PETITES HISTOIRES 2 une balade champêtre
Récit érotique écrit par POESEXE2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PETITES HISTOIRES 2 une balade champêtre
UNE BALADE CHAMPETRE
Ce week-end, nous sommes allés nous baigner avec des amis . Le temps était au beau et nous nous sommes retrouvés au bord d’un petit lac à une trentaine de kilomêtres de chez nous. Nous avons passé une superbe journée. Nos amis sont très sympas et nous avons partagé un délicieux pique-nique, puis passé notre temps entre bronzette et baignade.
Beaucoup de citadins s’étaient donnés le mot, et la place était assez encombrée par des familles qui s’échappaient de leurs appartements pour faire prendre l’air à leurs marmots, ce dont on ne pouvait les blamer.
Néanmoins, étant arrivés, pas trop tard, nous avons pu trouver un coin d’herbe, au pied d’un arbre. Paressant sur un drap de bain, j’ai pu, en jetant des coups d’œil discrets, me rendre compte que nos compagnes, ravissantes dans leurs maillots de bain, attiraient les regards des mâles environnants. Sandra était vétue d’un deux pièces minimaliste formé de petits triangles d’étoffe reliés par des ficelles, alors que sa copine, Joelle, portait un maillot de bain une pièce, sans bretelles, dont le haut glissait sans arrêt, dévoilant ses tétons fréquemment. Quand elles sortaient de l’eau, le tissu collé à leurs corps harmonieux, elles étaient suivies du regard par bien des hommes, dont certains étaient rappelés à l’ordre par leurs épouses.
L’après-midi s’étire, et petit à petit le monde déserte ce paradis du dimanche. C’est bientôt notre tour de regagner nos pénates. Pendant que Stéphane et moi rangeons, parasols et glacières, nos amies se sèchent après un dernier bain et se changent. Joelle roule son maillot jusqu’à la taille nous montrant ses seins déjà bronzés, puis s’enroule dans une serviette pour quitter sa tenue de bain, et enfiler un string minuscule que je découvre quand elle déroule la serviette pour passer une jupe de toile, avant d’enfiler un débardeur, masquant sa jolie poitrine. Sandra, elle , a enlevé son soutien-gorge, et se sèche précautionneusement, ses seins bien ronds aux tétons pointus livrés à nos regards, mais très vite, elle endosse une robe de toile, très courte mais assez large, avant de faire glisser le bas de son maillot à terre.
Tout le monde enfin prêt, nous nous embrassons tous, avant de remonter dans nos voitures respectives, et de prendre la route.
Tandis que la voiture de Stéphane s’éloigne rapidement, Je roule lentement, en jetant des coups d’œil fréquents sur Sandra , un peu excité. Je pose ma main sur son genou. Elle ne réagit pas, ou je ne le vois pas, car elle porte des lunettes solaires aux verres opaques. Je remonte ma main sur sa cuisse jusqu’au bord de sa robe., puis un peu plus haut, entrainant l’étoffe vers le haut. Je suis stoppé par la fourche de ses jambes, et je sens sous mes doigts, sa courte toison.
-« Tu n’as pas de culotte ? »-« Non, j’avais oublié de prendre un change » répond elle sans bougerJe tire le tissu vers le haut et dévoile sa fente dénudée sous sa toison en ticket de métro..
Ma main revient s’insérer entre ses jambes, caressant la chair douce, à l’intérieur des cuisses. Avec un soupir elle écarte un peu plus les jambes, en une invite muette.
Conduisant d’une main, je tatonne et entre en contact avec la chair chaude et humide de ses lèvres. Elle s’avance sur le siège et me laisse longer sa fente pour atteindre son clitoris en haut de cette vallée humide. Elle soupire doucement tandis que mes doigts s’agitent sur son sexe et que je finis par y pénétrer mon majeur, pour la masturber gentiment.
Je rattrape de justesse une embardée et me reconcentre un instant sur ma conduite. Je trouve enfin ce que je cherche, un petit bois, et un chemin . J’y engage la voiture sur quelques mêtres ; suffisamment pour être invisible depuis la route. J’immobilise la voiture . Nous sommes entourés d’arbres qui dispensent une agréable fraicheur dans ce sous-bois.
Je me tourne vers ma compagne qui ote ses lunettes de soleil et me regarde d’un air interrogateur.
-« Pourquoi on s’arrête ? » demande t’elle avec un sourire narquois-« Parce que j’ai du mal à faire plusieurs choses à la fois »-« Et ? »-« Et j’ai décidé de m’occuper de la plus importante en premier » dis-je, avec deux doigts qui s’introduisent en elle.
Elle m’échappe et descend de la voiture. Je fais le tour de l’auto pour la rejoindre, et je l’embrasse avant de lui dire-« Tu m’as excité tout l’après-midi. »-« Je n’ai pourtant rien fait de spécial. Tu es sur que ce n’est pas Joelle, ou les autres femmes ? »-« Oh, je les ai bien regardées, mais celle qui me fait le plus d’effet c’est toi. »-« Tu veux dire, que, juste ça, te fait de l’effet ? » demande t’elle en faisant passer sa robe par dessus sa tête avant de l’envoyer dans la voiture. Elle tourne sur elle même, nue dans ses nu-pieds à talons avant de s’avancer vers moi.
-« Voyons ça » dit elle en palpant ma queue déjà bien tendue dans mon bermuda.
-« hmmm, effectivement, en voilà un qui a envie de prendre l’air » dit elle en baissant mon bermuda qui laisse sortir ma queue bien bandée-« Pas question de faire l’amour dehors, ça grouille de bestioles, ici « m’annonce t’elle avant d’éclater de rire devant ma mine déconfite.
Elle ouvre la porte arrière, et s’engouffre sur la banquette, laissant ses jambes et son cul dehors. Je comprends instantanément et viens me coller à elle. L’accès est difficile, mais elle replie une jambe et m’ouvre grand le chemin de son intimité. Elle est déjà bien lubrifiée et je m’enfonce en elle d’un trait.
-« Houmppff, c’est vrai que tu avais envie. Tu es bien gros » Je la pilonne lentement au départ, mais je sens que son fessier vient au-devant de moi en une demande sans équivoque. Je m’applique alors à grands coups de reins, mon pubis claquant vigoureusement contre son cul, qui rougit sous les coups.
-« HAN, han ! ouii ! c’est bon ! » crie t’elle maintenantJe suis tellement excité que je ne peux me retenir bien longtemps, et je jouis très vite dans son vagin.
Après un temps d’accalmie, nous nous désunissons-« Dis donc, c’était du rapide » commente t’elle-« Désolé, j’avais trop attendu. »-« En attendant, maintenant j’ai envie, moi » déclare t’elle « et c’est mal barré » complète t’elle en voyant mon sexe en berne.
Je suis prêt à remettre mon bermuda, laissé par terre, quand elle m’arrête.
Sans un mot, elle me fait asseoir sur le siège passager, et bascule le dossier en couchette.
Je me retrouve étendu sur le dos, et elle vient, le long du siège, à l’extérieur de la voiture, sa main saisissant mon sexe, pour le branler doucement. J’essaie de me détendre, comprenant ce qu’elle veut, et un fourreau chaud s’empare de mon gland. Je baisse les yeux, et je croise son regard espiègle . Elle ouvre grand la bouche et lèche mon frein, faisant frissonner ma queue . Sa main s’en empare et elle avale mon sexe encore mou, venant coller son nez dans mon pubis. Elle ne bouge pas, mais je sens sa langue qui s’active sur ma hampe, s’enroulant, dardant, puis remontant pour pointer sur mon méat qui s’entrouvre. Pendant ce temps, ses mains ont attrapé mes bourses et les calinent avant de les serrer, l’une après l’autre. Sa bouche quitte mon membre qui reprend un peu de vigueur et vient gober mes testicules. Je sens mes boules secouées dans leurs poches par une langue en furie. Un doigt inquisiteur longe mon périnée et vient chatouiller mon anus. Mes bourses sont relachées et je la vois sucer son doigt en me faisant un clin d’œil. Puis elle reprend ma bite , en bouche. Je sens alors son doigt s’insérer doucement dans mon cul. Elle pousse sans ménagement et franchit mon sphincter. A l’intérieur, le doigt se replie et masse ma prostate. L’effet conjugué avec ses lèvres qui aspirent ma queue est immédiat, et je sens mon sexe prendre du volume et de la raideur.
Elle l’a senti aussi et grimpe sur moi, à califourchon, guidant mon sexe pour s’empaler dessus. Je retrouve cette sensation inimitable de son vagin qui me serre et m’engloutit dans un va-et vient dicté par nos instincts primaires. S’aidant de ses genoux, elle coulisse sur ma queue avec des gémissements de contentement. Je peux enfin jouer avec ses seins qui ballotent légèrement au rythme de ce coït, et je les masse en les maintenant. Elle s’est redressée et , se soulève régulièrement avant de venir retomber sur moi dans le claquement de nos peaux qui se joignent.
D’un coup, je la sens ralentir, hésiter-« Il y a quelqu’un »me dit elle tout bas-« Où ça ? »-« Là, au bord de la route, un bagnole s’est arrêtée. »Couché, comme je suis, je ne peux absolument rien voir.
-« Un type descend » m’informe Sandra ; mais elle ne se désunit pas de moi-« Il s’arrête, il…oh, il sort sa bite. Il pisse »-« Tu crois qu’il nous a vus. » risquai-je-« Non, il a fini. Il va s’en aller…Ah zut, il m’a vue » annonce t’elle-« Que fait il. Il s’en va ? »-« Non, il me regarde. Il doit voir mes seins. »-« Il s’approche ? »-« Non, il regarde c’est tout « -« Enlève toi, il faut qu’on se rhabille » dis-je, sentant mon érection ramollir.
-« Oh non » dit elle en reprenant son mouvement « caresse mes seins »Nous reprenons nos ébats et je coiffe ses seins de mes mains. Au moins le type verra qu’elle n’est pas seule. Sandra commence à gémir, et envoe sa main pour titiller son clito, tout en continuant de baiser.
-« Il est toujours là ? »-« Oui, il a sorti sa bite. » répond elle sans cesser de remuer son bassin « ah, vas y, je la sens bien, tu vas me faire jouir. »Je fais abstraction de ce voyeur et me concentre sur Sandra qui semble prendre du plaisir à la situation.
-« Il s’approche de nous » me murmure Sandra « Il a une grosse bite »Elle se déchaine au dessus de moi et emet de plus en plus de plaintes, de gémissements quand ce ne sont pas des cris.
-« Ah, c’est bon, il est tout à côté, il nous mate » dit maintenant Sandra, à voix haute.
-« Il se branle en regardant ta queue qui entre en moi ! il a vraiment une bite énorme !
Ah, que c’est bon ! il va vouloir me baiser peut-être ! » crie t’elle suffisamment fort pour que le voyeur entende. La situation est incroyable : ma copine que je suis en train de baiser se fait mater par un autre. C’est tout à la fois, stressant et excitant. Cette baise est extrêmement chaude. J’attrape Sandra par les hanches, et la percute de plus en plus violemment.
« AH OUI ! regarde comme il me baise bien ! C’est si bon ! je vais exploser ! Ah oui ! mon chéri, il éjacule maintenant ! »Ne s’agissant pas de moi, j’en déduis qu’il s’agit du voyeur.
-« Ah que c’est beau, il a arrosé loin devant lui. Je vais venir ! je viens ! oh ouiiiiii ! »Elle se raidit et se met à trembler dans un orgasme paroxystique, qui m’entraine, moi aussi. Arc bouté sur mon siège, je la soulève et envoie de longues giclées, avant de retomber, repu. Elle s’abat sur moi et m’embrasse passionnément. La présence d’un inconnu me fait redescendre rapidement :-« Qu’est ce qu’il fait ? »-« Il s’est rajusté, il s’éloigne. »-« Comme ça ? »-« Il m’a fait un signe. Il monte dans sa voiture.il part. »Quelques minutes plus tard, Sandra s’essuie avec une serviette de notre sac de plage, et enfile sa robe. Je redresse le siège passager. Je suis stupéfait-« Je n’en reviens pas ! tu t’es exhibée en train de faire l’amour devant un type qui s’est branlé pour toi. Et si il avait voulu plus ? »-« tu m’aurais défendue, quoique… »-« Quoique ? »-« Il était vraiment bien monté. Tu aurais vu ça ! »-« Oui tu parles, heureusement je n’ai rien vu et… » soudain j’ai un gros doute. Je quitte la route des yeux pour dévisager Sandra. Elle a de nouveaux ses lunette noires, sa robe remonte très haut sur ses cuisses nues. Elle a aux lèvres un sourire énigmatique.
-« Attends un peu ! qui me dit qu’il était là ce type ? »-« Moi, je le sais, mon chéri. Toi tu ne sauras jamais. »
Ce week-end, nous sommes allés nous baigner avec des amis . Le temps était au beau et nous nous sommes retrouvés au bord d’un petit lac à une trentaine de kilomêtres de chez nous. Nous avons passé une superbe journée. Nos amis sont très sympas et nous avons partagé un délicieux pique-nique, puis passé notre temps entre bronzette et baignade.
Beaucoup de citadins s’étaient donnés le mot, et la place était assez encombrée par des familles qui s’échappaient de leurs appartements pour faire prendre l’air à leurs marmots, ce dont on ne pouvait les blamer.
Néanmoins, étant arrivés, pas trop tard, nous avons pu trouver un coin d’herbe, au pied d’un arbre. Paressant sur un drap de bain, j’ai pu, en jetant des coups d’œil discrets, me rendre compte que nos compagnes, ravissantes dans leurs maillots de bain, attiraient les regards des mâles environnants. Sandra était vétue d’un deux pièces minimaliste formé de petits triangles d’étoffe reliés par des ficelles, alors que sa copine, Joelle, portait un maillot de bain une pièce, sans bretelles, dont le haut glissait sans arrêt, dévoilant ses tétons fréquemment. Quand elles sortaient de l’eau, le tissu collé à leurs corps harmonieux, elles étaient suivies du regard par bien des hommes, dont certains étaient rappelés à l’ordre par leurs épouses.
L’après-midi s’étire, et petit à petit le monde déserte ce paradis du dimanche. C’est bientôt notre tour de regagner nos pénates. Pendant que Stéphane et moi rangeons, parasols et glacières, nos amies se sèchent après un dernier bain et se changent. Joelle roule son maillot jusqu’à la taille nous montrant ses seins déjà bronzés, puis s’enroule dans une serviette pour quitter sa tenue de bain, et enfiler un string minuscule que je découvre quand elle déroule la serviette pour passer une jupe de toile, avant d’enfiler un débardeur, masquant sa jolie poitrine. Sandra, elle , a enlevé son soutien-gorge, et se sèche précautionneusement, ses seins bien ronds aux tétons pointus livrés à nos regards, mais très vite, elle endosse une robe de toile, très courte mais assez large, avant de faire glisser le bas de son maillot à terre.
Tout le monde enfin prêt, nous nous embrassons tous, avant de remonter dans nos voitures respectives, et de prendre la route.
Tandis que la voiture de Stéphane s’éloigne rapidement, Je roule lentement, en jetant des coups d’œil fréquents sur Sandra , un peu excité. Je pose ma main sur son genou. Elle ne réagit pas, ou je ne le vois pas, car elle porte des lunettes solaires aux verres opaques. Je remonte ma main sur sa cuisse jusqu’au bord de sa robe., puis un peu plus haut, entrainant l’étoffe vers le haut. Je suis stoppé par la fourche de ses jambes, et je sens sous mes doigts, sa courte toison.
-« Tu n’as pas de culotte ? »-« Non, j’avais oublié de prendre un change » répond elle sans bougerJe tire le tissu vers le haut et dévoile sa fente dénudée sous sa toison en ticket de métro..
Ma main revient s’insérer entre ses jambes, caressant la chair douce, à l’intérieur des cuisses. Avec un soupir elle écarte un peu plus les jambes, en une invite muette.
Conduisant d’une main, je tatonne et entre en contact avec la chair chaude et humide de ses lèvres. Elle s’avance sur le siège et me laisse longer sa fente pour atteindre son clitoris en haut de cette vallée humide. Elle soupire doucement tandis que mes doigts s’agitent sur son sexe et que je finis par y pénétrer mon majeur, pour la masturber gentiment.
Je rattrape de justesse une embardée et me reconcentre un instant sur ma conduite. Je trouve enfin ce que je cherche, un petit bois, et un chemin . J’y engage la voiture sur quelques mêtres ; suffisamment pour être invisible depuis la route. J’immobilise la voiture . Nous sommes entourés d’arbres qui dispensent une agréable fraicheur dans ce sous-bois.
Je me tourne vers ma compagne qui ote ses lunettes de soleil et me regarde d’un air interrogateur.
-« Pourquoi on s’arrête ? » demande t’elle avec un sourire narquois-« Parce que j’ai du mal à faire plusieurs choses à la fois »-« Et ? »-« Et j’ai décidé de m’occuper de la plus importante en premier » dis-je, avec deux doigts qui s’introduisent en elle.
Elle m’échappe et descend de la voiture. Je fais le tour de l’auto pour la rejoindre, et je l’embrasse avant de lui dire-« Tu m’as excité tout l’après-midi. »-« Je n’ai pourtant rien fait de spécial. Tu es sur que ce n’est pas Joelle, ou les autres femmes ? »-« Oh, je les ai bien regardées, mais celle qui me fait le plus d’effet c’est toi. »-« Tu veux dire, que, juste ça, te fait de l’effet ? » demande t’elle en faisant passer sa robe par dessus sa tête avant de l’envoyer dans la voiture. Elle tourne sur elle même, nue dans ses nu-pieds à talons avant de s’avancer vers moi.
-« Voyons ça » dit elle en palpant ma queue déjà bien tendue dans mon bermuda.
-« hmmm, effectivement, en voilà un qui a envie de prendre l’air » dit elle en baissant mon bermuda qui laisse sortir ma queue bien bandée-« Pas question de faire l’amour dehors, ça grouille de bestioles, ici « m’annonce t’elle avant d’éclater de rire devant ma mine déconfite.
Elle ouvre la porte arrière, et s’engouffre sur la banquette, laissant ses jambes et son cul dehors. Je comprends instantanément et viens me coller à elle. L’accès est difficile, mais elle replie une jambe et m’ouvre grand le chemin de son intimité. Elle est déjà bien lubrifiée et je m’enfonce en elle d’un trait.
-« Houmppff, c’est vrai que tu avais envie. Tu es bien gros » Je la pilonne lentement au départ, mais je sens que son fessier vient au-devant de moi en une demande sans équivoque. Je m’applique alors à grands coups de reins, mon pubis claquant vigoureusement contre son cul, qui rougit sous les coups.
-« HAN, han ! ouii ! c’est bon ! » crie t’elle maintenantJe suis tellement excité que je ne peux me retenir bien longtemps, et je jouis très vite dans son vagin.
Après un temps d’accalmie, nous nous désunissons-« Dis donc, c’était du rapide » commente t’elle-« Désolé, j’avais trop attendu. »-« En attendant, maintenant j’ai envie, moi » déclare t’elle « et c’est mal barré » complète t’elle en voyant mon sexe en berne.
Je suis prêt à remettre mon bermuda, laissé par terre, quand elle m’arrête.
Sans un mot, elle me fait asseoir sur le siège passager, et bascule le dossier en couchette.
Je me retrouve étendu sur le dos, et elle vient, le long du siège, à l’extérieur de la voiture, sa main saisissant mon sexe, pour le branler doucement. J’essaie de me détendre, comprenant ce qu’elle veut, et un fourreau chaud s’empare de mon gland. Je baisse les yeux, et je croise son regard espiègle . Elle ouvre grand la bouche et lèche mon frein, faisant frissonner ma queue . Sa main s’en empare et elle avale mon sexe encore mou, venant coller son nez dans mon pubis. Elle ne bouge pas, mais je sens sa langue qui s’active sur ma hampe, s’enroulant, dardant, puis remontant pour pointer sur mon méat qui s’entrouvre. Pendant ce temps, ses mains ont attrapé mes bourses et les calinent avant de les serrer, l’une après l’autre. Sa bouche quitte mon membre qui reprend un peu de vigueur et vient gober mes testicules. Je sens mes boules secouées dans leurs poches par une langue en furie. Un doigt inquisiteur longe mon périnée et vient chatouiller mon anus. Mes bourses sont relachées et je la vois sucer son doigt en me faisant un clin d’œil. Puis elle reprend ma bite , en bouche. Je sens alors son doigt s’insérer doucement dans mon cul. Elle pousse sans ménagement et franchit mon sphincter. A l’intérieur, le doigt se replie et masse ma prostate. L’effet conjugué avec ses lèvres qui aspirent ma queue est immédiat, et je sens mon sexe prendre du volume et de la raideur.
Elle l’a senti aussi et grimpe sur moi, à califourchon, guidant mon sexe pour s’empaler dessus. Je retrouve cette sensation inimitable de son vagin qui me serre et m’engloutit dans un va-et vient dicté par nos instincts primaires. S’aidant de ses genoux, elle coulisse sur ma queue avec des gémissements de contentement. Je peux enfin jouer avec ses seins qui ballotent légèrement au rythme de ce coït, et je les masse en les maintenant. Elle s’est redressée et , se soulève régulièrement avant de venir retomber sur moi dans le claquement de nos peaux qui se joignent.
D’un coup, je la sens ralentir, hésiter-« Il y a quelqu’un »me dit elle tout bas-« Où ça ? »-« Là, au bord de la route, un bagnole s’est arrêtée. »Couché, comme je suis, je ne peux absolument rien voir.
-« Un type descend » m’informe Sandra ; mais elle ne se désunit pas de moi-« Il s’arrête, il…oh, il sort sa bite. Il pisse »-« Tu crois qu’il nous a vus. » risquai-je-« Non, il a fini. Il va s’en aller…Ah zut, il m’a vue » annonce t’elle-« Que fait il. Il s’en va ? »-« Non, il me regarde. Il doit voir mes seins. »-« Il s’approche ? »-« Non, il regarde c’est tout « -« Enlève toi, il faut qu’on se rhabille » dis-je, sentant mon érection ramollir.
-« Oh non » dit elle en reprenant son mouvement « caresse mes seins »Nous reprenons nos ébats et je coiffe ses seins de mes mains. Au moins le type verra qu’elle n’est pas seule. Sandra commence à gémir, et envoe sa main pour titiller son clito, tout en continuant de baiser.
-« Il est toujours là ? »-« Oui, il a sorti sa bite. » répond elle sans cesser de remuer son bassin « ah, vas y, je la sens bien, tu vas me faire jouir. »Je fais abstraction de ce voyeur et me concentre sur Sandra qui semble prendre du plaisir à la situation.
-« Il s’approche de nous » me murmure Sandra « Il a une grosse bite »Elle se déchaine au dessus de moi et emet de plus en plus de plaintes, de gémissements quand ce ne sont pas des cris.
-« Ah, c’est bon, il est tout à côté, il nous mate » dit maintenant Sandra, à voix haute.
-« Il se branle en regardant ta queue qui entre en moi ! il a vraiment une bite énorme !
Ah, que c’est bon ! il va vouloir me baiser peut-être ! » crie t’elle suffisamment fort pour que le voyeur entende. La situation est incroyable : ma copine que je suis en train de baiser se fait mater par un autre. C’est tout à la fois, stressant et excitant. Cette baise est extrêmement chaude. J’attrape Sandra par les hanches, et la percute de plus en plus violemment.
« AH OUI ! regarde comme il me baise bien ! C’est si bon ! je vais exploser ! Ah oui ! mon chéri, il éjacule maintenant ! »Ne s’agissant pas de moi, j’en déduis qu’il s’agit du voyeur.
-« Ah que c’est beau, il a arrosé loin devant lui. Je vais venir ! je viens ! oh ouiiiiii ! »Elle se raidit et se met à trembler dans un orgasme paroxystique, qui m’entraine, moi aussi. Arc bouté sur mon siège, je la soulève et envoie de longues giclées, avant de retomber, repu. Elle s’abat sur moi et m’embrasse passionnément. La présence d’un inconnu me fait redescendre rapidement :-« Qu’est ce qu’il fait ? »-« Il s’est rajusté, il s’éloigne. »-« Comme ça ? »-« Il m’a fait un signe. Il monte dans sa voiture.il part. »Quelques minutes plus tard, Sandra s’essuie avec une serviette de notre sac de plage, et enfile sa robe. Je redresse le siège passager. Je suis stupéfait-« Je n’en reviens pas ! tu t’es exhibée en train de faire l’amour devant un type qui s’est branlé pour toi. Et si il avait voulu plus ? »-« tu m’aurais défendue, quoique… »-« Quoique ? »-« Il était vraiment bien monté. Tu aurais vu ça ! »-« Oui tu parles, heureusement je n’ai rien vu et… » soudain j’ai un gros doute. Je quitte la route des yeux pour dévisager Sandra. Elle a de nouveaux ses lunette noires, sa robe remonte très haut sur ses cuisses nues. Elle a aux lèvres un sourire énigmatique.
-« Attends un peu ! qui me dit qu’il était là ce type ? »-« Moi, je le sais, mon chéri. Toi tu ne sauras jamais. »
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