Petite Occitane, tout juste nubile
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2016 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
Petite Occitane, tout juste nubile
Brune, longiligne, fraîche comme un Hollywood chewing-gum ou une pub pour du dentifrice, avec ses dents éclatantes d'un sourire de bonheur de vivre. Elle était chouette cette fille du Sud de France.
Nous, les gars de la bande, on la matait avec empathie. On avait envie d'être, chacun, un peu son ami.
Elle jouait du pipeau. Un pipeau tout bête, flûte à bec d'écolière. Le pipeau était planté dans son petit sac à dos et dépassait dessus ses épaules comme une antenne de jouet télécommandé. C'était un grand pipeau, une flûte douce grande basse, en bois clair.
Ses cheveux au carré lui faisaient comme un casque de garçon du moyen-âge mais ses yeux bleus pétillants et son nez en trompette disaient bien qu'elle était fille malgré son poitrail presque plat de gamine trop vite poussée.
Moi j'ai aimé le moment où elle a passé la main droite, le bras droit derrière sa tête pour quérir l'instrument et l'emboucher tout en marchant pour jouer des mélodies connues qu'elle sifflait comme connivence, plaisir d'être ensemble et de vivre le moment. On écoutait en silence ou alors, quand on connaissait bien l'air, on entonnait tous ensemble en chantant fort les paroles, comme pour lui dire notre amitié.
Nous ici, en Alsace, on a quelques réticences vs les Français de l'intérieur. Mais cette fille, fille du sud nous plaisait bien et bon nombre d'entre nous l'auraient volontiers capturée et ramenée au village pour l'y épouser et lui faire moulte enfants blonds ou bruns piaillants en dialecte alsacien ou idiome occitan.
La troupe est arrivée sous la canicule d'août dans le verger de mon grand père accroché au coteau de Neuwiller. La source était fraîche et l'ombre des arbres épaisse. Tandis que la plupart des garçons et des filles du groupe s'aspergeaient, en tenues légère, de l'eau claire, elle, assise en lotus, jouait de son instrument dans la chaleur de midi.
Elle jouait des airs de son pays qui nous ravissaient. Des airs de farandoles, de cerdane que nous ignorions et qui nous faisaient rêver de Méditerranée, de mer, de bateaux, de voiles.
Son chemisier blanc était à peine ourlé de petits tétés haut plantés et sa jupe de coton clair remontait sur ses cuisses dévoilant par instants un slip blanc pudique.
Enfin, pudique ... tout le monde avait pu constater qu'il était, ce slip blanc, gonflé d'une toison sombre fort luxuriante.
Les trilles montaient de son instrument incliné vers le bas, vers ses pieds. Par moments, elle le levait haut vers le ciel pour une envolée lyrique, une phrase forte de la mélodie, qu'elle semblait dédier aux cieux.
Moi j'étais le chef car nous étions en étape picnic sur les terres de ma famille et j'avais organisé une cueillette de cerises noires, mûres, juteuses, délicieuses. Les filles avaient étendu une grande nappe sur l'herbe près de la source sur le plat de la prairie. Et chacun extrayait des sacs à dos ou des paniers d'osier des bouteilles et des paquets aluminisés garnis de pitances à partager.
L'Occitane continuait de jouer et personne ne troublait ses mélodies de rires ou d'interpellations. Nous étions tous en respect de sa musique et de sa silhouette gracile, assise là, cuisses ouvertes, sur l'herbe verte du verger.
Elle a enfin posé l'instrument prés d'elle et ce fut le signal du repas ou plutôt de l'apéro qui l'a précédé.
Tous nous étions assis dans l'herbe autour de la grande nappe blanche, face à elle. Tous garçons comme filles mangeaient leur charcuterie et leurs bredele en la détaillant, fine et frêle assise en tailleur, son sandwich à la main. Tous étaient hypnoptisés de l'ombre saillante de ses tétés et de leurs tétons noirs pointés sous le fin tissu du chemisier.
Ici les filles ont de gros nibars à la peau claire laiteuse avec aréoles roses larges molles et tendres à sucer. Elle, était vraiment différente.
Ses jambes étaient repliées sous ses fesses et sa jupe claire maintenant sagement tirées sur ses cuisses. Mais tous avaient en mémoire l'image entrevue un instant de la culotte gonflée de son frisotis noir de brune authentique. Au pays de la blonde Hansel, cette image avait tout de l'exotisme le plus chavirant.
Les filles d'ici ont touffe modeste de trois poils blonds qui ne cachent rien de leurs fentes profondes et larges de Mädchen plantureures. Tout le monde le sait et, ni les filles ni les garçons ne s'attardent à mater les villosités sombres qui saillent au cœur de si légère toison.
Mais cette Occitane troublait les indigènes et chacun d'imaginer la luxuriance sombre et brillante, remontant au nombril côté face et au coccyx côté pile, emballant en discrètion totale les secrets de la fille. Secrets que tous imaginaient, à l'image de sa frimousse, finement ourlés avec lèvres pulpeuses et languette humide et brillante.
Enfin, nous les Alsaciens, lieu de boire nos bières mousseuses, on vagabondait dans nos têtes rien qu'à rêver des histoires de cul concernant la fille au pipeau.
Et pour trouver l'entrée, pensaient certains ? Comment donc dont-on procéder ?
La fille avait repris son pipeau et le caressait doucement, passant sa main avec doigté le long de la hampe. Elle a penché son visage en avant et ses lèvres se sont ouvertes. Elle a engoulé le bois clair du bec. Ses lèvres étaient luisantes de salive. L'arrondi de bois de l'embouchure a gonflé sa bouche. Elle tenait l'instrument de sa main droite refermée sur la tige et on comprenait qu'elle prétendait l'amener en profondeur dans son gosier.
Elle a levé l'instrument haut et penché son cou très en arrière. On pensait à l'avaleur de sabre de chez Majax. Le bec était à la glotte. On était subjugués. Je bandais comme un âne et j'étais bien persuadé que nous étions tous ici dans le même état, garçons la bite dressée, les filles le gousset trempé.
Elle allait et venait, enfonçant la longue tige de bois en elle et nous voyions sa gorge s'agiter de mouvements réguliers de déglutition : elle avalait, avalait, avalait...
Moi je pensais au film Gorge profonde et je me disais que Linda était, à côté de cette Occitane, petit joueur, trés petite.
Le pipeau était au pharynx et nous savons que dans cette position la fille est en apnée et qu'il nous faut rapidement nous retirer pour lui permettre de respirer. Mais là, non, pas besoin de libérer ses voies respiratoires, elle a sifflé pour expirer et ses doigts ont joué sur les trous de l'instrument pour jouer une mélodie appropriée de Françoise Hardy, C'est à l'amour auquel je pense, et que j'espère et que j'attends...
Nous, les gars de la bande, on la matait avec empathie. On avait envie d'être, chacun, un peu son ami.
Elle jouait du pipeau. Un pipeau tout bête, flûte à bec d'écolière. Le pipeau était planté dans son petit sac à dos et dépassait dessus ses épaules comme une antenne de jouet télécommandé. C'était un grand pipeau, une flûte douce grande basse, en bois clair.
Ses cheveux au carré lui faisaient comme un casque de garçon du moyen-âge mais ses yeux bleus pétillants et son nez en trompette disaient bien qu'elle était fille malgré son poitrail presque plat de gamine trop vite poussée.
Moi j'ai aimé le moment où elle a passé la main droite, le bras droit derrière sa tête pour quérir l'instrument et l'emboucher tout en marchant pour jouer des mélodies connues qu'elle sifflait comme connivence, plaisir d'être ensemble et de vivre le moment. On écoutait en silence ou alors, quand on connaissait bien l'air, on entonnait tous ensemble en chantant fort les paroles, comme pour lui dire notre amitié.
Nous ici, en Alsace, on a quelques réticences vs les Français de l'intérieur. Mais cette fille, fille du sud nous plaisait bien et bon nombre d'entre nous l'auraient volontiers capturée et ramenée au village pour l'y épouser et lui faire moulte enfants blonds ou bruns piaillants en dialecte alsacien ou idiome occitan.
La troupe est arrivée sous la canicule d'août dans le verger de mon grand père accroché au coteau de Neuwiller. La source était fraîche et l'ombre des arbres épaisse. Tandis que la plupart des garçons et des filles du groupe s'aspergeaient, en tenues légère, de l'eau claire, elle, assise en lotus, jouait de son instrument dans la chaleur de midi.
Elle jouait des airs de son pays qui nous ravissaient. Des airs de farandoles, de cerdane que nous ignorions et qui nous faisaient rêver de Méditerranée, de mer, de bateaux, de voiles.
Son chemisier blanc était à peine ourlé de petits tétés haut plantés et sa jupe de coton clair remontait sur ses cuisses dévoilant par instants un slip blanc pudique.
Enfin, pudique ... tout le monde avait pu constater qu'il était, ce slip blanc, gonflé d'une toison sombre fort luxuriante.
Les trilles montaient de son instrument incliné vers le bas, vers ses pieds. Par moments, elle le levait haut vers le ciel pour une envolée lyrique, une phrase forte de la mélodie, qu'elle semblait dédier aux cieux.
Moi j'étais le chef car nous étions en étape picnic sur les terres de ma famille et j'avais organisé une cueillette de cerises noires, mûres, juteuses, délicieuses. Les filles avaient étendu une grande nappe sur l'herbe près de la source sur le plat de la prairie. Et chacun extrayait des sacs à dos ou des paniers d'osier des bouteilles et des paquets aluminisés garnis de pitances à partager.
L'Occitane continuait de jouer et personne ne troublait ses mélodies de rires ou d'interpellations. Nous étions tous en respect de sa musique et de sa silhouette gracile, assise là, cuisses ouvertes, sur l'herbe verte du verger.
Elle a enfin posé l'instrument prés d'elle et ce fut le signal du repas ou plutôt de l'apéro qui l'a précédé.
Tous nous étions assis dans l'herbe autour de la grande nappe blanche, face à elle. Tous garçons comme filles mangeaient leur charcuterie et leurs bredele en la détaillant, fine et frêle assise en tailleur, son sandwich à la main. Tous étaient hypnoptisés de l'ombre saillante de ses tétés et de leurs tétons noirs pointés sous le fin tissu du chemisier.
Ici les filles ont de gros nibars à la peau claire laiteuse avec aréoles roses larges molles et tendres à sucer. Elle, était vraiment différente.
Ses jambes étaient repliées sous ses fesses et sa jupe claire maintenant sagement tirées sur ses cuisses. Mais tous avaient en mémoire l'image entrevue un instant de la culotte gonflée de son frisotis noir de brune authentique. Au pays de la blonde Hansel, cette image avait tout de l'exotisme le plus chavirant.
Les filles d'ici ont touffe modeste de trois poils blonds qui ne cachent rien de leurs fentes profondes et larges de Mädchen plantureures. Tout le monde le sait et, ni les filles ni les garçons ne s'attardent à mater les villosités sombres qui saillent au cœur de si légère toison.
Mais cette Occitane troublait les indigènes et chacun d'imaginer la luxuriance sombre et brillante, remontant au nombril côté face et au coccyx côté pile, emballant en discrètion totale les secrets de la fille. Secrets que tous imaginaient, à l'image de sa frimousse, finement ourlés avec lèvres pulpeuses et languette humide et brillante.
Enfin, nous les Alsaciens, lieu de boire nos bières mousseuses, on vagabondait dans nos têtes rien qu'à rêver des histoires de cul concernant la fille au pipeau.
Et pour trouver l'entrée, pensaient certains ? Comment donc dont-on procéder ?
La fille avait repris son pipeau et le caressait doucement, passant sa main avec doigté le long de la hampe. Elle a penché son visage en avant et ses lèvres se sont ouvertes. Elle a engoulé le bois clair du bec. Ses lèvres étaient luisantes de salive. L'arrondi de bois de l'embouchure a gonflé sa bouche. Elle tenait l'instrument de sa main droite refermée sur la tige et on comprenait qu'elle prétendait l'amener en profondeur dans son gosier.
Elle a levé l'instrument haut et penché son cou très en arrière. On pensait à l'avaleur de sabre de chez Majax. Le bec était à la glotte. On était subjugués. Je bandais comme un âne et j'étais bien persuadé que nous étions tous ici dans le même état, garçons la bite dressée, les filles le gousset trempé.
Elle allait et venait, enfonçant la longue tige de bois en elle et nous voyions sa gorge s'agiter de mouvements réguliers de déglutition : elle avalait, avalait, avalait...
Moi je pensais au film Gorge profonde et je me disais que Linda était, à côté de cette Occitane, petit joueur, trés petite.
Le pipeau était au pharynx et nous savons que dans cette position la fille est en apnée et qu'il nous faut rapidement nous retirer pour lui permettre de respirer. Mais là, non, pas besoin de libérer ses voies respiratoires, elle a sifflé pour expirer et ses doigts ont joué sur les trous de l'instrument pour jouer une mélodie appropriée de Françoise Hardy, C'est à l'amour auquel je pense, et que j'espère et que j'attends...
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