Petite famille lesbienne 2 (Retour d'Aline) - histoire érotique

De retour à la maison, je retrouve maman à la cuisine. En l’embrassant, je suis troublée par la ressemblance, que je connais pourtant bien, avec tante Régine sa sœur jumelle. Pourquoi ce trouble que je n’ai jamais éprouvé au paravent ? Probablement à cause de l’image que j’ai gardée de ma dernière journée de vacances. C’est comme si je n’avais pas quitté tante Régine.

- « Alors Aline, ton séjour s’est bien passé ? »
- « Oui maman, j’ai fait quelques balades avec Tatie toujours très gentille et à mes petits soins. Nous avons des discussions toujours intéressantes, elle est devenue un peu ma confidente. »
- « C’est à dire ? Tu lui confies des choses que tu ne me dis pas ? »
- « Oh tu sais, c’est comme une copine. Nous parlons d’histoires entre filles. »
- « As-tu faim ? je termine ma préparation et nous pourrons passer à table dans une petite demi-heure. »
- « Ok ! Je vais ranger mes affaires et prendre une douche. Je trouve qu’il fait très chaud. »

En me déshabillant, je retrouve mes sensations lubriques et commence à me caresser l’entre jambes. L’image de ma tante Régine devient une obsession. Après un premier orgasme obtenu rapidement, je me calme sous la douche et vais rejoindre maman à la salle à manger.

A la fin du repas nous devisons tranquillement au salon devant notre café. Maman est assise en face moi sur le canapé et sa position lui a fait remonter sa jupe en dévoilant le haut de ses bas. En temps normal, je n’aurais pas prêté attention à cette position mais étant donné mon addiction au sexe dont j’ai parlé à Tante Régine, j’avoue qu’elle est plutôt excitante le tout agrémenté d’un décolleté plongeant laissant deviner une imposante poitrine. Je ne sais pas si maman s’est aperçue de mes regards indiscrets. Il faut que je me maitrise car il s’agit de ma mère.

- « Alors ma petite Aline raconte-moi ces confidences que tu as faites à Tatie. »
- « Il n’y a rien qui puisse vraiment t’intéresser. Nous avons parlé de mes relations de camaraderie à la Fac. Elle m’a demandé si j’avais un petit copain ou une copine que j’apprécias particulièrement et nous avons échangé sur ce qui se dit sur les sœurs jumelles, les vraies jumelles comme vous. Elle m’a confirmé que lorsqu’elle discutait avec toi au téléphone, vous étiez toujours sur la même longueur d’ondes et que vous arriviez à vous transmettre vos ressentis qu’en fait vous étiez très proches l’une de l’autre. »
- « C’est vrai. Quand tu es parti de chez elle, je l’ai appelée pour savoir si ton séjour s’était bien passé. Elle m’a dit que tu avais été très câline en insistant sur la beauté de ton corps.
J’ai alors eu un sentiment indéfinissable comme si j’avais perçu une pointe de désir sexuel. »
- « Et alors, que t’a-t-elle dit d’autre, a-t-elle été plus précise ? »
- « Viens à côté de moi, ce sera plus intime. »
- « Intime ! que veux-tu dire ? Tu as parlé d’un sentiment de désir à caractère sexuel, mais encore ?
- « J’ai compris que vous vous êtes caressées était ce bien cela ? »

Le fait d’être à ses côtés et après avoir entendu « plus intime » m’émoustille. Je retrouve l’ambiance de chez ma tante avec une pointe indéfinissable de désir.

- « Oui effectivement, nous nous sommes caressées. Je sens que je vais avoir de sérieuses remontrances de ta part. »
- « Avoue que ce serait bien normal. Caresser une femme, ta tante, de l’âge de ta mère me paraît un peu déplacé d’autant que si j’ai bien compris, les caresses étaient plutôt osées. Peux-tu m’en dire plus ? Je pourrais peut-être devenir ta deuxième confidente ? »
- « Je ne sais pas ce que t’a raconté Tatie mais je suis déçue car elle m’avait dit que ce serait notre secret. Je lui ai confié mon inquiétude sur mon mental car depuis que j’avais découvert que mon corps pouvait me donner du plaisir, je me touche à toutes les occasions, au lit ou n’importe où dès que je sens monter le désir. Elle m’a rassurée en me disant qu’à mon âge, si je n’avais pas de petit copain ou copine pour faire l’amour, c’était normal. Elle m’a demandé de lui montrer et j’ai vu que ça l’excitait. »
- « Et moi, si je te demande de me montrer. »
- « Tu veux maman ? mais tu ne me fâcheras pas ? »

Je me retrouve dans la même situation que chez ma tante et sans me déshabiller, je me caresse l’entre jambes à travers ma jupe. Le désir ne tarde pas à m’envahir et je continue en remontant sur mes seins. Mes petits gémissements doivent exciter ma mère car je la vois passer une main sous sa jupe.

- « ça t’émoustille Annie de voir ta fille se branler ? Il dot t’arriver de faire la même chose. Montre-moi ta chatte. »
- « Qu’est-ce qui te prends Aline de parler de cette façon à ta mère ? Tu m’appelles rarement Annie. »
- « Si tu m’as demandé de te montrer, ce n’est probablement pas par curiosité. Ça a commencé comme ça avec Tatie et nous nous sommes données à un jeu sexuel, en clair : nous avons baisé. C’est une agréable fieffée salope ta sœur, une jouisseuse. Elle m’a faite découvrir l’amour entre femmes. J’ai l’impression que je vais devenir lesbienne. Comme jumelle serais tu comme elle ? »
- « Là je ne te reconnais plus ma fille, tu te rends compte de ton attitude et de ton langage vis-à-vis de ta mère ? »
- « Ce n’est pas moi qui ai mis ta main sous ta jupe, j’ai l’impression que tu es prête à te branler toi aussi. Libère toi, je sens que tu en as envie. »

Délaissant mes attouchements, je m’approche significativement de ma mère et la couche sur le canapé. Elle me repousse sans grande conviction.

« Arrête Aline ! tu ne vas toute de même pas violer ta mère. Tu es Folle ? »

Elle a retiré sa main que j’ai remplacé par la mienne. Elle est trempe la salope.

- « Tu vois comme tu mouilles, ça te trahis. Laisse-moi faire tu vas voir comme c’est bon. Je te vais te faire jouir. »
- « Alors je te laisse faire. Prends mon corps de vieille et amuses toi. »
- « Vous avez une obsession de votre âge avec Tatie Régine. Si tu m’excites, c’est parce que tu as amené la conversation sur ce sujet et tu me rappelles trop ta sœur. Tu m’as donné envie de toi avec ta jupe remontée sur tes cuisses, tes seins dont les tétons pointent derrière ton corsage, je vais te les bouffer. Déshabillons-nous, nos corps chauds ne demandent qu’à s’unir. J’aime bien me masturber mais me faire lécher la fente comme je l’ai découvert avec Tatie est sublime pour jouir. Veux-tu me faire ce plaisir ? »
- « Tu veux que je te lèche ? OK, mettons nos relations mère/fille entre parenthèses pour ce moment de jouissance, mais il faudra que toi aussi tu me suces. »
- « Bien sûr Annie et tu me demanderas ce que tu veux. »
- « Alors, colons nos chattes l’une à l’autre comme si nous baisions et mélangeons notre mouille, ensuite, mettons nous en 69, aspire mon clito et enfonce ta langue le plus loin possible. Fais-moi jouir une première fois. »

Cela dit, je lui écarte bien les cuisses en en lui prenant fermement les fesses pour bien rapprocher sa chatte de ma figure, j’enfourne mon nez et ma bouche dans sa toison particulièrement mouillée et cherche son bouton.

- « C’est bon ce que tu me fais Aline. Mets ta langue bien profond et aspire aussi mon jus. Je sens que mon clito est bandé au maximum. »
- « Toi aussi maman Annie suce moi bien et fait remonter ta langue derrière le long de ma raie, j’adore me faire lécher le cul, comme me l’a fait Tati. C’était la première fois et elle a su m’envoyer au ciel en peu de temps. Je lui ai demandé de recommencer pour un deuxième orgasme cette fois avec ses doigts. »
- « Tu es tellement bonne ma fille que je suis prête à jouir, tes explication décuplent mon excitation je sens que je vais t’inonder car dans une telle situation, je suis une vraie femme fontaine. Je te bouffe le cul. Je veux te faire partir en même temps que moi. »
- « ça va être sublime, je vais boire ton jus mais je vais aussi t’envoyer ma cyprine. Si tu veux et si tu as envie, envoie-moi un jet d’urine partout sur moi et surtout bien sur ma chatte. »

L’orgasme ne tarde pas à nous envahir toutes les deux et nos corps se raidissent sous l’effet de la jouissance.

- « Aurais-tu imaginé maman Annie que ta fille te ferait autant de bien ? »
- « Maintenant je suis obligée de te répondre que non pour l’imagination, jamais je n’aurais pensé avoir untel langage et une telle attitude entre nous mais je reconnais que c’était bon et je t’ai vu également jouir très fort. Il nous faut nous reposer. Après coup je me sens coupable et indigne mais je ne regrette pas. Néanmoins, nous devrons éviter de recommencer. Je ne veux pas que tu ais une image de ta mère incestueuse. »
- « Je ne crois pas que nous puissions prendre une telle résolution que pour moi, j’aurai du mal à tenir. Comme tu dis « c’était si bon » et tu sais, pour une certaine morale nous étions consentantes. Je n’ai t’ai pas violée. »
- « J’aurais peut-être souhaité !! »

Ces paroles nous font partir dans un éclat de rires.

- « Maintenant Aline, devrons nous garder secret ce moment vis-à-vis de ta tante Régine ? »
- « Nous verrons, je réfléchis à quelque chose. »