Petite Laura, Partie 24. Le jour de vengeance est arrivé
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Petite Laura, Partie 24. Le jour de vengeance est arrivé
Le jour de ma vengeance est arrivé ! Je repense à la leçon que j’ai reçue. J’ai mis plusieurs jours pour m’en remettre. Je n’ai pas cédé et j’ai tenu à faire honneur à mes Maîtres en leur prouvant que j’étais capable d’encaisser beaucoup pour leur faire plaisir. Cette épreuve, destinée à m’apprendre le plaisir de supplicier un soumis m’a fait découvrir le bonheur de souffrir pour mes Maîtres. Cependant, je n’oublie pas les idées de vengeance que j’ai eues durant cette soirée. Au contraire, j’ai eu le temps de m’y préparer et, avec Mon Chéri d’affiner la stratégie.
Certes, ce sont nos Maîtres qui m’ont fustigée mais c’était pour me préparer en vue de la punition de Lélaps... L’obéissance que je dois à mes Maîtres ne me permet pas de leur en vouloir. Au contraire, je dois leur prouver ma fidélité ! C’est donc Lélaps qui sera l’objet de mon courroux et il va prendre cher d’autant que je vais avoir carte blanche ! Cela n’apaisera pas complètement ma rage car l’initiateur de tout cela c’est Cerbère. Je tourne et retourne la question dans ma tête : Comment organiser ma vengeance contre un autre Maître sans attirer l’attention ? Ce qui se passera ensuite m’est égal même si je dois en payer le prix.
Je sais pourtant que l’addition peut être salée. Je ne suis en effet pas près d'oublier ler les 10 coups de fouet qui ont conclu ma formation. Lorsque mon cœur battait la chamade dans l’attente de nouvelles cinglées. j’entendais le sifflement du fouet en craignant la morsure du pétard, le bien nommé, fixé au bout de la languette. Après les percussions sur ma poitrine, mon ventre et mes cuisses, je me demandais bien où frapperaient les suivantes. Et je redoutais surtout que Maître Renaud vise mon sexe d’homme qu’il avait voulu émasculer (voir épisodes précédents) !!!
Aurais-je alors le courage de tenir bon ? Une inflammation intense irradiait déjà mes chairs et je me demandais si je pourrais en endurer davantage. Ma décision était prise, je préférais m’évanouir de douleur plutôt que de monter un signe de désobéissance ou de faiblesse. Il visa mes seins ! Je hurlais d’effroi et de souffrance. A cet instant, je l’aurais maudit et l’instant suivant je me réjouissait de lui avoir offert ce plaisir, de savoir que j’étais toute à lui, à Gilbert et aussi à Rémi. Je serrais les mâchoires car le mot rouge aurait pu sortir de ma bouche. Ce furent deux bouches, celle de Gilbert et celle d’Olivier qui crièrent « ROUGE! ».
Ce fut aussitôt la fin de mon supplice. Détachée, ils m’ont massée tendrement avec du baume apaisant. Peu à peu, au fur et à mesure que je reprenais mes esprits, les massages sont devenus caresses et les bisous des léchouilles. Les yeux toujours bandés, j’ai reconnu Mon Chéri. Il avait été détaché et est venu m’embrasser, que dis je... me rouler des pelles. Mes nerfs toujours à vif ressentaient le moindre frôlement et chaque attouchement devenait papouille. Tandis que Rémi me consolait me palpant le cou, les oreilles et les lèvres, une main est venue prendre mes coucougnettes avec délicatesse. -Olivier peut-être ?- Heureusement mes parties n’avaient pas été victimes de la schlague.
La main a décalotté mon gland… me donnant l’impression que toutes mes terminaisons nerveuses s’étaient regroupées à cet endroit. Une langue a encerclé son contour ! C’était trop. Je suis partie en transe, vibrant de tous mes muscles. J’ai joui, sans me toucher et sans éjaculer, juste une onde de douleur et de chaleur qui a traversé mon ventre, secoué mes abdos, pressurisé ma glande anale.
Une fois calmée, Mon Chéri était descendu vers mes seins afin de les soigner. Il léchait aussi les tétons heureusement épargnés quand des mains ont relevé mes jambes doucement puis écarté mes fesses. Une langue voulait cueillir mon œillet. Le contraste était saisissant. Mes fesses agrippées pour ouvrir la voie étaient bouillantes et douloureuses. Mon anus, chaud comme la braise était réceptif à toute invasion. Il palpitait d’envie comme un cœur qui propulse le sang dans les artères. Un phallus s’est présenté pour entrer comme aspiré par la dépression de mes intestins. J’ai joui à nouveau de l’intérieur et celui qui venait de me pénétrer s’est répandu en moi. Lorsqu’il s’est retiré, un autre membre est venu visiter ma Chatte et y catapulter sa sève. Mon Chéri m’a ensuite ramenée dans notre chambre pour une longue convalescence au cours de laquelle je me suis offerte à lui.
Depuis, Maître Gilbert m’a emmenée à plusierus reprises chez un infirmier pour me soigner et aussi pour poursuivre mon traitement. Ma nouille et mes noisettes ont rétrécit, mes poils poussent moins ; En revanche mes seins ont pris un peu de volume.
Cet après-midi Gilbert m’a entraînée dans la cour du Moulin. Je suis habillée toute de blanc, en Sissy, chemisier décolleté, jupe au raz de la moule, dos nu, pas de culotte, bas de dentelles, chaussures à talons hauts. Sous le corsage, je porte un harnais composé de lanières de cuir blanc formant les bordures de deux triangles d’un soutien-gorge entourant mes seins, sans les cacher afin de les mettre en valeur. Les marques de mon bizutage ont disparu en quelques semaines. J’ai mis tous mes bijoux, bagues, Rosebud, boutons d’oreille et piercing au téton. Je ne porte plus de cage à pénis car je n’en n’ai plus besoin.
Une voiture passe le portail. Trois passagers… Le chauffeur sort. Maître Gilbert l’accueille. Deux autres mecs sortent aussi et enlèvent immédiatement leurs survêtements qu’ils jettent dans la voiture. Ils sont nus dessous à part des genouillères, des sandales, un collier et un gode queue…
- « Laura, Je te présente Cerbère, celui qui t’a choisie pour dresser son soumis. Va avec ses deux chiens pour ouvrir le coffre du véhicule.
Un quatrième passager y est attaché avec des menottes aux mains et des chaînes aux pieds. Un bâillon en forme d’os pour chien en bouche, une queue poilue fixée dans son cul et une cage qui emprisonne son zob. Ses mains sont gantées, ses pieds nus, des genouillères couvent ses rotules. Ses compagnons le soulèvent et le jettent au sol. Cerbère s’approche de moi :
- « Enchanté Laura, voici ton cadeau, une chaîne de cheville en or. J’espère que tu te souviendra ainsi à qui tu es attachée ! Voici Orthos, mon aîné. Sa mission est tout simplement de veiller sur le chenil de son frère cadet , c’est pour cela qu’il est autorisé à posséder un martinet; Voici Argos, le jeune toutou fidèle à son Maître. Allez, remue la queue et baisse les oreilles. Le troisième, au sol c’est Lélaps, mon chien le plus puissant. Il est difficile à prendre et peut terroriser les faibles, c‘est pour cela qu’il est encagé et muselé.
Cerbère leur commande alors de traîner Lélaps à l’intérieur et de l’installer comme il le mérite. Je remarque le martinet qui est attaché à la ceinture d’Orthos. Gilbert nous emmène au salon. Il s’assoit à côté de Maître Renaud et Cerbère dans un fauteuil. Les 3 chiens sont à quatre pattes devant leur Maître. Je suis debout avec Rémi en face de nos Maîtres.
Après quelques paroles de bienvenue et les échanges habituels sur les affaires et la santé, Cerbère demande à ses soumis de masquer la vue de Lélaps avec un bandeau afin qu’il soit concentré sur les bruits, que ses autres sens soient renforcés et que son impatience de découvrir ce qui lui est réservé soit plus forte que sa peur. Avec Mon Chéri, nous servons des rafraîchissements et des petits fours aux maîtres puis nous remplissons d’eau une gamelle pour les chiens.
Quand le gentil Argos a bu, il laisse la place à Orthos. Ce dernier, quand il a terminé pisse dans l’écuelle qu’il donne à boire à Lélaps. Quand ce dernier sent l’odeur, il rechigne, alors Orthos lui donne deux coups de martinet et aidé par Argos, lui tient la gueule dans le liquide odorant pour le forcer à en laper le contenu !
Le buffet étant consommé, Maître Renaud se dirige vers le Donjon, suivi par Cerbère qui tire Lélaps avec une Laisse. Nous suivons avec Rémi puis les deux autres toutous, toujours à quatre pattes. Le Donjon est prêt et le cercle de l’Homme de Vitruve, réglé pour la taille de Lélaps est posé au sol. Les canidés observent cet instrument qu’ils n’avaient jamais vu et Cerbère prend la parole :
- « Voici Lélaps, chien infidèle. J’ai racheté sa dette et il m’appartient ! Pourtant Orthos n’arrive plus à le maîtriser avec son martinet. Il doit être remis à la place qui est la sienne, celle d’un bâtard d’esclave. C’est pour cela que j’ai demandé que ce soit la Petite soumise Laura qui lui donne la correction qu’il mérite. Elle doit être sans pitié. Il n’y aura pas de mot de sécurité. Moi seul déciderais si et quand il faudra arrêter. Attachez le maintenant !
Nous ne sommes pas trop de quatre, les deux toutous, mon Chéri et moi pour le maintenir à terre. Les Maîtres sont venus à la rescousse pour lui mettre les bracelets et fixer ses poignets au bord du cercle. Il fixent également une cheville à un des cale-pieds et trouvent que le second est éloigné. Avec Rémi, nous lui écartons de force les jambes. Nous avons fait exprès de régler les cales avec un grand écartement. Ainsi, son poids, mal retenu par ses jambes exercera une traction plus forte sur ses bras et l’accès à ses parties intimes sera facilité.
Maintenant, nous lui enlevons ses genouillères et sa cage à bite afin que son corps soit entièrement exposé. Maître Renaud relève le cercle et Lélaps est maintenant pendu au centre. Mais pour moi, cela n’est pas suffisant. Je lie ses burnes par plusieurs tours de cordon afin de bien les tenir et je les fixe à un tendeur en bas du cercle. Enfin, sans préparation, je lui retire sa queue de chien et lui enfile dans le cul un crochet en acier terminé par une boule. J’attache ensuite ce crochet à un autre tendeur en haut du cercle. Ainsi, il est bien maintenu attaché au cercle par ses quatre membres et ses deux sexes.
Maître Renaud commence à mouvoir le cercle afin de faire une démonstration. Tête en bas, le poids du corps tire sur les couilles de Lélaps. Le cercle pivote pour qu’il ait la tête en haut et c’est la boule qui l’encule plus profond. Je resserre les tendeurs. Alors que Maître Renaud me dit que c’est à moi de jouer, je vais chercher quelques plants cueillis plus tôt dans le jardin. J'entends quelques murmures d’approbation. J’avance dans le plus grand silence afin de faire monter la tension.
D’un seul coup, je frotte sur ses reins les urticacées. L'effet est quasi immédiat et réveille instantanément de jolies et douces sensations douloureuses. Je monte plus haut, cela le pique et se transforme rapidement en démangeaison. J’ai pris soin de mettre des gants pour manier ces belles orties que j’ai choisies très hautes. Je continue sur la peau des cuisses et le ventre. Il s’agite de plus en plus, se secoue et je suis heureuse de voir que ses bourses et son troufignon sont étirés à chaque secousse. Je laisse passer le temps car sais que la démangeaison va s'intensifier progressivement pour durer de 30 minutes au moins. Des petits boutons sont apparus !
Je m’éloigne un peu en marchant bruyamment et revient à petits pas silencieux. Il bande le con, s’il savait ! Mon chéri m’a préparé un bol de feuilles et de morceaux de tiges fraîches à poils urticants dont je prends une pleine poignée avec laquelle je lui frotte le pénis et le gland qui est bien dégagé. Il sursaute, se débat mais j’insiste ! Sur les muqueuses l’effet est exacerbé alors sur son gland le résultat me semble divin. En tout cas, il se débat comme un beau diable ! Je le branle avec une nouvelle poignée d’orties… Je termine ensuite en lui plaquant sur les tétons deux bandes adhésives que Rémi a enduites de poils urticants. Je le laisse ainsi se secouer car il espère vainement que les orties tombent.
Comme les piqûres et démangeaisons vont durer un moment, je vais assurer le spectacle jusqu’à ce que l’effet urticant commence à diminuer. Je vais vers Cerbère pour lui demander si Argos peut venir jour avec moi. C’est inattendu pour lui mais cela fait partie du plan imaginé pour ma vengeance.
- « Oui, bien sur, mais tu ne dois pas le punir » me répond il.
Comme c’est le gentil toutou de son Maître, je vais le traiter comme tel. Il est toujours nu et à quatre pattes. Je le promène avec une laisse devant l’assemblée lui fait boire dans la gamelle ou il reste un peur du mélange d’eau et de l’urine d’Orthos. Il lape le reste sans se rebeller. Pour le remercier, en prenant mon temps, je le caresse « bon chien ! » la tête, le dos, les fesses.
Je retire sa queue pour lui donner le plug à sucer et je vais renifler son œillet comme le feraient deux chiens de bonne compagnie. Puis je le retourne sur le dos pour sucer ses cerises. Cela lui plaît beaucoup. Je relève ma jupette et m’installe donc en 69 sur lui pour qu’il bouffe mes noisettes. Il n’hésite pas une seule seconde. C’est bon. Son trou du cul est bien ouvert et j’y insère le bout de ma langue. Argos tente de me retirer mon Rosebud. Fermement je lui dit :
- « N’y touche pas !
Il prend alors mes billes en main et les triture à travers la peau des bourses. Il lèche ma petite queue et hésite un peu avant de la prendre en bouche. Ça, il peut le faire, ça n’engage à rien et ça ne servira sans doute à rien ! Cette fois c’est moi qui lui enfile un index… Je le remue à l’intérieur, le retire pour mettre le majeur à la place, ça glisse plus profondément. Puis, l’index et le majeur ensemble. ça entre bien, je tourne en entrant ! Il couine gentiment. Bon, trois doigts simultanément. C’est serré. J'en déduits que le petit toutou à son Maître ne s’est jamais pris une double pénétration ! Pourtant cela lui ferait du bien !
Du coin de l’œil, je vois que Lélaps se débat moins. Les irritations se réduisent. Je ne suis pas le seul à l’avoir remarqué. Maître Renaud s’est levé. Il empoigne un seau d’eau qu’il jette sur Argos et moi :
- « Décollez vous les chiens ! Vous n’êtes pas là pour baiser. Laura reprend ta fonction.
Nous sommes trempés. Argos cherche à se blottir dans les bras de Cerbère, mes habits dégoulinent. Cela ne fait rien, au contraire, ça peut alimenter la suite de mon plan. Maître Renaud à posé un martinet à lanières de latex sur le bord. Je commence par arracher violemment les adhésifs de la poitrine de Lélaps et fais signe à Argos de prendre le balai. Je fais tournoyer le martinet sur tout le corps de Lélaps. Argos balaie les morceaux d’orties que je fais tomber. Le gentil toutou ne s’attendait pas à faire le ménage ici.
Je commence à avoir froid dans mes fringues mouillées… Pendant qu’Argos continue le nettoyage, je fais signe à Orthos de venir moi et d’enlever mes habits trempés. Évidemment, il prend son temps et après être allé chercher un ciseau, il taillade l’avant de mon chemisier puisque l’arrière est un dos nu puis ma jupette. Argos qui a terminé le nettoyage de la pièce vient vers moi pour me caresser les tétons. Ses mains sont chaudes. Sa bouche aussi qui se colle à la mienne. Je suis certain que Mes Maîtres en feraient bien leur dessert s’il n’était pas la propriété de Cerbère.
Lélaps s’agite dans le cercle. C’est vrai qu’attendre sans savoir à quel moment et avec quel instrument se déroulera la suite est aussi une forme de supplice. Bien fait ! Orthos a terminé la lacération de ma jupe raz-du cul ; Il se colle à mon dos et me mordille le cou. Je sens dans ma raie la protubérance que forme sa cage à bite. Si ça lui fait plaisir tant mieux pour lui mais il n’ira pas bien loin. Argos, lui, a saisi mes prunes qu’il pétrit gentiment. Il me suce et mordille un téton, il ne va pas tarder à descendre pour me prendre en bouche… C’est très agréable !
Deux coups de martinet nous cinglent. C’est Maître Renaud qui a bondit et frappé :
- « Terminés les attouchements ! Aujourd’hui, seuls les sados et les masos peuvent prendre du plaisir.
Comme je suis coincée entre mes deux comparses, je n’ai rien senti, par contre Orthos a crié de stupeur et maintenant le gentil Argos pleure dans les bras de son Maître. Lélaps, lui aussi s’est raidi. Ne sachant pas ce qui se passait, il a cru que sa séance de punition recommençait. Il ne perd rien pour attendre ! Cerbère est mécontent et le fait savoir car il est venu pour punir le récalcitrant, pas le gardien de son chenil et encore moins son bon soumis. Renaud lui répond :
- « Alors que la punition se poursuive… Laura, c’est à toi !
Je vais prendre un autre martinet qui possède un bon manche en bois pour la prise en main. La seconde partie, celle qui frappe le maso est constituée de nombreuses lanières. Les lanières du martinet précédent étaient en Daim, très caressantes pour les préliminaires ; Celles ci sont à lanières de cuir, d’une efficacité certaine. L’un des incontournable du sadomasochisme. Tout s’articule autour des mouvements du poignet du donneur. Pour l’avoir goûté par le biais de mains expertes, la sensation est radicalement différente !
Je fais signe à Orthos de revenir avec son propre martinet et en silence nous nous installons de chaque côté de Lélaps. Maître Renaud a compris la manœuvre et fait tourner le cercle de Vitruve. Lélaps a senti le mouvement qui l’entraîne… Je laisse passer quelques moments pour voir les côtés pile et face du corps entièrement nu tourner plusieurs fois devant moi. Pour qu’il sente le vent et qu’il entende leur son, nous faisons tournoyer les martinets.
Au cinquième passage, je frappe les fesses, au sixième à nouveau son croupion et au demi tour qui suit je fais signe à Orthos pour qu’il lui corrige son pétard tandis que je percute son torse. Encore un demi tour et je meurtris son popotin tandis qu’Orthos moleste son ventre. Lélaps est frappé simultanément de face et sur le dos, à chaque demi tour quelque part entre les épaules et les mollets… Renaud a accéléré la rotation du cercle, le pilonnage est plus rapide. Nous tenons la cadence. Insensiblement la vitesse a augmenté et la puissance des impacts également. Je ne sais combien de temps cela dure. Je suis en sueur lorsque Cerbère ordonne une pause.
Lélaps n’a rien dit, pas même soupiré. Il a le droit de boire de l’eau mais ne reçoit ni baume ni réconfort.
N’hésitez pas à me donner votre avis, c'est tellement important pour moi et si vous voulez une photo de Petite Laura dont les seins ont un peu grossi… envoyez un mail : (Portdebrest@yahoo.com)
A suivre…
Certes, ce sont nos Maîtres qui m’ont fustigée mais c’était pour me préparer en vue de la punition de Lélaps... L’obéissance que je dois à mes Maîtres ne me permet pas de leur en vouloir. Au contraire, je dois leur prouver ma fidélité ! C’est donc Lélaps qui sera l’objet de mon courroux et il va prendre cher d’autant que je vais avoir carte blanche ! Cela n’apaisera pas complètement ma rage car l’initiateur de tout cela c’est Cerbère. Je tourne et retourne la question dans ma tête : Comment organiser ma vengeance contre un autre Maître sans attirer l’attention ? Ce qui se passera ensuite m’est égal même si je dois en payer le prix.
Je sais pourtant que l’addition peut être salée. Je ne suis en effet pas près d'oublier ler les 10 coups de fouet qui ont conclu ma formation. Lorsque mon cœur battait la chamade dans l’attente de nouvelles cinglées. j’entendais le sifflement du fouet en craignant la morsure du pétard, le bien nommé, fixé au bout de la languette. Après les percussions sur ma poitrine, mon ventre et mes cuisses, je me demandais bien où frapperaient les suivantes. Et je redoutais surtout que Maître Renaud vise mon sexe d’homme qu’il avait voulu émasculer (voir épisodes précédents) !!!
Aurais-je alors le courage de tenir bon ? Une inflammation intense irradiait déjà mes chairs et je me demandais si je pourrais en endurer davantage. Ma décision était prise, je préférais m’évanouir de douleur plutôt que de monter un signe de désobéissance ou de faiblesse. Il visa mes seins ! Je hurlais d’effroi et de souffrance. A cet instant, je l’aurais maudit et l’instant suivant je me réjouissait de lui avoir offert ce plaisir, de savoir que j’étais toute à lui, à Gilbert et aussi à Rémi. Je serrais les mâchoires car le mot rouge aurait pu sortir de ma bouche. Ce furent deux bouches, celle de Gilbert et celle d’Olivier qui crièrent « ROUGE! ».
Ce fut aussitôt la fin de mon supplice. Détachée, ils m’ont massée tendrement avec du baume apaisant. Peu à peu, au fur et à mesure que je reprenais mes esprits, les massages sont devenus caresses et les bisous des léchouilles. Les yeux toujours bandés, j’ai reconnu Mon Chéri. Il avait été détaché et est venu m’embrasser, que dis je... me rouler des pelles. Mes nerfs toujours à vif ressentaient le moindre frôlement et chaque attouchement devenait papouille. Tandis que Rémi me consolait me palpant le cou, les oreilles et les lèvres, une main est venue prendre mes coucougnettes avec délicatesse. -Olivier peut-être ?- Heureusement mes parties n’avaient pas été victimes de la schlague.
La main a décalotté mon gland… me donnant l’impression que toutes mes terminaisons nerveuses s’étaient regroupées à cet endroit. Une langue a encerclé son contour ! C’était trop. Je suis partie en transe, vibrant de tous mes muscles. J’ai joui, sans me toucher et sans éjaculer, juste une onde de douleur et de chaleur qui a traversé mon ventre, secoué mes abdos, pressurisé ma glande anale.
Une fois calmée, Mon Chéri était descendu vers mes seins afin de les soigner. Il léchait aussi les tétons heureusement épargnés quand des mains ont relevé mes jambes doucement puis écarté mes fesses. Une langue voulait cueillir mon œillet. Le contraste était saisissant. Mes fesses agrippées pour ouvrir la voie étaient bouillantes et douloureuses. Mon anus, chaud comme la braise était réceptif à toute invasion. Il palpitait d’envie comme un cœur qui propulse le sang dans les artères. Un phallus s’est présenté pour entrer comme aspiré par la dépression de mes intestins. J’ai joui à nouveau de l’intérieur et celui qui venait de me pénétrer s’est répandu en moi. Lorsqu’il s’est retiré, un autre membre est venu visiter ma Chatte et y catapulter sa sève. Mon Chéri m’a ensuite ramenée dans notre chambre pour une longue convalescence au cours de laquelle je me suis offerte à lui.
Depuis, Maître Gilbert m’a emmenée à plusierus reprises chez un infirmier pour me soigner et aussi pour poursuivre mon traitement. Ma nouille et mes noisettes ont rétrécit, mes poils poussent moins ; En revanche mes seins ont pris un peu de volume.
Cet après-midi Gilbert m’a entraînée dans la cour du Moulin. Je suis habillée toute de blanc, en Sissy, chemisier décolleté, jupe au raz de la moule, dos nu, pas de culotte, bas de dentelles, chaussures à talons hauts. Sous le corsage, je porte un harnais composé de lanières de cuir blanc formant les bordures de deux triangles d’un soutien-gorge entourant mes seins, sans les cacher afin de les mettre en valeur. Les marques de mon bizutage ont disparu en quelques semaines. J’ai mis tous mes bijoux, bagues, Rosebud, boutons d’oreille et piercing au téton. Je ne porte plus de cage à pénis car je n’en n’ai plus besoin.
Une voiture passe le portail. Trois passagers… Le chauffeur sort. Maître Gilbert l’accueille. Deux autres mecs sortent aussi et enlèvent immédiatement leurs survêtements qu’ils jettent dans la voiture. Ils sont nus dessous à part des genouillères, des sandales, un collier et un gode queue…
- « Laura, Je te présente Cerbère, celui qui t’a choisie pour dresser son soumis. Va avec ses deux chiens pour ouvrir le coffre du véhicule.
Un quatrième passager y est attaché avec des menottes aux mains et des chaînes aux pieds. Un bâillon en forme d’os pour chien en bouche, une queue poilue fixée dans son cul et une cage qui emprisonne son zob. Ses mains sont gantées, ses pieds nus, des genouillères couvent ses rotules. Ses compagnons le soulèvent et le jettent au sol. Cerbère s’approche de moi :
- « Enchanté Laura, voici ton cadeau, une chaîne de cheville en or. J’espère que tu te souviendra ainsi à qui tu es attachée ! Voici Orthos, mon aîné. Sa mission est tout simplement de veiller sur le chenil de son frère cadet , c’est pour cela qu’il est autorisé à posséder un martinet; Voici Argos, le jeune toutou fidèle à son Maître. Allez, remue la queue et baisse les oreilles. Le troisième, au sol c’est Lélaps, mon chien le plus puissant. Il est difficile à prendre et peut terroriser les faibles, c‘est pour cela qu’il est encagé et muselé.
Cerbère leur commande alors de traîner Lélaps à l’intérieur et de l’installer comme il le mérite. Je remarque le martinet qui est attaché à la ceinture d’Orthos. Gilbert nous emmène au salon. Il s’assoit à côté de Maître Renaud et Cerbère dans un fauteuil. Les 3 chiens sont à quatre pattes devant leur Maître. Je suis debout avec Rémi en face de nos Maîtres.
Après quelques paroles de bienvenue et les échanges habituels sur les affaires et la santé, Cerbère demande à ses soumis de masquer la vue de Lélaps avec un bandeau afin qu’il soit concentré sur les bruits, que ses autres sens soient renforcés et que son impatience de découvrir ce qui lui est réservé soit plus forte que sa peur. Avec Mon Chéri, nous servons des rafraîchissements et des petits fours aux maîtres puis nous remplissons d’eau une gamelle pour les chiens.
Quand le gentil Argos a bu, il laisse la place à Orthos. Ce dernier, quand il a terminé pisse dans l’écuelle qu’il donne à boire à Lélaps. Quand ce dernier sent l’odeur, il rechigne, alors Orthos lui donne deux coups de martinet et aidé par Argos, lui tient la gueule dans le liquide odorant pour le forcer à en laper le contenu !
Le buffet étant consommé, Maître Renaud se dirige vers le Donjon, suivi par Cerbère qui tire Lélaps avec une Laisse. Nous suivons avec Rémi puis les deux autres toutous, toujours à quatre pattes. Le Donjon est prêt et le cercle de l’Homme de Vitruve, réglé pour la taille de Lélaps est posé au sol. Les canidés observent cet instrument qu’ils n’avaient jamais vu et Cerbère prend la parole :
- « Voici Lélaps, chien infidèle. J’ai racheté sa dette et il m’appartient ! Pourtant Orthos n’arrive plus à le maîtriser avec son martinet. Il doit être remis à la place qui est la sienne, celle d’un bâtard d’esclave. C’est pour cela que j’ai demandé que ce soit la Petite soumise Laura qui lui donne la correction qu’il mérite. Elle doit être sans pitié. Il n’y aura pas de mot de sécurité. Moi seul déciderais si et quand il faudra arrêter. Attachez le maintenant !
Nous ne sommes pas trop de quatre, les deux toutous, mon Chéri et moi pour le maintenir à terre. Les Maîtres sont venus à la rescousse pour lui mettre les bracelets et fixer ses poignets au bord du cercle. Il fixent également une cheville à un des cale-pieds et trouvent que le second est éloigné. Avec Rémi, nous lui écartons de force les jambes. Nous avons fait exprès de régler les cales avec un grand écartement. Ainsi, son poids, mal retenu par ses jambes exercera une traction plus forte sur ses bras et l’accès à ses parties intimes sera facilité.
Maintenant, nous lui enlevons ses genouillères et sa cage à bite afin que son corps soit entièrement exposé. Maître Renaud relève le cercle et Lélaps est maintenant pendu au centre. Mais pour moi, cela n’est pas suffisant. Je lie ses burnes par plusieurs tours de cordon afin de bien les tenir et je les fixe à un tendeur en bas du cercle. Enfin, sans préparation, je lui retire sa queue de chien et lui enfile dans le cul un crochet en acier terminé par une boule. J’attache ensuite ce crochet à un autre tendeur en haut du cercle. Ainsi, il est bien maintenu attaché au cercle par ses quatre membres et ses deux sexes.
Maître Renaud commence à mouvoir le cercle afin de faire une démonstration. Tête en bas, le poids du corps tire sur les couilles de Lélaps. Le cercle pivote pour qu’il ait la tête en haut et c’est la boule qui l’encule plus profond. Je resserre les tendeurs. Alors que Maître Renaud me dit que c’est à moi de jouer, je vais chercher quelques plants cueillis plus tôt dans le jardin. J'entends quelques murmures d’approbation. J’avance dans le plus grand silence afin de faire monter la tension.
D’un seul coup, je frotte sur ses reins les urticacées. L'effet est quasi immédiat et réveille instantanément de jolies et douces sensations douloureuses. Je monte plus haut, cela le pique et se transforme rapidement en démangeaison. J’ai pris soin de mettre des gants pour manier ces belles orties que j’ai choisies très hautes. Je continue sur la peau des cuisses et le ventre. Il s’agite de plus en plus, se secoue et je suis heureuse de voir que ses bourses et son troufignon sont étirés à chaque secousse. Je laisse passer le temps car sais que la démangeaison va s'intensifier progressivement pour durer de 30 minutes au moins. Des petits boutons sont apparus !
Je m’éloigne un peu en marchant bruyamment et revient à petits pas silencieux. Il bande le con, s’il savait ! Mon chéri m’a préparé un bol de feuilles et de morceaux de tiges fraîches à poils urticants dont je prends une pleine poignée avec laquelle je lui frotte le pénis et le gland qui est bien dégagé. Il sursaute, se débat mais j’insiste ! Sur les muqueuses l’effet est exacerbé alors sur son gland le résultat me semble divin. En tout cas, il se débat comme un beau diable ! Je le branle avec une nouvelle poignée d’orties… Je termine ensuite en lui plaquant sur les tétons deux bandes adhésives que Rémi a enduites de poils urticants. Je le laisse ainsi se secouer car il espère vainement que les orties tombent.
Comme les piqûres et démangeaisons vont durer un moment, je vais assurer le spectacle jusqu’à ce que l’effet urticant commence à diminuer. Je vais vers Cerbère pour lui demander si Argos peut venir jour avec moi. C’est inattendu pour lui mais cela fait partie du plan imaginé pour ma vengeance.
- « Oui, bien sur, mais tu ne dois pas le punir » me répond il.
Comme c’est le gentil toutou de son Maître, je vais le traiter comme tel. Il est toujours nu et à quatre pattes. Je le promène avec une laisse devant l’assemblée lui fait boire dans la gamelle ou il reste un peur du mélange d’eau et de l’urine d’Orthos. Il lape le reste sans se rebeller. Pour le remercier, en prenant mon temps, je le caresse « bon chien ! » la tête, le dos, les fesses.
Je retire sa queue pour lui donner le plug à sucer et je vais renifler son œillet comme le feraient deux chiens de bonne compagnie. Puis je le retourne sur le dos pour sucer ses cerises. Cela lui plaît beaucoup. Je relève ma jupette et m’installe donc en 69 sur lui pour qu’il bouffe mes noisettes. Il n’hésite pas une seule seconde. C’est bon. Son trou du cul est bien ouvert et j’y insère le bout de ma langue. Argos tente de me retirer mon Rosebud. Fermement je lui dit :
- « N’y touche pas !
Il prend alors mes billes en main et les triture à travers la peau des bourses. Il lèche ma petite queue et hésite un peu avant de la prendre en bouche. Ça, il peut le faire, ça n’engage à rien et ça ne servira sans doute à rien ! Cette fois c’est moi qui lui enfile un index… Je le remue à l’intérieur, le retire pour mettre le majeur à la place, ça glisse plus profondément. Puis, l’index et le majeur ensemble. ça entre bien, je tourne en entrant ! Il couine gentiment. Bon, trois doigts simultanément. C’est serré. J'en déduits que le petit toutou à son Maître ne s’est jamais pris une double pénétration ! Pourtant cela lui ferait du bien !
Du coin de l’œil, je vois que Lélaps se débat moins. Les irritations se réduisent. Je ne suis pas le seul à l’avoir remarqué. Maître Renaud s’est levé. Il empoigne un seau d’eau qu’il jette sur Argos et moi :
- « Décollez vous les chiens ! Vous n’êtes pas là pour baiser. Laura reprend ta fonction.
Nous sommes trempés. Argos cherche à se blottir dans les bras de Cerbère, mes habits dégoulinent. Cela ne fait rien, au contraire, ça peut alimenter la suite de mon plan. Maître Renaud à posé un martinet à lanières de latex sur le bord. Je commence par arracher violemment les adhésifs de la poitrine de Lélaps et fais signe à Argos de prendre le balai. Je fais tournoyer le martinet sur tout le corps de Lélaps. Argos balaie les morceaux d’orties que je fais tomber. Le gentil toutou ne s’attendait pas à faire le ménage ici.
Je commence à avoir froid dans mes fringues mouillées… Pendant qu’Argos continue le nettoyage, je fais signe à Orthos de venir moi et d’enlever mes habits trempés. Évidemment, il prend son temps et après être allé chercher un ciseau, il taillade l’avant de mon chemisier puisque l’arrière est un dos nu puis ma jupette. Argos qui a terminé le nettoyage de la pièce vient vers moi pour me caresser les tétons. Ses mains sont chaudes. Sa bouche aussi qui se colle à la mienne. Je suis certain que Mes Maîtres en feraient bien leur dessert s’il n’était pas la propriété de Cerbère.
Lélaps s’agite dans le cercle. C’est vrai qu’attendre sans savoir à quel moment et avec quel instrument se déroulera la suite est aussi une forme de supplice. Bien fait ! Orthos a terminé la lacération de ma jupe raz-du cul ; Il se colle à mon dos et me mordille le cou. Je sens dans ma raie la protubérance que forme sa cage à bite. Si ça lui fait plaisir tant mieux pour lui mais il n’ira pas bien loin. Argos, lui, a saisi mes prunes qu’il pétrit gentiment. Il me suce et mordille un téton, il ne va pas tarder à descendre pour me prendre en bouche… C’est très agréable !
Deux coups de martinet nous cinglent. C’est Maître Renaud qui a bondit et frappé :
- « Terminés les attouchements ! Aujourd’hui, seuls les sados et les masos peuvent prendre du plaisir.
Comme je suis coincée entre mes deux comparses, je n’ai rien senti, par contre Orthos a crié de stupeur et maintenant le gentil Argos pleure dans les bras de son Maître. Lélaps, lui aussi s’est raidi. Ne sachant pas ce qui se passait, il a cru que sa séance de punition recommençait. Il ne perd rien pour attendre ! Cerbère est mécontent et le fait savoir car il est venu pour punir le récalcitrant, pas le gardien de son chenil et encore moins son bon soumis. Renaud lui répond :
- « Alors que la punition se poursuive… Laura, c’est à toi !
Je vais prendre un autre martinet qui possède un bon manche en bois pour la prise en main. La seconde partie, celle qui frappe le maso est constituée de nombreuses lanières. Les lanières du martinet précédent étaient en Daim, très caressantes pour les préliminaires ; Celles ci sont à lanières de cuir, d’une efficacité certaine. L’un des incontournable du sadomasochisme. Tout s’articule autour des mouvements du poignet du donneur. Pour l’avoir goûté par le biais de mains expertes, la sensation est radicalement différente !
Je fais signe à Orthos de revenir avec son propre martinet et en silence nous nous installons de chaque côté de Lélaps. Maître Renaud a compris la manœuvre et fait tourner le cercle de Vitruve. Lélaps a senti le mouvement qui l’entraîne… Je laisse passer quelques moments pour voir les côtés pile et face du corps entièrement nu tourner plusieurs fois devant moi. Pour qu’il sente le vent et qu’il entende leur son, nous faisons tournoyer les martinets.
Au cinquième passage, je frappe les fesses, au sixième à nouveau son croupion et au demi tour qui suit je fais signe à Orthos pour qu’il lui corrige son pétard tandis que je percute son torse. Encore un demi tour et je meurtris son popotin tandis qu’Orthos moleste son ventre. Lélaps est frappé simultanément de face et sur le dos, à chaque demi tour quelque part entre les épaules et les mollets… Renaud a accéléré la rotation du cercle, le pilonnage est plus rapide. Nous tenons la cadence. Insensiblement la vitesse a augmenté et la puissance des impacts également. Je ne sais combien de temps cela dure. Je suis en sueur lorsque Cerbère ordonne une pause.
Lélaps n’a rien dit, pas même soupiré. Il a le droit de boire de l’eau mais ne reçoit ni baume ni réconfort.
N’hésitez pas à me donner votre avis, c'est tellement important pour moi et si vous voulez une photo de Petite Laura dont les seins ont un peu grossi… envoyez un mail : (Portdebrest@yahoo.com)
A suivre…
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