Petite Laura partie 7 Au moulin des Maîtres - histoire érotique

Petite Laura partie 7 Au moulin des Maîtres
Au sifflement de Gilbert, nous partons immédiatement. Je suis nu pieds, à peine habillée d’un petit top – jupette genre raz-des-fesses qui laisse voir le bout de ma cage, toujours menottée d’un pied et d’une main aux membres de Rémi. Ce dernier s’agenouille devant Gilbert pour lui faire hommage. Je reste debout dans l’attente des consignes.
Les 6 premiers épisodes de cette histoire de Petite laura, soumise à ses deux Maîtres Gilbert et Renaud puis menottée à Rémi, le Chéri qu’ils lui ont imposé a été racontés par : « petitelaura ». Vous trouverez les 6 épisodes précédents en recherchant « petitelaura » sur ce site dans l’onglet « Auteurs » puis « ordre alphabétique ». Petite Laura étant actuellement indisponible, j’ai écris une suite après avoir échangé avec elle (lui). Dans cette histoire je suis Rémi.
- Bien Laura, tu es belle, nous t’apprendrons bientôt à te maquiller.
- Merci tonton
-Laura, tu dois nous appeler Maître. Pour t’apprendre ce qu’il arrive lorsque tu désobéis, je dois te punir. Rémi, va chercher le martinet souple et les verges… Il lui donne une clé puis dit :
- Et cache les yeux de Laura, elle ne doit pas voir le donjon.
Rémi m’entraîne vers les étages puis, devant la porte du Donjon, il me bande les yeux. Je l’entend ouvrir la porte et nous entrons. Rapidement il trouve ce qu’il cherche et me glisse à l’oreille.
-Pardonne moi Chérie, j’aurais du insister sur cet aspect, c’est de ma faute et le pire c’est que je vais devoir te punir… Heureusement Maître Gilbert n’aime pas le Chat à 9 queues que seul Maître Renaud utilise.
- Dis moi mon Chéri, c’est quoi exactement la verge et le chat à 9 queues ?
- La verge c’est le pénis mais ce sont les verges que le Maître a demandé, c’est un ensemble de baguettes fines et flexibles en osier avec lesquelles on fouette.
Il n’a pas le temps d’en dire plus car nous sommes presque arrivés au salon et mon Chéri me fait signe de ne plus parler. Il s’agenouille et dit :
- Maître, voici ce que vous avez demandé… Tout cela est de ma faute, je n’ai pas assez bien expliqué à ma Chérie ; Elle est en apprentissage, pardonnez lui, Oubliez cette petite erreur.
- Tu es bien bavard Rémi, Je pardonne toujours mais je n’oublie jamais. Laura, tu as déjà reçu le martinet, tu vas donc à nouveau le recevoir et aussi les verges que tu ne connais pas.
Mon Chéri semble se rebiffer en entendant le Maître et reprend la parole :
- Non ! Maître... punissez moi, je suis coupable, le seul.
- Je t’entends, mais c’est moi qui décide lui répond le Maître, Vous allez donc partager la punition. Le barème sera de 10 coups. Rémi relève toi avec le Martinet et toi Laura à quatre pattes. Rémi tu vas commencer, tu arrêtes quand tu veux sachant que tu recevras le reste de la punition. Vise bien les fesses. Ne fais pas semblant ou il va t’en cuire !
Rémi se relève, je reste sur les genoux, une main par terre, il relève ma jupette. Je tremble car je ne sais pas à quoi m’attendre puisque mes yeux sont toujours bandés… Un coup cingle mes fesses, presque aussi fort que ceux reçus durant le jeu des pinces à linge. J’entends le Maître :
- Rémi, tu dois corriger ta Chérie, pas la caresser. Recommence ! Et toi Laura compte.
Le martinet claque sur mon cul. C’est pas du chiqué cette fois… Je pousse un cri, ça pique fort.
- Compte Laura !
- deux
- Non, un, le premier ne compte pas… Vas-y Rémi
Le martinet claque à nouveau mes fesses. Les larmes me montent aux yeux. Rémi a visé plus bas, c’est le haut de mes cuisses qui a pris.
- Deux
- Maître Gilbert, je vous propose avec respect de recevoir le reste des coups de martinet à la place de Lau… Ma Chérie, pardon Maître.
- C’est d’accord pour le martinet mais j’ai décidé qu’elle doit aussi goûter aux verges. Pose le martinet et prend les verges ! N’hésite pas, offre lui de belles cinglées et fais lui de jolies stries sur les fesses. Si tu triches, c’est moi qui lui donneras les 8 coups de verges qui restent et tu en sera le responsable.
-Oui Maître,
Le coup arrive, rapide et puissant après un bref sifflement dans l’air les baguettes s’abattent sur mon cul déjà chauffé par deux, non trois coups de martinet. Sous l’impact, j’ai hurlé et me suis allongée sur le sol. Il n’a pas fait semblant ! Je sens maintenant que le sang, chassé par la frappe, revient en force pour irradier mes fesses. Je serre les dents avant de dire Trois…
Mon Chéri prend la parole :
- Maintenant Maître, je vous demande à recevoir le reste de la punition.
- Tu va regretter de ne pas diviser par deux la punition. C’est ton choix ! Passe un peu de pommade antiseptique et apaisante sur ce joli petit derrière. Ensuite, tu te mettra en position.
Quelques instants plus tard, Mon Chéri m’a cajolée et apaisée. Sur un signe du Maître il va devant la lourde table basse, toujours attachée à lui, je le suis. Il prend dans le tiroir des bracelets de cuir qu’il fixe à ses chevilles et je l’aide pour les mettre à ses poignets. Enfin il écarte les jambes, allonge son buste sur le plateau et écarte les bras. Il s’offre, nu au Maître.
- Laura ! Chaque bracelet est relié à une cordelette, tu va attacher chacune des chevilles aux pieds de la table puis tu feras de même pour les poignets.
Je regarde mon Chéri, il fait oui de la tête ! Après avoir fixé les pieds, je passe aux bras et le Maître tire les cordes pour tendre mon Chéri.
- Viens ici Laura, je vais te montrer comme faire. Ton Chéri en voulant partager ta punition t’as aussi chargé de la lui donner. Il connaît les règles. Il t’a donné presque le tiers, tu vas donc lui rendre le double soit 4 frappes au martinet et 2 avec verges, il reste une que je vais faire moi même. Regarde bien car si tu procède mal, je devrais refaire en double ce qui sera raté. Rémi va compter.
Maître prend le martinet, passe derrière le cul de mon Chéri et s’amuse à faire siffler les lanières. A chaque fois je frémis et lorsque je commence à penser que c’est un jeu, il frappe.
-Quatre ! Dit Rémi.
- Tu vois, c’est facile, à ton tour… Il ne t’a pas raté tout à l’heure, tu dois aussi réussir.
Je suis embarrassée d’autant que je suis toujours liée à mon chéri. De ma main libre je frappe une fois.
-Cinq
- c’est pas mal mais un peu mou ! Recommence !
- Six murmure Rémi après un soupir
je me dépêche
- Sept
- Laura, tu frappes bien mais tu vas trop vite… Fais siffler le martinet dans le vide plusieurs fois et quand je te ferais signe, tu frapperas. Le fait de ne pas savoir quand la douleur va venir est aussi pénible que le coup lui même.
Je fais ce qu’il me dit, cela dure un peu et quand il lève le pouce, je frappe le cul offert. Je me suis prise au jeu et le coup est plus fort que les autres. Une plainte sort de la bouche de mon chéri. Je regarde ses fesses rougies qui bleuissent aussi un peu.
- Huit.
- Bien, prends les verges, fais les siffler, prend ton temps, je te ferais signe…
Je m’en saisis et les fais tournoyer, longtemps. Un signe et je les abats sur les reins de Rémi puis les relève pour regarder le résultat mais Maître sans attendre m’ordonne de doubler le coup. Sans réfléchir, dans un élan je cingle les fesses offertes. Rémi à crié, deux fois, des plaintes sortent de sa bouche. Il arrive à dire :
- Dix
- Tu peux regarder maintenant. Je t’ai ordonné rapidement le deux dernier coup car si tu avais regardé avant tu aurais hésité et frappé moins fort. C’était bien, tu me fait bander. Passe lui la pommade.
Quand j’ai bien tartiné les fesses meurtries, Maître Gilbert me pousse vers elles. Ma cage frotte le sillon fessier de Rémi qui geint, Gilbert me plie en deux sur le dos de mon chéri et de ses pieds il m’écarte les jambes. Puis il pétrit mes fesses encore endolories puis caresse mon œillet. Je sens qu’il se branle d’une main. Quand il entre un doigt, c’est doux ! Ce doit être son pouce car ses autres doigts palpent mes couilles. Il se recule un peu, prend ma tête pour la tourner vers lui et m’embrasse. Il suce mes lèvres, glisse sa langue dans ma bouche, c’est un vrai baiser. Emprisonné dans sa cage mon petit sexe est gonflé. C’en est douloureux. Gilbert défait maintenant son pantalon, baisse son slip.
- Quand Rémi fouette l’un ou l’autre de nos invités, je le baise ensuite. Regarder un fouetteur me fait bander. Quand c’est un soumis qui manie le fouet, je dois toujours le rappeler à sa condition… Soumis à mes désirs. Tu as puni Laura, je devrais te posséder à nouveau avec vigueur mais là, c’est ta chérie que je vais prendre. Elle doit bien comprendre qu’avec Renaud, nous sommes au-dessus de la mêlée et si un soumis ou un invité peux en dominer un autre un moment, il ne repart jamais sans avoir été lui même ramené à une place inférieure à la nôtre.
Tout en disant cela, il m’a ramoné de ses doigts ! Maintenant il écarte mes fesses si sensibles et son gland se présente et chatouille mon entrée. Il pousse par a coups et son membre entre progressivement dans ma chatte. Lorsqu’il est au fond, ses cuisses appuient sur mes fesses encore rouges. Je m’accroche à mon Chéri toujours allongé devant moi, j’embrasse son dos. Derrière moi, Gilbert a commencé son déhanchement d’avant en arrière en me tenant fermement par le bassin. Je glisse progressivement ma main libre vers le sexe de Rémi. Il a bien mérité que je m’occupe de lui. Il bande correctement. Pas géant mais assez dur ! Je le caresse doucement, je ne sais pas quel serait la réaction du Maître s’il s’en apercevait. Il est occupé ailleurs, très exactement dans mon cul. IL pousse en avant, son gland touche le fond et son bassin s’écrase sur mes fesses meurtries puis se retire en arrière presque sorti, pour recommencer lentement. Il sait y faire ! Je saisi donc la queue de mon Chéri que je branle doucement.
- Il est bon ton cul me dit Gilbert, Je n’aurais jamais cru qu’une soubrette fouettée par Rémi puis le fouettant en retour me ferait autant d’effet.
Et il accélère. Ma tige ou plutôt ce qui me sert de clitoris voudrait s’étendre et sortir de sa cage. Les coups de boutoir agitent maintenant ma prostate et poussent ma cage entre les fesses de Rémi. Ma main qui entoure sa tige accompagne le mouvement et mon pouce caresse son gland ! Gilbert s’est accroché à mes épaules et me pistonne à toute vapeur…
- Tu la sens bien petite salope… Répond moi !
- Oui ; Ton... Maître, je sens votre gros membre qui me ramone.
- Je suis ton Maître… Han ! Je vais te posséder !
- Oui à fond
Je caresse plus vie Rémi qui s’anime un peu sous moi.
- je vais te marquer de ma semence, je vais te remplir de mon jus d’homme… Comme la salope que tu es !
- Fais le ! Je suis ta femelle, décharge tout…
Mes fesses déjà échauffées par les verges sont malmenées et brûlantes, elles décuplent mes désirs. Tout à coup Gilbert se tend et je sens qu’il gicle. Je sursaute et ma cage, poussée en avant titille l’anus de mon chéri qui réagit aussitôt en larguant un peu de sperme dans ma main. Ma prostate heurtée en cadence, ma tige compressée et mes fesses en feu me procurent trop d’émotions, de douleurs et de bonheurs entremêlés, je j’ouïs !
Gilbert s’est déjà relevé.
- Laura suce moi, les soumis ne doivent pas perdre une seule goutte de liqueur. Ensuite tu lécheras la capote, le sol et ta main.. Ne dis rien, j’ai vu ! Et tu détachera Rémi.
Pendant que nous faisions ce qu’il voulait, il nous a expliqué qu’il allait partir et que dans deux jours maximum il serait de retour avec Renaud et sans doute le docteur et des invités. Nous devrons rester entièrement nus d’ici là, être prêts à tout moment, le moulin impeccable. Avec mon Chéri, nous avons le droit de nous faire des câlins mais pas de pénétrations. Il a d’ailleurs posé une cage de chasteté à Rémi en lui disant «  Ton traitement est moindre et tu recommence à bander, c’est bien mais pas en notre absence »
Maintenant venez me laver sous la douche.
Quelques instants plus tard, Maître Gilbert partait. Nous laissant seuls, vêtus seulement d’une cage et d’un bracelet.