Petite effrontée !

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Petite effrontée ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Petite effrontée !
Je suis venu dans la chambre alloué au couple d’ami de Marie-Laure pour un problème d’ampoule grillée, mais une fois sur place je n’ai pas pu me retenir de fouiller dans la valise à Madame, Véronique de son prénom. Dans une poche, enfoui dans un sac en plastique je trouve un collant. A l’odeur qu’il exhale, il a été passé. Je prends place sur le fauteuil, et là, tout en humant le nylon je m’imagine un fantasme dont Véronique est l’héroïne. Avec des gestes fébriles, je sors ma queue de son nid, et l’agite avec force, humant avec délice le parfum imprégné dans l’étoffe. Alors que je me branle, j’entends des bruits dans la pièce à côté. Soit la chambre où Julie est installée, la fille de

Je mets de l’ordre sur moi, et m’avance jusqu’à la pièce où j’ai entendu du bruit. Je vois alors Julie en train de bouquiner. Une fille d’une amie à Marie-Laure venue passé le week-end. Je la salut, je suis face à elle, bien calée dans son fauteuil, abandonnée, elle a les cuisses assez largement ouvertes. Je peux apercevoir un peu de son ventre ainsi qu’une ombre noire que j’identifie comme étant le haut de sa toison pubienne.

Apparemment elle ne porte pas de culotte, je pense, à moins que ce sois ses poils. Cette pensée m’excite. Et elle s’empare de ma personne. Je décide donc de la surveiller, afin de la surprendre le plus possible dans son intimité et de jouir si possible de la vue des parties les excitantes de ce corps.

Je me suis alors éloigné d’elle pour me mettre dans un endroit stratégique pour mieux surveiller ses faits et gestes. Ma patience fut de courte durée puisque Julie quitte sa place pour prendre l’escalier qui mène aux chambres. J’attends de ne plus la voir pour gravir à mon tour les marches.

Personne en vue je m’approche de la porte de sa chambre et colle mon œil dans le trou de la serrure. De l’autre côté Julie fait des pas de danse avant de se séparer de ses vêtements. Elle se laisse tomber sur le lit, et fait courir ses mains sur ses flancs, sur son ventre pour descendre vers l’entrecuisse qu’elle se caresse d’un doigt léger. Je suis subjugué par cette vision. La chance est de mon côté !

Brusquement je sens que je ne tiens plus. Pour éviter de faire des saloperies je choisis un endroit à l’abri de tout regard dans le château. Une fois le lieu choisis je me masturbe en ressortant la culotte de la patronne de ma poche. Oubliant toute prudence je ne sais pourquoi je me mets à divaguer fort sans m’en apercevoir. Si bien qu’inquiète, Julie fait éruption dans la pièce. Et bien sûr, me découvre en train de me faire du bien. Les yeux rivés sur la verge qui tressaute encore au rythme de l’éjaculation.

Au lieu de quitter la pièce, elle, s’approche jusqu’au plus près de moi, pour prendre place à mes côtés. Je suis à cet instant stupéfait par son aplomb. Je ne me prive pas de contempler les trésors que me dévoile le peignoir ouvert, qu’elle sait passer pour venir jusqu’à moi.

Un peu gêné quand même, je ne bouge pas, attendant la suite. Parce que j’en suis sûr, il y allé avoir une suite.

- C’est la culotte de qui ? Me fait-elle.

-A une femme !

-Non ! Sans blague, me fait-elle amusée, je te demande à qui elle appartient.

-Pas à toi !

-ça je m’en doute, je n’en porte pas. D’ailleurs tu le sais ça.

-Et pourquoi le saurais-je ?

-Dans le salon tout à l’heure tu t’ais rincer les yeux. C’est même pour cela que tu m’as suivi jusqu’à la chambre. Et même, que je m’autorise à pensé que tu m’as regardé me branler sur mon lit.

Je me sens à cet instant de plus en plus excité. D’ailleurs je rebande de plus belle. N’y tenant plus, je prends ma verge pour me branler.

-Il ne faut pas te gêner ? Fait-elle en posant sa main sur la mienne comme pour que je cesse.

Je retire ma main et là je ne sais comment il set trouve que sa main est au contact avec ma verge. Il y a un moment de flottement pendant lequel elle hésite, avant de se mettre à me caresser. Pour moi l’instant est plus que magique mais l’excitation est trop forte. Je ne peux me retenir, et sous sa caresse j’éjacule maculant ses doigts.

Je m’excuse tout de suite. Elle me répond que ce n’est pas grave, tout en souriant. Je ne débande pas. Sans lâcher ma verge, elle me fait me poser sur le lit. Puis m’enjambe. Puis elle redresse ma verge pour la présenter à l’entrée de sa chatte et lentement elle s’empale dessus, le fait coulisse jusqu’au fond de son vagin. En appui sur ses genoux, elle monte et descend, faisant ainsi entrer et sortir de son vagin parfaitement lubrifié, ma verge.

Je sens ma verge gainée par ce chaud fourreau, et les mots obscènes de Julie jouent sur ma libido. Je me mets à caresser les seins qui oscillent au rythme du baisage. Son corps se tend, puis elle se met à trembler des pieds à la tête. Sa chatte se serrent et s’ouvrent convulsivement sur mon sexe. Après quelques secondes d’arrêt, elle reprend sa chevauchée, ce qui a pour effet de libérer de longues coulées de mouille qui se mettent à couler sur ma verge puis sur mes couilles.

Prenant à deux mains ses hanches, je lui impose un rythme plus rapide, jusqu’à ce que je décharge. Elle attend que je fini de jouir pour poser ses lèvres sur les mienne. Nous échangeons un long baiser. Et sans que je lui demande, elle s’empare de ma verge pour la lécher à petits coups. Puis, ouvrant la bouche, elle m’enfourne.

- La culotte à ta mère.

- Quoi la culotte à ma mère ?

-Et bien tout à l’heure, j’humais la culotte à ta maman.

-Et pourquoi tu fais ça ?

-Un plaisir chez moi qui date de tout jeune, et qui malgré les années ne s’évanouie pas.

-Je ne te suis pas très bien là, tu vois.

-Ce n’est pas grave ma jolie, d’ailleurs personne ne me comprend, même pas moi pour te dire. Et cela me fait même faire des grosses bêtises. Tiens ! Quand j’étais au lycée comme toi, il y avait un mec dans ma classe qui avait une mère qui s’habillée avec une élégance dont elle ne se départait jamais, hautes bottes et tailleur strict à la saison froide, l’été, robes ou jupes légères et affriolantes que le moindre souffle faisait voltiger. Tous les jours je me branlais en pensant à elle. J’étais tant pris d’elle qu’un jour je me suis approché du fils pour m’en faire un ami, juste pour avoir accès aux slips de sa mère si un jour il m’emmenait chez lui.

Mais malheureusement pour moi, pas une fois il m’invita à passer le pas de sa porte d’entrée de chez lui. Il a fallu un simple disque sans intérêt pour moi, mais beaucoup pour lui, pour le pousser dans la direction où je désirais. Je te l’échange, lui avais-je dis contre un collant porté de ta mère. Tu es fou ! m’avait-il répondu. Que veux-tu faire avec un collant de ma mère ? T’occupe, allez grouille toi et le disque est à toi. Comme tu veux, fit-il en prenant le chemin de son foyer.

-Et il t’a ramené le collant ? Me fait Julie.

-Bien entendu, il se l’est même enfilé pour ne pas se faire prendre par sa mère. Disque en main, je lui ai demandé de baisser son pantalon, alors que j’étais agenouillé devant lui. Très vite je me suis trouvé la bouche au niveau de sa queue dressée.
-Comment ça dressée ? S’étonne Julie.

-Sans doute à cause du contact du nylon sur sa peau.

-Et il ne portait pas de slip ?

-Non. Je voyais comme je te vois sa belle verge circoncise sous l’étoffe transparente. Je ne sais pourquoi j’ai posé mes lèvres sur le nylon et j’ai couvert la verge de bises. Puis je suis descendu jusqu’à atteindre ses couilles. Surpris sans doute par mon initiative ou par autre chose, il s’est laissé faire. J’ai fais courir ma langue au long du nylon. Sous mes caresses buccales, son gland s’est gonflé, tout suintant. J’ai posé ma langue sur la zone délicate toujours plaqué par le collant. Il s’est crispé un peu. Il n’était pas familier à ce genre de caresse. Partie dans mon délire, j’ai baissé d’un geste sec le collant sur ses cuisses, assez pour mettre sa verge à nue. Il a bien cherché bien à m’échapper, mais l’appât de posséder mon disque l’a dissuadé, se laissant conduire.

J’ai donné un petit coup de langue sur le gland congestionné, il a accueilli cette initiative d’un râle approbateur. Je me suis saisis de sa verge pour la diriger de moi-même vers ma bouche. Le goût salé m’a étonné, sans pour ça me déplaire. J’ai léché le sexe en enroulant ma langue autour. J’avais l’impression qu’il durcissait encore sous l’effet de mes caresses. Il s’est mit à gémir. J’ai gobé le bout lisse et l’ai capturé ente mes lèvres.

-J’y crois pas ! Fait Julie.

-Comme je te dis, je suis resté ainsi quelques instants à savourer cette sensation inédite jusqu’à maintenant. Puis j’ai avalé le sexe, centimètre par centimètre. J’avais l’impression qu’il n’en finissait pas, en dépit de courte taille. J’ai léché avec délectation. Il a remué du bassin avec régularité. Il ne s’est plus contrôlé, alors que je l’ai tété avec avidité, et cela jusqu’à ce qu’il s’est répandu dans ma bouche.

-Eh bien ! Me fait Julie.

-Souvent, une fois la lumière éteinte je repense à ce temps là. Une parenthèse parmi d’autre qui enflamment mes sens.

-Tu suces que les mecs ? Me lâche-t-elle, alors que sa main se met à caresser son genou, puis elle la remonte vers l’intérieur de ses cuisses et maintenant elle se caresse franchement, avec une pointe de perversité qui n’étonne pas chez elle.

-Je t’écoute ? Ajoute-t-elle, alors que son corps menu se soulève et s’abaisse a un rythme du plaisir qui commence à l’envahir. Elle écarte les cuisses au maximum, comme si elle voulait déboiter ses articulations. Elle saisit sous la mousse de son sexe, le clitoris, entre le pouce et l’index. Les autres doigts, elle les rassemble et les enfouit entre les lèvres. À cette évocation, le jeu du poignet se fait rapide et rythmé. Les doigts agiles font un bruit de succion mouillée dans le sexe où ils vont et viennent. Déjà elle halète.

Je me laisse tomber à ses pieds et engouffre mon nez à la place de ses doigts, sur son sexe, respirant en profondes inspiration l’odeur entreprenante. D’un coup de langue, j’ouvre les lèvres mouillées, en même temps que je plaque mes lèvres avides. Je trouve la source, ma langue affolée s’y engouffre comme si elle cherche à la pourfendre en tous sens en un combat fait de rage et de volupté.

Julie se cabre en gémissant sous le plaisir qui l’envahit. De ses deux mains, elle ouvre son décolleté crée par le peignoir, et fait jaillir les pointes de ses seins hors de sa cachette. Lentement elle les caresse avec ses paumes, les faisant durcir sous l’effleurement. Puis elle les prend entre le pouce et l’index et commence à les titiller en les pressant de plus en plus fort.

Ma langue, exacerbée par le désir, s’agite en un va-et-vient presque rageur. S’immisce dans sa fente. Son goût est particulier, puissant au point d’envahir toute ma bouche. Je la force à s’ouvrir un peu plus et je me mets à laper sa chatte avec une dévorante gourmandise. Je l’entends émettre un gémissement de plaisir. Elle renverse la tête en arrière. Je lèche de tout mon soul. Parcourant sa fente pour ne rien perdre d’elle. Fouillant les moindres replis de sa chatte.

- Tu es fait pour faire plaisir au femme aussi mon salaud !

Julie se met à onduler contre ma figure. Elle plaque une main sur l’arrière de mon crâne et me soude plus fermement à sa cicatrice odorante. Cela me propulse au summum de l’excitation. Je suis près à la dévorer. Ses coups de reins se rendent plus nerveux. Entre mes jambes, ma queue s’emballe, au point que je crois éjaculer tout seul. Puis la gamine se raidie.

J’introduis de nouveau ma langue dans son antre. Julie réagit en contractant son ventre. Son sexe vibre sous ma langue. Plus rien n’arrête mon élan. Son jus épicé inonde ma bouche. Je lui pelote les fesse tout en lui titillant le clitoris, qu’elle a très sensible. Parfois elle me tire par les cheveux, pour réfréner ma fièvre. Son sexe fond dans ma bouche, ma salive se mêle à ses sécrétions.

Sa chatte n’en finit pas onduler contre ma figure tandis que le siège couine sous mes assauts fougueux. Puis ses cuisses claquent contre mes oreilles. Leur pression est si forte que je ne peux plus fermer les lèvres ni remuer la langue. Elle n’en finit pas de gémir de plaisir. Les convulsions provoquées par l’orgasme contractent les parois de son vagin, ne faisant ainsi participer à sa jouissance. Quand la tension de son sexe se relâche, elle s’affale sur son siège.

-Tu sais quoi ? Me fait-elle.

-Non !

-Eh bien je vais demander à maman de t’embaucher.

-Ça ne va pas !

-Mais si, crois-moi ! Tu auras ainsi ma chatte et les culottes souillées de maman !

Les avis des lecteurs

La petite c vairment une bonne chaudasse

vraiment bandant ! Bravo ! Et merci pour le partage !



Texte coquin : Petite effrontée !
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