Petite Laura, Partie 15 Punition du coiffeur et plaisir des Maîtres.
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 44 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Portdebrest ont reçu un total de 164 661 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 2 307 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Petite Laura, Partie 15 Punition du coiffeur et plaisir des Maîtres.
La punition du Coiffeur prénommé Euryale comme l’éphèbe de la Grèce Antique a commencé avec le fouet. Elle va se poursuivre car il doit aussi être puni comme il a péché...
Pendant que je m’installe au dessus de lui, à califourchon, la tête vers son sexe et le cul tourné vers sa tête, mon Chéri fixe autour de ses couilles un anneau métallique qu’il relie à ce que je pensais être un chargeur de batterie. Il lui insère aussi un plug dont l’extrémité est métallique, relié lui aussi par un fil électrique. Enfin, il attache la barre au sol puis fait tourner les deux tendeurs de la plate-forme reliées aux cordes qui lient ses poignets. Maître Renaud lui annonce :
- « Cher éromène, tu a joui en te faisant sucer sans notre permission, c’est sous nos ordres que tu vas le payer en subissant la jouissance forcée. Chère Laura, suce le ! Prend ton temps, il doit ressentir plaisir et douleur ;
Je commence à le sucer. Sa demi molle devient rapidement dure. Je pense qu’installée comme cela, il a une vus imprenable sur ma chatte et mes olives. C’est comme cela qu’il m’avait placée dans son salon. Je ralentis comme on me l’a ordonné pour lécher la hampe et caresser ses couilles. Il halète. J’entends un Maître prononcer ces mots « force 2 » Mon coiffeur se tortille sous moi. J’imagine que c’est un courant électrique qui le chatouille. Personnellement, je ne sens rien de tel !
« force 3 » Il a eu un sursaut et tremble. « force 2 » il se tortille. Je le met en bouche. Je suce son gland et branle le manche. « Laura, accélère ! » J’obéis… « Force 4 » le corps nu se tend comme un arc, il crie et il éjacule de grands jets dans ma bouche. « zéro » Il retombe au sol. J’avale sa semence et aspire ce qui reste. Je me dit que la punition, même forcée par l’électricité à été douce ! Je reste sans bouger en attendant les ordres. Après quelques secondes :
- « Laura ! Ne le laisse pas débander, suce le à nouveau.
Je recommence à lécher la hampe et triturer les couilles. J’entends « deux » Le bassin vibre. Je délaisse les burnes, pour branler le sexe et sucer le gland. Il est à nouveau bandé. « Zéro ». Je respire et recommence avec délicatesse mes attouchements et caresses. « Cinq » Le corps se tend tout en vibrant, se détend, sursaute puis vibre. Je comprend que l’appareil électrique varie la fréquence et l’intensité.
J’ai eu un instant de crainte en raison de ces branchements électriques près de ma bouche mais le circuit entre sa prostate et ses couilles ne m’atteint pas. C’est lui qui réagit et actuellement il morfle ! J’entends des hurlements… Je m’applique à bien faire, je suce et je le branle plus vite et il éjacule à nouveau. Plusieurs petits jets dans ma bouche. C’est forcément moins abondant. Je conserve ce petit liquide salé sur ma langue…
- « Laura continue, Il aime se faire sucer, ne le prive pas, branle le à fond, tout son jus doit sortir !
Pendant que je le branle et le suce, l’appareil électrique continue à varier de force et de fréquence. Le corps sous moi s’agite ! Se tend, se détend, se tord, se crispe, se secoue… De sa bouche sortent de râles, des cris et des jurons ! j’ai du mal à le garder en bouche compte tenu de ses ruades de plus en plus saccadées alors je le branle frénétiquement. Il éjacule ou plutôt il se tend dans un effort supplémentaires, des spasmes secouent son abdomen et quelque gouttes s’écoulent du méat. Je lèche ce qui reste de sauce et me relève.
« force zéro » Laura branle le, suce le encore !
Son corps est retombé à plat sur le sol. Respiration rapide et saccadée… Je sens les pulsions des artères à l’intérieur de ses cuisses ! Il râle comme si ses poumons ne pouvaient plus réguler l’air qui passe à travers sa gorge serrée. Il n’a pas débandé… Je le suce et reprend les aller-retours de ma main sur sa tige. Je tente une gorge profonde afin d’humidifier cette queue à qui j’ai donné du plaisir mais qui maintenant le brûle a force d’être frottée. Quand je reprend ma respiration je vois l’irritation de son gland. Sa punition est maintenant réelle ;
- « Force 5
Il se tend, je ne l’entend plus respirer ni crier, juste râler… Je me demande s’il ressent autre chose que l’intensité électrique. Il s’agite de plus en plus aux changements de rythme du courant qui le traverse entre les couilles et l’anus. Je n’arrive plus à le chevaucher et donc je ne le suce plus. Je lui branle le manche vite et fort… Très vite et très fort ! Je me demande combien d’éjaculations successives sont possibles sans perdre connaissance. J’espère secrètement que les Maîtres savent ce qu’ils font ! A nouveau l’abdomen s’agite. La prostate voudrait gicler encore un peu de semence mais impossible, il n’y a plus rien pour lubrifier le conduit qui brûle d’être agité par la furie que je suis devenue.
- »Zéro ! Rémi, tu vas lui retirer le gode et l’anneau des couilles. Laura, tu reste à califourchon sur lui sans bouger.
Je vois les maîtres se pencher sur Euryale. Il respire presque normalement...
- « Je crois qu’il a compris, il demandera toujours avant de prendre des initiatives.
Maître Renaud poursuit :
- « Rémi, toi aussi tu as été bafoué. Il a perverti ta Chérie en lui demandant de le sucer sans notre accord. Tu as droit à réparation. Je vais t’enlever ta cage ! Tu vas pouvoir chérir ta Laura et elle va te sucer. Une fois libéré de son boîtier, à genoux sur l’estrade entre les jambes du coiffeur mon Chéri s’approche. J’embrasse sa bouche si douce. Nos langues se mêlent dans un baiser fougueux. J’ai tellement envie qu’il me prenne. Je caresse son membre qui grandit doucement.
Les Maîtres enlèvent la barre qui relie les pieds du Coiffeur pour y accrocher deux cordes qu’ils tirent et accrochent en hauteur, ce qui lui écarte les jambes et relève son bassin. Ma bouche descend maintenant sur les seins de mon Chéri. Ma langue s’enroule autour d’un téton pour caresser sa corolle puis du bout des dents je mordille son téton. De mes doigts, je pince l’autre ! Il gémit de plaisir ; Je retourne l’embrasser et c’est alors lui qui prend l’initiative de me caresser, de promener sa bouche, ses mains sur mes oreilles, mes paupières, mon cou, mes épaules et mes aisselles.
Les maîtres se sont installés autour de nous, comme à la parade ou plus exactement comme au spectacle. Cela les excite… ils ont commencé à se déshabiller l’un – l’autre ! Le haut des corps est nu et ils s’embrassent, se caressent. C’est émouvant de voir cette délicatesse alors que voici quelques instants ils s’occupaient du coiffeur avec leur côté masochiste. Rémi poursuit sa descente pour s’occuper de mon nombril et de mes petites noisettes maintenues sous la cage. Ses gestes sont doux, agréables et sensuels. Je suis bien ! De la tendresse, cela me fait du bien. Avec lui Je ne suis pas seulement baisable mais je ressent ce qui pourrait être de l’Amour… Maître Renaud intervient !
- « Laura, maintenant tu suces ton Chéri !
Oui, cela aussi j’aime le faire, j’aime lui faire ! Et il aime aussi car sa queue déjà un peu tendue, se dresse rapidement. Cela fait maintenant quelques semaines que son traitement aux œstrogènes a été progressivement arrêté et il est beaucoup plus vaillant, et comme on disait jadis « A cœur vaillant, rien d’impossible !» Il aime vraiment ma petite gâterie… Mais je suis inquiète ; jusqu’où pourrons-nous aller ? Les Maîtres viennent de retirer leurs pantalons… Nul doute qu’ils vont prendre des initiatives… Mais lesquelles ? Je n’ai pas le temps de réfléchir et encore moins de donner du plaisir à mon Chéri ou d’en recevoir de sa part ! Maître Renaud commande :
- « Rémi, c’est l’heure de ta vengeance ! Le cul d’Euryale t’attend… Tu vas le ramener à sa condition qui est d’être un éromène baisé par un soumis.
Rémi hésite puis obtempère. Je suis déçue de cette évolution. J’espérais vraiment recevoir sa semence dans ma chatte prête à l’accueillir. Il sait qu’à défaut, nous serons punis tous les deux et je comprend qu’il tente de me ménager. Il s’allonge sur le coiffeur et présente sa queue devant son œillet et pousse, à sec ! Il entre progressivement dans le conduit et commence à s’y agiter. Les Maîtres sont nus maintenant. Renaud s’est mis debout devant moi dans une position sans équivoque. J’ouvre la bouche pour sucer le bout. Je commence en douceur lorsqu’il demande :
- « Olivier à t’il envoyé le compte rendu des analyses de sang ?
- « Non ! » lui répond Gilbert « tu sais qu’il espère être invité ici rapidement, alors, il viendra avec !
- « J’en ai assez de baiser avec un condom ! Je veux du bareback ! Je te laisse cette salope et je vais baiser l’autre.
- « Merci Renaud, Le petit cul de Laura me va même avec capote.
Renaud se glisse alors derrière mon Chéri pour le pénétrer par derrière. Gilbert me donne sa bite à sucer qui enfle rapidement pour devenir turgescente… Quand il est bien tendu il passe derrière moi, me pousse la tête vers en bas. Je suis à genoux, les jambes écartées. Il a mouillé ses doigts et caresse mon opercule qui s’ouvre vite. Il entre les doigts, les tourne, les agite… Il fait monter mon plaisir. Dans ma tête j’imagine que c’est mon Chéri qui va ma prendre… Enfin j’espère qu’il pensera à moi au lieu de penser au cul de ce coiffeur !
En face de moi, effectivement, Mon chéri ferme les yeux, je suis sure qu’il pense à moi. Il pénètre le coiffeur et se fait pénétrer par Renaud. Il s’agite d’avant en arrière, empalant Euryale et se faisant posséder par Le Maître ! Rémi n’a pas baisé depuis de nombreux jours, aussi, il ne résiste pas. Il se crispe, son corps se tend et il jette son sperme dans l’antre qui lui fait face. Derrière lui, Renaud continue de s’activer.
Gilbert à remplacé ses doigts par sa queue. Elle est longue et pénètre profondément en moi. C’est doux. Il me me ramone par derrière un moment puis il se retire, se relève, me prend par la main, va chercher un clé et s’installe sur le côté de la plate forme. Il s’allonge sur le dos et me fait signe de me tourner vers lui, de m’accroupir sur lui. Je lui présente ma chatte et il oriente sont sexe vers l’orifice. Je descend doucement. Son gland encapuchonné caresse l’ouverture qui palpite et s’ouvre. Je descend encore, le gland est passé, je serre les fesses pour qui sente bien la progression. Je descend toujours et mes fesses touchent son pubis. Je me relève un peu, m’abaisse. Il prend la clé et retire ma cage. Mon membre est dressé, petit mais tendu. Finalement j’aime le voir exprimer son désir.
A côté, Renaud a joui en Rémi. Ce dernier s’est relevé et de sa bouche nettoie le sexe de son maître. Gilbert a passé ses mains sous mes fesses et m’incite à monter et descendre en cadence sur lui. Ainsi sa queue coulisse dans mon conduit, frappe le fond. Je le regarde, il souri, il aime me prendre et se donner du plaisir. J’aime qu’il me baise et me donne du plaisir. La cadence s’accélère ! Soudain, il lâche mes fesses et prend mon petit membre qu’il branle énergiquement. Puis il le décalotte et de son pouce frotte l’extrémité de mon gland. J’aime ça. Je serre les fesses pour mieux sentir son membre. Il serre sa main et presse son pouce sur le mien...
Je jette un coup d’œil de côté. Rémi est assit sur la bouche du coiffeur. Le jus de Maître Renaud doit dégouliner de ses entrailles pour être bu par Euryale. Rien ne doit se perdre ! Je me ressaisi pour être plus attentive à donner et recevoir du plaisir. Et quel plaisir ! Mon conduit s’enchâsse maintenant autour de son dard ; Sa main empoigne mon pénis ; Son Phallus taraude ma minette ; Ses doigts tambourinent ma nouille… Je n’en peu plus. Mon ventre est traversé de spasmes ! Mes muscle tétanisés tremblent comme des feuilles. Des jets sont expulsés en saccades… Du sperme comme j’en ai rarement vu aller si loin. De la semence blanche qui retombe sur le torse de Gilbert.
Ce dernier sursaute, se cabre et prend son plaisir… Foudroyant. Repus, il reste inerte sous moi. Béat, je reste accroupi sur lui reprenant ma respiration. A peine quelques instants et Rémi vient s’abreuver à mon jus qu’il pourlèche sur le corps de Gilbert, sur mon torse et évidemment sur mes couilles et ma verge. Une fois cela réalisé, il me fait m’allonger, retire la capote de Gilbert. Il lui suce la bite et boit le contenu du condom… Renaud intervient :
- « Rémi ! Tu t’accroupiras sur la bouche de ta petite Laura pour qu’elle boive ce qui sortira de ta chatte. Mon nectar est trop précieux pour être perdu.
Mon Chéri s’accroupit devant mon nez, retire le gode que le Maître lui a mis pour faire bouchon et la semence coule… Pas claire et pas goûtue non plus ! Retenue dans le colon quelques minutes, elle a perdu toute attirance. Mais je ne dis rien et avale le tout.
- « Bon, je vais te remettre ta cage Laura ensuite nous irons dormir dit Maître Gilbert, Rangez un peu et faites de même.
- « Et le coiffeur ?
- « Jetez lui une vieille couverture et laissez le là, attaché, on le libérera demain. Sa punition sera finie.
Ils partent lorsque Maître Renaud dit à Gilbert :
- « Demain je lancerais une invitation à Olivier le docteur. Il est temps qu’il nous dise si on peut baiser Laura à cru et si on commence la procédure de changement de sexe.
A suivre…
Merci de laisser votre commentaire et vos souhaits d’évolution de cette série d’histoires dans le cadre des commentaires ci après ou sur mail : portdebrest@yahoo.com.
Vous trouverez les épisodes 1 à 6 en recherchant l’auteur« petitelaura » sur ce site dans l’onglet « Auteurs » puis Petite Laura dans« ordre alphabétique » à la lettre P .
Pendant que je m’installe au dessus de lui, à califourchon, la tête vers son sexe et le cul tourné vers sa tête, mon Chéri fixe autour de ses couilles un anneau métallique qu’il relie à ce que je pensais être un chargeur de batterie. Il lui insère aussi un plug dont l’extrémité est métallique, relié lui aussi par un fil électrique. Enfin, il attache la barre au sol puis fait tourner les deux tendeurs de la plate-forme reliées aux cordes qui lient ses poignets. Maître Renaud lui annonce :
- « Cher éromène, tu a joui en te faisant sucer sans notre permission, c’est sous nos ordres que tu vas le payer en subissant la jouissance forcée. Chère Laura, suce le ! Prend ton temps, il doit ressentir plaisir et douleur ;
Je commence à le sucer. Sa demi molle devient rapidement dure. Je pense qu’installée comme cela, il a une vus imprenable sur ma chatte et mes olives. C’est comme cela qu’il m’avait placée dans son salon. Je ralentis comme on me l’a ordonné pour lécher la hampe et caresser ses couilles. Il halète. J’entends un Maître prononcer ces mots « force 2 » Mon coiffeur se tortille sous moi. J’imagine que c’est un courant électrique qui le chatouille. Personnellement, je ne sens rien de tel !
« force 3 » Il a eu un sursaut et tremble. « force 2 » il se tortille. Je le met en bouche. Je suce son gland et branle le manche. « Laura, accélère ! » J’obéis… « Force 4 » le corps nu se tend comme un arc, il crie et il éjacule de grands jets dans ma bouche. « zéro » Il retombe au sol. J’avale sa semence et aspire ce qui reste. Je me dit que la punition, même forcée par l’électricité à été douce ! Je reste sans bouger en attendant les ordres. Après quelques secondes :
- « Laura ! Ne le laisse pas débander, suce le à nouveau.
Je recommence à lécher la hampe et triturer les couilles. J’entends « deux » Le bassin vibre. Je délaisse les burnes, pour branler le sexe et sucer le gland. Il est à nouveau bandé. « Zéro ». Je respire et recommence avec délicatesse mes attouchements et caresses. « Cinq » Le corps se tend tout en vibrant, se détend, sursaute puis vibre. Je comprend que l’appareil électrique varie la fréquence et l’intensité.
J’ai eu un instant de crainte en raison de ces branchements électriques près de ma bouche mais le circuit entre sa prostate et ses couilles ne m’atteint pas. C’est lui qui réagit et actuellement il morfle ! J’entends des hurlements… Je m’applique à bien faire, je suce et je le branle plus vite et il éjacule à nouveau. Plusieurs petits jets dans ma bouche. C’est forcément moins abondant. Je conserve ce petit liquide salé sur ma langue…
- « Laura continue, Il aime se faire sucer, ne le prive pas, branle le à fond, tout son jus doit sortir !
Pendant que je le branle et le suce, l’appareil électrique continue à varier de force et de fréquence. Le corps sous moi s’agite ! Se tend, se détend, se tord, se crispe, se secoue… De sa bouche sortent de râles, des cris et des jurons ! j’ai du mal à le garder en bouche compte tenu de ses ruades de plus en plus saccadées alors je le branle frénétiquement. Il éjacule ou plutôt il se tend dans un effort supplémentaires, des spasmes secouent son abdomen et quelque gouttes s’écoulent du méat. Je lèche ce qui reste de sauce et me relève.
« force zéro » Laura branle le, suce le encore !
Son corps est retombé à plat sur le sol. Respiration rapide et saccadée… Je sens les pulsions des artères à l’intérieur de ses cuisses ! Il râle comme si ses poumons ne pouvaient plus réguler l’air qui passe à travers sa gorge serrée. Il n’a pas débandé… Je le suce et reprend les aller-retours de ma main sur sa tige. Je tente une gorge profonde afin d’humidifier cette queue à qui j’ai donné du plaisir mais qui maintenant le brûle a force d’être frottée. Quand je reprend ma respiration je vois l’irritation de son gland. Sa punition est maintenant réelle ;
- « Force 5
Il se tend, je ne l’entend plus respirer ni crier, juste râler… Je me demande s’il ressent autre chose que l’intensité électrique. Il s’agite de plus en plus aux changements de rythme du courant qui le traverse entre les couilles et l’anus. Je n’arrive plus à le chevaucher et donc je ne le suce plus. Je lui branle le manche vite et fort… Très vite et très fort ! Je me demande combien d’éjaculations successives sont possibles sans perdre connaissance. J’espère secrètement que les Maîtres savent ce qu’ils font ! A nouveau l’abdomen s’agite. La prostate voudrait gicler encore un peu de semence mais impossible, il n’y a plus rien pour lubrifier le conduit qui brûle d’être agité par la furie que je suis devenue.
- »Zéro ! Rémi, tu vas lui retirer le gode et l’anneau des couilles. Laura, tu reste à califourchon sur lui sans bouger.
Je vois les maîtres se pencher sur Euryale. Il respire presque normalement...
- « Je crois qu’il a compris, il demandera toujours avant de prendre des initiatives.
Maître Renaud poursuit :
- « Rémi, toi aussi tu as été bafoué. Il a perverti ta Chérie en lui demandant de le sucer sans notre accord. Tu as droit à réparation. Je vais t’enlever ta cage ! Tu vas pouvoir chérir ta Laura et elle va te sucer. Une fois libéré de son boîtier, à genoux sur l’estrade entre les jambes du coiffeur mon Chéri s’approche. J’embrasse sa bouche si douce. Nos langues se mêlent dans un baiser fougueux. J’ai tellement envie qu’il me prenne. Je caresse son membre qui grandit doucement.
Les Maîtres enlèvent la barre qui relie les pieds du Coiffeur pour y accrocher deux cordes qu’ils tirent et accrochent en hauteur, ce qui lui écarte les jambes et relève son bassin. Ma bouche descend maintenant sur les seins de mon Chéri. Ma langue s’enroule autour d’un téton pour caresser sa corolle puis du bout des dents je mordille son téton. De mes doigts, je pince l’autre ! Il gémit de plaisir ; Je retourne l’embrasser et c’est alors lui qui prend l’initiative de me caresser, de promener sa bouche, ses mains sur mes oreilles, mes paupières, mon cou, mes épaules et mes aisselles.
Les maîtres se sont installés autour de nous, comme à la parade ou plus exactement comme au spectacle. Cela les excite… ils ont commencé à se déshabiller l’un – l’autre ! Le haut des corps est nu et ils s’embrassent, se caressent. C’est émouvant de voir cette délicatesse alors que voici quelques instants ils s’occupaient du coiffeur avec leur côté masochiste. Rémi poursuit sa descente pour s’occuper de mon nombril et de mes petites noisettes maintenues sous la cage. Ses gestes sont doux, agréables et sensuels. Je suis bien ! De la tendresse, cela me fait du bien. Avec lui Je ne suis pas seulement baisable mais je ressent ce qui pourrait être de l’Amour… Maître Renaud intervient !
- « Laura, maintenant tu suces ton Chéri !
Oui, cela aussi j’aime le faire, j’aime lui faire ! Et il aime aussi car sa queue déjà un peu tendue, se dresse rapidement. Cela fait maintenant quelques semaines que son traitement aux œstrogènes a été progressivement arrêté et il est beaucoup plus vaillant, et comme on disait jadis « A cœur vaillant, rien d’impossible !» Il aime vraiment ma petite gâterie… Mais je suis inquiète ; jusqu’où pourrons-nous aller ? Les Maîtres viennent de retirer leurs pantalons… Nul doute qu’ils vont prendre des initiatives… Mais lesquelles ? Je n’ai pas le temps de réfléchir et encore moins de donner du plaisir à mon Chéri ou d’en recevoir de sa part ! Maître Renaud commande :
- « Rémi, c’est l’heure de ta vengeance ! Le cul d’Euryale t’attend… Tu vas le ramener à sa condition qui est d’être un éromène baisé par un soumis.
Rémi hésite puis obtempère. Je suis déçue de cette évolution. J’espérais vraiment recevoir sa semence dans ma chatte prête à l’accueillir. Il sait qu’à défaut, nous serons punis tous les deux et je comprend qu’il tente de me ménager. Il s’allonge sur le coiffeur et présente sa queue devant son œillet et pousse, à sec ! Il entre progressivement dans le conduit et commence à s’y agiter. Les Maîtres sont nus maintenant. Renaud s’est mis debout devant moi dans une position sans équivoque. J’ouvre la bouche pour sucer le bout. Je commence en douceur lorsqu’il demande :
- « Olivier à t’il envoyé le compte rendu des analyses de sang ?
- « Non ! » lui répond Gilbert « tu sais qu’il espère être invité ici rapidement, alors, il viendra avec !
- « J’en ai assez de baiser avec un condom ! Je veux du bareback ! Je te laisse cette salope et je vais baiser l’autre.
- « Merci Renaud, Le petit cul de Laura me va même avec capote.
Renaud se glisse alors derrière mon Chéri pour le pénétrer par derrière. Gilbert me donne sa bite à sucer qui enfle rapidement pour devenir turgescente… Quand il est bien tendu il passe derrière moi, me pousse la tête vers en bas. Je suis à genoux, les jambes écartées. Il a mouillé ses doigts et caresse mon opercule qui s’ouvre vite. Il entre les doigts, les tourne, les agite… Il fait monter mon plaisir. Dans ma tête j’imagine que c’est mon Chéri qui va ma prendre… Enfin j’espère qu’il pensera à moi au lieu de penser au cul de ce coiffeur !
En face de moi, effectivement, Mon chéri ferme les yeux, je suis sure qu’il pense à moi. Il pénètre le coiffeur et se fait pénétrer par Renaud. Il s’agite d’avant en arrière, empalant Euryale et se faisant posséder par Le Maître ! Rémi n’a pas baisé depuis de nombreux jours, aussi, il ne résiste pas. Il se crispe, son corps se tend et il jette son sperme dans l’antre qui lui fait face. Derrière lui, Renaud continue de s’activer.
Gilbert à remplacé ses doigts par sa queue. Elle est longue et pénètre profondément en moi. C’est doux. Il me me ramone par derrière un moment puis il se retire, se relève, me prend par la main, va chercher un clé et s’installe sur le côté de la plate forme. Il s’allonge sur le dos et me fait signe de me tourner vers lui, de m’accroupir sur lui. Je lui présente ma chatte et il oriente sont sexe vers l’orifice. Je descend doucement. Son gland encapuchonné caresse l’ouverture qui palpite et s’ouvre. Je descend encore, le gland est passé, je serre les fesses pour qui sente bien la progression. Je descend toujours et mes fesses touchent son pubis. Je me relève un peu, m’abaisse. Il prend la clé et retire ma cage. Mon membre est dressé, petit mais tendu. Finalement j’aime le voir exprimer son désir.
A côté, Renaud a joui en Rémi. Ce dernier s’est relevé et de sa bouche nettoie le sexe de son maître. Gilbert a passé ses mains sous mes fesses et m’incite à monter et descendre en cadence sur lui. Ainsi sa queue coulisse dans mon conduit, frappe le fond. Je le regarde, il souri, il aime me prendre et se donner du plaisir. J’aime qu’il me baise et me donne du plaisir. La cadence s’accélère ! Soudain, il lâche mes fesses et prend mon petit membre qu’il branle énergiquement. Puis il le décalotte et de son pouce frotte l’extrémité de mon gland. J’aime ça. Je serre les fesses pour mieux sentir son membre. Il serre sa main et presse son pouce sur le mien...
Je jette un coup d’œil de côté. Rémi est assit sur la bouche du coiffeur. Le jus de Maître Renaud doit dégouliner de ses entrailles pour être bu par Euryale. Rien ne doit se perdre ! Je me ressaisi pour être plus attentive à donner et recevoir du plaisir. Et quel plaisir ! Mon conduit s’enchâsse maintenant autour de son dard ; Sa main empoigne mon pénis ; Son Phallus taraude ma minette ; Ses doigts tambourinent ma nouille… Je n’en peu plus. Mon ventre est traversé de spasmes ! Mes muscle tétanisés tremblent comme des feuilles. Des jets sont expulsés en saccades… Du sperme comme j’en ai rarement vu aller si loin. De la semence blanche qui retombe sur le torse de Gilbert.
Ce dernier sursaute, se cabre et prend son plaisir… Foudroyant. Repus, il reste inerte sous moi. Béat, je reste accroupi sur lui reprenant ma respiration. A peine quelques instants et Rémi vient s’abreuver à mon jus qu’il pourlèche sur le corps de Gilbert, sur mon torse et évidemment sur mes couilles et ma verge. Une fois cela réalisé, il me fait m’allonger, retire la capote de Gilbert. Il lui suce la bite et boit le contenu du condom… Renaud intervient :
- « Rémi ! Tu t’accroupiras sur la bouche de ta petite Laura pour qu’elle boive ce qui sortira de ta chatte. Mon nectar est trop précieux pour être perdu.
Mon Chéri s’accroupit devant mon nez, retire le gode que le Maître lui a mis pour faire bouchon et la semence coule… Pas claire et pas goûtue non plus ! Retenue dans le colon quelques minutes, elle a perdu toute attirance. Mais je ne dis rien et avale le tout.
- « Bon, je vais te remettre ta cage Laura ensuite nous irons dormir dit Maître Gilbert, Rangez un peu et faites de même.
- « Et le coiffeur ?
- « Jetez lui une vieille couverture et laissez le là, attaché, on le libérera demain. Sa punition sera finie.
Ils partent lorsque Maître Renaud dit à Gilbert :
- « Demain je lancerais une invitation à Olivier le docteur. Il est temps qu’il nous dise si on peut baiser Laura à cru et si on commence la procédure de changement de sexe.
A suivre…
Merci de laisser votre commentaire et vos souhaits d’évolution de cette série d’histoires dans le cadre des commentaires ci après ou sur mail : portdebrest@yahoo.com.
Vous trouverez les épisodes 1 à 6 en recherchant l’auteur« petitelaura » sur ce site dans l’onglet « Auteurs » puis Petite Laura dans« ordre alphabétique » à la lettre P .
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Portdebrest
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...