Petite Laura, Partie 29 : Amours et Plénitudes.
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Petite Laura, Partie 29 : Amours et Plénitudes.
Le soirée a tourné à l’orgie entre les Maîtres et les soumis. Je propose d’offrir mon cul pour une double pénétration, ce qu’ils acceptent immédiatement. Maître Renaud s'allonge sur le dos et je viens l'enfourcher. Sa queue est divine, puis je me penche bien en avant en me cambrant au maximum pour que Rémi le rejoigne. Mais après plusieurs tentatives, je me rends à l'évidence que Mon Chéri ne peux pas. Trop d’années au service total des Maîtres le bloque. Gilbert, qui en a terminé avec Argos, aimerait prendre leur place.
Une frayeur m'envahit tout d'un coup. Certes, je les au déjà pris tous les deux ensemble, la longue et la grosse mais là, mon conduit est déjà irrité par tant de visites. Je sens cette pomme énorme qui se frotte à l'entrée. Gilbert m'écarte le plus qu'il peut les fesses et je sens enfin ce poids lourd m'écarteler. Il ne bouge pas trop au début et c'est moi qui fais les vas et vient sur le dard effilé qui a rejoint la poutre. Les queues maîtresses de ma chatte appuient juste comme il faut dans le conduit et sur la prostate. Je bande assez mollement et pourtant je sens un peu de foutre qui suinte de ma queue. C'est une sensation assez excitante. Je viens d'éjaculer à nouveau, chose rare pour moi. Gilbert se retire et je me relève de Renaud. j'ai la sensation que mon œillet ne se referme plus. Je m’allonge et je reste là sur le ventre le cul en l'air.
KO et repu de sexe, jamais de ma vie je n'ai autant baisé. Je laisse la mêlée qui s'est reformée et je vais prendre une douche. Je suis bien sous ce jet tiède qui me délasse, quand la porte s'ouvre et c'est Argos qui vient me rejoindre. Lui aussi est fatigué par tant de plaisir et de jouissance. Nous nous savonnons mutuellement, rinçage puis nous sortons nous sécher. Après avoir échangé quelques caresses et de longs baisés, nous sortons de la salle de bain avec une serviette comme seul vêtement. De retour au donjon nous voyons Renaud se faire défoncer par Gilbert sous le regard approbateur de Rémi qui continue de se branler. Nous observons le tableau autour d'une bonne tasse de café.
Le trio dirige vers la douche. Argos et moi les attendons au salon en préparant une nouvelle tournée de café et de biscuits qui seront les bienvenus. Cerbère et ses soumis se sont réveillés. En se rhabillant, il cherche son cher toutou… Il est plus de 3H du matin, nous n'avons pas vu le temps passer. Nos Maîtres et Argos reviennent de la douche une serviette autour des reins... Cerbère décide de prendre congé et il part suivi de ses trois affidés. Le gentil Argos va nous manquer par contre il risque de subir le courroux de Cerbère. Nous restons tout les quatre un moment à discuter. J’attends que les Maîtres décident de retourner dans leurs quartiers quand Maître Renaud déclare :
- « La soirée n'est pas finie ! Je veux qu’on se prenne tout les quatre en même temps ».
- « l'idée me plaît beaucoup Maître » je réponds « Mais je n'arriverai plus à bander… Comme je dois obéissance, je propose de passer le premier.
Rémi se tourne vers moi et me dit:
- « Mais si tu vas bander ! ».
Il me retire la serviette et s'agenouille devant moi pour commencer à me sucer. Malgré tous ses effort je ne parvient pas à bander, c'est alors que Renaud passe derrière moi et commence à m'embrasser le cou les épaules, me caresser les tétons, le ventre puis il trouve mon point sensible il me lèche le lobe de l'oreille. Et là, en peu de temps je suis au garde à vous. Ma queue est douloureuse d'avoir tellement bandé. Rémi se met en position. J'écarte ses fesses bien rondes et couverte d'un petit duvet pour venir me planter en lui.
Gilbert me lèche la raie et m'enduit de gel puis se place pour m'enfiler sans ménagement. Vu le traitement de ce soir ça rentre comme dans du beurre. On se pilonne comme ça pendant un petit moment. Pendant que Gilbert suce Renaud, je branle Rémi en même temps. J'apprécie d’être pris en sandwich et profite au maximum de la situation. Quand enfin Renaud vient compléter cette chenille humaine, je ressens les coups de boutoir. C'est Renaud qui donne le rythme. Nous avons baisé comme ça un bon moment. Ma petite queue a eu du mal a contenter mon Chéri mais ma main entretient son érection. Je sens le foutre de Gilbert se répandre dans ma chatte de mec, signe que lui aussi apprécie le mode sandwich ! Puis nous nous retirons chacun les uns des autres.
Renaud prend alors Gilbert par la main et ils se dirigent vers leur chambre. Avec Rémi nous nous regardons puis nous partons vers la notre. La porte à peine fermée nous nous embrassons fougueusement en nous frottant l'un contre l'autre. La fièvre monte encore. Rémi, mon mari me fait chavirer sous ses caresses et ses baisés langoureux et chauds. Je suis amoureux de son corps, de ses mains, de ses fesses si fermes, de cet être qui m'embrasse et me met le feu. Je voudrais que ce moment dure toujours. Rémi m'allonge sur le lit et à califourchon sur moi il recommence à m'embrasser la bouche, le cou, les seins, le ventre, puis il passe le bout de sa langue sur ma bite endolorie par tant d'érections répétées. Il passe autour de mes couilles puis revient sur mon bas ventre, me gobe la pine puis aspire mes boules et me relève les jambes pour laper mon petit trou. Il insère le bout de sa langue, je suis dans un état second. Je me retourne je m'allonge sur le ventre les jambes légèrement écartées.
Je sens ma queue doubler de volume et ma rosette frémir comme si j'allais jouir. Le moment que je préfère est là. Je sens cette peau me toucher. L'envie de se donner l'un à l'autre est très forte. Sentir son membre libre en moi est grisant, je ne suis plus moi même. Les gestes deviennent plus tendres, plus affectueux. Je ressens mon amant me faire l'amour.
L'acte est beau, sensuel, tendre, remplit d'amour. Je reçois cette amour avec force et vigueur. Pris par l'ivresse, Rémi décharge son nectar et il veut se retirer, mais je le retiens car je veux continuer à jouir de cette sensation. Sentir son liquide chaud en moi est divin. Je ressens les moindres bosses ou plis de sa queue. Rémi reste planté en moi, son souffle chaud caresse ma nuque. Sa vigueur s'amoindrit dans mon fourreau. Il se retire et je sens un filet chaud couler sur mes bourses. Délicatement il me nettoie, je suis ivre de bonheur. Il s'allonge prés de moi et nous nous enlaçons heureux. Nous nous endormons ainsi dans les bras l'un de l'autre.
Je me réveille le premier, il dort encore le drap le couvrant à peine. Je le regarde, l'admire, je tire le drap pour mieux profiter de son corps. Ce mec est beau, tendre, et terriblement bandant, je le veux encore. Je me penche sur lui et prend possession de cette queue qui m'a tellement donné de bonheur. Je ne peux m'empêcher, je suis attiré, je le veux encore et encore. Le goût de sa queue me fait bander. Je pompe, je tète, j'aspire, je branle, je caresse et je sors de sa torpeur mon objet de convoitise ainsi que son propriétaire. Il se réveille, me sourit et me caresse la tête, j'ai son approbation et je reprends ma conquête. « Je ne sais pas si tu y arriveras car je suis vidé » me dit-il.
Je lui souris et continue, je veux sentir son lait dans ma gorge, je suis décidé à tout avec lui. Je m'applique du mieux que je peux. Je suis à l’affût du moindre de ses gestes, soupirs, mouvements du bassin, quand je sens une petite goutte de sa semence, je m'active encore plus, il me prend la tête entre ses mains pour me stopper mais je résiste, j'accélère mes coups de tête de plus belle. Ses doigts se crispent dans ma chevelure que déjà une première rasade tapisse mon palais, je ralentis le mouvement pour profiter pleinement de ces rafales de foutre que je goûte avec gourmandise.
Il se vide et je garde les dernières gouttes pour les partager avec lui. « Tu vas me tuer!!! » me dit-il dans un long soupire, et comme bâillon je lui pose mes lèvres embaumé de son parfum tandis que ma langue pousse son jus d’homme dans sa bouche.
Nous restons ainsi un moment. Je ne sais pas quelle heure il peut être. Le moulin est silencieux après la nuit si agitée. Entre les bras de Rémi je rêvasse et, peu à peu, un doute s’insère en moi. Je suis arrivé ici parce que Nos Maîtres, amoureux l’un de l’autre mais actifs tous les deux, cherchaient un jeune homo passif et soumis pour assouvir leurs pulsions dominatrices et sexuelles. Je suis logé, nourri et rémunéré pour être à leur service total comme l’a été Rémi avant moi. Cette nuit ils ont découvert qu’ils pouvaient être « reverse » et se sont autorisés à se posséder l’un l’autre. Alors est ce qu’ils ne vont pas me renvoyer à ma triste vie précédente moi qui ait rompu tout contact professionnel et familial ?
J’évoque cette inquiétude à mon mari chéri. Il me répond :
- « Ne t’inquiète pas, Ils aiment aussi les partouzes… Et puis ils aiment montrer à leurs invités le bel homme de ménage nu qu’ils possèdent… Sans oublier que tu acceptes de donner et recevoir les punitions même sévères, ce qui fait que tu es irremplaçable !
- « Tu en es certain ?
- « Ne t’inquiète pas ! Je te promet aussi que si, chose improbable, tu devais être « licenciée » je partirais avec toi. J’ai assez économisé -ici je ne dépense rien- pour nous permettre de vivre ensemble aussi longtemps que tu le voudras.
- « Merci, Mon Chéri »
Il empoigne mes fesses et me serre contre lui. Il est puissant, viril. Je m'abandonne à lui. Il me tourne sur le dos et s'assoit sur mon bassin. Il me bloque les poignets d'une main au-dessus de ma tête et de l'autre, il me branle, me caresse, m'étire la queue, me soupèse les couilles, les malaxe, remonte vers ma pine, la serre fort entre ses doigts, la cajole.
Cinq minutes de ce traitement et me revoici vigoureux. N'ayant pas l'habitude de bander autant en aussi peu de temps, mon érection est douloureuse mais je suis trop excité et j'en veux encore. Il porte deux doigts à sa bouche et en retire une noisette de salive qu'il étale le long de sa raie puis dirige mon membre vers celle-ci. Il fait aller et venir mon gland sur sa rosette et je sens celle-ci s'ouvrir doucement. Il s'arrête juste à l'entrée et avant de s’asseoir complètement sur moi il me chuchote à l'oreille: « Moi aussi je veux ton membre nu en moi ». Mes yeux se plongent dans les siens et c'est avec amour et passion que je vais à la conquête de cette chaleur et moiteur.
La pénétration est divine, je ressens les moindres aspérités de son tunnel intime. La chaleur de son corps englobe ma queue et accentue encore plus ma raideur. Il monte et descend le long de ma colonne, allant de plus en plus loin dans ma pénétration. L'instant est fort, puissant de sensations nouvelles et de plaisirs intenses. Je me relève sur les coudes pour mieux le sentir et intensifier mes coups de rein. Je l'attire vers moi, je veux le sentir contre moi, il dandine de plus en plus son bassin et dans un cri étouffé j'explose en lui. Je l'étreins avec force et vigueur, enfonçant mes ongles dans sa peau. J'aime cet homme, j'aime ce qu’il m’a dit et j’aime ce que je vis avec lui. Il bouge encore un peu sur moi, je l'arrête car ma tige est douloureuse. Nous restons un moment enlacés à nous caresser. Il se relève délicatement, libérant mon vit empoissé de notre amour.
Le haut-parleur de notre chambre crachote. La caméra au dessus de notre lit est allumée et nous filme. Les Maîtres sont réveillés… Depuis quand ? La voix de Gilbert se fait entendre :
- « Hé, les amoureux, apportez nous le petit-déjeuner dans la chambre de Renaud et venez nous sucer pour nous mettre en forme !
Rémi me glisse à l’oreille :
- « Tu vois Laura, ma chérie, Ils ont toujours besoin de nous deux.
FIN
S’il vous plait, MERCI de m’écrire des avis ou des commentaires sur cette longue série d’histoires parfois tendres et parfois hard. Si vous voulez recevoir des photos de Petite Laura un peu efféminée… N’hésitez pas et demandez par mail : (Portdebrest@yahoo.com)
Une frayeur m'envahit tout d'un coup. Certes, je les au déjà pris tous les deux ensemble, la longue et la grosse mais là, mon conduit est déjà irrité par tant de visites. Je sens cette pomme énorme qui se frotte à l'entrée. Gilbert m'écarte le plus qu'il peut les fesses et je sens enfin ce poids lourd m'écarteler. Il ne bouge pas trop au début et c'est moi qui fais les vas et vient sur le dard effilé qui a rejoint la poutre. Les queues maîtresses de ma chatte appuient juste comme il faut dans le conduit et sur la prostate. Je bande assez mollement et pourtant je sens un peu de foutre qui suinte de ma queue. C'est une sensation assez excitante. Je viens d'éjaculer à nouveau, chose rare pour moi. Gilbert se retire et je me relève de Renaud. j'ai la sensation que mon œillet ne se referme plus. Je m’allonge et je reste là sur le ventre le cul en l'air.
KO et repu de sexe, jamais de ma vie je n'ai autant baisé. Je laisse la mêlée qui s'est reformée et je vais prendre une douche. Je suis bien sous ce jet tiède qui me délasse, quand la porte s'ouvre et c'est Argos qui vient me rejoindre. Lui aussi est fatigué par tant de plaisir et de jouissance. Nous nous savonnons mutuellement, rinçage puis nous sortons nous sécher. Après avoir échangé quelques caresses et de longs baisés, nous sortons de la salle de bain avec une serviette comme seul vêtement. De retour au donjon nous voyons Renaud se faire défoncer par Gilbert sous le regard approbateur de Rémi qui continue de se branler. Nous observons le tableau autour d'une bonne tasse de café.
Le trio dirige vers la douche. Argos et moi les attendons au salon en préparant une nouvelle tournée de café et de biscuits qui seront les bienvenus. Cerbère et ses soumis se sont réveillés. En se rhabillant, il cherche son cher toutou… Il est plus de 3H du matin, nous n'avons pas vu le temps passer. Nos Maîtres et Argos reviennent de la douche une serviette autour des reins... Cerbère décide de prendre congé et il part suivi de ses trois affidés. Le gentil Argos va nous manquer par contre il risque de subir le courroux de Cerbère. Nous restons tout les quatre un moment à discuter. J’attends que les Maîtres décident de retourner dans leurs quartiers quand Maître Renaud déclare :
- « La soirée n'est pas finie ! Je veux qu’on se prenne tout les quatre en même temps ».
- « l'idée me plaît beaucoup Maître » je réponds « Mais je n'arriverai plus à bander… Comme je dois obéissance, je propose de passer le premier.
Rémi se tourne vers moi et me dit:
- « Mais si tu vas bander ! ».
Il me retire la serviette et s'agenouille devant moi pour commencer à me sucer. Malgré tous ses effort je ne parvient pas à bander, c'est alors que Renaud passe derrière moi et commence à m'embrasser le cou les épaules, me caresser les tétons, le ventre puis il trouve mon point sensible il me lèche le lobe de l'oreille. Et là, en peu de temps je suis au garde à vous. Ma queue est douloureuse d'avoir tellement bandé. Rémi se met en position. J'écarte ses fesses bien rondes et couverte d'un petit duvet pour venir me planter en lui.
Gilbert me lèche la raie et m'enduit de gel puis se place pour m'enfiler sans ménagement. Vu le traitement de ce soir ça rentre comme dans du beurre. On se pilonne comme ça pendant un petit moment. Pendant que Gilbert suce Renaud, je branle Rémi en même temps. J'apprécie d’être pris en sandwich et profite au maximum de la situation. Quand enfin Renaud vient compléter cette chenille humaine, je ressens les coups de boutoir. C'est Renaud qui donne le rythme. Nous avons baisé comme ça un bon moment. Ma petite queue a eu du mal a contenter mon Chéri mais ma main entretient son érection. Je sens le foutre de Gilbert se répandre dans ma chatte de mec, signe que lui aussi apprécie le mode sandwich ! Puis nous nous retirons chacun les uns des autres.
Renaud prend alors Gilbert par la main et ils se dirigent vers leur chambre. Avec Rémi nous nous regardons puis nous partons vers la notre. La porte à peine fermée nous nous embrassons fougueusement en nous frottant l'un contre l'autre. La fièvre monte encore. Rémi, mon mari me fait chavirer sous ses caresses et ses baisés langoureux et chauds. Je suis amoureux de son corps, de ses mains, de ses fesses si fermes, de cet être qui m'embrasse et me met le feu. Je voudrais que ce moment dure toujours. Rémi m'allonge sur le lit et à califourchon sur moi il recommence à m'embrasser la bouche, le cou, les seins, le ventre, puis il passe le bout de sa langue sur ma bite endolorie par tant d'érections répétées. Il passe autour de mes couilles puis revient sur mon bas ventre, me gobe la pine puis aspire mes boules et me relève les jambes pour laper mon petit trou. Il insère le bout de sa langue, je suis dans un état second. Je me retourne je m'allonge sur le ventre les jambes légèrement écartées.
Je sens ma queue doubler de volume et ma rosette frémir comme si j'allais jouir. Le moment que je préfère est là. Je sens cette peau me toucher. L'envie de se donner l'un à l'autre est très forte. Sentir son membre libre en moi est grisant, je ne suis plus moi même. Les gestes deviennent plus tendres, plus affectueux. Je ressens mon amant me faire l'amour.
L'acte est beau, sensuel, tendre, remplit d'amour. Je reçois cette amour avec force et vigueur. Pris par l'ivresse, Rémi décharge son nectar et il veut se retirer, mais je le retiens car je veux continuer à jouir de cette sensation. Sentir son liquide chaud en moi est divin. Je ressens les moindres bosses ou plis de sa queue. Rémi reste planté en moi, son souffle chaud caresse ma nuque. Sa vigueur s'amoindrit dans mon fourreau. Il se retire et je sens un filet chaud couler sur mes bourses. Délicatement il me nettoie, je suis ivre de bonheur. Il s'allonge prés de moi et nous nous enlaçons heureux. Nous nous endormons ainsi dans les bras l'un de l'autre.
Je me réveille le premier, il dort encore le drap le couvrant à peine. Je le regarde, l'admire, je tire le drap pour mieux profiter de son corps. Ce mec est beau, tendre, et terriblement bandant, je le veux encore. Je me penche sur lui et prend possession de cette queue qui m'a tellement donné de bonheur. Je ne peux m'empêcher, je suis attiré, je le veux encore et encore. Le goût de sa queue me fait bander. Je pompe, je tète, j'aspire, je branle, je caresse et je sors de sa torpeur mon objet de convoitise ainsi que son propriétaire. Il se réveille, me sourit et me caresse la tête, j'ai son approbation et je reprends ma conquête. « Je ne sais pas si tu y arriveras car je suis vidé » me dit-il.
Je lui souris et continue, je veux sentir son lait dans ma gorge, je suis décidé à tout avec lui. Je m'applique du mieux que je peux. Je suis à l’affût du moindre de ses gestes, soupirs, mouvements du bassin, quand je sens une petite goutte de sa semence, je m'active encore plus, il me prend la tête entre ses mains pour me stopper mais je résiste, j'accélère mes coups de tête de plus belle. Ses doigts se crispent dans ma chevelure que déjà une première rasade tapisse mon palais, je ralentis le mouvement pour profiter pleinement de ces rafales de foutre que je goûte avec gourmandise.
Il se vide et je garde les dernières gouttes pour les partager avec lui. « Tu vas me tuer!!! » me dit-il dans un long soupire, et comme bâillon je lui pose mes lèvres embaumé de son parfum tandis que ma langue pousse son jus d’homme dans sa bouche.
Nous restons ainsi un moment. Je ne sais pas quelle heure il peut être. Le moulin est silencieux après la nuit si agitée. Entre les bras de Rémi je rêvasse et, peu à peu, un doute s’insère en moi. Je suis arrivé ici parce que Nos Maîtres, amoureux l’un de l’autre mais actifs tous les deux, cherchaient un jeune homo passif et soumis pour assouvir leurs pulsions dominatrices et sexuelles. Je suis logé, nourri et rémunéré pour être à leur service total comme l’a été Rémi avant moi. Cette nuit ils ont découvert qu’ils pouvaient être « reverse » et se sont autorisés à se posséder l’un l’autre. Alors est ce qu’ils ne vont pas me renvoyer à ma triste vie précédente moi qui ait rompu tout contact professionnel et familial ?
J’évoque cette inquiétude à mon mari chéri. Il me répond :
- « Ne t’inquiète pas, Ils aiment aussi les partouzes… Et puis ils aiment montrer à leurs invités le bel homme de ménage nu qu’ils possèdent… Sans oublier que tu acceptes de donner et recevoir les punitions même sévères, ce qui fait que tu es irremplaçable !
- « Tu en es certain ?
- « Ne t’inquiète pas ! Je te promet aussi que si, chose improbable, tu devais être « licenciée » je partirais avec toi. J’ai assez économisé -ici je ne dépense rien- pour nous permettre de vivre ensemble aussi longtemps que tu le voudras.
- « Merci, Mon Chéri »
Il empoigne mes fesses et me serre contre lui. Il est puissant, viril. Je m'abandonne à lui. Il me tourne sur le dos et s'assoit sur mon bassin. Il me bloque les poignets d'une main au-dessus de ma tête et de l'autre, il me branle, me caresse, m'étire la queue, me soupèse les couilles, les malaxe, remonte vers ma pine, la serre fort entre ses doigts, la cajole.
Cinq minutes de ce traitement et me revoici vigoureux. N'ayant pas l'habitude de bander autant en aussi peu de temps, mon érection est douloureuse mais je suis trop excité et j'en veux encore. Il porte deux doigts à sa bouche et en retire une noisette de salive qu'il étale le long de sa raie puis dirige mon membre vers celle-ci. Il fait aller et venir mon gland sur sa rosette et je sens celle-ci s'ouvrir doucement. Il s'arrête juste à l'entrée et avant de s’asseoir complètement sur moi il me chuchote à l'oreille: « Moi aussi je veux ton membre nu en moi ». Mes yeux se plongent dans les siens et c'est avec amour et passion que je vais à la conquête de cette chaleur et moiteur.
La pénétration est divine, je ressens les moindres aspérités de son tunnel intime. La chaleur de son corps englobe ma queue et accentue encore plus ma raideur. Il monte et descend le long de ma colonne, allant de plus en plus loin dans ma pénétration. L'instant est fort, puissant de sensations nouvelles et de plaisirs intenses. Je me relève sur les coudes pour mieux le sentir et intensifier mes coups de rein. Je l'attire vers moi, je veux le sentir contre moi, il dandine de plus en plus son bassin et dans un cri étouffé j'explose en lui. Je l'étreins avec force et vigueur, enfonçant mes ongles dans sa peau. J'aime cet homme, j'aime ce qu’il m’a dit et j’aime ce que je vis avec lui. Il bouge encore un peu sur moi, je l'arrête car ma tige est douloureuse. Nous restons un moment enlacés à nous caresser. Il se relève délicatement, libérant mon vit empoissé de notre amour.
Le haut-parleur de notre chambre crachote. La caméra au dessus de notre lit est allumée et nous filme. Les Maîtres sont réveillés… Depuis quand ? La voix de Gilbert se fait entendre :
- « Hé, les amoureux, apportez nous le petit-déjeuner dans la chambre de Renaud et venez nous sucer pour nous mettre en forme !
Rémi me glisse à l’oreille :
- « Tu vois Laura, ma chérie, Ils ont toujours besoin de nous deux.
FIN
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci chère lectrice anonyme. Avez vous lu mes autres histoires ? Je conseille particulièrement « frères de Sperme » de mon adolescence.
Merci beaucoup d'avoir construit cette histoire. J'ai lu tous les épisodes, j'imagine que ça doit être difficile de développer le récit, le faire évoluer sans trop se répéter tout en gardant un fil conducteur. J'ai apprécié cette lecture même si personnellement je suis moins sensible au côté hard. Le récit se clôture sur une espèce de happy end, j'aime bien. Merci beaucoup !
Je serai curieuse de découvrir une prochaine histoire. À bientôt j'espère.
Je serai curieuse de découvrir une prochaine histoire. À bientôt j'espère.