Perversité, ...luxure et ....plus
Récit érotique écrit par Muse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2012 dans la catégorie Plus on est
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Perversité, ...luxure et ....plus
Comment expliquer, décrire l’excitation particulière de séduire, flirter, avec un homme attirant, devant mon mari. Comment définir ces sentiments subtils qui aiguisent l’appétit sexuel vers l’autre parce que justement mon mari est consentant et plus encore qu’il s’excite de ce jeu. Jouer aux subtilités sensuelles avec un homme alors que j’appartiens de tout cœur à un autre et qu’en même temps je rêve des échanges sensuels qui vont suivre. Parce que je sais que mon corps va se mélanger au corps de cet homme, que je vais tenir son sexe tendu pour moi, que je vais vibrer de son excitation, qu’il va jouir de moi, que je vais le conduire vers ces extases, qu’il me fera vivre les miennes…Une perversité extravagante, jouir de l’un en pensant à l’autre qui attend, qui me veut, qui me voit, m’entend jouir, vibre de l’extase de celui auquel il permet de me prendre en jouissant.
La soirée débute en envie, désir de séduire, il veut que je plaise que j’attire les regards. Il aime être fier de sa femme. Alors je me glisse, sensuelle, dans ces subtilités audacieuses. Femelle, femme, séductrice certaine de ses choix. Je veux plaire pour lui, donner envie pour lui, simultanément accepter le choix final. Si l’homme séduit me plait, il me donnera, me prendra avec l’accord de mon mari. La frustration ne fait pas partie du jeu, tout sera assumer par tous. Après les délicatesses, les finesses, les raffinements des bulles, des mots équivoques, des gestes esquissés, des effleurements, des transparences, des vues dévoilées sur une pointe de sein, un haut de cuisse intouchable encore. Un brin de langue qui mouille les lèvres rouges, sur un sourire aux yeux baissés, une épaule dénudée qui se recouvre, une main qui s’attarde sur une autre, chaude et moite. La salive déjà abondante qui oblige la respiration profonde, souffle aux visages qui se rapprochent. Rires pour suspendre le temps. Il faudra le mot, celui qui fera basculer vers l’audace. Le moment venu, le bon moment, celui qu’on attend, que seul mon mari peut dire et déclencher. « Que diriez-vous de prendre une dernière coupe sur la terrasse de notre chambre ? ». A ce moment chacun comprend, anticipe les sensualités à venir, jubile des plaisirs à vivre…mes extases suivront, je les partage sans retenue, en abandon total complet, jusqu’aux assouvissements des hommes qui me comblent en délires étourdissants, Flash, étoiles, larmes, cris, mots incongrus, chaleurs et moiteurs répandues, parfums honteux, images obscènes, orgasmes pervers. Etre réjouie par deux hommes ensemble ou l’un après l’autre et recommencer…multiplier les plaisirs jusqu’a l’épuisement. .
Une soirée exquise…
Nous avons prévu un diner chez…en bourguignons raffinés.
Nous y avions nos habitudes et c’est un luxe d’y revenir. Ce soir en bonne compagnie.
JF a convié Antoine et julien. J’ai discuté avec ce dernier sur internet et donc il sait nos jeux, beaucoup de moi, en mots, en images et émotions. Discussions coquines, parfois même presque au-delà du sensuel. Antoine est l’un de ses amis, élégant, ténébreux, charmeur discret au regard enjôleur. J’ai choisi une tenue élégante raffinée et ô combien perverse. Transparences, échancrure, tout pour deviner et espérer et pourtant invisible. Cuisses découvertes si la jupe remonte involontairement au delà des dimup, poitrine à peine dissimulée par un soutien gorge indécent entre décolleté et dentelle. Bijoux qui attirent le regard pour masquer la peau nue, parfum qui retient les effluves de la chair, voix suave qui enveloppe les mots soyeux et ambigus, sourires pudiques en contraste. Les serveurs ne s’y trompent pas, dont les plus jeunes rougissent en avalant le trop plein de salive. Je jubile en croisant les regards de JF qui adore me voir ainsi séductrice, féminine, sensuelle. Un vrai jeu de princesse que j’adore. Séduire en retenue, paraitre sans promettre, suggérer sans garantir, faire naitre l’imagination, puis le désir jusqu’à l’envie. Multiplier les allusions ambigües qui laissent croire et pourtant…Avancer vers le possible, revenir vers le strict réel, espérer sans certitude, vouloir et pourtant…attendre encore.
Une coupe au salon avant de dormir ou, ou…rien n’est certain. Je n’ai plus de doute sur ma séduction je sais, je sens, le désir des hommes, leur envie masculine de jouer, les sens, les débordements des gestes et des corps. Ils bandent et j’en vibre intérieurement. J’ai envie tout autant, envie fébrile d’être reine perverse et réjouie. J’attends que JF ose, qu’il ose, oui qu’il ose ! …Il le fait finalement « voulez vous voir l’Yonne depuis le balcon de notre chambre, avec cette nuit étoilée c’est une merveille. ». Quatre dans l’ascenseur vers les cieux…
Les bulles accompagnent nos extravagantes indécences jusqu’au matin. Femme en tous sens et par tous, mon corps exulte. Les hommes excellent, me donnent encore et de toutes manières, de toutes pénétrations même les plus délirantes. Douceurs, vigueurs, perversité même ! Je me livre, ils me prennent. Me veulent, me donnent encore et encore. Répits douceurs et vigueurs encore. Engluée par les plaisirs mélangés, repue pas encore…Sans retenue ni honte je plonge dans le stupre, je lèche suce embrasse aspire bois autant que je suis bue et défoncée. Cris et souffles m’emportent et excitent mes amants en rut. Orgie des plaisirs inouïs qui se multiplient l’un après l’autre. Femme assouvie par trois mâles, épuisée anéantie fière et comblée. Oui ils ont tout osé, oui j’ai tout voulu, tout ! Les mots crus, les extases encouragent chaque amant dans son envie et ses pulsions. Ils s’excitent de mes orgasmes et m’en offrent encore, sans repos. Mari et amants en moi, je jubile de mon pouvoir, leur sève me couvre et me remplie. Le délire se lit sur les visages rougis, les mains crispées sur tout mon corps, peau empoignée, caressée, seins empalmés, fesses fessées, cuisses ouvertes, sexe visité, fouillé, léché ou pilonné. Mes cheveux coulent sur le visage de l’un, une mèche retenue par la main ferme de l’autre, et mon corps qui ondule, accompagne, aspire en mouvement conjoint, en rythme fougueux. Transmission des désirs, partage des envies, les corps unis et liés se trémoussent de plaisirs violents. Mes « oui, encooore, que c’est bon ! » encouragent et multiplient l’excitation des hommes et la mienne de les voir ainsi. Chacun se nourrit de l’excitation et du désir des autres, sans limite, sans retenue aucune.
Perverse ? Alors que les hommes regardent le paysage de la nuit, « Crois-tu que ces messieurs me montreraient le septième ciel ? »
Plus tard, je jubile sous le regard de mon mari qui vit mes plaisirs et mes dons aux amants. « Dis leur qu’ils me baisent encore, bien, bien au fond » Il le dit et j’ajoute « j’aime leurs queues en moi, c’est bon ! ». Ou bien encore, assouvie, mon amant à peine sorti, je montre à mon mari ma fente ouverte brillante et dilatée d’où s’écoule le sperme blanc encore chaud. Ou même, à califourchon sur la queue de Julien, Antoine vient d’éjaculer son plaisir sur ma bouche et mes seins, je demande à JF « peux-tu m’essuyer s’il te plait ? » en lui tendant un pan du drap alors que je continue mes mouvements sur le sexe tendu en moi.
Perverse encore, en sortant de la douche avec JF, dans un sourire fripon : « on a été un peu long…J’aime mon mari, savez vous…»
Alors, perverse coquine ou excessive ?
La soirée débute en envie, désir de séduire, il veut que je plaise que j’attire les regards. Il aime être fier de sa femme. Alors je me glisse, sensuelle, dans ces subtilités audacieuses. Femelle, femme, séductrice certaine de ses choix. Je veux plaire pour lui, donner envie pour lui, simultanément accepter le choix final. Si l’homme séduit me plait, il me donnera, me prendra avec l’accord de mon mari. La frustration ne fait pas partie du jeu, tout sera assumer par tous. Après les délicatesses, les finesses, les raffinements des bulles, des mots équivoques, des gestes esquissés, des effleurements, des transparences, des vues dévoilées sur une pointe de sein, un haut de cuisse intouchable encore. Un brin de langue qui mouille les lèvres rouges, sur un sourire aux yeux baissés, une épaule dénudée qui se recouvre, une main qui s’attarde sur une autre, chaude et moite. La salive déjà abondante qui oblige la respiration profonde, souffle aux visages qui se rapprochent. Rires pour suspendre le temps. Il faudra le mot, celui qui fera basculer vers l’audace. Le moment venu, le bon moment, celui qu’on attend, que seul mon mari peut dire et déclencher. « Que diriez-vous de prendre une dernière coupe sur la terrasse de notre chambre ? ». A ce moment chacun comprend, anticipe les sensualités à venir, jubile des plaisirs à vivre…mes extases suivront, je les partage sans retenue, en abandon total complet, jusqu’aux assouvissements des hommes qui me comblent en délires étourdissants, Flash, étoiles, larmes, cris, mots incongrus, chaleurs et moiteurs répandues, parfums honteux, images obscènes, orgasmes pervers. Etre réjouie par deux hommes ensemble ou l’un après l’autre et recommencer…multiplier les plaisirs jusqu’a l’épuisement. .
Une soirée exquise…
Nous avons prévu un diner chez…en bourguignons raffinés.
Nous y avions nos habitudes et c’est un luxe d’y revenir. Ce soir en bonne compagnie.
JF a convié Antoine et julien. J’ai discuté avec ce dernier sur internet et donc il sait nos jeux, beaucoup de moi, en mots, en images et émotions. Discussions coquines, parfois même presque au-delà du sensuel. Antoine est l’un de ses amis, élégant, ténébreux, charmeur discret au regard enjôleur. J’ai choisi une tenue élégante raffinée et ô combien perverse. Transparences, échancrure, tout pour deviner et espérer et pourtant invisible. Cuisses découvertes si la jupe remonte involontairement au delà des dimup, poitrine à peine dissimulée par un soutien gorge indécent entre décolleté et dentelle. Bijoux qui attirent le regard pour masquer la peau nue, parfum qui retient les effluves de la chair, voix suave qui enveloppe les mots soyeux et ambigus, sourires pudiques en contraste. Les serveurs ne s’y trompent pas, dont les plus jeunes rougissent en avalant le trop plein de salive. Je jubile en croisant les regards de JF qui adore me voir ainsi séductrice, féminine, sensuelle. Un vrai jeu de princesse que j’adore. Séduire en retenue, paraitre sans promettre, suggérer sans garantir, faire naitre l’imagination, puis le désir jusqu’à l’envie. Multiplier les allusions ambigües qui laissent croire et pourtant…Avancer vers le possible, revenir vers le strict réel, espérer sans certitude, vouloir et pourtant…attendre encore.
Une coupe au salon avant de dormir ou, ou…rien n’est certain. Je n’ai plus de doute sur ma séduction je sais, je sens, le désir des hommes, leur envie masculine de jouer, les sens, les débordements des gestes et des corps. Ils bandent et j’en vibre intérieurement. J’ai envie tout autant, envie fébrile d’être reine perverse et réjouie. J’attends que JF ose, qu’il ose, oui qu’il ose ! …Il le fait finalement « voulez vous voir l’Yonne depuis le balcon de notre chambre, avec cette nuit étoilée c’est une merveille. ». Quatre dans l’ascenseur vers les cieux…
Les bulles accompagnent nos extravagantes indécences jusqu’au matin. Femme en tous sens et par tous, mon corps exulte. Les hommes excellent, me donnent encore et de toutes manières, de toutes pénétrations même les plus délirantes. Douceurs, vigueurs, perversité même ! Je me livre, ils me prennent. Me veulent, me donnent encore et encore. Répits douceurs et vigueurs encore. Engluée par les plaisirs mélangés, repue pas encore…Sans retenue ni honte je plonge dans le stupre, je lèche suce embrasse aspire bois autant que je suis bue et défoncée. Cris et souffles m’emportent et excitent mes amants en rut. Orgie des plaisirs inouïs qui se multiplient l’un après l’autre. Femme assouvie par trois mâles, épuisée anéantie fière et comblée. Oui ils ont tout osé, oui j’ai tout voulu, tout ! Les mots crus, les extases encouragent chaque amant dans son envie et ses pulsions. Ils s’excitent de mes orgasmes et m’en offrent encore, sans repos. Mari et amants en moi, je jubile de mon pouvoir, leur sève me couvre et me remplie. Le délire se lit sur les visages rougis, les mains crispées sur tout mon corps, peau empoignée, caressée, seins empalmés, fesses fessées, cuisses ouvertes, sexe visité, fouillé, léché ou pilonné. Mes cheveux coulent sur le visage de l’un, une mèche retenue par la main ferme de l’autre, et mon corps qui ondule, accompagne, aspire en mouvement conjoint, en rythme fougueux. Transmission des désirs, partage des envies, les corps unis et liés se trémoussent de plaisirs violents. Mes « oui, encooore, que c’est bon ! » encouragent et multiplient l’excitation des hommes et la mienne de les voir ainsi. Chacun se nourrit de l’excitation et du désir des autres, sans limite, sans retenue aucune.
Perverse ? Alors que les hommes regardent le paysage de la nuit, « Crois-tu que ces messieurs me montreraient le septième ciel ? »
Plus tard, je jubile sous le regard de mon mari qui vit mes plaisirs et mes dons aux amants. « Dis leur qu’ils me baisent encore, bien, bien au fond » Il le dit et j’ajoute « j’aime leurs queues en moi, c’est bon ! ». Ou bien encore, assouvie, mon amant à peine sorti, je montre à mon mari ma fente ouverte brillante et dilatée d’où s’écoule le sperme blanc encore chaud. Ou même, à califourchon sur la queue de Julien, Antoine vient d’éjaculer son plaisir sur ma bouche et mes seins, je demande à JF « peux-tu m’essuyer s’il te plait ? » en lui tendant un pan du drap alors que je continue mes mouvements sur le sexe tendu en moi.
Perverse encore, en sortant de la douche avec JF, dans un sourire fripon : « on a été un peu long…J’aime mon mari, savez vous…»
Alors, perverse coquine ou excessive ?
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