Petits jeux dans les bois (partie 3) Nouvelles découvertes
Récit érotique écrit par Alone [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Petits jeux dans les bois (partie 3) Nouvelles découvertes
...Je me laisse guider par le fil, qui s’enfonce dans la forêt. Je marche environ 500 m, puis au milieu des arbres, je trouve une clairière. Au milieu de celle-ci, une couverture rose sur laquelle est étendue ma joggeuse, ses seins dressés vers le ciel. Avec ses jambes ouvertes, elle fait presque un grand écart… Elle est belle, musclée, souple.
Une bouche et une langue expertes, je n’attends plus qu’une chose, lui faire l’amour. M’approchant, elle me dit de me mettre à l’aise et de commencer à m’occuper d’elle. À la hâte, je quitte mes habits de sportif et je viens me placer juste devant son minou. J’hallucine devant tant de souplesse.
Dans cette position, son intimité est totalement dévoilée, avec son bouton rose. Ses lèvres sont écartées et je vois son orifice et son anus rose. J’approche ma langue de son bouton et commence à l’aspirer doucement. De mes doigts, je lui caresse avec douceur, chaque lèvre de haut en bas et de bas en haut. Ariane me glisse les mains dans les cheveux. Petit à petit, je descends la langue à l’entrée de sa fleur. Mes mains remontent le long de ses reins et viennent titiller les tétons. Je la pénètre avec ma langue et je sens le désir monter en elle. Je remonte lui lécher le clitoris, pendant que mes doigts viennent s’enfoncer dans son sexe et commencer des va-et-vient. Elle prononce alors, les quelques mots que j’attendais :
- Viens et prends-moi !
Me redressant, je l’embrasse sur le pubis, puis remonte, en répétant ces délicats baisers. Je sens mon sexe pointer à l’entrée de sa grotte. Je suis en elle. Sa chatte est chaude et humide, je glisse. Je tends mes bras pour pouvoir admirer son corps. Quand j’arrive au bout de son antre, ses seins ondulent. Je la regarde. Elle ferme les yeux, se mordille sensuellement les lèvres. Je saisis ses jambes et viens les placer autour de mon cou. Elle est é-las-ti-que. Ma pénétration est plus profonde et je sens le plaisir monter en moi. Elle gémit « Va plus vite. Va au fond. Je veux sentir tes boules taper contre moi ». Elle crie et nous jouissons l’un dans l’autre. Je sens ma semence remplir son bas-ventre. À chaque giclée, elle sert un peu plus ses jambes autour de moi. Puis tout à coup, elle les laisse retomber sur la couverture. Nous sommes tous les deux comblés. Je m’allonge à côté d’elle, lui caresse la poitrine pendant que nous retrouvons nos esprits. Puis elle ouvre les yeux et me dit,
- C’était bon, j’en veux encore.
Elle se redresse, prend mon sexe gluant et le gobe, comme un escargot tout chaud…
Je sens mon gland gonfler dans sa bouche. Son aspiration est telle, que bientôt, il devient raide comme la justice… Elle se lève et s’empale. Je lui saisis les seins et les malaxe. Ils sont exceptionnels ! Pendant ce temps, Ariane s’était accroupie et fait des va-et-vient rapides. Je vois les uns après les autres, les muscles de ses mollets et de ses cuisses se contracter. Je suis ébahi pas son endurance et sa musculature. Je lui lâche les seins pour lui attraper les fesses. Elles sont elles aussi, rebondies et fermes. Ses seins balancent maintenant devant moi. Elle vient m’embrasser goulûment. Nos langues se mélangent et ses tétons, durs longs et épais avec la fraîcheur du matin, viennent frotter contre mon torse. Elle me mord les lèvres et je sens mon sexe glisser. Elle mouille comme jamais.
- Tu me fais jouir avec ta bite. C’est bon ! Je veux sentir ton foutre en moi. Viens, jouis avec moi ! REMPLIS-MOI ! MAINTENANT !
Autant dire que ses paroles eurent l’effet instantanément. Je monte mon bassin pour la pénétrer au plus profond et en position de phase, je me vide comme si je n’avais pas fait l’amour depuis des mois. Elle s’écroule sur moi et m’embrasse. Nos corps sont vidés, sa chatte est pleine. Nous nous rhabillons.
- À toi de me préparer une surprise dimanche prochain, me dit ma biche des bois en s’éloignant.
La semaine me parut interminable. Ce dimanche matin, la météo est incertaine. Pour une fois, je pars plus tôt, afin de mettre ma petite surprise en place.
Lorsqu’Ariane arrive, elle trouve une pancarte « Retrouve ton grand méchant loup ».
Le fil n’ayant pas disparu, elle le suit. À dix mètres de notre clairière, une autre pancarte lui indique de placer ses vêtements dans un sac zip et de ne garder que ses chaussures. Elle se retrouve nue au milieu de la forêt. Quand elle arrive vers la clairière, je me suis caché pour admirer le spectacle et je ne suis pas déçu. Elle paraît flotter au-dessus de la végétation. Son corps musclé, ses formes généreuses et ses seins qui pointent vers le ciel sont magnifiques. Je suis en extase devant tant de grâce… Quand elle voit la couverture rouge et le panier, mon petit chaperon fait un tour sur elle-même. Je peux admirer ses fesses, qui semblent sortir d’une page de magazine. Elle s’avance, s’assied sur la couverture et s’approche du panier. Soulevant le torchon, elle lit :
« Petit chaperon, fais ton choix parmi les produits suivants et enduis-toi les endroits du corps, que tu veux que le grand méchant loup te dévore… ».
Elle choisit le Nutella, qu’elle fait couler sur ses seins, et saisit ensuite la chantilly. Elle commence par s’en mettre au-dessus du nombril, puis descend jusqu’à sa chatte. Elle s’allonge et dit :
- J’attends que le loup vienne me dévorer, je suis à sa merci. Ouhhhhh !
Je bondis et me précipite sur sa poitrine. Commençant par lécher ses seins, je poursuis par ses tétons, en les mordillant et en les aspirants dans ma langue recourbée. Le goût du Nut sur sa peau douce, avec son odeur si agréable, est enivrant. Ma joggeuse semble apprécier mes léchouilles. Me mettant au-dessus d’elle, je pars du nombril, pour descendre doucement, sans laisser la moindre trace de chantilly. Mes mains lui effleurent les cuisses et remontent jusqu’à ses fesses. J’entends Ariane trifouiller dans le panier. Je continue ma descente et au moment où j’arrive au niveau de sa fine toison, je sens mon sexe rentrer dans quelque chose de liquide. À la consistance, je reconnais le miel. Dès que ma bite sort du pot, elle l’avale et l’aspire. Je suis comme fou devant une telle douceur et une telle maîtrise de la fellation. Je lui broute alors le minou, en y mettant tout mon cœur. Ariane frétille sous mes coups de langue et de mon côté, quand ma divine suceuse me dit qu’elle jouit, je sens ma sève monter. Je lâche tout dans sa bouche. Je bois presque sa mouille, tant elle est liquide. Nous nous retournons et nous nous roulons un patin magistral, où nous continuons à mélanger mouille et sperme.
Je me mets sur elle et j’enfonce délicatement mon sexe de nouveau au garde à vous, avec des mouvements amples. À chaque fois, ma bite ressort de sa chatte pour mieux y rentrer. J’aime cette douceur. Je lui demande ensuite de se mettre à quatre pattes, pour profiter de la vue de ses fesses, pendant que je lui fais l’amour. Je la pénètre profondément et toujours aussi doucement, pour faire durer le plaisir. Je n’ai pas envie que cette matinée finisse… Mais quelques gouttes commencent à tomber, puis ce sont de véritables trombes d’eau. Tout en continuant, nous nous abritons sous la couverture. Nous nous apercevons alors, que notre clairière est en fait une cuvette. Rapidement, une flaque se forme et nous avons nos genoux qui s’enfoncent dans la terre. L’herbe a laissé la place à un mélange d’eau et de terre, de la boue… Soudain, la pluie cesse quasi instantanément. À chaque pénétration, j’entends le clapotis de ses seins sur l’eau. Je me penche et je peux admirer le spectacle. J’accélère le mouvement pour voir ses seins se percuter.
Une idée saugrenue me vient alors.
Je ramasse de la boue et j’en enduis les seins de ma belle, puis ses hanches, son dos et son ventre. Cette sensation décuple notre excitation. Ariane se laisse alors complètement aller dans la boue. Je la retourne et la pénètre de plus belle. Mais ce coup-ci, si mes mouvements sont plus courts, ils sont plus rapides et plus durs. Ariane crie. Elle met ses deux jambes autour de moi pour que nos corps fusionnent et que la boue recouvre nos deux corps. Nous jouissons une nouvelle fois. J’allais m’affaler sur elle, quand elle donne un coup de rein et je me retrouve sur le dos, toujours dans la boue.
- Mange-moi la chatte encore une fois et occupe toi aussi de mes seins.
À peine a-t-elle fini de prononcer ces paroles, que je me retrouve les nez dans sa chatte. J’ouvre la bouche et la lui lèche avec attention. J’y enfonce ma langue et je sens couler mon sperme encore chaud. Je l’avale et continue ma besogne de tout mon cœur, pendant que mes mains la pelotent. Je fais rouler mes doigts autour de ses tétons. Puis dans l’excitation, je descends un peu plus bas vers sa petite rondelle.
- C’est la première fois que l’on me titille l’anus. Je n’étais pas pour… Mais là, je dois bien reconnaître… Je veux que tu continues de t’y arrêter de temps en temps,
me soupire mon « chaperon nu ».
Ces paroles d’encouragement me font tellement raidir le bout, qu’il en devient douloureux. Je continue mes va-et-vient entre ses deux orifices. Ariane gémit, crie, m’enfonce la tête dans son antre. Tout à coup, mon sexe est avalé. Pas par une bouche, mais…
À suivre…
Une bouche et une langue expertes, je n’attends plus qu’une chose, lui faire l’amour. M’approchant, elle me dit de me mettre à l’aise et de commencer à m’occuper d’elle. À la hâte, je quitte mes habits de sportif et je viens me placer juste devant son minou. J’hallucine devant tant de souplesse.
Dans cette position, son intimité est totalement dévoilée, avec son bouton rose. Ses lèvres sont écartées et je vois son orifice et son anus rose. J’approche ma langue de son bouton et commence à l’aspirer doucement. De mes doigts, je lui caresse avec douceur, chaque lèvre de haut en bas et de bas en haut. Ariane me glisse les mains dans les cheveux. Petit à petit, je descends la langue à l’entrée de sa fleur. Mes mains remontent le long de ses reins et viennent titiller les tétons. Je la pénètre avec ma langue et je sens le désir monter en elle. Je remonte lui lécher le clitoris, pendant que mes doigts viennent s’enfoncer dans son sexe et commencer des va-et-vient. Elle prononce alors, les quelques mots que j’attendais :
- Viens et prends-moi !
Me redressant, je l’embrasse sur le pubis, puis remonte, en répétant ces délicats baisers. Je sens mon sexe pointer à l’entrée de sa grotte. Je suis en elle. Sa chatte est chaude et humide, je glisse. Je tends mes bras pour pouvoir admirer son corps. Quand j’arrive au bout de son antre, ses seins ondulent. Je la regarde. Elle ferme les yeux, se mordille sensuellement les lèvres. Je saisis ses jambes et viens les placer autour de mon cou. Elle est é-las-ti-que. Ma pénétration est plus profonde et je sens le plaisir monter en moi. Elle gémit « Va plus vite. Va au fond. Je veux sentir tes boules taper contre moi ». Elle crie et nous jouissons l’un dans l’autre. Je sens ma semence remplir son bas-ventre. À chaque giclée, elle sert un peu plus ses jambes autour de moi. Puis tout à coup, elle les laisse retomber sur la couverture. Nous sommes tous les deux comblés. Je m’allonge à côté d’elle, lui caresse la poitrine pendant que nous retrouvons nos esprits. Puis elle ouvre les yeux et me dit,
- C’était bon, j’en veux encore.
Elle se redresse, prend mon sexe gluant et le gobe, comme un escargot tout chaud…
Je sens mon gland gonfler dans sa bouche. Son aspiration est telle, que bientôt, il devient raide comme la justice… Elle se lève et s’empale. Je lui saisis les seins et les malaxe. Ils sont exceptionnels ! Pendant ce temps, Ariane s’était accroupie et fait des va-et-vient rapides. Je vois les uns après les autres, les muscles de ses mollets et de ses cuisses se contracter. Je suis ébahi pas son endurance et sa musculature. Je lui lâche les seins pour lui attraper les fesses. Elles sont elles aussi, rebondies et fermes. Ses seins balancent maintenant devant moi. Elle vient m’embrasser goulûment. Nos langues se mélangent et ses tétons, durs longs et épais avec la fraîcheur du matin, viennent frotter contre mon torse. Elle me mord les lèvres et je sens mon sexe glisser. Elle mouille comme jamais.
- Tu me fais jouir avec ta bite. C’est bon ! Je veux sentir ton foutre en moi. Viens, jouis avec moi ! REMPLIS-MOI ! MAINTENANT !
Autant dire que ses paroles eurent l’effet instantanément. Je monte mon bassin pour la pénétrer au plus profond et en position de phase, je me vide comme si je n’avais pas fait l’amour depuis des mois. Elle s’écroule sur moi et m’embrasse. Nos corps sont vidés, sa chatte est pleine. Nous nous rhabillons.
- À toi de me préparer une surprise dimanche prochain, me dit ma biche des bois en s’éloignant.
La semaine me parut interminable. Ce dimanche matin, la météo est incertaine. Pour une fois, je pars plus tôt, afin de mettre ma petite surprise en place.
Lorsqu’Ariane arrive, elle trouve une pancarte « Retrouve ton grand méchant loup ».
Le fil n’ayant pas disparu, elle le suit. À dix mètres de notre clairière, une autre pancarte lui indique de placer ses vêtements dans un sac zip et de ne garder que ses chaussures. Elle se retrouve nue au milieu de la forêt. Quand elle arrive vers la clairière, je me suis caché pour admirer le spectacle et je ne suis pas déçu. Elle paraît flotter au-dessus de la végétation. Son corps musclé, ses formes généreuses et ses seins qui pointent vers le ciel sont magnifiques. Je suis en extase devant tant de grâce… Quand elle voit la couverture rouge et le panier, mon petit chaperon fait un tour sur elle-même. Je peux admirer ses fesses, qui semblent sortir d’une page de magazine. Elle s’avance, s’assied sur la couverture et s’approche du panier. Soulevant le torchon, elle lit :
« Petit chaperon, fais ton choix parmi les produits suivants et enduis-toi les endroits du corps, que tu veux que le grand méchant loup te dévore… ».
Elle choisit le Nutella, qu’elle fait couler sur ses seins, et saisit ensuite la chantilly. Elle commence par s’en mettre au-dessus du nombril, puis descend jusqu’à sa chatte. Elle s’allonge et dit :
- J’attends que le loup vienne me dévorer, je suis à sa merci. Ouhhhhh !
Je bondis et me précipite sur sa poitrine. Commençant par lécher ses seins, je poursuis par ses tétons, en les mordillant et en les aspirants dans ma langue recourbée. Le goût du Nut sur sa peau douce, avec son odeur si agréable, est enivrant. Ma joggeuse semble apprécier mes léchouilles. Me mettant au-dessus d’elle, je pars du nombril, pour descendre doucement, sans laisser la moindre trace de chantilly. Mes mains lui effleurent les cuisses et remontent jusqu’à ses fesses. J’entends Ariane trifouiller dans le panier. Je continue ma descente et au moment où j’arrive au niveau de sa fine toison, je sens mon sexe rentrer dans quelque chose de liquide. À la consistance, je reconnais le miel. Dès que ma bite sort du pot, elle l’avale et l’aspire. Je suis comme fou devant une telle douceur et une telle maîtrise de la fellation. Je lui broute alors le minou, en y mettant tout mon cœur. Ariane frétille sous mes coups de langue et de mon côté, quand ma divine suceuse me dit qu’elle jouit, je sens ma sève monter. Je lâche tout dans sa bouche. Je bois presque sa mouille, tant elle est liquide. Nous nous retournons et nous nous roulons un patin magistral, où nous continuons à mélanger mouille et sperme.
Je me mets sur elle et j’enfonce délicatement mon sexe de nouveau au garde à vous, avec des mouvements amples. À chaque fois, ma bite ressort de sa chatte pour mieux y rentrer. J’aime cette douceur. Je lui demande ensuite de se mettre à quatre pattes, pour profiter de la vue de ses fesses, pendant que je lui fais l’amour. Je la pénètre profondément et toujours aussi doucement, pour faire durer le plaisir. Je n’ai pas envie que cette matinée finisse… Mais quelques gouttes commencent à tomber, puis ce sont de véritables trombes d’eau. Tout en continuant, nous nous abritons sous la couverture. Nous nous apercevons alors, que notre clairière est en fait une cuvette. Rapidement, une flaque se forme et nous avons nos genoux qui s’enfoncent dans la terre. L’herbe a laissé la place à un mélange d’eau et de terre, de la boue… Soudain, la pluie cesse quasi instantanément. À chaque pénétration, j’entends le clapotis de ses seins sur l’eau. Je me penche et je peux admirer le spectacle. J’accélère le mouvement pour voir ses seins se percuter.
Une idée saugrenue me vient alors.
Je ramasse de la boue et j’en enduis les seins de ma belle, puis ses hanches, son dos et son ventre. Cette sensation décuple notre excitation. Ariane se laisse alors complètement aller dans la boue. Je la retourne et la pénètre de plus belle. Mais ce coup-ci, si mes mouvements sont plus courts, ils sont plus rapides et plus durs. Ariane crie. Elle met ses deux jambes autour de moi pour que nos corps fusionnent et que la boue recouvre nos deux corps. Nous jouissons une nouvelle fois. J’allais m’affaler sur elle, quand elle donne un coup de rein et je me retrouve sur le dos, toujours dans la boue.
- Mange-moi la chatte encore une fois et occupe toi aussi de mes seins.
À peine a-t-elle fini de prononcer ces paroles, que je me retrouve les nez dans sa chatte. J’ouvre la bouche et la lui lèche avec attention. J’y enfonce ma langue et je sens couler mon sperme encore chaud. Je l’avale et continue ma besogne de tout mon cœur, pendant que mes mains la pelotent. Je fais rouler mes doigts autour de ses tétons. Puis dans l’excitation, je descends un peu plus bas vers sa petite rondelle.
- C’est la première fois que l’on me titille l’anus. Je n’étais pas pour… Mais là, je dois bien reconnaître… Je veux que tu continues de t’y arrêter de temps en temps,
me soupire mon « chaperon nu ».
Ces paroles d’encouragement me font tellement raidir le bout, qu’il en devient douloureux. Je continue mes va-et-vient entre ses deux orifices. Ariane gémit, crie, m’enfonce la tête dans son antre. Tout à coup, mon sexe est avalé. Pas par une bouche, mais…
À suivre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau texte. La suite