Petite fleur des iles. 6
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Petite fleur des iles. 6
Petite fleur des îles.
6) : Xavier commence un cunnilingus.
Préface : L’échange par mail pendant les cinq premiers chapitres de cette histoire entre Maeva et Xavier sont un copier/coller d’un échange avec une de mes fans avec quelques coupures pour garder son anonymat. Je l’avais prévenue de la possibilité de me servir de nos échanges dans une future histoire et lui dédie donc celle-ci.
Quelques jets moins puissants achèvent de lui vider les bourses. Je ne peux résister à ce festin et me précipite pour lécher son corps et déguster sa crème. Mes lèvres sont contre ses lèvres mais il ne cherche même pas à m’embrasser. Une fois mon « nettoyage » terminé, je me redresse, prenant appui des deux mains sur sa poitrine. Je croyais découvrir un organe ayant repris sa fonction « urinatoire » mais j’ai toujours sous les yeux un organe reproducteur, peut-être un peu moins fier.
Il me regarde avec un sourire en coin avant de m’ordonner :-Recommence, je t’ai dit qu’il te faudrait beaucoup de patience, de persévérance, et un bon coup de main…
Suite : Merde ! Mais je l’ai bien cherché, Je reprends donc le travail. « Plusieurs fois sur le métier, il faut remettre son ouvrage », dit le dicton. Pour une jeune fille comme moi, ce membre noueux parcouru de grosses veines apparentes n’a rien à voir avec les queues lisses des garçons de mon âge. Son mandrin se dresse, dur, rigide, à l’horizontale entouré de quelques poils poivre et sel, soulignant le côté rustique de l’organe, ses deux boules pratiquement imberbes qui en cernent la base, gonflées, sensibles au toucher, sont pourtant d’une taille tout ce qu’il y a de « normale »… Je recommence à le sucer, à enfoncer son gland dans ma bouche, essayant d’en faire entrer le plus possible. Mais il y en a trop et l’engin durcit encore dans ma bouche grande ouverte. Je le branle vigoureusement d’une main et je palpe son lourd paquet de couilles de l’autre. Elles ne sont pas si grosses que ça, ses couilles, bien collées à la hampe. Je comprends que des femmes se mettent à plusieurs pour se goinfrer là-dessus... J’ai envie de m’envoyer une deuxième décharge de foutre au fond de la glotte, lui faire cracher sa purée…Mais je suce, je suce et je suce encore, je me régale, croyant qu’il ne va pas tenir bien longtemps avant que je me gave d’une bonne ration de sperme… Mais il me faut un temps fou avant qu’il ne se remette à grogner, que son pieu ne se tende encore plus, si c’est possible. Ma main qui malaxe ses couilles sent les deux grosses boules se coller encore plus et vibrer… il ne va plus tarder à décharger dans ma bouche. Xavier pose ses mains sur ma nuque et me baise littéralement la bouche. Je prends peur mais ne peux que le laisser faire. Je ne sais pas pourquoi mais je me vois comme une oie que l’on gave de force. Un liquide chaud et un peu âpre me remplit la gorge. Trois fantastiques giclés se succèdent, suivies de quelques autres moins violentes. Comment un homme de plus de soixante ans peut-il envoyer une telle dose après celle de tout à l’heure ?… Mes yeux pleurent, je ne peux que tout gober, sa semence coule aux coins de mes lèvres, je ne peux avaler tout ça. Son sperme coule sur mes joues, sur mon menton. Quand enfin j’en ai fini avec cet étalon sur le retour, j’en ai mal aux mâchoires, mes mains et mes bras sont pleins d’acide lactite, comme ceux d’une grande sportive qui est allé au bout de ses forces pour remporter la victoire.
Papa a invité Xavier à midi pour le déjeuner. Les travaux avancent et il lui annonce que dans deux mois, Xavier serait débarrassé de moi.
-Je ne te remercierai jamais assez pour ce que tu fais pour nous, j’espère qu’elle ne t’embête pas trop et en fait plus qu’ici, une sacrée tire-au flanc.
-Ne t’inquiètes-pas, le rassure Xavier, ce n’est pas une fée du logis mais de temps en temps Maeva sait me rendre service et astiquer quelques objets, nettoyer aussi quelques débordements. Rien ne presse…
Je rougis à ses paroles, relevant l’allusion sous-jacente. On ne peut pas dire que j’astique grand-chose chez lui à part sa bite, et pour les débordements… Pour me venger, je me mets à gauche de lui à la table, pose ma main sur sa cuisse, il la repousse plusieurs fois mais je reviens à la charge. Il cède enfin et me laisse faire, devant suivre le fil de la conversation avec papa. J’ai réussi à descendre la fermeture éclair, glisser ma main dans son short et branler la « bête ». Il résiste un bon moment avant que je ne sente sous mes doigts le résultat de mes efforts. Sa verge prend la dureté de l’acier à la forge, repoussant le short. Il a une sacrée force de caractère pour que personne ne remarque ses efforts pour rester stoïque. La fin du repas approche. A chaque fois qu’il essaie de se lever de table, je reprends mon supplice, repoussant d’autant son départ car il ne peut pas se lever dans cet état. Il écarte enfin ma main, referme avec difficulté l’avant de son short, me regardant avec des yeux furibonds. Mon père me dit de desservir la table. Je ne peux qu’obéir et Xavier en profite pour enfin pouvoir se lever et retourner chez lui une fois plus présentable.
Je fais la vaisselle avec mes sœurs. Océane me demande :-Qu’est ce que tu fichais avec le voisin ? J’ai bien vu ton manège, il avait de drôles de réactions à certains moments.
Je pourrais nier mais je veux moucher ces deux pimbêches.
-Dans dix minutes dans votre chambre, je vous montrerai.
Une fois dans leur chambre, je frappe fort et vais sur mon Smartphone, cherche un peu pour afficher sur l’écran les photos de Xavier sur certains sites et leur montre :-Ce que je fichais avec le voisin ? Regardez ! Vous voyez cette grosse teub ? Et bien, j’étais en train de la branler…Elles se regardent puis se foutent de moi ouvertement.
-Tu te fous de nous ! Ces photos, ça fait des années qu’elles tournent dans les cours des lycées, et tu voudrais nous faire croire que le « vieux » d’à coté est « équipé » comme celui que tu nous montres ? À son âge, je sais même pas s’il bande encore…et de là à être monté comme un âne…Et Isis, mon autre demi-sœur d’en rajouter une couche :-Ça fait un moment qu’on a déjà plongé la main dans les pantalons des garçons et je peux te dire qu’il ne faut pas croire à tout ce qu’on voit sur le net. Des hommes avec des chibres pareils, t’as autant de chance de tomber dessus que de gagner au loto, surtout pour celui que tu nous montres. J’ai déjà trouvé ses vidéos, en plus d’une grande queue massive, t’as vu ses éjacs ? Une vraie lance d’incendie !
Je n’insiste pas, j’étais sûre qu’en leur balançant la stricte vérité, elles ne me croiraient pas. La surprise sera plus totale quand je leur prouverai mes dires.
De retour chez Xavier, j’en prends plein la gueule.
-Mais à quoi tu joues ? Tu aurais voulu que ton père où tes sœurs te surprennent que tu n’aurais pas agi autrement ! Mais que veux-tu ? Merde !!!
-Ce que je veux ? Je veux connaître le sort de toutes les putes qui sont passé dans ton lit. Ne me dis pas que je suis trop jeune pour toi. Je suis allé plusieurs fois t’observer avec tes petites gymnastes et avec elles, tu ne te prives pas pour leur mettre la main aux fesses ou sous la poitrine pour leur faire faire des cabrioles ! Et moi… Depuis des mois je te chauffe et tu ne me touches pas, m’autorisant seulement de branler et sucer ton braquemard. J’en veux plus… Je veux que tu me prennes avec ta grosse bite, je veux jouir sous tes assauts…-Bien Maeva. Mais tu mélanges tout. Quand je touche mes gymnastes c’est pour corriger leurs positions et avec l’accord de leurs parents, pas plus… Tu es mûre maintenant, je croyais que tu ne me le demanderais jamais mais je voulais que ça vienne de toi. Tu le veux, tu l’auras. Je vais filmer la scène mais comme je ne veux pas risquer une plainte de ta part plus tard, tu vas commencer par dexpliquer devant la caméra que c’est toi qui veux que je te baise, que je ne te force pas, que tu pourras interrompre à tout moment ce que tu vas subir, d’accord ?
-D’accord Xavier.
Il m’emmène dans sa chambre, allume la caméra. Je fais mon pitch et après il commence à me caresser. Ses mains descendent petit à petit sur mon corps, il retire mon t-shirt et commence à me tripoter les seins. Il retire mon sous-tif et commence à me lécher les tétons. Je commence à gémir, les yeux clos.
Xavier me soulève pour me porter sur le lit dans ses bras puissants. Une de ses mains s’égare et me caresse la chatte par dessus ma petite culotte.
Je gémis, complètement excitée, comme la salope que je suis. Le peu que je porte par ses chaleurs fait long feu. Lui reste habillé, il se couche à côté de moi et commence à me caresser. Pour faire durer mon plaisir, il passe sa main sur ma poitrine, la fait glisser sur mon ventre pour arriver au bas-ventre avec une lenteur exaspérante. Il fait enfin glisser délicatement un doigt jusqu’à ma vulve et la caresse sans jamais y insérer son majeur. J’ai envie de crier d’exaspération, je suis déjà toute mouillée d’excitation. Xavier enfile enfin son doigt dans ma chatte, me faisant crier de plus belle :- Oh oui, aaahhh ! Vas-y ! Oooouuuuiiii !!!!
Son majeur me pénètre en douceur, juste pour tester le velours et l’humidité du lieu. C’est divin ! Je suis chaude et totalement mouillé. Il hume l’odeur que dégage ma chatte. Une odeur de musc que j’espère enivrante et aphrodisiaque pour lui. Il fourre maintenant son nez puis sa langue râpeuse dans mon jardin secret. Il embrasse ma chatte. Ce n’est pas que je sois surprise, mais rarement les garçons que j’ai connus, ne s’embarrassaient de trop de préliminaires, seulement intéressés par plonger leur sexe, s’agiter comme des fous et lâcher leur gourme puis se sauver comme des voleurs.
Jamais ma chatte n’a été embrassée et sucée de cette manière. Je me mets sur les coudes pour jeter un regard curieux, suivant le mouvement de sa bouche et de ses mains sur ma chatte. Xavier a poser ses lèvres sur mes grandes lèvres comme une demande d’introduction, puis il les écarte avec deux doigts pour prendre possession cette fois-ci de mes petites lèvres et de mon clitoris dressé comme un petit pénis, et qu’il lèche et suce avec force m’amenant vite à des sensations inconnues pour moi.
À suivre…
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
6) : Xavier commence un cunnilingus.
Préface : L’échange par mail pendant les cinq premiers chapitres de cette histoire entre Maeva et Xavier sont un copier/coller d’un échange avec une de mes fans avec quelques coupures pour garder son anonymat. Je l’avais prévenue de la possibilité de me servir de nos échanges dans une future histoire et lui dédie donc celle-ci.
Quelques jets moins puissants achèvent de lui vider les bourses. Je ne peux résister à ce festin et me précipite pour lécher son corps et déguster sa crème. Mes lèvres sont contre ses lèvres mais il ne cherche même pas à m’embrasser. Une fois mon « nettoyage » terminé, je me redresse, prenant appui des deux mains sur sa poitrine. Je croyais découvrir un organe ayant repris sa fonction « urinatoire » mais j’ai toujours sous les yeux un organe reproducteur, peut-être un peu moins fier.
Il me regarde avec un sourire en coin avant de m’ordonner :-Recommence, je t’ai dit qu’il te faudrait beaucoup de patience, de persévérance, et un bon coup de main…
Suite : Merde ! Mais je l’ai bien cherché, Je reprends donc le travail. « Plusieurs fois sur le métier, il faut remettre son ouvrage », dit le dicton. Pour une jeune fille comme moi, ce membre noueux parcouru de grosses veines apparentes n’a rien à voir avec les queues lisses des garçons de mon âge. Son mandrin se dresse, dur, rigide, à l’horizontale entouré de quelques poils poivre et sel, soulignant le côté rustique de l’organe, ses deux boules pratiquement imberbes qui en cernent la base, gonflées, sensibles au toucher, sont pourtant d’une taille tout ce qu’il y a de « normale »… Je recommence à le sucer, à enfoncer son gland dans ma bouche, essayant d’en faire entrer le plus possible. Mais il y en a trop et l’engin durcit encore dans ma bouche grande ouverte. Je le branle vigoureusement d’une main et je palpe son lourd paquet de couilles de l’autre. Elles ne sont pas si grosses que ça, ses couilles, bien collées à la hampe. Je comprends que des femmes se mettent à plusieurs pour se goinfrer là-dessus... J’ai envie de m’envoyer une deuxième décharge de foutre au fond de la glotte, lui faire cracher sa purée…Mais je suce, je suce et je suce encore, je me régale, croyant qu’il ne va pas tenir bien longtemps avant que je me gave d’une bonne ration de sperme… Mais il me faut un temps fou avant qu’il ne se remette à grogner, que son pieu ne se tende encore plus, si c’est possible. Ma main qui malaxe ses couilles sent les deux grosses boules se coller encore plus et vibrer… il ne va plus tarder à décharger dans ma bouche. Xavier pose ses mains sur ma nuque et me baise littéralement la bouche. Je prends peur mais ne peux que le laisser faire. Je ne sais pas pourquoi mais je me vois comme une oie que l’on gave de force. Un liquide chaud et un peu âpre me remplit la gorge. Trois fantastiques giclés se succèdent, suivies de quelques autres moins violentes. Comment un homme de plus de soixante ans peut-il envoyer une telle dose après celle de tout à l’heure ?… Mes yeux pleurent, je ne peux que tout gober, sa semence coule aux coins de mes lèvres, je ne peux avaler tout ça. Son sperme coule sur mes joues, sur mon menton. Quand enfin j’en ai fini avec cet étalon sur le retour, j’en ai mal aux mâchoires, mes mains et mes bras sont pleins d’acide lactite, comme ceux d’une grande sportive qui est allé au bout de ses forces pour remporter la victoire.
Papa a invité Xavier à midi pour le déjeuner. Les travaux avancent et il lui annonce que dans deux mois, Xavier serait débarrassé de moi.
-Je ne te remercierai jamais assez pour ce que tu fais pour nous, j’espère qu’elle ne t’embête pas trop et en fait plus qu’ici, une sacrée tire-au flanc.
-Ne t’inquiètes-pas, le rassure Xavier, ce n’est pas une fée du logis mais de temps en temps Maeva sait me rendre service et astiquer quelques objets, nettoyer aussi quelques débordements. Rien ne presse…
Je rougis à ses paroles, relevant l’allusion sous-jacente. On ne peut pas dire que j’astique grand-chose chez lui à part sa bite, et pour les débordements… Pour me venger, je me mets à gauche de lui à la table, pose ma main sur sa cuisse, il la repousse plusieurs fois mais je reviens à la charge. Il cède enfin et me laisse faire, devant suivre le fil de la conversation avec papa. J’ai réussi à descendre la fermeture éclair, glisser ma main dans son short et branler la « bête ». Il résiste un bon moment avant que je ne sente sous mes doigts le résultat de mes efforts. Sa verge prend la dureté de l’acier à la forge, repoussant le short. Il a une sacrée force de caractère pour que personne ne remarque ses efforts pour rester stoïque. La fin du repas approche. A chaque fois qu’il essaie de se lever de table, je reprends mon supplice, repoussant d’autant son départ car il ne peut pas se lever dans cet état. Il écarte enfin ma main, referme avec difficulté l’avant de son short, me regardant avec des yeux furibonds. Mon père me dit de desservir la table. Je ne peux qu’obéir et Xavier en profite pour enfin pouvoir se lever et retourner chez lui une fois plus présentable.
Je fais la vaisselle avec mes sœurs. Océane me demande :-Qu’est ce que tu fichais avec le voisin ? J’ai bien vu ton manège, il avait de drôles de réactions à certains moments.
Je pourrais nier mais je veux moucher ces deux pimbêches.
-Dans dix minutes dans votre chambre, je vous montrerai.
Une fois dans leur chambre, je frappe fort et vais sur mon Smartphone, cherche un peu pour afficher sur l’écran les photos de Xavier sur certains sites et leur montre :-Ce que je fichais avec le voisin ? Regardez ! Vous voyez cette grosse teub ? Et bien, j’étais en train de la branler…Elles se regardent puis se foutent de moi ouvertement.
-Tu te fous de nous ! Ces photos, ça fait des années qu’elles tournent dans les cours des lycées, et tu voudrais nous faire croire que le « vieux » d’à coté est « équipé » comme celui que tu nous montres ? À son âge, je sais même pas s’il bande encore…et de là à être monté comme un âne…Et Isis, mon autre demi-sœur d’en rajouter une couche :-Ça fait un moment qu’on a déjà plongé la main dans les pantalons des garçons et je peux te dire qu’il ne faut pas croire à tout ce qu’on voit sur le net. Des hommes avec des chibres pareils, t’as autant de chance de tomber dessus que de gagner au loto, surtout pour celui que tu nous montres. J’ai déjà trouvé ses vidéos, en plus d’une grande queue massive, t’as vu ses éjacs ? Une vraie lance d’incendie !
Je n’insiste pas, j’étais sûre qu’en leur balançant la stricte vérité, elles ne me croiraient pas. La surprise sera plus totale quand je leur prouverai mes dires.
De retour chez Xavier, j’en prends plein la gueule.
-Mais à quoi tu joues ? Tu aurais voulu que ton père où tes sœurs te surprennent que tu n’aurais pas agi autrement ! Mais que veux-tu ? Merde !!!
-Ce que je veux ? Je veux connaître le sort de toutes les putes qui sont passé dans ton lit. Ne me dis pas que je suis trop jeune pour toi. Je suis allé plusieurs fois t’observer avec tes petites gymnastes et avec elles, tu ne te prives pas pour leur mettre la main aux fesses ou sous la poitrine pour leur faire faire des cabrioles ! Et moi… Depuis des mois je te chauffe et tu ne me touches pas, m’autorisant seulement de branler et sucer ton braquemard. J’en veux plus… Je veux que tu me prennes avec ta grosse bite, je veux jouir sous tes assauts…-Bien Maeva. Mais tu mélanges tout. Quand je touche mes gymnastes c’est pour corriger leurs positions et avec l’accord de leurs parents, pas plus… Tu es mûre maintenant, je croyais que tu ne me le demanderais jamais mais je voulais que ça vienne de toi. Tu le veux, tu l’auras. Je vais filmer la scène mais comme je ne veux pas risquer une plainte de ta part plus tard, tu vas commencer par dexpliquer devant la caméra que c’est toi qui veux que je te baise, que je ne te force pas, que tu pourras interrompre à tout moment ce que tu vas subir, d’accord ?
-D’accord Xavier.
Il m’emmène dans sa chambre, allume la caméra. Je fais mon pitch et après il commence à me caresser. Ses mains descendent petit à petit sur mon corps, il retire mon t-shirt et commence à me tripoter les seins. Il retire mon sous-tif et commence à me lécher les tétons. Je commence à gémir, les yeux clos.
Xavier me soulève pour me porter sur le lit dans ses bras puissants. Une de ses mains s’égare et me caresse la chatte par dessus ma petite culotte.
Je gémis, complètement excitée, comme la salope que je suis. Le peu que je porte par ses chaleurs fait long feu. Lui reste habillé, il se couche à côté de moi et commence à me caresser. Pour faire durer mon plaisir, il passe sa main sur ma poitrine, la fait glisser sur mon ventre pour arriver au bas-ventre avec une lenteur exaspérante. Il fait enfin glisser délicatement un doigt jusqu’à ma vulve et la caresse sans jamais y insérer son majeur. J’ai envie de crier d’exaspération, je suis déjà toute mouillée d’excitation. Xavier enfile enfin son doigt dans ma chatte, me faisant crier de plus belle :- Oh oui, aaahhh ! Vas-y ! Oooouuuuiiii !!!!
Son majeur me pénètre en douceur, juste pour tester le velours et l’humidité du lieu. C’est divin ! Je suis chaude et totalement mouillé. Il hume l’odeur que dégage ma chatte. Une odeur de musc que j’espère enivrante et aphrodisiaque pour lui. Il fourre maintenant son nez puis sa langue râpeuse dans mon jardin secret. Il embrasse ma chatte. Ce n’est pas que je sois surprise, mais rarement les garçons que j’ai connus, ne s’embarrassaient de trop de préliminaires, seulement intéressés par plonger leur sexe, s’agiter comme des fous et lâcher leur gourme puis se sauver comme des voleurs.
Jamais ma chatte n’a été embrassée et sucée de cette manière. Je me mets sur les coudes pour jeter un regard curieux, suivant le mouvement de sa bouche et de ses mains sur ma chatte. Xavier a poser ses lèvres sur mes grandes lèvres comme une demande d’introduction, puis il les écarte avec deux doigts pour prendre possession cette fois-ci de mes petites lèvres et de mon clitoris dressé comme un petit pénis, et qu’il lèche et suce avec force m’amenant vite à des sensations inconnues pour moi.
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