petite fleur des iles. 11
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2024 dans la catégorie Plus on est
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petite fleur des iles. 11
Petite fleur des îles. 11
Heureusement qu’il est attaché et que j’ai « la main pour tenir le manche », enfin vous voyez ce que je veux dire…Je ne mets pas longtemps avant de dégouliner comme un chéneau percé. Ça a au moins l’avantage de faciliter la friction entre nos deux sexes. Je m’escrime un long moment avant d’entendre Xavier baragouiner quelques mots déformés par la chatte d’Isis.
-Je fais chouir, je fais chouir…
Suite :
Je voudrais bien qu’il me remplisse la moule mais mes sœurs ne sont pas du même avis et me poussent pour mettre à l’air organe congestionné. Mais je veux garder la main et m’en sers pour presser cette véritable poutre qui cette fois, avec la deuxième dose qui vient s’ajouter à la première toujours bloquée derrière l’anneau de métal augmente la pression au-delà de la résistance du cokring improvisé. Une première goutte de sperme suinte du méat aussitôt suivie d’un filament blanchâtre gros comme un crayon qui s’élève dans les airs avant de finir de s’étaler du visage de Xavier à son torse légèrement poilu. Deux filaments maintenant coulent de son menton car d’autres jets s’ajoutent au premier. Ce n’est ni un éjaculateur précoce ni une carne sur le retour, Xavier ! Putain de merde ! Je comprends pourquoi certaines de ses vidéos ont autant de succès…
Nous nous battons presque pour profiter de cette manne, le goût de sa semence est légèrement salé car elle s’additionne à sa sueur. Isis en profite pour l’embrasser à pleine bouche, la petite salope.
Nous le laissons un moment récupérer après un tel exploit de ces trois furies se servant de son corps comme d’un mannequin sexuel. Nous sommes au petit soin pour lui, le faisant boire et manger quelques friandises revitalisantes. Nous lorgnions régulièrement vers son bas-ventre où la colonne de chair cache son nombril, toujours aussi raide, toujours aussi grosse.
Isis :
Ce petit intermède, détournant l’attention de Xavier lui permet enfin de légèrement débander sans pour autant rendre à son engin une taille digne du commun des mortels. Il faut dire aussi que même au repos, sa queue est déjà plus grande et volumineuse que la moyenne mondiale des chibres humains, alors !!! Bien entendu, comme Océane, il est hors de question que je reparte avec mon pucelage, je n’aurai peut-être pas d’autre occasion avant longtemps. Je m’assoie donc sur son ventre, écrasant de tout mon poids sa verge toujours tendue mais pas à son summum. Maeva de son côté enjambe le corps de Xavier pour me faire face, s’asseyant comme si c’était naturel sur son visage pour se faire dévorer la chatte, détournant Xavier de ce qui se passe plus bas. Je me redresse sur les genoux, prends le boutefeu de la main droite et m’en sers comme d’un pinceau en le promenant sur ma fente aux grandes lèvres à peine visibles. Je cherche à l’aide de son gland la position idéale pour enfin me laisser tout doucement choir sur son obélisque. La sensation que je ressens est difficile à traduire en mots. Jamais de ma courte vie quoi que ce soit n’est entré en moi à par quelques-uns de mes doigts. Et là, ce que je m’apprête à faire va me transformer en femme.
A la vue de son pal, je ne croyais pas possible qu’une telle chose puisse se glisser dans ma fente, et pourtant… Je me laisse descendre quelques centimètres supplémentaires, absorbant que son gland qui butte presque aussitôt sur mon hymen. Pendant ce temps-là, Maeva s’est penchée vers moi et m’embrasse à pleine bouche, les deux mains posées sur mes épaules en geignant car Xavier s’active avec sa langue sur son clito et je sens la main d’Océane glisser sur mes fesses avant de venir pétrir entre ses doigts les burnes de notre étalon.
Comme j’hésite plusieurs fois ne bougeant qu’à peine sur son rostre, Maeva d’un seul coup appuie de toutes ses forces sur mes épaules permettant au bélier de défoncer la porte du château-fort en m’empêchant de hurler avec ses lèvres collées aux miennes. Mon réflexe a été de contrer le plus vite possible sa perfidie mais je réalise alors que bien dix centimètres au moins du chibre de Xavier ont disparus en moi.
Maeva me laisse alors pleine liberté de mes mouvements, se reconcentrant sur ce qui se passe entre ses propres cuisses. Après un temps qui me parait infini, je commence à monter et descendre de plus en plus bas sur cette teub couverte de mon sang, arrivant à en absorber encore quelques centimètres avant de ressentir une nouvelle sensation quand le véhicule arrive au bout de l’impasse et que son pare-chocs butte contre un mur. C’est une explosion de sensations en moi que je ne saurais décrire passant par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Finalement, ce n’était pas si terrible et même si Xavier est super bien monté, je réalise qu’un vagin peut supporter de grosses tiges.
Mais Xavier qui avait l’esprit détourné par la chatte de Maeva réalise enfin qu’une deuxième minette ronronne à un autre endroit de son anatomie. Je voudrais maitriser mon corps mais je ne peux empêcher des contractions involontaires de mon conduit qui malaxe la verge. L’organe qui avait un peu perdu de sa majesté reprend alors vie avec ce traitement, toujours contrarié par l’anneau de fer pour redevenir ce gourdin massif aussi gros que le saucisson qu’on appelle le gourdin de gendarme. Mon fourreau n’a pas l’expérience de matrices aux multiples coïts et je dois dire que je déguste, encore heureux qu’il reste passif sinon…
Mes deux sœurs maintenant viennent jouer les mouches du coche, Maeva caresse mes seins, en titillant les pointes pendant qu’Océane serre sa main droite sur le fût de la hampe pour pas que son rostre me pourfende trop loin tout en pétrissant ses boules en espérant en tirer un nouveau tribu. Heureusement qu’elle m’a fait prendre la pilule… Malgré mon inexpérience, je crois qu’il apprécie ma prestation. Il nous faut de nombreuses minutes à trois pour enfin le voir réagir, je connais plusieurs orgasmes allant crescendo et mes muscles intimes broient sa verge comme le ferait un appareil électrique voulant traire son chibre.
-Vous avez gagné les filles !
Un liquide chaud et abondant pulse dans ma chatte. Mon premier homme vient de cracher en moi mais je continue ma chevauchée sur cet étalon indomptable. Quand enfin je m’écroule à côté de lui, son sperme s’échappe de mon sexe béant et fait le bonheur de mes sœurs. Pour finir de dompter l’étalon, nous nous succédons encore presque une heure sur ce pieu qui ne peut décidément débander quand il nous supplie.
-Assez les filles, assez ! Et j’ai une énorme envie de pisser. Mais avec un tel engin ça sera pas facile et surtout je vais en mettre partout. Amenez-moi après m’avoir détaché sur le balcon et on verra pour la suite.
-Si tu acceptes nos conditions Xavier, c’est d’accord, on t’attache les mains dans le dos et on te remet le foulard.
Il accepte le deal, on le mène donc sur le balcon, heureusement que la pénombre nous enveloppe quand on éteint la lumière du salon. Soudain des phares nous éclairent très brièvement, ce sont les voisins qui rentrent et viennent de tourner dans le chemin privatif. Ont-ils eu le temps de nous voir ?
(Le gourdin de tonton 16 et 17). Il faut beaucoup de volonté à Xavier pour relâcher les muscles de sa vessie et enfin commencer à uriner. Un jet continu de plusieurs mètres s’envole dans les airs avant de laisser une trace humide sur le goudron quelques mètres plus bas. Maeva ne résiste pas à l’envie de prendre en main la lance et la presse par à-coups.
Les jets saccadés sont encore plus violents et les traces s’allongent sur le bitume à plus de six mètres quand je remarque des personnes qui arrivent. Ce sont ses trois nièces… Surprises mais nullement étonnées de ce qu’elles découvrent, elles viennent au plus près des longues traces humides sur le goudron surchauffé, admirant chaque expulsion d’urine de la lance qui enfin se décongestionne un peu permettant un jet plus volumineux. Mais l’une d’entre elles nous alerte.
-Maman nous suit pour une explication avec tonton. Ça va chauffer !
Effectivement une nouvelle ombre vient d’apparaitre et se fige en voyant le spectacle. Les filles entourant des traces qui s’effacent presque immédiatement par évaporation aussitôt renouvelées par d’autres de moins en moins nombreuses. Quand elle lève les yeux, elle distingue des ombres à peine éclairées lui révélant son beau-frère entièrement nu, la queue à l’horizontal encadré par trois filles métisses tout aussi dévêtues. Après un instant d’hésitation, elle ordonne à ses filles de la suivre, fait volte-face et s’en va sans dire un mot de plus.
Je ne sais pas si Xavier a réalisé ce qui vient de se passer. Je ne crois pas. Il nous demande alors de lui retirer l’anneau métallique. Pour ça, il faut glisser les ongles sous l’anneau et tirer par petits coups sur la peau tout autour de la hampe pour faire remonter petit à petit l’anneau et enfin lui retirer cet anneau de torture.
-Bien les filles, vous avez eu ce pourquoi vous êtes venues. Allez oust et n’y revenez-pas !
Nous nous rhabillons et partons. Qu’avons-nous fait ? Que va-t-il se passer avec ses nièces et leur mère ?
Y aura-t-il une suite à cette histoire ? L’avenir vous le dira.
Heureusement qu’il est attaché et que j’ai « la main pour tenir le manche », enfin vous voyez ce que je veux dire…Je ne mets pas longtemps avant de dégouliner comme un chéneau percé. Ça a au moins l’avantage de faciliter la friction entre nos deux sexes. Je m’escrime un long moment avant d’entendre Xavier baragouiner quelques mots déformés par la chatte d’Isis.
-Je fais chouir, je fais chouir…
Suite :
Je voudrais bien qu’il me remplisse la moule mais mes sœurs ne sont pas du même avis et me poussent pour mettre à l’air organe congestionné. Mais je veux garder la main et m’en sers pour presser cette véritable poutre qui cette fois, avec la deuxième dose qui vient s’ajouter à la première toujours bloquée derrière l’anneau de métal augmente la pression au-delà de la résistance du cokring improvisé. Une première goutte de sperme suinte du méat aussitôt suivie d’un filament blanchâtre gros comme un crayon qui s’élève dans les airs avant de finir de s’étaler du visage de Xavier à son torse légèrement poilu. Deux filaments maintenant coulent de son menton car d’autres jets s’ajoutent au premier. Ce n’est ni un éjaculateur précoce ni une carne sur le retour, Xavier ! Putain de merde ! Je comprends pourquoi certaines de ses vidéos ont autant de succès…
Nous nous battons presque pour profiter de cette manne, le goût de sa semence est légèrement salé car elle s’additionne à sa sueur. Isis en profite pour l’embrasser à pleine bouche, la petite salope.
Nous le laissons un moment récupérer après un tel exploit de ces trois furies se servant de son corps comme d’un mannequin sexuel. Nous sommes au petit soin pour lui, le faisant boire et manger quelques friandises revitalisantes. Nous lorgnions régulièrement vers son bas-ventre où la colonne de chair cache son nombril, toujours aussi raide, toujours aussi grosse.
Isis :
Ce petit intermède, détournant l’attention de Xavier lui permet enfin de légèrement débander sans pour autant rendre à son engin une taille digne du commun des mortels. Il faut dire aussi que même au repos, sa queue est déjà plus grande et volumineuse que la moyenne mondiale des chibres humains, alors !!! Bien entendu, comme Océane, il est hors de question que je reparte avec mon pucelage, je n’aurai peut-être pas d’autre occasion avant longtemps. Je m’assoie donc sur son ventre, écrasant de tout mon poids sa verge toujours tendue mais pas à son summum. Maeva de son côté enjambe le corps de Xavier pour me faire face, s’asseyant comme si c’était naturel sur son visage pour se faire dévorer la chatte, détournant Xavier de ce qui se passe plus bas. Je me redresse sur les genoux, prends le boutefeu de la main droite et m’en sers comme d’un pinceau en le promenant sur ma fente aux grandes lèvres à peine visibles. Je cherche à l’aide de son gland la position idéale pour enfin me laisser tout doucement choir sur son obélisque. La sensation que je ressens est difficile à traduire en mots. Jamais de ma courte vie quoi que ce soit n’est entré en moi à par quelques-uns de mes doigts. Et là, ce que je m’apprête à faire va me transformer en femme.
A la vue de son pal, je ne croyais pas possible qu’une telle chose puisse se glisser dans ma fente, et pourtant… Je me laisse descendre quelques centimètres supplémentaires, absorbant que son gland qui butte presque aussitôt sur mon hymen. Pendant ce temps-là, Maeva s’est penchée vers moi et m’embrasse à pleine bouche, les deux mains posées sur mes épaules en geignant car Xavier s’active avec sa langue sur son clito et je sens la main d’Océane glisser sur mes fesses avant de venir pétrir entre ses doigts les burnes de notre étalon.
Comme j’hésite plusieurs fois ne bougeant qu’à peine sur son rostre, Maeva d’un seul coup appuie de toutes ses forces sur mes épaules permettant au bélier de défoncer la porte du château-fort en m’empêchant de hurler avec ses lèvres collées aux miennes. Mon réflexe a été de contrer le plus vite possible sa perfidie mais je réalise alors que bien dix centimètres au moins du chibre de Xavier ont disparus en moi.
Maeva me laisse alors pleine liberté de mes mouvements, se reconcentrant sur ce qui se passe entre ses propres cuisses. Après un temps qui me parait infini, je commence à monter et descendre de plus en plus bas sur cette teub couverte de mon sang, arrivant à en absorber encore quelques centimètres avant de ressentir une nouvelle sensation quand le véhicule arrive au bout de l’impasse et que son pare-chocs butte contre un mur. C’est une explosion de sensations en moi que je ne saurais décrire passant par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Finalement, ce n’était pas si terrible et même si Xavier est super bien monté, je réalise qu’un vagin peut supporter de grosses tiges.
Mais Xavier qui avait l’esprit détourné par la chatte de Maeva réalise enfin qu’une deuxième minette ronronne à un autre endroit de son anatomie. Je voudrais maitriser mon corps mais je ne peux empêcher des contractions involontaires de mon conduit qui malaxe la verge. L’organe qui avait un peu perdu de sa majesté reprend alors vie avec ce traitement, toujours contrarié par l’anneau de fer pour redevenir ce gourdin massif aussi gros que le saucisson qu’on appelle le gourdin de gendarme. Mon fourreau n’a pas l’expérience de matrices aux multiples coïts et je dois dire que je déguste, encore heureux qu’il reste passif sinon…
Mes deux sœurs maintenant viennent jouer les mouches du coche, Maeva caresse mes seins, en titillant les pointes pendant qu’Océane serre sa main droite sur le fût de la hampe pour pas que son rostre me pourfende trop loin tout en pétrissant ses boules en espérant en tirer un nouveau tribu. Heureusement qu’elle m’a fait prendre la pilule… Malgré mon inexpérience, je crois qu’il apprécie ma prestation. Il nous faut de nombreuses minutes à trois pour enfin le voir réagir, je connais plusieurs orgasmes allant crescendo et mes muscles intimes broient sa verge comme le ferait un appareil électrique voulant traire son chibre.
-Vous avez gagné les filles !
Un liquide chaud et abondant pulse dans ma chatte. Mon premier homme vient de cracher en moi mais je continue ma chevauchée sur cet étalon indomptable. Quand enfin je m’écroule à côté de lui, son sperme s’échappe de mon sexe béant et fait le bonheur de mes sœurs. Pour finir de dompter l’étalon, nous nous succédons encore presque une heure sur ce pieu qui ne peut décidément débander quand il nous supplie.
-Assez les filles, assez ! Et j’ai une énorme envie de pisser. Mais avec un tel engin ça sera pas facile et surtout je vais en mettre partout. Amenez-moi après m’avoir détaché sur le balcon et on verra pour la suite.
-Si tu acceptes nos conditions Xavier, c’est d’accord, on t’attache les mains dans le dos et on te remet le foulard.
Il accepte le deal, on le mène donc sur le balcon, heureusement que la pénombre nous enveloppe quand on éteint la lumière du salon. Soudain des phares nous éclairent très brièvement, ce sont les voisins qui rentrent et viennent de tourner dans le chemin privatif. Ont-ils eu le temps de nous voir ?
(Le gourdin de tonton 16 et 17). Il faut beaucoup de volonté à Xavier pour relâcher les muscles de sa vessie et enfin commencer à uriner. Un jet continu de plusieurs mètres s’envole dans les airs avant de laisser une trace humide sur le goudron quelques mètres plus bas. Maeva ne résiste pas à l’envie de prendre en main la lance et la presse par à-coups.
Les jets saccadés sont encore plus violents et les traces s’allongent sur le bitume à plus de six mètres quand je remarque des personnes qui arrivent. Ce sont ses trois nièces… Surprises mais nullement étonnées de ce qu’elles découvrent, elles viennent au plus près des longues traces humides sur le goudron surchauffé, admirant chaque expulsion d’urine de la lance qui enfin se décongestionne un peu permettant un jet plus volumineux. Mais l’une d’entre elles nous alerte.
-Maman nous suit pour une explication avec tonton. Ça va chauffer !
Effectivement une nouvelle ombre vient d’apparaitre et se fige en voyant le spectacle. Les filles entourant des traces qui s’effacent presque immédiatement par évaporation aussitôt renouvelées par d’autres de moins en moins nombreuses. Quand elle lève les yeux, elle distingue des ombres à peine éclairées lui révélant son beau-frère entièrement nu, la queue à l’horizontal encadré par trois filles métisses tout aussi dévêtues. Après un instant d’hésitation, elle ordonne à ses filles de la suivre, fait volte-face et s’en va sans dire un mot de plus.
Je ne sais pas si Xavier a réalisé ce qui vient de se passer. Je ne crois pas. Il nous demande alors de lui retirer l’anneau métallique. Pour ça, il faut glisser les ongles sous l’anneau et tirer par petits coups sur la peau tout autour de la hampe pour faire remonter petit à petit l’anneau et enfin lui retirer cet anneau de torture.
-Bien les filles, vous avez eu ce pourquoi vous êtes venues. Allez oust et n’y revenez-pas !
Nous nous rhabillons et partons. Qu’avons-nous fait ? Que va-t-il se passer avec ses nièces et leur mère ?
Y aura-t-il une suite à cette histoire ? L’avenir vous le dira.
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