Petite parenthèse

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Petite parenthèse Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Petite parenthèse
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
(Petite parenthèse avec 3 écrits de 3 de mes meilleurs soumis)
Voici ce que je leur ai adressé à chacun d'eux :
Je veux que vous me fassiez chacun de vous une rédaction.
Voici le sujet :
'Nous sommes le matin 9h. Tu es informé que ton Maître viendra chez toi cet après-midi à 14h. Il sais que tu seras seul (e) chez toi et exige que tu te tiennes prêt (e) à l'accueillir. Comment et que prépares-tu, pour que sa visite soit la plus réussie. Narre les préparatifs et sa venue et la séance de soumission qui suit, laquelle tu réalises avec Lui et heureux (se) de l'effectuer.''
Soyez imaginatifs. A vos claviersVotre MaîtreMarquis d'Evans------------------------------------
Ecrit par esclave69MDE (esclave mâle)
Samedi matin, 9 heures précises... je suis encore dans les brumes du sommeil lorsque le bourdonnement de mon téléphone portable vient me chercher au fond de mes draps...
Le petit "bzzzzzzz" incessant me force à m'extraire des bras de Morphée... Il y a un message... Et quel message ! "Aujourd'hui, 14h !". C'est laconique, mais d'une absolue clarté. "Le Maître va venir !"... je me lève précipitamment, toute sensation de sommeil m'a instantanément quitté... "Le Maître va venir !" je suis tellement excité ! Hors du lit, nu... je tente de reprendre mes esprits... Surtout ne pas commettre de faute, surtout pas aujourd'hui ! D'abord... m'agenouiller et réciter cette phrase qui, chaque matin, donne son sens à ma journée : "je suis l'esclave Du Marquis d'Evans, je Lui appartiens corps et âme et j'obéis à toutes Ses exigences, pour Son usage ou celui de Qui Il le veut".
Ensuite c'est à quatre pattes que je quitte ma chambre. A nouveau, devant la porte des toilettes je remercie mon Mâitre de daigner me permettre d'accomplir chaque geste, chaque action de ce quotidien dont il tire désormais les ficelles..
...
Le temps passe si vite ! Déjà 10 h 30 et je m'apprête à sortir afin d'aller faire quelques courses pour préparer La Venue de mon Maître... une profonde émotion m'habite, mon corps est... je ne sais pas comment il est... différent... la cage qui emprisonne mon sexe devient soudain insupportable. je voudrai l'arracher, je suis dévoré du désir de me masturber... ce geste qui m'est interdit depuis de longues semains, j'y ai renoncé avec bonheur... non que je n'en ai pas parfois le désir, mais j'obéis ainsi à La Volonté de mon Seigneur et Maître et je me satisfais de Lui démontrer ainsi mon profond attachement. Mais aujourd'hui je n'en puis plus ! je dois sortir ! je sors pour tenter d'oublier. je sorssans but réel... Immédiatement, je prends l'attitude que requiert mon statut. la tête basse, les yeux rivés au sol. je déambule lentement, courbé, guère plus qu'une ombre servile parmi les promeneurs du week-end.
Finalement, être dehors ne m'apporte rien... je rentre, je me fonds dans le décor des rues grises et je rejoins mon appartement. je dois le rendre digne de recevoir la première visite de mon Seigneur et Maître. je fais le ménage en grand. toujours à quatre pattes, maniant la serpillière et le seau, m'appliquant à nettoyer le moindre recoin... ainsi le temps passe plus vite et j'en oublie presque cette sensation qui me serre l'estomac, la présence si contraignante de la cage autour de mon sexe... et le temps passe... passe si lentement... Mais il passe ! Et un coup d'oeil à la pendule m'indique qu'il ne reste qu'un quart d'heure... Vite, vite... je me présente devant un miroir : nu, ne portant au cou que ma chaîne et les trois anneaux... ainsi que mon collier de chien... tout va bien... un peu fébrile je vais entrouvrir la porte de l'appartement, puis je regagne le salon et je m'installe.

A quatre pattes, prosterné vers la porte, le visage au sol, les bras étendus vers l'avant, les reins creusés et la croupe relevée... docile, offert...
...
Longues, si longues sont ces dernières minutes... interminables... je tremble légèrement... mon estomac est noué... Le Maître va venir !"... Il va passer la porte, je vais être à son entière disposition, enfin ! Enfin je vais pouvoir Lui montrer mon dévouement sans faille, ma totale appartenance... Il va entrer... j'attends... quelle heure est-il ? Où est-il ?...
Une fois, deux fois, je crois entendre la porte... mais non, pas encore, mais que se... ça y est... j'entends les gonds qui grincent un peu... un léger courant d'air entre dans le long couloir et je sais que, cette fois, la porte s'est ouverte. Pourtant je ne l'entends pas se refermer... ni aucun pas dans le couloir... mon coeur bat si vite ! Mon estomac est si noué ! ma bouche si sèche ! je m'applique à rester immobile... j'attends... pas un mot, pas un souffle... Mais soudain, un bref sifflement et le claquement cuisant d'une lanière qui s'abat sur ma croupe. je me cambre et laisse échapper une plainte légère... Un deuxième coup me rappelle à mon devoir... je tends mon corps, je m'applique à garder la pose et je mords ma lèvre pour garder le silence. Lorsque trois autres coups viennent frapper ma croupe offerte, pas de plainte ni de mouvement... Ces cinq coups n'étaient qu'une entrée en matière.

Maintenant je sens que Le Maître m'observe. Il ne prononce pas un mot... Mais je sens tout le Poids de Son Regard peser sur mon corps dont Il sait qu'Il peut en disposer comme bon Lui semble... Pourvu qu'Il ne soit pas déçu...
Sa Voix s'élève, dure, froide... impérative...*
- "Qui es tu ?"(je prends mon souffle : "je suis Votre esclave, Maître. je Vous appartiens corps et âme et Vous en disposez comme bon Vous semble... Pour Votre usage ou celui de Qui il Vous plaira"- "Bien"...

Sa main ! je sens Sa Main qui se pose sur ma nuque... sa main sur ma peau... qui descend le long de mon dos, provoquant à Sa suite comme un courant qui parcours mon échine... Lentement, il passe sa main sur mes fesses, suivant la ligne des traces rouges que je suppose laissées par la flagellation qui a inauguré Sa venue... il palpe, pelote mon cul docile, puis, lentement, glisse un doigt dans mon anus... il l'enfonce, le ressort, l'enfonce à nouveau, joue de l'élasticité de ma rosette... durant de longues minutes. Puis il retire son doigt, s'approche, tire sur mes cheveux pour me faire relever la tête, et introduit son doigt entre mes lèvres pour que je le nettoie des traces de mon anus de chienne...
Ce n'est que le début, bien sur. Car le Maître est venu pour tester Son esclave, pour jauger sa capacité à obéir et à subir... Une prise de contact, certes, mais surtout une "prise de possession"... Le Maître me possède, au propre comme au figuré... Sans répit, sans ménagement, Il impose Son Pouvoir, applique Sa Marque sur l'esclave qui se plie à toutes Ses Volontés, qui gémit sous les contraintes, sous les humiliations et la pénétration brutale et multiple de chacun des mes orifices... je subis tout, gémissant, soupirant et parfois, hélas, suppliant... ce qui entraîne à chaque fois une réplique cinglante Du Maître qui n'hésite pas à sanctionner durement toute attitude de recul, toute supplique... Ceinturon, cravache... mon corps porte les traces de chacun des mots que je n'aurai pas dû prononcer et je peux, je pourrai pendant plusieurs jours, lire dans ces "lignes" le sens des leçons qu'il m'administre aujourd'hui.
...
Brisé, douloureux, possédé... tel est mon corps lorsque Le Maître décide de mettre fin à ce moment... S'il avait pu y avoir un doute, dissimulé au plus profond de mon esprit, il a été définitivement effacé... Oui j'appartiens Au Maître, il n'est rien qu'Il ne puisse exiger de moi et rien de ce qu'il exigera de moi que je n'accomplirai docilement... tandis qu'il usait et abusait de moi, de mon corps, pendant des heures, tandis qu'il brisait en moi toute forme de pudeur pour me traiter avec moins d'égards que la plus rouée des putains, je n'avais d'autre désir que celui de Le combler, de Le satisfaire en tout... Maintenant, Il a pris son dû ... Mais je sais que ce n'était qu'un début. Aujourd'hui, je découvre ce que signifie Lui appartenir et je vais devoir découvrir ce mot en épelant chaque lettre sur tous les tons d'une soumission absolue...

Pas de répit ! déjà Le Maître m'entraîne vers la cuisine, il a fixé une courte laisse en maillons au collier qui enserre mon cou et je le suis docilement, malgré les courbatures qui parcourent mon corps meurtri. Dans la cuisine, il remplit un bol d'eau au robinet de l'évier et le pose au sol
- "Bois chien ! Je n'en ai pas fini avec toi !"
docilement, je lape l'eau de cette gamelle improvisée, tandis que Le Mâitre s'installe à la table de la cuisine, sur laquelle j'avais préparé un en-cas destiné à étancher Sa Faim et Sa Soif à tout instant de cette longue journée. Lorsque j'ai fini mon bol d'eau, je reviens à quatre pattes me positionner aux Pieds Du Maître qui ne m'accorde aucune attention, trop occupé à savourer les mets délicats que je Lui avais préparé, accompagnés d'un élégant verre de cristal au contenu dont la pourpre cardinalice évoque les coteaux ensoleillés des Côtes du Rhône.
Nonchalamment, Le Maître saisit un petit bout de déchet de nourriture sur le bord de Son assiette et siffle afin de maîtriser mon attention. Je me redresse, comme un chien bien dressé dont on exige la concentration. Le Maître agite un instant le petit bout de nourriture, l'approche de mon visage, le fait passer lentement devant ma bouche, avant de la lâcher sur le sol. d'un petite tape sur la nuque, il me fait comprendre que c'est pour moi. je me penche et saisis la nourriture entre mes dents...

Le Maître répète ce geste plusieurs fois, constatant avec satisfaction mon avilissement jusqu'à la position de chien servile, reconnaissant pour les restes qu'Il daigne consentir à me jeter... Maintenant, Le Maître m'a attaché au chambranle d'une porte. J'ai les bras étirés vers le haut, les jambes écartées... ainsi écartelé, je suis totalement livré à Son bon vouloir, totalement accessible, totalement livré à Sa Volonté... cela va être très long... Le Maître veut tout savoir, il veut me mettre à nu, complètement... pas seulement de corps, car cela c'est déjà fait et je suis totalement à Sa merci. Mais mettre mon esprit, mon âme à nu... Il veut que je Lui dévoile tout, je n'ai plus droit à quelque intimité,Le Maître a accès à mes pensées, mes désirs, mes fantasmes, mes secrets les plus dissimulés. Bien sur ce n'est pas facile, mais peu à peu je dévoile tout de mes secrets, de mes espoirs, de mes hontes. j'avoue tout, car ce sont bien des aveux, complets, qu'exige Le Maître... Et Il les obtient ! je ne peux rien Lui cacher, Il interroge et je réponds, sans rien omettre. Je me livre sans retenue et me mets ainsi à nu devant Lui... il est vrai que la règle de cette séance est impitoyable...

Le Maître interroge et, à la moindre hésitation ou s'Il pense que je ne suis pas de la plus absolue sincérité, il place une pince à linge en bois sur une partie de mon corps... L'interrogatoire est long, très long. Et fatigué, encore marqué par un reste stupide de pudeur, j'ai parfois un temps de réponse, une hésitation, alors, calmement, le Maître prend une pince, l'approche lentement de mon corps et la "pose"...
A l'issue de l'entretien, ce sont des dizaines de pinces qui décorent mon corps... une dizaine sur mes testicules, d'autres sur mes cuisses, mon ventre, mes bras, partout... Le Maître apprécie tant cette image qu'Il en fait une photo, plusieurs photos... les premières pinces posées deviennent vraiment douloureuses et je grimace. Le Maître apprécie, il joue avec certaines des pinces pour obtenir une autre grimace et saisir celle-ci en photo... Puis il passe avec douceur Sa Main sur ma joue...

- "je sais que tu souffres, esclave... Mais ce n'est rien... Non, ce n'est rien à côté de ce que tu vas ressentir lorsque je vais lentement t'enlever ces pinces, une à une... saches le, c'est lorsqu'on les enlève que leur morsure est la plus cruelle... et je ne ferai rien pour t'épargner, parce que tel est Mon Droit, Mon Pouvoir... parce que tu m'appartiens... OUI ?"- "Oui Maître, je Vous appartiens corps et âme, Vous pouvez disposer de moi comme... AAAhh !!!"(Le Maître vient de retirer une première pince, non sans s'amuser à tordre un peu la peau prisonnière au passage et je n'ai pu retenir un cri de douleur, immédiatement ponctué d'une gifle sévère)- "Eh bien la règle du jeu est désormais claire. Je vais t'enlever les pnces une à une, et chaque fois que tu crieras, je te giflerai... compris ?"- "Oui... Oui Maître..."- "Bien. Et pendant que je les enlève, tu récites sans faute... sinon je serai obligé de te punir. Et tu n'as pas envie d'être puni, n'est-ce pas petite pute, petite salope, sale chienne ! ! !"-"Non, Maître, non..."- "Alors récites et sans t'interrompre !"
Et l'enlèvement des pinces reprend... lentement, longuement... et les gifles succèdent aux gifles, la douleur de chaque pince enlevée irradiant tout le corps tandis que le sans irrigue brutalement les chairs qui en avaient été privées... Finalement, un petit tas de pinces s'est amoncelé à mes pieds et mon corps trésaille involontairement, comme électrifié par la douleur qui le parcourt... Le Maître me libère de mes liens et il n'a qu'à me laisser me répandre lentement sur le sol, tant cette douloureuse séance m'a épuisé... me reprenant en laisse, il m'entraîne avec autorité vers un placard. je dois m'y agenouiller et Il attache mes poignets dans mon dos... puis se saisit d'un plug et l'enfonce d'un geste brusque dans mon cul... Il bande mes yeux...

- "tu vas rester là et réciter tes phrases régulièrement, sans cesse, afin de bien t'imprégner de ton statut et de ton appartenance... J'ai à faire... Je reviendrai quand j'en aurai terminé, jusque là... tu ne bouges plus"
Et Le Maître referme la porte, m'abandonnant ainsi dans l'obscurité totale du placard, accentuée par le bandeau sur mes yeux. et je récite...

-"je suis l'esclave du Marquis, d'Evans, je Lui appartiens corps et âme et il en dispose comme bon Lui semble..." ...

esclave69MDE-------------------------------------------
Ecrit par fanny (esclave femelle)Une rencontre entre une soumise et son maître
L'appel de mon maître me trouble. Dans quelques heures il sera là et je ne suis qu'une loque à cet instant. Je suis figée, pétrifiée. Puis le mouvement me revient et je cours à travers la pièce de mon humble appartement. Je saute dans un vieux jean et je prends le premier tee-shirt à ma portée. Je suis près de la porte d’entrée quand je me stoppe net, mon regard parcourant la pièce lumineuse. Je marche lentement, tête baissée et monte sur ma table de salon. Droite, fixant l’horizon, je constate tristement ma demeure, trop petite, trop moche pour mon maître. Je me sens indigne, je ne suis pas à la hauteur de ses espérances. Les larmes me viennent aux yeux et mes joues se retrouvent vite inondées par le flot d’eau salée. Une goutte s’introduit dans l’espace de mes lèvres et le goût amer se répand dans ma bouche. D’un poing rageur, je m’essuie le visage, claque la porte et pars en courant dans la petite ruelle de mon quartier. Je m’arrête essoufflée et je glisse contre un mur de pierres. Je suis perdue, la vue trouble et ma respiration saccadée. Comment puis-je satisfaire mon maître ? Mon maître qui me donne tant d’amour, qui prend sur son temps pour s’occuper de moi. Il me comble tellement et moi je ne peux rien lui offrir. Mon corps et mon âme lui appartiennent déjà. Que puis-je faire d’autre ?

Un homme s’approche de moi, se met à genoux et me tend les mains pour m’aider. Il les approche de plus en plus jusqu’à les poser sur mes genoux lovés sous ma poitrine. Je lui cris instamment de ne pas me toucher. Je me lève de rage et lui hurle dessus. Il ne comprend rien et s’enfuit en pestant. Je reprends alors contenance et je cherche dans mon esprit ce qui pourrait plaire à l’homme que j’aime, à mon maître. Restera-t-il pour manger en fin de soirée ? Je ne le sais pourtant je décide de me diriger vers la poissonnerie. Ainsi peut-être que mon maître pourra goûter à ma cuisine, cet art si sublime. Une foule de personne attend devant moi, et avec mes yeux rougis, mes vieux vêtements, je fais pitié. J’ai froid, je frissonne. Mon simple tee-shirt n’est d’aucune utilité et le vent caresse ma peau. Je danse avec lui. Mes seins se durcissent, mes mamelons pointent et je frémis sous cet élément noble de la nature. J’achète un pavé de saumon, épais, large, suffisant pour une seule personne. Je passe chez le fleuriste et je lui prends une dizaine de lys blancs. Des fleurs royales pour le roi qu’est mon maître. Je marche dans l’avenue principale de la ville. Je cherche ce qui peut faire plaisir à mon maître. Une bonne bouteille évidemment pour accompagner le tout. Je me dirige vers l’épicier. Le vent souffle de plus en plus fort et violemment. Des larmes resurgissent au coin de mes yeux et mon regard devient alors envoûtant, hypnotisant.

Des hommes me regardent mais dès qu’à peine il commence une ascension vers moi, je leur lance un regard noir, meurtrier et de peur ils reculent. Je ne suis pas une de leur proie facile, je suis une soumise fidèle à mon maître. Une chienne mais sa chienne. Pour mon maître, je suis prête à tout et j’achète donc un grand cru d’Alsace le "Clos Saint Urbain Rangen de Thann" millésime 98. J’en profite aussi pour prendre quelques citrons confits. Chargée, je rentre chez moi afin de préparer la venue de mon cher maître. Je pose touts mes achats dans la cuisine et je pars dans la pièce principale de l’appartement. Il est beaucoup trop petit pour une séance de D/S. Une idée me vient alors. Je sors vite sur le palier et je frappe à la porte de mon voisin. Je lui fais un petit numéro de charme et il accepte de venir m’aider à déplacer les meubles. Je le remercie gentiment en lui proposant mes services pour une aide future. Ravi, il part en me souhaitant une bonne fin de journée. Je ferme la porte et regarde avec joie ma « nouvelle pièce ». Plus de meuble, un sol lisse, clair et une vue magnifique. La grande baie vitrée offre un merveilleux panorama sur toute la ville. Le lieu est alors parfait pour une belle séance.

Je suis ravie et je me sens plus sereine pour cette après-midi. Il est pourtant déjà 11 heures et il me reste beaucoup à faire. Je fais le ménage dans toutes les pièces n'oubliant aucun recoin, aucunes poussières. Midi sonne et je mange à la hâte, mon ventre serré par l’excitation de l'instant et des moments à venir. Mon morceau de pain et de fromage avalée, je cours dehors à la boutique de sex-shop pour pouvoir acheter des objets afin que mon maître ait ce qu'il souhaite sous la main. Je suis devant une façade simple où l'enseigne indique le doux nom de ‘’Aux beaux Rêves’’. Je pousse la porte et un petit tintement retenti suite à mon entrée. La gérante s'approche alors de moi et me demande si j'ai besoin d'aide. Timide et rougissante, je lui réponds que mon maître vient dans deux heures et que je n'ai rien pour le satisfaire. La femme, d'une trentaine d'années, enchantée, m’emmène avec elle vers des rayons en fond de magasin. Sous mes yeux alors une collection de fouets, cravaches et autres accessoires se dessine. Je suis stupéfaite par la quantité. Elle me demande alors les préférences de mon maître. Je lui explique en bafouillant que mon maître est doux, gentil mais pervers et parfois même sévère. Elle me tend alors un fouet et je le prends en main. Celui-ci fut choisi sans hésitation. Il est noir, de fins fils argent ornent son manche, se contorsionnent et l'entourent. Ses lanières sont fines, un cuir souple qui sciera à merveille sur ma peau. Je frissonne rien que de le caresser. Je lui réponds donc qu'il est parfait. Elle continue son chemin avec moi derrière.

Elle regarde mes poignets, touche ma peau et me tend une paire de menottes assez minces. Elle m'affirme qu'elles sont faites pour moi. Je lui souris et regarde tous les objets autours de moi. Mon univers et celui de mon maître, je suis dans mon élément. Je lui demande de rajouter un rouleau de cordes si mon maître est d'humeur taquine et veux faire du bondage. Elle me regarde en souriant et je baisse la tête, les joues en feux. Je fixe mon regard sur une belle chaîne en argent avec pinces. Simple mais jolie. Je suis sûre qu'elle plaira à mon vénéré maître. La gérante l'ajoute donc au panier qui commence à bien se remplir. Elle y rajoute aussi discrètement un plug de volume important et me dit que c'est la maison qui offre. Je pense alors que j'ai fait le tour et que ce sera suffisant pour aujourd'hui. En allant vers la caisse, un groupe d'hommes et de femmes s'approche de moi, me regarde et me détaille. Je ne fais pas attention en me disant que c'est normal. Cependant plus ils avancent et plus je prends peur. Je ne pourrai rien faire contre toutes ces personnes. Un homme de carrure athlétique, grand et musclé, n'est qu'à quelques centimètres de moi et il m'attrape le poignet. Je ne peux plus bouger, tétanisée. Il se place derrière moi et commence des caresses sur mon ventre et il monte petit à petit. Je me débats, je gémis de désespoir, je lui cris d'arrêter. Il ne veut rien écouter et me dit de la fermer, de me détendre.
Je pleure et je vois les autres se rapprochés, avec dans leur regard une envie et un désir démesurés. La gérante voit mon état pitoyable et devine que je suis une soumise fidèle. Je l'implore de toutes mes forces. Des clients, non accompagnés, me viennent alors en aide et un jeune homme, fin et efféminé, prend ma défense. Tout le monde s'éparpille et je me retrouve d'un coup, seule au centre du magasin. Le jeune homme essuie mes larmes, me dit qu'il est aussi un soumis. Je le remercie fortement et lui fait un bisou sur la joue. La patronne ne me fait pas payer et je sors dans la rue toute chamboulée. Il ne me reste que peu de temps avant la venue de mon maître et je suis dans un état catastrophique. Je file en vitesse chez moi. Je me fais couler un bain chaud et plonge délicieusement dedans. Je me frotte, me lave le corps négligeant aucune parcelle de peau. Je suis propre, fraîche et de nouveau en pleine forme. Séchée, je me passe une huile parfumée à la vanille. Je me masse les jambes, mon ventre, mes seins qui commencent à pointer et durcir de cette divine caresse. Je suis toute belle pour mon maître, nue, parfumée. Il est 13h50. Je me rend donc dans la pièce principale où je pose tous les accessoires achetés ou plutôt offerts. Je les dispose bien pour que mon maître puisse choisir à sa guise. J'ouvre la porte d'entrée en grand et la laisse ouverte. Je me mets à genoux, tête baissée prête à l'attendre. Mon souffle ralentit, mes yeux se ferment, les minutes deviennent longues. Des pas se font entendre, la porte se ferme et je devine ses yeux se posant sur mon corps offert. Mon maître passe sa main sous mon menton, me relève le visage et dans les yeux me dit « Bonjour petite chienne ». Excitée, je lui dis également bonjour. Il inspecte du regard les lieux et d'un sourire satisfait il m'attache le collier et la laisse. Mon maître me fait levée et par des gestes habiles, il m'inspecte.

Ma bouche, mon sexe, mon anus, rien n'est oublié. Il introduit alors un doigt dans mon vagin et sent tout mon désir. « Tu mouilles petite chienne, tu aimes être une salope, ma salope ». Son doigt, mouillé de ma cyprine, se présente à mes lèvres et je suce avec entrain et envie ce doigt proposé. Je le rends propre. Maître me demande de m'allonger. Sur le dos, j'attends la suite. Il prend le fouet en main et m'ordonne de ne plus bouger. Le premier coup retentit et l'extase commence. Le fouet s'enroule, claque sur ma peau. Ses lanières marquent mon corps de striures rouges. Je suis peinte par les fruits de mon désir. Je gémis et je crie. Mon maître s'amuse de mes réactions. Il ralentit le rythme, l’accélère. Je suis happée dans un monde de désir et de luxure. Puis les coups s'arrêtent. Ma laisse entre ses doigts experts, il tire brutalement et je me retrouve à quatre pattes. Il prend le plug et mon maître force l'entrée de mon anus en poussant. Je me retrouve pleine d'un seul coup et je crie ma douleur. Satisfait de lui, mon maître se positionne devant moi, ouvre son pantalon et sort son imposant sexe. Comprenant le geste, je commence à lécher son membre puis je l'enferme dans l'étui que forme ma bouche. Je suce sa virilité par de lents va et viens mais de suite il réclame plus et son sexe s'enfonce dans ma gorge.

Enfoncé, son sexe claque contre mon palais, il prend vie et violemment baise ma bouche. Des vagues de plaisirs et de douleurs se mêlent et je gémis inconsciemment. Mon maître jouit alors et des giclées de son foutre m'arrose la gorge et j'avale toute cette précieuse semence. Loin d'avoir débandé, il frotte sa virilité contre mes fesses. D'un geste il enlève le plug et le remplace par son membre bien tendu. Je crie ma surprise. Énergiquement, mon maître me possède et me crie tous les noms auxquels je suis associée : chienne, salope, petite pute … Sous les assauts, je gémis. Un tourbillon de sensations envahit mon corps et je ne suis plus de ce monde. Mon maître prend possession de mon âme et de mon corps. Cela me paraît durée des heures et je me noie dans un plaisir extrême. Il sort de mon anus et repend son sperme sur mon dos. Essoufflé, il s'assoit dans un fauteuil face à moi. Je m'écroule à terre, encore dans un monde de rêves. Je ferme les yeux pour me calmer et reprendre ma respiration. Mon maître m'ordonne de venir à ses pieds et de m'y coucher. Je me retrouve alors roulée en boule et lovée contre ses jambes. Bercée par le silence, je m'endors dans un sommeil réparateur. Quelques heures plus tard, je me réveille et honteuse je baisse le regard devant mon maître en m'excusant. Il me regarde attendri et me dit que ce n'est rien que je viens justement de gravir une étape. Heureuse, je lui demande si monsieur a faim et c'est avec joie que je vais lui préparer son dîner. Je m'active dans la cuisine, met le poisson au four. Je cuis le riz en ajoutant des petites lamelles de citrons confits et de la crème fraîche.

Le tout préparé, je le dispose joliment dans une assiette et l'apporte à mon maître. J'ouvre la bouteille de vin et le sert. Puis je me positionne à ses pieds à genoux. Mon maître me félicite du repas et il commence alors à découper quelques morceaux pour me donner la becquée. Les aliments entrent dans ma bouche et c'est alors un concert de sensations qui s'offre à moi. Mes papilles raffolent de ce met et je gémis de bonheur. Mon maître remarquant mon nouvel état sort de table et se déshabille. Il me prend alors en levrette, sa verge glissant dans mon sexe. Mon maître me baise sauvagement et je pousse des cris de jouissance. C'est si bon que j’oublie toute retenue et me lâche entre les mains de mon cher maître. Après un orgasme dévastateur, il me porte dans ses bras et me couche dans le lit. Il m'embrasse sur le front et me dit « Dors bien petite chienne, fais de beaux rêves et pense fort à ton maître. Merci pour cette fin de journée et à bientôt ma belle. ». Happée par le sommeil je murmure mes derniers mots de la journée « Je vous aime maître ».

esclaveLuna (fanny)------------------------------------------
Ecrit pas leeny (esclave femelle)
Des vacances, en Martinique de rêve, pour mon Maitre adoré Première journée :
Je me levai, comme à mon habitude, à l’aube ce matin là. Je souris en voyant, par la fenêtre près de mon lit, les premiers rayons du soleil commencer à faire leur apparition derrière l’océan. C’était un spectacle magnifique, de si bon matin. J’allais sortir de ma chambre quand j’aperçu mon ordinateur. Mon Maitre m’avait peut-être envoyé un message… Je ferais mieux de regarder, pensai-je. J’ouvris donc ma boîte mail et mon cœur se mit à battre plus vite quand je vis effectivement un message de mon Maitre. Je l’ouvris précipitamment et mon sang se glaça… Il venait… Il venait aujourd’hui! Son vol arrivait pour 13h30! Je devais venir le chercher… J’allais voir mon Maitre. Enfin! Cela faisait si longtemps!

Depuis que j’avais dû repartir pour mon île, il y avait quelques mois, pour des raisons personnelles, il n’y avait plus eu qu’une relation à distance entre Lui et moi. Il m’avait tant manqué! Et, aujourd’hui, il venait! Il avait pris une semaine pour venir me voir! Comment allais-je faire? Tout devait être parfait! Il devait passer les meilleures vacances de sa vie. D’abord, mon footing! Il fallait que je me défouleet que je mette mes idées en place ! Je regardai rapidement ma montre: 4h03. J’enfilai rapidement un petit short noir et une brassière de sport et sortis de chez moi. L’air était tiède et mes foulées se firent légères et courtes au début. Le chemin était défait et les trous m’empêchaient d’accéléré. J’arrivai au sentier qui menait à la route parallèle. J’y pénétrai, prudente, car ma visibilité était réduite par l’obscurité. Les hautes herbes frôlaient mes genoux et mes chevilles. Quand mes pieds touchèrent le sol de la route, j’accélérai le pas. Mes foulées se firent plus grandes, et je pris mon rythme habituel. Je descendis prudemment la pente cabossée qui menait au front de mer.

Quand j’arrivai enfin sur la première plage déserte, je me remis à courir. L’air marin s’engouffrait dans mes cheveux, que j’avais oublié d’attaché, les faisant voltiger en longues boucles derrière moi. Le sable, fin et dense, m’opposait une grande résistance, mais cela ne me découragea pas. J’accélérai, faisant le vide dans mon esprit. J’avais de plus en plus chaud, et mes jambes commençaient à me brûler. Je ne m’arrêtai pas pour autant. Mon souffle se fit plus régulier à mesure que je m’habituais au rythme que je m’imposais. J’arrivai à la huitième plage et regardai ma montre: 5h20. J’avais battu mon record! Avec une joie intense, je me déshabillai. Une mèche de mes cheveux s’accrocha à l’anneau d’or qui marquait mon assujettissement. Je la décrochai en souriant devant l’anneau dont j’étais si fière, et couru, entièrement nue, vers la mer. Je plongeai dans les vagues et mon souffle se coupa un instant. L’eau était glacée en comparaison à l’air tiède de la plage. Je me mis à nager pour me réchauffer. Après plusieurs allés-retours, j’arrivai à la bouée de sécurité qui empêchait les bateaux d’empiéter sur l’espace pour les nageurs. Bateau…
Une idée me vint à l’esprit! Je pris le chemin inverse et sortit de l’eau. Je m’essuyai brièvement et regarda ma tenue, trempée. Je décidai de faire une folie et de prendre le chemin de chez moi entièrement nue. Cela me ferait une expérience à raconter à mon Maitre à son arrivée. J’étais donc seulement vêtue de ma chaine et de mon anneau lorsque je pris le chemin inverse. Mes seins sautillaient joyeusement et l’adrénaline me procura une immense joie. J’étais également excitée à l’idée de me faire prendre dans mon plus simple appareil. Car, certes, il n’y avait personne dans les plages à cette heure, mais je pouvais croiser des coureurs matinaux tels que moi. Et cela m’arriva. Je rencontrai la route d’un homme qui me regarda avec de grands yeux, emplis de perversité. Rouge de honte, je continuai mon chemin. J’accélérai davantage et arrivai enfin au sentier de hautes herbes. Je le traversai rapidement et couru vers mon portail. Dans la sécurité de mon jardin, je me mis à réfléchir à toute vitesse. Il fallait que j’appelle mon père. Tout devait être en place à Son arrivée. Je rentrai précipitamment chez moi et regarda l’heure: 6h45. Mon père était réveillé depuis longtemps, mais ma mère n’allait pas apprécier que leur téléphone sonne alors qu’elle dormait… Tant pis! C’était urgent. Je composai donc le numéro de la maison de mes parents. Au bout de trois sonneries, mon père décrocha.

- Papa, c’est moi. Tu vas bien?
- Très bien, répondit-il avec une voix fatiguée.
- Désolée de te déranger, j’ai besoin du bateau. Je peux venir chercher les clés?
- Maintenant? Mais il n’est même pas à l’eau.
- Je le mettrai moi-même. J’en ai besoin pour une semaine.
- Eh bien c’est autant le mien que le tien, je ne peux pas te le refuser.
- Bien, j’arrive.

Je raccrochai, enfilai rapidement une jupe et un débardeur et pris mes clés de voitures. Le bateau de mon père était entreposé à la marina du Marin. Il était spacieux et luxueux, et j’imaginais très bien mon Maitre dans un tel environnement. J’arrivai chez mes parents dix minutes plus tard, passai en coup de vent et sortis avec les clés du bateau et de la marina après avoir embrassé mon père et ma mère encore endormie. Je remontai dans la voiture et démarra en trombe. Il était déjà 7h! J’accélérai et grillai honteusement un stop. La marina n’ouvrirait pas avant une heure. J’avais le temps de mettre le bateau à l’eau avant que des centaines de touristes ne l’envahissent. Je me garai sur le parking réservé aux propriétaires, descendis rapidement et saluai les gardiens.

- Leeny! Ca faisait longtemps qu’on t’avait pas vue!
- Oui, j’étais partie, mais je suis revenue pour quelques mois. Tu m’excuses, je dois y aller, il faut que je prépare mon bateau, j’ai un invité très spécial qui arrive aujourd’hui.
- Je comprends, ma p’tite.
- Tu as besoin d’aide? proposa l’autre gardien.
- Non, ça ira, merci.

J’arrivai enfin devant le bateau et regarda ce qu’il y avait à faire de l’extérieur. Quelqu’un venait s’occuper de l’intérieur trois fois par semaine, mais la coque avait besoin d’un bon nettoyage. Je m’y mis et au bout d’une heure, tout était impeccable. Je montai donc sur le chariot pour atteindre l’arrière du bateau où l’accès au pont était facilité. Comme je m’y attendais, le salon et la cabine de chambre étaient parfaits. Il manquait juste des verres dans la kitchenette. Il faudrait donc que j’en achète. Je vérifiai s’il y avait des draps et de quoi se doucher. Je sortis du bateau au bout d’une demi-heure et interpellai l’un des gardiens pour qu’il me prête son 4x4. Il me proposa de mettre lui-même le bateau à l’eau et j’acceptai avec joie. Cela me permettrait d’aller faire quelques courses. Je lui lançai les clés en l’informant que je serai de retour pour 13h00 au plus tard. Le centre commercial était bondé, malgré l’heure. J’entrai dans le supermarché et fonça vers le rayon «maison».

Je pris des verres et quelques couverts en plus, des serviettes et me dirigea vers le rayon alcool. Je plaçai dans le cadi deux bouteilles de La Mauny et une de Clément, deux rhums locaux. Puis je pris en passant à toute vitesse du café, et de quoi manger pour une semaine. J’avais essayé de prendre des ingrédients locaux pour faire connaître à mon Maitre la cuisine de Martinique. J’étais si heureuse qu’un nuage me portait. Je sortis du supermarché et vit en face de moi une boutique de vêtement. Une nouvelle tenue, pour l’arrivée de Maitre, ne serait pas de refus. J’entrai en laissant le cadi à l’entrée après avoir demandé à la caissière de le surveiller. Avec un sourire, elle accepta. Je fis rapidement le tour de la boutique et tomba sous le charme d’une robe en cuir très courte et très près du corps. Je l’essayai. Elle m’allait plutôt bien, ressortant sur ma peau caramel et mettant en valeur mes formes pulpeuses. Je souris et dit à la vendeuse que je la prenais. En sortant, je vis au loin un groupe d filles.

C’était mes amies! Je me retournai et me précipitai vers la sortie. Je me souvins alors qu’il me manquait des «outils», dans le bateau. Je me précipitai donc jusqu’à ma voiture, rangeai les courses et retournai dans le centre commercial. Evitant quiconque me connaîtrait (ce qui était difficile sur cette île de seulement quatre-cent milles habitants et qui ne comportait qu’un seul grand centre commercial), je montai au deuxième étage et me dirigeai vers la seule boutique de sex-shop de la région. Un peu honteuse, j’entrai et fût surprise par une odeur de patchouli. La vendeuse me regarda avec un sourire.

- Bonjour.
- Bonjour, répondis-je.
- Vous cherchez quelque chose en particulier?
- Euh… Oui… Des appareils de soumission… dis-je à toute vitesse.
- C’est vous la soumise, ou vous soumettez?
- C’est moi la soumise.
- Bien, alors cela va être plus facile. Quel âge a votre Maitre? Et quel âge avez-vous?
- Cinquante-neuf ans. J’en ai dix-neuf.
- Je vois. Je pense avoir ce qu’il vous faut. Suivez-moi.

Elle me mena jusqu’à un rayon rempli d’instruments en cuir. Aucun ne valait la collection personnelle de mon Maitre, mais je devrai faire avec. Elle me présenta deux fouets en cuir (l’un avec plusieurs fils l’autre avec un seule, gros et solide), deux barres de fer de tailles différentes, des liens en corde et en cuir, trois énormes godes… Je pris tout ce qu’elle me présentait. Un objet attira mon attention. Il ressemblait beaucoup à celui de mon Maitre. C’était une espèce de machine qui aspirait les tétons. J’avais eu la joie de goûter aux plaisirs que procure la douleur infligée par cet instrument à l’époque de ma vie au château. Je souris et demandai à la vendeuse de me donner également cela. J’ajoutai à ma panoplie plusieurs paquets de pinces en métal, des boules de Geisha, un vibromasseur, deux bandeaux et des bougies parfumées. Je retournai rapidement chez moi avec mes achats. Je laissai tout dans la voiture et entra en trombe dans la maison.

Il était 10h. J’avais une heure-et-demi pour me préparer. Autant dire un énorme défi pour moi qui mettais trois heures, d’ordinaire. J’entrai dans la baignoire remplie d’eau bouillante. Je m’étais rendue compte en me déshabillant avec quelle tenue j’étais allée au centre commercial. Tant pis! Il y avait plus important. Je ressortis, plus d’une heure et demi plus tard, parfumée d’une fragrance tropicale, coiffée d’une couette haute qui laissait mes cheveux onduler jusqu’à mes omoplates, et maquillée d’un rouge provocant sur les lèvres et d’un fard à paupière très léger. J’enfilai rapidement ma robe en cuir toute neuve, sans aucun sous-vêtement en dessous. J’avais eu beaucoup de mal à me réhabituer aux vêtements en arrivant ici. Après tout, au château, les esclaves vivaient nus. Alors j’essayais de mettre le moins de tissu possible sur moi. Cela me manquait, de vivre avec mon Maitre. J’étais devenue une pauvre chienne sans personne pour s’occuper d’elle. Bon, Il ne m’avait pas abandonnée, Il s’occupait toujours de moi. Mais la distance me faisait souffrir.

Mais j’allais Le revoir… Mon cher Maitre! Je sautillai de joie jusqu’à la voiture après avoir pris ma valise et reparti, direction la marina. Comme je m’y attendais, le bateau tanguait doucement près de l’un des pontons. Je remerciai les gardiens, ils me lancèrent la clé en me souriant. Je déchargeai discrètement la voiture et emmena mes «outils» dans la chambre. Je rangeai le reste des achats dans la cuisine ainsi que les verres, les bouteilles et les couverts. Une fois tout rangé et installé, je me dirigeai vers la sortie. Puis j’eu une idée. Je retourna dans la chambre, saisi le plug que j’avais trouvé dans ma chambre en allant chez moi et l’enfonça dans mon cul. Il fallait qu’il soit bien dilat2 pour accueillir le vit de mon Maitre. Puis de je mis en route, direction l’aéroport du Lamentin. J’arrivai trente minutes plus tard, heureuse de ne pas avoir rencontré d’embouteillage et d’être pile à l’heure. Je regardai sur le panneau des arrivées.

L’avion venait d’atterrir. Mon cœur se mit à battre plus fort. Il devrait sortir le premier, étant privilégié. Il ne tarderait donc pas. Je me mis debout devant la porte d’où devait sortir les passagers. J’avais honte de ne pouvoir m’agenouiller, comme une esclave devait le faire. Mais je ne pouvais décemment pas, étant en publique. Je me fis promettre de demander une punition à Maitre pour cet affront que je lui faisais. Je ne sais pourquoi, je sentis qu’il arrivait. C’était sans doute mon sixième sens de chienne qui savait quand son Maitre était là, mais j’en étais persuadée. Par la baie vitrée, je Le vis. Et mon cœur cessa de battre un instant. Il était magnifique. Il portait un costume blanc dont la veste était ouverte sur une chemise bleu ciel. Ses yeux étaient cachés par ses lunettes de soleil que je devinais très coûteuses. Ses cheveux grisonnants étaient coiffés à la perfection. Deux gardes-du-corps noirs Le guidaient jusqu’à moi. Quand je Le vis en face de moi, j’inclinai la tête. Il était devant moi. Mon Maitre…
Il me salua d’un sourire et je cru que j’allais fondre. Mes joues s’empourprèrent. Sans un mot (il ne m’avait pas permis de lui parler), je l’entraînai vers ma voiture. J’espérais de tout mon cœur qu’il la trouve confortable. Je l’avais acheté il y avait deux mois. C’était une berline blanche aux vitres entièrement teintées. Elle était assez luxueuse, mais je savais qu’elle ne valait pas le luxe dans lequel Le Maitre avait l’habitude de vivre. Inquiète, je lui ouvrai la porte de derrière. Il me sourit à nouveau, accélérant davantage les battements de mon cœur, et monta à l’avant de la voiture, côté passager. Je rougis davantage, si cela était possible, et contourna la voiture pour monter devant le volant. J’allais tourner la clé mais mon Maitre m’arrêta en attrapant ma main. Il me touchait! Enfin! Je tournai la tête et le regardai timidement (je ne savais pas si j’en avais le droit). A nouveau Son sourire… Il approcha sa tête et m’embrassa tendrement. Sa langue s’immisça dans ma bouche et j’eu l’impression que mon cœur explosait. Il me sépara de Ses lèvres et me regarda dans les yeux.

- Tu n’as pas dit bonjour à ton Maitre.
Je comprenais ce qu’il voulait. Docilement, je dégrafai son pantalon et baissa ma tête, bénissant mes vitres d’être teintées. Je restais d’abord un instant à regarder le magnifique sexe qui se dressait devant moi. Magnifique était d’ailleurs un mot très faible. Il m’avait tant manqué! Je l’avalai entièrement et poussai un soupir de soulagement en sentant l’énorme gland se caller au fond de ma gorge. Cela faisait si longtemps! Je me mis à lécher, mordiller, sucer avec application. J’entendis mon Maitre soupirer d’aise et la joie m’envahit. Il posa Sa main sur mes cheveux. Sa paume était chaude. Il m’imposa un rythme, accélérant un peu plus chaque minute. De mon côté, je m’appliquais à lui procurer tout le plaisir que je pouvais. Au bout d’un long moment, je sentis enfin l’épais liquide de mon Maitre s’engouffrer dans ma bouche. Avec délectation, je dégustai ce jus qui m’avait tant manqué et qui avait un goût unique. Il me fit me redresser et me regarda dans les yeux.

- C’est bien, tu es toujours une aussi bonne chienne. Maintenant, emmène-moi chez toi.
Et Il ébouriffa mes cheveux. Je le regardai puis baissa les yeux, signifiant que je désirais parler. Il m’y autorisa.
- Maitre, je vous ai réservé une surprise qui, je l’espère, vous plaira.
- Eh bien, soit. Mais ne me déçois pas.
- Oui, Maitre.

Je me mis en route. J’arrivais sur la route de Rivière-Salée quand je sentis Sa main se poser sur ma cuisse. Il remonta vers mon sexe. Sa peau était si douce! Quand ses doigts rencontrèrent les lèvres de ma chatte déjà humide, je poussais un soupir d’aise.

- Petite chienne, tu es déjà toute mouillée. Mon sexe t’aurait-il excité?
- Oui, Maitre. Tout, en vous, m’excite Maitre.
- C’est bien. Tu es restée assez longtemps de moi pour être en manque.
- Oui, Maitre.

Il continua ses caresses si tendres et je gémis doucement tout le long du chemin. Je pris le rond-point de Poirier et m’engageai sur la route du Marin. Nous n’étions plus qu’à quelques kilomètres de la marina. Enfin, je tournai à l’intersection menant au portail, ouvris ce dernier et entra dans le parking privé. Maitre paru surpris. Je lui souris timidement, descendis de la voiture, la contourna, ouvrit la portière côté passager et lui tendit la main.

- Eh! Leeny, voici donc ton invité si spécial! nous interpella Tom, l’un des gardiens. Tu nous présentes?
Je me mis à paniquer. Qu’allai-je lui dire? Je ne pouvais pas lui dire que c’était mon Maitre, il ne comprendrait pas… Que pouvais-je inventer?
- Bonjour, monsieur. Je suis son ancien professeur de lettre. Nous avons gardé contacte après qu’elle ait obtenu son baccalauréat, tissant peu à peu une amitié et notre petite Leeny a voulu me faire visiter son île, intervint mon Maitre avec une voix grave et ferme.

Il était fantastique! Un génie! Je souris à mon ami, qui paru tomber dans le panneau, et guida mon Maitre sur le ponton. Je demandai à Tom de prendre les valises (celles de mon Maitre et les miennes) et à Carlos, l’autre gardien, de L’aider à monter. Le bateau tangua un instant, manquant faire tomber mon cher Maitre, et je poussai un cri d’effroi. Mais la légendaire adresse de mon Maitre lui permit de rétablir son équilibre. Je poussai un soupir de soulagement. Puis ce fût mon tour de monter. Les valises à bord, je m’installai sur le siège du pilote et démarra le moteur.

- Tu conduis les bateau, Leeny? Je ne savais pas cela.
- Pardon, mon Maitre, je voulais vous faire la surprise.
- T’appelles ton prof, mon Maitre? se moqua Carlos de son accent espagnol.
- Euh… Oui. Bon, nous devons y aller. A plus, les gars! Réservez-moi la sortie trois pour dimanche. Je vais ressortir le bateau après notre excursion.
- Vous restez une semaine?
Je n’eus pas le temps de répondre, le bateau filait déjà vers la sortie de la marina. Mon Maitre m’observait, et cela me fit rougir. Après avoir dépassé les balises de ralentissement, j’accélérai pour quitter la zone de mouillage. Je conduisais en silence, sentant Le regard de mon Maitre sur moi.
- Je crois que tu as oublié quelque chose, ma petite chienne.
Je me tournai pour le regarder et vis son regard posé sur ma tenue. Je m’excusai précipitamment, mis le moteur au point mort et me déshabillai.
- C’est mieux ainsi.
Je me remis aux commandes. Le Maitre était assis sur l’un des sièges passager du pont supérieur. Son costume blanc se fondait dans la couleur beige des sièges. Je le priai de bien vouloir se changer pour éviter de tâcher sa tenue.
- Je veux bien, me répondit-il, mais je n’ai aucune tenue adaptée à la vie sur l’eau.
Je Le détaillai attentivement et remarquai qu’il était un peu plus petit que mon père, mais que ses vêtements devraient lui aller. Je stoppai à nouveau le moteur et descendis dans la cabine. Je remontai avec un T-shirt blanc et un short bleu à fleurs blanches. J’avais tellement honte de présenter cela à mon Maitre! Mais je restais persuadée qu’il serait plus à l’aise ainsi, et tout ce qui me préoccupait était son bien-être.
- Je ne peux décemment pas porter les affaires de ton père.
- Il n’y verrait aucun inconvénient, Maitre. Je suis désolée, je n’avais pas prévu cela. Nous ferons un arrêt au port de la marine à Fort-de-France et vous pourrez, si vous le souhaitez, faire vos achats. Mais je n’ai que cela pour le moment, Maitre.

Il me regarda puis fixa la tenue. Je ressentis un grand soulagement quand il prit, après un long silence, la tenue et me sourit. Il descendit en cabine et je me remis en route. Il remonta quelques minutes plus tard, un large sourire aux lèvres.

- Chienne, arrête-toi là. Je viens de voir quelque chose de très intéressant, ici-bas, et je veux que tu m’accompagnes en bas.

J’appuyai sur un bouton et l’ancre descendit automatiquement. Après m’être assurée que l’ancre touchait le fond avec trois mètres de marge au niveau de la chaîne, je coupai le moteur et entra dans la cabine à la suite de mon Maitre.
- Bien. D’abord, je te félicite. Cet endroit est très beau et je pense que je m’y plairai. Je te félicite également car tu as pensé à tout.

Il pointa de Son doigt la gamelle posée près de la table à manger.

- A présent, je veux que tu me fasses visiter.
- Oui, Maitre, dis-je en me mettant à quatre pattes.

Il passa mon collier autour de mon cou et y accrocha ma laisse. J’avançai en suivant ses pas. Cela aussi, ça m’avait manqué. Suivre mon Maitre à la trace était l’un de mes passe-temps favoris à l’époque de ma vie au château. Je lui présentai donc la salle de bain qui contenait une baignoire, un douche qui avait également un dispositif de sauna, des toilettes et un deux lavabos; la chambre avec le dressing, le grand lit et les deux tables de chevets. J’avais débarrassé le petit lit qui s’y trouvais et que j’utilisai lors de mes excursions avec mon père et l’avais remplacé par un grand panier en velours rouge qui se mariait avec les tons beiges, rouges et or de la chambre. Un grand miroir qui recouvrait l’armoire donnait l’impression que la pièce était encore plus grande. C’était la pièce du bateau dont j’étais la plus fière. Sur le lit étaient entreposé tous les sex-toys et autres que j’avais acheté le matin. Je rougis légèrement.

- Je vois que tu as vraiment tout prévu! Je suis fière de toi, dit-Il alors que je rougissais de plus belle. Bien. Alors puisqu’apparemment tu attendais cela avec impatiente, nous pouvons nous y mettre.
- Oui, Maitre. Maitre, je ne vous ai pas accueilli convenablement à l’aéroport, je vous ai manqué de respect.
- Allons, nous étions en public.
- Mais je mérite tout de même une punition. Le respect que je vous dois est trop grand pour que je me permette de telles infamies.
- Eh bien, tu as vraiment évolué depuis le début de ton dressage. Tu mérites effectivement une punition. Et tous les objets que je vois là devraient pouvoir m’inspirer.
Il s’empara du fouet à une seule corde, souple et solide. Il la fit claquer dans l’air et la reposa. Je restais à quatre pattes, tête baissée. Je L’entendis actionner le vibromasseur et l’éteindre. Je ne dis rien, patiente. Il me tira par la laisse et me fit m’assoir. Il sortit son sexe imposant et s’assit sur le lit.
- Suce-moi, petite chienne, pendant que je réfléchis.

Je me mis au travail. Pendant un long moment, ma langue courait sur la verge tendue, mes lèvres happaient le gland gonflé, mes mains s’affairaient à masser les boules remplies. Je prenais un grand plaisir à sucer cette belle verge qui m’avait tant manqué. Au bout de quelques instants, il me fit m’arrêter, me poussa sur le sol, sur le dos. Il prit les liens en corde et attacha mes chevilles à la plus grande barre de fer, passant ensuite cette dernière derrière ma tête. Je me retrouvai exposée à son regard scrutateur. J’étais bien heureusement très souple et cette position ne me dérangeait pas. Il se saisit d’un gros gode et l’engonça directement dans ma chatte déjà humide. Il entra sans problème.
C’est là qu’Il vit le plug dans mon cul. Avec un sourire, il tira d’un cou sec.

- Petite coquine. Tu t’étais bien préparé à mon arrivée. Je te félicite une nouvelle fois, tu es une bonne chienne. Tu auras le droit à une double ration, ce soir. Mais pour l’instant, ta punition.

Il prit le fouet et se mis à fouetter mes cuisses, mon sexe, mes fesses. Je retenais difficilement mes cris de douleur. Je n’y étais plus vraiment habituée, à vrai dire. Mon Maitre y mettait de plus en plus de force. Au bout de quelques minutes interminables, enfin, Il s’arrêta et m’enfonça à nouveau son sexe dans la gorge. Il y ressortit quelques instant plus tard et me détacha. Je me remis à genoux. Il attrapa mes cheveux (qu’Il avait antérieurement délivrés de l’élastique qui les retenait) et posa ma tête contre le pied du lit. Il attacha mes poignets ensemble derrière mon dos et me tira par la laisse jusqu’au salon. J’essayais tant bien que mal de Le suivre sur les genoux. Je tombai cependant en arrivant au petit escalier et continuai le chemin en rampant derrière Lui. Il me balança sur le canapé et reparti dans la chambre. Il revint quelques secondes plus tard avec quelques uns des outils, dont les pinces et la machine qui aspirait les tétons. Il commença par installer cette dernière.

Il la mit au niveau le plus intense, si bien que la pointe de mes seins devint vite rouge et gonflée. J’eus envie de crier de plaisir mais me retint au bon moment. Il plaça ensuite les pinces sur tout mon corps, dont la partie libre de mes mamelles de chienne, et les relia avec un fin fil de fer qui se trouvait dans le paquet et que je n’avais pas remarqué. Une fois toutes les pinces placée, il tira d’un coup sec et les enleva toute d’un coup. Je retins avec peine un cri de douleur. Il recommença cela trois fois, laissant ma peau rouge et saignante par endroit. Il me détacha ensuite et caressa ma joue.

- Je crois que tu as eu assez. A présent, couchée et pas bouger !
Je m’exécutai et le vis repartir sur le pont. Il y resta plus d’une heure. Je devinai qu’il observait la vue magnifique du Rocher du Diamant et de la Femme couchée. Pendant cette heure où je ne devais pas bouger, je réfléchis à ce que je pouvais faire faire à mon Maitre. Il fallait qu’il s’amuse et je voulais qu’il découvre mon île. Je me mis donc à élaborer un plan de visite, dans ma tête. Je ne vis même pas à quel moment il revint.
- Bien. Il est déjà dix-huit heures, et je n’ai encore rien mangé. Alors, ma chienne, mets-toi au travail et contente ton Maitre.
- Oui, Maitre.

Je me levai et me dirigeai vers la cuisine. Il me fallut trente minutes pour préparer le repas. Je servis mon Maitre qui s’était installé à la table et me mis docilement à quatre pattes près de lui alors qu’il commençait à manger. Il me caressa la tête durant tout son repas et je me frottais inconsciemment à Sa main si douce et si tendre en comparaison à l’heure précédente. Quand Il eut fini, Il me fit signe de débarrasser. C’est ce que je fis, et je lui servis le dessert qu’Il refusa. Il se leva, se dirigea vers la cuisine. Il ouvrit quelques tiroirs, cherchant vraisemblablement quelque chose. Il parut le trouver et plongea Sa main dans un des placards. Il en sortit le paquet de croquettes que j’avais acheté, ainsi que la pâtée pour chienque j’avais trouvé au dernier moment au supermarché. Il versa dans ma gamelle les croquettes et les mélangea avec la pâtée. Il me fit signe de manger. Je le remerciai pour sa bonté et m’avançai vers la gamelle. Il me regarda manger. Quand j’eus finit, il prit mon menton et le leva vers lui. Je remarquai alors que Son sexe était sortit. Je m’apprêtais à l’emboucher mais Il m’arrêta.

- Tu dois avoir soif, ma chienne. Alors tiens, bois.

Avec joie, j’ouvris grand la bouche. Il commença donc à uriner dans ma bouche. C’était bon, chaud et un peu acide mais salé et agréable. Il s’arrêta lorsque ça allait déborder, se détourna de ma bouche et se vida dans le côté vide de ma gamelle. Je me précipitai pour laper la pisse jaune qui remplissait maintenant le récipient.
Bien, bonne chienne.

Il tira ensuite ma laisse et m’entraina vers la salle de bain. Il me prépara au coucher puis tira ma laisse jusqu’à la chambre. A ma grande surprise, ce n’est pas au panier qu’il me fit m’installer mais sur le lit. Il m’embrassa sur le front et sorti. J’entendis, quelques instants plus tard, l’eau de la douche couler, puis, après un long moment, je perçu le chuchotement animé de la télévision. Je m’endormis, la brûlure du baiser de mon Maitre encore sur le front. Il était là, avec moi. J’étais heureuse…..

esclaveleeny(à suivre)

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