Petit tour au marché
Récit érotique écrit par Claude Lamour [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Petit tour au marché
Sandrine se réveille de bonne humeur et en pleine forme. Le dimanche s’annonce chaud, et ensoleillée. Elle glisse un cd de musique entraînante dans son lecteur, et se prépare un bon petit déjeuné.
La confiture lui donne envie de manger des fraises. Alors, elle décide de se rendre au marché.
Elle saute sous la douche. L’eau fraîche sur son corps réveille ses sens. La mousse du gel douche lui procure de douces sensations. Elle aime sentir sa main glissée sur sa peau, sur ses seins, réveillant deux pointes roses qui sous l’action du massage gonflent et se dressent. Descendre doucement, masser son ventre et s’attarder sur sa vulve rasée de près. Faire dresser son clito, mais pas trop, juste pour garder au ventre une indéfinissable envie de plaisirs amoureux.
Elle s’essuie rapidement, se coiffe, admire son image dans le grand miroir et se maquille légèrement, juste pour souligner son regard et donner de l’éclat à ses lèvres.
Dans l’armoire, les vêtements d’hiver sont encore très présents.
Elle fait la moue, ouvre des portes, des tiroirs, fouille et finie par retomber sur une petite robe paysanne rouge, qu’elle n’avait encore jamais portée. Bien que très légèrement transparente, elle décide de la porter sans rien d’autre, se disant que le rouge et les petites fleurs imprimées cacheront bien suffisamment sa nudité.
Boutonnée sur le devant, Sandrine laisse sa robe ouverte à demi-cuisse et laisse apercevoir le V entre ses seins. Elle attrape un panier d’osier, son porte monnaies et voilà une charmante paysanne qui s’en va au marché, le cœur léger.
En chemin, elle rencontre le facteur, qui la salue et la complimente pour sa beauté radieuse. Un sacré dragueur son petit facteur.
Elle croise aussi son voisin qui sans gène aucune admire les deux jambes de Sandrine qui se découvrent à chaque pas et se retourne après l’avoir passée pour admirer son joli petit cul. Elle le sait, mais elle s’en moque.
Elle aime le marché, le bruit, les couleurs, les odeurs, la foule. Elle aime sentir les hommes la frôler plus ou moins exprès. Parfois même, elle sent une main passer sur ses fesses, ses cuisses. Mais elle ne dit rien, jamais, heureuse de donner un peu de bonheur.
Elle se penche aux étales, laissant aux vendeurs une vue imprenable sur ses seins. Ça lui vaut quelques ristournes parfois et des tas de clin d’œil malicieux.
Là voilà dans le secteur de la friperie. Elle aime ça, toucher les vêtements, fouiller, essayer. Elle remarque une robe de plage, blanche, très transparente, idéale pour revenir de la plage quand on a fini de se baigner. Ce serrait parfait pour ses vacances, le mois prochain.
Deux grands Maghrébins tiennent le stand. Elle s’adresse à celui qui est près de la camionnette et lui demande s’il y a moyen d’essayer.
Le jeune homme l’invite à monter derrière le véhicule, ou une cabine d’essayage modeste est installée. Il l’aide à grimper et tire le rideau.
C’est alors que Sandrine réalise qu’il va lui falloir se mettre nue pour essayer. Bien que seule, elle rougie un peu de cette situation, mais au fond d’elle-même, elle adore.
Elle déboutonne sa robe et la laisse glissée à terre.
Etre nue, dans ce camion, l’excite beaucoup. Elle imagine le rideau s’ouvrir et son corps exposé à la vue de tous. Ça lui donne des frissons.
Elle enfile la robe blanche et se regarde dans un miroir cassé, installé sur deux chaises. Elle caresse le tissu, suivant les courbes douces de son anatomie. La robe ne cache rien et on peut voir jusqu’au grain de beauté qu’elle a sur le sein gauche.
Le rideau bouge un peu et elle entend le vendeur lui demander si tout va bien. Elle entrouvre le rideau, et lui demande :
« Vous l’avez en noir ? »
Le jeune homme n’en croit pas ses yeux. Subjugué par la beauté de Sandrine, il bafouille un peu.
« Si,… je crois vous permettez,… il faut que je regarde dans ces cartons »
Il indique à Sandrine des cartons entreposés derrière le miroir.
Elle écarte un peu plus le rideau pour le laisser monter.
Le pauvre homme est tellement en panique, qu’il grimpe et referme aussitôt le rideau, s’excusant au près de Sandrine, de sa peur du regard des gens. Elle lui souri gentiment lui murmurant qu’elle comprenait très bien.
Le vendeur plonge la tête dans ses cartons. La belle, amusée par tout ça, retire la robe et la pose sur la chaise. Elle se penche derrière le miroir et dit :
« Vous trouvez ? »
Le jeune homme se relève avec le vêtement noir. Le voyant entièrement dénudée, il rougit un peu. Elle fait un pas vers lui, passe ses bras autour de son cou et se frotte doucement en bougeant le bassin. Instantanément elle sent une grosse bosse se former entre les jambes du vendeur, qui s’agrippe déjà aux hanches de la belle pour mieux l’attirer à lui.
« Il faut que je prévienne mon frère. »
Il lance une phrase en arabe à l’attention de l’autre vendeur. Mais celui-ci entend mal et passe la tête sous le rideau, sûrement pour demander ce qu’il se passait.
Il les voit enlacer, dit quelque chose et s’en vas.
« Il est pas content, il y a du monde dehors. Il m’a dit que ce n’était pas le moment. »
« Vous voulez partir ? »
Lui dit-elle avec un grand sourire et en descendant la main vers le renflement dans le pantalon. Il ne répond pas et laisse faire la belle. Elle déboutonne sa braguette et sort un engin d’une taille impressionnante. Elle le masturbe un peu et se caresse la chatte avec le gland énorme. Puis elle s’accroupie, et commence à sucer le bel étalon, faisant glisser sa langue le long du membre, jusqu'à deux magnifiques bourses et remonte pour tenter d’engloutir le pénis tout entier.
Elle le suce avec délectation deux minutes, puis il l’invite à se retourner et à s’appuyer sur un gros carton.
Elle sent le gland se poser sur sa chatte trempée. Il monte et descend le long des grandes lèvres humides, qui s’ouvrent comme une fleur au soleil.
Doucement le membre s’enfonce en elle puis ressort trempé de mouille et disparaît de nouveau, encore et encore.
Elle se pince les lèvres pour ne pas gémir. Elle sent la camionnette bouger et se dit que de l’extérieur ça doit paraître louche.
Ça l’est sûrement, car le frangin hurle maintenant derrière le rideau. Une dernière grosse secousse vient ébranler le véhicule et un jet de foutre chaud se répand en elle.
Quand l’homme se retire de son puits d’amour, elle s’agenouille afin de bien nettoyer de sa bouche l’objet de son plaisir. Puis le jeune homme s’excuse, timidement, et redescend discrètement en prenant bien garde de ne pas trop ouvrir le rideau.
Elle l’entend, dehors, se disputer avec son frère.
Elle remet sa petite robe paysanne et sort, la robe blanche à la main. Les joues rouges, elle dit à son amant de passage, qu’elle prend celle-ci.
Il l’attrape par le bras et l’attire à l’écart. Il glisse la robe dans le panier en osier de Sandrine. « Ça, c’est cadeau. Mon frère est très en colère. Nous sommes là dimanche prochain et il aimerait bien vous faire essayer quelque chose. »
Elle penche la tête pour apercevoir le frangin. Il les surveille de loin tout en continuant de bonimenter ses articles.
Sandrine lui souri et lui fait un signe de tête pour acquiescer.
L’homme lui renvois son sourire et reprend sa vente, en espérant sûrement que la semaine passe vite, très vite.
La confiture lui donne envie de manger des fraises. Alors, elle décide de se rendre au marché.
Elle saute sous la douche. L’eau fraîche sur son corps réveille ses sens. La mousse du gel douche lui procure de douces sensations. Elle aime sentir sa main glissée sur sa peau, sur ses seins, réveillant deux pointes roses qui sous l’action du massage gonflent et se dressent. Descendre doucement, masser son ventre et s’attarder sur sa vulve rasée de près. Faire dresser son clito, mais pas trop, juste pour garder au ventre une indéfinissable envie de plaisirs amoureux.
Elle s’essuie rapidement, se coiffe, admire son image dans le grand miroir et se maquille légèrement, juste pour souligner son regard et donner de l’éclat à ses lèvres.
Dans l’armoire, les vêtements d’hiver sont encore très présents.
Elle fait la moue, ouvre des portes, des tiroirs, fouille et finie par retomber sur une petite robe paysanne rouge, qu’elle n’avait encore jamais portée. Bien que très légèrement transparente, elle décide de la porter sans rien d’autre, se disant que le rouge et les petites fleurs imprimées cacheront bien suffisamment sa nudité.
Boutonnée sur le devant, Sandrine laisse sa robe ouverte à demi-cuisse et laisse apercevoir le V entre ses seins. Elle attrape un panier d’osier, son porte monnaies et voilà une charmante paysanne qui s’en va au marché, le cœur léger.
En chemin, elle rencontre le facteur, qui la salue et la complimente pour sa beauté radieuse. Un sacré dragueur son petit facteur.
Elle croise aussi son voisin qui sans gène aucune admire les deux jambes de Sandrine qui se découvrent à chaque pas et se retourne après l’avoir passée pour admirer son joli petit cul. Elle le sait, mais elle s’en moque.
Elle aime le marché, le bruit, les couleurs, les odeurs, la foule. Elle aime sentir les hommes la frôler plus ou moins exprès. Parfois même, elle sent une main passer sur ses fesses, ses cuisses. Mais elle ne dit rien, jamais, heureuse de donner un peu de bonheur.
Elle se penche aux étales, laissant aux vendeurs une vue imprenable sur ses seins. Ça lui vaut quelques ristournes parfois et des tas de clin d’œil malicieux.
Là voilà dans le secteur de la friperie. Elle aime ça, toucher les vêtements, fouiller, essayer. Elle remarque une robe de plage, blanche, très transparente, idéale pour revenir de la plage quand on a fini de se baigner. Ce serrait parfait pour ses vacances, le mois prochain.
Deux grands Maghrébins tiennent le stand. Elle s’adresse à celui qui est près de la camionnette et lui demande s’il y a moyen d’essayer.
Le jeune homme l’invite à monter derrière le véhicule, ou une cabine d’essayage modeste est installée. Il l’aide à grimper et tire le rideau.
C’est alors que Sandrine réalise qu’il va lui falloir se mettre nue pour essayer. Bien que seule, elle rougie un peu de cette situation, mais au fond d’elle-même, elle adore.
Elle déboutonne sa robe et la laisse glissée à terre.
Etre nue, dans ce camion, l’excite beaucoup. Elle imagine le rideau s’ouvrir et son corps exposé à la vue de tous. Ça lui donne des frissons.
Elle enfile la robe blanche et se regarde dans un miroir cassé, installé sur deux chaises. Elle caresse le tissu, suivant les courbes douces de son anatomie. La robe ne cache rien et on peut voir jusqu’au grain de beauté qu’elle a sur le sein gauche.
Le rideau bouge un peu et elle entend le vendeur lui demander si tout va bien. Elle entrouvre le rideau, et lui demande :
« Vous l’avez en noir ? »
Le jeune homme n’en croit pas ses yeux. Subjugué par la beauté de Sandrine, il bafouille un peu.
« Si,… je crois vous permettez,… il faut que je regarde dans ces cartons »
Il indique à Sandrine des cartons entreposés derrière le miroir.
Elle écarte un peu plus le rideau pour le laisser monter.
Le pauvre homme est tellement en panique, qu’il grimpe et referme aussitôt le rideau, s’excusant au près de Sandrine, de sa peur du regard des gens. Elle lui souri gentiment lui murmurant qu’elle comprenait très bien.
Le vendeur plonge la tête dans ses cartons. La belle, amusée par tout ça, retire la robe et la pose sur la chaise. Elle se penche derrière le miroir et dit :
« Vous trouvez ? »
Le jeune homme se relève avec le vêtement noir. Le voyant entièrement dénudée, il rougit un peu. Elle fait un pas vers lui, passe ses bras autour de son cou et se frotte doucement en bougeant le bassin. Instantanément elle sent une grosse bosse se former entre les jambes du vendeur, qui s’agrippe déjà aux hanches de la belle pour mieux l’attirer à lui.
« Il faut que je prévienne mon frère. »
Il lance une phrase en arabe à l’attention de l’autre vendeur. Mais celui-ci entend mal et passe la tête sous le rideau, sûrement pour demander ce qu’il se passait.
Il les voit enlacer, dit quelque chose et s’en vas.
« Il est pas content, il y a du monde dehors. Il m’a dit que ce n’était pas le moment. »
« Vous voulez partir ? »
Lui dit-elle avec un grand sourire et en descendant la main vers le renflement dans le pantalon. Il ne répond pas et laisse faire la belle. Elle déboutonne sa braguette et sort un engin d’une taille impressionnante. Elle le masturbe un peu et se caresse la chatte avec le gland énorme. Puis elle s’accroupie, et commence à sucer le bel étalon, faisant glisser sa langue le long du membre, jusqu'à deux magnifiques bourses et remonte pour tenter d’engloutir le pénis tout entier.
Elle le suce avec délectation deux minutes, puis il l’invite à se retourner et à s’appuyer sur un gros carton.
Elle sent le gland se poser sur sa chatte trempée. Il monte et descend le long des grandes lèvres humides, qui s’ouvrent comme une fleur au soleil.
Doucement le membre s’enfonce en elle puis ressort trempé de mouille et disparaît de nouveau, encore et encore.
Elle se pince les lèvres pour ne pas gémir. Elle sent la camionnette bouger et se dit que de l’extérieur ça doit paraître louche.
Ça l’est sûrement, car le frangin hurle maintenant derrière le rideau. Une dernière grosse secousse vient ébranler le véhicule et un jet de foutre chaud se répand en elle.
Quand l’homme se retire de son puits d’amour, elle s’agenouille afin de bien nettoyer de sa bouche l’objet de son plaisir. Puis le jeune homme s’excuse, timidement, et redescend discrètement en prenant bien garde de ne pas trop ouvrir le rideau.
Elle l’entend, dehors, se disputer avec son frère.
Elle remet sa petite robe paysanne et sort, la robe blanche à la main. Les joues rouges, elle dit à son amant de passage, qu’elle prend celle-ci.
Il l’attrape par le bras et l’attire à l’écart. Il glisse la robe dans le panier en osier de Sandrine. « Ça, c’est cadeau. Mon frère est très en colère. Nous sommes là dimanche prochain et il aimerait bien vous faire essayer quelque chose. »
Elle penche la tête pour apercevoir le frangin. Il les surveille de loin tout en continuant de bonimenter ses articles.
Sandrine lui souri et lui fait un signe de tête pour acquiescer.
L’homme lui renvois son sourire et reprend sa vente, en espérant sûrement que la semaine passe vite, très vite.
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