Petit cul magnifiqe 3
Récit érotique écrit par Seitan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Petit cul magnifiqe 3
Après nos exploits de la soirée, et après une légère toilette, hygiène oblige, nous sommes allez dans la chambre pour se coucher dans mon lit, moi à gauche, lui à droite. Un dernier petit baiser léger sur les lèvres, allongé et très fatigué, je me suis rapidement endormi.
Quand j’ouvre les yeux, le matin est déjà levé. La lueur du soleil, éclaire la chambre d’une faible et douce lumière filtrée par les contrevents. Couché sur le côté gauche, j’entends une respiration lente, loin derrière moi. Je roule sur le dos, tourne la tête vers la droite et je l’aperçois, M dort paisiblement. Je me relève un peu et prends appuie sur mon coude droit. Je le regarde dormir, il est allongé sur le dos. Je contemple son visage reposé, je le trouve terriblement mignon. Le drap fin épouse admirablement les formes de son corps. Je devine sous le tissu ses jolis pectoraux bien dessinés, ses bras délicatement musclés, sa taille fine et son ventre plat qui ondule légèrement selon sa respiration. Et… Mais oui, une belle bosse sous le drap qui dissimule son sexe que je devine en pleine érection. Tout doucement, je fait glisser le drap pour découvrir son corps. Son anatomie entière s’offre à mon regard indiscret. Mon être est totalement troubler par la beauté de son corps imberbe et dont la peau légèrement hâlé brille sous un bras impudique du soleil qui passe par la fenêtre à travers le volet.
Ma main gauche prends le relais de l’astre et commence à caresser une épaule puis l’autre en passant sur sa gorge. Je continue et descend lentement sur son torse. Du bout des doigts, je titille très tendrement ses tétons qui se durcissent sous ce contact tactile. Puis, effleurant son ventre je vais être à nouveau troublé par sa douceur. Son énorme sexe repose sur son pubis et je perçois ses palpitations lentes et régulières qui le font légèrement bouger. M ne sort pas de son sommeil.
Mes doigts impatients, frôlent la peau de la hampe jusqu’au gland rouge vif entièrement décalotté. Sa queue frissonne sous mes doux attouchements.
Chauffé à blanc et effroyablement excité par la vision de sa belle bite prête à l’emploi. J’oubli toutes retenues et d’une audace effrontée, à genoux ses côtés, j’ouvre grand la bouche et je gobe son gros chibre d’un seul coup et lui offre une fabuleuse fellation.
Je suce goulûment son gros gourdin qui me rempli bien la bouche et écarte largement mes lèvres. Je salive énormément et ma bave coule abondamment tout le long jusqu’à ses couilles. Ça m’aide a bien faire glisser son sexe jusqu’au fond de ma gorge. Il me semble bien plus long et plus épais qu’hier soir.
Peut être que l’alcool ingurgité, ne lui avait pas permis de bander à fond ?
Alors que M dort toujours et que je me délecte de sa bite dans ma bouche depuis plus de dix minutes, j’entends qu’il pousse une petit gémissement. Il est en train de s’éveiller.
Il s’étire et ses long soupirs de réveil se mêlent à ses gémissement de plaisirs. Dans un souffle haletant je l’entends soupirer :- ha, quelle douce et merveilleuse façon de se faire réveiller.
Je ne dit rien et continue mon travail …et quel bel emploi !
Sa bite est en pleine forme, et dans le sens propre autant qu’au sens figuré. Elle est extraordinairement belle, grosse et longue, dure comme du bois son gland rouge vif virant progressivement vers le violet.
J’en peux plus, je suis ardent et je sens mon anus qui s’ouvre et suinte de désir. J’ai une effroyable envie de me prendre sa grosse matraque dans le fond de mon ventre.
D’un geste rapide, j’attrape un préservatif dans la table de nuit et je l’enfile direct sur le superbe sexe turgescent de M. Face à lui, je le chevauche un genoux de chaque côte de lui. Il me dit :- tu fais quoi là ?
Je lui réponds d’un ton sec et dominateur :- ta gueule, laisse toi faire !
Je soutient son regard d’un air vicieux et ses yeux deviennent fiévreux quand je prends sa bite dans ma main passée entre mes jambes. Je place son gland sur mon anus brûlant et délicatement je m’assois sur sa bite. Mais là, sa bite est démesurément grosse et mon anus pourtant bien excité et dilaté résiste à l’invasion.
Je respire longuement et profondément et me détend totalement.
Au bout de quelques minutes, enfin, mon anus s’ouvre, son gland se fraye un passage dans mon trou gourmand. Petit à petit, mes parois se détendent pour laisser passer ce monstre de chair bouillant. Finalement je sens mes fesses reposées sur ses hanches. Il est totalement en moi, nous gémissons en cœur de plaisir.
Rapidement, je commence à aller et venir sur son manche qui me rempli parfaitement le cul. Jai l’impression d’être fortement ouvert. C’est étrange, je ressens un bien-être intense alors que je n’ai aucun sentiment pour ce mec. Ok, c’est comme un plan cul, et comme d’habitude, j’ai du plaisir. Mais les sensations sont différentes cette fois pourquoi ? Peu importe, j’ôte ces pensées de ma tête et me laisse aller à ces nouvelles sensations. Plus je vais et je viens sur son sexe, plus je me baise moi-même sur sa queue.
A un moment, il regarde ma bite doté d’une érection digne d’un acteur porno et me lance :- putain du bande dure mon salaud !
C’est vrai qu’ à ce moment elle me parait énormément grosse et tellement raide qu’elle commence a me faire mal. Heureusement M a la bonne idée de me branler des deux mains.
La jouissance monte très vite, trop vite. Je me cambre violemment, lance la tête en arrière et dans un long cris de bête en rut, j’ai un orgasme dévastateur en giclant une grosse quantité de sperme sur le torse de M.
Exténué, et empli de satisfaction, je m’écroule à ses côtés le souffle court.
Je suis tellement dans les vapes, que je ne me rends pas compte que M s’est levé. J’entends de loin, juste l’eau de la douche couler.
Une douche, très bonne idée. Je me lève et vais dans la salle de bain. Il est sous la douche, je tire le rideau. Très belle vision séduisante de M, nu, luisant sous l’eau qui lui cours sur sa peau, créant des lignes sinueuses sur le galbe de son corps. Cette vue me rends fou de désir. Je le rejoins sous la douche, et referme le rideau derrière moi pour ne pas inonder la salle de bain. Je le pousse contre la paroi humide et l’embrasse goulûment. Il ne me repousse pas et réponds à mon baiser. Je sens sur mon ventre son sexe qui prends précipitamment du volume. Avec une rapidité étonnante, il atteint une érection spectaculaire. J’attrape un peu de gel douche dans une main pour branler sa grosse et dure queue. C’est vraie qu’il n’a pas encore éjaculé. Mais, d’un coup, il me prends par les épaules me fait faire un demi tour et me pousse rudement contre l’autre paroi de le douche. Il se colle brusquement dans mon dos et cette fois, il trouve vite le chemin de mon anus et je sens déjà sa bite qui force mon trou. Encore dilaté, son gland rentre suivi de toute la longueur de son chibre. J’ai le souffle coupé. Totalement au fond de moi, il entame rapidement des vas et viens fougueux. Au bout de quelques allers-retours, il cri :- je jouis !
Et dans des derniers coups de reins brusques il se vide en moi. Il se retire de mes entrailles. En sentant son sperme couler de mon trou sur le long de mes cuisses je lui lance :- hé t’a pas mis de préso !
Je n’ai pas eu le temps de lui dire ça été si précipité et expéditif.
Dépité, il finit de se laver le sexe et sort de la douche.
Encore sous la douche je me nettoie. Puis, accroupi, je pousse et une quantité incroyablement abondante sort de mon cul pour aller se perdre dans le siphon. C’est incroyable, ce petit con m’a inondé.
Quand je sort de la salle de bain, mon appart est vide. Il est partit et seul un mot écrit à la va-vite traine sur mon bureau.
« Désolé, mais sache que je suis clean, je repasse te voir bientôt biz »A suivre
Seithan
Quand j’ouvre les yeux, le matin est déjà levé. La lueur du soleil, éclaire la chambre d’une faible et douce lumière filtrée par les contrevents. Couché sur le côté gauche, j’entends une respiration lente, loin derrière moi. Je roule sur le dos, tourne la tête vers la droite et je l’aperçois, M dort paisiblement. Je me relève un peu et prends appuie sur mon coude droit. Je le regarde dormir, il est allongé sur le dos. Je contemple son visage reposé, je le trouve terriblement mignon. Le drap fin épouse admirablement les formes de son corps. Je devine sous le tissu ses jolis pectoraux bien dessinés, ses bras délicatement musclés, sa taille fine et son ventre plat qui ondule légèrement selon sa respiration. Et… Mais oui, une belle bosse sous le drap qui dissimule son sexe que je devine en pleine érection. Tout doucement, je fait glisser le drap pour découvrir son corps. Son anatomie entière s’offre à mon regard indiscret. Mon être est totalement troubler par la beauté de son corps imberbe et dont la peau légèrement hâlé brille sous un bras impudique du soleil qui passe par la fenêtre à travers le volet.
Ma main gauche prends le relais de l’astre et commence à caresser une épaule puis l’autre en passant sur sa gorge. Je continue et descend lentement sur son torse. Du bout des doigts, je titille très tendrement ses tétons qui se durcissent sous ce contact tactile. Puis, effleurant son ventre je vais être à nouveau troublé par sa douceur. Son énorme sexe repose sur son pubis et je perçois ses palpitations lentes et régulières qui le font légèrement bouger. M ne sort pas de son sommeil.
Mes doigts impatients, frôlent la peau de la hampe jusqu’au gland rouge vif entièrement décalotté. Sa queue frissonne sous mes doux attouchements.
Chauffé à blanc et effroyablement excité par la vision de sa belle bite prête à l’emploi. J’oubli toutes retenues et d’une audace effrontée, à genoux ses côtés, j’ouvre grand la bouche et je gobe son gros chibre d’un seul coup et lui offre une fabuleuse fellation.
Je suce goulûment son gros gourdin qui me rempli bien la bouche et écarte largement mes lèvres. Je salive énormément et ma bave coule abondamment tout le long jusqu’à ses couilles. Ça m’aide a bien faire glisser son sexe jusqu’au fond de ma gorge. Il me semble bien plus long et plus épais qu’hier soir.
Peut être que l’alcool ingurgité, ne lui avait pas permis de bander à fond ?
Alors que M dort toujours et que je me délecte de sa bite dans ma bouche depuis plus de dix minutes, j’entends qu’il pousse une petit gémissement. Il est en train de s’éveiller.
Il s’étire et ses long soupirs de réveil se mêlent à ses gémissement de plaisirs. Dans un souffle haletant je l’entends soupirer :- ha, quelle douce et merveilleuse façon de se faire réveiller.
Je ne dit rien et continue mon travail …et quel bel emploi !
Sa bite est en pleine forme, et dans le sens propre autant qu’au sens figuré. Elle est extraordinairement belle, grosse et longue, dure comme du bois son gland rouge vif virant progressivement vers le violet.
J’en peux plus, je suis ardent et je sens mon anus qui s’ouvre et suinte de désir. J’ai une effroyable envie de me prendre sa grosse matraque dans le fond de mon ventre.
D’un geste rapide, j’attrape un préservatif dans la table de nuit et je l’enfile direct sur le superbe sexe turgescent de M. Face à lui, je le chevauche un genoux de chaque côte de lui. Il me dit :- tu fais quoi là ?
Je lui réponds d’un ton sec et dominateur :- ta gueule, laisse toi faire !
Je soutient son regard d’un air vicieux et ses yeux deviennent fiévreux quand je prends sa bite dans ma main passée entre mes jambes. Je place son gland sur mon anus brûlant et délicatement je m’assois sur sa bite. Mais là, sa bite est démesurément grosse et mon anus pourtant bien excité et dilaté résiste à l’invasion.
Je respire longuement et profondément et me détend totalement.
Au bout de quelques minutes, enfin, mon anus s’ouvre, son gland se fraye un passage dans mon trou gourmand. Petit à petit, mes parois se détendent pour laisser passer ce monstre de chair bouillant. Finalement je sens mes fesses reposées sur ses hanches. Il est totalement en moi, nous gémissons en cœur de plaisir.
Rapidement, je commence à aller et venir sur son manche qui me rempli parfaitement le cul. Jai l’impression d’être fortement ouvert. C’est étrange, je ressens un bien-être intense alors que je n’ai aucun sentiment pour ce mec. Ok, c’est comme un plan cul, et comme d’habitude, j’ai du plaisir. Mais les sensations sont différentes cette fois pourquoi ? Peu importe, j’ôte ces pensées de ma tête et me laisse aller à ces nouvelles sensations. Plus je vais et je viens sur son sexe, plus je me baise moi-même sur sa queue.
A un moment, il regarde ma bite doté d’une érection digne d’un acteur porno et me lance :- putain du bande dure mon salaud !
C’est vrai qu’ à ce moment elle me parait énormément grosse et tellement raide qu’elle commence a me faire mal. Heureusement M a la bonne idée de me branler des deux mains.
La jouissance monte très vite, trop vite. Je me cambre violemment, lance la tête en arrière et dans un long cris de bête en rut, j’ai un orgasme dévastateur en giclant une grosse quantité de sperme sur le torse de M.
Exténué, et empli de satisfaction, je m’écroule à ses côtés le souffle court.
Je suis tellement dans les vapes, que je ne me rends pas compte que M s’est levé. J’entends de loin, juste l’eau de la douche couler.
Une douche, très bonne idée. Je me lève et vais dans la salle de bain. Il est sous la douche, je tire le rideau. Très belle vision séduisante de M, nu, luisant sous l’eau qui lui cours sur sa peau, créant des lignes sinueuses sur le galbe de son corps. Cette vue me rends fou de désir. Je le rejoins sous la douche, et referme le rideau derrière moi pour ne pas inonder la salle de bain. Je le pousse contre la paroi humide et l’embrasse goulûment. Il ne me repousse pas et réponds à mon baiser. Je sens sur mon ventre son sexe qui prends précipitamment du volume. Avec une rapidité étonnante, il atteint une érection spectaculaire. J’attrape un peu de gel douche dans une main pour branler sa grosse et dure queue. C’est vraie qu’il n’a pas encore éjaculé. Mais, d’un coup, il me prends par les épaules me fait faire un demi tour et me pousse rudement contre l’autre paroi de le douche. Il se colle brusquement dans mon dos et cette fois, il trouve vite le chemin de mon anus et je sens déjà sa bite qui force mon trou. Encore dilaté, son gland rentre suivi de toute la longueur de son chibre. J’ai le souffle coupé. Totalement au fond de moi, il entame rapidement des vas et viens fougueux. Au bout de quelques allers-retours, il cri :- je jouis !
Et dans des derniers coups de reins brusques il se vide en moi. Il se retire de mes entrailles. En sentant son sperme couler de mon trou sur le long de mes cuisses je lui lance :- hé t’a pas mis de préso !
Je n’ai pas eu le temps de lui dire ça été si précipité et expéditif.
Dépité, il finit de se laver le sexe et sort de la douche.
Encore sous la douche je me nettoie. Puis, accroupi, je pousse et une quantité incroyablement abondante sort de mon cul pour aller se perdre dans le siphon. C’est incroyable, ce petit con m’a inondé.
Quand je sort de la salle de bain, mon appart est vide. Il est partit et seul un mot écrit à la va-vite traine sur mon bureau.
« Désolé, mais sache que je suis clean, je repasse te voir bientôt biz »A suivre
Seithan
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