Petite Laura, Partie 11. Le Donjon
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Petite Laura, Partie 11. Le Donjon
Belle soirée, successivement le Docteur Olivier puis les deux Maîtres m’ont possédée devant mon futur mari Rémi. Ce dernier s’est rebiffé lorsque les Maîtres m’ont proposé de me faire couper. Il doit être puni !
Renaud est parti devant, Rémi le suit, Gilbert me prend par le bras et nous les suivons. Les Maîtres ouvrent les cadenas du donjon que je n’ai jamais vu. Nous entrons. Effectivement c’est une grande pièce. Gilbert me fait regarder par une petite fenêtre. L’extension a été construite sur une butte qui jouxte le moulin. Il me fait faire le tour et énumère ce qu’il appelle les ateliers.
Au centre « le lit » une grande plate forme ronde de 60 cm de hauteur environ qui comporte 4 points d’attache ainsi que deux tendeurs ; en faisant le tour,à droite une cheval d’arçon puis une croix de St André ; plus loin sont fixées sur le mur des planches d’où sortent de tiges filetées. Au fond un râtelier d’outils divers sur le quel je reconnais plusieurs martinets, des fouets dont certains sont sans doute possible de « chats à neuf queues, des cordes, chaînes et menottes de toutes sortes. A côté une table sur laquelle trône une multitude de godes, de plug et de pinces ainsi que des outils dont je ne connais pas l’utilité. Des fils électriques avec des prises sont posés à côté de ce qui ressemble à un chargeur de batteries. Une sorte de percuteur avec un manche muni d’un gode. Sur le côté gauche un palan motorisé sur rail auquel est accrochée une barre terminée par deux chaînes munies de mousquetons… Au sol une cage grillagée en métal, des barres de fer terminées par des bracelets de cuir ! Une armoire remplie de masques, de gants, de genouillères, de mors, de brassières en cuir, de museaux et de queues de chiens…
Je ne respire plus. Je me retourne et je vois que Renaud à passé des bracelets aux poignets de Rémi qu’il accroche à la barre du palan puis attache ses chevilles à une barre qui lui maintient les jambes écartées. Avec une télécommande mon chéri est hissé en hauteur puis amené au dessus de la plate forme en bois. Un autre moteur le fait tourner sur lui même. Renaud m’emmène devant le râtelier en me disant :
- « Laura, c’est toi qui a été offensée. Ton Chéri ne te fait pas confiance et il prétend choisir à ta place entre les options que nous proposons. C’est donc à toi de commencer la punition. Attention le barème total est de 40 ! Tu vas choisir le martinet ou le fouet que tu veux mais moins il est fort et plus le nombre de frappes est important car pour arriver à 40 on multiplie la valeur de l’outil par le nombre de frappes.
J’hésite ! Pourtant j’ai bien compris que si je ne le fais pas ce sont eux qui s’en chargeront. Je choisi donc ce qui me semble moyen pour des coups moyens et un nombre moyen !. Un fouet à une lanière.
- « Bien Laura, celui là vaut 3. Tu commences quand tu veux et Rémi va compter. Ne fais pas semblant sinon c’est moins 3.
Rémi, suspendu au palan tourne lentement devant moi. J’attends qu’il soit de dos devant moi et je ne frappe pas trop fort ! Schlaak !
« Moins 3 » s’exclame Renaud recommence...
J’hésite avant de comprendre que si je fais semblant le compte part en arrière. Je frappe mon chéri plus fort, Schlaak !
Rémi souffle puis compte :
- « Zéro ;
Le premier coup, bien que trop faible selon le Maître a laissé une marque rouge. Le second pour le moment a blanchi la peau. Deux coups et on est à Zéro... J’essaie de viser plus haut car les fesses ont reçu les premières frappes. Schlaak !
- « Trois ;
Le tourniquet place mon Chéri face à moi. Sa queue semble à l’étroit dans sa cage. Il me regarde en face et tente un sourire. Un quart de tour et Schlaak !
- Hou !!! « six ;
Il serre les dents, sa bouche est crispée. J’ai honte de le frapper et j’ai peur de lui faire trop mal mais j’aime voir ce corps nu à ma merci… J’essaie de viser le bas de son dos car le coup est parti plus haut que voulu et le bout du fouet à touché son sein gauche.
-« AH ! neuf ;
Maintenant je vois cinq filets rouges qui zèbrent mon futur mari. Celui qui a touché son sein avec l’extrémité du fouet est particulièrement marqué. Je suis en train de dessiner un entrelacs de lignes rouges sur un tableau blanc. J’aime ça ! Et je recommence avec vigueur. Schlaak ! Mon Chéri a crié, je lui fait de l’effet. Il respire plusieurs fois et compte :
- « Douze
Mon vermicelle ne tient plus en cage, Les Maîtres ont accéléré la rotation et mon chéri tourne rapidement. J’ai maintenant envie de tracer une ligne verticale sur son dos... Schlaak !
- « Argh !!! » un silence puis « Quinze!
Je n’ai pas visé, j’ai atteint le torse. La ligne verticale croise celle qui avait atteint le sein. C’est joli ce croisement. Rapidement je tire à nouveau, à l’horizontale… Pourquoi ne pas tenter de tracer un Z ! Schlaak !
- Un cri puis « ; dix-huit ;
Le Z est moitié réussi… Je suis moins habile au fouet que Zorro !. C’est incroyable cette sensation de puissance, de plaisir et de domination. Mon sexe est aussi tendu dans sa cage que lorsque je suis possédée. ! Cette fois je vais tenter de tracer une verticale sur le dos. Schlaak !
- AH ! » Un cri suivi d’un râle « Vingt et un ;
Gagné, J’ai réussi une verticale qui croise les filets rouges horizontaux et en biais sur la peau blanche… Je réfléchis à la suite de mon tableau quand Maître Renaud me prend le fouet :
- Laura, n’imagine même pas devenir une domina. Reste à ta place : passive et soumise. Et puis on ne vas pas y passer la nuit.
Il jette à terre le fouet qu’il m’a arraché des mains et va au râtelier. Il y prend l’un de chats à neuf queues, celui qui est terminé par des nœuds.
- Celui là vaut 6. On va accélérer et montrer qui sont les Maîtres... Schlaak ! ,
Un cri déchirant. Les cordes se sont enroulées autour du dos et de la poitrine. Rémi en a le souffle coupé. Puis sa respiration revient, saccadée. Lorsque qu’il tourne face à nous, ses yeux sont embués de larmes. Les traces apparaissent rapidement... Nombreuses, larges.
- « Vingt-sept ».
Mon chéri arrive péniblement à prononcer ces mots. Renaud frappe à nouveau, en biais, encore plus fort . Les nouvelles marques, nombreuses, apparaissent immédiatement sur les fesses et l’abdomen. Les précédentes sont devenues violacées... Je crie !,
- Arrêtez ! J’ai le sentiment qu’au prochain coup le sang va apparaître. Je me sens honteuse d’avoir participé et avoir pris du plaisir mais là c’est trop. Rémi est muet ! C’est Gilbert qui compte
- « Trente-trois !
Je me jette sur Renaud pour lui arracher ce fouet et monte sur la plate-forme pour protéger Rémi. Maître Renaud monte derrière moi en disant, tu vas donc partager avec lui le reste. Je suis attachée face à mon chéri par mes poignets à la barre du haut et mes chevilles à ses jambes car je suis plus petite que lui.
- Gilbert, tu vas terminer cette punition avec le fouet que tu veux. Il reste 7
Ce dernier prend un petit martinet et il frappe le cul de Rémi et dit :
-- « Trente-quatre ! Celui là compte pour un point.
Mon Chéri a poussé un petit cri… Maintenant, il pose sa bouche sur mes lèvres et commence à m’embraser. J’aime cette sensation d’attente simultanée de la douleur et de la douceur de sa langue sur la mienne. Du coin de l’œil je vois Maître Gilbert poser le martinet et prendre à terre le fouet dont je me suis servie.
- « Celui-ci compte pour trois
Renaud lui commande :
- « Montre à Laura comment on s’en sert ; Il faut l’enrouler.
Schlaak ! le fouet s’enroule autour de nous, ses fesses, les miennes et ma hanche gauche
Le douleur est forte. Bien plus que lors de l’épisode des pinces à linge. Ça me brûle les fesses et sous le choc Rémi m’a mordu la langue. Je ne lui en veux pas… Au contraire ! Je pense qu’il me fait partager ce qu’il ressent. Tant de coups, il doit morfler. Il me suce la langue et les lèvres… Nos queues pourtant enfermées tressautent, cage contre cage. Nos seins se frottent les uns aux autres et nos tétons durcissent !
- « Trente-sept » compte Rémi.
Schlaak ! A nouveau la lanière nous ceinture en zébrant mes côtes et mon dos, tout comme ceux de mon Chéri. Je crie de douleur mais aussi de plaisir. Serré contre Rémi, nous sommes unis pour le meilleur et pour le pire. J’aimerais rester comme cela, enlacés ! Que dis-je enchevêtrés, soudés l’un à l’autre Des larmes coulent sur nos joues. J’aimerais qu’ici et maintenant les Maîtres nous prennent sauvagement. Je les imagine décider qui choisira Rémi, qui prendra Laura pour, simultanément se coller aux fesses rougies, les écarter, caresser le cul qui palpite , y enfoncer son mandrin pour y jeter leur semence. Ainsi, face à mon chéri nous nous ferions l’amour face à face. Je regarde Rémi et je vois son visage douloureux mouillé de larmes mais apaisé. Je sens dans ma bouche pénétrer le sel de nos larmes, le sel de la souffrance et le sel de la vie.
- « C’est terminé. Quarante ».
C’est Gilbert qui a prononcé le décompte final.
Renaud nous ramène à la réalité et douche mon rêve :
- Filez dans votre plumard maintenant... J’espère que vous vous souviendrez des règles ! .
Renaud est parti devant, Rémi le suit, Gilbert me prend par le bras et nous les suivons. Les Maîtres ouvrent les cadenas du donjon que je n’ai jamais vu. Nous entrons. Effectivement c’est une grande pièce. Gilbert me fait regarder par une petite fenêtre. L’extension a été construite sur une butte qui jouxte le moulin. Il me fait faire le tour et énumère ce qu’il appelle les ateliers.
Au centre « le lit » une grande plate forme ronde de 60 cm de hauteur environ qui comporte 4 points d’attache ainsi que deux tendeurs ; en faisant le tour,à droite une cheval d’arçon puis une croix de St André ; plus loin sont fixées sur le mur des planches d’où sortent de tiges filetées. Au fond un râtelier d’outils divers sur le quel je reconnais plusieurs martinets, des fouets dont certains sont sans doute possible de « chats à neuf queues, des cordes, chaînes et menottes de toutes sortes. A côté une table sur laquelle trône une multitude de godes, de plug et de pinces ainsi que des outils dont je ne connais pas l’utilité. Des fils électriques avec des prises sont posés à côté de ce qui ressemble à un chargeur de batteries. Une sorte de percuteur avec un manche muni d’un gode. Sur le côté gauche un palan motorisé sur rail auquel est accrochée une barre terminée par deux chaînes munies de mousquetons… Au sol une cage grillagée en métal, des barres de fer terminées par des bracelets de cuir ! Une armoire remplie de masques, de gants, de genouillères, de mors, de brassières en cuir, de museaux et de queues de chiens…
Je ne respire plus. Je me retourne et je vois que Renaud à passé des bracelets aux poignets de Rémi qu’il accroche à la barre du palan puis attache ses chevilles à une barre qui lui maintient les jambes écartées. Avec une télécommande mon chéri est hissé en hauteur puis amené au dessus de la plate forme en bois. Un autre moteur le fait tourner sur lui même. Renaud m’emmène devant le râtelier en me disant :
- « Laura, c’est toi qui a été offensée. Ton Chéri ne te fait pas confiance et il prétend choisir à ta place entre les options que nous proposons. C’est donc à toi de commencer la punition. Attention le barème total est de 40 ! Tu vas choisir le martinet ou le fouet que tu veux mais moins il est fort et plus le nombre de frappes est important car pour arriver à 40 on multiplie la valeur de l’outil par le nombre de frappes.
J’hésite ! Pourtant j’ai bien compris que si je ne le fais pas ce sont eux qui s’en chargeront. Je choisi donc ce qui me semble moyen pour des coups moyens et un nombre moyen !. Un fouet à une lanière.
- « Bien Laura, celui là vaut 3. Tu commences quand tu veux et Rémi va compter. Ne fais pas semblant sinon c’est moins 3.
Rémi, suspendu au palan tourne lentement devant moi. J’attends qu’il soit de dos devant moi et je ne frappe pas trop fort ! Schlaak !
« Moins 3 » s’exclame Renaud recommence...
J’hésite avant de comprendre que si je fais semblant le compte part en arrière. Je frappe mon chéri plus fort, Schlaak !
Rémi souffle puis compte :
- « Zéro ;
Le premier coup, bien que trop faible selon le Maître a laissé une marque rouge. Le second pour le moment a blanchi la peau. Deux coups et on est à Zéro... J’essaie de viser plus haut car les fesses ont reçu les premières frappes. Schlaak !
- « Trois ;
Le tourniquet place mon Chéri face à moi. Sa queue semble à l’étroit dans sa cage. Il me regarde en face et tente un sourire. Un quart de tour et Schlaak !
- Hou !!! « six ;
Il serre les dents, sa bouche est crispée. J’ai honte de le frapper et j’ai peur de lui faire trop mal mais j’aime voir ce corps nu à ma merci… J’essaie de viser le bas de son dos car le coup est parti plus haut que voulu et le bout du fouet à touché son sein gauche.
-« AH ! neuf ;
Maintenant je vois cinq filets rouges qui zèbrent mon futur mari. Celui qui a touché son sein avec l’extrémité du fouet est particulièrement marqué. Je suis en train de dessiner un entrelacs de lignes rouges sur un tableau blanc. J’aime ça ! Et je recommence avec vigueur. Schlaak ! Mon Chéri a crié, je lui fait de l’effet. Il respire plusieurs fois et compte :
- « Douze
Mon vermicelle ne tient plus en cage, Les Maîtres ont accéléré la rotation et mon chéri tourne rapidement. J’ai maintenant envie de tracer une ligne verticale sur son dos... Schlaak !
- « Argh !!! » un silence puis « Quinze!
Je n’ai pas visé, j’ai atteint le torse. La ligne verticale croise celle qui avait atteint le sein. C’est joli ce croisement. Rapidement je tire à nouveau, à l’horizontale… Pourquoi ne pas tenter de tracer un Z ! Schlaak !
- Un cri puis « ; dix-huit ;
Le Z est moitié réussi… Je suis moins habile au fouet que Zorro !. C’est incroyable cette sensation de puissance, de plaisir et de domination. Mon sexe est aussi tendu dans sa cage que lorsque je suis possédée. ! Cette fois je vais tenter de tracer une verticale sur le dos. Schlaak !
- AH ! » Un cri suivi d’un râle « Vingt et un ;
Gagné, J’ai réussi une verticale qui croise les filets rouges horizontaux et en biais sur la peau blanche… Je réfléchis à la suite de mon tableau quand Maître Renaud me prend le fouet :
- Laura, n’imagine même pas devenir une domina. Reste à ta place : passive et soumise. Et puis on ne vas pas y passer la nuit.
Il jette à terre le fouet qu’il m’a arraché des mains et va au râtelier. Il y prend l’un de chats à neuf queues, celui qui est terminé par des nœuds.
- Celui là vaut 6. On va accélérer et montrer qui sont les Maîtres... Schlaak ! ,
Un cri déchirant. Les cordes se sont enroulées autour du dos et de la poitrine. Rémi en a le souffle coupé. Puis sa respiration revient, saccadée. Lorsque qu’il tourne face à nous, ses yeux sont embués de larmes. Les traces apparaissent rapidement... Nombreuses, larges.
- « Vingt-sept ».
Mon chéri arrive péniblement à prononcer ces mots. Renaud frappe à nouveau, en biais, encore plus fort . Les nouvelles marques, nombreuses, apparaissent immédiatement sur les fesses et l’abdomen. Les précédentes sont devenues violacées... Je crie !,
- Arrêtez ! J’ai le sentiment qu’au prochain coup le sang va apparaître. Je me sens honteuse d’avoir participé et avoir pris du plaisir mais là c’est trop. Rémi est muet ! C’est Gilbert qui compte
- « Trente-trois !
Je me jette sur Renaud pour lui arracher ce fouet et monte sur la plate-forme pour protéger Rémi. Maître Renaud monte derrière moi en disant, tu vas donc partager avec lui le reste. Je suis attachée face à mon chéri par mes poignets à la barre du haut et mes chevilles à ses jambes car je suis plus petite que lui.
- Gilbert, tu vas terminer cette punition avec le fouet que tu veux. Il reste 7
Ce dernier prend un petit martinet et il frappe le cul de Rémi et dit :
-- « Trente-quatre ! Celui là compte pour un point.
Mon Chéri a poussé un petit cri… Maintenant, il pose sa bouche sur mes lèvres et commence à m’embraser. J’aime cette sensation d’attente simultanée de la douleur et de la douceur de sa langue sur la mienne. Du coin de l’œil je vois Maître Gilbert poser le martinet et prendre à terre le fouet dont je me suis servie.
- « Celui-ci compte pour trois
Renaud lui commande :
- « Montre à Laura comment on s’en sert ; Il faut l’enrouler.
Schlaak ! le fouet s’enroule autour de nous, ses fesses, les miennes et ma hanche gauche
Le douleur est forte. Bien plus que lors de l’épisode des pinces à linge. Ça me brûle les fesses et sous le choc Rémi m’a mordu la langue. Je ne lui en veux pas… Au contraire ! Je pense qu’il me fait partager ce qu’il ressent. Tant de coups, il doit morfler. Il me suce la langue et les lèvres… Nos queues pourtant enfermées tressautent, cage contre cage. Nos seins se frottent les uns aux autres et nos tétons durcissent !
- « Trente-sept » compte Rémi.
Schlaak ! A nouveau la lanière nous ceinture en zébrant mes côtes et mon dos, tout comme ceux de mon Chéri. Je crie de douleur mais aussi de plaisir. Serré contre Rémi, nous sommes unis pour le meilleur et pour le pire. J’aimerais rester comme cela, enlacés ! Que dis-je enchevêtrés, soudés l’un à l’autre Des larmes coulent sur nos joues. J’aimerais qu’ici et maintenant les Maîtres nous prennent sauvagement. Je les imagine décider qui choisira Rémi, qui prendra Laura pour, simultanément se coller aux fesses rougies, les écarter, caresser le cul qui palpite , y enfoncer son mandrin pour y jeter leur semence. Ainsi, face à mon chéri nous nous ferions l’amour face à face. Je regarde Rémi et je vois son visage douloureux mouillé de larmes mais apaisé. Je sens dans ma bouche pénétrer le sel de nos larmes, le sel de la souffrance et le sel de la vie.
- « C’est terminé. Quarante ».
C’est Gilbert qui a prononcé le décompte final.
Renaud nous ramène à la réalité et douche mon rêve :
- Filez dans votre plumard maintenant... J’espère que vous vous souviendrez des règles ! .
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