Petite soirée extraordinaire

- Par l'auteur HDS Petitcouple -
Auteur couple.
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Récit libertin : Petite soirée extraordinaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Petite soirée extraordinaire
Petite soirée extraordinaire
Vu que nous n’avons pas les enfants, nous avons décidé ma femme et moi, de nous faire une petite soirée bien tranquille, avec un petit ciné et pour finir, un bon petit resto chinois.
Nous nous sommes préparés, moi simple bermuda et polo, ma femme une petite robe courte et fine, vu la chaleur qu’il faisait. Elle avait plus que raison de s’habiller ainsi, surtout que ça met ses belles petites rondeurs en valeur : une grosse paire de seins qui adore faire disparaître ma queue entre eux. Et je ne vous parle pas de son cul bien rebondi, qui fait également de petits tours de passe passe.
Nous voila partis pour la séance de 18 heures Nous serons ainsi au resto pour à peu près 20 heures. Ce sera tout bon. Arrivant devant le cinéma, nous nous rendons compte qu’il n’y a rien d’exceptionnel à l’affiche. Mais bon, pas grave. Nous avions prévu d’y aller, alors nous y allons.
Nous choisissons un petit film romantique qui n’a pas fait beaucoup de pub et qui sait, peut-être que ce sera un bon film. Arrivés dans la salle, nous constatons qu’il n’y a vraiment pas grand monde. Pas très grave, du moment que nous sommes ensemble, c’est le principal.
Voila, le film commence. Après seulement 15 minutes, on peut se rendre compte que ça va être long et pénible à regarder. Mais je ne dis rien, vu que c’est ma femme qui a décidé du film. Je ne veux pas la fâcher. Puis soudain, une idée me passe par la tête. Mais c’est chaud et ma femme va me jeter direct, si je commence. Alors je me calme et je pose ma main sagement sur sa cuisse toute douce. Je la caresse avec de petits mouvements des doigts. Cela semble lui plaire, vu qu’elle pose sa tête sur mon épaule. À cet instant, je bande direct. Ne me demandez pas pourquoi. Heureusement que nous étions dans le noir, sinon elle m’aurait traité d’obsédé. Je commence des mouvements plus longs avec la paume de ma main, tout le long de sa cuisse, du genou jusqu'à l’aine, où je peux sentir l’élastique de son string en dentelle, d’après ce que je devine au bout de mes doigts.
À ce moment-là, elle met bien sagement sa main sur ma cuisse. Espérons qu’elle la laissera là, sinon elle va sentir ma queue toute raide, prête à exploser dans mon short. Petite info, depuis un moment, je ne suis rien du film. Je ne pense qu’à mes caresses, qui d’ailleurs lui font un petit effet. Car à chaque approche vers son string, je sens un petit mouvement très léger des cuisses qui s’ouvrent. Est-ce un appel pour lui caresse sa chatte épilée à part une petite ligne droite verticale ? ou alors tout simplement, un spam musculaire. Après quelques caresses de base, je tente l’aventure. Je laisse mes doigts caresser les côtés de sa petite chatte bien chaude, que je peux sentir à travers son string, déjà légèrement humide.
Ça devient dangereux. Une fois lancé, on a du mal de s’arrêter. Est-ce que je continue ? Ou j’arrête pour ne pas la gêner. Je décide de continuer, vu qu’elle n’avait rien dit jusqu'à présent. Maintenant avec mes doigts, je commence à écarter son string pour pouvoir accéder à sa chatte. Elle est effectivement bien mouillée, ce qui me rend fou de désir. Je commence à lui caresser le clito. Je sens sa main se serrer sur ma cuisse et perçois un léger gémissement. Je continue de plus belle et lui mets un doigt, qui rentre directement, ce qui la fait me mordre l’épaule. Vu son excitation, après quelques va-et-vient, je lui mets un second doigt, ce qui lui fait mettre sa main sur ma queue toujours aussi raide voir même plus. Elle me caresse le long de mon short. Sentant ma queue toute pliée là-dedans, elle décide d’ouvrir mon short pour l’en faire sortir, mais la recouvre avec mon polo.
Ho ! putain que ça fait du bien de pouvoir la tendre à fond. Elle commence à me branler tout doucement, plutôt qu’avec des mouvements brusques, pour ne pas attirer l’attention. Elle caresse mon gland avec le bout de ses doigts et se rend compte, que je mouille également. Elle le frotte bien, puis recommence ses petits va-et-vient ; moi, toujours occupé à lui caresser l’intérieur de sa chatte et avec mes doigts, qui la pénètrent de plus en plus profondément. Soudain, je sens sa main caresser tout doucement le clito. Cela lui fait un bien fou, à en croire la morsure dans mon épaule qui me fait mal, mais soulagée par son mouvement de va-et-vient plus intense sur ma queue prête à exploser, et les caresse sur mes couilles.
Je la sens mouiller de plus en plus. Je ne l’avais jamais vue ainsi avant. C’est tout bon. Soudain je la sens se crisper et serrer ma queue comme une dingue. S’en suit une belle petite vague de mouille sur mes doigts et sur ses cuisses. Elle avait carrément joui. Oh ! putain ! ma femme a joui ailleurs qu’à la maison. C’était magnifique. Elle enlève sa main qui caresse son clito pour venir mourir sur mes lèvres. Elle veut que je lui lèche sa mouille. Quel beau cadeau ! J’accepte immédiatement. Je lui lèche discrètement les doigts, puis lui fais un bisou pour la remercier. Sa main partit ensuite caresser ses gros obus, où on peut bien distinguer ses tétons. Si le film s’arrêtait à ce moment-là, nous serions dans de beaux draps. Mais tout va bien, il y en a encore pour une demi-heure.
Elle malaxe bien ses seins et me branle toujours avec autant d’envie, voir même davantage, vu qu’elle a enlevé le polo qui cachait ma queue. Ma femme vient alors m’embrasser les lèvres en me disant discrètement un petit je t’aime au passage. Puis sans crier et gare, elle va me sucer le gland avec sa langue divine. Je n’y crois pas ! Ma femme me suce au cinéma ! Hallucinant comme c’est superbon. Elle fait des va-et-vient, joue avec ma queue comme une vraie petite pute de film porno. Sa langue lèche ma queue tout du long, du gland jusqu'à la base, sans oublier mes couilles, quelle bouffe a pleine bouche. Enfin elle essaye. Je la sens baver comme une folle sur ma queue et me branler en même temps. Je ne vais plus pouvoir résister bien longtemps. Elle accélère alors le mouvement, tout en me regardant avec un petit regard de pute. Pourtant à la base, elle est toute timide. Je la sens complètement différente et ça m’excite. Je vais jouir, mais ai peur de me cracher dessus. À ce moment-là, elle me gobe la queue pour que je puisse jouir dedans, ce que je fais sans me priver. Je lui mets de grosses giclées, qu’elle avale difficilement. Mais elle ne renonce pas et continue jusqu'à la dernière goutte. Après avoir tout bien nettoyé avec sa langue, elle range ma queue et vient me rouler une pelle, pour bien me faire sentir l’odeur de ma queue qui a explosé dans sa bouche. Puis elle se remet sur mon épaule. Je la regarde, lui fais un bisou sur sa tête et lui dis à mon tour :
JE T’AIME
Depuis, nous aimons le cinéma de seconde zone, hihihi.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Très bien raconté, celà m'a rapellé quand j'avais 18 ans et que j'allais au cinéma avec un petit copain, on se mettait au dernier rang et on ne voyait pas beaucoup le film.



Texte coquin : Petite soirée extraordinaire
Histoire sexe : Une rose rouge
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