jour, en effet. Elle adorait me sucer avant que je l’encule longtemps et doucement. C’était son kif. Mais pour en revenir à la frustration, si j’ai pris un pied d’enfer entre les cuisses ou les fesses de cette véritable bombe, je peux t’assurer qu’avec toi, c’est une tout autre dimension !
- À ce point ?
- Oui, Pierre… Je n’ai jamais aussi intensément joui. Sentir ta queue me dilater en glissant en moi…
- J’ai souvent l’impression d’être aspiré, c’est irrésistible.
- Hummm… Tu me fais décoller plusieurs fois à chaque rapport, je n’ai jamais connu ça !
- J’en suis flatté, merci. Je n’ai pas ton expérience, c’est vrai, mais je craque rien qu’en posant mon gland sur tes lèvres ou à la porte de ton magnifique cul.
- Avec une femme, je suis dans le contrôle, je vais d’abord chercher son plaisir ! Tandis qu’avec toi, c’est un lâcher prise total. Tes mains, ton corps, ta voix et ton sexe pénètrent tout mon être et me font planer d’orgasme en orgasme dans un climat de confiance absolue. C’est surtout cérébral et souvent physique, mais ce sont de multiples jouissances à chaque fois.
Tout en discutant, sa main tâtait ma fesse, le majeur directement au contact de la marge anale, prêt pour le grand plongeon. J’avançai la tête et déposai quelques tendres baisers sur sa belle verge. Rien que l’idée de ce gros gland franchissant mon sphincter me fit frissonner.
- Tu as froid ? S’inquiéta-t-il.
- Bien au contraire… je frissonnais à l’idée de ta grosse queue me pénétrant.
Deux doigts glissèrent directement dans mon fondement affamé. Il ne m’en fallait pas plus pour que j’embouche son bout et fasse glisser ma langue entre le prépuce et le gland. Il bandait dur depuis un bon moment, je le suçais avec une infinie tendresse, ses doigts perdus entre mes fesses, buvant ses douces paroles devenues torrides.
- Tu as vraiment un corps sublime. Dit-il encore en attrapant mon paquet.
Nous allions refaire l’amour, sûrement même baiser un peu à certains moments, cela était acquis. Je baisai une dernière fois son nœud luisant et me redressai afin de m’asseoir sur mes talons, souriant à cet homme exquis.
- Tu es vraiment beau, tu sais ! Dis-je. Tu es… Imposant, rassurant, tendre et au moins délicieux. J’aime te regarder, tu m’excites tellement.
Attrapant nos verres, nous bûmes quelques gorgées. L’alcool accentuait notre émoi, un désir plus intense grandissait, de vrais sentiments s’installaient.
Sa main flattait ma queue qui grossissait à vue d’œil. Lorsque nos verres furent vidés, Pierre me prodigua une lente fellation. Toute sa tendresse, toute sa délicatesse se ressentait, au point de croire qu’il était rompu à cette pratique de longue date.
Sa technique s’avérait redoutable et je le prévins de ma jouissance imminente. Mais le plus improbable fût qu’il me laissa jouir dans sa bouche, avalant toute ma semence sans se poser de question, continuant même à me sucer encore un long moment avant de rendre les armes.
- Je ne m’attendais pas à une si agréable fin ! Dis-je enfin.
- Tu as l’air de prendre tant de plaisir à me sucer, je voulais savoir ce que tu pouvais bien ressentir. Me dit-il avec humilité.
Il vint se blottir contre moi, nos deux têtes sur l’accoudoir du canapé. Pour la première fois, les rôles s’inversaient, nous étions vraiment dans l’échange, base de toute relation équilibrée : donner et recevoir.
- C’est grisant comme expérience. Ajouta-t-il. Toutes ces sensations qui passent par les lèvres ! Par la langue ! Je n’imaginais pas que ce soit si riche, si intense !
- Mon sperme ne t’a pas écœuré ?
- Ça, c’est plus particulier. La texture est… Mais ça vient de toi. Je m’y habituerai !
Je lui confiai que “d’étrange”, cela pouvait vite devenir “incontournable” et le félicitai pour “sa première”. Je n’y étais pas habitué, je trouvais enfin une personne vibrant à la même fréquence.
Le lit nous retrouva à une heure avancée de la nuit. Nous fîmes encore l’amour cette nuit-là. Rien de rocambolesque, de simples petits va-et-vient, allongés en cuillère. Il me prit ainsi jusqu’à ce qu’il jouisse en me serrant dans ses bras, m’irradiant de mille spasmes. Puis le sommeil nous emporta ainsi, encore unis.

ooOOoo


J’ouvris les yeux très tôt le lendemain. Le jour se levait à peine, et la fraîcheur de matin emplissait la chambre par la baie vitrée grande ouverte. Un confortable sentiment de plénitude accompagnait mon éveil, et la vue de Pierre endormi à côté de moi me combla de gratitude. Non, ce n’était pas un rêve, “l’homme aux milles orgasmes” était bien là, un drap recouvrant son corps jusqu’au nombril. Le fin tissus épousait avantageusement les formes de son magnifique organe, je dû me faire violence pour ne pas succomber à la tentation.
Sans un bruit, je m’éclipsai dans une autre salle de bains. Nous en étions convenus, il savait très bien qu’un bon lavement quotidien nous permettait de “pouvoir jouer” à notre guise.
Il me retrouva sur la terrasse, prenant le café que je venais de préparer et jouissant des premiers rayons de soleil dans la fraîcheur du matin. Nu comme moi, il vint se blottir contre moi dans le grand canapé d’été. La journée débutait très bien, nul besoin de parler, le simple contact de nos peaux nous suffisait… jusqu’à ce que je glisse entre ses jambes. J’éprouvai le besoin irrépressible de lui prodiguer une douce et longue fellation. Me délectant de son sperme, je retournai me mettre dans ses bras.
Il m’emmena prendre un petit déjeuner en ville. C’était jour de marché, il me fit rapidement visiter le centre-ville et nous fîmes quelques emplettes pour les repas. L’ambiance très chaleureuse des bourgades du sud, qui me plaisait tant depuis l’enfance, me donnait l’illusion d’être en vacances ; je me sentais léger et véritablement heureux qu’il me fasse partager ces bons moments si simples.
Sur le chemin du retour, je lui confiai qu’il était temps de rentrer tellement j’avais envie de lui. Les courses posées sur la table de la cuisine, nous nous dévêtîmes avec la fougue des jeunes amants. En 69 sur le grand lit, sa queue glissait entre mes lèvres tandis que sa langue salivait mon œillet avide de sensations fortes. La passion nous dévorait, je le pompai avidement, Pierre me doigtait en me suçant, et pourtant j’en voulais davantage.
- Encule-moi !
À genoux, les mains saisissant la tête de lit, mon amant vint caler son gros engin sur mon anus baveux de salive, m’attrapa par les hanches en me demandant comment je voulais qu’il me la mette.
- Jusqu’à la garde !
- Hummmm… Toi, tu as envie d’action !
- Oh oui… prends-moi vite !
Sa queue glissa en moi… Il s’arrêta quelques secondes à mi-longueur pour mieux reprendre sa charge jusqu’à ce que son bassin bute contre mes fesses, m’arrachant un râle bestial. Il fit une brève halte, probablement aussi étonné que moi de cette pénétration « animale », et reprit ses va-et-vient de façon plutôt mécanique. Mes couilles ballottaient entre mes cuisses, heurtant les siennes à chaque poussée alors qu’il propulsait son énorme gland dans l’estomac. 24 centimètres me perforaient et pourtant, j’en redemandais. Sa queue m’enivrait bien plus qu’un alcool fort, rien que l’idée de recevoir son sperme en moi me faisait perdre la raison.
- Oh Pierre, tu aimes m’enculer ? Soufflai-je, haletant.
- Tu es irrésistible. Je vais t’enculer jusqu’à ce que tu m’ordonnes d’arrêter.
- Ta grosse queue me rend fou, j’aime quand tu es tout au fond.
- Comme ça ? Fit-il en me tirant à lui par les hanches et « tapant » fort contre mon cul.
- Ooooooh ! Ouiii !
Il se mit alors à me donner une longue série de coups rapides presque sans décoller son bassin de ma croupe, se traduisant comme une puissante onde vibratoire, une résonance parcourant tout mon organisme. Son assaut était parsemé de mots crus ; je lui avais dit apprécier parfois certaines effusions verbales stimulantes, dans la limite du raisonnable. Et là, il me « baisait », j’appréciais qu’il me stimule de la sorte.
- Je ne peux pas aller plus loin, Maxime. Ma queue disparaît entre tes fesses tellement tu m’aspires.
- Si… on peut… encore un peu… plus profond… affirmai-je d’un ton péremptoire.
Je me redressai pour me coller à lui, la sueur nous aimantait, la passion nous embrasait, j’aimais nos « crises de cul », elles semblaient nous rapprocher davantage.
- Tu me sautes si bien, tu sais !
- Tu l’aimes ma queue ?
- Ton énorme queue défie mon rectum…
- Quand tu jouis, je fonds.
Je replongeai tête basse et cul en bombe en lui expliquant de m’enfourcher comme une moto pour « m’enculer bien droit ». S’exécutant sans discuter, sa queue ainsi plantée me parut disproportionnée. Agrippé à mes hanches, il se mit à m’asséner de grandes tirades en vociférant que nous étions dingues, qu’il ne s’était jamais senti aussi puissant.
J’ai toujours eu horreur des mecs bourrins qui s’affichent comme « casseurs de culs », prétextant qu’un trou est un trou et qu’un mec qui « se laisse enculer » est une salope, un vide couilles.
Là, tout différait. J’avais entièrement confiance en mon amant et pour la première fois de ma vie sexuelle, j’offrais à Pierre « mon cul sur un plateau », j’étais près pour cela et même extrêmement fier de lui appartenir. Plus il me violentait, plus je criai.
Je n’ai jamais essayé le fist et n’en vois pas l’intérêt. Mais sa bite épaisse comme mon avant-bras me pilonnant m’expédiait directement dans les cieux. Je hurlais mon plaisir, des sueurs froides succédaient aux chaudes, mon esprit rationnel disjonctait. Il me baisa ainsi jusqu’à ce que je déclare forfait, terrassé par tant de sensations et d’orgasmes.
La chaleur de cette après-midi de juin s’additionnait à celle de nos corps tétanisés. Sa sueur coulait sur ma peau pour ruisseler jusque dans mon cou, mon cul meurtri se crispait convulsivement autour de sa verge plantée en moi.
Je déculai et ne résistai pas à l’envie de le pomper un moment, ne serait-ce que pour m’accorder un repos. Je le suçai avidement, avec de gros bruits de bouche, sans oublier de lui gober les couilles pour maintenir son excitation au maximum. Mon anus émettait des ondes qui se propageaient dans tout mon bas-ventre, comme pour me dire qu’il en voulait encore et que 2 jours, c’est vite passé !
- C’est chaud nous deux. Non ?
- Incroyablement. Dis-je en suçant. Elle est si bonne !
- J’ai encore envie de ton p’tit cul !
- Alors viens t’enfoncer en moi.
Sur le dos au centre du lit, je retrouvai mon adolescence lorsque sur le dos je plaçais mes jambes au-dessus de moi pour m’auto-sucer le gland. Le cul en l’air, l’invitation fut claire pour Pierre qui sans poser de question vint s’accroupir au-dessus de moi. J’avais suffisamment le Diable au corps pour qu’il me baise au plus profond.
J’avais vu cette position plus jeune dans un film X, avec John Homes il me semble ; je l’avais déjà pratiqué avec une copine mais ne l’avais encore jamais expérimenté moi-même.
Il plia ses jambes, plaça son délicieux bout sur ma porte arrière grande ouverte de ses précédents assauts et n’eut qu’à se laisser descendre pour m’enculer jusqu’aux couilles.
- Mon Dieu que t’es gros !
- Hummm… C’est pas ça que tu aimes ?
- Et long ! J’ai l’impression de te sucer en même temps !
- Tu le voulais que je t’encule, hein ? Tu voulais la sentir ?
- Ouiiiii ! C’est…
- Comme ça ? Fit-il en écrasant ses bourses de tout son poids pour qu’aucun millimètre ne m’échappe.
- Ohhhh ! Ouiii ! Je vais jouir ! Oh Pierre…
Ma queue gorgée de tout ce plaisir biffait mon visage, prête à lâcher tout le foutre comprimé à grands coups de bite depuis 30 minutes. J’ouvris la bouche pour gober mon nœud. Aider par son poids, j’étais étonnamment encore assez souple pour me sucer, même si je ne bandais pas solidement, elle était bien développée. J’avais devant les yeux les fesses de mon homme, ses couilles collées aux miennes et ressentais un véritable séisme dans le ventre.
- Je vais jouir aussi ! Attends un peu ! Dit-il. J’adore te sauter ! Ooooooh !
- Ouii… Plein… jouiiiis ! Parvins-je à bégayer entre deux succions.
Mais l’éruption grondait depuis suffisamment de temps pour qu’en quelques poignées de secondes, nous jouissions pratiquement ensemble. Écrasant ses bourses contre moi à maintes reprises, sa queue gonflait pour propulser de chaudes giclées. Mon sphincter hypertonique se contractait comme pour l’essorer, provoquant ma propre éjaculation. Mon sperme dégoulinait dans ma bouche ouverte pour crier mon plaisir ; je recevais une bonne partie de ma semence, le reste s’écoulait sur mes joues et dans mon cou.
Tout était démesuré ; de ma vie je n’étais allé aussi loin dans le plaisir, les deux sexes confondus. Je n’aurais jamais pensé vivre une expérience d’une telle intensité et en savourais chaque seconde.
Lorsqu’il retira son membre de mon intimité, j’eus le sentiment qu’une partie de moi m’abandonnait. Grisé par tant de plaisir, j’attirai mon amant contre moi, mes doigts se refermèrent autour de son énorme boa visqueux, le caressaient pour prolonger notre éteinte. Immobiles, allongés sur le dos, nous mîmes plusieurs minutes à recouvrir nos esprits ainsi qu’un rythme cardiaque raisonnable. Pierre rompit le silence le premier :
- Impensable ! Merci Maxime.
- Merci à toi !
- Non, merci de m’avoir permis de connaître tant de bonheur.
- Oh… Pierre ! Dis-je en me tournant vers lui. J’ai le même sentiment de gratitude envers toi, tu sais ! Je le découvre avec toi, grâce à toi.
- Je suis vraiment bien avec toi. Sérieusement.
Son regard planté dans le mien, je ressentais toute la sincérité de ses sentiments et lui confiai les miens à son égard. Son sourire m’alla droit au cœur, tel une flèche touchant sa cible ; un lien solide venait de s’ancrer entre nous, bien au-delà du sexe.
- Tu es beau, même couvert de sperme ! Fit-il.
- On baise tellement que je commence à transpirer ton sperme. Tu as vu ?
- Avoue que ça te plaît. Hein ?
- Avec toi, chaque fois un peu plus.
- C’est de plus en plus fort, nous deux.
Il finit par m’entraîner sous la douche. L’eau tiède coulait sur nous, entraînant nos suées fébriles, nos traces de semence et notre fatigue passagère. De plus en plus affirmé, il me serra naturellement contre lui. Il nettoya amoureusement mon visage maculé, son regard était empli de tendresse, d’affection, voire d’amour… C’en était troublant. Puis, dans la magie de l’instant, il posa ses lèvres sur les miennes. Moi qui jusque-là avais la nausée rien qu’à l’idée d’embrasser un homme, accepta cela comme si je l’attendais. Je répondis spontanément à cet élan, nos bouches se lièrent en un fougueux baiser pendant lequel nos langues s’emmêlaient dans une exquise joute.
Tant d’hormones circulaient dans nos veines que ce rapprochement semblait incontournable, une évidence, une suite logique. Sa main glissa dans ma nuque pour renforcer l’intensité de notre acte, son autre main saisit ma croupe, ses doigts aux bords de mon anus encore béant, puis lentement plongèrent en moi. Nos sexes se gorgeaient, le désir sans cesse présent, cette évidente attirance reprenait le contrôle de nos corps.
Sans cesser de nous embrasser, j’attrapai sa verge à pleine main pour entamer un lent branle hélicoïdal. L’eau, nos gémissements, ses doigts en moi, sa rigidité monumentale… nos sens étaient au paroxysme de la stimulation.
Sans un mot je pivotai afin de guider Pierre en moi. L’énorme nœud s’écrasa contre mon anus dégoulinant de son précédent orgasme quelques dizaines de minutes plus tôt. Ses mains se posèrent sur mon ventre quand il se colla contre mon dos pour m’embrasser dans le cou, puis d’un lent coup de reins, mon merveilleux amant glissa en moi avec toute la tendresse que je lui connaissais.
Bien qu’il me possédât une fois de plus, rien ne fut habituel. Ce gland progressant dans mon rectum ralluma instantanément mon orgasme, me foudroyant sur pied, me faisant perdre toute raison. Alors que sa verge n’était que de moitié en moi, je lâchai un râle d’une rare intensité. Sans chercher à m’investir plus profondément, comprenant que je vivais un événement intense, il me susurra des mots doux, me répétant qu’il aimait faire l’amour avec moi, qu’il bandait rien que pour m’entendre jouir et qu’il n’arrêterait pas de me prendre tant que j’en éprouverai le besoin.
L’instant était complètement surréaliste, encore sous l’influence de l’endorphine, je n’avais jamais rien connu de tel. Je poussai soudain fort pour lui ouvrir tout mon anus et reculai fermement pour le recevoir entièrement. J’avais la sensation que mon cul était un tunnel, un trou de verre me propulsant dans une autre dimension.
Ma sexualité venait de changer à son contact. Avant lui j’aimais « me sentir bien rempli » par de belles queues, mais plus par défi que par réel plaisir. J’aimais me laisser aller et vivre les assauts d’un mâle. Être copieusement dilaté et transgresser l’interdit n’étaient « pas déplaisant », voire « satisfaisant », certains mâles savaient bien s’y prendre et j’étais jusque-là bien passif.
En revanche, de par sa douceur, son respect et son gabarit exceptionnel, Pierre m’a permis de découvrir tout un panel de couleurs inconnues auparavant. Mon cerveau avait fait un énorme travail d’adaptation et mon rectum, initialement « espace de stockage avant déjection » était maintenant complètement bivalent, doué d’une extrême sensibilité. Magie de la plasticité cérébrale, mes capteurs de présence avaient été reprogrammés en récepteurs ultra-sensoriels.
J’ai toujours été subjugué par la faculté de certaines femmes à jouir de multiples fois au cours d’un même rapport, ou d’avoir un seul orgasme durant plusieurs minutes. À faire l’amour avec elles, j’éprouvais un plaisir intense suivi à terme d’un orgasme avec éjaculation et… Retombée post-coïtum bien souvent, alors que j’aurais tant voulu jouir beaucoup plus longtemps.
Pierre a révélé cette fonction cachée en moi en me permettant d’avoir plusieurs orgasmes de fortes intensités sans qu’il y ait d’éjaculation systématique. Avec lui, je jouissais de plus en plus fort, de plus en plus souvent et de plus en plus… longtemps !
Chaque infime mouvement de son sexe me provoquait une cascade d’émotions allant du spasme au cri, du frisson à la bouffée de chaleur. Je cherchai sa bouche en attrapant ses bourses, nos langues se lièrent, l’imposant volume de sa verge en moi était une pure évidence et me maintenait dans un orgasme infini.
Je fus pendant une dizaine de minutes en transe, ahanant des sons inintelligibles, par instants hystérique. Porté par ses ondulations de bassin, je surfais sur une interminable vague d’un plaisir dispensé par mon skipper au gréement digne d’un voilier transatlantique.
Au bord de l’épuisement, je me dégageai et me laissai glisser à ses pieds. Afin de savourer pleinement mon plaisir, il me fallait sa queue tuméfiée. Je restais un moment accroupi face à « la bête », mais mains encore tremblantes entourant ce cylindre brûlant. Je me demandai comment un sexe si gros pouvait-il donner autant d’extraordinaires sensations Ce n’était certainement pas une simple pipe. Non, je le suçai avec tout mon amour en massant tendrement ses bourses bien pendantes. Je le suçai comme s’il faisait partie de moi. Il ne s’agissait plus de sexe mais d’amour, de reconnaissance, une marque de tendresse intime. L’eau glissait sur lui avant de cascader sur ma tête et s’écouler entre mes fesses en une délicieuse caresse réparatrice. Je fondais pour cet homme, vraiment.
Quelques minutes suffirent pour qu’il répande entre mes lèvres sa semence, scellant ainsi le pacte que nous venions de conclure en cette belle après-midi de juin. Enlacés, nous restâmes encore longtemps à nous embrasser sous la douche avant de recouvrir toutes nos facultés mentales.

ooOOoo


Nous venions certes de mettre des couleurs dans nos vies, néanmoins nos estomacs se rappelèrent à nous. On se prépara de quoi grignoté sur la terrasse ombragée, avant de refaire le monde, alangui sur la banquette d’été. Nous étions convenus de nous livrer à des plaisirs simples : boire, manger et surtout faire l’amour.
Son appartement dépourvu de vis-à-vis nous permettait d’y vivre nus du soir au matin. La nudité était déjà pour moi un mode de vie depuis ma plus tendre enfance. Mais de le vivre avec la personne qui vous fait vibrer est particulièrement excitant, d’autant que Pierre se révélait vraiment très tendre et câlin, ce qui me permit, à ma grande surprise, de constater que je l’étais devenu tout autant que lui… vis-à-vis d’un homme.
Nous nous plaisions vraiment. Son regard sur moi suffisait pour provoquer cette douce sensation de chaleur dans le bas-ventre et je me sentais prêt à le recevoir à n’importe quel moment ; Pierre ne restait évidemment pas de marbre, je voyais bien sa queue, déjà très épaisse et bien longue au repos commencer à se dilater par moments, provoquant immédiatement de subtiles contractions de mon rectum. Je ne saurais dire le nombre de fois où nous nous caressions, chaque occasion était propice aux contacts, nous étions comme aimantés.
Nous venions de boire un café et je retrouvai ma place sur la banquette, la tête installée sur sa cuisse. J’aimais me retrouver ainsi, face à lui, et tout en discutant, je ne cessais de flatter son gros paquet, ou caressais amoureusement sa magnifique verge. Sa main passée entre mes jambes avait libre accès mes fesses dont il se plaisait à parcourir ma raie de ses doigts délicats. Un délicieux incendie couvait entre nous et le moindre souffle suffisait à en raviver les braises ardentes.
- Tu sais, depuis la première fois que tu m’as pris, enfin… Depuis notre première nuit, mon cul me renvoie de drôles de sensations.
- Positive ou négative ? S’inquiéta-t-il.
- Très positive ! J’ai tout simplement l’impression permanente d’avoir les fesses séparées, comme si j’avais deux demi-culs plutôt que mon cul habituel.
- Étrange. Et tu ne sens rien entre les fesses ?
- Si ! Une sorte de vide entre les deux.
- Ça te fait mal ? C’est une gêne ? S’inquiéta-t-il. J’y suis allé un peu trop fort, peut-être.
- Non ! Ni l’un ni l’autre, mais même en marchant, j’ai l’impression d’avoir une énorme cavité entre les fesses, et qui persiste plusieurs jours après.
- C’est la première fois que tu ressens cela ?
- Oui, M’sieur. Et j’adore ! J’me dis que c’est ta signature ! Dis-je en donnant un gros coup de langue sur son gland. C’est un espace étrangement confortable.
- On devrait peut-être calmer un peu le jeu, non ?
- Oh non ! Mais c’est malheureusement ce qui va nous arriver à partir de demain soir.
- Hélas… Tu ne peux pas dire que tu es malade ? J’aime t’avoir à mes côtés.
Je ne pouvais rester, et certainement pas sous ce prétexte. Nous étions déjà convenus qu’il vient chez moi mercredi soir pour les deux journées dans sa deuxième entreprise avant de redescendre avec lui pour le week-end. Je lui expliquai qu’en prenant une semaine de congé à partir du lundi qui suivait, il nous serait envisageable d’avoir une dizaine de jours à partager ; il fut ravi de cette proposition.
- Mais tu crois que ton arrière-train va autant apprécier que nous ?
- Je n’en ai aucune idée. Fis-je en souriant. Demande-lui !
- Mais certainement ! Et avec plaisir !
En moins de temps qu’il en faut pour l’écrire, Pierre me plaça à plat ventre sur un gros coussin, offert à sa convoitise dans la plus complète impudeur. Ses mains écartèrent largement mes globes et déjà son regard me pénétrait.
- C’est qu’il a besoin de toute notre attention, le petit. Rajouta-t-il avec ironie. Il nous apporte tant de plaisir !
J’étais vraiment très à l’aise pour m’offrir à lui en plein jour dans des postures qui parfois s’avèrent dérangeantes pour l’amour-propre. Mieux encore, m’exhiber devant lui m’excitait au plus haut point. Je voyais le tableau, les jambes écartées, le cul en bombe affichant mon anus bien rougi par nos 24 dernières heures « bien remplies », mes grosses bourses bien pendantes recouvrant une partie de ma demi-molle étalée sur le coussin.
- J’adore ! Lâchat-il. Tu m’aurais dit 10 jours plus tôt que j’allais faire cela à un homme et que ça me ferait bander !
Je poussai et mon « petit » s’ouvrit comme une fleur, prêt à vivre ses caresses. D’abord son souffle me fit frémir, puis sa langue vint jouer avec la rosace ; timidement pour commencer, mais lorsqu’il apposa ses lèvres sur le pourtour, le circuit de la récompense s’activa. S’il avait déjà joué de la langue avec mon intimité, là, il se livrait à une dégustation. La chaleur et la douceur de cette langue se frayant une voie, dardant ma rondelle à géométrie variable avec une redoutable efficacité avant de l’aspirer fortement.
J’écartais moi-même mon séant à deux mains pour me rendre encore plus… Accessible. Telle une petite queue, sa langue baveuse à souhait mon conduit hypersensible en agrippant ma queue d’une main ferme pour effectuer un lent branle. J’étais en extase, il ne s’arrêtait que pour me dire qu’il adorait ce que nous partagions.
Comme il fallait s’y attendre, la passion reprit de plus belle et après qu’il m’eût bien salivé, il me fit venir contre lui en cuillère ; alors qu’il soulevait ma jambe, je guidai son membre turgide pour qu’il me possède. En cette fin d’après-midi printanière, nous faisions l’amour pour la première fois à l’extérieur, alanguis sous les bons auspices d’un soleil bienveillant.
Par de petites ondulations, je sentais distinctement l’ourlet de la couronne de son gland dilater les parois de mon rectum. Son autre bras me plaquait contre son torse, nos peaux se mêlaient, je tournai la tête et nos bouches s’unirent dans un baiser torride.
C’est dans cette position que j’ai été dépucelé et j’éprouve toujours beaucoup de plaisir lorsqu’un homme vient « me cueillir » ainsi allongé sur le côté droit, la jambe gauche fermement surélevée. Là, Pierre avait trouvé « tous les boutons » de mon plaisir et c’est en virtuose qu’il comblait le vide que j’évoquais précédemment. Sa verge disproportionnée en moi, je me sentis précisément à cet instant enfin complet.
- J’aime faire l’amour avec toi, Pierre. Je n’ai pas de mots pour exprimer tout ce que je ressens avec toi, tant c’est riche !
- J’adore être avec toi… En toi… Contre toi… Tu es…
Pierre ne m’habitait peut-être que d’une quinzaine de centimètres, mais chacun de ses mouvements provoquait une multitude de microséismes sensoriels lorsque l’énorme sexe échouait dans le cul-de-sac de mon rectum.
Nos bouches ne se déliaient que pour nous murmurer des mots tendres, le temps semblait suspendu, nous communions au sens profond du terme. Par ses subtiles variations de rythme et d’intensité, me faisait surfer sur un orgasme continu. Je lui demandais régulièrement qu’il me rejoigne et que nous jouissions ensemble, qu’il m’inonde de son précieux nectar, mais il se plaisait tellement à m’entendre jouir qu’il thésaurisait son sperme afin de m’en offrir davantage le moment voulu.
La conjugaison de nos corps fut à un moment si intense nous sentîmes soudain mon second sphincter s’ouvrir spontanément, et dans un ultime frisson, les derniers centimètres de sa verge profitèrent pleinement de l’hospitalité de mon fondement.
Un rail de cocaïne n’eut pas été plus grisant que son gland glissant si haut en moi. Je l’appelais vraiment de tout mon être et ce dernier répondait dans une emboîture complète pour venir coller son pubis à mon fessier.
Avec énormément de tendresse, d’amour et de respect, je ressentais la subtilité de ce plaisir beaucoup plus profond, beaucoup plus puissant me submerger. Je saisis ses bourses, les tirai à moi comme pour qu’elles me pénètrent également, les malaxai avec passion tout en feulant des injonctions imperceptibles. Une poignée de minutes de folie s’empara de nos corps pourtant presque statiques. Dans le bas de mon dos, les contractions répétées des abdominaux de Pierre se fichant en moi de toute sa longueur me galvanisèrent. Le cœur battant à en exploser, à bout de souffle, nous hurlâmes de plaisir alors que son membre vibrait ; son gland, captif de mon côlon, se dilata d’innombrables fois pour déverser toute sa puissance de feu.
Lorsque nous reprîmes conscience, Pierre occupait toujours la place et j’avais vraiment l’impression qu’il faisait partie intégrante de mon anatomie. Nous étions certainement « partis » un bon moment. Notre sueur avait séché et les ombres s’allongeaient déjà.
- Comment va-t-on faire ? Demandais-je. J’ai de plus en plus le sentiment que tu fais partie de moi.
- Je me pose un peu les mêmes questions, Max. Être en toi me semble si naturel.
- Je suis si bien avec toi ! Dis-je en contractant mon rectum autour de son membre.
Nous trouvâmes enfin le courage de nous désunir… Mais je ne pus m’empêcher d’emboucher son sexe gluant de sperme. Mon Dieu que sa queue était bonne, encore bien longue et surtout bien moins dilatée. Le cul ouvert aux vents, je lui fis un long câlin avant de nous diriger sous la douche.

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- Je vais te présenter Laurent, un de mes meilleurs amis. Je le connais depuis la cour d’école ! Me confia-t-il alors que nous marchions dans les vieux quartiers de la ville.
- Il travaille dans le restaurant où nous allons ?
- C’est son établissement. Tu verras, il est génial.
Nous nous étions vêtus, Pierre voulait partager avec moi un peu de son univers, de sa ville. Le soleil couchant rendait les couleurs chatoyantes, et marcher nous faisait beaucoup de bien. Il faut bien dire qu’en 24 heures, nous avions passé notre temps couchés et mes jambes s’étaient plus souvent retrouvées écartées que réunis, le plus souvent en l’air, d’ailleurs. Cette balade permettait à ma sphère anale de se détendre quelque peu.
Nous arrivâmes dans un endroit sublime. Le restaurant était une bastide provençale ceinte d’un mur en pierre. Au fond, juste derrière quelques oliviers, se trouvait la terrasse du restaurant. Un serveur vint nous accueillir pour nous placer à notre table. Le temps de découvrir l’endroit, Laurent vint nous saluer. L’homme au physique très agréable se trouvait être vraiment très charmant. Pierre me présenta tout simplement comme un ami venu passé le week-end et cela me convenait parfaitement.
La soirée était douce, les bougies s’allumèrent, le repas était merveilleux, le vin exquis. Pierre était radieux, je le sentais en paix. Nous échangions des regards complices et il me confia plusieurs fois avoir envie de moi, je ne pouvais qu’acquiescer, j’étais prêt à disparaître sous la table pour m’occuper de lui, tant il me plaisait.
Laurent nous rendit visite alors que nous prenions congé, puis nous nous perdîmes dans les petites rues pour le retour. J’avais passé une soirée féerique, je l’en remerciai. Au détour d’une rue, alors que nous discutions en chemin, le contact de sa main ferme sur ma fesse me fit frissonner ; toute ma libido jusque-là contenue se raviva en un éclair, au point de me mettre à genoux au milieu de la rue s’il me le demandait.
- C’est tellement tentant ! Glissa-t-il.
- Tu aurais tort de t’en priver. Je te l’ai clairement dit : tant que tu le voudras.
Le goût de son sperme, la puissance de son membre, la jouissance qu’il me procurait… Tant de stimuli mémoriels obéraient ma raison et mon esprit se dit que le moindre recoin ferait l’affaire. Un petit lavoir sombre s’offrit à nous comme une évidence. Je l’entraînai en bas des 3 marches, et tapi à l’abri de l’éclairage extérieur, je l’attirai à moi et ses lèvres trouvèrent les miennes dans un baiser sensuel, nos corps plaqués. Le bruit de l’eau rendait l’instant romantique, mais j’étais surtout réceptif à la proéminence de son entrejambe. En un rien de temps, son pantalon ouvert libéra l’objet de ma convoitise.
- Laisse-toi aller ! Chuchotai-je juste avant de glisser entre ses jambes.
Le nez planté dans ses bourses, je humai quelques secondes son odeur de mâle avant d’aspirer tour à tour ses gros œufs. Je les suçai, les aspirai, pendant que sa queue gonflante frottait lourdement mon visage et qu’il maintenait fermement ma tête. Ma langue virevoltait pour laper ce gros sac de l’entrejambe jusqu’à la naissance de la verge.
Cramponné à ses fesses pour être stable, mes lèvres coulissèrent plusieurs fois sous la lourde colonne qui, malgré une certaine accoutumance au calibre de mon nouvel amant, me paraissait toujours aussi gros. La pointe de ma langue aguicheuse parcourue le frein, je l’entendis souffler lorsqu’un soubresaut projeta le membre dans les airs avant qu’il ne me biffle lourdement, accompagné d’un bruit mat.
Ses corps caverneux étaient maintenant gorgés à bloc et son nœud décalotté avait refoulé son prépuce. Le maintenant bien décalotté par la base, je parcourrai plusieurs fois ce grand sillon parcouru de centaines de veines et d’artérioles, insistant copieusement sur la couronne du gland. Tel un étalon sentant les chaleurs d’une pouliche, sa queue tressautait, vibrait, mûre à souhait pour transpercer tout ce qui se présente à elle.
Dans la pénombre, je reculai la tête pour admirer quelques secondes son membre luisant de ma salive, toujours aussi fasciné par ses dimensions hors normes. Je pointai ma langue dans son méat, ouvris la bouche et les mains de Pierre m’invitèrent à l’emboucher. Par jeu, je serrai un peu les lèvres pour bien sentir le gland se déformer. D’instinct, il insista mais je m’arrangeai pour qu’il dérape et se représente, puis desserrai l’étreinte afin qu’il viole ma bouche baveuse.
Ma main lâcha la hampe au profit de ses grosses burnes alors que j’entamai de langoureux va-et-vient. Ainsi accroupie, la sensation d’avoir une vallée à la place d’une raie entre les fesses s’accentua et la toile tendue de mon Jean monté à cru n’arrangea pas les choses. Mon anus palpitait, connaissant bien maintenant cette sensation extrême de dilatation.
D’un lent et régulier mouvement hélicoïdal de succion, j’avalai un maximum de longueur. Ses mains posées sur mes oreilles me coupaient du monde extérieur, je pouvais me concentrer sur son plaisir en augmentant sensiblement la cadence. Il n’hésitait d’ailleurs pas à tenter de s’enfoncer davantage, me faisant gémir tant j’appréciai sa queue. À force de le sucer, les muscles de ma mâchoire devenaient moins douloureux et je parvenais à tenir le temps nécessaire à sa jouissance sans trop de contraintes.
Les minutes passant, je le sentais monter en puissance et vivais ce moment avec intensité. Je précipitai néanmoins son orgasme en enfonçant mon majeur dans son rectum tout en lui serrant les couilles. Assourdis par ses mains obstruant mes oreilles, mon seul repère fut que je le sentis tressaillir. À l’instant où son nœud pris du volume, son anus se contracta autour de mon doigt et sa hampe s’épaissit lorsqu’il me remplit de sperme chaud.
Les couilles relevées, le passage de chaque jet faisait se gonfler le dessous de sa hampe et pendant d’intenses secondes, il me garnit copieusement de son doux breuvage que j’avalai avec fierté.
Parvenu une fois de plus à vaincre mon adorable monstre, je savourai cette victoire un instant en le gardant en bouche, puis me redressai pour prendre Pierre dans mes bras. Son cœur battait fort contre le mien, je l’embrassai dans le cou en lui chuchotant combien j’aimais m’occuper de lui, le sentir jouir, qu’il me rendait dingue… Encore trop « perché » pour répondre, sa main le fit pour lui, glissant amoureusement dans mon Jean, puis deux doigts se retrouvèrent en moi. « Quelle merveilleuse journée ! » fut à peu près la pensée qui me traversa l’esprit.

ooOOoo


Réveillé tôt le lendemain matin, je m’isolai le temps d’un lavement. Propre, vide et bien lubrifié, je le retrouvai dans la cuisine, préparant le petit déjeuner. Après la journée si intense d’hier, la nuit avait été chaste, serrés l’un contre l’autre à discuter jusqu’à nous endormir.
Il m’attira à lui pour me dire bonjour en déposant un chaste baiser sur mes lèvres, me demanda si j’avais bien dormi. À son contact, je fondis de désir. Nos peaux collées, ses doigts posés sur ma croupe, sa lourde queue contre ma cuisse…
- À tes côtés, divinement bien. Et toi, as-tu fait de beaux rêves ?
- Hummm… Je commence à rêver dès que je te vois.
Un second baiser s’imposa, tout comme ma main délicate cajolant son gros paquet bien mobile et tout chaud.
Le café nous fit autant de bien que la fraîcheur du matin. Nous profitions de chaque instant, tous deux tacitement conscient que notre rencontre prenait une dimension beaucoup plus profonde, nous évoquions avec mesure les grands chamboulements qu’elle induisait ! Si j’avais l’habitude de m’occuper d’un homme, il s’agissait pour lui d’une grande inconnue une dizaine de jours plus tôt ! Et que dire de cette sérénité que nous ressentions, en plus d’une attirance irrépressible l’un pour l’autre ?
Nos échanges suscitaient l’émotion, et de l’émotion au contact physique, il n’y eut que… Quelques centimètres. La banquette nous accueillit pour un exquis 69. Allongés sur le côté, nos bouches, nos mains, nos doigts et nos émotions animés par la même énergie, nous adonnâmes au plaisir. Puis sentant ma jouissance imminente, Pierre se dégagea afin de pouvoir se concentrer sur mon éjaculation qu’il consomma jusqu’à la dernière goutte.
J’avais pu remarquer qu’il savait très bien contrôler ses orgasmes, pouvant jouir plutôt rapidement au besoin, mais sachant se retenir quand il le jugeait nécessaire. Je percutai instantanément que s’il s’était réservé pour m’offrir davantage de plaisir, je me devais de répondre sans délai à ses attentes. Malgré l’orgasme que je venais de vivre, je relevai les jambes, présentant mon cul encore serré par ma jouissance à son vit gonflé à rompre et lui demandai « de me nourrir par-derrière ».
Il s’y reprit plusieurs fois pour parvenir à duper mon sphincter. Pour la première fois, j’offrais mon cul quelques secondes après avoir joui autrement que par sodomie, ce fut pratiquement comme s’il prenait ma virginité, les sensations étaient diamétralement opposées. Sa savoureuse et puissante queue devenait un obus me traversant de part en part. Sa bouche vînt me bâillonner tant mon râle fût puissant. Mon esprit le désirait alors que mon corps aspirait à la détente.
Fort heureusement, le conflit s’estompa rapidement, je verrouillai mon amant des quatre membres pour projeter mon bassin à sa rencontre. Je le sentais rempli de testostérone, les couilles pleines depuis la veille au soir, et quitte à être altruiste, autant donner le maximum à la personne que l’on chérie.
Ses mains cramponnées à mes épaules, ses fesses descendaient à un rythme de plus en plus soutenu pour s’enfoncer toujours plus profondément. En l’espace de trois minutes, le feu orgasmique dévastait mon rectum, je jouissais de nouveau à en perdre la raison, mais ce fût bien plus puissant : je surjouissais ! Pierre me rattrapa à l’instant où mon sphincter se contracta autour de lui. Je sentis sa puissante queue gonfler plusieurs pour éjaculer, il me remplissait de foutre. J’adorais recevoir son sperme.
Lorsque nous retrouvâmes le calme, nos langues s’enroulaient toujours. Les yeux dans les yeux, nul besoin de mots pour exprimer ce que nous ressentions l’un pour l’autre. Il n’y avait plus de genre sexuel, nous étions simplement deux êtres humains compatibles.
- Hoooo… Oui, reste encore un peu, s’il te plaît !
- Tu aimes ma queue en toi ?
- J’adore que tu m’encules.
- Hummm… J’aime t’enculer. Répondit-il en enfonçant son pieu lentement tout au fond.
- Tu m’as bien nourri… j’adooooore ton jus.
- Tu le sens quand je jouis ?
- Oh ouiii ! Et pas qu’un peu ! Ton gland se dilate incroyablement.
- Ah bon ?
- Grave ! Et tout le dessous de ta hampe gonfle aussi. Déjà que tu es énorme, impossible de ne rien sentir !
- Quand tu jouis, on dirait que tu serres fort dans tes mains, c’est vraiment incroyable. Tu es sacrément musclé du cul ! Dit-il en rigolant.
- Tu as raison, j’ai un super coach sportif et un programme personnalisé.
Je glissai ma main dans ses cheveux pour l’attirer à moi et l’embrassai fougueusement. Instinctivement, nos bassins ondulaient. J’ironisai en disant que nous allions faire une mayonnaise et proposai de nettoyer le batteur. C’est ce que je fis méticuleusement.
Après une seconde rasade de café et de nombreux câlins au soleil, le désir charnel nous rattrapa. Je lui demandai de faire prendre la mayonnaise, nous l’avons battu dans toutes les positions jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche.
Un peu après manger, fraîchement douchés, nous nous étalâmes sur le lit et nous fîmes l’amour pendant pratiquement deux heures d’affilée. Tout en douceur, tout en profondeur, ce n’était qu’une infinie recherche de plaisir, et le lit une aire d’ondulations et d’emboîtures subtiles qui nous permit d’atteindre le nirvana. Il m’inséminait longuement, je voulais ressentir sa présence pendant le retour.
L’heure de partir approchait, nous en étions autant peinés l’un que l’autre. Même la météo refusait notre séparation, un violent orage éclata alors que nous étions à quelques rues de la gare. Il se gara le temps que la pluie se calme, on n’y voyait pas à deux mètres. La pluie tomba juste assez longtemps pour que je puisse le sucer une dernière fois avant de monter dans le train.
Trois jours à tenir, mais il me manquait déjà.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
bonjour. je viens de relire les trois textes et franchement c'est juste trop beau cette rencontre et ces jours passés entre Pierre et Maxime. c'est fusionnel entre eux et il n'y a rien de vulgaire dans l'écriture. c'est joliement écrit, pas la peine de parler de chatte pour l'anus de Maxime, çà fait vraiment du bien de simplement lire une belle histoire que j'ose nommé d'amour entre deux hommes. j'attend la suite n° 4 avec impatience...

Histoire Erotique
Très longue et belle histoire d'amour entre deux hommes comme j'aurais aimé connaître moi aussi cela avec un homme actif qui me fasse connaître l'orgasme anal profond. Merci pour ses explications sexuelles



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