Petite Nathalie.
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2021 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Petite Nathalie.
La chaleur aidant, les femmes étaient dans les rues habillées d’un rien. De robes impalpables qui leur collaient au cul pour le plus grand plaisir des yeux. Et tout cela avait une cause sur moi, celui de me donner une faim de chatte mûr. Et c’est bien connue, c’est quand on en a le plus envie qu’on n’en trouve pas.
Donc ce jour-là, ma chasse me conduit à suivre un petit cul rond d’une Algérienne. Ça mordait bien. Elle était vêtue d’une robe rose en jersey très léger, qu’elle portait très près du corps comme disent les couturiers et qui m’avait semblé son unique vêtement. Elle marchait assez vite et je devais me hâter pour ne pas la perdre. Ses fesses ondulaient devant moi sans excès, dont je distinguais nettement le sillon à travers le tissu. Sans aucun doute elle ne portait pas de culotte. Tout en la matant, je réfléchissais comment j’allais l’aborder.
Puis une voiture s’était arrêté à sa hauteur. Elle avait discuté avec le chauffeur, avant de faire le tour et d‘ouvrir la portière côté passager dont elle avait prit place. Sitôt la portière claquée la voiture démarra, et adieu le beau cul.
Puis le hasard fit que je tombais sur Manu.
- Dis donc, tu viens avec moi rendre une visite à Nathalie. Je l’ai rencontré en bas de chez elle. Elle avait l’air de s’emmerder. Alors je lui ai proposé un rendez-vous. Elle a été d’accord mais pour 16H00 chez elle. À l‘heure que sa mère se rend au boulot.
Malgré mes réticences, je le suivis. Alors qu’on montait les marches nous menons jusqu’à l’appartement, il me glissa à l’oreille.
- Tu vas voir, elle a un aussi beau cul que ma cousine.
Sa cousine que j’avais appris à connaitre sous tous ses coutures lors de son passage parmi nous.
Nathalie portait une robe nouée à la taille.
- J’espère que personne vous a vue monter ?
- Ne crains rien…
Par discrétion j’esquissais un mouvement de recul. Manu me retenu et me forcer à entrée. .
- Verrouille la porte ! Et regarde… regarde bien… comme tu sais j’aime bien qu’on me regarde quand je m’amuse avec une fille…
Il s’approcha de Nathalie et lui plaqua sa main sur sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge sous sa robe. Manu lui tripota les seins en la regardant tendrement dans les yeux. Malgré ma présence elle se laissait faire, toute rouge, les paupières baissées.
- Ils sont toujours aussi moelleux. Tu veux les tâter, Alain ?
- Non merci. Répondais-je.
Sans ce préoccuper de ce que je lui avais dit, il se saisit de ma main et la posa sur le sein de Nathalie. Elle sursauta, surprise. Nos regards se croisèrent. Le sien n’exprimait qu‘excitation. Alors que je mis à tâter ses seins. Il m’en fallait pas plus pour me faire bander. Manu on s’en apercevant se marra.
- Tu vois que tu aimes ça. Tu vas voir… Nathalie a d’autres jolies choses à te montrer. Pas vrai, poulette ? Fais lui voir ça…
Sans aucune hésitation, elle décrocha sa ceinture de cuir pour permettre de faire remonter sa robe sur ses hanches. Elle le fit d’une manière malhabiles, ce qui eut pour effet de m’exciter encore plus.
Elle s’adossa au mur de l’entrée, alors que mon regard tomba sur la culotte bien blanche entre des cuisses nerveuses. À l’entrejambe, ça formait deux renflements et un léger creux au milieu où le tissu s’enfonçait.
- Qu’est-ce que tu en dis ? Me lança Manu.
Sans attendre ma réponse qui ne venait pas, Manu s’avança vers Nathalie pour l’embrasser. Elle se laissa faire, absolument passive. Manu plaça une jambe entre ses cuisses, puis il se mit à farfouiller sa chatte. Au bout de quelques secondes de caresse, il tourna sa tête vers moi pour me dire :
- Tu vois, Nathalie est du genre à aimer qu’on la tripote. Essaye, toi aussi…
À défaut d’autre chose, pourquoi pas. J’aurais préférer sa mère mais bon ! Elle était assez mignonne dans son genre. Avec des lèvres ourlées. Un nez retroussé. Elle respirait vite, quand elle vint se coller à moi sans pudeur, appuyant avec force son pubis contre mon sexe tendue. Tout son corps dégageait une forte odeur de rut.
Ses seins s’aplatissaient contre ma poitrine. Soudain ses lèvres se collèrent aux miennes. Sa langue écarta mes dents pour venir au contact de la mienne. Manu s’était écarter pour mieux nous regarder. Je posais mes mains sur ses fesses et les malaxais. Elle laissa échappé des soupirs qui m‘encouragèrent à passer ma main sous l‘étoffe de sa robe pour glisser mes doigts dans le sillon moite. Elle serra les fesses et je dû me contenter de caresser les globes charnus. Son corps était brûlant, frémissant. Je m’arrêtais là, pourtant ce n‘était pas l’envie qui me manquer mais c’était tout de même la copine de Manu. D’ailleurs elle s’écarta d’elle-même de moi, pour me regarder d’un air étonné.
- Quel con ! Laissa tomber Manu. Tu n’as pas envie d’elle.
Il ouvrait sa braguette et sorti sa verge. Il bandait.
- Viens ici, Nathalie. Montre moi ta chatte.
L’air boudeuse sans doute par mon intéressement pour elle, Nathalie fit passer sa robe par-dessus sa tête. Exhibant par ce geste ses seins nus, hauts perchés, avec de minuscules tétons très noirs. Dans l’élan, elle se déculotta, dévoilant par ce geste une grosse chatte touffue. Comme je les aime, dont les poils étaient lustrés, les lèvres biens visibles, comme une balafre, verticale.
- Allons dans ta chambre ? Proposa Manu.
Nathalie marcha devant nous, Manu derrière, la queue raide. Je profitais qu’ils ne s’intéressent pas de moi pour humer la culotte. Après l’avoir respiré je la jetais à terre et rejoint de couple dans la chambre. À mon arrivée je trouvais Nathalie adossée contre son bureau, les cuisses écartées. J‘aperçus de grosses lèvres poilues s’ouvrant sur sa vulve rosée, les petites lèvres brillantes de mouille. Les poils étaient collés et ça accentuait la nudité de sa chatte. Dans cette position, on voyait au plus profond de son sexe. Manu heureux que de me voir m’adressa un sourire satisfait, avant de lâcher :
- Tu vois. Elle aime ça, Nathalie !
Il s’approcha, la bite à la main, dont il enfila une capote. Il s’en servit pour écarter les poils avec, avant de la frotter contre ses lèvres intimes. Puis il frotta le gros bout de la bite contre la touffe. Nathalie se laissa faire, les jambes écartées, la tête en arrière, son corps parcouru de frissons. D’une voix rauque, tout en continuant à se masser le gland entre les lèvres du con, Manu grommela :
- Tu vois, comme elle se laisse faire.
La poitrine de Nathalie se soulevait régulièrement, alors que son ventre enflait. La verge de Manu continuait à fouiller l’entrée de la vulve de la jeune fille. Il arrivait qu’elle s’enfonce entre les grosses lèvres avec un bruit mou et mouillé. À voix basse, haletante, Nathalie supplia Manu de l’enfoncer tout entière.
- Mets-la dedans… Vite… Dedans… Toute entière…
Elle se tourna vers moi, les pommettes rouges, comme pour me prendre à témoin.
- Dis-lui toi qu’il le fasse !
- Tu entends Manu, lâchais-je… C’est elle qui le demande…
Il martela à petits coups le haut de la fente, sous les gémissements de Nathalie. Elle entoura de ses doigts le gland qui allait et venait entre ses lèvres et butant sur son clitoris. Pendant ce temps là, Manu lui léchait les seins. Tremblante d’excitation, elle écarta les lèvres de sa chatte à l’aide de ses doigts et d’elle-même elle avança le bassin. Mais ce n’était de l’avis de Manu, qui se recula, lui prenant les jambes pour les relever le plus haut qu’il le pouvait. En sorte que la raie du cul soit visible. Il s’arrangea pour que son gland glisse jusqu’à l’anus fripé. Là il lui écarta les fesses, la vulve rose était grande ouverte, alors que l‘anus, sous la poussée du gland, commençait à se dilater.
Je fus témoin de la disparition de la verge de Manu dans le trou du cul à Nathalie. Et cela jusqu’à ses couilles. Mon excitation fut à son apogée, au point que j’éjaculais dans mon slip, les yeux rivés sur la verge qui coulissait entre les fesses de Nathalie, qui râlait, s’abandonnant, la bouche ouverte, les joues blanches et la seconde d’après, cramoisies.
- C’est mal Manu… de ce côté… c’est mal ! Disait-elle, sans pour cela s‘écarter tout au contraire elle s‘agrippa à lui.
Le slip souillé je fis les quelques pas qui nous séparer. Profitant de la position de Nathalie pour la déchausser. Elle avait des mollets très fins et délicatement dessinés. Ses pieds étaient là, nus, offerts. Je me mis à les caresser avec mes doigts, avec ma bouche aussi. Elle prenait apparemment soin de ses pieds. Leur peau était douce, souple, et ils embaumaient une légère odeur de transpiration. Certains auraient été dégoûtés de promener leurs doigts sur des pieds, et que dire de la langue, comme je le faisais. J’étais heureux, intensément. C’était exactement à la hauteur de ce que j’avais espéré. Je me mis à suçoter les orteils, l’un après l’autre, comme si c’était des petites bites, pour le plus grand plaisir de sa propriétaire qui se mit à haleter encore plus fort. Manu, encouragé, augmenta la cadence de ses coups de reins. Nathalie remuait la tête en tous sens. La queue en coulissant faisait un bruit mouillé, ponctué de flocs sonores.
J’étais aux anges, seul ma verge baignant dans son sperme était la virgule désagréable de l‘instant. Mais je bandais toujours ! Avec une énorme envie de me faire jouir. Le sang cognait dans mes tempes, alors que je voyais devant mes yeux Manu s’agiter plus vite dans le cul de Nathalie. Qui poussait maintenant des cris perçant.
Malgré une apparence stricte, Nathalie s’avérait apprécier véritablement le sexe.
Manu se coucha sur le dos et Nathalie vint s’empaler sur son sexe dressé, je vis à nouveau disparaître la colonne de chair dans le gouffre humide. J’écartais les globes fessiers de la jeune fille, je m’avançai et pointais ma verge à l’entrée de son anus. Je n’eus guère à forcer. En quelques glissements je pus investir le lieu sans peine. Je commençai à bouger en rythme avec Manu, sentant son dard de l’autre côté de la fine paroi. La sensation était divine. J’avais à la fois le plaisir d’être dans le cul de la fille et celui d’avoir l’impression de branler ma queue sur celle de mon pote. La sensation était absolument extraordinaire.
Et que dire de Nathalie, qui faisait son possible pour ne pas gueuler son plaisir afin de ne pas ameuter l’immeuble, mais elle poussait des miaulements qu’elle ne pouvait pas contenir.
Elle fut secouée par un premier orgasme, puis un second tout de suite après, tandis que nous nous activions toujours en elle. Mais alors que je hissais mon regard par-dessus l’épaule de Nathalie, je découvrais avec stupeur une femme qui nous observait.
Elle était décomposée devant la scène qui se jouait sous ses yeux. S’ébouriffant les cheveux à l’aide de ses deux mains elle déserta les lieux. Paniquée Nathalie ne savait que faire. Du genre diplomate en la matière je me proposais d’aller voir la mère et de discuter avec elle. Après l’avoir chercher dans les pièces principales, je me décidais d’aller toquer à la porte de sa chambre. Où elle se tenait assise sur son lit le visage dans les mains.
-Fiche le camps de ma chambre ! Cria cette dernière en me voyant.
Je lus sur son visage une immense tristesse.
- Mais pourquoi ? S’enquérait-elle.
Je n’hésitais pas une seconde, je pris le parti de la franchise en prenant place à côté d‘elle, oubliant ma nudité. Elle fut assez surprise de ma confession. Tentant de la consoler par la suite, de douces paroles. Elle se fit même coquine, excitant mon désir par quelques tendres phrases. Je ne résistais pas longtemps à l’offensive de la mère. Je pris même l’initiative de la débarrasser de sa culotte. Dans laquelle je plongeais ma tête. Elle était toute chaude, et sentait bon.
Puis je pris sur moi de m’allonger sur elle. D‘exciter les lèvres de son sexe avec mon pénis. Celui-ci était étonnement inondé de désir. Je prolongeai longtemps l’agréable sensation que me procurait la douce muqueuse. Quand enfin, je me décidais à aborder l’étape ultime, elle se contracta. J’avais bien essayer de persévérer, croyant à un phénomène passager, mais c’était peine perdue, je rendant bien compte de l’évidence. Surtout que la femme se mit à pleurer. Des larmes étaient intarissables.
Mais alors que j’allais baisser pavillon voilà qu’elle me lança :
-Après tout pourquoi pas, fais-moi l’amour !
De peur qu’elle change d’avis, je m’agenouillais devant elle, plaçais mes mains sur ses hanches. posant quelques baisers sur ses cuisses, la faisant frissonner, mais cette fois de bonheur. J’explorais avec ma langue son sexe. Qui se chargea très rapidement de sécrétion, si bien que je pus sans difficulté glisser un doigt dans le vagin. D’en exciter toutes les surfaces, alors qu‘elle se tordait de plaisir.
Mon besoin de foute, me fis me placer entre ses jambes. Mon pénis tâtonna quelques instants entre ses lèvres intimes. Pas mécontent du tout, je fis durer le plaisir du contact, pour enfin la pénétrer doucement. Elle exprima son plaisir dans un long gémissement. Je soulevais légèrement ses hanches, pour la perforais plus profondément en elle. Au fur et à mesure que l’excitation me submergea, j’accélérai mon balancement de va-et-vient entre les cuisses de la dame. Lorsqu’enfin je sentis le plaisir arrivait, je m’arrêtais, pour garer mon pénis au plus profond d’elle, et une fois-là, je libérais en elle mon orgasme, en longs jets saccadés. La coquine releva une dernière fois le bassin pour accepter mon don.
Suite à ce petit extra, je me rendis dans la chambre de la fille qui était en pleur dans les bras de Manu. Je la réconfortais lui certifiant que sa mère ne lui tenait pas rancune qu’il fallait bien que la jeunesse se fasse.
Donc ce jour-là, ma chasse me conduit à suivre un petit cul rond d’une Algérienne. Ça mordait bien. Elle était vêtue d’une robe rose en jersey très léger, qu’elle portait très près du corps comme disent les couturiers et qui m’avait semblé son unique vêtement. Elle marchait assez vite et je devais me hâter pour ne pas la perdre. Ses fesses ondulaient devant moi sans excès, dont je distinguais nettement le sillon à travers le tissu. Sans aucun doute elle ne portait pas de culotte. Tout en la matant, je réfléchissais comment j’allais l’aborder.
Puis une voiture s’était arrêté à sa hauteur. Elle avait discuté avec le chauffeur, avant de faire le tour et d‘ouvrir la portière côté passager dont elle avait prit place. Sitôt la portière claquée la voiture démarra, et adieu le beau cul.
Puis le hasard fit que je tombais sur Manu.
- Dis donc, tu viens avec moi rendre une visite à Nathalie. Je l’ai rencontré en bas de chez elle. Elle avait l’air de s’emmerder. Alors je lui ai proposé un rendez-vous. Elle a été d’accord mais pour 16H00 chez elle. À l‘heure que sa mère se rend au boulot.
Malgré mes réticences, je le suivis. Alors qu’on montait les marches nous menons jusqu’à l’appartement, il me glissa à l’oreille.
- Tu vas voir, elle a un aussi beau cul que ma cousine.
Sa cousine que j’avais appris à connaitre sous tous ses coutures lors de son passage parmi nous.
Nathalie portait une robe nouée à la taille.
- J’espère que personne vous a vue monter ?
- Ne crains rien…
Par discrétion j’esquissais un mouvement de recul. Manu me retenu et me forcer à entrée. .
- Verrouille la porte ! Et regarde… regarde bien… comme tu sais j’aime bien qu’on me regarde quand je m’amuse avec une fille…
Il s’approcha de Nathalie et lui plaqua sa main sur sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge sous sa robe. Manu lui tripota les seins en la regardant tendrement dans les yeux. Malgré ma présence elle se laissait faire, toute rouge, les paupières baissées.
- Ils sont toujours aussi moelleux. Tu veux les tâter, Alain ?
- Non merci. Répondais-je.
Sans ce préoccuper de ce que je lui avais dit, il se saisit de ma main et la posa sur le sein de Nathalie. Elle sursauta, surprise. Nos regards se croisèrent. Le sien n’exprimait qu‘excitation. Alors que je mis à tâter ses seins. Il m’en fallait pas plus pour me faire bander. Manu on s’en apercevant se marra.
- Tu vois que tu aimes ça. Tu vas voir… Nathalie a d’autres jolies choses à te montrer. Pas vrai, poulette ? Fais lui voir ça…
Sans aucune hésitation, elle décrocha sa ceinture de cuir pour permettre de faire remonter sa robe sur ses hanches. Elle le fit d’une manière malhabiles, ce qui eut pour effet de m’exciter encore plus.
Elle s’adossa au mur de l’entrée, alors que mon regard tomba sur la culotte bien blanche entre des cuisses nerveuses. À l’entrejambe, ça formait deux renflements et un léger creux au milieu où le tissu s’enfonçait.
- Qu’est-ce que tu en dis ? Me lança Manu.
Sans attendre ma réponse qui ne venait pas, Manu s’avança vers Nathalie pour l’embrasser. Elle se laissa faire, absolument passive. Manu plaça une jambe entre ses cuisses, puis il se mit à farfouiller sa chatte. Au bout de quelques secondes de caresse, il tourna sa tête vers moi pour me dire :
- Tu vois, Nathalie est du genre à aimer qu’on la tripote. Essaye, toi aussi…
À défaut d’autre chose, pourquoi pas. J’aurais préférer sa mère mais bon ! Elle était assez mignonne dans son genre. Avec des lèvres ourlées. Un nez retroussé. Elle respirait vite, quand elle vint se coller à moi sans pudeur, appuyant avec force son pubis contre mon sexe tendue. Tout son corps dégageait une forte odeur de rut.
Ses seins s’aplatissaient contre ma poitrine. Soudain ses lèvres se collèrent aux miennes. Sa langue écarta mes dents pour venir au contact de la mienne. Manu s’était écarter pour mieux nous regarder. Je posais mes mains sur ses fesses et les malaxais. Elle laissa échappé des soupirs qui m‘encouragèrent à passer ma main sous l‘étoffe de sa robe pour glisser mes doigts dans le sillon moite. Elle serra les fesses et je dû me contenter de caresser les globes charnus. Son corps était brûlant, frémissant. Je m’arrêtais là, pourtant ce n‘était pas l’envie qui me manquer mais c’était tout de même la copine de Manu. D’ailleurs elle s’écarta d’elle-même de moi, pour me regarder d’un air étonné.
- Quel con ! Laissa tomber Manu. Tu n’as pas envie d’elle.
Il ouvrait sa braguette et sorti sa verge. Il bandait.
- Viens ici, Nathalie. Montre moi ta chatte.
L’air boudeuse sans doute par mon intéressement pour elle, Nathalie fit passer sa robe par-dessus sa tête. Exhibant par ce geste ses seins nus, hauts perchés, avec de minuscules tétons très noirs. Dans l’élan, elle se déculotta, dévoilant par ce geste une grosse chatte touffue. Comme je les aime, dont les poils étaient lustrés, les lèvres biens visibles, comme une balafre, verticale.
- Allons dans ta chambre ? Proposa Manu.
Nathalie marcha devant nous, Manu derrière, la queue raide. Je profitais qu’ils ne s’intéressent pas de moi pour humer la culotte. Après l’avoir respiré je la jetais à terre et rejoint de couple dans la chambre. À mon arrivée je trouvais Nathalie adossée contre son bureau, les cuisses écartées. J‘aperçus de grosses lèvres poilues s’ouvrant sur sa vulve rosée, les petites lèvres brillantes de mouille. Les poils étaient collés et ça accentuait la nudité de sa chatte. Dans cette position, on voyait au plus profond de son sexe. Manu heureux que de me voir m’adressa un sourire satisfait, avant de lâcher :
- Tu vois. Elle aime ça, Nathalie !
Il s’approcha, la bite à la main, dont il enfila une capote. Il s’en servit pour écarter les poils avec, avant de la frotter contre ses lèvres intimes. Puis il frotta le gros bout de la bite contre la touffe. Nathalie se laissa faire, les jambes écartées, la tête en arrière, son corps parcouru de frissons. D’une voix rauque, tout en continuant à se masser le gland entre les lèvres du con, Manu grommela :
- Tu vois, comme elle se laisse faire.
La poitrine de Nathalie se soulevait régulièrement, alors que son ventre enflait. La verge de Manu continuait à fouiller l’entrée de la vulve de la jeune fille. Il arrivait qu’elle s’enfonce entre les grosses lèvres avec un bruit mou et mouillé. À voix basse, haletante, Nathalie supplia Manu de l’enfoncer tout entière.
- Mets-la dedans… Vite… Dedans… Toute entière…
Elle se tourna vers moi, les pommettes rouges, comme pour me prendre à témoin.
- Dis-lui toi qu’il le fasse !
- Tu entends Manu, lâchais-je… C’est elle qui le demande…
Il martela à petits coups le haut de la fente, sous les gémissements de Nathalie. Elle entoura de ses doigts le gland qui allait et venait entre ses lèvres et butant sur son clitoris. Pendant ce temps là, Manu lui léchait les seins. Tremblante d’excitation, elle écarta les lèvres de sa chatte à l’aide de ses doigts et d’elle-même elle avança le bassin. Mais ce n’était de l’avis de Manu, qui se recula, lui prenant les jambes pour les relever le plus haut qu’il le pouvait. En sorte que la raie du cul soit visible. Il s’arrangea pour que son gland glisse jusqu’à l’anus fripé. Là il lui écarta les fesses, la vulve rose était grande ouverte, alors que l‘anus, sous la poussée du gland, commençait à se dilater.
Je fus témoin de la disparition de la verge de Manu dans le trou du cul à Nathalie. Et cela jusqu’à ses couilles. Mon excitation fut à son apogée, au point que j’éjaculais dans mon slip, les yeux rivés sur la verge qui coulissait entre les fesses de Nathalie, qui râlait, s’abandonnant, la bouche ouverte, les joues blanches et la seconde d’après, cramoisies.
- C’est mal Manu… de ce côté… c’est mal ! Disait-elle, sans pour cela s‘écarter tout au contraire elle s‘agrippa à lui.
Le slip souillé je fis les quelques pas qui nous séparer. Profitant de la position de Nathalie pour la déchausser. Elle avait des mollets très fins et délicatement dessinés. Ses pieds étaient là, nus, offerts. Je me mis à les caresser avec mes doigts, avec ma bouche aussi. Elle prenait apparemment soin de ses pieds. Leur peau était douce, souple, et ils embaumaient une légère odeur de transpiration. Certains auraient été dégoûtés de promener leurs doigts sur des pieds, et que dire de la langue, comme je le faisais. J’étais heureux, intensément. C’était exactement à la hauteur de ce que j’avais espéré. Je me mis à suçoter les orteils, l’un après l’autre, comme si c’était des petites bites, pour le plus grand plaisir de sa propriétaire qui se mit à haleter encore plus fort. Manu, encouragé, augmenta la cadence de ses coups de reins. Nathalie remuait la tête en tous sens. La queue en coulissant faisait un bruit mouillé, ponctué de flocs sonores.
J’étais aux anges, seul ma verge baignant dans son sperme était la virgule désagréable de l‘instant. Mais je bandais toujours ! Avec une énorme envie de me faire jouir. Le sang cognait dans mes tempes, alors que je voyais devant mes yeux Manu s’agiter plus vite dans le cul de Nathalie. Qui poussait maintenant des cris perçant.
Malgré une apparence stricte, Nathalie s’avérait apprécier véritablement le sexe.
Manu se coucha sur le dos et Nathalie vint s’empaler sur son sexe dressé, je vis à nouveau disparaître la colonne de chair dans le gouffre humide. J’écartais les globes fessiers de la jeune fille, je m’avançai et pointais ma verge à l’entrée de son anus. Je n’eus guère à forcer. En quelques glissements je pus investir le lieu sans peine. Je commençai à bouger en rythme avec Manu, sentant son dard de l’autre côté de la fine paroi. La sensation était divine. J’avais à la fois le plaisir d’être dans le cul de la fille et celui d’avoir l’impression de branler ma queue sur celle de mon pote. La sensation était absolument extraordinaire.
Et que dire de Nathalie, qui faisait son possible pour ne pas gueuler son plaisir afin de ne pas ameuter l’immeuble, mais elle poussait des miaulements qu’elle ne pouvait pas contenir.
Elle fut secouée par un premier orgasme, puis un second tout de suite après, tandis que nous nous activions toujours en elle. Mais alors que je hissais mon regard par-dessus l’épaule de Nathalie, je découvrais avec stupeur une femme qui nous observait.
Elle était décomposée devant la scène qui se jouait sous ses yeux. S’ébouriffant les cheveux à l’aide de ses deux mains elle déserta les lieux. Paniquée Nathalie ne savait que faire. Du genre diplomate en la matière je me proposais d’aller voir la mère et de discuter avec elle. Après l’avoir chercher dans les pièces principales, je me décidais d’aller toquer à la porte de sa chambre. Où elle se tenait assise sur son lit le visage dans les mains.
-Fiche le camps de ma chambre ! Cria cette dernière en me voyant.
Je lus sur son visage une immense tristesse.
- Mais pourquoi ? S’enquérait-elle.
Je n’hésitais pas une seconde, je pris le parti de la franchise en prenant place à côté d‘elle, oubliant ma nudité. Elle fut assez surprise de ma confession. Tentant de la consoler par la suite, de douces paroles. Elle se fit même coquine, excitant mon désir par quelques tendres phrases. Je ne résistais pas longtemps à l’offensive de la mère. Je pris même l’initiative de la débarrasser de sa culotte. Dans laquelle je plongeais ma tête. Elle était toute chaude, et sentait bon.
Puis je pris sur moi de m’allonger sur elle. D‘exciter les lèvres de son sexe avec mon pénis. Celui-ci était étonnement inondé de désir. Je prolongeai longtemps l’agréable sensation que me procurait la douce muqueuse. Quand enfin, je me décidais à aborder l’étape ultime, elle se contracta. J’avais bien essayer de persévérer, croyant à un phénomène passager, mais c’était peine perdue, je rendant bien compte de l’évidence. Surtout que la femme se mit à pleurer. Des larmes étaient intarissables.
Mais alors que j’allais baisser pavillon voilà qu’elle me lança :
-Après tout pourquoi pas, fais-moi l’amour !
De peur qu’elle change d’avis, je m’agenouillais devant elle, plaçais mes mains sur ses hanches. posant quelques baisers sur ses cuisses, la faisant frissonner, mais cette fois de bonheur. J’explorais avec ma langue son sexe. Qui se chargea très rapidement de sécrétion, si bien que je pus sans difficulté glisser un doigt dans le vagin. D’en exciter toutes les surfaces, alors qu‘elle se tordait de plaisir.
Mon besoin de foute, me fis me placer entre ses jambes. Mon pénis tâtonna quelques instants entre ses lèvres intimes. Pas mécontent du tout, je fis durer le plaisir du contact, pour enfin la pénétrer doucement. Elle exprima son plaisir dans un long gémissement. Je soulevais légèrement ses hanches, pour la perforais plus profondément en elle. Au fur et à mesure que l’excitation me submergea, j’accélérai mon balancement de va-et-vient entre les cuisses de la dame. Lorsqu’enfin je sentis le plaisir arrivait, je m’arrêtais, pour garer mon pénis au plus profond d’elle, et une fois-là, je libérais en elle mon orgasme, en longs jets saccadés. La coquine releva une dernière fois le bassin pour accepter mon don.
Suite à ce petit extra, je me rendis dans la chambre de la fille qui était en pleur dans les bras de Manu. Je la réconfortais lui certifiant que sa mère ne lui tenait pas rancune qu’il fallait bien que la jeunesse se fasse.
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