PETITES HISTOIRES 3 Une grossesse active
Récit érotique écrit par POESEXE2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PETITES HISTOIRES 3 Une grossesse active
UNE GROSSESSE ACTIVE
Cette histoire vraie, tirée de mes expériences personnelles m’est arrivée avec mon épouse Sandra dont j’ai déjà parlé dans les histoires précédentes.
Ma petite femme attendait notre deuxième enfant. La première grossesse avait été une découverte pour elle comme pour moi, mais quand Sandra fut enceinte pour la deuxième fois, notre première expérience nous servit et cette période fut beaucoup plus agréable.
Mois après mois, le ventre de Sandra s’arrondissait. Elle n’avait , fort heureusement aucune des difficultés que rencontrent parfois les femmes dans cet état, et resplendissait de bonne santé. Elle avait travaillé très longtemps et ne s’était arrêtée que quelques semaines avant l’accouchement. Elle avait trimballé son bidon arrondi au Maroc, avec moi, et je m’étais rendu compte qu’en plus de ses nichons qui avaient pris quelques tailles de plus, elle avait une libido plutôt exacerbée, et ce séjour avait été l’occasion de parties de sexe effrenées dans la chambre climatisée (chaleur oblige). Les locaux que nous croisions étaient prévenants et ne manquaient pas de caresser son ventre sous sa robe ample, et même parfois un peu plus m’étais-je laissé dire.
J’étais à ce moment là détaché sur la côte méditerranéenne non loin de Montpellier, et je ne rentrais chez moi que le week-end. L’été approchant, nous nous retrouvions cependant pas très éloignés, puisque mes beaux parents avaient un appartement sur la côte. Ils y passaient le temps avec Sandra, mais la plupart du temps nous en avions la jouissance pleine.
Un vendredi, alors que je terminais ma semaine, j’invitais deux collègues à diner. A 17h, nous étions partis, moi dans sur ma moto et eux, en voiture.
Quand nous arrivâmes au petit appartement, je leur présentai, ma petite femme, et à elle, je présentai les deux gaillard ; Toni, un brun très basané d’origine italienne et Christophe, un grand type blond et assez baraqué.
Comme le temps était au beau fixe, nous nous sommes installées sur la très grande terrasse, qui était la particularité de cet appartement. Pour prendre l’apéritif. Je laissai Sandra assise dans un fauteuil et fis les allers retours, apportant les alcools, la glace, et les biscuits apéro avant de les rejoindre et de servir tout le monde. Sandra était vétue d’une robe ample en toile légère, à bretelles, assez échancrée qui dévoilait en partie sa poitrine imposante, et quand elle se pencha pour attraper son verre, je pense que tout le monde eut une vue imprenable sur ses seins puisqu’elle ne portait pas de soutif. L’ambiance était à la rigolade, et les plaisanteries fusaient. Le soleil descendait inexorablement et il était temps de préparer le repas. Sandra, qui avait commandé chez un traiteur, se leva pour aller vers le coin cuisine (c’était une partie du séjour) pour réchauffer le diner . Moules à la sétoise et frites. Elle me pria d’aller vite au coin de la rue chercher les frites qu’elle avait commandées. Christophe m’accompagna et Toni decida de rester pour tenir compagnie à Sandra. Quand nous revinmes, ils étaient tous deux assis sur la banquette de la terrasse.
-« Le bébé remue » m’annonça Sandra.
Je m’approchai et posai ma main sur son ventre, pour ressentir, effectivement des coups qui déformaient le bidon.
-« Waouh, qu’est-ce qu’il remue ! »-« C’est génial , non, j’ai fait toucher à Toni. Tu veux toucher Christophe. »Mon collègue s’approcha et s’accroupit devant elle, posant ses mains sur son ventre-« Tu sens comme il bouge ? » demanda Sandra.
-« A mon avis, il est pressé de sortir »commenta ChristopheAprès cet intermède pré-natal, nous sommes passés à table. Christophe, face à Sandra, et a côté de Tony, qui était en face de moi. Le repas fut le digne prolongement de l’apéro et les bouteilles de rosé se succédèrent, sauf pour mon épouse, qui, bien entendu ne buvait pas. Je dois bien avouer qu’à la fin du repas je n’étais plus très frais. Sandra, remarquant notre état, imposa aux deux gars de rester dormir, et de ne regagner Montpellier que le lendemain matin. Elle décida de leur laisser l’unique chambre, en mettant un matelas supplémentaire à côté du lit. Pour nous, une fois la table déblayée, nous avions dégagé un grand espace sur la terrasse, où un grand matelas fut déposé. Sandra dormait là toutes les nuits à cause de la chaleur.
Une fois les gars dans le chambre, Sandra éteint les lumières dans le séjour, et vient me rejoindre sur la terrasse. Je suis déjà allongé avec juste un drap sur moi, et la télécommande du store banne, au cas où il y aurait un peu d’humidité. Sandra me rejoint et fait passer sa robe par dessus sa tête, apparaissant entièrement nue, éclairée par la lune et les réverbères de la marina.
-« Ma chérie, fais gaffe, on pourrait te voir »Elle vient s’allonger à mes côté et se pelotonne contre moi-« Tu n’as pas de culotte ? »-« Non, plus rien ne me va, avec mon gros ventre, elles me cisaillent la peau, alors je n’en mets plus » dit elle simplement « Tu es bien le seul à ne pas l’avoir remarqué »-« Comment ça ? »-« Tes copains se sont bien rincé l’œil toute la soirée. »-« Tu crois ? »-« Ah, non, je suis sure. Le petit Tony a été le premier. Il a jeté un regard sous ma robe, et m’a fait un clin d’œil. Quand au grand Christophe, il a fait tomber deux fois sa serviette pendant que nous étions à table. Quel maladroit ! »-« Et tu n’as rien dit ? »-« Que voulais tu que je dise ? c’est toi qui les a fait venir, après tout. Et ils n’ont rien fait de mal. Pas de geste déplacé, rien. Par contre, moi, en ce moment j’ai toujours envie. » murmure t’elle en saisissant mon sexe. Je caresse doucement son ventre rond et descends vers sa chatte que je trouve toute mouillée. Je glisse un coussin sous ses reins et me positionne au-dessus d’elle. Elle écarte ses jambes et m’accueille avec un soupir de bonheur. Je m’enfonce en elle, mais son ventre ne facilite pas ma tache et je n’arrive pas à aller à fond, même en la soulevant sur mes genoux.
-« Attends »dit elle en se dégageant. Elle me fait rouler sur le dos et m’enfourche, guidant mon sexe en elle avant de se laisser retomber sur moi. Elle se tient très droite et ma queue s’enfouit en elle jusqu’à la garde. Prenant appui sur ses jambes elle entame un mouvement de balancier, un peu saccadé. J’ai ses nichons aux tétines tendues dans mes mains et le ciel étoilé comme plafond. Seul le claquement de nos corps qui se rejoignent en cadence, et nos souffles mélés sont audibles. Je vois ma belle se mordre les lèvres pour ne pas trop extérioriser son plaisir. Notre cadence s’accélère et elle jouit avec un petit cri. Je ne résiste pas plus longtemps et je sors. Elle se met à genoux, et vient prendre mon sexe dans sa bouche. C’est un peu inattendu. Elle me suce à toute vitesse en aspirant mon gland, faisant riper sa langue sur mon frein. Quand elle sent que je vais jouir, elle sort et à petits coups elle fait entrer et sortir mon gland de sa bouche en serrant fort ses lèvres. Je ne peux résister à cette nouvelle caresse et j’explose dans sa bouche avec un râle, pas trop discret. Elle continue de me sucer jusqu’à ce qu’elle ait tout avalé et vient m’embrasser d’un baiser au goût un peu sucré. Elle se lève alors et va chercher une bouteille d’eau dans le frigo. Toujours nue, elle repasse devant moi, et va s’appuyer à la rambarde pour boire. A cet instant je la trouve impudique, mais tellement belle. Malgré son ventre proéminent, elle n’a pas pris de graisse, de dos, sa silhouette aux hanches parfaites, au cuisses fines et musclées, et aux fesses rondes sans être trop larges n’a pas bougé. Elle se tourne vers moi et me sourit. Elle sait que je la regarde. Ses yeux brillent dans l’obscurité. La lumière diffuse dessine la courbe de ses seins, qui ont réussi l’exploit de prendre du volume sans tomber, et juste au dessous, son bidon rebondi , forme un gros ballon , qui se termine par sa fente encore luisante de nos ébats. Elle me rejoint et me dit-« Tu matais la grosse »-« Je ne suis pas étonné que les mecs te matent. Même enceinte jusqu’aux yeux, tu arrives à conserver un corps qui appelle l’amour. »-« En tout cas, j’ai envie sans arrêt. Je suis allée faire un tour en bateau avec mes parents, et les secousses des vagues m’ont donné un orgasme. J’étais allée me planquer dans la cabine en prétextant le mal de mer. Pareil, quand tes copains m’ont maté, ça m’a fait chaud au minou. »-« Tu veux te faire mes potes ? »-« Non, bien sur, mais rien que le fait qu’ils me voient, c’était bon. »-« S’il n’y a que ça, tu peux recommencer demain »-« Je ne veux pas leur donner des idées. »-« Alors ne soit pas trop provocante. »Le lendemain matin, quand j’ouvre un œil le soleil tape déjà sur le store, que ma douce a du déployer. Elle s’agite dans le coin cuisine à faire du café. Je la rejoins et prépare du pain grille pour nos invité. Ce matin elle porte une tunique longue et fendue très transparente, et je distingue parfaitement ses fesses que je ne peux éviter de caresser.
La table est vite mise et Toni arrive le premier pendant que Cristophe achève sa toilette.
Les deux gars détaillent ma femme de haut en bas quand elle arrive avec le broc de café-« Salut les gars, bien dormi »-« Bien » répond Tony « Tu es ravissante de bon matin »-« Merci. Qui veut du café ? »Mes collègues ont visiblement flashé sur la tunique en voile qui s’entrouvre à chaque pas, pour dévoiler une jambe jusqu’à l’aine.
Une fois à table c’est aussi bien pour nous tous car les seins de ma chérie sont parfaitement visible sous le voile, et il est difficile de s’en détacher. Elle boit son café en silence avant de lâcher-« Ils vous plaisent mes seins »-« Euh non » bredouille Toni-« Ah, donc ils sont moches ? »-« Non, ils sont très beau « tente t’il de se rattraper, déclenchant un éclat de rire de Sandra.
-« Ah les hommes ! il suffit d’une paire de seins pour vous faire perdre vos moyens. Vous ne voyez pas que je vous charie ? Vu qu’hier je vous ai ai vu me mater, sans trop de discrétion, je me suis dit que vous alliez déchanter ne voyant comment je suis grosse. » dit elle en se levant et en mettant ses mains sur son ventre.
-« Désolé pour hier, Sandra, je ne voulais pas te manquer de respect, mais j’ai été surpris par ta tenue, et tu es une jolie femme. Steve a bien de la chance. »-« Et surtout, tu es si jolie que même ton gros ventre te va à merveille’ complète Toni.
-« Tu entends ça chéri ? » s’exclame t’elle en se tournant vers moi. »Allez, vous allez rentrer chez vous maintenant, parce que moi, j’attends pour passer à la salle de bains. »Les gars se lèvent de table et vont récupérer leurs affaires avant de venir nous saluer.
Une fois qu’ils sont partis, Sandra se précipite dans la salle-de bain pour se doucher pendant que je range un peu. Elle ressort enveloppée dans une serviette qui ne parvient pas à couvrir son ventre, ce qui fait que les pans sont écartés laissant nus son ventre . Quand je sors de la douche tout propre, je la trouve allongée au soleil, sur le matelas.
-« Viens, j’ai envie » me dit elleje la fais lever, et lui fait prendre appui sur la rambarde, face à la marina, surplombant les bateaux à l’amarre. Je descend mon boxer et me colle à elle.
-« Humm je te sens d’humeur levrette » rit elle en tendant ses fesses vers moi et en écartant un peu les jambes. Je me mets à genoux et entreprend de la lécher longuement du clito à l’anus. Sa fleur s’ouvre sans attendre et elle commence à ronronner. Les terrasse de ces appartements sont heureusement bien séparées les unes des autres, par de hauts murs, et la terrasse est délimitée par une jardinière emplie de fleurs et plantes qui montent jusqu’à la balustrade en fer, et masquent notre occupation aux passants. Seuls éventuellement, les résidents de l’autre côté de la marina au même niveau pourraient éventuellement deviner ce qui se passe chez nous.
J’ai maintenant deux doigts dans la chatte de Sandra, qui gémit doucement. Je me redresse et viens planter ma queue dans son sexe qui dégouline. Je lime un moment mais elle se dégage et attrape mon sexe pour le positionner sur son petit trou.
-« Par là , ce sera plus facile, maintenant. »Je lubrifie son anus avec sa mouille et je pousse pour m’introduire en elle. Elle se tend en arrière pour m’aider, et je sens mon sexe franchir ses barrières lui arrachant une plainte.
Je m’arrête , mais elle m’exhorte à continuer. Je m’enfonce dans son cul jusqu’à ce que mon pubis vienne taper sur ses fesses. Je stoppe le mouvement, le temps qu’elle s’habitue. C’est elle qui utilisant ses bras, se propulse au devant de ma queue et lui imprime son mouvement. Elle râle légèrement. Je passe ma main sous elle et viens titiller son clito, puis engager deux, trois doigts en elle la portant de plus en plus vers le plaisir. Son cul se trémousse de plus en plus vite . Elle halète en murmurant des mots incompréhensibles. Je sens la lave monter en moi, mais j’essaie de tenir, encore un peu. Elle se démène, se seins balotant sous elle, frottant sur la rambarde, et subitement elle se plaque contre moi. Son cul remue encore par à-coups, et elle lâche un cri de jouissance, alors que je me déverse en elle.
Quelques instant pour revenir au calme et nous nous allongeons sur le matelas, nous embrassons longuement-« Cétait bon non ? »-« c’était divin ma chérie, merci pour ce cadeau. »-« en fin de grossesse, comme ça, l’accès n’est pas facile par devant, alors j’ai pensé te faire plaisir. »-« c’était réussi, même si les voisins ont dû comprendre ce qu’on faisait. »-« pas grave. Dis chéri, on ira à la plage, cet aprèm ? Jai envie de baiser dans la mer
Cette histoire vraie, tirée de mes expériences personnelles m’est arrivée avec mon épouse Sandra dont j’ai déjà parlé dans les histoires précédentes.
Ma petite femme attendait notre deuxième enfant. La première grossesse avait été une découverte pour elle comme pour moi, mais quand Sandra fut enceinte pour la deuxième fois, notre première expérience nous servit et cette période fut beaucoup plus agréable.
Mois après mois, le ventre de Sandra s’arrondissait. Elle n’avait , fort heureusement aucune des difficultés que rencontrent parfois les femmes dans cet état, et resplendissait de bonne santé. Elle avait travaillé très longtemps et ne s’était arrêtée que quelques semaines avant l’accouchement. Elle avait trimballé son bidon arrondi au Maroc, avec moi, et je m’étais rendu compte qu’en plus de ses nichons qui avaient pris quelques tailles de plus, elle avait une libido plutôt exacerbée, et ce séjour avait été l’occasion de parties de sexe effrenées dans la chambre climatisée (chaleur oblige). Les locaux que nous croisions étaient prévenants et ne manquaient pas de caresser son ventre sous sa robe ample, et même parfois un peu plus m’étais-je laissé dire.
J’étais à ce moment là détaché sur la côte méditerranéenne non loin de Montpellier, et je ne rentrais chez moi que le week-end. L’été approchant, nous nous retrouvions cependant pas très éloignés, puisque mes beaux parents avaient un appartement sur la côte. Ils y passaient le temps avec Sandra, mais la plupart du temps nous en avions la jouissance pleine.
Un vendredi, alors que je terminais ma semaine, j’invitais deux collègues à diner. A 17h, nous étions partis, moi dans sur ma moto et eux, en voiture.
Quand nous arrivâmes au petit appartement, je leur présentai, ma petite femme, et à elle, je présentai les deux gaillard ; Toni, un brun très basané d’origine italienne et Christophe, un grand type blond et assez baraqué.
Comme le temps était au beau fixe, nous nous sommes installées sur la très grande terrasse, qui était la particularité de cet appartement. Pour prendre l’apéritif. Je laissai Sandra assise dans un fauteuil et fis les allers retours, apportant les alcools, la glace, et les biscuits apéro avant de les rejoindre et de servir tout le monde. Sandra était vétue d’une robe ample en toile légère, à bretelles, assez échancrée qui dévoilait en partie sa poitrine imposante, et quand elle se pencha pour attraper son verre, je pense que tout le monde eut une vue imprenable sur ses seins puisqu’elle ne portait pas de soutif. L’ambiance était à la rigolade, et les plaisanteries fusaient. Le soleil descendait inexorablement et il était temps de préparer le repas. Sandra, qui avait commandé chez un traiteur, se leva pour aller vers le coin cuisine (c’était une partie du séjour) pour réchauffer le diner . Moules à la sétoise et frites. Elle me pria d’aller vite au coin de la rue chercher les frites qu’elle avait commandées. Christophe m’accompagna et Toni decida de rester pour tenir compagnie à Sandra. Quand nous revinmes, ils étaient tous deux assis sur la banquette de la terrasse.
-« Le bébé remue » m’annonça Sandra.
Je m’approchai et posai ma main sur son ventre, pour ressentir, effectivement des coups qui déformaient le bidon.
-« Waouh, qu’est-ce qu’il remue ! »-« C’est génial , non, j’ai fait toucher à Toni. Tu veux toucher Christophe. »Mon collègue s’approcha et s’accroupit devant elle, posant ses mains sur son ventre-« Tu sens comme il bouge ? » demanda Sandra.
-« A mon avis, il est pressé de sortir »commenta ChristopheAprès cet intermède pré-natal, nous sommes passés à table. Christophe, face à Sandra, et a côté de Tony, qui était en face de moi. Le repas fut le digne prolongement de l’apéro et les bouteilles de rosé se succédèrent, sauf pour mon épouse, qui, bien entendu ne buvait pas. Je dois bien avouer qu’à la fin du repas je n’étais plus très frais. Sandra, remarquant notre état, imposa aux deux gars de rester dormir, et de ne regagner Montpellier que le lendemain matin. Elle décida de leur laisser l’unique chambre, en mettant un matelas supplémentaire à côté du lit. Pour nous, une fois la table déblayée, nous avions dégagé un grand espace sur la terrasse, où un grand matelas fut déposé. Sandra dormait là toutes les nuits à cause de la chaleur.
Une fois les gars dans le chambre, Sandra éteint les lumières dans le séjour, et vient me rejoindre sur la terrasse. Je suis déjà allongé avec juste un drap sur moi, et la télécommande du store banne, au cas où il y aurait un peu d’humidité. Sandra me rejoint et fait passer sa robe par dessus sa tête, apparaissant entièrement nue, éclairée par la lune et les réverbères de la marina.
-« Ma chérie, fais gaffe, on pourrait te voir »Elle vient s’allonger à mes côté et se pelotonne contre moi-« Tu n’as pas de culotte ? »-« Non, plus rien ne me va, avec mon gros ventre, elles me cisaillent la peau, alors je n’en mets plus » dit elle simplement « Tu es bien le seul à ne pas l’avoir remarqué »-« Comment ça ? »-« Tes copains se sont bien rincé l’œil toute la soirée. »-« Tu crois ? »-« Ah, non, je suis sure. Le petit Tony a été le premier. Il a jeté un regard sous ma robe, et m’a fait un clin d’œil. Quand au grand Christophe, il a fait tomber deux fois sa serviette pendant que nous étions à table. Quel maladroit ! »-« Et tu n’as rien dit ? »-« Que voulais tu que je dise ? c’est toi qui les a fait venir, après tout. Et ils n’ont rien fait de mal. Pas de geste déplacé, rien. Par contre, moi, en ce moment j’ai toujours envie. » murmure t’elle en saisissant mon sexe. Je caresse doucement son ventre rond et descends vers sa chatte que je trouve toute mouillée. Je glisse un coussin sous ses reins et me positionne au-dessus d’elle. Elle écarte ses jambes et m’accueille avec un soupir de bonheur. Je m’enfonce en elle, mais son ventre ne facilite pas ma tache et je n’arrive pas à aller à fond, même en la soulevant sur mes genoux.
-« Attends »dit elle en se dégageant. Elle me fait rouler sur le dos et m’enfourche, guidant mon sexe en elle avant de se laisser retomber sur moi. Elle se tient très droite et ma queue s’enfouit en elle jusqu’à la garde. Prenant appui sur ses jambes elle entame un mouvement de balancier, un peu saccadé. J’ai ses nichons aux tétines tendues dans mes mains et le ciel étoilé comme plafond. Seul le claquement de nos corps qui se rejoignent en cadence, et nos souffles mélés sont audibles. Je vois ma belle se mordre les lèvres pour ne pas trop extérioriser son plaisir. Notre cadence s’accélère et elle jouit avec un petit cri. Je ne résiste pas plus longtemps et je sors. Elle se met à genoux, et vient prendre mon sexe dans sa bouche. C’est un peu inattendu. Elle me suce à toute vitesse en aspirant mon gland, faisant riper sa langue sur mon frein. Quand elle sent que je vais jouir, elle sort et à petits coups elle fait entrer et sortir mon gland de sa bouche en serrant fort ses lèvres. Je ne peux résister à cette nouvelle caresse et j’explose dans sa bouche avec un râle, pas trop discret. Elle continue de me sucer jusqu’à ce qu’elle ait tout avalé et vient m’embrasser d’un baiser au goût un peu sucré. Elle se lève alors et va chercher une bouteille d’eau dans le frigo. Toujours nue, elle repasse devant moi, et va s’appuyer à la rambarde pour boire. A cet instant je la trouve impudique, mais tellement belle. Malgré son ventre proéminent, elle n’a pas pris de graisse, de dos, sa silhouette aux hanches parfaites, au cuisses fines et musclées, et aux fesses rondes sans être trop larges n’a pas bougé. Elle se tourne vers moi et me sourit. Elle sait que je la regarde. Ses yeux brillent dans l’obscurité. La lumière diffuse dessine la courbe de ses seins, qui ont réussi l’exploit de prendre du volume sans tomber, et juste au dessous, son bidon rebondi , forme un gros ballon , qui se termine par sa fente encore luisante de nos ébats. Elle me rejoint et me dit-« Tu matais la grosse »-« Je ne suis pas étonné que les mecs te matent. Même enceinte jusqu’aux yeux, tu arrives à conserver un corps qui appelle l’amour. »-« En tout cas, j’ai envie sans arrêt. Je suis allée faire un tour en bateau avec mes parents, et les secousses des vagues m’ont donné un orgasme. J’étais allée me planquer dans la cabine en prétextant le mal de mer. Pareil, quand tes copains m’ont maté, ça m’a fait chaud au minou. »-« Tu veux te faire mes potes ? »-« Non, bien sur, mais rien que le fait qu’ils me voient, c’était bon. »-« S’il n’y a que ça, tu peux recommencer demain »-« Je ne veux pas leur donner des idées. »-« Alors ne soit pas trop provocante. »Le lendemain matin, quand j’ouvre un œil le soleil tape déjà sur le store, que ma douce a du déployer. Elle s’agite dans le coin cuisine à faire du café. Je la rejoins et prépare du pain grille pour nos invité. Ce matin elle porte une tunique longue et fendue très transparente, et je distingue parfaitement ses fesses que je ne peux éviter de caresser.
La table est vite mise et Toni arrive le premier pendant que Cristophe achève sa toilette.
Les deux gars détaillent ma femme de haut en bas quand elle arrive avec le broc de café-« Salut les gars, bien dormi »-« Bien » répond Tony « Tu es ravissante de bon matin »-« Merci. Qui veut du café ? »Mes collègues ont visiblement flashé sur la tunique en voile qui s’entrouvre à chaque pas, pour dévoiler une jambe jusqu’à l’aine.
Une fois à table c’est aussi bien pour nous tous car les seins de ma chérie sont parfaitement visible sous le voile, et il est difficile de s’en détacher. Elle boit son café en silence avant de lâcher-« Ils vous plaisent mes seins »-« Euh non » bredouille Toni-« Ah, donc ils sont moches ? »-« Non, ils sont très beau « tente t’il de se rattraper, déclenchant un éclat de rire de Sandra.
-« Ah les hommes ! il suffit d’une paire de seins pour vous faire perdre vos moyens. Vous ne voyez pas que je vous charie ? Vu qu’hier je vous ai ai vu me mater, sans trop de discrétion, je me suis dit que vous alliez déchanter ne voyant comment je suis grosse. » dit elle en se levant et en mettant ses mains sur son ventre.
-« Désolé pour hier, Sandra, je ne voulais pas te manquer de respect, mais j’ai été surpris par ta tenue, et tu es une jolie femme. Steve a bien de la chance. »-« Et surtout, tu es si jolie que même ton gros ventre te va à merveille’ complète Toni.
-« Tu entends ça chéri ? » s’exclame t’elle en se tournant vers moi. »Allez, vous allez rentrer chez vous maintenant, parce que moi, j’attends pour passer à la salle de bains. »Les gars se lèvent de table et vont récupérer leurs affaires avant de venir nous saluer.
Une fois qu’ils sont partis, Sandra se précipite dans la salle-de bain pour se doucher pendant que je range un peu. Elle ressort enveloppée dans une serviette qui ne parvient pas à couvrir son ventre, ce qui fait que les pans sont écartés laissant nus son ventre . Quand je sors de la douche tout propre, je la trouve allongée au soleil, sur le matelas.
-« Viens, j’ai envie » me dit elleje la fais lever, et lui fait prendre appui sur la rambarde, face à la marina, surplombant les bateaux à l’amarre. Je descend mon boxer et me colle à elle.
-« Humm je te sens d’humeur levrette » rit elle en tendant ses fesses vers moi et en écartant un peu les jambes. Je me mets à genoux et entreprend de la lécher longuement du clito à l’anus. Sa fleur s’ouvre sans attendre et elle commence à ronronner. Les terrasse de ces appartements sont heureusement bien séparées les unes des autres, par de hauts murs, et la terrasse est délimitée par une jardinière emplie de fleurs et plantes qui montent jusqu’à la balustrade en fer, et masquent notre occupation aux passants. Seuls éventuellement, les résidents de l’autre côté de la marina au même niveau pourraient éventuellement deviner ce qui se passe chez nous.
J’ai maintenant deux doigts dans la chatte de Sandra, qui gémit doucement. Je me redresse et viens planter ma queue dans son sexe qui dégouline. Je lime un moment mais elle se dégage et attrape mon sexe pour le positionner sur son petit trou.
-« Par là , ce sera plus facile, maintenant. »Je lubrifie son anus avec sa mouille et je pousse pour m’introduire en elle. Elle se tend en arrière pour m’aider, et je sens mon sexe franchir ses barrières lui arrachant une plainte.
Je m’arrête , mais elle m’exhorte à continuer. Je m’enfonce dans son cul jusqu’à ce que mon pubis vienne taper sur ses fesses. Je stoppe le mouvement, le temps qu’elle s’habitue. C’est elle qui utilisant ses bras, se propulse au devant de ma queue et lui imprime son mouvement. Elle râle légèrement. Je passe ma main sous elle et viens titiller son clito, puis engager deux, trois doigts en elle la portant de plus en plus vers le plaisir. Son cul se trémousse de plus en plus vite . Elle halète en murmurant des mots incompréhensibles. Je sens la lave monter en moi, mais j’essaie de tenir, encore un peu. Elle se démène, se seins balotant sous elle, frottant sur la rambarde, et subitement elle se plaque contre moi. Son cul remue encore par à-coups, et elle lâche un cri de jouissance, alors que je me déverse en elle.
Quelques instant pour revenir au calme et nous nous allongeons sur le matelas, nous embrassons longuement-« Cétait bon non ? »-« c’était divin ma chérie, merci pour ce cadeau. »-« en fin de grossesse, comme ça, l’accès n’est pas facile par devant, alors j’ai pensé te faire plaisir. »-« c’était réussi, même si les voisins ont dû comprendre ce qu’on faisait. »-« pas grave. Dis chéri, on ira à la plage, cet aprèm ? Jai envie de baiser dans la mer
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